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11/02/2014

résistance passive la voie à suivre

 

bon, il en faudra aussi de l'active, c'est sûr !

- Le premier grand acte, historique ! un date, de dissidence de la population française fut le refus de la vaccination massive contre la grippe H1N1. C'était sous l'ère Sarko et le peuple a gagné parce que le peuple s'est uni.

- Le deuxième acte de dissidence de la population française et le refus d'acheter un éthylotest qui ne sert strictement à rien, si ce n'est à enrichir quelques filous de mèche avec quelques élus non moins filous !

 

depuis il y en a eu d'autres

09/02/2014

ON CROIRAIT QUE ça A été ECRIT AUJOURD'HUI MEME !!!

Petit extrait du Meilleur des mondes, d’Aldous Huxley.(1932) vachement perspicace Aldous Huxley !!!

« Pour étouffer par avance toute révolte, il suffit de créer un conditionnement collectif si puissant que l’idée même de révolte ne viendra même plus à l’esprit des hommes. L’idéal serait de formater les individus dès la naissance en limitant leurs aptitudes biologiques innées.

Ensuite, on poursuivrait le conditionnement en réduisant de manière drastique l’éducation, pour la ramener à une forme d’insertion professionnelle. Un individu inculte n’a qu’un horizon de pensée limité et plus sa pensée est bornée à des préoccupations médiocres, moins il peut se révolter. Il faut faire en sorte que l’accès au savoir devienne de plus en plus difficile et élitiste. Que le fossé se creuse entre le peuple et la science, que l’information destinée au grand public soit anesthésiée de tout contenu à caractère subversif. Surtout pas de philosophie. Là encore, il faut user de persuasion et non de violence directe : on diffusera massivement, via la télévision, des divertissements flattant toujours l’émotionnel ou l’instinctif. On occupera les esprits avec ce qui est futile et ludique. Il est bon, dans un bavardage et une musique incessante, d’empêcher l’esprit de penser.

On mettra la sexualité au premier rang des intérêts humains. Comme tranquillisant social, il n’y a rien de mieux. En général, on fera en sorte de bannir le sérieux de l’existence, de tourner en dérision tout ce qui a une valeur élevée, d’entretenir une constante apologie de la légèreté ; de sorte que l’euphorie de la publicité devienne le standard du bonheur humain et le modèle de la liberté.

Le conditionnement produira ainsi de lui-même une telle intégration, que la seule peur – qu’il faudra entretenir – sera celle d’être exclus du système et donc de ne plus pouvoir accéder aux conditions nécessaires au bonheur. L’homme de masse, ainsi produit, doit être traité comme ce qu’il est : un veau, et il doit être surveillé comme doit l’être un troupeau. Tout ce qui permet d’endormir sa lucidité est bon socialement, ce qui menacerait de l’éveiller doit être ridiculisé, étouffé, combattu.

Toute doctrine mettant en cause le système doit d’abord être désignée comme subversive et terroriste et ceux qui la soutienne devront ensuite être traités comme tels. On observe cependant, qu’il est très facile de corrompre un individu subversif : il suffit de lui proposer de l’argent et du pouvoir ».

 

on y est en plein dedans !!!

01/02/2014

à la fin de 2001 plusieurs chercheurs ont disparus, dans des conditions étrange, tous s'occupaient des maladies infectieuses

oui dans les mois qui ont suivi le 11 septembre :

http://www.wikistrike.com/article-hecatombes-de-microbiol...

plusieurs chercheurs réputés, souvent considérés comme des génies et spécialistes des maladies infectieuses ou encore le séquencement d’ADN, ont été trouvés morts ou disparus. En novembre, le Dr. Benito Que, biologiste cellulaire travaillant sur des maladies infectieuses comme le HIV a été retrouvé dans le coma à l’extérieur de son laboratoire à la Faculté de médecine de Miami. Une semaine après, le Dr Don C Wiley, chercheur lui aussi en maladie infectieuses a disparu. Sa voiture de location a été trouvée avec un plein réservoir et le contact enclenché. Sa disparition est faite, dirait-on, pour ressembler à un suicide. Selon ses collègues et sa famille, le Scientifique de Harvard associé à l’Howard Hughes Institut Médical, ne se suiciderait jamais. Ses associés qui avait fait avec lui un diner quelques heures avant sa disparition, ont tous dit qu’il était de bonne humeur et pas déprimé.

Mort et Disparitions de plusieurs chercheurs et scientifiques

Le 23 novembre, docteur Vladimir Pasechnik, le scientifique principal de Biopreparat qui était responsable de la peste aerosol et était le développeur couronné de succès d’armes connues sous le nom de "groupe Novichok" a été trouvé mort. Le Docteur Pasechnik a déserté de l’Union soviétique en 1989 en visitant le Royaume-Uni où il a vécu jusqu’à sa mort en novembre. Il n’y avait aucun rapport des médias sur sa mort pendant une pleine semaine. Il n’y a eu aucune autopsie connue, ni aucun détail sur sa mort en tout cas. Le 10 décembre, le docteur Robert M. Schwartz a été trouvé assassiné dans sa ferme isolée dans Leesberg, le
Docteur Schwartz était un chercheur de séquencement d’ADN bien connu. Il a fondé Virginia Biotechnology Association où il a travaillé sur le séquencement d’ADN dans son laboratoire pendant 15 ans. Il serait rentré dans un sas rempli d’azote.

Les théories vont bon train, mais de toute évidence ces savants ont été éliminés, pourquoi ?  On aimerait savoir quel enjeu secret d'Etat se cache derrière ces éliminations, et Quel Etat ?  

http://www.conspiration.ch

 

22/11/2013

Cuba devra être notre modèle

Cuba, assure à sa population un taux de santé et de longévité égal à celui des USA avec un taux de dépenses 8 fois moindre, et ils ont même trop de médecins, aussi ils les exportent dans les pays ui en ont besoin, les USA préfèrent exporter des bombes !

*Cuba sera le modèle à suivre pour survivre écologiquement avec la rarèfaction du pétrole, et avoir une agriculture saine et durable !

 

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13/11/2013

Un bon résumé de la situation actuelle

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Pierre Hillard & Piero San Giorgio "Comprendre... par erlorraine

 (ne pas oublier non plus les conseils en dernière partie)

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22/03/2013

NATO daŭre ekzistas, kial ?

 

"Dum pli ol duonjarcento oni klarigis, ke la malvarma milito, la korea milito, la vjetnama milito, la gigantaj militaj bugxetoj, ĉiuj usonaj invadoj, la renversitaj registaroj... Cxio ĉi utilis al sindefendo kontraŭ la sama minaco : La Internacia Komunista Komploto kondukata de Moskvo.
 
"Sed Sovetunio estis malfondita. Same la Varsovia traktato. La "komunistoj" eĉ fariĝis kapitalistoj.
 
"Tamen nenio ŝanĝiĝis en la eksterlanda politiko de Usono.
 
"NATO dauxre ekzistas. NATO, kiu estis kreita por – oni klarigis al ni – protekti Okcidentan Euxropon kontraux soveta invado. NATO dauxre ekszistas, NATO disvolvigxas... Kaj Usono intervenigas NATO-n en Balkanio, aux elpensas klauxzojn de la traktato por konvinki gxiajn membrojn partopreni en la invado de Afganio... Kaj lauxmezure kiam Rusio malkonstruas la militajn bazojn datumantajn de la malvarma milito en Orienta Eŭropo, en Vjetnamio aŭ en Kubo, Usono instalas novajn en la teritorioj de eks-Sovetunio, en Mezoriento aux aliloke. Dum Rusio fermis siajn radio-auxskultojn en Lourdes (Kubo), Usono konstruis potencan auxskultejon en Latvio, cxe la rusa landlimo.
 
"Tiu tuta historio estas nur vasta trompaĵo. Sovetunio kaj la afero kvalifikata "komunismo" neniam estis en si mem la vera celo de la vaŝingtonaj atakoj. Neniam estis Internacia Komunisma Komploto. La malamiko estis, la malamiko dauxe estas, cxiu registaro, cxiu movado, ecx cxiu unuopulo, kiu auxdacas bremsi la ekspancion de la usona Imperio, kia estas la nomo, per kiu Usono travestas la malamikon... komunista, huligansxato, drogosxakristo, teroristo..."



William Blum, KILLING HOPE, 2003, esperantigis D. Kessous.

15/02/2013

s'il te plait, ours, sois gentil ! laisse-nous te tuer !

James George Frazer (1854-1941) est un des plus fascinant des anthropologues


James George Frazer (1854-1941) est un des plus fascinants des anthropologues, l’œuvre de sa vie « Le Rameau d’Or » est une « Bible » (2000 pages, en deux tomes, dans la collection «Bouquins») des rites populaires, des mythes et des religions comparées, elle se lit, très facilement, comme un roman (je l’ai eu des mois sur ma table de chevet ou carrément sur mon lit !). Il a vécu en cette époque qui ne reviendra plus, l’époque où Alphonse Daudet en 1871 dans un de ses Contes du Lundi : « La dernière Fée » pleurait la disparition des légendes et des croyances populaires devant le froid et rationaliste modernisme. A cette époque-jonction entre celle où personne ne s’intéressait à ce que pratiquait ou pensait le peuple, et où la science anthropologique n’existait pas, et celle où tout cela, que Frazer croyait « éternel », est mort. A la dernière époque où certains de ces rites populaires étaient encore vivants, et où les autres venaient à peine de s’éteindre et que les témoignages de première main pouvaient être rassemblés par d’innombrables voyageurs, mémorialistes, ethnographes, dont les références bibliographiques, par centaines emplissent les pages de notes de son livre. Après ce sera la fin. Van Gennep (lui aussi a écrit un « pavé » là-dessus, passionnant à lire aussi, même si il est moins ambitieŭ) qui est d’une génération plus tard avait déjà du mal pour trouver des traditions françaises vivantes, c’étaient les dernières, maintenant tout est mort, et d’ailleurs on étonnerait bien, même les paysans européens d’aujourd’hui si on leur rappelait toutes les croyances et les rites de leurs ancêtres ( « le coq du blé », vous connaissez ?)

Ici je vous ai recopié un (très court !) passage sur le thème « propitiation d’animaŭ sauvages par les chasseurs ». C’est très intéressant: Tous les sophismes, les artifices, les « tortillages du cul » aŭquels avaient recours les peuples se nourrissant de la viande des ours montrent une chose : que ces chasseurs étaient partagés entre le désir de manger la bonne viande et le sentiment de quelque chose, que la civilisation technicienne à la Zygmunt Baumann (quand le lien entre les atrocités et leur produit final est masqué, quand la chaîne et désolidarisée, « administratisé », et industrialisée, aseptisée, et enfin quand les victimes sont deshumanisées – dans son livre « Modernité et Holocauste ») nous a habitué à oublier, mais dont ils restent clairement ou sourdement conscients : qu’un ours aussi c’est une personne vivante et de tuer une personne vivante c’est toujours un meurtre, alors que faire ? heureusement le jésuitisme et les rites ça aide !

« On peut ainsi retrouver dans toute la partie nord du vieŭ monde, depuis le Détroit de Behring jusqu’à la Laponie, cette vénération qu’a le chasseur pour l’ours qu’il tue et mange régulièrement ; On la retrouve sous des formes analogues dans l’Amérique du Nord. Chez les indiens d’Amérique, une chasse à l’ours était un événement important auquel ils se préparaient par de longs jeunes et des purifications. Avant de partir, ils offraient des sacrifices expiatoires aŭ âmes des ours tués dans les chasses précédentes et les suppliaient d’accorder leur faveur aŭ chasseurs. Quand un chasseur avait tué un ours, il allumait sa pipe, en glissait le bout entre les babines de l‘ours et, soufflant dans le culot, remplissait de fumée la gueule de l’animal. Puis il demandait à l’ours de ne pas se mettre en colère parce qu’il l’avait tué et de ne pas lui nuire dans la suite de la chasse. On faisait rôtir le corps tout entier et on le mangeait sans en laisser un seul morceau. On suspendait à un poteau la tête, après l’avoir peinte en rouge et en bleu, et des orateurs s’adressaient à elle, comblaient l’animal d’éloge. Quand des hommes du clan de l’ours, dans la tribu des Ottawas, tuaient un ours, ils lui offraient un repas de sa propre chair et lui parlaient ainsi : "Ne sois pas fâché contre nous de t’avoir tué. Tu es raisonnable ; tu vois que nos enfants ont faim. Ils t’aiment et veulent te garder dans leur corps. N’est-ce pas une gloire que d’être mangé par les enfants d’un chef ? »

les Assiniboins font des prières à l’ours, lui offrent en sacrifice du tabac, des ceintures et autres objets de valeurs. Ils célèbrent aussi des fêtes en son honneur pour obtenir ses faveurs et vivre en sécurité. Ils gardent souvent pendant plusieurs jours, placée dans un endroit convenable, la tête de l’ours, ornée de morceaŭ d’étoffe rouge, de colliers, de plumes de couleur. Ils lui offrent leur pipe et lui demande la permission de tuer tous les ours qu’ils rencontrent, sans qu’il y ait danger pour eŭ, afin de pouvoir s’oindre le corps avec leur graisse si fine, et se régaler de leur chair délicate.

Un marchand du XVIIIè siècle raconte comment des chasseurs Ojibways couvrirent de caresses affectueuses une ourse qu’il venait de tuer. Ils lui prenait la tête entre les mains, la caressaient, la baisaient, lui demandaient mille fois pardon de cette mort si violente ; ils l’appelaient leur parente, leur grand-mère, et la suppliaient de ne pas les accuser, car c’était un anglais qui l’avait tuée. Après avoir séparé la tête du corps, ils l’ornèrent de tous les colifichets qu’ils purent trouver et la placèrent sur une estrade dans la cabane. Le lendemain, ils allumèrent leurs pipes et en soufflèrent la fumée dans les narines de la bête ; le marchand fut invité à témoigner une semblable marque de respect à l’animal pour racheter le meurtre qu’il avait commis. Avant de faire ripaille avec la chair de l’ours, un orateur prononça un discours dans lequel il déplora la triste nécessité où ils se trouvaient de faire périr les ours leurs amis ; car, sans cela, comment arriveraient-ils à vivre ? Certains indiens des Iles de la Reine Charlotte, près de la côte nord-ouest d’Amérique, avaient l’habitude de marquer d’une rangée de quatre croix rouges la peau des ours, des loutres et autres animaŭ pour apaiser l’esprit de la bête qu’ils venaient de tuer. Quand les indiens Thompsons de la Colombie britannique partaient à la chasse à l’ours, ils s’adressaient parfois à l’animal, le priant de venir se faire tuer. Ils suppliaient l’ours gris de ne pas être en colère contre le chasseur, de ne pas lutter contre lui, mais plutôt d’avoir pitié de lui et de venir s’en remettre à sa merci.

James George Frazer Le Rameau d’Or p. 329-330

 

 

On peut maintenant lire cet ouvrage passionnant et fondamental en ligne !
ici :
www.sacred-texts.com/pag/frazer
et ici un site où on peut le télécharger :
www.gutenberg.org/ebooks/3623

11/02/2013

vous avez dit "Tripoli" ?

LE MONITEUR UNIVERSEL (qui jouait le role de Journal Officiel de 1789 à 1869) rapporte dans sa livraison du 30 septembre 1793 que :

 


 

"Le gouvernement de Tripoli vient de passer en d'autres mains. Le pacha et son fils se faisaient une guerre opiniâtre; ce dernier était à la veille du succès, quand paru une escadre turque avec deux mille hommes de débarquement, commandée par l'ancien wekilargi d'Alger, qui s'est emparé du pays. cet homme s'est rendu odieux à Alger par une cruauté dont les chrétiens surtout ont senti les effets. Il va sans doute exercer dans Tripoli son despotisme habituel, au moyen d'un diplôme du Grand-Seigneur qui l'investit de la souveraineté de cette régence.

 

Le dey de Tunis, justement inquiet de cette expédition, paraît craindre qe le Grand-Seigneur n'ait formé le projet de faire revivre d'anciennes prétentions sur les régences barbaresques de Tunis, d'Alger et de Tripoli. Le dey fonde néanmoins quelque espoir sur le courage de Yusuf, fils du pacha de Tripoli, dant la petite armée a déjà disputé le terrain avec succès au wekilargi."



Bon, remplacez le Grand-Seigneur par Sarko/BHL/OTAN, les inquiétudes du Dey de Tunis par celles de l'Algérie, etc, ça paraît tout à coup bien familier l'histoire de 1793. "c'est toujours aussi pareil".
http://www.dailymotion.com/video/xl3ruz_thierry-meyssan-o...



NB : si vous voulez lire en ligne cette passionnante mine d'infos historique qu'est la réimpression in-extenso du Moniteur National paru durant la Révolution Française, c'est possible ici : OpenOffice ce n'est qu'une merde http://books.google.com/books?id=IJMMAQAAMAAJ

10/02/2013

préface à un manuel d'electricité destiné aux ouvriers et contremaîtres en 1918

J'ai trouvé ce texte dans la préface d'un Cours Élémentaire d'Électricité Industrielle à l'usage des écoles pratiques de commerce et d'industrie, publié à Paris en 1918.

Il témoigne des idées de l'époque et de l'esprit qui régnait alors dans la bourgeoisie. C'est la préface à la deŭième édition du livre, édition considérablement augmentée par rapport à la première, et l'auteur se sent obligé de se justifier de cet accroissement de niveau du contenu :


"....

Ce très modeste livre est destiné aŭ ouvriers et contremaîtres électriciens
.....

Il est d'ailleurs temps de substituer à ce mot d'ordre « toujours plus bas » des peuples fatigués et déclinants, le « toujours plus haut » des peuples jeunes et forts ou du moins régénérés et réconfortés.

C'est une erreur fatale de croire que si on étend les connaissances théoriques de nos élèves, on en fera des incapables prétentieŭ : conception démoralisante qui conduit à la culture de l'ignorance et à l'atrophie systématique de cerveaŭ peut-être fortement organisés. Cette crainte chimérique ne saurait résister à un examen sérieŭ : le mouvement de progrès qui s'impose si terriblement à notre nation comme le plus impérieŭ de nos devoirs, doit être général et tendre à élever en bloc tous les groupes hiérarchiques de notre armée d'industriels. Pourquoi vouloir créer un abîme entre le corps des ingénieurs et les ouvriers puisqu'ils doivent, pour collaborer utilement à une même œuvre, se comprendre et parler le même langage ? La confusion entre ouvriers ou contremaîtres et ingénieurs n'est pas à craindre, même à l'état de simple prétention chez les premiers, si l'effort qu'attend notre pays se développe et s'intensifie également de bas en haut, car le niveau général s'élèvera sans modifier sensiblement les distances relatives."



oui ...

07/02/2013

comment on voyait les chinois en 1930 ?

Article de journal (journal belge, vers 1930 ou avant) signé AJAX, titre de l'article :

"La Chine et les chinois tels qu'ils sont Un livre qui fait du bruit …"
Cet article présente un livre de Aimé-François Legendre http://fr.wikipedia.org/wiki/Aimé-François_Legendre
sans doute s'agit-il du livre : La Civilisation Chinoise moderne, Paris, Payot, 1926 ce qui daterait l'article de la même année ou la suivante.

(Pour ne pas avoir une vision caricaturale du Dr Legendre que cet article idéologique pourrait donner, voici la véritable pensée du véritable Legendre (sensiblement moins caricaturale que celle du perroquet nazi (un futur « rexiste » ?) qui a écrit l'article) : http://classiques.uqac.ca/classiques/legendre_aime_francois/far_west_chinois_setchouen/far_west_chinois_setchouen_preface.html )

extrait : ---------

"La Chine a connu, dans un passé lointain et bien oublié, une brillante civilisation. Mais il n'en existe plus aujourd'hui que des vestiges. Depuis l'époque où le chinois négroïde, le véritable type de la race jaune qui domine en nombre, quoique fortement métissé dans l'empire de Han, a assimilé et étouffé les dernières colonies de races aryennes qui se ruèrent, au temps des grandes invasions, à la conquête d'Asie, l'ancienne civilisation aryenne n'a fait que régresser; le chinois est redevenu lui-même, c'est à dire un être biologiquement inférieur, conservant à peine le souvenir des puissantes organisations de la race blanche à laquelle il s'était frotté sans pouvoir s'en assimiler ni le psychisme ni l'intelligence. D'après M. Legendre les plus beaux types, les plus entreprenants et les plus intelligents qui élèvent encore aujourd'hui la Chine au-dessus des pays primitifs, sont des descendants de ces conquérants d'il y a vingt siècles, fixés par petits groupes en Asie. Et voilà un premier fait ethnographique, que négligent généralement les observateurs superficiels, qui aide à mieux comprendre la civilisation ou plutôt l'absence d'une civilisation chinoise originale.

..............

Peuple primitif et peu évolué, campé aux confins de la barbarie – au sens propre du terme – il y a des milliers d'années d'années que l'intelligence chinoise a atteint son développement maximum.
"

---------

sic

Bon, on aimerait qu'il y ait une fée qui, d'un coup de baguette magique transporterait ce monsieur avec son assurance intellectuelle d'inculte directement dans la Chine actuelle, ça serait rigolo, je crois que là il attraperait une jaunisse !

un article que mon père avait découpé dans le journal et soigneusement conservé entre les pages d'un livre, sans doute impressionné et convaincu par cet article !