09/03/2022
plus jamais ! ils peuvent crever ! collabos un jour collabos toujours !!!
Perso, même si le masque est levé en mars, je n'irai pas dans les restaurants, les cinés, les bars tant que les gens qui ont été suspendus (soignants, pompiers français...) n'auront pas été réintégrés dans leur corps de métier. Inadmissible ce qui se passe. Merci à M. Philippot d'être là pour défendre nos libertés et notre dignité depuis le début.
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D M. Il y a 46 minutes
Idem pour moi
07/03/2022
je vous avais prévenu ! ça fait des années que j'avais conclu ça, il a fallu que ça tourne au fascisme pour que certains en prennent conscience - l'hygiénisme
La pensée hygiéniste n’est plus une pensée rationnelle, c’est devenu une pensée religieuse. Aussi bien dans notre société actuelle que en Inde ou chez les anciens juifs.
(et bien entendu on sait que depuis deux ans elle est devenue une pensée fasciste)
J’avais déjà peu d’estime pour mes contemporains avant cet épisode d’hystérie collective. Je n’en ai plus du tout
26/02/2022
cet immense danger que je pressentais
Sans compte bancaire, c’est la mort sociale et économique. Après s’être rendues incontournables pour mener une vie normale, les banques jettent donc le masque. Elles sont désormais un rouage majeur de la dérive autoritaire de l’Occident.
Publié dans Bravo M. Philippot toute la France vous attend com, journalistes = propagande d'Etat, Goebbels, la France s'enfonce dans le Libéral-Fascisme, le mondialisme est le stade ultime du capitalisme, les collabos masqués me font vomir de dégoît, Lutte des classes, morale, Science, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer
12/02/2022
soumission passive
"que ma fois c’est la règle et qu’on ne peut rien y changer, que tout ça nous dépasse" c'est ce que disaient les juifs en cousant bien gentiment leurs étoiles jaunes sur leurs vêtements...
ou les fumeurs en sortant dans les gaz d'échappement et le froid fumer dehors, sous le regard méprisants des bons aryens, euh pardon ! des non-fumeurs.
la réaction de soumission passive, dénoncée par certains articles sur reseauinternational d'ailleurs, et par Ariane Bilheran, et par Catherine Baker, (et qui est la même que celle des internautes qui acceptent tout aussi passivement qu'on leur injecte des "cookies" dans leurs ordinateurs, et qu'on leur impose de les "accepter") est hélas bien connue, depuis la Théocratie.
1. Le covidisme comme religion
Dans la religion sanitaire du covidisme, la Science tient lieu d’ultime déité
[cf ce que je dis depuis une vingtaine d’années sur le remplacement des « calotins » etc de l’ancienne théocratie par une nouvelle, selon des lois écologiques] et l’industrie pharmaceutique d’église universelle. À la tête de celle-ci, Fauci assume la fonction pontificale (jouissant d’une infaillibilité dont nul ne saurait douter, sous peine d’anathème), assisté de médecins tenant lieu de nouveau clergé – prêtres covidistes offrant le sacrifice des victimes qu’on ne soigne plus depuis l’instauration de cette nouvelle religion ; ou encore celui des enfants en parfaite santé et n’encourant aucun risque, inoculés sur l’autel de la « sainte » peur d’un virus dont le taux de survie est supérieur à celui de la grippe saisonnière...
Au centre du culte sanitaire sacrificiel de cette nouvelle église, le « vaccin » à ARN messager tient lieu de sacrement, gage de l’ultime salut (ne pas être infecté par le SRAS-CoV-2). Religion de la soumission au contrôle social hygiéniste, le covidisme missionnaire prêche par-dessus tout l’altruisme « vaccinal » du signalement social vertueux, pour faire en sorte que soit réalisé le plus grand de ses commandements : « Tu ne contamineras pas autrui du SRAS-CoV-2 ! » – commandement d’application strictement rigoureuse et exclusive à ce virus particulier, auquel échappent donc les autres virus bien connus, tels que le VIH-1.
Dans le monde de la nouvelle religion covidiste, passer par le sacrement « vaccinal » relève du plus haut devoir catégorique de responsabilité citoyenne envers autrui, dont l’exigence impérieuse réinstitue aujourd’hui cet ordre moral universel que le relativisme avait pourtant pris soin de reléguer au domaine des opinions et des préférences de chacun. Ceux qui s’y refusent sont par conséquent dénoncés et exécrés pour leur résistance irresponsable.
Dans le monde de la nouvelle religion covidiste, le prolongement des mesures étatiques de restriction et l’apparition de nouvelles vagues du virus sont donc naturellement imputés aux hérétiques « anti-vaccinaux », barbares ignorantins de l’antiscience complotiste qui répugnent aux bienfaits d’un produit pourtant « miraculeux » et maintiennent ainsi le reste du monde dans un état d’urgence et de grande vulnérabilité face à une menace virale sans précédent…
L’une des principales forces de la religion covidiste scientiste réside dans l’efficacité médiatique de son accusation antiscientifique d’ « antiscience » dirigée contre quiconque oserait garder un esprit critique ouvert, comme le veut la méthode propre et sous-entendue par la pratique même de la science qui peut encore en porter le nom. La religion covidiste et son clergé politico-médical, jouant du mirage d’une autorité intellectuelle usurpée par l’hégémonisme du pouvoir du discours GAFAMI-que, vivent ainsi dans l’illusion d’un ascendant scientifique (souvenez-vous de l’expérience de Milgram!) hors de doute sur leurs détracteurs « complotistes » insubordonnés et donc de facto ignorantistes. [c’était effectivement le discours de Louis XVIII du temps de de Bonald, les « jacobins » étaient des « égarés »]
Depuis le début de la dictature sanitaire, l’épouvantail du complotisme a été brandi afin de faire porter le chapeau de la désinformation à ceux qui, en réalité, l’exposent et la récusent. Le temps est venu de se souvenir que les plus grandes tragédies civilisationnelles ne sont pas causées par les gens qui s’autorisent à penser librement, mais bien par ceux qui se plient comme des bêtes aveugles et muselées au bon vouloir d’autorités attentatoires et corrompues jusqu’à la moelle, comme le sont celles qui dirigent aujourd’hui la France.
Il n’est pas difficile d’observer que la situation est pire aujourd’hui qu’il y a un an après le lancement de la grande campagne de « vaccination » expérimentale. Et que les autorités chargées d’assurer l’exécution de cette déstructuration sanitaire sans précédent n’en sont pas moins déterminées à trouver un moyen d’en justifier et d’en cautionner l’inqualifiable politique avec la toute récente validation du « paSS vaccinal » [1], désormais en vigueur, et pour quels résultats (voir, par exemple, l’analyse perspicace et tout simplement factuelle de l’éditorialiste de RT France, Alexis Poulin, en guise de réponse aux contresens et aux tours de passe-passe de Gabriel Attal lors de sa conférence de presse du 26 janvier 2022) !
11/02/2022
même Rioufol prend conscience
"Nous vivons une grave crise de l'intelligence": Ivan Rioufol publie son "Journal d'un paria"
Ivan Rioufol tient son bloc-notes dans les pages du Figaro depuis 20 ans. "Journal d'un paria", aux éditions l'Artilleur, rassemble les chroniques des années 2020-2021, années du coronavirus. Écrit au jour le jour, au fil des événements, ce récit retrace « les mesures excessives, liberticides et autoritaires » prises par nos dirigeants pour faire face à la pandémie. Il est augmenté d'une préface inédite qui revient sur ces deux années folles.
Le chroniqueur de CNews revient sur son évolution personnelle : si au début de l’épidémie, devant les annonces cataclysmiques, il soutient un temps le "président de la République", il est rapidement gagné par le doute et il s’interroge sur l’instrumentalisation de la peur. (beaucoup de gens ont suivi ce parcours entre 1940 et 1944)
Face à ces manipulateurs de peur, plus personne n’a été autorisé à "exprimer des doutes élémentaires", se souvient Ivan Rioufol, qui explique que les spécialistes qui dédramatisaient la situation ont été priés de se taire. Une situation qui n’est pas sans rappeler les ressorts de la pensée totalitaire. Il décrit une presse aux ordres qui accompagne le discours officiel et ne s’en cache même plus : "la presse n’est plus un contre-pouvoir", regrette l'éditorialiste, qui constate qu’à de rares exceptions près, journalistes, chroniqueurs, animés d’un esprit sectaire qui s’est installé au motif humaniste qu’il fallait sauver des vies, ne font même plus l’effort "d’exprimer des doutes élémentaires". Un mimétisme inquiétant tandis que dans une cascade informationnelle, les slogans des laboratoires, repris par les "médecins de plateaux", les gouvernements et les médias semblaient exacerbés dans un désir de convergence et de ressemblance.
"Ce qui est apparu, c’est l’effondrement de la démocratie à travers l’effondrement de tous les contre-pouvoirs : le Conseil d’État, le Conseil constitutionnel, le Parlement, le Sénat qui ont avalisé les mesures successives d’urgence sanitaire et sécuritaire", constate le journaliste.
N’hésitant pas à user du mot de dictature pour qualifier une situation où seule la parole gouvernementale est admise, et où chaque citoyen est sommet de la croire, il dénonce un sanitairement correct, prolongation du politiquement correct qu’il définit comme "un acquiescement à une parole officielle, à une parole d’État, par paresse et par conformisme", comme ce fut en 1940-44.
Enfin, si cette période a révélé une "grave crise de l’intelligence", Ivan Rioufol fait confiance à l’intelligence collective, saluant les Français manifestent tous les samedis depuis plusieurs mois un peu partout en France pour rappeler "qu’une partie de la société ne veut pas obéir à un ordre sanitaire, à un ordre politique ou à un ordre moral". Avec lucidité, talent et ironie, Ivan Rioufol jette sur ces deux années un regard sans concession, et nous fait prendre de la hauteur en posant un diagnostic sincère et parfois désabusé sur cette période folle où, hypnotisés par ce virus, nous avons peut-être oublié la désindustrialisation, l'ubérisation, l'aggravation de l'exploitation de l'homme par l'homme, l’affaiblissement du niveau scolaire...
Et puis la dérive fasciste et totalitaire qui est le vrai "virus" qui nous menace
07/02/2022
le monde de Mafalda
Mafalda, cette merveilleuse série du dessinateur Quino, n'est pas seulement un enchantement de psychologie et de fantaisie, c'est un lieu où, ces sketches ont été dessinés en Argentine entre 1964 et 1972, où quand on observe bien de dessin en dessin on retrouve la VIE NORMALE,
du temps où les trottoirs étaient recouverts de carrés de ciment blancs, et non d'une couche de macadam noir.
un monde où on envoyait les enfants faire les courses, (et où on allait acheter le lait en emportant sous le bras une bouteille vide pour la faire remplir),
un monde avec les immeubles d'habitation dont la porte d'entrée est toujours ouverte et sans digicode,
des épiceries (et qui livrent chez les gens !) et non pas des supermarchés loin de tout (même si en rêve Manolito, dont l'esprit mercantile et borné contient le germe du libéral-fascisme actuel)
les femmes maitresses de maison qui s'occupent de chez elles tranquillement.
des enfants qui peuvent passer des heures à se promener et jouer librement dans les rues, https://www.legrandsoir.info/un-regard-sur-le-modele-cuba... les parcs publics, où ils voient se dérouler la vie, les gens, les choses,
et qui peuvent s'asseoir sur le trottoir, les pieds dans le caniveau sans qu'une meute de flics et d'assistantes sociales se jettent sur eux et les menottent en les accusant d'«incivilités» !
et regarder les flaques, les feuilles qui tombent sans qu'une caméra de vidéo-surveillance ne les fiche comme comportement suspect et anormal !
un monde où les enfants peuvent rester assis sur la bordure du trottoir à rêvasser et regarder le monde
où les hommes avaient le droit de fumer
et les enfants de se rendre visite les uns chez les autres librement (et à pied et tout seuls)
une vie quoi ! un monde civilisé et normal ….
Heureusement qu'on peut encore lire ces bandes dessinées des décennies passées (Boule et Bill aussi), sinon certains ne sauraient même pas ce que c'est qu'une société libre humaine détendue et conviviale ! Mais si ! ça peut exister, ça a existé ! Parce que maintenant il n'y a plus que les "vieux", ceux qui ont connu les années 50 et 60 qui se souviennent du temps où la France était encore un pays libre. Et d’à quel point en chauffant petit à petit la marmite on peut cuire les grenouilles. En tous cas je rappelle que c’est François Asselineau et lui seul qui a débusqué le programme INDECT, personne d’autre ne le dénonce ! Et les caméras de vidéo-surveillance, il n’y a que lui qui parle de les interdire. et les rfid. Et l’omniprésence des plans vigipirate depuis des années, histoire d’habituer les gens à une surveillance exacerbée et constante ; fabriquer des zombies bien soumis, qui trouvent ça normal ! et ne se scandalisent même plus.
(et tu vois maintenant que j'avais raison de dénoncer ces comportements !!!! maintenant il y a bien pire, mais c'est l'acceptation passive par les collabos indignes depuis trois décennies qui a rendu tout ça possible !! souvenez-vous de l'adage latin "principiis obsta" et "finem respices" !!! ce sont eux les responsables honte à eux !! comprendront-ils maintenant ???)
même les USA étaient un pays libre et convivial autrefois, du temps évoqué, déjà avec nostalgie, par Ray Bradbury
Publié dans comme le temps passe !, Ili eldetruis la domon, kie niaj koroj sangis, la France s'enfonce dans le Libéral-Fascisme, la vraie vie, les paranoïas ayatollesques, libertés, mi iras limake, morale, rire, Société, y'en a marre de l'américanisation | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer
30/01/2022
années 30
Dans les années 30 il y avait Charles Trenet, mais aussi Alexis Carrel, Hitler et Le Corbusier.
Réflechissez, tous ces noms sont lourds de sens.
23/01/2022
pourquoi ?
Pourquoi je me suis obligé à fumer un cigarillo maintenant ? Je n'en ai même pas envie, mais il y avait longtemps que je ne l'avais pas fait, et si je ne me force pas je ne le ferai jamais, maintenant, on n'est plus jamais, jamais un seul instant détendu; et puis surtout, j'avais trop vu à quel point les français de maintenant sont soumis, il fallait bien que je trouve une façon de leur cracher à la figure.
08/01/2022
ENFIN ON SAIT !
Vous savez que - suivant la pratique typique des puissants et des capitalos ! - les cyniques promoteurs du compteur "linky" (en amerloque dans le texte, ce qui n'est pas du tout innocent ...) on avait bien tenu SECRET (le "secret des affaires" ! ) le nombre de personnes ayant refusé, et ayant réussi à faire respecter leur refus, le "linky". les Résistants se battaient dans le noir sans savoir réellement combien de gens avaient réussis à échapper à ce tout-flicage visant la maximisation du profit (et oui l'analyse marxiste on y revient toujours, c'est le bon sens même !) .
Maintenant on sait ! La Commission de régulation de l'énergie (CRE) a du avouer pour faire l'état des lieux de ses projets :
au moins 10% des compteurs en France ne sont pas des Linky. On peut estimer à 4 millions les compteurs ordinaires encore en service, c'est ÉNORME !
Du coup, pour soutenir Enedis et ses sous-traitants voyous dans leurs entreprise d'intimidation, la CRE a annoncé que les "sans-linky" se verraient appliquer une facturation de 64 euros par an. Attention, c'est encore une fois du bluff !
En effet, d'après mes informations, Enedis ne mettra PAS cette facturation en place car il faudrait alors continuer à payer les releveurs. Or un des principaux objectifs du programme Linky est de les licencier pour rendre Enedis encore plus profitable (et préparer sa privatisation).
07/01/2022
changer de sexe c'est quoi ? c'est d'abord .... un juteux marché ! du fric pour les chirurgiens et les "entreprises" qui font ça !! , maximisation du profit ! lutte des classes ! on n'es sort pas
https://odysee.com/@Chloe_F:b/Infoenquestions82:8
et comme du temps des rois l'Eglise était la complice du pouvoir et des profits des exploiteurs (au XIXè la bourgeoisie), les calotins de la nouvelle religion, donc la DDASS, les "Assitantes sociales " et toute cette flicaille sociale, sert de rabatteur pour ces nouveaux investisseurs ! logique !