14/02/2014
le visage humain
Où on voit bien que le visage humain (théoriquement…, certains visages humains, ceux qui sont restés pleinement humains) n’est que comme interface pour communiquer (et oui ! « à chacun son corps » c’est un slogan con et déshumanisant !), qu’il a été conçu uniquement pour l’autre, pour être aimé, pour nous permettre d’entrer encontact avec l’essence de l’être, avec l’essence de Dieu, jusqu’à ce qu’il soit complètement transparent, fait d’âme autant que de chair, comme une interface d’amour, comme un morceau de Sainte-Trinité, qu’il n’est tout entier qu’une interface pour communiquer, jusqu’à ce qu’il soit complètement transparent, fait d’âme autant que de chair, un canal de l’amour.
Le visage humain c’est fait pour être caressé, le visage humain c’est fait pour être couvert de baisers.

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25/01/2014
la tendresse
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10/01/2014
vous avez dit "intégrés" ?
Par exemple, les informaticiens des boites privées qui font des programmes pour l'Etat (je le sais je m'en sert), est-ce qu'ils sont intégrés en France ?
NON ! car ils utilisent encore un point au lieu d'une virgule pour séparer les décimales (comme les Etats-Uniens), car, en dépit des immenses progrès de l'informatique qui se rie maintenant de ce genre de problème, ils font des programmes qui refusent d'utiliser d'autres lettres de l'alphabet que celles utilisée ..... encore une fois par les Etat-Uniens ! à savoir les lettres avec des accents. Le gag ! Savent-ils vraiment qu'ils sont en France ???? Voilà un exemple de gens pas du tout intégrés dans leur propre pays.
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08/01/2014
notre vie - Eluard
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07/01/2014
la vie dans la société contemporaine
L’informatique est à l’image de la société contemporaine :
Cachée, blindée, opaque, j’men-fout’iste, arbitraire, inébranlable, sans information, injoignable, sans fiabilité et créatrice d’insécurité à chaque instant.
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01/01/2014
Bismilla Khan
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l'instrument est un Chenay.
*en anglais : http://www.murad.pk/music/?p=342 Ustad Bismillah Khan on Shehnai Indian instrument
Ustad Bismillah Khan (1916-2006) was perhaps single handedly responsible for making the shehnai a famous and popular instrument and bringing it into the mainstream Indian classical music. He was credited with having almost monopoly over the instrument as he and the shehnai were almost synonymous. Bismillah Khan was born in a small village called Dumraon in the state of Bihar, on November 21, 1916. His early childhood was spent in Benares, on the banks of the Ganga, where his uncle was the official shehnai player in the famousVishwanath temple. His father was a musician for the Dumraon state.
He started his training under the guidance of his maternal uncle, Ali Bux, at the age of six. He often accompanied him to perform at marriage celebrations or music conferences. Bismillah Khan made a recording for the first time in 1930. However it was sold in the name of a relative, Vilayat Hussain, a more popular musician at the time. He made his first major public appearance in 1930 at the age of 14, when he played along with his uncle at the All India Music Conference in Allahabad. His second performance was at the Music Conference at the Lucknow exhibition, where he won a gold medal for his recital.
Bismillah Khan had the ability to produce intricate sound patterns on theshehnai which, till before his time, were considered impossible on this instrument. The Government of India bestowed on him the title Padma Shree in 1961, and later, the Padma Bhushan and the Padma Vibhushan. In 2001, he became the third classical musician to be awarded the Bharat Ratna, after M S Subbulakshmi and Pandit Ravi Shankar. Bismillah Khan died of cardiac arrest on August 21, 2006. He was 90. The Government of India declared one day of national mourning on his death, an event unprecedented for any musician.
(remarquez au passage Bismillah Khan était un fumeur, ce qui ne l'a pas empêché de vivre 90 ans !)
et maintenant en duo avec cet autre immense artiste Amjad Ali Khan au Sarod :
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01/12/2013
la plej grava korpoparto
"Ŝi ĵetis patrinecan rigardon sur min. Mi vidis
larmon en ŝia okuloj. Post momenteto... Mi
enbrakumis ŝin per subita movo. Ŝi mole kaj senforte apogis sian kapon sur mia ŝultro, kaj diris: Mia kara filo, la plej grava parto sur homa korpo ĝuste estas la ŝultroj.
Mi demandis ŝin: ĉu pro tio, ke la ŝultroj subtenas mian kapon? Ŝi respondis:
Ne. Estas pro tio, ke viaj ŝultroj povas subteni la kapon de viaj amikoj kaj
amatoj, kiam ili ploras. Mia kara, dum nia tuta vivo, ni ofte bezonas ŝultron
por apogi nin plorantan. Mi esperas, ke vi havu korajn amikojn kaj amatojn.
Tiel vi trovas apogeblan ŝultron ĉi-kiam vi bezonas, kiel mi bezonas la vian nun."
esperantigita el la ĉina lingvo far Nigra Okulo
kiom prava !
En voilà un qui a le sens des vraies valeurs !
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11/11/2013
un vers si expressif de Jules Supervielle, et si cruel, si désespéré, sur la vie, toute vie
parlant de ces petites animaux, si vivant et si proches quand on les tient, que la vie devient palpable, et dont le coeur bat si vite ...
" ...
avec un coeur rapide, rapide,
pressé d'en finir"
si vous avez du mal à comprendre voici le vers dans son contexte dans le poème en entier :
Nous sommes là tous deux
comme devant la mer
sous l'avance saline des souvenirs
......
Ne t'afflige point, toi dont le tourment ne remonte pas comme le mien,
jusqu'aux âges qui tremblent derrière les horizons,
tu ne sais pas ce qu'est une vague morte depuis trois mille ans,
et qui renaît en moi, pour périr encore,
ni l'alouette immobile depuis plusieurs décennies
qui devient en moi une alouette toute neuve,
avec un coeur rapide, rapide,
pressé d'en finir.
Ne t'afflige point, toi qui vois en la nuit
une amie qu'émerveille ton sourire aiguisé
par la chute du jour
la nuit armée d'étoiles innombrables et grouillante de siècles,
qui me force pour en mesurer la violence,
à renverser la tête en arrière
comme font les morts, mon amie,
comme font les morts.
Jules Supervielle - (In "Gravitations")
26/10/2013
ve mi bezonUS peceton de ĉio tio ....
L'espero
En vestaĵo fantazia
kunportante novan senton,
alproksimiĝas l'espero.
Mi bezonas nur peceton
da konfido kaj kontento
kaj se eblas,
la kareson de la vivo,
kaj rideton de l'amiko,
kaj brakumon de pasio,
kaj se eblas,
ho ve, Dio!
por kaŝi la mian timon,
ĉielan blankan mantelon.
Sed, mi timas
ke la espero
preterpasos,
kaj mi restos
elpensante
novan revon.
Angel Arquillos 10-9-13
23/10/2013
un romantique sensé dans un monde de fous
"- nous ne sommes que deux romantiques sensés dans un monde de fous" disait Max Baginski à Emma Goldman.
Très belle formule ! Elle me convient, je la reprends : je suis un romantique sensé dans un monde de fous.
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