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12/08/2019

natalité : c'est la presse catholique qui avait raison

Non, ce n'est pas de "contrôle (mot anglais ! "to control a desease" = éradiquer   une maladie,"the controls" = les commandes, donc en français veillez à employer un terme français please !) des naissances" que l'Afrique a besoin mais de développement !
Les faits l'ont amplement montré depuis 50 ans.
En effet dans les années 70 tout le monde vous faisait des articles apocalyptiques sur la menace de la surpopulation, sur la nécessité de la pilule, de la capote, de la stérilisation, (éventuellement forcée) du "planning familial", de la réduction des naissance imposée par l'Etat, etc.
La presse catholique Tiers-Mondiste de gauche de son côté disait, et elle était LA SEULE à dire ça, que non, la solution n'était pas dans des politiques de réductions des naissance, mais dans le développement, que quand ces pays se seront développés, la natalité baisserait d'elle-mêmes sans aucune mesure coercitive ni anti-vie.
Le public se moquait d'eux "ouais ! c'est parce que vous êtes cathos !" etc
Ben les faits depuis cette époque ont montré qu'ils avaient bel et bien raison !
On a vu le taux de fécondité dans les pays qui ont accédés à la télévision dans ous les foyers, (très important la télévision,si vous voyez ce que je veux dire !) l'enseignement de plus en plus élevé, le travail salarié pour tous, a civilisation de consommation, la sécurité, la carrière, le standing, etc. ont vu leur taux de fécondité (nombre d'enfants par femme) baisser en chute libre et rejoindre celui des pays d'Europe. Y compris dans les pays idéologiquement opposés à toute politique de réduction des naissances. Regardez une carte des taux de fécondité actuellement !! c'est spectaculaire.
Seuls sont restés avec un taux de fécondité élevé les pays qui sont restés pauvres ! Afrique noire, Yemen,  Afghanistan ...
CQFD

07/08/2019

ce qu'il y a dans un vrai vers


« Pour écrire un seul vers, il faut avoir vu beaucoup de villes, beaucoup d’hommes et de choses….
Ce n’est que lorsque les souvenirs deviennent en nous sang, regard, geste, lorsqu'ils n’ont plus de nom et ne se distinguent plus de nous, ce n’est qu’alors que parmi eux le lève le premier mot d’un vers. »
(Malte Laurids Brigge)
 
Tout à fait d'accord ! Tous les vers des poèmes dont je sens qu'il me faut les apprendre par coeur (car un poème c'est fait pour être appris par coeur, un poème qui ne mérite pas d'être appris par coeur ne mérite pas non plus d'être lu !)  on sent qu'ils sont comme ça, et ceux q'on écrit soit-même si on en écrit (c'est d'ailleurs pour ça que j'en ai écrit très peu)

31/07/2019

Aurore aux doigts de rose

Une fois dans ma vie, hélas une fois seulement ,  j'ai vu Aurore aux doigts de rose, sur la Beauce, j'étais parti de Chateaudun avant le jour, et c'est vrai, à cette heure, quand le ciel est clair, comme en Grèce, il devient à cette heure tout rose. c'est magique.

les gens devraient regarder  plus   souvent  l'aurore. ils seraient meilleurs.

J''ai arrêté ma     voiture et pris  une photo

20/07/2019

les nuits d'été un moment de choix pour contempler les étoiles - oui mais

Cette pollution qui interdit l’émerveillement aux citadins

En 2007, on recensait plus de 6,5 Millions de sources lumineuses (essentiellement des lampadaires). Ces derniers réclament la production d’énergie d’un réacteur nucléaire chaque nuit pour fonctionner. Ce sont des centaines de millions d’euros qui sont engloutis en facture énergétique pour mettre en valeur des quartiers, éclairer des rues et des infrastructures routières.

Pourtant maintenant "les technologies LED qui sont nettement plus durables et moins cher que les traditionnelles lampes à Sodium ou Mercure qui illuminent les villes. L’orientation de l’éclairage a aussi beaucoup d’importance, sachant que les lampadaires les plus polluants sont ceux dits « en forme de boules » qui éclairent autant le ciel que le sol."

La pollution lumineuse entraîne aussi des difficultés pour nombres d’animaux et d’insectes nocturnes en déstabilisant leurs cycles circadiens et attirant ces derniers dans de véritables pièges de lumière.

Il serait pourtant très facile de résoudre rapidement une grande partie du problème, puisque l’essentiel de l’éclairage public est géré par les communes. Les citoyens peuvent donc aisément faire pression sur leurs conseils municipaux pour demander à ce que des lampes soient progressivement remplacées, des heures d’éclairage sans interruption déterminées,
et des lieux ne nécessitant pas d’éclairage mais de simples balises lumineuses à LED établis.

bonne idée ! on s'y met ? pétition ? démarche auprès de votre maire ?

Si en cette froide nuit d’hiver, le temps est clair mais la magnifique constellation d’Orion vous est pratiquement invisible, peut-être faudrait-il demander à votre maire qu’il s’assure que votre droit à contempler l’Univers soit restauré au mieux des possibilités de la commune.

http://www.poilagratter.info/culture-science/336-cette-po...

https://www.youtube.com/watch?v=qZOPFWEe2kM

 

 "Our inability to enjoy our natural heritage of the night sky leaves us far poorer" (Chandra Wickramasinghe)

 

06/07/2019

plaisirs d'autrefois; quand la vie était libre et les églises ouvertes

*

marie16.gif

*

28/06/2019

Marie Laforêt 1969 - Quand nous étions encore libres


16/06/2019

Il faut beaucoup de temps pour établir les libertés. Il en faut très peu pour les supprimer.

méditez cette pensée d'un historien (donc li s'y connait).

https://www.nous-sommes-13-millions.com/2019/02/comme-pou...

 

12/06/2019

c'est fini ! la confiance est rompue par la violence de l'Etat, le mensonge, le mépris

vidéo :
UPR

son lien LIBRE et convivial : https://ytube.tv/watch?v=n69DhLsjBLY

ou https://ru-clip.net/video/n69DhLsjBLY/17-pourquoi-pr%C3%A...

si son idée de ferme communale, et de centrale d'achat pouvait être reprise par des listes municipales (surtout des UPR !) ça serait super ! il y a là une piste pour une renaissance de la démocratie, du socialisme, de la vie locale et rurale, etc, dans notre pays, de la France ! et l'écologie, la lutte contre la mort des sols, le plus grand danger écologique qui nous menace, et de loin, Ce vieux Monsieur est en train d'ouvrir une piste géniale ! Si ça pouvait être suivi ! comme Chouard fut suivi en 2005.
Une renaissance de l'autonomie, qui serait accessible à tous contrairement aux rêves des post- 68-ards. Puisque l'affrontement direct a échoué, faisons, comme on disait dans les années 70 "un pas de côté" !

 

25/05/2019

aimer acceuillir - 2

« You can't get a better feeling than meeting a new little person. Love it. It's probably why we have done it so many times. »

(Sue Radford - anglaise qui a eu 18 enfants)

25/04/2019

La Course au Mouton Sauvage

Il y a un livre que j’aime beaucoup. C’est « La course au mouton sauvage » de Haruki Murakami. Haruki Murakami, japonais féru de tragédie grecque et de jazz est vraiment un auteur très important, à mettre parmi les grands classiques mondiaux, et qui résonne beaucoup en moi.


Voici la fin du dernier chapitre, et LE début de l’Epilogue (et où accessoirement, on constate, à deux détails - vous savez à quel point je remarque les détails que les autres laissent passer, mais qui sont lourds de signification -  que je Japon de 1978 était, l’est-il encore je ne sais, un pays libre et convivial, ce que la France n’est plus) :


« Je ne vis qu’un vieillard qui déblayait à la pelle la neige du rond-point . Un chien efflanqué était assis à côté de lui, la queue toute frétillante.
« Un grand merci, dis-je au chauffeur.
- il n’y a pas de quoi, dit-il. À propos, vous avez essayé le numéro de téléphone de Dieu ?
- Non, faute de temps.
- Depuis que le Maître est décédé, je ne parviens plus à obtenir la ligne. Je me demandes bien ce qu’il se passe.
- Il doit être débordé en ce moment, dis-je.
- C’est possible, dit le Chauffeur. Bon, soignez-vous bien !
- Au revoir », dis-je.
Un train partait à midi juste. Les quais étaient déserts., et je ne comptai guère que quatre voyageurs, moi y compris, dans le train. Je me sentais cependant soulagé de voir des silhouettes humaines. J’étais bien revenu dans le monde des vivants. Dans mon monde à moi, fût-il d’une banalité et d’un ennui suprêmes.
La sonnerie annonçant le départ retentit alors que je croquais ma tablette de chocolat. Le train cahota et, à cet instant, j’entendis le bruit d’une explosion au loin. Je soulevais la fenêtre d’un geste énergique et passai la tête en dehors. Une seconde explosion se fit entendre dix secondes après la première. Le train s’élançait déjà. Environ trois minutes plus tard, je vis s’élever une colonne de fumée noire du côté de la montagne conique.
Et pendant trois bonnes minutes, jusqu’à ce que le train virât à droite, je ne quittai pas cette fumée noire des yeux.

EPILOGUE
« Tout est fini, dit le Docteur ès moutons. Tout est bien fini.
- Oui, c’est fini, dis-je .
- Je crois bien que je dois te remercier.
- J’y ai laissé pas mal de choses.
- Pas tant que ça, fit-il, en hochant la tête. Tu viens à peine de commencer à vivre ?
- Vous avez raison », dis-je.
Quand je sortis de sa chambre, le Docteur ès moutons était couché sur son bureau et sanglotait, étouffant ses pleurs. Je venais de le dépouiller de ses années perdues. Avais-je eu raison ? Je me le demande encore.
« Elle est partie, me dit tristement le propriétaire de l’Hôtel du Dauphin. Elle n’a pas dit où elle allait. Vous n’avez pas l’air d’aller très bien.
- Si, si » dis-je.
Je récupérai mes bagages et m’installai dans la même chambre. La fenêtre donnait toujours sur les locaux de cette énigmatique compagnie. Je n’y vis pas la silhouette de la fille aux gros seins, mais deux employés qui travaillaient à leur bureau en fumant. L’un lisait des chiffres que l’autre reportait sur un immense graphique en traçant une ligne brisée à la règle. Ce n’était plus du tout la même compagnie, eût-on dit, sans doute à cause de l’absence de la fille aux gros seins. Rien n’était identique, sinon que je ne savais toujours pas à quoi l’on s’y occupait. À six heures, les employés partirent et l’immeuble fût plongé dans l’obscurité. »

 

quelques autres citations du livre :

« L’histoire de Jûnitaki était encore longue, mais celle du jeune Aïnou s’arrêtait ici. J’allai aux toilettes, où j’urinai le contenu de deux boites de bières. »

 

«Mais il y avait rangés à l'intérieur de ces cinq doigts et de cette paume comme dans une mallette d'échantillon, tout ce que je voulais et tout ce que je devais savoir de la vie. C'est elle qui m'apprit, en me prenant la main, qu'il existait bel et bien un lieu de plénitude au cœur même de la réalité."

 

Et il y en a encore plein d'autres, qui vous laissent figé dans des abîmes d'émotion, et je ne vous ai pas cité les dernières phrases du livre ...