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07/12/2020

Brigitte Bardot - lisez son dernier livre "mes larmes de combat" - "vous, la femme-enfant, vous résistez quand les autres cèdent et vous donnez un exemple de dignité"

Brigitte Bardot : les vraies valeurs :

https://ru-clip.net/video/5w7XvRVEbeY/brigitte-bardot-le-...

le début est à réécouter en boucle !

 

QUAND retrouverons-nous l'amour de ces valeurs !

 

ce qu'elle dit sur les animaux est le bon sens même, elle est comme Elian-J Finbert le bon sens même, elle seule récemment a eu le courage et la dignité de soutenir les gilets jaunes, après avoir dans les années 50 soutenu le droit au plaisir et à la liberté (de nos jours de nouveau diabolisé !), elle a tout du long été une bête traquée, et d'un courage désarmant.

par ailleurs : https://www.persee.fr/doc/comm_0588-8018_1963_num_2_1_967    (Evelyne Sullerot, encore une qui toute sa vie s'est montrée d'un grand courage et d'une vraie humanité contrairement aux féministes de maintenant !)

 

"vous, la femme-enfant, vous résistez quand les autres cèdent et vous donnez un exemple de dignité"

Evelyne Sullerot Brigitte Bardot et l'O.A.S.(c'était l'époque où la France était encore un pays civilisé et  à VISAGE HUMAIN ! ... époque lointaine maintenant).

« Que Brigitte Bardot ait résisté à l'O.A.S., voilà un événement que les historiens compareront à l'appel du 18 juin. Le vénérable Times de Londres ne s'y est pas trompé... D'un côté les généraux rebelles ou complices, les régiments pourris, leurs chars et leurs avions, de l'autre B.B., sa secrétaire, son producteur, son coiffeur et son chien. » C'est en ces termes que Jeune Afrique (n° 62) rendait compte de 1' « analyse spectrale des forces politiques en France au début de 1962 ».

Une analyse spectrale de Brigitte Bardot, du mythe Bardot, à la même époque, à l'inverse, donne un tableau très net des lignes politiques de la grande presse.

Après la fracassante publication par VExpress du fac-similé de la lettre de menaces de l'O.A.S. à B.B. et de la réponse que celle-ci envoyait à l'hebdomadaire de gauche, le mythe Bardot subit en effet un choc si rude que l'image B.B. se multiplia à l'infini sur la longue bande de l'actualité. Mais ces Brigittes se regroupent très vite, dès les 1er et 2 décembre 1961, selon quelques lignes de force.

Car un phénomène, privilégié et rare, vient de se produire : il y a conjonction soudain entre le mythologique (la supervedette aphrodisiaque Bardot), le fait divers tragique (le chantage à la bombe, le racket, les 5 000 000, « payez secrètement », etc.), et le politique (« les inspirateurs de ce genre de lettres seront rapidement mis hors d’état de nuire s'ils se heurtent partout à un refus net et public de la part des gens qu'ils cherchent à terroriser par leurs menaces et leurs attentats », écrit Brigitte. Jusqu'ici on peut imaginer un racket bassement crapuleux. « En tous cas, moi, je ne marche pas, parce que je n'ai pas envie de vivre dans un pays nazi »,

(c’est ce qu’elle a refusé toute sa vie ! suivez ses combats, c'est ça)

écrit ensuite la déesse menacée. Cette fois nul doute n'est permis : c'est de politique qu'il s'agit.)

Une analyse des réactions de la presse, radio, télévision, dans le mois qui a suivi permet de conclure que, de ces trois aspects, le politique a prévalu, et de très loin. Dans presque chaque cas, la répercussion de la nouvelle et sa présentation ont été une utilisation à des fins politiques du geste de Brigitte Bardot. Du moins à court terme.

Une jeune femme charmante, simplement vêtue, cheveux libres et non pas échaffaudés sur le sommet de la tête, sourire enthousiaste et sain, apparaît en photographie au milieu de la page politique de VHumanité. « Je ne veux pas vivre dans un pays nazi » déclare en titre cette fraîche maquisarde. Elle gardera sa place en page politique pendant plusieurs jours. Sur les thèmes « elle n'a pas cédé », « elle est antinazie », V Humanité fait de B.B. un symbole. On va interviewer « les milieux artistiques », et les artistes, les uns après les autres, se solidarisent avec la courageuse (Paul Frankeur), s'élèvent contre « la propagande simpliste de ces gens-là qui s'imaginent intimider les vedettes riches en leur faisant craindre ' le collectivisme qui doit suivre le régime actuel ' — texte de la lettre de l'O.A.S. à Brigitte Bardot — qui les dépouillera » (Daniel Gélin) ; « Elle a raison » dit Roger Pierre ; « Elle a du courage » renchérit Sophie Desmarets, etc. « Le syndicat français des acteurs exprime sa solidarité à Brigitte Bardot ». Douze jours après « l'événement » Brigitte est encore en première page de V Humanité dans un billet d'André Wurmser, car à Alger, dans un cinéma, on a sifflé B.B., « la B.B. qui n'a pas voulu que Salan la soutienne, la garce ! » L'O.A.S. devient « L'Organisation Algérienne des Souteneurs » et la blonde vedette une femme de tête (politique) « qui ne veut pas être Casque d'Or ». Mais l'imitation du langage vert des faits divers crapuleux ne trompe pas : c'est la politique, — grandes causes, grands effets, pas de hasards, — qui sert de cadre à ce sourire fameux.

C'est aussi dans l'éditorial politique que B.B. prend place dans Libération. B.B.B. = Bravo Brigitte Bardot ! On lui parle gentiment et franchement : vous êtes agaçante, vous étalez trop votre vie privée, mais au fond vous, la femme-enfant, vous résistez quand les autres cèdent et vous donnez un exemple « de dignité ». Enfin, à la dimension de l'utilisation politique s'en ajoute une autre qui va être reprise ou contestée ici et là : Vous n'avez pas, vous, besoin de publicité ; vous avez accompli là un « geste pur ».

Qu'elle « s'en aille » en guerre ou à Moscou, dans les journaux d'extrême droite B.B. s'en va. Cette publicité de mauvais aloi en fait une fille dangereuse ou bien idiote : « L'opération B.B. ne doit rien à Brigitte » suggère Aux Écoutes. B.B. n'a pas d'opinion bien définie. Les aventures militaires de ses jeunes amants appelés successivement au service militaire (Trintignant, Charrier, Frey) seules l'ont rendue antimilitariste. Le nom d' « armée » la met du coup en rage. Qu'une « armée » lui demande encore de l'argent, la coupe est pleine ! La lettre, elle, a été rédigée par des « conseillers en relations publiques ». Brigitte, la pauvre oie, a seulement signé. D'ailleurs elle est pingre. « Même à Alger nul n'ignore que B.B. n'est pas de celles qui cotisent », soufïle-t-on aussi à droite où on se réjouit de la mauvaise humeur du Président de la République à tout ce bruit, qui fait un peu de la belle « le médecin de l'honneur » de la République, comme le suggère le Monde. De toutes façons, ajoute-t-on, cette prétendue lettre O.A.S. doit être un faux. Enfin le résultat le plus immédiat est la disparition soudaine du nom de Brigitte Bardot de la rubrique de l’Aurore « Choisissez la vedette que vous voulez voir » (6 décembre) où elle avait toujours figuré en 2e place alphabétique.

Bien sûr on tremble pour elle, et il semble miraculeusement brave qu'elle ose sortir le lendemain « avec son petit chien » et « un foulard violet » de chez elle où s'étale justement une menaçante inscription O.A.S. La concierge, elle, a très peur. Mais ce que l'on souligne, c'est que B.B. s'arrête « pour remercier le gardien de la paix chargé de la surveillance de son domicile », et surtout les titres insistent : « Rackettée par l'O.A.S. » elle n'a pas voulu céder au chantage. On ne cache pas qu'elle ait écrit à « l'hebdomadaire l’Express » ni qu'elle ait donné les raisons politiques de son attitude. B.B. devient un symbole républicain et un exemple de civisme. Paris-Match rappelle avec photos à l'appui qu'à Saint-Tropez elle va voter dès huit heures du matin aux référendums, tentant de « faire son devoir de citoyenne » sans attirer l'attention. Cependant la photographie vedette est celle d'une énorme affiche de film sur un mur, la représentant, et sur laquelle un plaisantin gaulliste avait collé, devant les célèbres lèvres, un papillon OUI. La légende est honnête : « Sur ses affiches on la faisait déjà parler politique » — mais minuscule ; tandis que le titre qui couvre toute la page affirme, au-dessus de ce OUI : « Elle n'avait pas attendu l'O.A.S. pour avoir une opinion. »

« Vive Brigitte ! » vibre partout et vibre longtemps, jusqu'à Noël en tous cas : à ce moment-là les vœux et les prévisions vont leur train. On salue au Canard enchaîné à l'occasion de la nouvelle année « notre B.B. nationale », « la fille la plus déshabillée de l'écran mais aussi la plus culottée », « Bravo Brigitte, on préfère votre plastique au leur ! »

La hargne de la droite ne s'apaisera que très progressivement. L'émission de télévision du 5 janvier 1962 où B.B. apparut sérieuse et désireuse de con- vaincre pour demander qu'on modifie la façon de tuer les bêtes dans les abattoirs, si elle fait pleurer d'attendrissement et de respect la plupart des journaux de l'extrême -gauche au centre, n'est encore annoncée dans le Parisien libéré et dans V Aurore que par des titres semi-humoristiques : « Veaux, vaches, cochons, couvées crient pitié par la voix de Brigitte Bardot » qui « plaidera la cause des animaux nutritifs ». Mais cette mauvaise humeur de la droite ne pourra pas résister très longtemps devant les succès des nouveaux films de la vedette anti-O.A.S. : Vie privée, et le Repos du guerrier qui sortiront dans l'année.

Cependant à la radio, à la télévision que tout à coup, en janvier, elle a envahi coup sur coup après des années d'abstention, ainsi que dans l'immense majorité des journaux (France-Soir, Paris-Presse, Paris-Jour etc., et les journaux de province) le ton pour parler de Brigitte Bardot demeurera différent de ce qu'il était « avant » la réponse à l'O.A.S. C'est un ton empreint d'amitié et de considération qui succède aux débordements erotiques ou puritains, au scandale et à l'ironie comme à l'hyperbole. Une sorte de réflexe, de fraternité civique et nationale a joué. On s'est aperçu que malgré les ennuis, le percepteur agréé de l'État auquel se surajoutait le percepteur gangster de l'O.A.S., malgré la police à sa porte, les menaces de bombes, etc. « notre Brigitte nationale » n'avait pas quitté le sol français, n'était allée ni à Hollywood ni à Moscou et qu'elle continuait comme tout le monde à voter et à se débattre dans ce pays déchiré parce qu'elle l'aimait, parce qu'elle était bien française. Ce n'est pas elle qui irait, comme Gina Lollobrigida, se réfugier au Canada pour éviter sa feuille d'impôts nationale.

Il est réconfortant que sur le sol de France vive la plus belle fille du monde, et qu'elle prouve de surcroît qu'elle a de la tête, et une tête républicaine, contre des menaces de mort, et qu'elle a du cœur puisqu'elle plaide pour « ces amis muets que sont les bêtes ».

(les trisomiques, et Vincent Lambert aussi sont "nos amis muets" - ma note)

Evelyne Sullerot. (militante féministe, qui fut à la fin de sa vie la protectrice de "SOS-papa")

 

05/12/2020

ĝis ebriiĝo jen prefere

—laŭ melodio Minora sankta muziko

2.
La homa vivo daŭras efemere.
Ne lasu bonan tempon
kaj belan pejzaĝon forflugi ŝtele!
Malbona sorto nia estas destinita
jam en antaŭa vivo vere,
ne penu per plenforto vane.
Plibone kantu ĉagrenpele
kaj drinku ĝoje kun amikoj
ĝis ebriiĝo jen prefere.
Ignoru kiel lun’ kaj sun’ alternas
navede kaj libere.

Yuan Haowen (in poèmes de la dynastie Yuan, traduits par "Vejdo" publiés chez libroj de MAS,consulter la liste ds livres édités par MAS, il y en a 4 qui sont traduits par moi d'ailleurs, je dis ça je dis rien !)

 

 

lernu ĝin parkere !

(kaj ne estu kiel plenkreskuloj, kiuj "ĉiam survoje estas" (skribis Viko, hispana esperantisto) male "infanoj ankoraŭ sentas, ke ili meritas, ĝiu tion, kio nun okazas. Ili ankoraŭ ne lernis, ke ni, la plenkreskuloj, ĉiam estas survoje por atingi ion.  ..... Kiam ĝi surstratos, facile forgesos la celon,  kaj lasos sin ĝuante la pordojn de konstruaĵo, la ŝtonetojn  sur la trotuaro, la hundojn piedirantajn... Kaj diros vin - Rigardu ! kiom bela balkono !)

kaj ne forgesu : ĝis ebriiĝo jen prefere.

29/11/2020

SOURIRE DE CHAT AVEC CHAT !

Alice au Pays des Merveilles avait vu un sourire de chat sans chat, moi quand mon chat est béat je vois un sourire de chat AVEC chat !!

chat souriant 16 avril 2019.JPG

14/11/2020

tout ce qu'on avait le droit de faire mais qu'on n'a plus le droit de faire

depuis des années je me suis réveillé chaque matin en espérant me retrouver dans le monde normal, et non dans cette réalité alternative. Le monde normal où les hommes peuvent parcourir les collines, prier à l’église,

(plus possible depuis 20 ans : elle sont toutes fermées en permanence, comme autrefois en URSS !)

aller travailler (ça on peut encore !), se prélasser au bord de la mer, écouter un concert (plus possible, il faut avoir réservé des mois à l'avance, sinon pas de place ! même les concerts d'orgue. ça fait une bonne décennie que je ne vais plus au théatre, trop dur !), visiter des musées (où on n'a même pas le droit de regarder les tableaux de près pour voir comment ils sont peint), socialiser avec des amis (où ? pas au café, où tant de choses sont interdite), flirter avec des filles (ah là maintenant srictement interdit ! sinon c'est la prison maintenant on appelle ça de la "violence de porc machiste", du "harcèlement sexuel", autrefois ça faisait partie de la vie normale, c'était une forme de contacts humain, maintenant c'est décrété "crime" ! direction la prison ! (et la ruine, si vous êtes riche, elles vont en profiter pour tout vous prendre), envoyer les enfants à l’école (maintenant il n'y a plus un seul enfant qui va lui-même à l'école, il faut l'y emmener en voiture !); bref, s’offrir les petits plaisirs dont on avait joui même sous Staline ou même au temps du dur régime d’Hitler (quand il était obligatoire de par la loi de porter un masque de rhinocéros sur le visage (ah non !  je me trompe d'époque dans l'Allemagne de 33-45 il était obligatoire de ne croiser quelqu'un qu'en levant le bras droit et criant "Heil" ! enfin, c'est pareil non ?).

(si nous sommes bien sages nous auront peut-être droit à un bon point, pas seulement Castex, Goebbels aurait bien dit ça lui aussi !)

oui, souvenez-vous dans les années 50 Noël c'était la fête des fêtes, une fête "pas comme les autres" ! Les gens ne croyaient déjà plus en Dieu ni aux miracles ni à la vie après la mort, la religion était déjà morte, mais de son passé religieux (on ne souvenait quand-même que c'était censé être la naissance du petit Jésus, et une fête d'espoir) Noël avait gardé une magie inégalable, une "aura" de merveilleux, d'amour, d'espoir, d'enfance, de traditions, plus les sapins, les crèches, les traineaux, les pères Noël, les étoiles, les contes de Noël, tous les revues toutes les  radios se fendaient de leur conte de Noël, même France-Culture - là seulement on en trouvait deplus littéraires ! - et diffusaient des chants (traditionnels) de noël, dans les centre-villes (qui alors étaient plein de monde, maintenant ils sont vides : on n'y voit plus que des flics et des caméras de vidéo-surveillance ! à l'époque ils étaient plein d'adultes, ET d'ENFANTS !  pleins de magasins partout (pas de supermarché à l'époque) pleins de Services Publics, qui fonctionnaient ! plus des cafés (où on avait le droit de fumer bien sûr, et de rire, et de lire le journal), des églises (ouvertes !!! où on pouvait ENTRER sans problème !) et Noël c'était l'époque où  on s'amusait à faire le tour des vitrines, car les commerçants rivalisaient à faire de belles vitrines de Noël décorée, et certaines étaient vraiment extraordinaires !

Barbier il veut le vaccin (avec des "smartdust" dedans) obligatoire (j'ai vu ça sur twitter) sous peine de ne plus pouvoir prendre l'avion ni d'aller au restau et rester au sein de la société! rien que ça....

Il faut une union sacrée maintenant pour virer cette bande de tarés ultra nocifs au service du grand capital !!

"Nos plus grands malades sont...au gouvernement ! Et on a aucun vaccin pour ceux-là !

Réinfo-covid : https://www.reinfocovid.fr/

10/11/2020

sadique

IMG_2511.JPG


) 29/10/2020 avant-hier j’ai crié depuis ma fenêtre de cuisine ver mon jardin : « petit Bigarré !» (je nom que j’ai choisi pour le petit minet (multicolore, je crois que c'est ce qu'on appelle "écaille de tortue") de la «Grosse-Manman » noire errante) ; eh bien, je l’ai vu accourir à toute vitesse !
Hier je l’ai encore appelé,il est encore venu, et je lui ai déposé des croquettes sur le ciment, il s’est laissé approcher, mais quend j’ai essayé de le toucher il a sursauté et s’est écarté.
Aujourd’hui 29, dans mon jardin, je l’ai soudain aperçu à un mètre de moi, j’ai dit « mon petit bigarré ! » et il est tout de suite accouru, et jusqu’à mon soulier qu’il a reniflé, avant de s’écarter.
Peut-être que je finirai par l’apprivoiser, comme le renard du Petit Prince ….

) 30/10/2020 aujourd’hui j’ai pu le caresser sans qu’il s’enfuie, il continuait tranquillement à manger.
Je vais l’appeler « Petit Bigarré » alias « Communion des saints »

) 1/11/2020 je comptais finir d’apprivoiser le petit chat aujourd’hui, et le nommer « Petit Bigarré de la Communion des Saints ». Bon, je crois qu’il est mort. Toujours aussi sadique ma vie.

 

le Régime s'attaque à Noël
, à la Toussaint, la fête des la Communion des Saints, il n'a même mas eu besoin de s'attaquer, vu qu'elle est déjà disparue, tuée par Halloween, le machin commercial, amerloque et psychanalytique de la Secte des Adorateurs de  la Mort.

24/10/2020

vive Pierre Perret !

pour  fêter le timide retour à une très relative liberté dans le camp de concentration totalitaire qu'est devenue l'europe, voici un  vestige du temps de la Civilisation et de la vraie humanité,  Pierre Perret :


 

14/10/2020

Maggie

*Il y a à peine quelques années, 1977 sortie de la 1ère belle chanson de cette admirable et magique chanteuse qu'il est impossible d'oublier, la France était encore un pays libre et heureux, et civilisé, où on espérait en l'avenir. Toutes choses maintenant impossibles, Qui l'eut cru ? en fait il y a eu un grand malentendu sur la "liberté" que prônait les ex-68ards, comme j'ai dit dans un autre billet en parlant de la chanson "Il est libre Max". Et le monde entier est devenu un vaste camp de concentration du Libéral-Fascisme, et l'avenir qui s'annonce est encore tellement pire....
(le gouvernement est en train de détruire vos enfants ! et ça ne vous fait même pas frémir ? https://reseauinternational.net/au-secours-mesdames/ )


 

*

04/10/2020

vive l'école à la maison la liberté et l'humanisme !

https://zerhubarbeblog.net/2020/10/02/lenfance-ce-cavalie...


le gouvernement est en train de DETRUIRE VOS ENFANTS ! et ça ne vous fait même pas frémir ? https://reseauinternational.net/au-secours-mesdames/  vous ne réagissez pas ? vous ne résistez pas ? vous laissez faire cette ignominie qui va les détruire à vie ?

C'est la condition sine qua non de la civilisation et du refus du fascisme et du totalitarisme, et des valeurs républicaines !

ça commence par les cookies que certains sites internet injectent DANS Vos ordinateurs, et si les gens aceptent passivement (principiis obstat et finem respices) ça devient les smart dust, et les vaccins fascistes; ceux qui n'y croient pas, docile croyants de leurs mâitres le regretteront quand il sera trop tard !

 

Oui, c’est évident que l’école à la maison se situe hors cadre. Et cela est incompatible avec le programme de ce gouvernement mondial qui se met en place. Et les vaccinations obligatoires ne sont simplement que les premières pierres de ce programme d’asservissement des individus, mais aussi de réduction de l’humain (voir l’article de M.F. de Meuron « Voulons-nous vraiment être des humains réduits ?)
Il n’est pas question de laisser la moindre parcelle de de prairies fleuries et naturelles qui pourrait créer des individus qui pensent par eux-même et qui seraient déconnectés du conditionnement obligatoire du gouvernement mondial/national !
Et Macron est le fer de lance de ce mouvement en France. Mais il s’est bien entouré d’une équipe dévote et partisane.
L’éducation nationale est infiltrée au plus haut niveau et tous(tes) devront bientôt s’y soumettre, de la même manière que chacun doit se soumettre au masque et au vaccin comme autrefois les allemands à l'obligation du salut hitlérien ! ou àleur transformation en Rhinocéros, n'est-ce pas Monsieur Ionesco ?

Comme le montrera un reportage belge qui va suivre prochainement sur ce blog on va en arriver à ce qu'il va falloir rompre complètement avec la société et vivre dans des catacombes, la résistance passive ne suffit plus il faut entrer dans le maquis la guerilla ouverte !

27/09/2020

c'est ça que vous voulez pour vos enfants ? dites ! répondez ! c'est ça ?

déposez plainte contre les électeurs de droite et extrême droite qui veulent un régime autoritaire depuis le début du siècle !
Maintenant ils l’ont (à défaut de gagner plus en travaillant plus ! Lol) pour le plus grand Malheur des enfants…

https://reseauinternational.net/vers-le-port-permanent-du...

https://fr.sott.net/article/36014-Regardez-et-pleurez-Ils...

et vous n'avez jamais pensé quels adultes ça va donner ?

d'autres y pensent pour vous .....

 

15/09/2020

Rolando Toro

Rolando Toro, né en 1924 au Chili, est l’inventeur de la « Biodanza ». (a-t-on encore le droit de la pratiquer dans le régime fasciste instauré par le grand capital Big-Pharma, propriétaire de l'OMS ? on n'arrête pas de se toucher ! c'est d'ailleurs fait pour !)

« L’enthousiasme, l’émerveillement, et l’allégresse. Ce sont les sentiments que m’inspirent la Biodanza depuis que je la pratique. » (Bruno Giuliani, philosophe)

« Rolando assume pleinement ses contradictions, ses élans, ses révoltes, sans peur, sans recherche de perfection ou d’idéal. » (Bruno Ribant, psychologue)

« c’est à partir d’observations que je me suis intéressé à créer un système pour stimuler la joie de vivre, pour améliorer l’intégration entre l’esprit et le corps et pour renforcer le lien entre les personnes.

J’ai fait beaucoup d’observations. » (Rolando Toro)

Extraits du livre d’entretiens avec Rolando Toro  « L’homme qui parle avec les roses »:

 

« je crois qu’en tout ce qui est bon, excellent, comme l’amour, l’amitié, la contemplation de la nature, l’art, il faut être excessif, extraordinairement excessif. » 

«  … ma mère me donnait généreusement son amour et son autorisation, elle a toujours eu confiance en moi, depuis que j’étais tout petit. »

« Mon père … lui vivait dans le monde du rêve ; rien à voir avec le réalisme de ma mère (la nourriture, l’école, les vêtements). Mon père jouait de la musique, de la mandoline.

(en hommage au père de Rolando Toro, voici :

comme disaient les prêtres de Ptah "puisse-t-il vivre éternellement !"

 

… il dépensait tout son argent en jouets pour nous, au lieu de se préoccuper des choses urgentes et du nécessaire. »
 

« La psychologue m’a présenté un tableau de plus de cent activités, et toutes me plaisaient ! La musique, les mathématiques, la gymnastique, la littérature, la poésie, les voyages … J’aimais tout !

… Je crois qu’en réalité, le monde nous offre tant de choses intéressantes et merveilleuses, que c’est une tentation d’entrer en elles. »

« en tant qu père, j’en suis arrivé à la conclusion que la paternité est une des potentialités les plus merveilleuses qu’un homme puisse développer, l’exercice de la paternité. »

« Je crois en la famille, en l’appartenance à un nid écologique, et j’aime beaucoup le mariage. »

« J’ai commencé à étudier les différentes psychothérapies existantes ….mais je voyais déjà qu’aucune ne parvenait à pénétrer l’âme du malade mental ; elles n’effleuraient que son comportement. Je ne crois pas en les thérapies comportementales. »

« A partir de là, je disposais pour ainsi dire d’une prescription : pour les malades mentaux, ce qui convenait, c’était les musiques euphorisantes. Mais il manquait quelque chose ; Parce que je voyais qu’ils étaient en grand besoin d’affection.

…        Il y avait un malade qui profitait de l’autorisation créée par cette situation et qui se tenait près d’une autre malade, schizophrène, les deux se tenant par la main. Et ils restaient plongés en extase pendant l’heure et demie que durait la séance, sans sortir de cet état, car ils étaient ailleurs : c’est à dire qu’ils vivaient l’amour infini »

« L’échec de la psychiatrie est pour moi l’incapacité du médecin à aimer le fou. »

«  la "critique constructive" n’a jamais permis à personne de s’améliorer ! Ce qu’il faut faire c’est travailler sur la partie saine, et stimuler les potentialités qui sont propres à la personne.

… cette éducation, basée sur la critique, sous-entendant que nous détenons tous les fils de la sagesse, me déplait profondément. »

« Freud est un grand homme, cependant sa méthodologie ne m’intéresse pas, parce que le corps n’y est pas présent. »

« La notion d’inconscient collectif me semble avoir été une grande découverte. Ce que je n’apprécie pas chez Jung est néanmoins la théorie de la recherche du Moi, qui est en fait un chemin d’autonomie qui vise à convertir l’homme en une sorte de roi autocratique, et non en un frère. »

« … Freud lui-même, qui pensait que si les conflits inconscients passaient à la conscience, l’état de la personne allait s’améliorer …

Jamais ! (il s’anime). Personne ne s’améliore jamais en prenant conscience de ses défauts ou de ses problèmes. »

 

 

« … Feldenkrais … me dit un jour qu’il se rendait compte que ce dont le corps avait besoin était de caresses et non de conscience. Et c’est alors que j’ai formulé ma phrase préférée : "Il faut agir deux fois avant de penser !"»

« De Reich, j’ai conservé l’importance de la sexualité sans peur, l’importance de la libération sexuelle. Parce que la libération sexuelle n’a pas encore commencé ! »

« La Biodanza … une sorte d’utopie qui pourrait se réaliser, et qui est en train de se réaliser, car elle grandit d’une manière telle qu’elle est en train de nous échapper. … La Biodanza  grandi partout, car elle est ce dont l’être humain a besoin. »

« Je crois ainsi que l’amour est essentiellement un sentiment d’appartenance. Il ne s’agit pas d’une conception machiste de l’appartenance, dans laquelle l’homme possèderait une femme en restant lui-même libre. Ni non plus d’une conception féministe, dans laquelle la femme serait libre, nourrissant de la haine pour l’homme.

L’appartenance dont je parle est la possibilité d’entrer dans une fusion infinie avec l’autre, par amour »

« Nous ne nous exprimons pas. Seuls les enfants parviennent encore à tout exprimer. »

« Pour moi la poésie est ma perception au quotidien du quotidien. Pour moi toute chose a une connotation poétique. »

« La vie provient d’une impulsion qui vient d’avant la vie, et qui pousse l’univers à évoluer vers la conscience, vers l’amour, vers l’empathie, et tout ce qui fait la grandeur de l’être humain »

« Les lois ne sont pas organisées sur la base du droit à la vie, du respect de la vie, du respect des relations humaines, mais sur le droit de propriété. »

« Aujourd’hui, la misère est universelle, alors que tout l’argent et tout le pouvoir sont entre les mains d’une élite minuscule. Cette élite défend au prix du sang ce pouvoir et cet argent »

« Il y a une décadence éthique dans cette culture. Et ceci ne peut changer qu’à partir de l’affectivité de l’enfant, de l’enchantement de se sentir vivant, de la joie de vivre, de la poétique de la rencontre, de la danse, du plaisir sexuel… »

« La religion bouddhiste … permet d’entrer dans une sérénité contemplative, de créer un vide intérieur, dans une absence de désir, anesthésiant les sens, et atteignant une parfaite solitude. Cette proposition m’horripile, je la trouve épouvantable ! … et pourtant elle jouit d’un très grand prestige !

Le solipsisme oriental qui t’empêche de sentir du désir pour l’autre, de sentir de l’enthousiasme pour l’autre. Parce que tes sens doivent être anesthésiés et tu dois te remplir d’un grand vide, pour entrer en extase avec l’univers. Mais l’extase avec les personnes, l’extase que tu vis quand tu as un enfant dans les bras, l’extase que tu ressent avec la femme que tu aimes, ça c’est l’extase ! »

« l’amour n’est rien d’autre que la joie d’être en relation avec l’autre et le désir de cultiver cette joie. »

« Ce lien avec la mère perdure par delà la mort de celle-ci, c’est un cordon ombilical qui ne se romp jamais, au grand désespoir des psychologues, qui prétendent qu’il faut couper le cordon. Il n’y a pas à couper le cordon, tout simplement parce qu’il ne peut pas être coupé.