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02/07/2023

celui qui a connu "l'indicible jubilation du matin" est mort, comme s'il n'avait jamais vécu et cette indicible jubilation non plus

 » l’indicible jubilation du matin « 

comme over-blog est devenu de la merde je la remet en petit une deuxième fois l'indicible jubilation du matin en petit
« L’homme n’est pas le dernier mot des choses, ce qui serait désespérant. »
(Aimé Michel)

 

Aimé Michel faisait partie de ces « hommes à la nuque raide qui refusaient de passer leur vie à faire ce que leurs contemporains et la bienséance attendaient d’eux. »

AUTRES CITATIONS D’AIMÉ MICHEL

« Et les minutes qui passent, où vont -elles ? « 

« L’idée, pourtant simple, que les limites de nos connaissances ne sont pas celles de la nature semble intolérable à l’esprit humain.

‘ »Je préfère admettre que ce qui s’est déroulé sur la Terre avec une obstination jamais démentie pendant quarante millions de siècles obéissait à une loi tout à fait banale et que ce monde sans bornes en éternelle gestation de galaxies où se font  les étoiles qui font les planètes qui font la vie, n’est rien d’autre, en définitive, qu’une machine à fabriquer de la pensée. »

« Plus un conformisme est pesant et plus est virulent l’anticorps qu’il sécrète en réaction. (hé! on commence à le voir ces temsp-ci ! …)

Ceci n’est pas de lui, mais il y adhèrerait, Capitaine Clérouin:
« Le poisson qui fait le tour de son bocal croit avoir fait le tour du monde, et les images entrevues à travers sa prison de verre seront tenues par lui pour d’absurdes hallucinations s’ils est un rationaliste, ou pour des divinités s’ils est un mystique »

 

le titre du billet est aussi une expression (si belle) de lui
 

si vous voulez vous mettre à la philosophie des sciences voici une série de vidéos : https://www.youtube.com/watch?v=NA2XOTSTs8w

30/06/2023

grillons et courtillères


podcast

www.jama.fr/boutique/fr/prise-de-vue/cd-chant-d-oiseaux-e...
Il y en a 60 plages différentes d'espèces différents enregistrée dans les jours et les nuits de lieux du monde entier, un disque d'une 1heure de bruits comme ça, que certains jours j'écoute DES HEURES DURANT TOUT LE LONG DE LA JOURNEE en bruit de fond
- si, si ! c'est très agréable, très.
Histoire peut-être (?) de faire pénétrer dans notre monde mort et aseptisé, (et encore plus depuis 2020 et la prise de pouvoir mondiale de Davos Klaus Schwab Buzyn et toute cette mafia capitaliste totalitaire !) et dans l'enfermement de mes quatre murs le monde réel, le monde vivant, un monde symphonique et profond, le monde de l'être, de la vie, et du bonheur, un monde à visage humain, ce monde plein d'odeurs et de rumeurs, c'est à dire le monde que les petits "trou-du-cul" fascistes de la France profonde ne supportent pas, et dont les "Ayatollahs" détraqués des Instances officielle ont horreur.

28/06/2023

les 3 vérités les plus importantes

à toujours garder à l'esprit, et en tirer les conséquences, et agir en conséquence !

15/06/2023

rappel

11/06/2023

comment contourner le passeport sanitaire totalitaire ?


https://odysee.com/@Senegaulois:f/La-Minute-de-Ricardo-.-...

Je vous rejoins complètement, boycott de tout ces collabos de sociétés qui veulent mettre cette ABOMINATION en marche.

et au fait :
Justement, je me posais la question !
Il paraît que les vaccinés sont dangereux pour nous les non-vaccinés car ils développe des variants. (voir le Pr Geert Van den Bossche,  le Dr Vernon Coleman, etc)
Pas question que mon foyer se fasse vacciner même à tout perdre même la vie car avec les variants ça devient hyper-dangereux pour nous tous.

 

C'est la lutte finale ! groupons-nous et demain ... nous serons le genre humain, comme nous l'étions dans le passé "Bravi abbracciate vi  como eravano abituati a fare" (et aussi relisez le Deuxième couplet de la Marseillaise, j'ai fait un billet là-dessus, et bien sûr le Chant des Partisans)

09/06/2023

ojectivité des valeurs

Parmi les puberies que je reçois de marchands de plantes et autres « solutions naturelles » (il faut pas rêver les truc commerciaux et l’avidité de se maximiser le profit, ça n’existe pas que chez BIG PHARMA, les autres aussi, les naturopathes aussi, sont des capitalistes qui cherchent à manipuler le monde pour se faire un max de fric!) il y en a un, Dr Schmitz, qui est aussi en même temps quelqu’un d’intelligent, et qui comprend beaucoup de choses, et souvent il vous envoie des texte tout à fait pertinents et profonds. C’est lui qui a superbement analysé ce qui s’est passé, la grande attaque de NAZISME 2.0 qu’on appelle le covidisme, Klaus Schwab et toute la bande de ceux que Jean-Jacques Crèvecœur appelle les psychopathes milliardaires, dans un texte que j’ai enregistré et essayé (en vain, comme tout …) de diffuser intitulé « ce qui se passe c’est vieux comme le monde ». Aujourd’hui il envoie quelque chose de très juste là aussi :

"En effet, la musique est la preuve qu’il existe une harmonie naturelle. Sinon, comment feriez-vous pour sentir qu’une musique est belle ? 

[excellente remarque ! Réfléchissez là-dessus !]

Il y a donc dans la fibre même du monde (et dans celle de notre esprit), du beau, du serein, du vrai, du bon."

Et ça confirme aussi que quoi qu’on puisse dire sur la relativité des valeurs (thème philosophique auquel j’ai donné beaucoup d’importance et qui m'a séduit) il y a une objectivité, et une objectivité de la morale (mais bien sûr il ne faut pas la chercher dans ce que Zygmunt Bauman appelle « la morale des sociologues », et qu’il stigmatise avec raison, et Michel Terestchenko aussi. La relativité que croit voir le (très intelligent, j’ai deux livres de lui et l’apprécie beaucoup - sauf sur la mort!) philosophe André Comte-Sponville n’existe pas au fond, à un certain niveau on pourrait le croire en effet, mais il y a une objectivité, pensez à la fameuse vidéo « un jour sur la terre » qui demande « qu’est-ce que l’empathie ? https://www.youtube.com/watch?v=otxGLQnIm4g&t=3s , et ça doit être lié à pas mal de choses, mais je ne sais pas trop.

05/06/2023

à l'époque on était encore des êtres libres.

"Papa conduisait; son chapeau formait une chaîne de montagnes noire devant la lumière.

Moi, j'étais allongé sur le dos sur la banquette arrière et regardais défiler le ciel.

[Catriona WARD "La dernière maison avant les bois"]

26/05/2023

la mort passée des autres ou celle à venir de nous-même - toujours ce lâche soulagement recherché à coup de sophismes et d'égoïsme

 Comment voulez-vous que j’ »accepte » ; ça c’est quelque chose que fait l’égoïsme humain quand  il est entouré, qu’il a d’autres êtres aimés, du bonheur, de la chaleur, etc, pour se raccrocher (et se droguer….), alors on finit par s’asseoir sur le cadavre des autres, secrètement soulagé de ne plus souffrir, en habillant ça de temps en temps d’une douce et confortable (le confort du bonheur et de l’amour qui vous reste) « tristesse », comme dans les pages d’André Comte-Sponville, se flatter, transformer, en une alchimie en fait nullement magique, l’horreur en douceur parce qu’en fait on a évacué la réalité, on l’a remplacée par une image, et cette douceur n’est rien d’autre que le confort nombrilique qui a hypocritement pris sa place. Mais quand, comme moi, on n’a rien, il n’y a pas de carburant pour l’égoïsme humain, et on ne peut pas comme ça s’asseoir négligemment sur le cadavre de quelqu’un en oubliant que c’est un cadavre.


Commentaires sur une page de Comte-Sponville

**

(je ne la reproduit pas, mais à quoi bon, c'est une page sur la mort des autres, avec le genre de discours et de sophismes qu'on a l'habitude d'entendre de nos jours sur ce sujet ! vous pouvez trouver ce genre de discours  partout .....):
Eh oui il parle bien ! mais cette musique douce et apaisée, aussi trompeuse, bien évidemment, que l’hébétude du drogué, est bien entendu de la même nature que les éléphants roses de celui-ci, et également que le trompeur et paresseux soulagement - provisoire ! – du lâche et du Collaborateur ; le tout « armé », pour avoir l’air de tenir debout, des habituels sophismes, sans aucun fondement dans la réalité (il suffit de réfléchir un petit peu) qui ont pour but de donner une apparence de justification théorique à l’égoïsme, et surtout à l’infinie faiblesse du cœur (et du corps) humain, qui n’a d’égale que sa frivolité, et surtout son inconscience, et qu’on a, de nos jours, érigé en nouvelle religion, en catéchisme établi, que se chargent de faire régner les nouveaux « calotins » !

* comme la France de Pétain
Notre société et son idéologie en vigueur ont envers la mort la même attitude que la France de Pétain envers les Nazis. Non seulement ils acquiescent de bon cœur aux volontés de l’oppresseur monstrueux, faisant de nécessité vertu, mais ils devancent ses désirs, même ils « en rajoutent » !

 

moi ça me dégoutte, cette façon qu'ils ont de lécher les bottes de la mort!

 


* Face à la mort la société (actuelle) est comme une armée stoïque en guerre : il faut remplir son devoir jusqu’au bout, il faut maintenir les apparences. L’air de rien, l’éthique ambiante est la même que celle des cadets du roi de Prusse ;


* « Elle a le sentiment d’avoir vraiment tout perdu maintenant qu’elle a perdu même son chagrin. » (Kénizé Mourad)

 

et les egoïstes absurdes veulent imposer leur déshumanisation à tout le monde en plus :

 

 

25/05/2023

mais qui n'est pas sans odeur

texte qui accompgnait une cèlèbre et impressionnante vidéo


:

"L’empathie, c’est une notion désignant l’aptitude à ressentir les sentiments et les émotions d’un autre être vivant, la faculté de s’identifier à quelqu’un et a ressentir ce qu’il ressent, prendre conscience de ses désirs, de ses joies, et en particulier de sa souffrance et de sa détresse.

Sentiment bien plus fort que les opinions et les différences, et permet d’entrer dans les perceptions de l’autres de sentir sa peur, de vivre sa vie et de s’y mouvoir avec délicatesse sans émettre de jugement, chercher les points communs avant les différences, et il y a toujours plus de points communs que de différences.

La chaleur humaine c’est quand on offre de soi sans rien attendre de l’autre, simplement pour ne pas gâcher une vie et venir en aide à ceŭ qui n’ont pas cette faculté, et malgré toutes les difficultés garder cette force, cette volonté, donner un coup de cœur à ceŭ qui ne l’ont pas volé ; juste un peu d’attention et donner à chacun le droit d’exister.

Sentiment supérieur à l’instinct et à la chaîne alimentaire, sentiment qui nous permet de prendre soin de l’autre et à partager le peu qu’on possède et s’aider à se tenir chaud, ou à se protéger, savoir partager le bonheur, la tendresse, la protection et la complicité.

On a tous besoin de chaleur humaine.

On a tous besoin d’affection, et de se reconnaître parmi des semblables, malgré les apparences, sans jamais se fier à l’habit, sans jamais se soucier du langage, puisque c’est quelque chose invisible à l’œil nu, mais qui n’est pas sans odeur."

 

(je profite de l'occasion pour rappeler  mon billet intitulé "Paul Guth, auteur apparemment léger" :

dans son livre de 1976 "Le Chat Beauté" on trouve cette citation de Paul Guth (1910-1997)

"Le jour du mariage, nous avions promis de ne plus former qu'une seule chair, un seul esprit, un seul coeur, une seule âme. La chair avait suivi le cours du temps. Les trois autres éléments du quadrige lui avaient résisté. Ils maintenaient en nous un corps glorieux, échappant à la dégradation du corps périssable. Mais si, la nuit, dans le lit unique des longues traversées, j'avais pu toucher le corps périssable de Germaine avec mon corps périssable, ne nous aurais-je mieux empêchés de périr?")
 
et j'en profite aussi pour faire la réclame de mon livre de traduction en ESPERANTO de poèmes du monde entier sous le titre "en la lumoj de la ekmiroj" paru chez libroj de MAS, achetable par plein de boites, cherchez seulement sur internet. Parmi ces poèmes il y en a un de julos Beaucarne, ça donne ça :

(Julos Beaucarne)

 

Voyez comme il est bon comme il est doux
D'habiter en frère, tous ensemble
C'est comme une huile de prix sur la tête
Qui descend sur la barbe, sur le col des vêtements,
C'est comme une rosée
Qui descend des montagnes.
là est la vie à jamais,
là est la vie à jamais.

Ses yeux restaient devant les miens,
Il ne voulaient pas s'en aller.
Je leurs disais "allez-vous en",
ils restaient là,
comme s'ils étaient plantés;
Alors,
je les ai chassé à coups de bâton,
à coups de pieds;
Mais il suffisait de les chasser
pour les voir arriver au grand galop,
pour les voir se replanter,
devant mes propres yeux,
devant mon propre nez.
Alors j'ai été chercher de l'ail,
j'ai pelé des oignons,
et je les ai fait pleurer.
Mais les yeux restaient,
ils avaient pris racine,
ils ne voulaient pas s'en aller.
Alors comme je voyais que
je ne pourrais pas les chasser,
je les ai laissé entrer chez moi,
ils ont mangé à ma table mon pain
et ont partagé tout ce que j'avais,
et surtout,
tout ce que je n'avais pas.
Alors,
ces yeux là sont devenu les miens,
et les miens sont devenus ceux-là.

Voyez comme il est bon comme il est doux
D'habiter en frère tous ensemble
C'est comme une huile de prix sur la tête
Qui descend sur la barbe, sur le col des vêtements,
C'est comme une rosée
Qui descend des montagnes.
là est la vie à jamais,
là est la vie à jamais.

 


Vidu, kiel dolĉe, kiel bone
estas ĉiuj kiel fratoj loĝi kune.
Estas kvazaŭ rara oleo sur kapo fluanta
malsupren sur barbon sur vestokolumojn.
Kvazaŭ roso
malsupreniĝanta el de la montoj.
Tie kuŝas viv' por ĉiam,
tie kuŝas viv' por ĉiam.

La okuloj restadis kontraŭ miaj,
Ili ne volis foriri.
Mi diradis al ili: « iru for! »,
ili restadis
fikse senmovaj.
Tial,
Mi pelis ilin per bastono,
per piedbatoj;
Sed kiam ilin oni forpeladis
oni vidis ilin tuj revenantaj galope,
kaj vidis ilin sin posteni
kontraŭ la proprajn okulojn,
kontraŭ la propran nazon mian.
Tial mi iris serĉi ajlon,
mi tranĉis cepojn,
kaj mi plorigis ilin !
Sed la okuloj restadis,
enradikiĝintaj kiel plantoj,
Ili nepre ne volis foriri.
Tial,
ĉar mi komprenis ke,
mi ne povos ilin forpeli,
mi lasis ilin eniri en mian domon.
Ili manĝis ĉe mia tablo mian panon,
kaj partigis ĉion, kion mi havis,
kaj ĉefe ĉion,
kion mi ne havis.
Tial,
tiuj okuloj iĝis miaj propraj,
kaj miaj propraj iĝis tiuj.


Vidu, kiel dolĉe, kiel bone
estas ĉiuj kiel fratoj loĝi kune.
Estas kvazaŭ rara oleo sur kapo fluanta
malsupren sur barbon sur vestokolumojn.
Kvazaŭ roso
malsupreniĝanta el de la montoj.
Tie kuŝas viv' por ĉiam,
tie kuŝas viv' por ĉiam.


Esperantigis Roland Platteau 5/3/2010


17/05/2023

ce que sont devenus les centre-villes

Dans les centre-villes de maintenant il n’y a plus rien, RIEN !

Plus d’églises (toutes fermées en permanence), plus de bureaux, plus de services publics, plus d’écoles, ni de lycées, plus de magasins, (comment les gens iraient-ils faire leur courses dans le centre-ville où maintenant il est impossible de stationner et même de circuler ?! seulement dans les toute-petites villes de 3.000-5.000 habitants maxi c’est encore comme ça), plus de cafés (à part qq cafés chics très chers pour une clientèle « branchée »), plus de restaurants, plus de bancs publics, plus de badauds, seulement des flics, plus d’habitants, seulement des « résidences » de grand luxe, de mini-appartements très chers - sous digicode ! - où les « habitants » n’ont même pas le droit de planter un clou ni d’afficher quelque chose sur les murs ni de faire entrer un meuble (trop petits), de purs décors  pour l’ »industrie du tourisme » et du « patrimoine », des ghettos pour touristes en cars (pas pour touristes individuels puisqu’il n’est plus possible d’y circuler).

Et comme dit l'association   "Ligue de défense des conducteurs" :
"Les centres-villes où les voitures ont été bannies sont entrain de mourir à petit feu, avec 10 à 15% de vitrines vides en moyenne !"

Les marchands sur le marché de ***** ne vont plus pouvoir avoir aucun client, à part les quelques bourgeois des nouveaux appartements de grand luxe digicodés du centre-ville, les enseignants insociables et friqués qui vont à ATTAC parce qu'ils veulent se faire passer pour des socialistes et des anarchistes.      

 

encore pire !

du 24 au 27 octobre 2017 : Il a fallu 6 ans, six années pleine pour que la presse locale finisse par aborder le sujet des boutiques vides. Et encore, pas forcément sous l'angle auquel vous êtes habitués ici. Voici ce que nous apprend MaCommune.info sur la ville de Besançon:

"Les cellules vides" (notez bien l'usage du mot "cellule" et pas "boutiques",  "du centre-ville de Besançon vont bientôt se faire une beauté" (wouaa quelle bonne nouvelle...) "Le 27 octobre 2017, les vitrines vides seront habillées pour mieux se vendre lors de l’inauguration du "pôle" (sic !) dédié aux Industries culturelles et "créatives " ouvert au 52 rue Battant. C'est une idée collective qui est partie de la CCI du Doubs, de l'Union des commerçants, de l'Office du commerce, du Grand Besançon et de la ville afin de "redynamiser le centre-ville", nous précise-t-on. Les propriétaires de cellules commerciales vacantes habilleront ces dernières s'ils le souhaitent pour les rendre plus esthétiques. Une première série de 10 vitrines seront inaugurées le 27 octobre dans la rue Battant et sur la place Saint Pierre avec des visuels originaux déclinés sur deux principes : une valorisation de la vitrine en vue de la recommercialisation du local vacant, un visuel patrimonial ou de promotion commerciale ou touristique, si le local n’a pas vocation à être reloué rapidement pour cause de travaux par exemple".

Ci-dessous, Blois et Noisy merci à nos lecteurs qui ont fait ses clichés avec leur téléphone...

 

blois commerces vides

noisy commerces vides

remarquez l'invasion obsédante de la langue anglaise en FRANCE !!!!

Du côté de la ville de Pau, Mr Rohrbacher nous signale un article sur les "cellules" du centre ville dans le quotidien régional La République des Pyrénées avec des chiffres intéressants qui sont en CONTRADICTION TOTALE avec ce que vous avez pu lire dans le Figaro par exemple qui parlait de 10 ou 11%...

La réalité est bien plus cruelle: "où sur 1000 locaux, 300 sont vacants sur toute la ville, soit 30% !", lire ici la RdesP. Une évidence, la situation n'est pas prête de s'améliorer. Revue de Presse par Pierre Jovanovic

 

les vidéos sur ce sujet se multiplient partout !  regardez sur le côté :
https://www.youtube.com/watch?v=wnbpTeKvg90
partout les centre-villes meurent,
forcément !
avec les politiques actuelles il n'est plus possible d'y mettre les pieds alors les gens n'y vont plus, n'essaient même plus d'y aller, trop dur, et voilà. Moi non plus je ne mets plus les pieds en ville d'Arras maintenant. Et pour tout je commande et me fais livrer par la poste.
Et ce ne sont pas que magasins qui disparaissent, ils déménagent toutes les administrations, tous les établissements scolaires, ils ferment les églises, ils font fermer tous les cafés, qu'est-ce qui pourrai attirer les gens en ville ?! à part les touristes en car ! ou qui ont du temps à perdre, mais les touristes qui ont du temps à perdre aussi vont ailleurs, sauf quand ils sont en voyage organisé !