Quand aura lieu la votation populaire sur la sortie de l’UE?
Par Renate Zittmayr le 30 juillet 2015
Entre le 24 juin et le 1er juillet, 261 159 Autrichiens et Autrichiennes ont déposé ouvertement leur nom, leur date de naissance et leur identité auprès de leur mairie en faveur de la sortie de leur pays de l’UE. (Ni kalkulu, estas kvazaŭ 2 milionoj da francoj, aŭ da italoj, estus subskribintaj al tia petskribo !) Cela c’est fait malgré des conditions-cadres extrêmement difficiles: un silence assourdissant de la plupart des médias, malgré l’invitation de tous les journalistes aux 12 conférences de presse organisées au cours des mois précédant l’unique semaine prévue pour le dépôt des signatures; la fixation de la semaine d’inscription par la Ministre de l’Intérieur à la dernière semaine de juin, précisément au moment où de nombreuses familles avec des enfants non encore scolarisés ou ayant terminé leur scolarité et beaucoup de retraités sont déjà partis en vacances à l’étranger; l’interdiction de placer les affiches informant sur les emplacements des locaux d’inscription et des heures d’ouvertures dans les immeubles d’habitation viennois, comme cela fut possible lors de référendums précédents etc.
Aucun parti parlementaire, aucun fond public ou gros sponsor privé n’a soutenu ce référendum. (al kio utilas la partioj ? ĉu ne teorie ili reprezentu la popolon ?) Ce sont plusieurs milliers de «simples» citoyens qui ont financé et accompli l’énorme travail d’envoyer et de distribuer bénévolement à nos concitoyens un total d’environ 900 000 feuilles d’informations et de nombreuses autres documentations en sacrifiant des journées, des semaines ou même des mois de leur temps. De toute évidence, nous n’avons de cette manière et par nos activités sur Internet et les médias sociaux pas pu atteindre une majorité des 6,4 millions d’électeurs autrichiens du pays, si bien qu’au moins un tiers sinon la moitié de ces personnes n’ont pas eu connaissance de ces activités et n’avaient donc aucune idée où et quand on pouvait s’inscrire. Le plus grand scandale a résidé dans le fait que l’Agence de presse autrichienne (APA) n’ait porté aucune attention à ce mouvement populaire. Lors du référendum initié par le gros industriel Hannes Androsch au sujet de la formation, elle a publié et diffusé à tous les médias près de 70 communiqués d’information détaillés pendant plusieurs mois, alors que le référendum pour la sortie de l’UE n’a eu droit qu’à 6 communiqués. Cependant la chaîne télévisuelle ORF a encore battu ce record: N’a-t-elle pas informé sur ce référendum pendant 1,2 heures? Non, ce furent uniquement 1,2 minutes!
Ceci étant dit, il est clair que ce référendum, organisé et mené à bien uniquement par un mouvement populaire, a été un grand succès. Il transmet une mission claire aux partis parlementaires: exiger du gouvernement, lors du débat officiel de cet automne, un engagement ferme d’organiser une votation populaire (ĉar Aŭstrio havas la ŝancon, kiel Svislando, disponi pri popoliniciataj referendumoj) sur la sortie de l’UE selon le texte de ce référendum signé par plus d’un quart de million d’Autrichiens.
Renate Zittmayr, Hofkirchen im Traunkreis (Membre du comité hors-partis du référendum sur la sortie de l’UE)
(Traduction Horizons et débats)
horizons-et-debats.ch/index.php?id=4676
EN FRANCE IL Y A FRANCOIS ASSELINEAU
François Asselineau invité du Grand Forum sur Radio France-Maghreb 2 - Union Populaire Républicaine | UPR
16/02/2017
La lutte des classes toujours
Espagne 1873,la première république, il y avait deux tendances les "unitaires" et les "fédéralistes" mais sous les discours institutionnels ils représentaient deux public de classe différent :
*
Publié dans histoire, Lutte des classes, Philosophie | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer
09/02/2017
l'UPR dénonce l'insolence d'une caste de dictateurs non élus
Communiqué : l’UPR dénonce l’insolence d’une caste de dictateurs non élus, acquise aux intérêts américains
Dans un entretien à l’International Herald Tribune lundi 17 juin 2013, José Manuel Barroso a qualifié de « réactionnaire » la volonté de la France d’exclure l’audiovisuel des négociations relatives à l’établissement d’un marché transatlantique.
Une semaine plus tard, lundi 24 juin 2013, il a indiqué à l’intention d’un ministre français, qui s’était ému de cette attaque, qu’« il faudrait que certains responsables politiques français abandonnent certaines ambiguïtés vis-à-vis de l'Europe et la défendent davantage vis-à-vis du nationalisme, du populisme, voire du chauvinisme ».
Cette violence verbale et ces propos haineux s’expliquent probablement par le souci de José Manuel Barroso de servir avec empressement, comme à son habitude, les intérêts stratégiques du pays qui a fait sa carrière : les États-Unis d’Amérique.
L'UPR rappelle en effet que cet individu, qui fut en 1974 le responsable des étudiants maoïstes, fut repéré et cornaqué par Frank Carlucci, ambassadeur américain au Portugal entre 1974 et 1977 et membre éminent de la CIA, dont il a été directeur général adjoint de 1978 à 1981.
Devenu ensuite Premier ministre du Portugal, en 2002, José Manuel Barroso avait alors totalement inféodé son pays aux États-Unis d'Amérique. Il avait notamment soutenu aveuglément le déclenchement de la guerre illégale en Irak. Il était même allé jusqu'à vouloir brader, par une vente de gré à gré en 2003, la société nationale portugaise de pétrole à Carlyle, fonds d’investissement des familles Bush et Ben Laden, dirigé par Frank Carlucci, renvoyant, de cette sorte, l’ascenseur à son mentor.
C'est suite à ce scandale que José Manuel Barroso quitta ses fonctions de chef de gouvernement portugais pour être nommé aux fonctions de Président de la Commission européenne, par simple cooptation et sous pression anglo-américaine.
Les injures proférées par ce collaborateur patenté « du nationalisme, du populisme, et du chauvinisme » atlantistes à l'encontre de responsables politiques français, témoignent de l’insolence croissante de la caste dirigeante européiste.
Non élue, vivant dans un luxe insolent et méprisant le malheur et la misère dans laquelle ses politiques plongent des dizaines de millions de personnes en Europe, cette toute petite classe d'apparatchiks se permet de défier avec mépris la démocratie et la souveraineté des peuples et de traîner dans la boue les responsables politiques nationaux qui lui résistent ou qui, tout du moins, font semblant.
L'Union Populaire Républicaine (UPR) rappelle qu'elle invite le peuple français à libérer la France de cette tyrannie de plus en plus visible, en faisant sortir la France de l'Union européenne, de l'euro et de l'OTAN.
Publié dans libertés, Lutte des classes | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer
24/01/2017
le choc des deux droites
22/1/2017 le magasine hyper-bourge « Le Point » titre « le choc des deux gauches » non ! c’est le choc des deux droites, je regrette !
Valls est un réactionnaire de droite c’est clair !
Et Hamon son programme c’est du Giscard de 74, relisez le ! et souvenez-vous de 74,(autre preuve un qui a bien vu ça :http://www.agoravox.tv/actualites/politique/article/benoi...) c’est un programme pour bourgeois bobos post 1968 giscardiens, quand le capital sentait qu’il fallait préparer une nouvelle époque pour le troupeau des travailleurs, et surfait sur les nouvelles idées à la mode, maintenant sanctuarisées et devenus la nouvelle religion (écologie, sécuritarisme, etc). Donc la droite libérale.
Quand au « revenu de base», depuis les projets de la Finlande, et les raisons de ce projet ! depuis le ralliement massif des forces de droite, depuis la critique qu'en a faite Bernard Friot, on sait que c’est une réforme de droite, un outil de lutte de classe patronale, « la roue de secours du capitalisme ».
12/01/2017
Kion volas la popolo la kapitalistoj net la ŝtatajn instancoj ne volas
FMI ekatakas Francion, kiel ĝi faris por Grekio, tio estas la klasbatalo. Kion fari ? unuavice eliri el tiu raktakaptilo :Eŭropunuiĝo kaj Eŭro.
http://www.onsaitcequelonveutquonsache.com/2015/10/le-fmi...
Publié dans libertés, Lutte des classes, Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer
10/12/2016
la fameuse "transition" ! le grand capital international se cherche toujours des rastaqouères pour se faire d fric sur le dos des peuples mis en esclavage !
https://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=...
oui, ce Saif-al-Islam ils le trouvent "modéré", et prêt à entamer une "transition" (leurs fameuses "transitions" ! on a compris ! ) vers la "démocratie" (on sait que chaque fois que la presse "La Voix de nos Maîtres" parle de "démocratie" elle ajoute aussitôt en bout de phrase (ou même si elle n'ajoute pas c'est bien à ça et uniquement à ça qu'elle pense) "le libre marché" comprenez le capitalisme et les investissements étrangers !
Et au cas ou on n'aurait pas compris dans la foulée on rappelle qu'il est diplomé de la "London School of Economics"
(je remarque au passage que les fabricants d'ordinateurs, de sites internets, et de moteurs de recherches, ont de plus en plus tendance à empêcher les GENS de voir l'adresse internet où ils sont, de la CACHER sous une vague appellation, qui n'est pas l'adresse et à laquelle l'ordinateur ne risque pas de répondre, gardant ainsi SOUS LEUR POUVOIR SECRET DISCRETIONNAIRE ET TOTALITAIRE la possibilité de s'y rendre, pour l'instant il y a encore des commandes qui permettent de FORCER LA VISUALISATION de l'adresse, mais parions, que comme la suppression de l'argent liquide ils ont planifié la disparition totale et l'impossibilité pour les GENS d'avoir accès aux adresse internet des pages où ils sont et où ils vont. Pour toujours plus de mise en esclavage et de tyrannie incontrôlable !!!!!)
et si Saif al Islam est "plus interessant" (pour les propriétaires des merdias, donc le grand capital) que ses frères et soeurs, c'est qu'il doit être moins intéressant pour le peuple lybien ! on parie ?
11/11/2016
"vous imaginez ce qu'ils penseraient de Moscou à Pékin et de Buenos-Aires à New-Delhi si c'était moi qui succédait à hollande ?!"
voilà quelle serait la politique étrangère de François Asselineau :
"redorer notre France en tous points sur la Terre" comme ils disent dans la chanson : https://www.youtube.com/watch?v=7Kq7gLVG3vU
06/11/2016
la société capitaliste actuelle est plus totalitaire que tous les régimes communistes du passé, et même que la théocratie catholique d'autrefois
trouvé sur internet une dimension dont certains propagandistes ont l'air d'ignorer (intentionnellement ? car ils appartiennent au même clan!)
"On agite partout l’épouvantail du « totalitarisme » et son contre-modèle « les droits de l’homme » : mais qu’est-ce qui est totalitaire aujourd’hui sinon le fonctionnement des grands groupes capitalistes. Dans son ouvrage « Lénine, les paysans, Taylor », le sociologue Robert Linhart montre que l’organisation du travail est aussi et toujours un dispositif de domination.
Le capitalisme néolibéral pousse ce dispositif à son extrême limite. Depuis environ 2003, il a renforcé le pouvoir discrétionnaire de l’employeur par l’introduction de méthodes de gestion individualisée des performances.
Ces méthodes, couplées à l’enregistrement de l’activité (la traçabilité) et articulées à des menaces de licenciement, ont transformé en profondeur le monde social du travail. Le mesurage comparatif des performances entre les travailleurs n’a pas apporté de la « justice » dans le jugement et le traitement des salariés. Il a au contraire exalté la concurrence entre les individus et généré le chacun pour soi : un isolement individuel et une méfiance généralisée d’autant plus exacerbée qu’on monte dans la hiérarchie. Les fondements de la loyauté, de la confiance, de l’entente, sont sapés. La solitude et la peur sont entrées dans l’entreprise. Comme dans la société totalitaire le contrôle « policier » est partout. Sur le lieu du travail, organisé en « open space », chacun est à chaque instant au vu de tous les autres mais pourtant chacun s’enferme dans sa fonction et n’échange plus que des messages techniques. Chacun est tenu, souvent quotidiennement, de rendre compte de chacune de ses actions, que l’informatique enregistre par ailleurs à l’insu de ses utilisateurs. Les « reporting » se multiplient et les « procédures » sont de plus en plus contraignantes. La séparation de l’espace public et de l’espace privé est abolie : le travailleur (particulièrement le cadre) doit être joignable à tous moments. Il est sommé de se conformer à la « culture d’entreprise » et de manifester sa soumission à la fois dans ce qu’il fait mais aussi dans sa pensée et même sa manière d’être (sa motivation). Le monde du travail devient ainsi le lieu d’une servitude généralisée caractéristique de la société totalitaire. A tout cela s’ajoute souvent un culte de la personnalité du « dirigeant ». Chaque travailleur est informé de chacun des déplacements de ce dirigeant, sa parole est répétée, ses initiatives sont vantées par le service « communication ». Il est traité à l’égal d’un demi-dieu et reçoit en gratification des sommes démesurées comme s’il était destiné à vivre plusieurs vies.
Tous les ingrédients du totalitarisme sont présents : atomisation sociale, disparition de l’espace privé (société civile), contrainte et peur généralisée, propagande, culte de la personnalité, volonté de tout maîtriser. Le licenciement tient lieu de goulag et le contrôle de gestion de police politique. La propagande est organisée par la « communication interne ». Ce monde est si brutal qu’il conduit parfois à des suicides. Mais sa brutalité et son totalitarisme mêmes ôtent toute crédibilité à sa prétention de refuser toute remise en cause sous le prétexte d’un risque de « glisser dans le totalitarisme ». Ce qui est le plus contraire à la démocratie est ce qui la rend d’autant plus nécessaire et urgente. Il serait permis de rêver que ce soit la base d’un retour à la démocratie."
Publié dans libertés, Lutte des classes, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer
26/10/2016
" les banquiers se marrent !- c'est les banquiers qui ont organisés ça "
un humaniste de gauche (je dirais même d'extrème-gauche) remet les choses en place et appelle un chat un chat*
*"et quand je parles avec eux c'est pas pour ça que je deviens royaliste ! faut arrêter d'être con !"
10/10/2016
les présidentielles ça approche
et si François Asselineau gagne les élections que va-t-il se passer ?
Asselineau voilà la réponse à la question qui est posée à la fin de cet article :
29/09/2016
la lutte des classes ça a toujours éxisté
y compris en Egypte en antique
Vers 2250 av J-C il y a eu une révolte populaire pas piquée des vers. Et comme toujours également ce sont les riches qui racontent l'histoire !
Donc comme pour la révolution française ou la révolution russe on a entendu les comtesses se plaindre à quel point ils ont été malheureux à cause des méchants révolutionnaires; pareil les textes égyptiens qui nous sont parvenus racontent ça du point de vue des grands, ceux qui à l'époque avaient le monopole des tombes des rituels et des momies, mais le peuple en a voulu aussi !
donc l'article est très intéressant, ici :
http://www.matierevolution.fr/spip.php?article222
les statues de Khepren furent brisées par la foule en furie et jetées dans un puits, ils devaient en voir gros sur la patate le petit peuple égyptien ! on ne dit pas ça aŭ touristes qui vont visiter Gizeh !
et comme je disais, rien de nouveau sous le soleil, même la propagande hypocrite des colonisateurs ça existait déjà aussi, tu te souviens du temps des colonies que quand on allait massacrer une population on appelait ça une opération de "pacification". De même les USA apportent la démocratie aŭ méchants irakiens; ils viennent humanitairement protéger à coup de bombes à l'uranium appauvri les kossovars ou les bosniaques qu'on filme à travers une cloture de fil de fer barbelé (le journaliste à l'intérieur le bosniaque dehors, mais le mougeon de téléspectateur ne le savait pas !) exprès pour faire chic, contre les vilains serbes autogestionnaires. Bref les égyptiens avaient déjà ce toupet là ! quand ils allaient razzier les nubiens (des noirs, il y avait de l'or en Nubie, et les égyptiens aimaient bien l'or, donc les premiers colonisateurs qui aient volé les ressources naturelles des noirs ce furent les égyptiens, qu'on se le dise !) comment décrivaient-ils leur opération guerrière ? je vous le donne en mille : en ces termes, défense de rire !
« Cette armée alla en paix : elle entra, comme il lui plut, au pays des Hiroushaïtou. Cette armée alla en paix : elle écrasa le pays des Hiroushaïtou. Cette armée alla en paix : elle fit brèche dans toutes leurs enceintes fortifiées. Cette armée alla en paix : elle coupa leurs figuiers et leurs vignes. Cette armée alla en paix : elle incendia toutes leurs maisons. Cette armée alla en paix : elle massacra leurs soldats myriades. Cette armée alla en paix : elle emmena leurs hommes, leurs femmes et leurs enfants en grand nombre, comme prisonniers vivants, ce dont Sa Sainteté se réjouit plus que de toute autre chose. »
Publié dans histoire, Lutte des classes, Philosophie, rire | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer