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la Paix ne pourra revenir qu'après la victoire définitive sur cette ploutocratie mondialiste criminelle et surtout la destruction de ce monstre absolu, cette pensée unique du capital qui est responsable des pires fascismes 1.0 et 2.0
C’est un peu dégeu’, oui. Un peu seulement. Mais en tous cas il vaut mieux avoir un peu de merde canine sur les trottoirs que beaucoup de merde humaine en uniforme….
je me souviens de l'époque où je rentrais chez moi le soir depuis le centre-ville, le trottoir de la rue Abel Bergaigne était tout recouvert de crottes de chiens, je ne savais pas où mettre les pieds, maintenant quand j'y repense à choisir je préfèrerais largement que ça soit encore comme ça plutôt que de voir des horreurs flicardes pareilles que ce qu'est devenue la société de merde où on vit maintenant !
plus ça va plus il se confirme que tout parti, et toute association, prétendument "de gauche" et composée de bourgeois ne peut être que de la merde, des social-traîtres, des bobos, avec des petites préoccupations de bourgeois collabos et déconnectés de la "galère" et des humiliations du peuple. Comme j'ai dit dans mon article en Esperanto sur SENNACIULO, seuls les gilets jaunes, ou les maîtres à penser des gilets jaunes pourront créer un nouveau parti de gauche, à condition de ne pas s'embourgeoiser (ni se faire acheter par la CIA comme les "antifas" !) et de garder leur dignité (devant tous les chantages, honte à ceux qui se sont "déculottés" !) et leur liberté de pensée, et leur enracinement dans les conditions de vie des GENS du peuple.
Et où on voit que la façon dont le pouvoir, et sa bourgeoisie, considère les gilets jaunes n'est pas nouvelle, dans les années 50 du XIXè siècle il y avait "les Marianneux", lisez :
"En demandant à un inconnu des nouvelles de Marianne, les républicains, les "rouges", savaient immédiatement par sa réponse s’il faisait, ou non, partie d’une société affiliée. Les « Marianneux », qui étaient particulièrement nombreux dans l’Ouest, furent poursuivis en 1854, et condamnés à des peines allant jusqu’à quatre ans de prison. - Nous sommes, écrivait l’historien Viel-Castel, en présence de sociétés secrètes les plus sauvages, les plus ennemies de toute civilisation et de tout progrès….... Les incendiaires, les voleurs, les assassins et les pillards sont prêts. Tous ces gens s’appellent « La Marianne ».
on croirait entendre ce que disaient en 2019 contre le peuple des gilets jaunes nos ministres macroniens, ou les journaputes de BFM-WC !
et de nos jours contre les "conspirationnistes" !
et déjà du temps de la Révolution française (menée par des bourgeois affairistes et propriétaires ne l'oublions pas !) - cette Révolution dont la Convention le 19 mars 1793 a voté un décrêt punissant de MORT toute personne qui PROPOSERAIT une loi de REFORME AGRAIRE ... - il y a eu Babeuf, dont la "Conspiration des égaux" fut le premier mouvement socialiste concret, eh bien par exemple "En Bresse, l’instituteur Robin est également appréhendé pour avoir « prêché les monstrueuses théories babouvistes » à Arbigny et à Pont-de-Vaux" les théories babouvistes font tellement peur aux possédants qu'elles sont tout de suite qualifiées de "monstrueuses" ! RIEN DE NOUVEAU SOuS LE SOLEIL ! ce sont des termes semblables qui accueillent de nos jours ceux qui défendent la chloroquine (menace aux énormes profits escomptés par Big Pharma), ou les gilets jaunes ! ou ceux qui prônent le Frexit, critiquent la 5G (énormes profits en vue là aussi et esclavagisation totale de tous les humains !) qui dévoilent l'imposture de l'assimilation de la démocratie avec le système de l'élection, menaçant ainsi les grasses carrières de politiciens actuels et aussi tout le système de corruption et de domination bourgeois !!! (cf les ignoble et sournoises attaques contre Etienne Chouard, le plus profond et puissant penseur de la démocratie que la france aie connu depuis deux siècles). Rien d'étonnant que le colonel Nasser aie fini par être TUE par les services Secrets US! -
de nos jours l'interview de ce "député Baudin du XXIè siècle Fabrice Lalanne le seul gars du show-biz (caractérisé comme dit Dieudonné par la lâcheté et l'indignité) à avoir eu le courage de se lever (comme Brigitte Bardot fut la seule de ce milieu à avoir eu le courage de soutenir les gilets jaunes), une interview qui comme celle de Jean-Jacques Crèvecœur restera dans l'histoire : ss
voilà un de ces être "inéduqués et inéducables" qui "ne pouvaient simplement pas faire autrement" dont parle Michel Terestchenko dans son livre sur la morale personnelle "un si fragile vernis d'humanité" !
(Cette vidéo a été regardée 200.000 fois en 24 heures ! et ça a continué au même rythme le lendemain : 400.000 en 48 heures Et qu'est-il arrivé ? imaginez, par des procédés dignes de Staline, les propriétaires de Youtube ont remis le compteur à zéro ! Il semble que ça a provoqué un tollé et qu'ils se sont repentis, aussi le 28 au matin on retrouve les chiffres non trafiqués, qui sont arrivés à 458 mille vues - en 2 jours et demi)
y a une peur (cf Goering ...) créée par ce monde des journaputes appartenant aux 9 milliardaires, la classe même qui a mis son pion Macron au pouvoir, et qui fait partie du Business-Plan de la vaccination. Quand à la "solidarité nationale" c'est un truc qu'à bien su exploiter aussi Hitler en 33, et son obligation du masque, pardon ! du salut hitlerien dans la vie quotidienne.
Florian Philippot, admirateur de Chavez, est lui contre l'hyper-capitalisme mondialisé, principal ennemi de l'écologie (et des peuples, et de nos libertés !) :
en 2005 vu « Le Locataire » film coréen. Dans « Le Locataire » le seul être qui soit un être humain c’est le petit chien qui se blottissait à côté de son maître mort. Tous les autres sont des détraqués et des criminels, et bien sûr comme toujours et dans tous les pays (d’ailleurs on voit que la Corée est américanisée à 100% [pas 95, 100]) ceux qui ont les instincts les plus pervers et les plus criminels c’est toujours les policiers et les gardiens de prison ; et bien entendu, autre constante les femmes sont viscéralement incapables d’aimer, sauf leur nombril.
Bon, maintenant, le 28/11/2002 j’ai vu « l’homme sans passé » de Aki Kaurismaki (un finlandais), primé à Cannes ;
Quel monde sinistre et morbide comme c’est pas permis ! D’une totale déshumanisation et d’une profonde barbarie. L’inde (même les bidonvilles de l’Inde !) est un monde dix fois plus civilisé et dix fois plus humain que la Finlande !
C’est bien un pays nordique, on sent très fort qu’on est dans ces pays où on a stérilisé les femmes qui se teignent les ongles de pieds en rouge et où on met en prison les clients des prostituées ! C’est l’image du monde orwellien et barbare que nous préparent le capitalisme + Sarkhollande + la politically correctness. La « citée de la Joie » de Calcutta c’est un espace d’humanité (même le parrain mafieux ! en comparaison ! même lui !!) de civilisation, de solidarité et de douceur, et de joie, c’est une vraie soirée dansante, en comparaison avec la Finlande de l’an 2000! La femme (dans le film) du guichet de l’ »ANPE », on aurait envie de l’écraser sous son talon, tellement elle est odieuse (et typique).
Ce film pue la mort. Et vous fait aussi comprendre, encore mieux que tout un site Internet d’antimondialistes ou d’anarchistes, à quel point on est enfermés sans espoir dans un bagne. Et que quand on a accepté dans les années 70 de se laisser « bancariser », on a signé notre arrêt de mort, et celui, très concret, de milliers d’êtres, et celui de la Civilisation. Il aurait fallu alors se révolter et brûler les carnets de chèques.
Ces finlandais nous montrent un peuple profondément brutal, égoïste, et rustre. Les seuls êtres qui respirent l’humanité là-dedans ce sont les chiens.
Ce film évoque à peu près autant la vie que le cadavre refroidi de Jacqueline sur son lit de décor mortuaire.
il n'est pas assez lu, peut-être décourage-t-il par ses longueurs et sa rhétorique, mais si on prend la peine de lire quelques phrases choisies, et de les méditer, on s'apperçoit soudain à quel point elles sont vraies, et profondes.
par exemple
Un jour, les yeux lassés de veilles et de larmes, Comme un lutteur vaincu prêt à jeter ses armes, Je disais à l'aurore : « En vain tu vas briller ; La nature trahit nos yeux par ses merveilles, Et le ciel coloré de ses teintes vermeilles Ne sourit que pour nous railler.
« Rien n'est vrai, rien n'est faux; tout est songe et mensonge, Illusion du cœur qu'un vain espoir prolonge. Nos seules vérités, hommes, sont nos douleurs. Cet éclair dans nos yeux que nous nommons la vie Brille à peine un moment à notre âme éblouie, Qu'il s'éteint et s'allume ailleurs.
« Plus nous ouvrons les yeux, plus la nuit est profonde ; Dieu n'est qu'un mot rêvé pour expliquer le monde, Un plus obscur abîme où l'esprit s'est lancé ; Et tout flotte et tout tombe, ainsi que la poussière Que fait en tourbillons dans l'aride carrière Lever le pied d'un insensé. »
Je disais ; et mes yeux voyaient avec envie Tout ce qui n'a reçu qu'une insensible vie Et dont nul rêve au moins n'agite le sommeil ; Au sillon, au rocher j'attachais ma paupière, Et ce regard disait : « A la brute, à la pierre, Au moins que ne suis-je pareil ? »
n'aurait-on pas envie de les apprendre par coeur et se les réciter chaque matin ?
Autriche : Trois religieuses se rebellent et fuient une maison de retraite pour retrouver leur couvent
Les trois femmes, âgées de plus de 80 ans, ont été aidées, notamment par d’anciens élèves de l’école du couvent, pour revenir là où elles se sentent chez elles
Elles obéissent à Dieu, et à personne d’autre ! Trois religieuses ont quitté une maison de retraite en Autriche pour reprendre leurs quartiers dans leur ancien couvent au début du mois de septembre. Les sœurs Bernadette (88 ans), Regina (86 ans) et Rita (82 ans) expliquent avoir été placées dans cet établissement contre leur volonté en décembre 2023.
« On ne nous a rien demandé. Nous avions le droit de rester ici jusqu’à la fin de nos vies », affirme sœur Bernadette dans des propos rapportés par la BBC. « J’ai été obéissante toute ma vie, mais c’en était trop. »
De l’aide pour les serrures, l’électricité et l’eau
Le trio a pu compter sur plusieurs complices pour revenir dans leur couvent à Elsbethen (Autriche), qui abrite une école. Un serrurier est intervenu pour leur permettre d’accéder à leurs anciens appartements, les serrures ayant été changées entre-temps (! sans commentaire ...).
L’électricité et l’eau ont été partiellement rétablies, et des sympathisants leur apportent de la nourriture et des provisions. Les religieuses ont aussi pu être examinées par des médecins. D’anciens élèves sont venus leur rendre visite pour les soutenir.
Les autorités religieuses locales ont en revanche condamné une décision « totalement incompréhensible », estimant que les sœurs n’étaient plus capables de « vivre de manière autonome au couvent de Goldenstein » en raison de leur « état de santé précaire ». Pas de quoi faire broncher les trois nonnes, qui ont bien l’intention de finir leurs vies « chez elles »
solidarité de tous les saints ! ils se rencontrent parmi les humbles et les travailleurs, (et les chats) et non parmi "ceux qui disent aux autres de l'faire" !
on reconnaît une problématique typique de ces dernières années ...
« j’ai déjà remarqué ceci : les horreurs sont supportables tant qu’on se contente de baisser la tête, mais elles tuent quand on y réfléchit. » (Erich-Maria Remarque)
« l'on sait que l'optimisme fait beaucoup plus de ravages que le pessimisme qui, lui, au moins est lucide » (Gilbert Ganne )
« Au surplus, les champs de carnage sont partout; au cimetière de l'Est, à Paris, vingt-sept mille tombeaux, deux cent trente mille corps, vous apprendront quelle bataille la mort livre jour et nuit à votre porte. » (Chateaubriand)
« Un être qui se sait mortel ne peut pas être heureux » (Gilbert Ganne)
« Lazare ouvrit les yeux quand Jésus l’appela ; Quand je lui parle, hélas ! pourquoi les ferme-t-elle ? » (Victor Hugo)
« Dune certaine lignée animale, qui ne semblait en rien promise à un tel destin, sortit un jour la bête saugrenue qui devait inventer le calcul intégral et rêver de justice. »
Rostand (Jean) in « Pensées d’un biologiste » 1954
« Nous sommes de ceux qui posent les questions jusqu’au bout ; Jusqu’à ce qu’il ne reste plus la plus petite chance d’espoir vivante. »
Anouilh (Jean) Antigone
« La vie, en dernier ressort, semblait être une plaisanterie d’une dimension telle que l’on ne pouvait que se tenir à un bout du couloir pour constater sa longueur dénuée de sens, et sa hauteur parfaitement inutile. »
Bradbury (Ray)
« Tout est ordonné pour que prenne naissance cette paix empoisonnée que donnent l’insouciance, le sommeil du cœur ou les renoncements mortels. »
Camus (Albert)
« La vérité de ce monde c’est la mort ! La vie n’est qu’une ivresse, un mensonge.
Céline (Louis-Ferdinand)
Rien ne sert à rien Et d’abord il n’y a rien. Cependant tout arrive. mais cela est bien indifférent.
Gautier (Théophile)
« Peu importe que les hommes se transmettent pour quelques siècles leurs concepts et leurs techniques : car l’homme est un hasard, et pour l’essentiel, le monde est fait d’oubli. »
Malraux (André)
« Toute l’histoire du monde est une histoire de nuages qui se construisent, se détruisent, se dissipent, se reconstruisent en des combinaisons différentes, - sans plus de signification ni d’importance dans le monde que dans le ciel. »
Montherlant (Henri de) Carnets p. 41 année 1931
« Je voudrais tellement pouvoir aimer quelque chose, ne fusse que moi-même, mais c’est impossible, il n’y a que mort, évanescence et vanité. »
« Atome dérisoire perdu dans le cosmos inerte et démesuré, il sait que sa fiévreuse activité n’est qu’un petit phénomène local, éphémère, sans signification et sans but. Aussi n’a-t-il d’autre ressource que de s’appliquer à oublier l’immensité brute qui l’écrase et qui l’ignore. »
Rostand (Jean)
« Tout ce à quoi il tient, tout ce à quoi il croit, tout ce qui compte à ses yeux a commencé en lui et finira avec lui. »
Rostand (Jean)
« L’espèce humaine passera, comme ont passé les dinosauriens et les stégocéphales… Alors, de toute la civilisation humaine ou surhumaine, découvertes, philosophies, idéaŭ, religions, rien ne subsistera… En ce minuscule coin d’univers sera annulée pour jamais l’aventure falote du protoplasma, aventure qui déjà, peu-être, s’est achevée sur d’autres mondes, aventure qui en d’autres mondes peut-être se renouvellera. Et partout soutenue par les mêmes illusions, créatrice des mêmes tourments, partout aussi absurde, aussi vaine, aussi nécessairement promise dès le principe à l’échec final et à la ténèbre infinie. »
Rostand (Jean)
« Je fais un tour ou deux pour calmer ces coups dans ma tête. »
Shakespeare in La tempête après “we are of such stuff etc”
“Pourquoi n’ai-je droit à aucune espérance?”
Madame Simone = Pauline Benda
“ Si la douleur poussait de la fumée comme la flamme, la terre vivrait dans une éternelle nuit” (H de Montherlant)
le gouvernement est en train de DETRUIRE VOS ENFANTS ! et ça ne vous fait même pas frémir ? https://reseauinternational.net/au-secours-mesdames/ vous ne réagissez pas ? vous ne résistez pas ? vous laissez faire cette ignominie qui va les détruire à vie ?
C'est la condition sine qua non de la civilisation et du refus du fascisme et du totalitarisme, et des valeurs républicaines !
ça commence par les cookies que certains sites internet injectent DANS Vos ordinateurs, et si les gens adceptent passivement (principiis obstat et finem respices) ça devient les smart dust, et les vaccins fascistes; ceux qui n'y croient pas, docile croyants de leurs maîtres le regretteront quand il sera trop tard !
Oui, c’est évident que l’école à la maison se situe hors cadre. Et cela est incompatible avec le programme de ce gouvernement mondial qui se met en place. Et les vaccinations obligatoires ne sont simplement que les premières pierres de ce programme d’asservissement des individus, mais aussi de réduction de l’humain (voir l’article de M.F. de Meuron « Voulons-nous vraiment être des humains réduits ?) Il n’est pas question de laisser la moindre parcelle de de prairies fleuries et naturelles qui pourrait créer des individus qui pensent par eux-même et qui seraient déconnectés du conditionnement obligatoire du gouvernement mondial/national ! Et Macron est le fer de lance de ce mouvement en France. Mais il s’est bien entouré d’une équipe dévote et partisane. L’éducation nationale est infiltrée au plus haut niveau et tous(tes) devront bientôt s’y soumettre, de la même manière que chacun doit se soumettre au masque et au vaccin comme autrefois les allemands à l'obligation du salut hitlérien ! ou à leur transformation en Rhinocéros, n'est-ce pas Monsieur Ionesco ?
Comme le montrera un reportage belge qui va suivre prochainement sur ce blog on va en arriver à ce qu'il va falloir rompre complètement avec la société et vivre dans des catacombes, la résistance passive ne suffit plus il faut entrer dans le maquis la guerilla ouverte !
Sur les perruches à collier, après avoir loué leur beauté et la vie qu’ils apportent, chacun (quand ils sont interviewés et filmés) se sent obligé d’ajouter « le couplet des écologistes » (vous savez : les curés, les gens du pouvoir, ceux qui « disent le vrai » la "parole d’Evangile") « elles nichent dans des cavités, qui auraient pu servir à d’autres », donc ce sont des « invasives », donc il faut les exterminer, CQFD
Les juifs allemands aussi ils s’enrichissaient avec de l’argent qui aurait pu servir à enrichir des banquiers « aryens », ou quand ils étaient médecins ou commerçants, ils recevaient des clients qui auraient pu aller chez des professionnels allemands, donc les NAZIS en bons écologistes qu’ils étaient ont décidé de les exterminer, CQFD
Les invasions biologiques sont largement reconnues comme une menace sérieuse pour la biodiversité, les économies mondiales et la qualité de vie. Pourtant, elles ne sont pas universellement perçues comme une nuisance et gagnent parfois — souvent de manière inattendue — une acceptation culturelle au sein des communautés locales du monde entier. [pauvres choux d'écolo-NAZIS ! ça les embête hein !?] Les conséquences de cette acceptation ne sont pas négligeables pour la gestion des espèces invasives.
Une nouvelle étude menée par une vaste équipe internationale (donc anglophone...) de chercheurs révèle comment certaines espèces invasives peuvent être accueillies par les populations locales comme des éléments familiers, voire appréciés, de leur environnement local [ben oui ! comme l'ont été les moineaux ! (originaires des régions désertiques où ils nichaient dans les trous de rochers, avant de coloniser nos villes), les Alouettes (originaires des steppes d'Asie Centrale, avant que l'agriculture ne crée partout ces steppes artificielles, les champs) les merles ( oiseaux forestiers maintenant installés dans les villes) les tourterelles turques, les perruches à collier, les chats errants et les pigeons du 4è arrondissement], ce qui complique souvent leur "gestion". « Il s’agit d’un phénomène d’“intégration culturelle” — un processus par lequel les espèces envahissantes (sic, vocabulaire lepeniste !) s’intègrent aux traditions, aux identités et à la vie quotidienne locales »(comme les flamands, les bretons les auvergnats, créateurs des bals musette, les intellectuels "arabes" comme Idriss Aberkane, les Yeniches comme Christophe Dettinger, les curés du christianisme cette secte orientale !...), explique Ivan Jarić, chercheur à l’Université Paris-Saclay et à l’Académie tchèque des sciences, et auteur principal de l’étude. « Avec le temps, elles pourraient devenir de plus en plus familières et être finalement perçues comme des éléments indigènes de l’environnement, voire comme une partie intégrante de la culture locale. » (comme les polonais du Pas-de-Calais,ou les flamands du Nord)
Qu’il s’agisse d’une plante utilisée dans les recettes traditionnelles ou d’un animal célébré lors des fêtes locales, l’acceptation culturelle de ces espèces transforme le rapport à la nature. Par exemple, le figuier de Barbarie, originaire des Amériques, est désormais familier dans certaines régions d’Afrique, d’Asie et d’Europe. Dans de nombreuses zones rurales, les populations dépendent de lui pour leur subsistance : cueillette et vente de ses fruits, présents dans les plats et recettes locaux, et utilisation comme plante fourragère pendant les mois secs. Mais au fil du temps, il est devenu bien plus qu’une simple plante utile. Dans certains endroits, on a même oublié son origine. Elle est présente dans les contes populaires, l’art et l’artisanat, et a même pris le rôle de symbole local dans certaines régions.
Si cette intégration peut apporter certains avantages — notamment de nouvelles sources de nourriture, de loisirs ou de services écologiques — elle s’accompagne également de défis importants. Une fois qu’une espèce est culturellement acceptée, il devient beaucoup plus difficile pour les défenseurs de l’environnement de la contrôler ou de l’éliminer. La résistance du public peut freiner, voire bloquer, des interventions de gestion cruciales. « L’intégration culturelle des espèces envahissantes peut entraîner l’érosion des traditions locales liées aux espèces indigènes et aux savoirs locaux associés, une perte de diversité bioculturelle et des conflits », explique Susan Canavan de l’Université de Galway, autre auteure de l’étude. « Elle peut également modifier ou déplacer la présence et l’identité culturelles d’espèces indigènes vulnérables et modifier ce que les gens perçoivent comme un état environnemental “normal” ou souhaitable. »
Cependant, l’éradication de ces espèces envahissantes culturellement intégrées n’est pas toujours la meilleure solution. Dans certains cas, leur élimination peut provoquer des dommages inattendus aux écosystèmes—et perturber les cultures, les moyens de subsistance et les économies locales où ces espèces se sont implantées.
Pour "gérer" judicieusement les espèces envahissantes, la biologie ne suffit pas. Une approche plus complète et plus inclusive doit également s’appuyer sur les sciences sociales et humaines. « Les efforts de conservation doivent non seulement être scientifiquement fondés, mais aussi tenir compte des dimensions sociales et culturelles », suggère Jonathan Jeschke, de l’Institut Leibniz d’écologie des eaux douces et de la pêche continentale (IGB) et de la Freie Universität Berlin, également auteur de l’étude. Ivan Jarić ajoute : « Les décisions doivent s’appuyer sur des données scientifiques solides et tenir compte de la voix des communautés locales, des parties prenantes et des détenteurs de droits. Associer tout le monde dès le début—en particulier ceux qui disposent d’une connaissance directe—contribue à instaurer la confiance, à réduire les conflits et à trouver des solutions conciliant les besoins écologiques, culturels et économiques. »
Ce document, en deŭ parties, cette image et la suivante,
vient d'un livre, trouvé par hasard dans une foire au livre : "La Vérité (en gros caractères !) sur la législation française actuelle en matière de répression des fraudes du beurre et du lait" par Auguste Eloire, docteur vétérinaire, qui date du début du siècle. Maintenant vous vous souvenez certainement de la campagne hystérique que les gouvernements ont mené il y a qq années (en 2001) parce qu'il y avait une épidémie de fièvre aphteuse, les dizaines de milliers de vaches qui ont été massacrées - on aurait dit Katyn ! - et brulées à cause de cas (des vaches saines dans leur presque totalité) simplement parce qu'on avait trouvé une vache atteinte dans la ferme où elles se trouvaient ! Comme s'il s'agissait d'une maladie mortelle et abominable, la peste noire ou qq choses comme ça. Et les fermes barrées par des chaines interdisant le passage (je me souviens j'ai vu ça lors de notre voyage en mars 2001 aŭ Pays-bas)
En fait, et là je me souviens très bien aussi, de ce que me racontait ma mère qui était fille d'agriculteur et a bien connu la vie de ferme d'avant 40, autrefois, non seulement on ne prenait pas de mesures prophylatiques aussi extrèmes, mais même la vache atteinte on ne la tuait pas, on essayait d la soigner. Et on la trayait. C'est tout juste si on évitait de boire son lait, c'est tout. Et les gens n'en mourraient pas ! Et c'est ici qu'intervient ce document : même on commercialisait le beurre fait avec le lait de ces vaches ! Et c'était considéré moins "problématique" que de frauder en "coupant" le beurre avec de la margarine. Lisez ce texte, l'aueur est tout de suite soulagé et l'agriculteur innocenté quand il s'avère que, "ah ! ce n'était que ça ! bon ! pas de quoi fouetter un chat" son beurre était fait avec du lait aphteŭ.
(en fait l'hystérie prétendument hygiéniste, des années actuelles, était d'origine ECONOMIQUE (.....) on peut soigner les vaches aphteuses, et même les guérir, mais ..... ça coûte cher ! et pendant ce temps là on ne peut pas vendre le lait, ça fait baisser la rentabilité de l'élevage voilà voilà .... )
Ce document, en deux parties, cette image et la précédente (bon je ne met pas la seconde, la première suffira, on n'est pas dans Ipernity ! ) vient d'un livre : La Vérité (en grands caractères !) sur la législation française actuelle en matière de répression des fraudes du beurre et du lait" par Auguste Eloire, docteur vétérinaire, qui date du début du siècle. Maintenant vous vous souvenez certainement de la campagne hystérique que les gouvernements ont mené il y a qq années (en 2001) parce qu'il y avait une épidémie de fièvre aphteuse, les dizaines de milliers de vaches qui ont été massacrées - on aurait dit Katyn ! - et brulées à cause de rares cas (des vaches saines dans leur presque totalité) simplement parce qu'on avait trouvé une vache atteinte dans la ferme où elles se trouvaient ! Comme s'il s'agissait d'une maladie mortelle et abominable, la peste noire ou qq choses comme ça. Et les fermes barrées par des chaines interdisant le passage (je me souviens j'ai vu ça lors de notre voyage Jacqueline et moi en mars 2001 aŭ Pays-bas)
En fait, et là je me souviens très bien aussi, de ce que me racontait ma mère qui était fille d'agriculteur et a bien connu la vie de ferme d'avant 40, autrefois, non seulement on ne prenait pas de mesures prophylatiques aussi extrèmes, mais même la vache atteinte on ne la tuait pas, on essayait de la soigner. Et on la trayait ! C'est tout juste si on évitait de boire son lait, c'est tout. Et les gens n'en mouraient pas ! Et c'est ici qu'intervient ce document : même on commercialisait le beurre fait avec le lait de ces vaches ! Et c'était considéré moins "problématique" que de frauder en "coupant" le beurre avec de la margarine. Lisez ce texte, l'auteur est tout de suite soulagé et l'agriculteur innocenté quand il s'avère que, "ah ! ce n'était que ça ! bon ! pas de quoi fouetter un chat" son beurre était fait avec du lait aphteux.
(en fait l'hystérie prétendument hygiéniste, des années actuelles, était d'origine ECONOMIQUE (.....) on peut soigner les vaches aphteuses, et même les guérir, mais ..... ça coûte cher ! et pendant ce temps là on n'encaisse pas de rentrées d'ARGENT, ça compromet la SACRO-SAINTE rentabilité ! Voilà le problème.