Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

29/04/2025

si le grand capital continue à) régner en France il nous tuera tous

les intérêts de la classe qui règne actuellement en France sont incompatibles ceux des français, (et avec ceux de la démocratie et de la Civilisation)

20/04/2025

il est temps de rechanter la Marseillaise, mais le 2ème couplet !

(vous le savez par coeur j'espère !)

écrit il y a plusieurs années, voyez comme j'avais raison et tort ceux qui n'ont pas cru !

Et d'abord regardez ici quels sont les pays qui sont orwelliens policiers et totalitaires et qui sont ceux qui ne le sont pas, c'est intéressant :
http://bigbrotherawards.eu.org/IMG/jpg/WPR-2007-map.jpg

lisez cet article vous comprendrez ..... http://www.pcinpact.com/actu/news/RFID_projet_de_loi_un_i...

Et dans votre vie quotidienne (et nos villes !), où le stalinisme capitaliste s'insère déjà (et ce sera de pire en pire si on n'y met pas énergiquement fin - c'est de pire en pire vous voyez !) : http://www.stallman.org/sinister-publisher.html

Parce que, vous savez la suite est déjà techniquement au point et EN PREPARATION, on est déjà en train de conditionner les gens à l'accepter, et les projets sont dans les tiroirs, et ces projets c'est la barbarie totalitaire en personne, pire qu'Orwell!

il faut réagir avant qu'il ne soit trop tard:
Et déjà le pire est en marche:
http://1984.over-blog.com/

Et pourtant En 1945 déjà, (bien sûr ! en 1945, les gens venaient de se battre pour refuser ça ...) l’écrivain français Georges Bernanos dénonçait en ces termes l’accoutumance à la surveillance comme un recul des libertés face à la menace totalitaire du « Moloch technique » au service du contrôle social : « L’idée qu’un citoyen, qui n’a jamais eu affaire à la Justice de son pays, devrait rester parfaitement libre de dissimuler son identité à qui il lui plaît, pour des motifs dont il est seul juge, ou simplement pour son plaisir, que toute indiscrétion d’un policier sur ce chapitre ne saurait être tolérée sans les raisons les plus graves, cette idée ne vient plus à l’esprit de personne. Le jour n’est pas loin peut-être où il nous semblera aussi naturel de laisser notre clef dans la serrure, afin que la police puisse entrer chez nous nuit et jour, que d’ouvrir notre portefeuille à toute réquisition. Et lorsque l’État jugera plus pratique, afin d’épargner le temps de ses innombrables contrôleurs, de nous imposer une marque extérieure, pourquoi hésiterions-nous à nous laisser marquer au fer, à la joue ou à la fesse, comme le bétail ? L’épuration des Mal-Pensants, si chère aux régimes totalitaires, en serait grandement facilitée (4). »

 à ceci un militant politique contemporain ajoute :

"Pour empêcher que le monde effroyable décrit par George Orwell et redouté par Georges Bernanos ne finisse par devenir réalité, il est désormais urgent que les Français y mettent le holà. C’est assurément l’une des tâches essentielles que doit viser de nos jours la politique au sens noble du terme."  (L. D. et D. G. militants de l’UPR - Paris)

Seul François Asselineau a mis cette préoccupation dans son programme; seul lui est un humaniste, seul lui est lucide, seul lui n'est pas inféodé au "corporate power" du NWO

boycottez les cartes de crédit et les téléphones portables

telephone-c4f4a.jpg

(on peut très bien vivre sans, je l'ai toujours fait), et les magasins qui mettent des caméras de vidéos-surveillance; si votre maire ou votre curé (si ! même les curés !  il y en a qui le font ) installe des caméras, bombardez-les de courriers ulcérés, évoquant l'URSS, la Civilisation, etc (si vous voulez des modèles de lettres je peux vous en envoyer) et menacez-les de déménager et/ou de boycotter leurs centre-ville ou leurs églises.

boycottez les supermarchés et les marques qui mettent des RFID (et n'en mettez pas à vos animaux ni à vos enfants, en plus ça donne le cancer)

 

il est temps de réfléchir à cette question : : http://sylvain-baron.blogspot.fr/#!/2015/07/la-question-d...

et  il est temps de rechanter la Marseillaise !

oui mais ce couplet là,le 2ème, qui redevient vachement d'actualité :

 

Que veut cette horde d'esclaves
De traitres, de rois conjurés?
Pour qui ces ignobles entraves ?
Ces fers
dès longtemps préparés?

Ces fers dès longtemps préparés ?
Français, pour nous, ah ! quel outrage
Quels transports il doit exciter?

C'est nous qu'on ose méditer
De rendre à l'antique esclavage !

re-regardez le film "Plandémic"  ( https://video.latavernedejohnjohn.fr/videos/watch/d98ca74... ) et "Manigance-19"

les régimes de 1933-45 n’étaient qu’un 1er essai, grossier et brutal il était voué à l’échec….


quoi que il y a maintenant cette chanson qui, il a raison celui qui a dit ça, est encore mieux que la Marseillaiseetpourrait avantageusement la remplacer, écoute : https://hdclips.top/hd-videos/s1Q7nfF-nwQ/un-vent-nouveau...

ah ah ! l’ironie de l’Histoire, l’ironie du peuple a fait que les gilets jaunes, qui étaient un symbole de SOUMISSION aux rites et aux diktats des calotins de l’alliance du sabre et du goupillon, sont devenus un symbole de REVOLTE populaire et de LIBERTE !!

1er février.jpeg

17/04/2025

de la pensée de haut niveau

un idéal pas facile, et pas facile à suivre sans déraper, mais qui serait salutaire

Houria Bouteldja, l'un de des esprits les plus acérés et pertinents de notre époque difficile, notre triste époque détruite par la répression, le mensonge, les QR-codes et la maximisation du profit, la lâcheté, la corruption, le pouvoir, les réseau, les menaces, le meurtres (déguisés en maladies ou accidents, c'est classique) bref toutes des choses qui sont inhérentes au capitalisme, l'histoire nous l'a abondamment montré - il faut toujours la réétudier - et l'actualié encore plus !! Houria est la femme qui fait penser
Entre Giuseppe Belvedere et Marx, Jean-Jacques Crèvecœur et Etienne Chouard, Marat et De Gaulle,  et Henri Barbusse notre frère l'auteur de "Nous autres" et de "Clartés", il va nous falloir trouver un rêve et reconstituer un humanisme

Que veut cette horde d’esclaves,
De traîtres, de rois conjurés ?
Pour qui ces ignobles entraves,
Ces fers dès longtemps préparés ? (bis)
Français, pour nous, ah ! quel outrage !
Quels transports il doit exciter !
C’est nous qu’on ose méditer
De rendre à l’antique esclavage !

15/04/2025

Vatican II

Les années 50, ceux qui les ont vécues, ou ceux qui ont beaucoup lu les productions non seulement littéraires, mais les revues, les chansons, les romans d’espionnage, etc, tout ce uqui fait l’esprit du temps dans lequel baignent les gens, tout ce qui est implicite, qu’on ne dit même plus souvent tellement pour tout le monde c’est tellement évident)  c’était l’époque de la science  et  du désespoir. La grande déculottade chrétienne des années 60 et 70, le « christianisme » horizontaliste post-Vatican II est le fruit de ce scientisme dur comme fer, et son désespoir, que la vulgate des psychomachinchose devenu la Secte des Adorateurs de la Mort essaye de faire passer à coups de sophismes et de diabolisation.
exemple ce commentaire de 2020, très dans l'esprit Vatican II, et mon commentaire après :
« Les textes bibliques sont des paraboles. Par exemple, l’aveugle né qui devient voyant, c’est celui d’entre nous qui se met à voir les actions de "Dieu"  ici bas. Jésus ne s’est jamais promené avec ses disciples puis rencontré un aveugle né au sol, qui mendiait. Il n’y a pas de réalité physique dans ces écrits, seul Hollywood en en faisant un film peut en faire une représentation trompeuse d’une existence matérielle. Lorsque vous lisez la bible, il s’agit de vous dans le texte. La bible vous parle de vous. Le seul personnage qui existe réellement lorsque vous lisez, c’est vous.
Sous cette révélation, vous comprenez aussitôt que rechercher les contradictions dans la cohérence des textes entre eux n’a pas de sens, ni d’intérêt.
La grande majorité ne verra jamais la présence ni les actions de Dieu.
Le peuple élu est l’ensemble de ceux qui verront la présence de Dieu durant leur vie terrestre. »

moi : – cette façon de nier la  possibilité de  miracles (et la vie éternelle aussi bien entendu, et l’existence d’un Dieu réel et objectif aussi pendant qu’on y est) est   typique  de l’Eglise post Vatican II !
Je connais bien, je lisais toute la presse catholique gratis à l’époque ! (grâce à mon père sacristain, qui était chargé de les disposer dans les présentoirs de l’église, alors encore ouvertes, et en ramenait à la maison un exemplaire de chaque !) et on constatait partout, que les curés continuaient à utiliser le vocabulaire traditionnel, mais en lui donnant à chaque fois un sens tout autre, un sens compatible avec l’athéisme, le matérialisme et tout ça ! Les miracles dans leur esprit bien sûr ne peuvent pas exister, alors ce sont des « paraboles » à interprêter. Dieu c’est, comme  les dieux de l’antiquité, un symbole, une personnification d’un concept :  dans ce cas  le symbole des aspirations transcendantes de l’homme (pendant quelques années ! avant de disparaître dans le néant pour toujours bien sûr) . « rencontrer Jésus-christ ça devenait vivre la fraternité entre hommes, l’éternité ça voulait dire une certaine dimension (subjective) de l’instant !
Un « christianisme » comme ça n’a plus aucun intérêt ni aucune réalité !  (si ce n’est l’effort de ceux qui en vivent d’essayer de faire durer leur fond de commerce, mais surtout en se montrant bien conforme et soumis à l’athéisme rationaliste athée ambiant.)

02/04/2025

Karl Marx avait raison ! pour comprendre les 2 siècles d'histoire qui nous ont précédés et la situation actuelle que les gens ont encore tant de mal à comprendre

http://www.m-pep.org/spip.php?article3913

 UNE FAILLITE DE LA GAUCHE DONT LES SOURCES REMONTENT LOIN DANS L’HISTOIRE

Par le Mouvement politique d’émancipation populaire (M’PEP)

14 février 2015.

Pour admettre cette réalité, nous ne pouvons pas faire l’économie d’un retour en arrière pour comprendre ce qu’est la gauche, non pas comme nous la rêvons ou comme nous la voudrions, mais telle qu’elle fut et telle qu’elle est vraiment aujourd’hui, et le mécanisme idéologique et politique qui a produit ce grand retournement. La principale raison qui nous empêche d’y voir clair là-dessus, c’est que les mentalités collectives (donc la nôtre !), ont gardé une image de la gauche identifiée au visage qu’elle présenta publiquement lors de rares moments historiques très spécifiques. La gauche a été assimilée au rassemblement des forces politiques – d’abord PCF et PS - qui luttaient contre les injustices et les désordres causés par le capitalisme, et qui a amélioré le sort des classes dominées quand elle gouvernait. Pendant ces rares périodes unitaires, qu’on le regrette ou que l’on s’en félicite, c’était le PCF qui donnait le « la » à cette gauche, et au-delà c’était surtout le mouvement populaire. Soit la gauche soutenait le PCF de manière plus ou moins critique, soit elle le concurrençait, mais sur des bases partageant un fonds commun. Si tel n’avait pas été le cas, la gauche prenait le risque de se priver du soutien des classes populaires qui, elles, se retrouvaient majoritairement sur les fondamentaux défendus par le PCF, quand bien même elles n’étaient pas encartées. Quels étaient ces fondamentaux, ce fonds commun partagé alors par la quasi-totalité des partis de gauche ? Si on veut n’en retenir que l’essentiel, c’était la lutte contre le capitalisme, en adoptant pour ce faire une voie nationale, celle de la conquête politique des leviers étatiques pour les mettre au service des classes populaires et de l’intérêt général au nom de la lutte pour l’égalité sociale.

Croire que la gauche correspond intrinsèquement à cette identification avec l’objectif de mettre l’Etat au service des intérêts structurels des classes dominées ne permet pas de comprendre ce que sont les deux composantes de la gauche que l’on nomme la social-démocratie et celle que l’on nomme le communisme. La social-démocratie sert à produire l’idéologie « progressiste » la plus en phase avec les évolutions nécessaires au capitalisme. Quant au PCF, ses dirigeants l’ont transformé depuis le milieu des années 90 en satellite du PS, à l’instar de plusieurs partis communistes des anciens pays de l’Est.

Il est trop tard pour tenter de donner un contenu de classe susceptible de créer le rebond salutaire à une notion de « gauche » désormais obsolète. Pour faire naître une nouvelle dynamique politique, il est nécessaire d’acter la déliquescence de la notion de « gauche » et de la pertinence du clivage gauche-droite chez la majorité des citoyens. Le repère à mettre en avant, le véritable clivage doit être désormais celui de la défense des intérêts des classes dominées, la défense du peuple. Seul le clivage autour de cette question est pertinent.

Pour comprendre la déliquescence contemporaine de beaucoup de forces politiques qui se rangent à gauche, une plongée dans l’histoire est nécessaire. On y apprendra que l’expression « la gauche » n’a eu vraiment de sens qu’à quatre périodes très courtes de l’histoire de France. Le reste du temps, la division a régné, une partie de la gauche – la social-démocratie – s’alliant à la droite, tandis que l’autre, la gauche communiste, s’alliait sans nuances au régime dictatorial de l’URSS. Cette faillite des appareils politiques de la gauche semble bien définitive, elle en est à son stade terminal car elle persiste à refuser de remettre en cause ses tabous.

 La « gauche » rêvée n’aura existé que quelques années, à quatre moments de l’histoire de France

La gauche rêvée n’aura existé que moins de treize ans sur près de deux siècles, à quatre reprises dans l’histoire. Il est donc impossible de parler de « la gauche » en général, car les moments dans l’histoire où les partis et forces qui s’en réclament étaient rassemblés et ont gouverné ne sont que l’exception. Ces quatre moments sont les suivants :

  • La lutte contre les ligues fascistes et pour le Front populaire, de la manifestation unitaire du 14 juillet 1935 au 13 février 1937 lorsque Léon Blum déclare la « pause ». Le PCF soutient le gouvernement mais n’en fait pas partie. Ce sont les grèves et manifestations de 1936, après l’élection, qui permettent d’obtenir d’importants acquis sociaux.
  • La lutte victorieuse contre l’occupant nazi de la première réunion du Conseil national de la Résistance le 27 mai 1943 jusqu’au 5 mai 1947, date de la révocation des ministres communistes par Paul Ramadier, président du Conseil socialiste. Le gouvernement va de la droite aux communistes, en passant par les gaullistes et les socialistes. Il s’appuie sur une immense mobilisation populaire.
  • L’union de la gauche autour du « Programme commun de gouvernement de la gauche » entre sa signature le 27 juin 1972 et la rupture du 15 septembre 1977. Cette période est différente des trois autres, car la gauche n’est pas au gouvernement.
  • La participation du PCF à la majorité présidentielle et au gouvernement avec le PS entre le 10 mai 1981 jusqu’au départ des ministres communistes du gouvernement Fabius le 19 juillet 1984. Les mobilisations populaires sont faibles, freinées par les directions du PCF et de la CGT.

On n’osera pas, ici, ajouter deux autres périodes qui, pourtant, pourraient correspondre à une forme d’alliance du PCF et du PS. La première est celle de la « gauche plurielle », de 1997 à 2002, lorsque des ministres communistes ont participé à un gouvernement socialiste qui a mené une politique parfaitement compatible avec les intérêts des classes dominantes. La seconde période est celle ouverte par l’élection de François Hollande à la présidence de la République, en 2012, avec la participation du PCF à la majorité présidentielle (mais pas gouvernementale).

Au XIXe siècle, la gauche institutionnelle (celle des parlementaires) défend la République, mais pas les ouvriers. Des parlementaires « bourgeois », ayant conservé l’habitude de se rassembler à la gauche de l’Assemblée, vont logiquement défendre la Révolution de 1789 et la République, tout en s’opposant au mouvement ouvrier en plein essor et à ceux qui veulent instaurer une véritable démocratie. Ils profitent d’être désormais les nouveaux maîtres de l’Etat afin de développer le capitalisme. La République bourgeoise, c’est la souveraineté parlementaire en lieu et place de la souveraineté populaire. Le parlement est entièrement sous leur contrôle, le peuple leur caution théorique et leur ennemi pratique. On le voit tragiquement en 1848 lorsque les ouvriers réclament le « droit au travail » et la République sociale. C’est l’armée républicaine qu’ils trouvent en face d’eux. Même chose pendant la Commune de Paris en 1871, lorsque le mouvement ouvrier s’opposa à la gauche républicaine et fut massacré par elle. La gauche, ainsi, va s’opposer très violemment au mouvement ouvrier. C’est la répression de Cavaignac en 1848, avant celle de Thiers en 1871, deux hommes de gauche au sens de cette partie du XIXe siècle... C’est pourquoi le mouvement ouvrier naissant était hostile à cette gauche de républicains-bourgeois. D’ailleurs, dans les textes de Karl Marx et Friedrich Engels, le terme de « gauche » n’apparait pas. Le Mouvement ouvrier n’a commencé à exister qu’en s’affirmant en dehors du système gauche-droite interne aux classes dominantes. Dans des conditions différentes, nous en sommes revenus au même point aujourd’hui.

Nous retrouvons d’ailleurs, au début du XXIe siècle, les fondements de la gauche du XIXe siècle lorsqu’elle rassemblait les idéologies politiques les plus en phase avec le capitalisme redevenu triomphant, ses besoins de développement et les nouvelles bases de sa reproduction matérielle. Au XIXe siècle, le capitalisme avait besoin de briser non seulement l’Etat absolutiste et théologico-nobiliaire, sa structure sociale et ses rigidités, mais aussi l’autonomie des petits producteurs, des corporations, des traditions locales et populaires, des solidarités collectives traditionnelles et familiales afin de marchandiser le travail et d’industrialiser la production, de développer la colonisation. La gauche d’alors (l’équivalent du PS aujourd’hui) lui proposait d’enchanter cette marche en avant avec les concepts de « progrès », de « science », de « raison », et de « République », avec ainsi la caution de la légitimité populaire. Le capitalisme avait alors bien plus besoin de ces « valeurs » que du conservatisme moral et politique de la droite. Tous les capitalistes bourgeois les plus conséquents se retrouvaient dans l’idéologie de la gauche parlementaire, de la gauche donc tout court, car le mouvement ouvrier ne se situait pas à gauche. Tandis que tous ceux qui étaient pour lutter structurellement contre le capitalisme, pour établir une véritable démocratie, et donc pour établir dans les faits le pouvoir du peuple souverain, notamment les socialistes et les syndicalistes, étaient alors les ennemis de la gauche.

Les appellations de « gauche » et de « droite » s’imposeront au début du XXe siècle avec l’Affaire Dreyfus, le « Bloc des gauches » et le « Cartel des gauches ». En 1924, avec le « Cartel des gauches », le rôle de repère politique de ces deux expressions « gauche » et « droite » est définitivement adopté. Le Cartel des gauches se constitue à la fin de l’année 1923 contre le Bloc national. La scission intervenue en 1920 à l’issue du Congrès de Tours de la Section française de l’Internationale ouvrière (SFIO), qui voit la création de la SFIC (Section française de l’Internationale communiste qui deviendra plus tard le Parti communiste français), permet à la SFIO, devenue minoritaire, de se tourner vers une nouvelle alliance avec les radicaux. Les premiers députés communistes qui sont élus en 1924 siègent dans l’opposition, ils ne font pas partie du Cartel des gauches. Le PCF renvoie dos à dos la gauche et la droite. Il les assimile à « deux fractions de la bourgeoisie », il dénoncera le « bloc des bourgeois arrivistes » qui, sous l’étiquette de « gauche », dispute les places au « bloc des bourgeois repus ». Il affirmera : « capitalistes de droite et capitalistes de gauche se valent » ; « la gauche n’est qu’un autre visage de la droite, sous deux faces différentes, la tête reste la même ». Il obtient 9,82% des voix et 26 sièges. Les socialistes de la SFIO ne participent pas au gouvernement de peur de se faire taxer de trahison sociale par les communistes qui voyaient dans cette alliance une collaboration avec un régime « bourgeois ».

Il existe bien une gauche pendant toute cette période, mais sa géographie est très différente de celle d’aujourd’hui. A l’époque, les radicaux en sont la force propulsive, alors que les communistes n’en font pas partie. Après la Seconde Guerre mondiale, les radicaux intègreront progressivement la droite, alors que les communistes intégreront la gauche pour en devenir la force propulsive avant d’être satellisés par le PS.

 En 1982, début de la mise en œuvre du néolibéralisme par le PS

Après l’élection de François Mitterrand à la présidence de la République, le 10 mai 1981, une politique favorable au monde du travail, bien que modeste, est mise en œuvre : nationalisations, hausse du pouvoir d’achat, 5e semaine de congés payés… Mais dès 1982-1983, à l’occasion de la deuxième puis de la troisième dévaluation, le « virage libéral de la gauche » est engagé par la direction du Parti socialiste. Depuis cette époque, la vie politique française reste enfermée dans ce schéma intellectuel. Après la révolution néolibérale en cours aux Etats-Unis et en Grande-Bretagne, le PS adapte la société française à ce nouveau stade du capitalisme : celui de la mondialisation néolibérale. Le PS va donc rétablir le taux de profit des grandes entreprises, les réhabiliter ainsi que les « capitaines d’industrie », valoriser la France « qui gagne » (de l’argent), neutraliser les syndicats, marginaliser le PCF… Deux types de politiques néolibérales sont alors proposés : celui de la droite classique, obtus, conservateur, frileux sur les questions de société, réactionnaire ; et celui de la gauche « moderne » – le Parti socialiste – ouvert, moderniste, progressiste, sociétal… Et surtout plus efficace pour concevoir et mettre en place sans résistances ce néolibéralisme changeant radicalement le mode d’accumulation capitaliste. La gauche moderne incarnée par le PS va mettre toutes les institutions au service exclusif des classes dominantes en supprimant sans bruit, un par un, tous les processus démocratiques institutionnels. C’est même le caractère politique des pays européens qui sera anéanti par le biais de la mal nommée « construction européenne ».

De 1997 à 2002, la « Majorité plurielle » (ou « Gauche plurielle ») rassemble au gouvernement le Parti socialiste (PS), le Parti radical de gauche (PRG), le Mouvement des citoyens (MDC), les Verts et le Parti communiste français (PCF). Le Premier ministre est Lionel Jospin, le président de la République est Jacques Chirac. Jean-Luc Mélenchon est ministre de l’Enseignement professionnel de 2000 à 2002. Cette cohabitation s’est mise en place en quelques semaines après la dissolution de l’Assemblée nationale décidée par Jacques Chirac. Cette situation est la suite des puissantes grèves et manifestations de décembre 1995 pour la défense des retraites sous le gouvernement Juppé. On peut lire dans la déclaration faite par la gauche plurielle pour sceller son accord : « la droite les brade [les services publics]. Elle privatise et dérèglemente […] Ainsi par exemple, pour France Télécom, Thomson, Air France, nous proposons l’arrêt des processus de privatisation. » Le gouvernement fera le contraire. Le PCF approuvera et accélèrera son déclin.

Au tout début de la législature, et contrairement aux engagements solennels de Jospin lors de la campagne électorale, le gouvernement signe le traité d’Amsterdam sans le renégocier (suite du traité de Maastricht et préparation au traité constitutionnel européen), avec l’accord de la direction du PCF impliquant 100 milliards de francs de coupes dans les budgets publics, l’accélération des privatisations, de la déréglementation et de la flexibilité. A partir de cette date la majorité des députés du PCF va critiquer le budget mais le votera. L’augmentation de la CSG va susciter de nombreuses critiques, tout comme le maintien du plan Juppé de casse de la Sécurité sociale par le vote du 4 novembre 1997 grâce à l’abstention des députés PCF. En 2002, le passage à l’Euro est avalisé par la direction du PCF en contradiction avec son vote négatif lors du référendum sur le traité de Maastricht.

Au total, les réalisations du gouvernement Jospin ont été un mélange de petites mesures sociales, économiques et démocratiques ambiguës, d’accompagnement du néolibéralisme mis en place par le PS dans les années 80, et de contre-réformes confortant et approfondissant ce virage, directement empruntées au « consensus de Washington ». Le cas le plus accablant est celui des privatisations, opérées avec l’aval de la direction du PCF. Lionel Jospin, en effet, a mis en œuvre un programme de privatisation - ou d’ « ouverture du capital » et de « respiration du secteur public », pour reprendre le vocabulaire voilé des ministres - nettement plus important en valeur que celui des gouvernements de Balladur et de Juppé réunis. Il a ainsi achevé de démanteler ce qui restait du secteur public élargi sous Mitterrand et Mauroy en 1982.

Ce gouvernement de gauche, à la suite de ses équivalents des années 1980, aura été la meilleure formule pour permettre la plus grande adaptation du capitalisme depuis un siècle. La participation communiste au gouvernement a freiné la résistance et les luttes populaires. Le PCF a payé le prix fort de ces trahisons lors des élections qui ont suivi. Aux municipales de 2001 le PCF a perdu la direction de 30% des villes de plus de 15.000 habitants qu’il dirigeait. A la présidentielle de 2002, le candidat communiste Robert Hue ne réalisait que 3,37% des voix. Jean-Marie Le Pen, candidat du Front national, avec 16,86% passait devant Lionel Jospin qui n’obtenait que 16,18% des voix et se trouvait éliminé du second tour. A la présidentielle de 2007, la candidate communiste Marie-George Buffet ne réalisait que 1,93% des voix…

Le flou et les ambiguïtés du contenu de la notion de « gauche » et de son périmètre expliquent sans aucun doute la faillite politique des partis qui s’en réclament aujourd’hui. Le PS n’a plus de « socialiste » que le nom, pour mieux tromper les électeurs. C’est pourquoi, d’ailleurs, il ne veut pas changer de nom. C’est un appareil qui n’a rien à envier à celui de la droite, il méprise le peuple et la nation ; c’est un appareil de notables et d’arrivistes, de professionnels de la politique, uniquement intéressés par leur carrière. Le PS s’est coulé dans la constitution présidentialiste de la Ve République, aggravant même ses logiques les plus négatives en inversant le calendrier électoral qui fixe la date de la présidentielle avant celle des législatives (Jospin en 2002). Seule la « gauche » à la mode du PS pouvait mettre en œuvre les « réformes » demandées par le néolibéralisme. De son côté, le PCF n’a plus lui aussi de « communiste » que le nom. Il a abandonné la défense des intérêts des classes dominées, ce qui faisait sa force. Plus que jamais un statut de l’élu est nécessaire pour « déprofessionnaliser » la politique : permettre à tous les citoyens d’exercer un mandat sans être pénalisés lors de leur retour à l’emploi et limiter ainsi le nombre de mandats.

La crise de l’euro et l’élection de François Hollande à la présidence de la République en 2012, correspondent à la fin d’un certain modèle de la social-démocratie. Partout en Europe la social-démocratie est à la manœuvre, à côté des forces les plus réactionnaires, pour imposer les sacrifices les plus inhumains aux peuples. C’est particulièrement le cas en Grèce, en Espagne, au Portugal, et aussi en France. Les socialistes considèrent le capitalisme mondialisé indépassable. Dès lors, pour eux, toute volonté de rupture avec ce capitalisme ne pourra que conduire au goulag. Pourtant, si les enjeux sont internationaux, les outils sont nationaux. Le PS n’est même plus le parti réformiste des Trente glorieuses qui voulait aménager le capitalisme. Il est devenu le meilleur instrument des classes dominantes. La social-démocratie, encore bien plus que la droite, est frappée d’un européisme fanatique. Elle joue un rôle moteur dans la désintégration du modèle social issu de la Résistance. C’est la conversion intégrale du PS à l’économie de marché.

La difficulté est de faire comprendre que le PS n’a pas « trahi » les espérances du peuple et qu’il serait ainsi une « fausse gauche ». Cette analyse est erronée. Le PS n’a pas trahi le peuple, car il n’a jamais eu l’objectif de répondre à ses besoins. Le PS a au contraire choisi d’adapter la société au capitalisme contemporain, libre-échangiste, financiarisé, européiste, sous domination états-unienne. Il se situe dans la tradition de la gauche républicaine-bourgeoise du XIXe siècle. Là se trouve toute l’erreur du Front « de gauche » qui veut apparaître comme la « vraie gauche ». Les dirigeants du PS et ceux qui les soutiennent ne sont plus simplement des « faux-frères » qui reviendront un jour dans le droit chemin. Ce sont des adversaires, plus encore, ce sont des ennemis de classe. Il faut rompre avec ce « socialisme » en peau de lapin, c’est ce que se refuse à faire le Front de gauche. Les forces qui se réclament de la social-démocratie sont désormais totalement intégrées au système des classes dominantes : dans les médias, les grandes entreprises, les Think-tanks, l’appareil d’Etat, certains syndicats affiliés à la Confédération européenne des syndicats (CES)…

Les catégories avec lesquelles nous avons appris à penser la politique doivent donc être revues de fond en comble, le clivage gauche-droite ne recoupe plus depuis des décennies une division de classes, il la masque. C’est à cet immense effort qu’invite le M’PEP. Les termes gauche-droite sont désormais des catégories inutilisables, démonétisées, hélas pour de très solides raisons. Il faut trouver un nouveau langage commun qui soit compris par tous, de l’ouvrier au petit patron.

 Le Parti socialiste, parti du néolibéralisme, instrument le plus efficace au service des classes dominantes

Dix-sept années d’exercice du pouvoir par le PS depuis 1981, permettent désormais de dresser le bilan du principal parti de gouvernement à gauche. Ce bilan est parfaitement accablant. Il va encore en s’aggravant. Voter pour le PS ou s’allier avec lui, c’est voter ou s’allier avec le parti principal des classes dominantes. C’est maintenir la clé de voute du blocage démocratique que nous subissons depuis le virage néolibéral entamé par le PS dès 1982.

L’évolution du PS comme un parti ouvertement néolibéral, n’essayant même plus de se donner des airs ne serait-ce que vaguement socialistes, ni de faire semblant de vouloir défendre les classes populaires, devra pourtant attendre François Hollande. Il profitera de la défection de son charismatique concurrent Dominique Strauss-Kahn, qui avait la faveur des classes dominantes et de leurs médias (presque tous). De 2012 à 2015, le gouvernement socialiste, majoritaire dans les deux chambres, ne tente même pas de donner le change.

Trente longues années de politique néolibérale instaurée par les « socialistes » depuis le début des années 1980 nous permettent donc de faire le bilan du PS. Ceux qui se cantonnent dans l’idéologie, se perdent dans la question cornélienne de savoir si le PS est à gauche ou pas, butant sur l’impossible définition de la gauche, ou de la « vraie gauche ». C’est une question dont on a tout intérêt à se dispenser. Non pas que le clivage opposant les classes dominantes aux classes dominées ait le moins du monde disparu, puisqu’au contraire il s’avive d’année en année. Mais il est très mal représenté par le très flou clivage gauche-droite d’aujourd’hui. Non seulement rien d’essentiel ne sépare l’UMP du PS, mais même une bonne partie de la gauche non socialiste, y compris ceux qui se disent anticapitalistes, se refusent de revenir sur les principales mesures socialistes. Ce sont celles de la mondialisation commerciale, sociale, monétaire, bancaire, financière et surtout institutionnelle, celle qui verrouille politiquement toutes les autres et donc la plus stratégique. Les principaux piliers du capitalisme néolibéral ne sont même pas les cibles de ceux qui sont supposés être à l’extrême gauche. Ils refusent le protectionnisme national, y compris sous sa forme coopérative et internationaliste, seule alternative démocratique au libre-échange généralisé. Ils refusent aussi l’annulation de la dette publique et la suppression des marchés financiers. Plus encore, ils rejettent la sortie des institutions cardinales du néolibéralisme en Europe : la sortie de l’euro et de l’Union européenne. Dès lors, que peut bien signifier le concept de « gauche » aujourd’hui pour les classes populaires ? Rien.

Non seulement le PS et ses satellites inféodés, tout comme l’UMP, est au service exclusif des classes dominantes, mais il en est même, contrairement aux autres, la pièce maîtresse, le parti organique, le plus important, le plus stratégique. C’était le seul à pouvoir imposer sans beaucoup de résistances collectives, politiques et syndicales, le gigantesque train de mesures nécessaires pour passer de l’économie mixte fordiste adossée à la souveraineté nationale et populaire et ses processus démocratiques imparfaits mais toujours mobilisables, à l’ordre antidémocratique supranational du capitalisme néolibéral actuel.

Le parti principal des classes dominantes, c’est donc le PS. Ce fait massif et désormais indéniable est beaucoup plus important que de se demander s’il est encore à gauche ou s’il est à droite. Le bipartisme que nous connaissons désormais depuis trop longtemps a bien réparti les rôles, qui sont complémentaires. L’ensemble est là pour masquer le phénomène principal : plus aucune force politique organisée possédant une visibilité publique n’est là pour défendre les intérêts structurels des classes dominées. Personne ne suscite une dynamique de reconquête des processus démocratiques en restaurant la souveraineté nationale et populaire. Personne ne vise à détruire les piliers du capitalisme néolibéral érigés par le parti organique des classes dominantes, le PS, flanqué de ses alliés.

Finalement, la doctrine implicite du Parti socialiste revient à dire que toute volonté de rompre avec le capitalisme ne peut conduire qu’au « goulag ». Car il faut, en effet, pour rompre avec le capitalisme, mobiliser le peuple, se servir de l’Etat et agir à l’échelle nationale. Autant de dérives « populistes », « étatistes », « souverainistes » et « nationalistes »… L’arrivée de François Hollande à la tête de l’Etat va bien plus loin que le « tournant de la rigueur » de 1982-1983, où il ne s’agissait « que » d’une reddition idéologique. En 2012, avec les socialistes au pouvoir, il s’agit d’une collaboration totale et délibérée avec le grand capital. Il ne s’agit plus d’un compromis, mais d’une alliance structurelle. Qu’est-ce que le « socialisme de l’offre », si ce n’est le service du capital, car l’ « offre », en économie, signifie le côté du capital.

 Plus aucune voix issue des classes dominées ou de quiconque attaché aux principes démocratiques ne doit aller à ce parti ou à ses alliés

Les classes dominantes doivent être combattues frontalement et non plus légitimées et renforcées électoralement. Leur parti le plus efficace est le PS. Il doit disparaître du paysage politique, qu’il a déshonoré plus qu’aucun autre. Ceux qui craignent en sanctionnant le PS et EELV de faciliter ainsi la montée du FN ne comprennent pas la logique expliquant la montée du parti d’extrême droite. C’est le blocage politique organisé par le bipartisme, et l’absence de tout autre parti visible proposant une rupture avec ce qu’a construit le PS, qui crée structurellement un effet de niche pour le FN. Le PS a construit un monde où l’autonomie du politique a disparu, condition indispensable pour que les classes dominées puissent peser sur les normes collectives (la loi…). Un parti réellement du côté des classes dominées et qui prendrait de l’ampleur ferait disparaître ce blocage actuel et diminuerait d’autant les votes FN. Le principe des vases communiquant s’appliquerait, à condition que ce parti annonce sans aucune ambiguïté qu’il se propose de démondialiser, de restaurer la souveraineté nationale pleine et entière en sortant de l’euro et de l’UE, de l’OTAN, de l’OMC, de la Banque mondiale et du FMI, qu’il annonce l’annulation de la dette publique et la restauration d’un circuit public du crédit et de la création monétaire, un protectionnisme coopératif, la réindustrialisation et le refinancement massif de la fonction publique et de la Sécurité sociale. Le « vote utile » est ainsi certainement, après les autres manœuvres du PS, ce qui a le plus contribué au maintien à un haut niveau du FN. Croire éviter la montée du FN en votant PS (ou EELV), ou UMP au second tour, est donc le plus sûr moyen de faire prospérer son effet de niche éternellement et de laisser pourrir la situation.

Seules des forces politiques comme le M’PEP, s’il se développe, pourront débloquer réellement une situation particulièrement malsaine et qu’il faut au plus vite redresser radicalement. En attendant, personne ne doit, au premier comme au second tour, donner sa voix au principal responsable, le PS (et EELV), ni à la droite. EELV regroupe de toute façon des politiciens opportunistes, écologistes d’opérette, et les idéologues les plus forcenés justifiant comme personne les institutions antidémocratiques européennes. Ceux qui ne voient rien à redire au fait que les choix de production et d’échanges soient confiés exclusivement au marché, ce qui est le cœur du néolibéralisme et des traités européens, ne sauraient avoir la moindre ambition écologique. Ils ne sont capables que de proposer des mesures parfaitement anecdotiques et cosmétiques, qui ne remettent jamais en cause les intérêts du capital.

Parmi les questions politiques les plus urgentes se trouve donc l’adhésion au M’PEP. Pour ceux qui partagent ses idées, c’est le moment ! Le M’PEP est le parti du peuple !

NB : le M'PEP s'apelle maintenant le PARDEM

28/03/2025

pourquoi museler un chien qui aboie ???

https://laveritesansmasque.blogspot.com/

Hold-up, Plandemic, Vaccination covid le crime parfait" le documentairele  d'Olivier Probst,  celui de Florent Piana "manigance", le Pr. Fourtillan et ses révélations sur les brevets, documents à l'appui: le bon sens est sans appel : pourquoi museler un chien qui aboie ??? à moins qu'il empêche de dormir, donc s'il dit une vérité très redoutée, qu'on ne veut pas que le peuple sache ça !!!

Les producteurs du film contre-attaquent ! ils ont survécu au déferlement de HAINE, que les grand capital pharmaceutique et les Séides du régime fasciste à son service.

C'est pas nouveau ! chaque fois que le GRAND CAPITAL, la bourgeoisie, les propriétaires, sent ses intérêts financiers menacés (là ce sont les profits de la vaccination de 8 milliards d'humains qui sont en jeu, imaginez le "business-plan" !) ildevient fou de rage, capable de TOUT, d'une cruauté folle !!! souvenez-vous (ou informez vous si vous ne le savez pas !!!) ce qui s'est passé en Hongrie à partir de juillet 1919, ) à Mûnich à la chute de la République des Conseils, à Paris à la chute de la Commune ! en Finlande lors de la guerre civile de 1918, en Argentine ! au Chili de Pinochet, les financiers et investisseurs et les journaputes à leur service sont des nazis pleins de HAINE

Connaître la géographie du mal nous permet de ne pas emprunter ses chemins. et d'en ouvrir d'autres
C'est le refus de voir le mal qui crée les "moutons".

donc il fallait s'attendre qu'un film dénonçant leurs mensonges allait déchaîner une haine absolument hystérique et une censure de fer !!

(et les participants interviewés, n'oublions pas que l'un d'eux a été carrément interné en hopital psychiatrique comme autrefois en URSS !!!....)

l'argument du "complotisme est non seulement pervers et spécieux, mais totalement absurde, être "complotiste est leBA ba de tou inspecteur de police quand-même !!! ils sont même payés pour ça c'est leur travail, c'est si ils ne seraient pas "complotiqstes" qu'il seraient coupables et jetés , à raison ! à la prote de leur services de police ! Et même en fait ce que font les "complotistes c'est l'essencemême de l'esprit scientifique, qui consiste je le rappelle à refuser de considérer l'apparent chaos du donné comme un simple hasard, mais à chercher des explications invisibles sous-jacente à tout ça !!! si on n'avait pas eu de  scientifiques "complotistes" pur faire ce travail on serait encore à l'age de pierre !! Thales de Milet fut le premier complotiste !

 

(et bien sûr il faut prendre TOUTES les précautions et tout entreposer bien à l'abris, avant que les Gafas ne les effacent) sur ru-clip.net ou bien findclip.net ou bien kzclip.com (qu'on a empêché de fonctionner !) ou bien sur odysee.com )

Et n'oubliez pas surtout de regarder aussi les films "manigance-19" et "Mal-traités", qu'on peut trouver sur les mêmes plateforme(j'en ai d'ailleurs donné de liens dans d'autres billets précédents, cherchez !)

Ils n'ont pas arrêté de vous mentir ! ils ont détruit  le système de santé par ordre des g.o.p.é  de l'UE, ils ont euthanasiés nos personne âgées (comme les nazis avaient tués les handicapés en 39, Aktion T4) Ils ont détruit les libertés pour un nouveau fascisme 2.0 ces Goebbels !
 

regardez cette vidéo : https://odysee.com/@BobTremblay:6/3858:6https://odysee.co...

si vous n'avez pas encore compris que ce que nous vivons en ce moment est un remake, un nouvel avatar du fascisme (la fascisme 1.0) des années 30 !


Connaître la géographie du mal nous permet de ne pas emprunter ses chemins. et d'en ouvrir d'autres
C'est le refus de voir le mal qui crée les "moutons".

Il faut se révolter, on ne peut pas accepter d'être malmené ainsi
Nous sommes gouvernés par des pitres immondes, des Séides mafieux qui plongent le pays dans un mal innommable !
Le Soulèvement populaire est plus que jamais nécessaire ! C'est une véritable insurrection qu'il faudrait organiser! Mais vu l'apathie du peuple!!!

Et ils y en a encore qui parlent d’attendre 2022 pour éjecter macron de son siège !
C’est aujourd’hui qu’il faut agir .
2022 il n’y aura plus d’élections où alors des élections comme aux USA faites à l’avance !

et, je le rapelle :

Les moments de crise ont ceci d’intéressant : ils dévoilent les individus et ce qui les anime au plus profond d’eux-mêmes. (qui se sent morveux il se mouche... Quand aux héros, bien malgrès eux, tels Giuseppe Belvedere, ou les parents auxquels les flics de la DDASS ont arraché leurs enfants, les gens qui ont été licenciés par leurs sales collabos nazis de patrons, ceux qui sont maintenant à la rue ou dans la misère. Relisez à ce sujet la réflexion de Mohamed Tahiri, que j'ai répercuté dans ce blog.

25/03/2025

tout finira pas arriver ...

vous avez compris


voilà LA SEULE occurence, parmi des dizaines, de "Clopin-clopant" par le pauvre Henri Salvador (qui a lui aussi fini par mourir) qui soit téléchargeable !!!! dans ce monde de firmes capitalos qui s'arrogent la propriétés des chansons. (Vivement que le Parti Pirate soit au pouvoir et réduise les copyright à 25 ans et uniquement aux profit des personnes physiques !)

Bon, comme je disais voici une des plus belles chansons d'Henri Salvador la plus profonde et "incontournable", un paradigme.

 

pour pouvoir les copier etc, voici les paroles:

 

Je suis né avec des yeux d'ange
Et des fossettes au creux des joues
J'ai perdu mes joues et mes langes
Et j'ai cassé tous mes joujoux.
Je m'suis regardé dans un' glace
Et j'ai vu que j'avais rêvé
Je m'suis dit : faudra bien qu'j'm'y fasse...
Tout finira par arriver...
(et effectivement d’ailleurs il a fini par mourir Henri Salvador)

Et je m'en vais clopin-clopant
Dans le soleil et dans le vent,
De temps en temps le coeur chancelle...
Y a des souv'nirs qui s'amoncellent...
Et je m'en vais clopin-clopant
En promenant mon coeur d'enfant...
Comme s'envole une hirondelle...
La vie s'enfuit à tire-d'aile...
Ça fait si mal au coeur d'enfant
Qui s'en va seul, clopin-clopant...

Tout l'amour que l'on a vu naître...
Tes lèvres douces, parfum de miel...
Nos deux fronts contre la fenêtre...
Nos regards perdus dans le ciel...
Le train noir hurlant dans la gare...
Le monstrueux désert des rues...
Tes mots d'adieu, tes mots bizarres...
Depuis dix mois, tu n'écris plus...

Et je m'en vais clopin-clopant
Dans le soleil et dans le vent,
De temps en temps le coeur chancelle...
Y a des souv'nirs qui s'amoncellent...
Et je m'en vais clopin-clopant
En promenant mon coeur d'enfant...
Comme s'envole une hirondelle...
La vie s'enfuit à tire-d'aile...
Ça fait si mal au coeur d'enfant
Qui s'en va seul, clopin-clopant...

16/03/2025

"le premier qui dit la vérité/ il doit être exécuté" - Jane Bürgermeister, elle fut la première

qu'est devenue Jane Bürgermeister ? Depuis 2012 on n'a plus de nouvelles d'elle, ça m'inquiète, quelqu'un est-il au courant ?

interview du 15 février 2010, à l'époque on la trouvait encore "parano", excessive, ben ! les évènement depuis, en particulier ce qui se passe actuellement, n'ont fait que de nous montrer, eh bien, qu'elle avait VU JUSTE ! quelle avait raison, et bien vu ce qui se passait, et qui se passe ....

Les "complotistes" ont tout compris, et le troupeau de ceux qui n'ont rien compris sont les cons tout court

et la vidéo ci-dessous montre qu'elle avait tout compris :

https://odysee.com/@la-chaine-qui-pique:f/h1n1-la-grande-...

BR : Donc, ici Bill Ryan de Project Camelot et de Project Avalon, et nous sommes le 15 février 2010.
Je me trouve ici dans une ferme très rustique au milieu de la Suisse, et c’est l’endroit où loge Jane Bürgermeister, dans un bed-and-breakfast, après avoir donné une conférence au  personnel au sol de Zurich hier. Nous sommes entourés par la neige. Il y a une énorme cloche de vache juste derrière la tête de Jane, ici à droite de la caméra. C’est un endroit tout à fait idyllique et désuet.
Il s’agit d’une brève interview pour faire le point avec vous, Jane, pour vous demander, depuis que nous avons discuté avec vous… c’était en septembre de l'année dernière (çà donne l’impression que c’était il y a longtemps)... de votre point de vue, que s’est-il passé avec vous et qu'est-il arrivé à la grippe A/H1N1 ?
JB : Et bien, la grippe A/H1N1 a heureusement disparu. Elle n’est plus dans les journaux. Elle n’est plus dans les médias. On n’invite plus ou on n’encourage plus les gens à prendre le vaccin au même degré qu'il y a quelques mois quand c'était omniprésent dans nos vies.
Très peu de personnes se sont fait vacciner en Europe... je pense 30 millions sur 450 millions, ou quelque chose comme ça… Soit une proportion bien plus faible que ce que les gouvernements avaient espéré. 
En France, ils ont voulu vacciner 100 % de la population vers la fin de janvier et je pense que seulement 6 % l'ont fait. Six ou sept pour cent l'ont fait en Allemagne et au Royaume-Uni, etc. et aussi dans des pays comme la Suisse. Je pense que 60 millions de personnes l'ont fait aux U.S.A., selon les chiffres du CDC. De nouveau… probablement une petite proportion de la population totale de… de 400 millions, est-ce bien çà ?… aux U.S.A. ?
Donc nous avons vu un éveil incroyable parmi les populations.
Les gens ont pris conscience que le vaccin était plus dangereux que le virus… qu'il contient des ingrédients toxiques – le mercure et le squalène… et ils ont transmis et partagé ces informations autour d’eux avec leurs amis et leurs collègues, et les gens ne sont pas allés se faire vacciner. Ils n'ont pas cédé à la peur. Ils n’ont pas accepté d'être manipulés dans la prise de quelque chose qui est en réalité plus dangereux que le véritable virus.
Cela a été rendu possible grâce aux technologies de l'information et des communication, par le courrier électronique, par YouTube, par des interviews comme la vôtre. Donc j’estime que nous avons vécu un événement énorme où des gens ordinaires ont décidé de penser pour eux-mêmes, de penser d'une façon critique, d’examiner les faits et non de suivre simplement des « autorités », des gouvernements ou des journaux, et de prendre un certain vaccin pour une menace inexistante.
BR : Oui. C’est agréable d'avoir une véritable victoire pour un mouvement populaire mondial, n'est-ce pas ? C'est ce qu’il en est. 
JB : Absolument ! Même le directeur général de l’Organisation Mondiale de la Santé, la doctoresse Chan, a dit au comité de direction réuni le 18 janvier [2010], qu'ils n'avaient pas prévu que les gens ne prendraient pas le vaccin. Ils avaient investi des milliards dans la propagande et les médias contrôlés avaient gonfler (crêve le sale programme de merde à crever!!)  [l’importance de] ce virus. 
Donc cela a vraiment été une victoire inattendue. Et cela a été rendu possible par chaque personne individuellement qui a diffusé ces informations… qui s'est donné le temps et le mal de la lire, et peut-être d’en parler à ses amis, ses collègues et les membres de sa famille. 
Donc, ce qu’à mon avis cela a révélé, c’est l'intelligence extraordinaire et la solidarité des gens là-bas – qu'ils se soucient vraiment de leurs voisins, de leurs amis. Ils ont voulu transmettre ces informations. Et bien que c’était tout à fait difficile à comprendre et tout à fait désagréable à comprendre, ils ont été enclins à se donner la peine de regarder les faits et d’aboutir à la vérité dans un très grand nombre de cas.
BR : Donc vous ne parlez pas uniquement des gens qui peuvent pendant des années avoir fait un tas de recherches sur Internet sur des projets de gouvernement secret. Vous parlez de gens ordinaires qui s’éveillent, regardent les informations qui leur sont présentées, font le point, agissent intelligemment et réalisent ce qui était en train de se passer.
JB : Je pense que c'est ce que nous voyons. Nous voyons une toute nouvelle échelle de conscience parmi… vous savez, les gens ordinaires… que nous avons un grand problème avec nos gouvernements. 
Je parlais hier encore à quelqu'un qui a dit que sa mère, qui a environ 60 ans, prenait toujours chaque vaccin et croyait que les gouvernements représentaient les intérêts des gens. Mais quand est venu le vaccin de la grippe A/H1N1, elle a regardé les faits et elle a décidé de ne pas le prendre. 
Et lentement elle prend conscience que le gouvernement qui donne ce vaccin n'a pas les intérêts de la population à cœur et elle commence à poser des questions : Pourquoi le font-ils ? Qui est derrière cela ? Vous savez… Quelle est leur motivation ?
Ainsi, je pense que nous voyons en Europe un réveil énorme au fait que nous avons un grand problème. Nous avons un gouvernement fantôme. Nous avons un syndicat du crime international d'entreprise… comme je l'appelle… qui contrôle des gouvernements, des ministères de la santé et pousse ce poison sur des populations.
BR : Et d’un autre côté les gouvernements ont un problème intéressant parce qu'ils ont maintenant une population qui désormais ne va pas nécessairement être encline à prendre les choses pour argent comptant.
JB : c'est quelque chose que la doctoresse Margaret Chan de l'Organisation Mondiale de la Santé a dit elle-même. Elle a dit : Nous ne pouvons plus supposer que lorsque nous disons qu’un médicament doit être recommandé… les gens le prendront en réalité.
Il y a eu un écroulement énorme dans la demande de vaccins parmi les populations en Allemagne et la France et je suis sûre également en Amérique… même quand les gens viennent vacciner leurs petits enfants contre les oreillons… à la suite du scepticisme qui a entouré toute cette campagne de grippe A/H1N1. 
Nous avons vu le début d'une augmentation énorme de l'intérêt pour les remèdes homéopathiques et les vitamines et l'importance d’une bonne alimentation nourrissante; et une attitude beaucoup plus critique envers le gouvernement, comme vous l’avez mentionné. 
BR : Maintenant, beaucoup de personnes vont regarder cette vidéo en Amérique. Ils peuvent ne pas être… conscients, mais qu'est-ce qui est arrivé en Pologne avec la Ministre de la Santé là-bas ? C'est un développement fascinant, n'est-ce pas ? 
JB : C'était un développement clé, parce que la Ministre de la Santé en Pologne, Ewa Kopacz, (elle n’était pas dans l’avion de Smolensk en avril 2010) est en réalité médecin… une médecin de famille… et elle a analysé ce vaccin de la grippe A/H1N1. Elle a vu qu'il n'avait pas bien été évalué et elle a décidé de ne pas commander les vaccins de la grippe A/H1N1 pour les Polonais sur base du fait que cela pourrait être… dangereux… potentiellement dangereux pour eux.
Elle a été la seule ministre de la Santé de tous les ministres de la Santé en Europe à prendre la décision – bien que, si vous avez regardé les faits sobrement, objectivement, vous pourriez penser que chaque ministre de la Santé se serait décidé à ne pas… vous savez… acheter le vaccin de la grippe A/H1N1. 
Sa décision de ne pas acheter le vaccin a été, je pense, un tournant dans la https://ruclip.com/video/yacw6CrIUck/géopolitique-argent-et-hydroxychloroquine.htmlcampagne. Cela a été très largement rendu public et cela a fait prendre conscience aux gens qu'il y a des politiciens responsables et des médecins qui reconnaissent qu'il y a un problème avec ce vaccin. 
BR : Alors qu’arrive-t-il ensuite, du point de vue du gouvernement… s'il y a vraiment un plan machiavélique ici ? Qu’arrive-il ensuite du point de vue de tous les activistes dans le monde entier qui ont travaillé si durement pendant six à neuf mois pour s'assurer que quelque chose de méchant, vraiment méchant, ne survienne pas ? Et qu'arrive-il ensuite avec le virus ? Allons-nous le voir réapparaître ? 
JB : Bien... je ne pense pas personnellement que nous allons revoir le virus. 
Nous savons parfaitement qu'il y a des scientifiques qui travaillent à essayer de rendre la grippe A plus mortelle. Il semble que quiconque ait sorti ce virus ne l'a pas tout à fait compris… n'a pas compris qu'il n'allait pas s'incruster dans les poumons des gens et se faire beaucoup plus virulent… et que des scientifiques comme Bruno Lina à l’INSERM à Lyon, qui est affilié à l’OMS, essayent de le rendre plus mortel en le combinant avec la grippe aviaire.
Cependant, beaucoup de gens disent qu'il y a de nombreux documents gouvernementaux indiquant que la seule façon d’infecter beaucoup de monde avec ce virus est de faire vacciner. Et si les gens refusent les vaccins, alors ce virus ne va simplement pas arriver à se répandre, quel que soit le bruit que l’on fait autour. Si les gens refusent de se faire vacciner, alors cela ne va pas devenir un problème majeur.
Quant aux étapes suivantes, de savoir comment nous pouvons commencer à traiter ce qui est arrivé, il y a une enquête en cours au Conseil de l’Assemblée Parlementaire. Européenne. On a donné à Paul Flynn, un député de Newport Ouest au Pays de Galles, la tâche de préparer un rapport appelé La pandémie de grippe A/H1N1 : La déclaration de niveau pandémique six... La question étant de savoir si celle-ci était justifiée, ou si les laboratoires pharmaceutiques ont influencé l'Organisation Mondiale de la Santé à faire cette déclaration, dans le but de pouvoir vendre ces quantités gigantesques de vaccins avec un bénéfice énorme… 
BR : Donc nous avons une sorte de « Flu-gate » [NDT : en référence au Watergate, ici vis-à-vis de la grippe, « flu » en anglais]. 
JB : Nous avons un Flu-gate. Et ce rapport est prévu pour le mois de juin. Paul Flynn m'a indiqué qu’il pourrait même prendre en compte l'incident de Baxter dans son rapport.(et l’accident de Smolensk ?)
BR : Pouvez-vous rappeler ce qu’était cet incident de Baxter… pour ceux qui voient ceci pour la première fois ? 
JB : Bien, en février de l'année dernière, il y a environ un an, Baxter a contaminé 72 kilos de matériel vaccinal avec le virus de la grippe aviaire vivant, dans leurs installations d’Orth an der Donau en Autriche. Et cela a failli déclencher une pandémie mondiale de grippe aviaire. 
Il y a beaucoup de raisons de penser que c'était un acte délibéré. La raison principale est que des règlements de biosécurité de niveau 3 doivent être utilisés quand quelqu'un manipule le virus de la grippe aviaire. Et cela rend pratiquement impossible une contamination accidentelle. 
J'ai déposé plainte et la police a commencé une enquête. Mais ils ont levé les accusations à la fin de septembre… juste avant la campagne de vaccination massive et juste avant que Baxter ne demande l'approbation pour son vaccin de grippe A/H1N1 Celvapan.
J'ai demandé à voir les fichiers… pour voir sur quelles bases le Procureur d'état de Korneuburg avait levé les accusations. Mais on m'a refusé l'accès aux fichiers. J'ai donc contacté Paul Flynn par courrier électronique et je lui ai demandé s'il examinerait cette question. Il… en vertu de son pouvoir en tant que membre de cet organisme PACE… pourrait probablement forcer le Procureur d'état à transmettre ces fichiers, ou même interroger des cadres pour aller jusqu'au fond de cet incident. 
Je pense qu'une enquête appropriée montrerait très probablement qu’il s’agissait d’une tentative délibérée par un laboratoire pharmaceutique en vue de déclencher la fameuse pandémie dont ils tirent profit en se donnant l’opportunité l’occasion de vendre ces vaccins pandémiques en quantités gigantesques.  (ce qu’ils ont finalement réussi en 2020… un peu comme Louis-Philippe qi a réussi en 1830 ce que son père Philippe-Egalité n’avait pas réussi en 1789 !)
BR : Etes-vous optimistes que l'enquête fera vraiment des recherches et publiera honnêtement ses découvertes ? Ou y a-t-il une possibilité d'un blanchiment ici ?
JB : Bien, je pense que si Paul Flynn documente simplement les faits... les faits concernant le niveau de toxicité du vaccin... que ce vaccin n’a été donné aux gens que parce que des règlements spéciaux d’urgence ont été mis en place et ont permis à ces vaccins non évalués d'être administrés... 
S'il documente les faits que nous pourrions avoir été forcés d'avoir pris ce vaccin conformément aux règlements de santé internationaux… qu'une gestion de type militaire de la pandémie a été planifiée... et, en effet, la France n’a pas été loin de la loi martiale en décembre 2009… Des infirmières et des médecins ont été réquisitionnés et forcés de vacciner des gens dans des centres de vaccination.
S'il documente tout cela de même que l'incident de Baxter, alors ce sera suffisant pour créer un rapport explosif qui sera ensuite envoyé à 47 parlements en Europe… mais aussi en Suisse, en Ukraine, en Russie, des pays qui n'appartiennent pas à l'Union Européenne. Ils devront alors prendre ce rapport en considération. Et je pense que s’ils l’examinent et l'analysent, alors cela pourrait bien conduire à une série d'arrestations et de scandales dans chaque pays. 
Dans le même temps, les médias… comme nous le savons… sont totalement contrôlés, au pouvoir de bien sûr, par le groupe pharmaco-bancaire… le gouvernement fantôme. 
(ça paraissait encore exagéré, parano, en 2010, ça s’est confirmé depuis !!… )
Des gens comme James Murdock, le fils de Rupert Murdock, qui… je pense… contrôle le bras européen de la news corporation, siège au conseil de GlaxoSmithKline, qui produit le vaccin Pandemrix. Thomas Glocer, le PDG de Reuters, siège au conseil de Merck. Les médias ne nous parleront donc pas de tous ces événements dramatiques, de ces enquêtes ou de quoique ce soit de la sorte.
Mais derrière l'écran médiatique, nous pourrions voir un nombre énorme d'arrestations et le renouvellement et des changements de notre gouvernement à une échelle sans précédent, parce que les faits seuls sont si choquants. Beaucoup dépendra donc de ce que Paul Flynn inclura dans son rapport. 
BR : Etes-vous en dialogue suivi avec lui ? Ou l'avez-vous simplement informé d’un ensemble de faits et maintenant vous lui laissez la main ? 
JB : Oui. Tout ce que j'ai fait, cela a été de lui envoyer un courrier électronique indiquant cet aspect de toute l’affaire de la pandémie… qu’il y avait un laboratoire pharmaceutique couvant littéralement une mauvaise pandémie de grippe qui aurait été beaucoup plus mortelle qu'une pandémie de grippe A/H1N1. Et je le lui ai transmis. 
Je veux dire… Je suis sûre qu'il va faire son travail aussi impartialement que possible. Il va se trouver sous une pression énorme pour que soient maintenus à l’écart des faits sur la toxicité du squalène et du mercure. Nous devrons donc simplement essayer de continuer à conscientiser le grand public... à mobiliser du soutien et à nous assurer qu'il n'y a pas de blanchiment. Oui. 
BR : Et quels sont maintenant vos plans personnels ? Vous appelleriez-vous toujours une activiste ? Ou prenez-vous du recul en pensant : Bien, nous l'avons gagné celle-ci et maintenant je peux continuer avec le reste de ma vie.
JB : Malheureusement, je ne pense pas que nous ayons atteint cette étape. L’OMS a dit qu'elle veut garder le niveau 6 d’urgence pandémique pendant encore deux ans. Cela signifie que tant que ce niveau 6 d’urgence pandémique est en place, elle peut diffuser des médicaments qui ne sont pas évalués sur des personnes. Nous pouvons donc maintenant avoir un plus grand nombre de médicaments qui n'ont pas été évalués de manière adéquate. Elle peut prendre le contrôle (anglicisme!) de la Sécurité Sociale et de l'armée et de la police dans nos pays et créer cette sorte de... cimenter l'infrastructure du gouvernement fantôme.
Ainsi en dehors de tout cela, ce groupe fantôme est aussi impliqué dans le scandale de Climate-gate et la crise financière. Il essaye de susciter des guerres… des famines… l'envoi de ces vaccins aux pays en voie de développement. 
Donc nous ne pouvons pas simplement dire… vous savez…: Tout cela est terminé. Ce n'est pas le cas. 
Une victoire énorme a été remportée, mais nous devons aller un peu plus loin et nous assurer que le rapport que produira de Paul Flynn soit de qualité… que les pays mènent leurs enquêtes… et que ceux qui sont en réalité responsables de cela soient incarcérés. Les Français aussi mènent une enquête parlementaire dans le courant des prochaines semaines. C'est donc une autre opportunité occasion ! en France pour vraiment aller au fond des choses et incarcérer les gens qui sont responsables. [on ne l’a pas fait, et voilà!]
Et si nous arrivons à faire comparaître ces gens devant le tribunal, alors nous devrions pouvoir démanteler une grande partie de ce gouvernement du Nouvel Ordre Mondial… vous savez. 
Ainsi je compte personnellement écrire un livre au cours des prochains mois, qui récapitulera ce qui s’est passé… les principaux domaines qui doivent être analysés : la toxicité du vaccin; le manque de vigilance pharmacologique; le suivi de des personnes qui ont reçu ce vaccin; la militarisation de la gestion de l’urgence pandémique conformément aux règlements de santé internationaux. 
J'ai déjà achevé un chapitre. Vous pouvez le télécharger sur mon site Web : www.theflucase.com. 
[le site n’existe plus ! …] 
Donc c'est ce que je vais faire au cours des prochains mois. Et ensuite, juste après en fonction de ce qui arrive avec ce rapport… vous savez… la façon dont y est traité le fait d’essayer de s'assurer que nous en mettons vraiment en cause les personnes responsables de cela.
BR : Quel genre du retour d'information avez-vous eu du monde entier ? Parce que vous avez été considérée par beaucoup comme une icône dans ce mouvement populaire. Je sais que cela n'a jamais été votre intention, mais vous êtes devenue une icône. Qu’est ce que cela vous a fait de devenir tout à coup si connue dans le monde entier ? 
JB : Bien, je dois honnêtement dire que j'ai été tout à fait occupée, parce que je faisais le site Web et que je donnais des conférences etc. Donc je n'ai pas vraiment eu de temps de réfléchir à cet aspect des choses. 
Pour moi, la chose la plus étonnante a été le nombre de personnes qui ont voulu s’impliquer. Dans chaque pays, des groupes sont apparus. Les gens ont voulu transmettre ces informations, créer des sites Web, créer des blogues [www.menschenverstandschweiz.ch]
Donc c'est vraiment un mouvement populaire. Peut-être ai-je été une des premières personnes à… vous savez… présenter ce type d'informations dans son ensemble. Mais il y a eu tant de personnes impliquées… des médecins comme le docteur Rebecca Carley aux U.S.A., le docteur Joseph Mercola, le docteur Robin Falkov… que je pense que nous pouvons vraiment dire que c'était un véritable mouvement populaire. 
Cela a été une victoire et un succès, qui a été réalisé par des gens ordinaires dans le monde entier… agissant selon leur conscience, se donnant le temps et le mal pour s’informer et en informer d'autres. C'est la chose étonnante à voir… la bonne volonté et l'intelligence de tant de personnes au travail.
BR : C'est donc un message d'optimisme et d'encouragement parce que toute cette affaire n'est pas encore terminée en termes de désir des contrôleurs de nous clouer, de nous rabaisser, de nous contrôler, de limiter notre liberté, de limiter notre souveraineté. Ce n'est probablement pas fini, si vous me permettez de le dire... [des rires] Permettez-moi de vous dire qu’il s’agit un petit peu d’une litote !
Mais quel est le message d'encouragement et d'optimisme que vous voyez pour les autres personnes qui ont été réveillées par tout cela ? Et maintenant, il peut y avoir d'autres choses qui vont venir à eux au cours des prochaines années.
JB : Bien, je suis d'accord avec vous. Les contrôleurs ont toute une série de plans en réserve… y compris, bien sûr, une guerre. Ils ont planifié une guerre majeure… la guerre nucléaire… depuis bien longtemps. Mais en fin de compte ils sont dépendants de notre état de préparation à accepter cela.
Vous savez, ils remplissent les médias, les ondes hertziennes, les écrans de TV, de catastrophes. Ils nous terrorisent, nous rendent… craintifs et ils dépendent de nous pour que nous fassions certaines choses par peur… nous faire vacciner, partir se battre dans l'armée… et tout ce genre de choses. 
Si les gens ne sont plus d’accord de se laisser conduire par la peur… s'ils sont enclins à arrêter, à rester debout, à penser pour eux-mêmes, à être critiques, à communiquer avec leurs amis et à dire : Non, nous ne prenons pas ce vaccin. Nous n'entrons pas dans cette armée. Nous ne participons pas à cette guerre. Nous ne permettons pas à cette famine de se produire. Nous ne permettons pas à cette corruption de continuer… Et s'ils commencent ensuite à démonter toute l'infrastructure avec des enquêtes, des investigations, etc. alors je pense qu'ils ne peuvent pas continuer avec leurs plans. Ils dépendent vraiment de notre peur et de notre ignorance. 
BR : Et de notre conformité, pour mettre ces plans en œuvre...
JB : Oui. 
BR :... avec un nombre énorme de personnes dans… disons les classes moyennes « professionnelles » (professions libérales), comme les médecins, les infirmières. Dans l'armée, nous parlons des soldats et des aviateurs et des marins qui obéiraient en réalité aux ordres susceptibles de provoquer une quantité énorme de dommages sur le genre humain, s'ils suivent simplement ces ordres… d’accord ? 
JB : Absolument. Et une des choses les plus intéressantes à voir avec cette campagne de grippe A/H1N1 a été que l'armée allemande a été parmi les premières à le refuser. Leurs médecins ont dit : c'est trop dangereux pour nos soldats.
Oui ! Et les gendarmes en France qui devaient censément être vaccinés à 100% selon les plans du gouvernement… ou quelque chose comme ça… ont refusé de se faire vacciner. Et ils auraient du être ceux qui auraient été obligés de le donner à d'autres. Finalement ils auraient surveillé les centres de vaccination et ils auraient eu un rôle plus grand à jouer si le gouvernement avait été dans le sens de la vaccination obligatoire… comme cela aurait été nécessaire s'ils avaient voulu réaliser leur objectif d'arriver 100 % de taux de vaccination. 
Ainsi, nous voyons que dans les armées et les polices… et aussi, évidemment, parmi les médecins et les infirmières… la grande majorité d’entre eux n'ont pas, ou n’ont pas voulu se faire vacciner… un refus, vous savez, d'aller avec toute la campagne. Et c'était crucial, en réalité. Les infirmières et les médecins ont dit très tôt: Nous n’acceptons pas cette vaccination. Et c'est déjà là où cela a commencé à vaciller. 
Il y avait de nombreux rapports critiques dans des journaux en particulier en Allemagne, je crois. Vous savez… les principaux médecins sont sortis et ont dit en première page des journaux que c'était un vaccin non évalué… également dans les médias polonais. Cela a été beaucoup moins le cas, malheureusement, au Royaume-Uni et en l'Irlande où l’emprise sur les médias est beaucoup plus forte. Et aux U.S.A., il y a à peine eu un seul rapport vraiment d’importance à être critique sur le vaccin. 
Ainsi… oui. Il y a des indications très claires que… comme vous le dite… les classes professionnelles refusent d'aller dans cette direction. 
BR : Merci beaucoup, Jane. Y a-t-il autre chose ici que vous voudriez... juste un message… juste une brève mise à jour… juste environ 20 minutes pour les gens qui ont été intrigués par votre rôle dans cet activisme depuis que nous avons publié notre vidéo en septembre [2009] ? Elle a été visionnée je crois par 300.000 personnes. Et ce nombre continue chaque jour de croître.
JB : Oui. Je veux dire… je pense qu'Internet, les nouveaux moyens de communication et les technologies de l'information… fournissent aux gens une possibilité énorme de s’informer de ce qui se passe et d’agir et de le communiquer. 
Je pense que nous nous dirigeons vers une ère nouvelle… je le crois… de souveraineté personnelle où les gens prennent la responsabilité de leur vie, sont à nouveau impliqués dans des décisions politiques et des décisions économiques et ensemble travaillent à la formation d'un monde bien meilleur. 
Et ce sera possible dès le moment où nous retirons simplement le pouvoir à ce gouvernement fantôme… quel qu’il soit. Dans un ou deux ans, nous pourrions voir le commencement d'une toute nouvelle ère où les gens peuvent à nouveau vivre dans la dignité et la liberté, dans la paix et la prospérité. On n’a pas besoin d’avoir sur notre planète des gens qui ont faim, qui sont dans le besoin, qui sont opprimés. Cette vision d'une planète vraiment paisible, prospère, libre est à notre portée… je le crois. 
BR : C'est absolument merveilleux. Merci. C'est une belle déclaration finale. Bien! Donc, Jane Bürgermeister, revoyons-nous un peu plus tard dans le courant de cette année et nous verrons comment les choses ont évolué pour vous. 
Je partage votre avis que cet optimisme est bien placé. Je pense que nous devons rester vigilants. Et il y a une occasion massive d'apprendre sur base d’une expérience très fructueuse issue d'un mouvement populaire. Et vous avez joué un rôle énorme en donnant force, en motivant et en alimentant tout cela. Et donc, je souhaite vous remercier pour cela que parce que vous avez fait ici énormément pour le genrehttps://reseauinternational.net/covid-les-complotistes-avaient-donc-raison/ humain.
JB : Et je voudrais aussi vous remercier, Bill, pour tout ce que vous avez fait pour aider à faire passer ce message. Alors… merci. 

bref, comme dit le film "crime parfait" https://dissidencetv.fr/13/12/2020/sante/covid-19/vaccina...
la crise de 2009 avec la Bachelot et le H1N1 et toute la campagne de peur et de coercition toute prête était leur premier essai, qui a foiré, mais cette fois-ci ils ont hélas réussi (de même Hitler a raté son putch de Münich en 23 mais réussi celui de l'incendie du Reichtag en 33)

(par ailleurs dans ce film https://dissidencetv.fr/13/12/2020/sante/covid-19/vaccina...  à partir de 1H 45m 45s vous avez l'origine et la véritable nature de ce terme de "complotisme" dont on nous rebats les oreilles ! écoutez-bien, il faut toujours connaître l'histoire ! on ne l'étudie pas assez.)

info de BELGIQUE : "Je confirme tout ce qui a été dit dans cette vidéo mais pour la Belgique... et j'en rajoute encore, tout ceci je le tiens directement du personnel des urgences de plusieurs hôpitaux (la problématique est la même partout) :
1) Tous les hôpitaux sont divisés en 2 sections, une COVID+ et une COVID-
2) Dès que vous êtes hospitalisés, pour n'importe quoi, vous passez un test COVID, s'il est positif vous filez en section COVID+, sinon c'est COVID-
3) TOUS LES DECES dans la section COVID+ rentrent dans les statistiques des décès COVID
4) Il appartient au médecin de déterminer si la personne est morte PAR le COVID ou AVEC le COVID (exemple : vous êtes asymptômatique COVID+ mais vous faites une crise cardiaque, vous êtes donc mort AVEC le COVID car ce n'est pas le COVID qui vous a tué, en gros les seuls morts PAR le COVID sont des gens qui décèdent en réanimation COVID).
5) Ces statistiques de la cause du décès ne remontent pas dans les médias, on a juste le total, les médecins m'ont dit qu'on était environ à 90% de décès AVEC le COVID et 10% de décès PAR le COVID... ce qui veut dire que lorsqu'on vous donne 80 décès ce jour, en réalité, c'est 8 décès réellement dû au COVID !
6) Les tests PCR utilisent beaucoup trop de cycles et la quantité de faux positifs est phénoménale
7) Certains hôpitaux font le test INFLUENZA en plus du COVID pour tenter d'y voir plus clair entre les symptômatiques grippaux et COVID... et beaucoup de COVID+ sont aussi INFLUENZA+, la question qui se pose c'est comment déterminer si la personne est symptômatique à la grippe ou au COVID quand elle a les deux virus... La réponse : y'a pas moyen ! Par contre on m'a confirmé que cette année il n'y a pour ainsi dire plus de morts de la grippe... en d'autres termes, une énorme quantité de décès dûs à la grippe sont attribués au COVID.
Pour résumer, toutes les statistiques COVID sont hautement discutables, pour ne pas dire complètement biaisées. Alors que la Belgique s'apprête à durcir les mesures déjà en place et alors que les chiffres (mêmes bidonnés) sont stables voire en baisses, un gros CHR de la périphérie  bruxelloise à royalement 4 (je dis bien 4) cas COVID hospitalisés.
On se fout vraiment de notre gueule.... et je pèse mes mots !

La liste des héros de la résistance (mis à part tous les médecins et professeurs, et les martyrs qui ont dit ce qu’ils ont vu au sein de Big pharma, avant dêtre tuées)
Pierre Barnérias
Richard Boutry
Olivier Probst
Florian Piana
Un jour il y aura des monuments érigés en leur souvenir sur le lieu où ils auront été  fusillés par les fascistes.

13/03/2025

vieux macronistes

https://ruclips.net/video/7Grg52CvRP4/vieux-macroniste-ch...

 

24/02/2025

Belgique pays de la mort les dérives épouvantables de l'euthanasie en Belgique (surtout en Flandre)

Belgique : étude sur la pratique de l’euthanasie en Flandre

Les néerlandophones sont beaucoup plus enclins à exclure les personnes âgées de plus de 85 ans des soins plus onéreux.”

19/03/2015 - « Fin de vie » comme ils disent

Ce 15 mars, le New England Journal of Medicine a rendu publics les résultats d’une étude menée par deux universités belges sur les pratiques médicales en fin de vie, basée sur un questionnaire transmis à quelques 6188 médecins exerçant dans la partie néerlandophone de la Belgique et auquel plus de 3700 ont répondu.
Il en ressort une très nette augmentation des euthanasies pratiquées en Flandre entre 2007 et 2013, puisque le pourcentage des morts par euthanasie sur le total des décès en Flandre est passé de 2% à 4,6 %.
Les résultats montrent également une différence flagrante entre le nombre d’euthanasies rapportées à la commission de contrôle (1454 cas rapportés en Flandre en 2013) et le nombre d’euthanasies réellement pratiquées, qui tourne autour de 2800. Ce qui signifie que, dans la pratique, près d’une euthanasie sur deux échappe à tout contrôle.
Quant au pourcentage des décès ayant été volontairement hâtés sans consultation du patient, il reste stable à 1,7% en 2013.
Les responsables de l’étude identifient deux raisons à la hausse de la pratique de l’euthanasie. D’une part, de plus en plus de personnes demandent à être euthanasiées. D’autre part, il y a de plus en plus de médecins qui acceptent d’accéder à ces demandes, puisqu’en 2007, ils y accédaient dans 56% des cas, et qu’en 2013, c’est près de 77% des demandes d’euthanasies qui sont acceptées par les médecins, qui se sentiraient plus « aptes » à la pratiquer, révèle une étude parallèle.
Dans près de
74% des cas, les soignants d’un service de soins palliatifs ont été partie prenante, ce qui, selon les responsables de l’étude, prouve qu’« après 11 ans, l’euthanasie est de plus en plus considérée comme une réelle option de choix de mort ». L’euthanasie fait donc désormais partie des soins palliatifs, selon ce que certains appellent le modèle belge des soins palliatifs intégraux.
Si l’on compare l’évolution des chiffres avec ceux des Pays-Bas, certaines différences sont frappantes. Le professeur Deliens affirme que la Flandre est sans doute plus permissive, et que le fait d’intégrer l’euthanasie dans les services de soins palliatifs comme cela se passe en Belgique, a certainement un impact non négligeable sur l’évolution du nombre d’euthanasies, car aux Pays-Bas, euthanasie et soins palliatifs sont deux circuits complètement séparés.

Source : The New England Journal of Medicine 

 Belgique : euthanasie toujours plus loin

A peine un an après la promulgation de la loi dépénalisant l’euthanasie des mineurs, s’exprime maintenant la volonté d’aller plus loin. Conférences, symposiums et articles de presse traduisent la volonté de certains médecins d’étendre le champ d’application de l’euthanasie aux personnes démentes (CF Allemagne nazie AKTION T4), (lien vers VUB-Gent) mais aussi aux nouveau-nés prématurés et/ou porteurs d’un handicap (CF Allemagne nazie AKTION T4), et pour lesquels l’équipe médicale jugerait que la « qualité de vie » (CF Allemagne nazie AKTION T4) pose question (cf le livre de Binder et Hoche en Allemagne 1922). (Symposium International d'éthique clinique chez le nouveau-né et l'enfant)

or 80% des euthnasies belges ont lieu en Flandre

Soit dit en passant la Flandre (le pays des bigots ! ceux qui en ont connu dans leur famille ou ont vécu les années 50 ou 60 au milieux d'eux en savent quelque chose ! et je rappelle que après la mort de la religion chrétienne la mentalité bigote ça continue, sous d'autres formes, car la nature de la bigoterie c'est : formalisme, niaiserie, flicarderie, conformisme, absence d'âme), c'est aussi le pays où on instaure ça :

Belgique : la Flandre envisage de surveiller les chômeurs sur Internet

La Cour européenne des droits de l’homme a accepté de se prononcer sur la requête introduite par un homme dont la mère a été euthanasiée sans que lui, ni sa sœur, n’en soient informés.

La Cour européenne a communiqué au Gouvernement belge la requête introduite par un Belge dont la mère a été euthanasiée à son insu. Cet homme estime que l’euthanasie de sa mère a violé sa vie familiale et son intégrité psychique, protégées par l’article 8 de la Convention européenne des droits de l’homme.

Le succin résumé des faits établi par la Cour permet d’ores et déjà de pointer des problèmes graves dans la procédure d’euthanasie telle qu’elle est pratiquée actuellement en Belgique :

  • Une « Commission fédérale de contrôle et d’évaluation » a bien effectué un contrôle du « respect de la procédure et des conditions prévues par la loi du 28 mai 2002 relative à l’euthanasie » s’agissant de la mère du requérant, et « ne décela aucun manquement à la loi ». Cependant, cette procédure est confidentielle, si bien que le fils de la personne euthanasiée, qui a porté plainte contre le médecin responsable de l’euthanasie de sa mère, n’a pas été informé des suites de sa plainte.
  • Le requérant déposa également une plainte pénale contre X, mais n’ayant pu apporter d’éléments de preuve en raison de la confidentialité de la procédure d’euthanasie, sa plainte fut clôturée par le Procureur.
  • Le requérant met en cause l’indépendance de ladite Commission de contrôle, car le médecin qui a euthanasié sa mère est aussi co-président de cette même commission.
  • Enfin, ce médecin a reçu 2.500 € pour une association dont il est le président, de la part de cette mère qu’il s’apprêtait à euthanasier…

Ces quelques éléments donnent un triste aperçu de la réalité de l’euthanasie : combien celle-ci affecte les proches de la personne euthanasiée ; et comment des procédures censées être claires et rigoureuses se révèlent en fait opaques, voire inefficaces. L’ECLJ a demandé à déposer des observations écrites dans cette affaire.

La Cour européenne a déjà pu se prononcer plusieurs fois sur des plaintes liées à l’euthanasie, mais le plus souvent celles-ci étaient déposées par les personnes souhaitant être euthanasiées et voulant être reconnues dans « ce droit » (Gross c. Suisse, Koch c. Allemagne, Haas c. Suisse, Pretty c. Royaume-Uni).

À l’inverse, la Cour a été saisie dans deux affaires ayant eu une large publicité, Lambert et autres c. France et Charles Gard c. Royaume-Uni, et dans lesquelles les parents demandaient à ce que la procédure d’euthanasie de leur enfant fût annulée. Dans les deux affaires, et de manière très décevante, la Cour avait rejeté les demandes des parents et validé l’euthanasie de leurs enfants, estimant la procédure satisfaisante et respectée.

Dans ses observations écrites, l’ECLJ soutiendra que la vie familiale comporte non seulement des droits mais également des devoirs envers ses proches et démontrera qu’un État comme la Belgique, qui euthanasie ses citoyens y compris mineurs, ne respecte pas le droit à la vie garanti par la Convention européenne. C’est au contraire une atteinte flagrante à un droit érigé juste après-guerre, où les hommes avaient encore à l’esprit les programmes d’euthanasie des nazis.