12/06/2019
c'est fini ! la confiance est rompue par la violence de l'Etat, le mensonge, le mépris
vidéo :
UPR
son lien LIBRE et convivial : https://ytube.tv/watch?v=n69DhLsjBLY
ou https://ru-clip.net/video/n69DhLsjBLY/17-pourquoi-pr%C3%A...
si son idée de ferme communale, et de centrale d'achat pouvait être reprise par des listes municipales (surtout des UPR !) ça serait super ! il y a là une piste pour une renaissance de la démocratie, du socialisme, de la vie locale et rurale, etc, dans notre pays, de la France ! et l'écologie, la lutte contre la mort des sols, le plus grand danger écologique qui nous menace, et de loin, Ce vieux Monsieur est en train d'ouvrir une piste géniale ! Si ça pouvait être suivi ! comme Chouard fut suivi en 2005.
Une renaissance de l'autonomie, qui serait accessible à tous contrairement aux rêves des post- 68-ards. Puisque l'affrontement direct a échoué, faisons, comme on disait dans les années 70 "un pas de côté" !
25/05/2019
aimer acceuillir - 2
« You can't get a better feeling than meeting a new little person. Love it. It's probably why we have done it so many times. »
(Sue Radford - anglaise qui a eu 18 enfants)
25/04/2019
La Course au Mouton Sauvage
Il y a un livre que j’aime beaucoup. C’est « La course au mouton sauvage » de Haruki Murakami. Haruki Murakami, japonais féru de tragédie grecque et de jazz est vraiment un auteur très important, à mettre parmi les grands classiques mondiaux, et qui résonne beaucoup en moi.
Voici la fin du dernier chapitre, et LE début de l’Epilogue (et où accessoirement, on constate, à deux détails - vous savez à quel point je remarque les détails que les autres laissent passer, mais qui sont lourds de signification - que je Japon de 1978 était, l’est-il encore je ne sais, un pays libre et convivial, ce que la France n’est plus) :
« Je ne vis qu’un vieillard qui déblayait à la pelle la neige du rond-point . Un chien efflanqué était assis à côté de lui, la queue toute frétillante.
« Un grand merci, dis-je au chauffeur.
- il n’y a pas de quoi, dit-il. À propos, vous avez essayé le numéro de téléphone de Dieu ?
- Non, faute de temps.
- Depuis que le Maître est décédé, je ne parviens plus à obtenir la ligne. Je me demandes bien ce qu’il se passe.
- Il doit être débordé en ce moment, dis-je.
- C’est possible, dit le Chauffeur. Bon, soignez-vous bien !
- Au revoir », dis-je.
Un train partait à midi juste. Les quais étaient déserts., et je ne comptai guère que quatre voyageurs, moi y compris, dans le train. Je me sentais cependant soulagé de voir des silhouettes humaines. J’étais bien revenu dans le monde des vivants. Dans mon monde à moi, fût-il d’une banalité et d’un ennui suprêmes.
La sonnerie annonçant le départ retentit alors que je croquais ma tablette de chocolat. Le train cahota et, à cet instant, j’entendis le bruit d’une explosion au loin. Je soulevais la fenêtre d’un geste énergique et passai la tête en dehors. Une seconde explosion se fit entendre dix secondes après la première. Le train s’élançait déjà. Environ trois minutes plus tard, je vis s’élever une colonne de fumée noire du côté de la montagne conique.
Et pendant trois bonnes minutes, jusqu’à ce que le train virât à droite, je ne quittai pas cette fumée noire des yeux.
EPILOGUE
« Tout est fini, dit le Docteur ès moutons. Tout est bien fini.
- Oui, c’est fini, dis-je .
- Je crois bien que je dois te remercier.
- J’y ai laissé pas mal de choses.
- Pas tant que ça, fit-il, en hochant la tête. Tu viens à peine de commencer à vivre ?
- Vous avez raison », dis-je.
Quand je sortis de sa chambre, le Docteur ès moutons était couché sur son bureau et sanglotait, étouffant ses pleurs. Je venais de le dépouiller de ses années perdues. Avais-je eu raison ? Je me le demande encore.
« Elle est partie, me dit tristement le propriétaire de l’Hôtel du Dauphin. Elle n’a pas dit où elle allait. Vous n’avez pas l’air d’aller très bien.
- Si, si » dis-je.
Je récupérai mes bagages et m’installai dans la même chambre. La fenêtre donnait toujours sur les locaux de cette énigmatique compagnie. Je n’y vis pas la silhouette de la fille aux gros seins, mais deux employés qui travaillaient à leur bureau en fumant. L’un lisait des chiffres que l’autre reportait sur un immense graphique en traçant une ligne brisée à la règle. Ce n’était plus du tout la même compagnie, eût-on dit, sans doute à cause de l’absence de la fille aux gros seins. Rien n’était identique, sinon que je ne savais toujours pas à quoi l’on s’y occupait. À six heures, les employés partirent et l’immeuble fût plongé dans l’obscurité. »
quelques autres citations du livre :
« L’histoire de Jûnitaki était encore longue, mais celle du jeune Aïnou s’arrêtait ici. J’allai aux toilettes, où j’urinai le contenu de deux boites de bières. »
«Mais il y avait rangés à l'intérieur de ces cinq doigts et de cette paume comme dans une mallette d'échantillon, tout ce que je voulais et tout ce que je devais savoir de la vie. C'est elle qui m'apprit, en me prenant la main, qu'il existait bel et bien un lieu de plénitude au cœur même de la réalité."
Et il y en a encore plein d'autres, qui vous laissent figé dans des abîmes d'émotion, et je ne vous ai pas cité les dernières phrases du livre ...
23/04/2019
le détail
Voici une histoire drôle qui vient d'un pays musulman (malheureusement je ne me souviens
plus lequel, je l'ai lue en Espéranto mais je ne retrouve plus l'adresse).
Un homme avait une femme, et bien que la loi (musulmane) lui autorisait d'en prendre jusqu'à
quatre, il se contentait de celle qu'il avait et s'en trouvait très heureux. Son voisin, par contre en
avait deux, et chaque fois qu'il le rencontrait il essayait de le convaincre d'en prendre une deuxième:
- "C'est vraiment beaucoup mieux d'avoir deux femmes, tu ne sais pas ce qui tu perds ! ça
présente plein d'avantages, vraiment il faut que tu épouse une deuxième femme! etc, etc"
A la longue l'autre fit tant et si bien qu'il fut convaincu et épousa une deuxième femme.
Mais à partir de ce moment sa vie devint un enfer !
Quand l'une était de bonne humeur, l'autre était infecte, quand c'était l'autre qui se montrait
agréable c'était la première qui lui tombait sur le dos ! Elles se jalousaient l'une l'autre et lui
se retrouvait "entre le marteau et l'enclume", ou alors tout à coup elle se réconciliaient pour se
liguer contre lui ! Bref il devint tellement mal chez lui, que la nuit il allait se réfugier à la mosquée
pour prier, en fait pour avoir un peu de paix !
Or il se rendit compte qu'il y avait une autre personne déjà dans la mosquée: son voisin !!
Les premières nuits il fit mine de l'ignorer.
Mais à la fin il n'y tint plus et alla l'aborder pour lui reprocher ses mauvais conseils et lui raconter
ses déboires. il ajouta: je ne comprends pas comment toi tu fais pour être aussi heureux que tu le
dis avec tes deux femmes !
Alors l'autre répondit: "Qu'est-ce que tu crois? Moi aussi ma vie est un enfer avec mes deux
femmes, et tu vois j'en suis réduit à venir passer la nuit à la mosquée pour avoir un peu de paix !"
- Mais ! tu n'as pas arrêté de me dire que c'était tellement bien d'avoir deux femmes jusqu'à ce que
tu me convaincs de me marier avec une deuxième !
- Justement répondit l'autre, je m'ennuyais d'être tout seul toutes les nuits à la mosquée !
Bon, en fait ce que je retiens de cette histoire ce n'est pas son côté humoristique, ni son
côté misogyne (justifié! on sent que c'est le fruit de l'expérience), non, c'est un détail, un détail que
vous n'avez peut-être même pas remarqué ! :
Dans le pays où habitaient nos deux héros les mosquées étaient OUVERTES, même la nuit !
Honte à la France actuelle où les églises sont fermées, même le jour !!!
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20/04/2019
le seul commentaire non insignifiant
sous cette très belle vidéo :
a été posté par "Anonyme Anonyme", qui a dit :
This song makes me feel extremely depressed. I'll never be touched by the Grace of God.
pari de Pascal - Un texte incontournable qu’il faut connaître, et sur lequel il faut se positionner et méditer, SERIEUSEMENT, pas seulement comme un texte littéraire
"Penser à Dieu est une action"
(Joubert)
Pascal – le pari
- Examinons donc ce point, et disons : « Dieu est, ou il n'est pas. » Mais de quel côté pencherons-nous ? La raison n'y peut rien déterminer : il y a un chaos infini qui nous sépare. Il se joue un jeu, à l'extrémité de cette distance infinie, où il arrivera croix ou pile. Que gagerez-vous ? Par raison, vous ne pouvez faire ni l'un ni l'autre ; par raison, vous ne pouvez défendre nul des deux.
Ne blâmez donc pas de fausseté ceux qui ont pris un choix ; car vous n'en savez rien.
- « Non ; mais je les blâmerai d'avoir fait, non ce choix, mais un choix ; car, encore que celui qui prend croix et l'autre soient en pareille faute, ils sont tous deux en faute : le juste est de ne point parier »
- Oui ; mais il faut parier. Cela n'est pas volontaire, vous êtes embarqué. Lequel prendrez-vous donc ? Voyons. Puisqu'il faut choisir, voyons ce qui vous intéresse le moins. Vous avez deux choses à perdre : le vrai et le bien, et deux choses à engager :
votre raison et votre volonté, votre connaissance et votre béatitude ; et votre nature a deux choses à fuir : l'erreur et la misère.
Votre raison n'est pas plus blessée, en choisissant l'un que l'autre, puisqu'il faut nécessairement choisir. Voilà un point vidé. Mais votre béatitude ? Pesons le gain et la perte, en prenant croix que Dieu est. Estimons ces deux cas : si vous gagnez, vous gagnez tout ; si vous perdez, vous ne perdez rien. Gagez donc qu'il est, sans hésiter.
- « Cela est admirable. Oui, il faut gager ; mais je gage peut-être trop. »
- Voyons. puisqu'il y a pareil hasard de gain et de perte, si vous n'aviez qu'à gagner deux vies pour une, vous pourriez encore gagner ; mais s'il y en avait trois à gagner, il faudrait encore jouer (puisque vous êtes dans la nécessité de jouer), et vous seriez imprudent, lorsque vous êtes forcé de jouer, de ne pas hasarder votre vie pour en gagner trois, à un jeu où il y a pareil hasard de perte et de gain. Mais il y a une éternité de vie et de bonheur. Et cela étant, quand il aurait une infinité de hasards, dont un seul serait pour vous, vous auriez encore raison de gager un pour avoir deux ; et vous agiriez de mauvais sens, en étant obligé à jouer, de refuser de jouer une vie contre trois à un jeu où d'une infinité de hasards il y en a un pour vous, s'il y avait une infinité de vie infiniment heureuse à gagner. Mais il y a ici une infinité de vie infiniment heureuse à gagner, un hasard de gain contre un nombre fini de hasards de perte, et ce que vous jouez est fini. Cela ôte tout parti : partout où est l'infini, et où il n'y a pas infinité de hasards de perte contre celui du gain, il n'y a point à balancer, il faut tout donner. Et ainsi, quand on est forcé à jouer, il faut renoncer à la raison pour garder la vie, plutôt que de la hasarder pour le gain infini aussi prêt à arriver que la perte du néant.
Car il ne sert de rien de dire qu'il est incertain si on gagnera,
et qu'il est certain qu'on hasarde, et que l'infinie distance qui est entre la certitude de ce qu'on s'expose, et l'incertitude de ce qu'on gagnera, égale le bien fini, qu'on expose certainement à l'infini, qui est incertain. Cela n'est pas ; aussi tout joueur
hasarde avec certitude pour gagner avec incertitude ; et néanmoins il hasarde certainement le fini pour gagner incertainement le fini, sans pécher contre la raison. Il n'y a pas infinité de distance entre cette certitude de ce qu'on s'expose et l'incertitude du gain ; cela est faux. Il y a, à la vérité, infinité entre la certitude
de gagner et la certitude de perdre. Mais l'incertitude de gagner est proportionnée à la certitude de ce qu'on hasarde, selon la proportion des hasards de gain et de perte. Et de là vient que, s'il y a autant de hasards d'un côté que de l'autre, le parti est à
jouer égal contre égal ; et alors la certitude de ce qu'on s'expose est égale à l'incertitude du gain : tant s'en faut qu'elle en soit infiniment distante. Et ainsi, notre proposition est dans un force infinie, quand il y a le fini à hasarder à un jeu où il y a pareils hasards de gain que de perte, et l'infini à gagner. Cela est
démonstratif ; et si les hommes sont capables de quelque vérité, celle-là l'est.
« Je le confesse, je l'avoue. Mais encore n'y a-t-il point moyen de voir le dessous du jeu ? »
- Oui : l'Ecriture, et le reste, etc. (de nos jours j'ajouterait Rupert sheldrake, les récits de NDE ouhttp://monblog.ch/letrehumain/?story=l-adn-fantome-et-rea...
- « Oui ; mais j'ai les mains liées et la bouche fermée ; on me force à parier, et je ne suis pas en liberté ; on ne me relâche pas. Et je suis fait d'une telle sorte que je ne puis croire. Que voulez-vous donc que je fasse ? « - Il est vrai. Mais apprenez au moins que votre impuissance à croire, puisque la raison vous y porte, et que néanmoins vous ne le pouvez, vient de vos passions. Travaillez donc, non pas à vous convaincre par l'argumentation des preuves de Dieu, mais par la diminution de vos passions. Vous voulez aller à la foi, et vous n'en savez pas le chemin ; vous voulez vous guérir de l'infidélité, et vous en demandez les remèdes : apprenez de ceux qui ont été liés comme vous, et qui parient maintenant tout leur bien ; ce sont gens qui savent ce chemin que vous voudriez suivre, et guéris d'un mal dont vous voulez guérir. Suivez la manière par où ils ont commencé : c'est en faisant tout comme s'ils croyaient, en prenant l'eau bénite, en faisant dire des messes, etc. Naturellement même cela vous fera croire et vous abêtira.
« Mais c'est ce que je crains. »
- Et pourquoi ? qu'avez-vous à perdre ?...
Mais, pour vous montrer que cela y mène, c'est que cela diminue les passions, qui sont vos grands obstacles
Fin de ce discours. - Or, quel mal vous arrivera-t-il en prenant ce parti ? Vous serez fidèle, honnête, humble, reconnaissant, bienfaisant, ami sincère, véritable. A la vérité, vous ne serez point dans les plaisirs empestés, dans la gloire, dans les délices ; mais n'en aurez-vous point d'autres ? Je vous dis que vous y gagnerez en cette vie, et que, à chaque pas que vous ferez dans ce chemin, vous verrez tant de certitude du gain, et tant du néant de ce que vous hasardez, que vous connaîtrez à la fin que vous avez parié pour une chose certaine, infinie, pour laquelle vos n'avez rien donné.
plus en détail http://www.penseesdepascal.fr/II/II1-moderne.php
Quelques réflexions en passant :
- Vu comment il est présenté, la foi parait y être par intérêt , mais ça peut étre considéré comme un début de cheminement.
- moi-même on peut dire que j’ai fait le pari de Pascal vers 1970, après avoir découvert la philo. Bon par la suite ça n’a rien changé, mais ces années-là si, et un parcours n’est pas l’autre.
" . . . Terura ligo; vagas en nebulo
Unikaj homoj en mistero sama » (Marjorie Boulton)
Un conte Socratique : Dans le ventre de la mère, deux bébés discutent. L’un est croyant, l’autre non.
- BC : Eh bien, je ne connais pas tous les détails. Mais là-bas il y aura beaucoup de lumière, beaucoup de joie. Et par exemple là-bas on va manger avec notre bouche.
- BA : Maman ? Tu crois en maman !? Et où se trouve-t-elle ?
- BC : Eh bien, je ne suis pas d’accord. Car, parfois lorsque tout devient calme, on peut entendre quand elle chante… sentir quand elle caresse notre monde… Je suis certain que notre Vraie vie ne commence qu’après l’accouchement.
Appliquer la philosophie à la vie quotidienne, c’est sortir de l’amnésie. (et c'est valable pour toutes les philosophies, le marxisme par exemple ça serait vachement utile ! )
une page face de bouc notez le lien suivez-là régulièrement, et elle n'est pas sans rapport avec la Pâque, et avec le sujet dont on parle :
https://www.facebook.com/groups/actiondeTOUSpourGiuseppe/
(Mais comment faire le pari de Pascal, ou même seulement y réfléchir sérieusement, sans se retrouver intellectuellement (et peut-être socialement) au banc de la société ! tellement Il est certes permis de nos jours d'adhérer à la religion ou à la philosophie de son choix, mais à la condition, tacite, de ne pas y croire vraiment ! )
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10/04/2019
tendances des riches : danger pour non seulement les libertés sociabilité et Civilisation, mais pour l'environnement, la vie et la biodiversité
la maniaquerie des "bourges" merdeux hyper-hygiénistes, et maniaques du décoratif glacé, à la mode de l'époque actuelle, est en train de tuer la nature et la biodiversité, un exemple de plus:
sur la disparition des moineaux dans les villes :
"le lien avec le prix du mètre carré est un résultat déjà connu en Grande-Bretagne : il semble qu’on peut expliquer cela par l’obsession de la propreté et de la netteté des quartiers chics, pas de miettes par terre , pas d’herbes folles (et donc pas d’insectes) au pied des arbres ou entre les dalles du parking, pas de trous dans les façades…donc pas de nourriture pour les adultes ni pour les jeunes (qui sont insectivores) et pas de sites de nidification"
http://lesoiseauxenville.skynetblogs.be/archive/2008/05/25/le-moineau-a-paris-ca-baisse-ou-pas.html
http://www.europe1.fr/sciences/la-chute-du-nombre-de-moineaux-a-paris-saccelere-2831215
http://www.leparisien.fr/val-de-marne/les-moineaux-en-voie-de-disparition-29-03-2003-2003951429.php
(et les moineaux, autrefois omniprésents, ont disparus des villes et villages, fini ! il n'y en a plus - ils nichaient dans les trous des maisons sous les tuiles etc, moderniquement/sécuritairement/hygiéniquement/propreenordreiquement bouché tout ça ! - il faut aller en Egypte pour en revoir, même que ça fait un drôle d'effet là-bas : dans les temples on les entend partout, on se rend compte qu'on en avait perdu l'habitude)
la revue de la haute bourgeoisie parisienne "le nouvel obs" aussi le reconnait : Publié le 27/08/16 http://tempsreel.nouvelobs.com/en-direct/a-chaud/27042-an...
encore un autre témoignage : "Il y a encore 20 ans plus d'une dizaine de rossignols habitaient dans les taillis sous ma maison, il n'en reste qu'un ou deux...
C'est un fait que les insecticides systémiques ont détruit toutes les populations d'insectes, et de là par ricochets les oiseaux, petits mammifères et leurs prédateurs, amphibiens, etc.
Cela plus la disparition du milieu naturel et des lieus de nidification. L'immeuble où vivent mes parents a récemment était rénové; auparavant des dizaines de martinets pouvaient y nicher, à présent c'est mort.
Rappelons juste que nous avons réussi l'exploit de détruire plus de 40% de la faune sauvage mondiale ces 40 dernières années. Un grand bravo pour l'espèce humaine!"
(ennemis aussi de la bio-diversité et de la vie des humains !)
En fait tout ça n'est qu'une manifestation de plus des tendances perverses de la société actuelle. Mais voilà pour s'en rendre compte il faudrait des "Voltaires" avec tout leur talent décapant.
autre manifestation le sort que les bourgeoises du quartier Beaubourg font à Giuseppe Belvedere
https://www.youtube.com/watch?v=4j8GJ3gWhnw
l
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03/04/2019
l'émancipation des travailleurs ne pourra être l'oeuvre que des travailleurs eux-mêmes
Par Joël Perichaud, Secrétaire national aux relations internationales du Parti de la démondialisation.
Le 18 mars 2019
Chers « amis » de « gôche », vous qui avez voté Macron il y a un peu moins de deux ans « pour éviter le pire » et qui aujourd’hui crachez sans retenue sur les GJ que vous condamnez au nom de la « violence », de « l’antisémitisme » ou de toute autre calomnie à la mode...Nous ne vous oublions pas !
« Chers » car vous nous faites payer cher votre raisonnement stupide.
« Gôche » car c’est au nom de votre aveuglement, de votre vacuité intellectuelle, que vous perpétrez des politiques néolibérales que vous qualifiez de « gôche ». Macron était votre idole aux élections et vous avez largement contribué à l’élire...avec moins de 20% du corps électoral…C’est dire si votre voix compte !
Vous n’aviez pas prévu la destruction du code du travail ?
Vous n’aviez pas prévu Benalla ?
Vous n’aviez pas prévu les politiques en direction exclusive des riches ?
Vous n’aviez pas prévu la répression des chômeurs ?
Vous n’aviez pas prévu la casse des services publics ?
Vous n’aviez pas prévu la répression sanglante des manifestations ?
Vous n’aviez pas prévu la « loi anti-casseur » c’est à dire l’atteinte au droit de manifester ?
Vous n’aviez pas prévu le pacte de Marrakech ?
Vous n’aviez pas prévu le traité d’Aix la Chapelle ?
Vous n’aviez pas prévu l’augmentation des tarifs de l’EDF ?
Vous n’aviez pas prévu l’augmentation du gasoil ?
Etc.
Bref, non seulement vous n’aviez rien prévu, alors que, avec un minimum d’analyse, tout était prévisible...mais vous avez entrainé le peuple dans votre hallucinante galère.
Vous ne vous sentez pas méprisables ?...C’est normal, vous êtes de « gôche »...donc les « amis » du peuple...heureusement que vous l’éclairez, car sans vous, il ne comprendrait rien.
Malheureusement pour vous et vos élus félons, le peuple a compris...Très bien même. Pendant que vous participez au « grand débat », grand enfumage de Jupiter, le peuple est dans la rue, sans faiblir, depuis le 17 novembre.
Alors vous revenez au secours de votre idole : vous justifiez les violences policières par la « violence » des gilets jaunes, justifiant au passage la violence capitaliste.
Vous qualifiez les Gilets jaunes racistes, de xénophobes, de suppôts de l’extrême droite, de fascisants, de racistes et maintenant d’antisémites. Il est vrai que cela vous permet de défiler avec la cour de Macron-le-petit et d’être sur la photo. C’est logique, après tant d’erreurs, de contradictions de renoncements et de bassesses, la lumière médiatique vous manque.
Mais vous ne reconnaîtrez jamais vos erreurs. Pour tenter de survivre, et au passage empêcher les autres d’exister, vous persistez. Votre haine du peuple n’a de commun que la hargne de vos semblables il y a 150 ans contre les communards qualifiés de « racaille ». Vous détestez « Ceux d’en bas »...Nous, nous l’appelons le peuple !
Vous commentez et jugez pourtant le monde que vous ignorez avec une morgue et une suffisance à toute épreuve. Vous n’aimez, dans la démocratie, que ce qui vous permet de débattre entre vous (le petit doigt en l’air), de décider pour tous, de défendre vos privilèges qui accablent le « petit ». Vous adorez l’Union européenne car, c’est votre instrument, votre baguette magique...elle réalise tous vos souhaits. Mais pas assez vite. C’est pourquoi vous êtes êtes au bord de l’extase quand votre maître dit qu’il en faut plus.
Vous êtes l’antithèse de l’aspiration portée par les GJ. Vous aspirez à un pouvoir autoritaire, capable d’écraser toute contestation, capable de faire taire toute réelle opposition. La « gôche » est à sa vraie place avec Macron.
Mais prenez garde, c’est une lame de fond sans précédent qui est en train de se former. Elle emportera tout ce qui se met en travers de sa route pour remplir les poubelles de l’histoire…
Bon voyage...
https://www.revolutionpermanente.fr/800-personnes-et-une-ambiance-electrique-a-la-soiree-Fin-du-grand-debat-debut-du-grand-debarras
17/03/2019
CONSTAT
- Appauvrissement généralisé
- Délocalisation facilitée (par les articles 63 et 32 du TFUE, voir les vidéos de François Asselineau)
- OGM
- Aspartame
- Agriculture industrielle
- Guerre neurologique par les vaccins
- Pollution nucléaire
- Guerres à « l'uranium appauvri »
- Déforestation
- Destruction des sols
- Guerres néo-coloniales
- Pollution électromagnétique
- Destruction de l'artisanat
- Disparition de l'argent liquide
- Destruction des solidarités
- Destruction des cultures
- Destruction des libertés
- Destruction des identités
- Destruction des autonomies
- Brevetage du vivant
- Nouvel eugénisme
- Pensée unique
- Vidéo surveillance
- Géolocalisation
- Radars automatiques
- Pipeau du tabagisme passif
- Infantilisation des automobilistes
- etc.
Le système est dans une voie sans issue, où les transnationales industrielles et financières maîtrisent (en anglais "to control") :
désormais, en grande partie, nos sociétés par le truchement des médias, des politiques et des instances internationales (OMS, OMC, FMI, FAO, Codex Alimentarius, Banque Mondiale, ONU, Otan, CFR, Trilatérale, Bilderberg, etc.). Mais le problème ne se limite pas à nos élites, puisque nous sommes, nous aussi, complices de ce système mortifère en refusant de faire de la politique, en mangeant notre propagande médiatique chaque soir, en acceptant de ne plus vivre notre culture.
(et prenez modèle sur Giuseppe Belvedere
et Béatrice Hervé-Berthelage)
02/03/2019
ce qui vraiment criminel c'est
de retirer des permis à tire larigot, en effet car dans la société qu'on nous a faite " je me demande comment vont faire les pauvres gens qui habitent en campagne. Sans permis et sans bagnoles ils sont condamnés. (condamnés à mort, oui) C’est les plus pauvres qui vont en pâtir, ne serait-ce que pour se rendre aux restos du cœur!! ou pour se rendre en formation. Après on dit oui les chômeurs c’est des branleurs ils veulent pas travailler etc... Augmentation du gazole, limitation de vitesse, permis à points et contrôle technique à 400 points, suppression des places gratuites dans les villes etc... Même nos paysans sont dans la merde, ils sont déjà endettés pour payer leur exploitation mais avec la hausse du gazole, ils va leur rester quoi ???.... " dit un commentateur
eh oui, c'est exact, dans la société actuelle RETRAIT DE PERMIS = CRIME CONTRE L'HUMANITÉ
https://hdclips.top/hd-videos/nFyAfog5e3w/retir%C3%89-des...
Il parle bien, il sait voir à travers avec les yeux des valeurs humaines et existentielles, tu es courageux toi aussi Alexis
"Nous avons besoin de savoir que nous sommes nombreux, pour nous mobiliser" (Etienne Chouard)
et comme dit Dieudo on a besoin de rire ! même avec l'immonde racisme de classe de nos maîtres !
28/02/2019
on ne peut vivre que par autrui
On ne vit, on ne peut vivre, en fait que par rapport à autrui, même quand on ne s’en rend pas compte, même les enfants qui ont plaisir à être seuls, ĉar tiam ils vivent des personnages (et des mondes entiers des fois !) qu’ils imaginent, même quand on admire la nature, car en fait si on est capable de faire ça, et avec plaisir, c’est soit qu’on le fait à deux, soit même seul qu’on est dans une vie où il y a quelqu’un (ou -ques uns) qui vous réchauffe(nt), qui vous nourrit, et vous aimante. "L'élan vital ne se fonde pas sur soi-même mais sur l'interaction avec les autres. On ne s'en aperçoit pas, sans doute, tant qu'on n'est pas exclu et rejeté de l'échange mais c'est le désir de l'autre qui nous fait vivre" (Jean-Claude Ameisen)
Autrement il n’y plu ia ajn vivo ebla. Ia ajn.