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01/01/2013

un de mes poèmes en prose

après le poème en prose mis sur Ipernity le 20 janvier de cette année 2008, voici un second, d'un genre différend, au moins par la forme, car en vers.


 

PARAPHRASE DE PAO TCHAO( II )




Une eau versée nul ne saurait la retenir ;

Vois comme elle s’écoule.

Les jours, les heures aussi, le temps avec lui roule

Ma vie qui va finir !

Peut-on gémir à chaque pas ? Peut-on, peut-être,

Pleurer à chaque instant ?

Mao non ! Mon cœur de chair ne peut qu’être content

Pour un peu de bien-être.

Buvons plutôt ! Ce vin, vois-tu prête à rêver

De fiefs et de cerises ;

Et si tu veux ce soir … Mais non, ma voix se brise

Et je n’ose achever.

 

 

 

NB: ce Pao-Tchao vécu, il est mort (...), en 421-463 ap J-C. Son oeuvre majeur est justement "Les Peines du Voyage". Mon poème est en fait la paraphrase de sa 5ème strophe. Le poème en entier je l'ai en traduction française dans l'Anthologie de la poésie chinois éditée par l'UNESCO vv parisbeijing.over-blog.com/article-12850739.html vv Un jour peut-être je mettrai aussi la 1ère strophe.

Tiu jena poemo mia estas parafrazo de Pao Ĉao 421-463 P.K., pli precize de la kvina strofo de La malĝojoj del vojaĝ' . La plenan poemon mi havas francigita en antologio de la  klasika ĉina poezio fare de Paul Demiéville (1962, mi estis 13 jaraĝa, kiam li faris ĝin do ...).

20/10/2011

je marche seul

06/07/2011

le pays du bonheur

ce que je pourrais dire si j'avais des somnifères chez moi (et que j'ai dit dans le dernier rêve que j'ai fait ce matin) :
J'en prendrais un, j'irais chercher mon petit chat avec moi, me recoucherait avec lui dans mon lit, et je partirais pour le pays du bonheur.

05/05/2010

l'explication du titre

Pour ceux qui se demandent d'où vient le titre de ce blog.
  C'est en Espéranto.
C'est dans la traduction en E-o d'un poème portugais;
l'E-o
c'est  une langue comme une autre, contrairement à ce que s'imaginent certains!!  ( tel le fameux Aillagon-piège-à-cons-! ):

Lumoj de ekmiroj


Mi iras limake,

sen destino,

verŝante mian ploron ,

rampante sur la grundo.

Mi forlasas miajn markojn,

mi ne scias ĉu neviŝeblajn,

en la lumo de la ekmiro,

kiu eklumas en la soleco.




                Silverio da Costa (el la portugala : Geraldo Mattos)


les sept soleil verts:

http://r.platteau.free.fr/TradukitajPoemoj.htm#La_sep_sun...

18/02/2005

mon premier blog

 

C'est beau un coq. Le chant du coq est beau, cosmique, humain, c'est quelque chose d'admirable, ce n'est pas pour rien que Lurçat a mit des coqs dans ses tapisseries. Il devrait être interdit d'nterdire le chant des coqs. Quand un pays se met à interdire les coqs, il y a en lui quelque chose de pourri.