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02/04/2021

un pape, un vrai

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Voyage en Irak, les "risques insensés" du Pape
12 Mar 2021 
Tels que les rapporte le chef du bureau de Rome du Washington Post (très favorable à François, et très pro-vaccin) qui était à bord de l’avion papal. C’est comme si le chef des catholiques avait dit: « faites ce que je dis mais pas ce que je fais ». Mais que croit-il, au juste, au sujet du virus et des mesures de confinement et de distanciation?
Pourquoi le Pape en Irak a-t-il ignoré le risque Covid? 
[ben ! Parce qu’il est chrétien tout simplement, non ? s’il s’était montré apeuré par le risque covid c’aurait été un AVEU ! Un aveu qu’il n’a pas la foi ! Et qu’il ne croit ni en Dieu ni à la vie après la mort ! (il est vrai que la grande majorité des « chrétiens » font cet aveu ! Et se conduisent exactement comme des athées … Par ailleurs en tant que successeur de Saint Pierre et représentant du Christ sur terre on attendrait de lui un peu de courage ! d’ailleurs TOUT chrétien n’est-il pas appelé théoriquement à suivre le Christ et à porter sa croix. Il est vrai que peu de papes ont été conformes à ces desiderata ! À part peut-être, sans le vouloir, ceux qui, justement, ont eu un peu le même destin que le Christ et ont été empoisonnés !)
Les doutes de l’envoyé du WP
https://www.aldomariavalli.it/2021/03/12/perche-il-papa-in-iraq-ha-ignorato-il-rischio-covid-i-dubbi-dellinviato-del-washington-post/embed/#?secret=Gjq6fuL1Vu
Le correspondant du Washington Post sur le vol papal, pour le voyage de François en Irak, a écrit un article à contre-courant. Tout en soulignant l’importance historique du voyage, il a posé quelques questions concernant le coronavirus.
A presque tous égards, écrit Chico Harlan, le voyage du pape François en Irak a été extraordinaire. Il s’est rendu dans un pays qu’aucun pape n’avait visité auparavant , à une époque où peu d’autres personnalités mondiales voyagent. Il a prié à l’endroit même où, il y a moins de sept ans, le chef de l’État islamique avait proclamé un califat qui conquerrait Rome. Les foules l’ont vénéré. Mais voilà : presque partout où François est allé, il y avait des foules. De grandes foules de personnes non vaccinées, épaule contre épaule. La messe en plein air de François à Erbil a été suivie par une foule presque digne du Super Bowl, mais dans un stade beaucoup plus petit que celui qui accueille la finale du championnat de football américain, et très peu de personnes portaient des masques. Le plus surprenant a été une messe en intérieur à Bagdad, dans une église remplie de gens qui chantaient, avec une ventilation quasi nulle. Harlan écrit : « C’était comme être dans un réacteur nucléaire pour la production de coronavirus. »
Avant le voyage, rappelle le correspondant du Washington Post, le Vatican a offert à tous les journalistes de la suite papale (plus de soixante-dix), deux doses du vaccin Pfizer-BioNTech. « Au début, cela semblait être un cadeau, de la part de l’un des très rares États qui dispose d’une abondance de vaccins. Mais quand le voyage a commencé, j’ai compris : on nous vaccinait parce que nous allions abandonner un grand nombre de règles concernant la pandémie. »
En Irak, poursuit le journaliste, « nous avons travaillé dans la foule, nous avons voyagé à l’étroit dans un bus, nous avons fait six voyages en avion en soixante-douze heures, nous avons mangé des repas préemballés dans des récipients en plastique. Dans un hôtel où nous nous sommes entassés pour un dîner buffet, j’étais dans un ascenseur avec trois ou quatre personnes ». Heure après heure, notre garde a baissé et nous sommes revenus à des comportements pré-Covid : « Une seule chose m’a permis de rester calme: le vaccin. C’est pourquoi mes pensées reviennent sans cesse aux personnes qui n’ont pas bénéficié de la même protection que nous, comme les catholiques entassés pour la messe à Bagdad. Je me suis demandé : qui, parmi ces foules, tombera malade dans les deux jours qui suivent ? Est-ce que même une messe peut conduire à la mort? »
Lors du voyage de retour à Rome, Chico Harlan a pu demander directement au pape comment il avait évalué les risques du voyage et s’il était préoccupé par la santé de ceux qui s’étaient rassemblés pour le voir. La réponse a été qu’il avait profondément réfléchi au voyage, qu’il avait prié et pris la décision en connaissant les risques et en étant convaincu que Dieu prendra soin des Irakiens qui ont pu être exposés au virus.
Harlan, cependant, ne cache pas son malaise. Le pape, vacciné, s’y est rendu, avec ses collaborateurs et les journalistes (tous vaccinés) parmi les foules à risque. Au Vatican, rien de tel ne serait jamais autorisé. Si l’on considère qu’en Irak très peu de tests sont effectués et qu’il y a des milliers de nouveaux cas par jour, avec la présence de nombreux variants, alors qu’une campagne de vaccination n’en est qu’à ses débuts, ce que le journaliste a ressenti est compréhensible. 
[non ! Enfin compréhensible de la part d’un amerloque et d’un « mougeon » !] Le pape, qui a toujours recommandé le respect des règles anti-Covid et a été parmi les premiers à se faire vacciner, affirmant qu’il s’agit d’un devoir éthique, a en fait exposé de nombreuses personnes à un risque.
Le dernier jour du voyage, 
écrit Harlan, tant que nous sommes restés à Bagdad, c’était comme si le coronavirus n’existait plus, à tel point que nous avons pris le petit-déjeuner-buffet habituel sans distanciation sociale. Mais ensuite, une fois de retour à Rome, la « réalité » est revenue. Le journaliste raconte que dans le taxi, il portait un masque FFP2 et qu’ensuite, au lieu de rentrer chez lui, il s’est rendu dans un bed and breakfast pour une quarantaine volontaire. Avec la pensé toujours tournée vers les foules en Irak."

Être chrétien ça n'est pas incompatible avec l'utilisation des principes basiques de l'analyse marxiste des comportements et des discours, il est vrai que les principes de La Fotaine peuvent suffire ! il sont déjà très clair ! https://rumble.com/vf3di3-dictature-covidiste-et-droits-d...

09/03/2021

la vraie vie

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avez-vous remarqué qu'on ne voit dans notre pays pratiquement plus jamais de mères (ni de pères, ni de grands-parents) tenant leur enfant dans les bras ?

bizarre ! vous trouvez ça normal ? Moi pas.

ça nous prépare une drôle de génération.

 

21/02/2021

regardez la fin du film "vaccination covid le crime parfait" (2h 17-19min) et ..

Bravi abbracciatevi come eravamo abituati a fare 

(pour voir le film  https://dissidencetv.fr/13/12/2020/sante/covid-19/vaccina...    )

autre lien  : https://gloria.tv/post/HXCVVmWeZYyA4FQgFR8DiEpPf

 

Et ici vous avez l'aspect LUTTE DES CLASSES (Business-Plan si vous préférez) du problème, vive l'UPR qui enfin met le doigt là où ça fait mal ! là où se trouve la racine de toute cette "stratégie d'ensemble du grand capital" (certains diront "conspiration", aucune importance ! ce n'est qu'une question de vocabulaire, les faits, eux, sont tétus !) 

un petit réconfort :

écoutez au début de ce discours brillant , magistral et véritablement HISTORIQUE, le sottisier des Covidistes maniaquo-fascistes avec lesquels Florian Philippot fait rire son auditoire.
Que les français retrouvent leur goût autrefois traditionnel (avant qu'on ne baillonne Dieudo) du rire même contre les fascistes totalitaires est peut-être un signe réconfortant ? comme il le fut sur les ondes de la BBC autrefois : 

bref, avec le reflux de l'épidémie, quelque aie été la politique menée ( ... ), nos fascistes 2.0 "se trouvent bien dépourvus", ils l'ont "dans l'dos" !

Entrez en résistance ! Diffusez le message avec un pochoir et de la peinture sur le sol des trottoirs et aux arrêts de bus. Les gens le liront en marchant. Vous trouverez les meilleurs endroits où ils y a beaucoup de passage, et a l'abri des caméras !
Devant les écoles (attroupement des parents), devant les boulangeries, boucheries, coiffeurs, etc ...

06/02/2021

dansez enlacés

dansez enlacés ! Tant que vous n'aurez pas repris l'habitude (comme dans "Chronique de la rue aux Moineaux") de danser enlacés, dans des lieux ouverts, non rackettés par la pègre, ni à l'entrée par des gorilles privés, et interdits de fumer, la France ne sera pas redevenue une société civilisée.

 

Et regardez cette interview de jean-Jacques Crévecoeur, c'est un des grands moments de l'humanité (oui,  vous savez,  nous sommes en plein dans un noeud de l'histoire de l'humanité  comme 40-45)


(la page  :  https://www.f  rancesoir.fr/opinions-entretiens/le-defi-de-la-verite-jean-jacques-crevecoeur )

et écoutez ce qu'il dit à la 7ème minute

14/12/2020

câlins

mon « petit » (devenu le plus grand et le plus lourd des deux) chat noir est un sacré hypocrite, du genre des gosses qui disent « ma petite maman chérie ! donnes-moi un bonbon ! ».
Je regrette, moi j'étais vraiment câlin, et quand je faisais des câlins c'était pour les câlins eux-mêmes. Je sais il y aurait des gens, je sais que ça existe chez les psy-machins-choses, qui trouveraient le moyen de dire que c'est aussi une forme d'égoïsme, etc, ouais les sophismes ! en tous cas c'est toujours mieux que leur cynisme incontestablement et à 100% égoïste et déshumanisé, très à la mode dans la vulgate d'aujourd'hui (c'est peut-être pour ça que la société actuelle justement devient tellement inhumaine et déboussolée).



07/12/2020

Brigitte Bardot - lisez son dernier livre "mes larmes de combat" - "vous, la femme-enfant, vous résistez quand les autres cèdent et vous donnez un exemple de dignité"

Brigitte Bardot : les vraies valeurs :

https://ru-clip.net/video/5w7XvRVEbeY/brigitte-bardot-le-...

le début est à réécouter en boucle !

 

QUAND retrouverons-nous l'amour de ces valeurs !

 

ce qu'elle dit sur les animaux est le bon sens même, elle est comme Elian-J Finbert le bon sens même, elle seule récemment a eu le courage et la dignité de soutenir les gilets jaunes, après avoir dans les années 50 soutenu le droit au plaisir et à la liberté (de nos jours de nouveau diabolisé !), elle a tout du long été une bête traquée, et d'un courage désarmant.

par ailleurs : https://www.persee.fr/doc/comm_0588-8018_1963_num_2_1_967    (Evelyne Sullerot, encore une qui toute sa vie s'est montrée d'un grand courage et d'une vraie humanité contrairement aux féministes de maintenant !)

 

"vous, la femme-enfant, vous résistez quand les autres cèdent et vous donnez un exemple de dignité"

Evelyne Sullerot Brigitte Bardot et l'O.A.S.(c'était l'époque où la France était encore un pays civilisé et  à VISAGE HUMAIN ! ... époque lointaine maintenant).

« Que Brigitte Bardot ait résisté à l'O.A.S., voilà un événement que les historiens compareront à l'appel du 18 juin. Le vénérable Times de Londres ne s'y est pas trompé... D'un côté les généraux rebelles ou complices, les régiments pourris, leurs chars et leurs avions, de l'autre B.B., sa secrétaire, son producteur, son coiffeur et son chien. » C'est en ces termes que Jeune Afrique (n° 62) rendait compte de 1' « analyse spectrale des forces politiques en France au début de 1962 ».

Une analyse spectrale de Brigitte Bardot, du mythe Bardot, à la même époque, à l'inverse, donne un tableau très net des lignes politiques de la grande presse.

Après la fracassante publication par VExpress du fac-similé de la lettre de menaces de l'O.A.S. à B.B. et de la réponse que celle-ci envoyait à l'hebdomadaire de gauche, le mythe Bardot subit en effet un choc si rude que l'image B.B. se multiplia à l'infini sur la longue bande de l'actualité. Mais ces Brigittes se regroupent très vite, dès les 1er et 2 décembre 1961, selon quelques lignes de force.

Car un phénomène, privilégié et rare, vient de se produire : il y a conjonction soudain entre le mythologique (la supervedette aphrodisiaque Bardot), le fait divers tragique (le chantage à la bombe, le racket, les 5 000 000, « payez secrètement », etc.), et le politique (« les inspirateurs de ce genre de lettres seront rapidement mis hors d’état de nuire s'ils se heurtent partout à un refus net et public de la part des gens qu'ils cherchent à terroriser par leurs menaces et leurs attentats », écrit Brigitte. Jusqu'ici on peut imaginer un racket bassement crapuleux. « En tous cas, moi, je ne marche pas, parce que je n'ai pas envie de vivre dans un pays nazi »,

(c’est ce qu’elle a refusé toute sa vie ! suivez ses combats, c'est ça)

écrit ensuite la déesse menacée. Cette fois nul doute n'est permis : c'est de politique qu'il s'agit.)

Une analyse des réactions de la presse, radio, télévision, dans le mois qui a suivi permet de conclure que, de ces trois aspects, le politique a prévalu, et de très loin. Dans presque chaque cas, la répercussion de la nouvelle et sa présentation ont été une utilisation à des fins politiques du geste de Brigitte Bardot. Du moins à court terme.

Une jeune femme charmante, simplement vêtue, cheveux libres et non pas échaffaudés sur le sommet de la tête, sourire enthousiaste et sain, apparaît en photographie au milieu de la page politique de VHumanité. « Je ne veux pas vivre dans un pays nazi » déclare en titre cette fraîche maquisarde. Elle gardera sa place en page politique pendant plusieurs jours. Sur les thèmes « elle n'a pas cédé », « elle est antinazie », V Humanité fait de B.B. un symbole. On va interviewer « les milieux artistiques », et les artistes, les uns après les autres, se solidarisent avec la courageuse (Paul Frankeur), s'élèvent contre « la propagande simpliste de ces gens-là qui s'imaginent intimider les vedettes riches en leur faisant craindre ' le collectivisme qui doit suivre le régime actuel ' — texte de la lettre de l'O.A.S. à Brigitte Bardot — qui les dépouillera » (Daniel Gélin) ; « Elle a raison » dit Roger Pierre ; « Elle a du courage » renchérit Sophie Desmarets, etc. « Le syndicat français des acteurs exprime sa solidarité à Brigitte Bardot ». Douze jours après « l'événement » Brigitte est encore en première page de V Humanité dans un billet d'André Wurmser, car à Alger, dans un cinéma, on a sifflé B.B., « la B.B. qui n'a pas voulu que Salan la soutienne, la garce ! » L'O.A.S. devient « L'Organisation Algérienne des Souteneurs » et la blonde vedette une femme de tête (politique) « qui ne veut pas être Casque d'Or ». Mais l'imitation du langage vert des faits divers crapuleux ne trompe pas : c'est la politique, — grandes causes, grands effets, pas de hasards, — qui sert de cadre à ce sourire fameux.

C'est aussi dans l'éditorial politique que B.B. prend place dans Libération. B.B.B. = Bravo Brigitte Bardot ! On lui parle gentiment et franchement : vous êtes agaçante, vous étalez trop votre vie privée, mais au fond vous, la femme-enfant, vous résistez quand les autres cèdent et vous donnez un exemple « de dignité ». Enfin, à la dimension de l'utilisation politique s'en ajoute une autre qui va être reprise ou contestée ici et là : Vous n'avez pas, vous, besoin de publicité ; vous avez accompli là un « geste pur ».

Qu'elle « s'en aille » en guerre ou à Moscou, dans les journaux d'extrême droite B.B. s'en va. Cette publicité de mauvais aloi en fait une fille dangereuse ou bien idiote : « L'opération B.B. ne doit rien à Brigitte » suggère Aux Écoutes. B.B. n'a pas d'opinion bien définie. Les aventures militaires de ses jeunes amants appelés successivement au service militaire (Trintignant, Charrier, Frey) seules l'ont rendue antimilitariste. Le nom d' « armée » la met du coup en rage. Qu'une « armée » lui demande encore de l'argent, la coupe est pleine ! La lettre, elle, a été rédigée par des « conseillers en relations publiques ». Brigitte, la pauvre oie, a seulement signé. D'ailleurs elle est pingre. « Même à Alger nul n'ignore que B.B. n'est pas de celles qui cotisent », soufïle-t-on aussi à droite où on se réjouit de la mauvaise humeur du Président de la République à tout ce bruit, qui fait un peu de la belle « le médecin de l'honneur » de la République, comme le suggère le Monde. De toutes façons, ajoute-t-on, cette prétendue lettre O.A.S. doit être un faux. Enfin le résultat le plus immédiat est la disparition soudaine du nom de Brigitte Bardot de la rubrique de l’Aurore « Choisissez la vedette que vous voulez voir » (6 décembre) où elle avait toujours figuré en 2e place alphabétique.

Bien sûr on tremble pour elle, et il semble miraculeusement brave qu'elle ose sortir le lendemain « avec son petit chien » et « un foulard violet » de chez elle où s'étale justement une menaçante inscription O.A.S. La concierge, elle, a très peur. Mais ce que l'on souligne, c'est que B.B. s'arrête « pour remercier le gardien de la paix chargé de la surveillance de son domicile », et surtout les titres insistent : « Rackettée par l'O.A.S. » elle n'a pas voulu céder au chantage. On ne cache pas qu'elle ait écrit à « l'hebdomadaire l’Express » ni qu'elle ait donné les raisons politiques de son attitude. B.B. devient un symbole républicain et un exemple de civisme. Paris-Match rappelle avec photos à l'appui qu'à Saint-Tropez elle va voter dès huit heures du matin aux référendums, tentant de « faire son devoir de citoyenne » sans attirer l'attention. Cependant la photographie vedette est celle d'une énorme affiche de film sur un mur, la représentant, et sur laquelle un plaisantin gaulliste avait collé, devant les célèbres lèvres, un papillon OUI. La légende est honnête : « Sur ses affiches on la faisait déjà parler politique » — mais minuscule ; tandis que le titre qui couvre toute la page affirme, au-dessus de ce OUI : « Elle n'avait pas attendu l'O.A.S. pour avoir une opinion. »

« Vive Brigitte ! » vibre partout et vibre longtemps, jusqu'à Noël en tous cas : à ce moment-là les vœux et les prévisions vont leur train. On salue au Canard enchaîné à l'occasion de la nouvelle année « notre B.B. nationale », « la fille la plus déshabillée de l'écran mais aussi la plus culottée », « Bravo Brigitte, on préfère votre plastique au leur ! »

La hargne de la droite ne s'apaisera que très progressivement. L'émission de télévision du 5 janvier 1962 où B.B. apparut sérieuse et désireuse de con- vaincre pour demander qu'on modifie la façon de tuer les bêtes dans les abattoirs, si elle fait pleurer d'attendrissement et de respect la plupart des journaux de l'extrême -gauche au centre, n'est encore annoncée dans le Parisien libéré et dans V Aurore que par des titres semi-humoristiques : « Veaux, vaches, cochons, couvées crient pitié par la voix de Brigitte Bardot » qui « plaidera la cause des animaux nutritifs ». Mais cette mauvaise humeur de la droite ne pourra pas résister très longtemps devant les succès des nouveaux films de la vedette anti-O.A.S. : Vie privée, et le Repos du guerrier qui sortiront dans l'année.

Cependant à la radio, à la télévision que tout à coup, en janvier, elle a envahi coup sur coup après des années d'abstention, ainsi que dans l'immense majorité des journaux (France-Soir, Paris-Presse, Paris-Jour etc., et les journaux de province) le ton pour parler de Brigitte Bardot demeurera différent de ce qu'il était « avant » la réponse à l'O.A.S. C'est un ton empreint d'amitié et de considération qui succède aux débordements erotiques ou puritains, au scandale et à l'ironie comme à l'hyperbole. Une sorte de réflexe, de fraternité civique et nationale a joué. On s'est aperçu que malgré les ennuis, le percepteur agréé de l'État auquel se surajoutait le percepteur gangster de l'O.A.S., malgré la police à sa porte, les menaces de bombes, etc. « notre Brigitte nationale » n'avait pas quitté le sol français, n'était allée ni à Hollywood ni à Moscou et qu'elle continuait comme tout le monde à voter et à se débattre dans ce pays déchiré parce qu'elle l'aimait, parce qu'elle était bien française. Ce n'est pas elle qui irait, comme Gina Lollobrigida, se réfugier au Canada pour éviter sa feuille d'impôts nationale.

Il est réconfortant que sur le sol de France vive la plus belle fille du monde, et qu'elle prouve de surcroît qu'elle a de la tête, et une tête républicaine, contre des menaces de mort, et qu'elle a du cœur puisqu'elle plaide pour « ces amis muets que sont les bêtes ».

(les trisomiques, et Vincent Lambert aussi sont "nos amis muets" - ma note)

Evelyne Sullerot. (militante féministe, qui fut à la fin de sa vie la protectrice de "SOS-papa")

 

05/12/2020

ĝis ebriiĝo jen prefere

—laŭ melodio Minora sankta muziko

2.
La homa vivo daŭras efemere.
Ne lasu bonan tempon
kaj belan pejzaĝon forflugi ŝtele!
Malbona sorto nia estas destinita
jam en antaŭa vivo vere,
ne penu per plenforto vane.
Plibone kantu ĉagrenpele
kaj drinku ĝoje kun amikoj
ĝis ebriiĝo jen prefere.
Ignoru kiel lun’ kaj sun’ alternas
navede kaj libere.

Yuan Haowen (in poèmes de la dynastie Yuan, traduits par "Vejdo" publiés chez libroj de MAS,consulter la liste ds livres édités par MAS, il y en a 4 qui sont traduits par moi d'ailleurs, je dis ça je dis rien !)

 

 

lernu ĝin parkere !

(kaj ne estu kiel plenkreskuloj, kiuj "ĉiam survoje estas" (skribis Viko, hispana esperantisto) male "infanoj ankoraŭ sentas, ke ili meritas, ĝiu tion, kio nun okazas. Ili ankoraŭ ne lernis, ke ni, la plenkreskuloj, ĉiam estas survoje por atingi ion.  ..... Kiam ĝi surstratos, facile forgesos la celon,  kaj lasos sin ĝuante la pordojn de konstruaĵo, la ŝtonetojn  sur la trotuaro, la hundojn piedirantajn... Kaj diros vin - Rigardu ! kiom bela balkono !)

kaj ne forgesu : ĝis ebriiĝo jen prefere.

29/11/2020

SOURIRE DE CHAT AVEC CHAT !

Alice au Pays des Merveilles avait vu un sourire de chat sans chat, moi quand mon chat est béat je vois un sourire de chat AVEC chat !!

chat souriant 16 avril 2019.JPG

14/11/2020

tout ce qu'on avait le droit de faire mais qu'on n'a plus le droit de faire

depuis des années je me suis réveillé chaque matin en espérant me retrouver dans le monde normal, et non dans cette réalité alternative. Le monde normal où les hommes peuvent parcourir les collines, prier à l’église,

(plus possible depuis 20 ans : elle sont toutes fermées en permanence, comme autrefois en URSS !)

aller travailler (ça on peut encore !), se prélasser au bord de la mer, écouter un concert (plus possible, il faut avoir réservé des mois à l'avance, sinon pas de place ! même les concerts d'orgue. ça fait une bonne décennie que je ne vais plus au théatre, trop dur !), visiter des musées (où on n'a même pas le droit de regarder les tableaux de près pour voir comment ils sont peint), socialiser avec des amis (où ? pas au café, où tant de choses sont interdite), flirter avec des filles (ah là maintenant srictement interdit ! sinon c'est la prison maintenant on appelle ça de la "violence de porc machiste", du "harcèlement sexuel", autrefois ça faisait partie de la vie normale, c'était une forme de contacts humain, maintenant c'est décrété "crime" ! direction la prison ! (et la ruine, si vous êtes riche, elles vont en profiter pour tout vous prendre), envoyer les enfants à l’école (maintenant il n'y a plus un seul enfant qui va lui-même à l'école, il faut l'y emmener en voiture !); bref, s’offrir les petits plaisirs dont on avait joui même sous Staline ou même au temps du dur régime d’Hitler (quand il était obligatoire de par la loi de porter un masque de rhinocéros sur le visage (ah non !  je me trompe d'époque dans l'Allemagne de 33-45 il était obligatoire de ne croiser quelqu'un qu'en levant le bras droit et criant "Heil" ! enfin, c'est pareil non ?).

(si nous sommes bien sages nous auront peut-être droit à un bon point, pas seulement Castex, Goebbels aurait bien dit ça lui aussi !)

oui, souvenez-vous dans les années 50 Noël c'était la fête des fêtes, une fête "pas comme les autres" ! Les gens ne croyaient déjà plus en Dieu ni aux miracles ni à la vie après la mort, la religion était déjà morte, mais de son passé religieux (on ne souvenait quand-même que c'était censé être la naissance du petit Jésus, et une fête d'espoir) Noël avait gardé une magie inégalable, une "aura" de merveilleux, d'amour, d'espoir, d'enfance, de traditions, plus les sapins, les crèches, les traineaux, les pères Noël, les étoiles, les contes de Noël, tous les revues toutes les  radios se fendaient de leur conte de Noël, même France-Culture - là seulement on en trouvait deplus littéraires ! - et diffusaient des chants (traditionnels) de noël, dans les centre-villes (qui alors étaient plein de monde, maintenant ils sont vides : on n'y voit plus que des flics et des caméras de vidéo-surveillance ! à l'époque ils étaient plein d'adultes, ET d'ENFANTS !  pleins de magasins partout (pas de supermarché à l'époque) pleins de Services Publics, qui fonctionnaient ! plus des cafés (où on avait le droit de fumer bien sûr, et de rire, et de lire le journal), des églises (ouvertes !!! où on pouvait ENTRER sans problème !) et Noël c'était l'époque où  on s'amusait à faire le tour des vitrines, car les commerçants rivalisaient à faire de belles vitrines de Noël décorée, et certaines étaient vraiment extraordinaires !

Barbier il veut le vaccin (avec des "smartdust" dedans) obligatoire (j'ai vu ça sur twitter) sous peine de ne plus pouvoir prendre l'avion ni d'aller au restau et rester au sein de la société! rien que ça....

Il faut une union sacrée maintenant pour virer cette bande de tarés ultra nocifs au service du grand capital !!

"Nos plus grands malades sont...au gouvernement ! Et on a aucun vaccin pour ceux-là !

Réinfo-covid : https://www.reinfocovid.fr/

10/11/2020

sadique

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) 29/10/2020 avant-hier j’ai crié depuis ma fenêtre de cuisine ver mon jardin : « petit Bigarré !» (je nom que j’ai choisi pour le petit minet (multicolore, je crois que c'est ce qu'on appelle "écaille de tortue") de la «Grosse-Manman » noire errante) ; eh bien, je l’ai vu accourir à toute vitesse !
Hier je l’ai encore appelé,il est encore venu, et je lui ai déposé des croquettes sur le ciment, il s’est laissé approcher, mais quend j’ai essayé de le toucher il a sursauté et s’est écarté.
Aujourd’hui 29, dans mon jardin, je l’ai soudain aperçu à un mètre de moi, j’ai dit « mon petit bigarré ! » et il est tout de suite accouru, et jusqu’à mon soulier qu’il a reniflé, avant de s’écarter.
Peut-être que je finirai par l’apprivoiser, comme le renard du Petit Prince ….

) 30/10/2020 aujourd’hui j’ai pu le caresser sans qu’il s’enfuie, il continuait tranquillement à manger.
Je vais l’appeler « Petit Bigarré » alias « Communion des saints »

) 1/11/2020 je comptais finir d’apprivoiser le petit chat aujourd’hui, et le nommer « Petit Bigarré de la Communion des Saints ». Bon, je crois qu’il est mort. Toujours aussi sadique ma vie.

 

le Régime s'attaque à Noël
, à la Toussaint, la fête des la Communion des Saints, il n'a même mas eu besoin de s'attaquer, vu qu'elle est déjà disparue, tuée par Halloween, le machin commercial, amerloque et psychanalytique de la Secte des Adorateurs de  la Mort.