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01/08/2023

les vêtements lirturgiques de maintenant - pour comprendre - petit cours de sociologie

Et je vois que maintenant (toujours la permanence de la "Religion" sous ses avatars changeants !) il y a des vêtement liturgiques que portent certaines catégories et les désigne aussitôt comme "sacrés" représentants du POUVOIR et ayant sur vous des privilèges ....

En font partie tous les agents municipaux et agents (même quand ils sont eux-mêmes esclaves ! esclaves du grand capital, dans l'Athènes antique les flics étaient des esclaves Thraces, esclaves, de l'Etat mais en tant que flics dotés sur les simples citoyens d'un pouvoir arbitraire, qu'on imagine illimité et pervers, la flicaille a toujours été la flicaille, celle de l'antiquité ne devait pas être différente, les mêmes causes produisent toujours les mêmes effets.) agents des entreprises capitalistes privées, donc SACRO-SAINTES puissances maîtres de notre société !! qui font des choses (toujours secrètes, il n'y a plus de transparence) sur a voie publique (qui ne l'est plus !) ils sont tous avec des gilets jaunes ou oranges (pas signes d'émancipation ceux-là, mais vous savez les bonnets phrygiens quand ils ont été institués pour signaler les esclaves affranchis, n'étaient ps du tout un message d'émancipation, mais de mépris, de racisme de classe, c'est l’histoire ultérieure, qui comme pour les gilets en a fait un symbole de libération politique !). Ces sont des vêtements liturgiques du pouvoir social, de même que les vêtements liturgiques d'autrefois ! ! Et comme les prêtres du temps de Béranger, ils sont sacrés ont tous les droits et vous que celui de fermer votre gueule et de ne même pas leur poser de question ni vous approcher d'eux (entre eux, eux ont le droit ils s'en foutent !). C'est le paradigme classique du sacré et des classes sacrées crées par le pouvoir le long de l'histoire.

 

Déjà il y a dix ans peut-être j’avais commencé à me rendre compte de tout ça http://miiraslimake.hautetfort.com/archive/2017/06/21/petit-cours-de-sociologie-5929076.html

le technicien en plein champ arbore son vêtement liturgique indiquant sa position de pouvoir absolu sur les pékins de gens ordinaires.jpg

agent du pouvoir capitaliste dans un champ, le gilet jaune est censé le faire mieux voir des voitures roulant à toute
vitesse sur les labours ou dans les zones interdites aux voitures des villes touristiques de Flandre ! C'est religieux, comme chacun sait la religion n'a rien de rationnel !
ou plus exactement la rationalité n'est pas là, elle est dans le pouvoir et la  soumission comme expliqué plus haut.

Et maintenant, c'est un "curé" qui dit ça, mais il dénonce bien comme, la religion chrétienne étant morte (ça il ne le dit pas bien sûr !), nos maîtres les capitalistes, flics manipulateurs de l'opinion, néo-fascistes, on l'a remplacée par la croyance aveugle en l'idéologie hygiénosécuritariste, et celle-ci présente tous les traits et psychoses, et profils psychologiques, et rôle sociaux, de l'ancienne théocratie

28/07/2023

ce matin

21/7/2023 ce matin j’ai vu passer une jeune fille sur une trottinette électrique, portant un casque ! Et un gilet fluo ! Bref la parfaite membre des Jeunesses Hitlériennes !

24/07/2023

la mort mystérieuse de Claire Séverac - "la curiosité a tué le chat"

https://reseauinternational.net/le-prix-nobel-de-physique-2022-john-clauser-se-declare-climato-realiste/

(au fait il est mort de quoi Istvan Marko ?

quelqu'un a-t-il des infos là-dessus ?)

http://www.fawkes-news.com/2016/12/claire-severac-nous-qu...

Un témoignage sur les circonstances de la maladie de Claire Séverac « Merci de dire qu'elle est morte dans des conditions douteuses: elle m'a confié en octobre dernier alors qu'elle venait d'apprendre qu'elle était très gravement atteinte qu'elle avait été empoisonnée probablement fin août. Les symptômes sont arrivés très brutalement début septembre 2016. Jusqu'à là, elle m'a certifié n'avoir ressenti aucun symptôme. Elle pensait au polonium, indétectable même au compteur Geiger....Un cancer digestif aussi fulgurant a effectivement peu de chances d'être naturel. Un médecin toxicologue ou spécialiste de la médecine nucléaire ne peut que le confirmer. Le hasard a fait que j'ai écouté cet après midi, dimanche 26 décembre 2016, une émission sur France Inter traitant des empoisonnements, avant d'apprendre la triste nouvelle. Deux invités de la tête au carré : Eric Birlouez auteur d' « Histoire des poisons, empoisonnements et empoisonneurs » et Bruno Mégarbane, médecin toxicologue à Lariboisière. Le polonium à dose infinitésimale provoque un cancer fulgurant, dose indétectable au compteur Geiger. Il peut s'agir d'autres poisons... Elle rejetait toute peur et ne prenait aucune précaution particulière....Elle se mettait en colère si on lui demandait comment elle faisait pour ne pas avoir peur. […] Elle m'a fait promettre de ne parler à personne de ce qui lui arrivait. X était un des seuls à savoir. Il a fait des recherches chez elle avec différents appareils de mesures spécifiques.Ces recherches de substances radioactives ou de rayonnements électromagnétiques n'ont rien donné..... Elle avait beaucoup de gratitude envers X qui avait sécurisé son système informatique lui permettant ainsi de pouvoir finir son livre à peu près sereinement. Avant l'intervention de X, son imprimante"se mettait en marche la nuit toute seule"... Elle était certaine d'avoir ingéré un poison à l'occasion des conférences qu'elle donnait dans toute la France depuis la sortie en septembre 2015 de son livre sur les chemtrails. La première conférence pour le lancement du livre a été donnée à "La main d'or" et je m'en souviendrai toujours; elle a commencé par cette question au public: « Vous êtes sûrs que vous voulez m'entendre? Vous êtes sûrs que vous ne préférez pas aller à la plage? » Sa mort plus que suspecte, tout comme celle de Serge Monast en 1996 et de bien d'autres lanceurs d'alertes est la preuve que sa dernière enquête (selon ses propos, l'enquête la plus difficile, celle qui a lui demandé plus de 3 ans d'efforts et de recherches) était aussi la plus dangereuse... Il va nous falloir reprendre le flambeau et faire preuve du même courage qu'elle. Paix à l'âme de cette grande résistante! »


 La curiosité a tué le chat.

Oui , vous connaissez Claire Séverac ? une vraie héroïne de la vérité et de l'interêt public, elle a depuis 2011 publié plusieurs livres sur les scandales liés à notre santé. Son dernier s'appelle "La guerre secrète contre les peuples" et a comme sous-titre "ne leur pardonnez pas, ils savent ce qu'ils font" et comme introduction une citation d'André Gide : "Le monde ne sera sauvé, s'il peut l'être ! que par des insoumis"

chaque page de ce livre c'est de la dynamite ! vers le   début  il  y  a   ce   témoignage, rien de tel que les témoignages ! (c'est comme pour le livre de Danielle Bleitrach "URSS vingt ans après), lettre qu'a reçu Clifford Carnicom "Je suis un mécanicien d'aviation, travaillant pour une ligne aérienne importante. Je travaille dans une base d'entretien située dans un grand aéroport et le hasard a voulu que je découvre ce qui ne m'était visiblement pas destiné.

Avant toute chose, il me faut vous expliquer en deux mots comment fonctionne la hiérarchie dans le monde des mécaniciens en aéronaval. C'est important pour la compréhension de mon histoire et pour la cause à laquelle vous consacrez une grande partie de vos énergies.
Les mécaniciens veulent travailler dans trois domaines : l'avionique, les moteurs et les commandes de vol. Les mécaniciens qui travaillent sur ces systèmes sont considérés comme ayant atteints les plus hauts degrés de l'échelle hiérarchique. Viennent ensuite les mécaniciens qui travaillent sur les systèmes hydrauliques et les appareils de climatisation.
Les suivants sont ceux qui sont attachés aux systèmes subalternes.
Enfin, tout en bas de cette échelle, se trouvent les mécaniciens qui travaillent sur les systèmes de vidange des eaux usées. Aucun mécanicien ne veux travailler aux pompes, réservoirs et tuyauteries qui servent à emmagasiner les déchets des toilettes.
Toutefois, dans chaque aéroport ou j'ai travaillé, il y'a toujours 2 ou 3 mécaniciens qui sont volontaires pour ce service, quel que soit l'aéroport. Les autres mécaniciens sont tellement heureux de les laisser faire. Personne ne prêtes vraiment attention a ces types et aucun mécanicien sérieux n'a de véritable rapport avec ces mécaniciens de seconde zone. En fait, je ne m'étais moi-même jamais vraiment penché sur cette question, jusqu'à tout dernièrement.
La plupart des compagnies aériennes ont des accords de services réciproques avec les autres compagnies qui utilisent un même aéroport. Cela signifie que si une compagnie a un problème technique, un de nos mécaniciens s'en occupera.
En contrepartie, si un de nos avions est en difficulté là où une autre compagnie aérienne possède sa base d'entretien, ils se chargeront de réparer notre avion.
Un jour du mois dernier, j'ai été appelé sur notre base pour travailler sur l'avion d'une autre compagnie. Au moment de l'appel, le contrôleur ne savait pas quel était le problème et ne pouvait me donner aucun détail. Quand je suis arrivé sur place, j'ai découvert que la panne se situait au niveau de l'emmagasinage des rebuts. Il n'y avait pas d'autres solutions : il fallait que je rampe à l'intérieur de la carlingue pour régler le problème.
En pénétrant dans le compartiment, je me suis rendu compte que quelque chose n'allait pas. L'avion possédait plus de réservoirs, de pompes et de tuyaux que la mention au cahier de charges.
Au début, j'ai supposé que le système avait été modifié. Il n'y avait plus de dix ans que je n'avais pas travaillé sur un appareil de ce type. Alors que j'essayais de trouver le problème, j'ai rapidement réalisé que la tuyauterie et les réservoirs supplémentaires n'étaient pas reliés au système d'évacuation... Je venais tout juste de le découvrir quand un autre mécanicien de ma compagnie apparut subitement. C'était justement un des mécanicien travaillant habituellement sur ces systèmes. Je lui ai remis le travail avec grand plaisir.

Comme je partais, je l'ai interrogé au sujet de l'équipement supplémentaire. Il m'a dit : Occupe-toi de ton boulot et laisse-moi m'inquiéter du mien!
Le lendemain j'étais à l'ordinateur de la compagnie pour voir un plan de câblage.tandis que je me trouvais là, j'ai décidé de faire une recherche supplémentaire que j'avais trouvé dans l'avion. À ma grande surprise, les manuels ne faisaient aucunement état de l'équipement que j'avais vu la veille. J'ai cherché dans les dossiers du fabricant et je n'ai rien trouvé non plus. Ma curiosité était piquée au vif : j'étais vraiment déterminé à découvrir la nature de cet équipement-là.

La semaine suivante nous avons reçu trois de nos avions, dans le hangar principal, pour l'inspection périodique. Des mécaniciens rampent partout autour de l'avion durant ces inspections. Je venais tout juste de finir mon quart de travail et j'ai donc décidé d'aller voir le système d'évacuation sur un des appareils. Avec tous les mécaniciens autour, j'étais sûr que personne ne me remarquerait.
À ma grande surprise, l'avion que je choisis d'inspecter possédait, lui aussi, ce type d'équipement supplémentaire!
J'ai commencé à suivre le système de la tuyauterie, des pompes et des réservoirs. J'ai découvert ce qui semblait être l'unité de commande pour le système. C'était une boite de commande standard de l'avionique, mais sans la moindre inscription. Je pouvais suivre les fils, de la boîte de commande aux pompes et aux valves, mais aucun circuit de commande n'arrivait dans cette unité.
Les seuls fils qui étaient raccordés à cette unité, rejoignaient le système opérationnel des commandes de l'avion.
Le système possédait un grand réservoir et deux plus petits.
C'était difficile à voir à cause de l'exiguïté du compartiment, mais semblait que le grand réservoir aurait pu tenir 50 gallons (200 litres). Les réservoirs étaient reliés à une soupape de vidange du système des eaux usées. Ayant cherché où menait ce raccordement sous l'avion, j'ai vu qu'il était caché derrière un faux panneau, sous un autre panneau qui, lui, accédait au système du drain de vidange.
J'ai commencé à retracer la tuyauterie des pompes. Ces tuyaux mènent à un réseau de plus petits conduits qui se terminent dans les rebords arrière des ailes et des stabilisateurs horizontaux de l'avion.
Si vous regardez attentivement les ailes d'un grand avion vous verrez une couette de fils, environ de la taille de votre doigt, s'étendre du rebord arrière de l'aile. Ce sont des tiges de décharge statiques. Elles sont employées pour dissiper la charge d'électricité statique qui s'accumule sur un avion en vol. J'ai découvert que les conduits de ce systèmes menaient à une sur trois de ces tiges à décharge électrostatique. Par contre, ces tiges uniques avaient été trouées comme pour laisser échapper un produit quelconque à partir de ces fausses tiges à décharges électrostatique.
Cela faisait un certain temps que j'étais juché sur l'aile. Soudainement, un des superviseurs m'ordonna de quitter le hangar. Il me dit par la suite que mon quart de travail était terminé et que je n'étais pas autorisé à faire des heures supplémentaires.
Les deux journées qui suivirent furent très chargés et je ne trouvai pas une minute pour poursuivre ma petite enquête.
Alors que j'étais en retard,,deux jours après ma découverte, je fus appelé à remplacer un détecteur de température pour un moteur d'avion qui s'apprêtait à décoller. J'ai fini le travail et je suis retourné à la paperasse.

Environ 30 minutes plus tard, j'étais convoqué par le directeur général. Quand je suis entré dans son bureau , le représentant de notre syndicat et deux autres personnes que je ne connaissais pas m'y attendaient. Le directeur me dit qu'un problème sérieux avait été découvert. J'étais suspendu pour faute grave. Il m'a remis une formule disciplinaire déclarant que j'avais écrit de fausses entrées dans mon rapport de travail au sujet du détecteur de température de moteur que je venais d'installer quelques heures auparavant. J'étais atterré et j'ai commencé à protester. J'ai dit que c'était ridicule et que j'avais bel et bien effectué consciencieusement ce travail. Le représentant du syndicat s'interposa. Il a recommandé que nous jetions un coup d'oeil à l'avion, de façon à tirer la situation au clair. C'est à ce moment que j'ai demandé qui étaient les deux autres hommes. Le directeur général m'a indiqué qu'ils étaient des inspecteurs de la sécurité de la compagnie aérienne, mais qu'ils n'étaient pas tenus de me donner leur nom.

Nous nous sommes donc rendu à l'avion qui aurait déjà dû décoller, mais qui était encore garé à notre rampe de maintenance. Nous avons ouvert les capots du moteur et le représentant des syndicats retira le détecteur de température. il vérifia le numéro de série et constata que c'était la vieille pièce. Nous sommes alors allés au comptoir des pièces et le représentant des syndicats a vérifié mon rapport. Sur une étagère, il a pris une boite scellée. Il l'a ouverte et a retirée un détecteur de température à moteur ayant le même numéro de série que celui que j'avais installé. Sur-le-champ, il m'a dit que j'étais suspendu pour une semaine sans salaire.
Je me suis reposé à la maison le premier jour de ma suspension en me demandant ce qui avait bien pu m'arriver.

Durant la soirée , j'ai reçu un appel téléphonique. La voix me dit : Maintenant vous savez ce qui arrive aux mécaniciens qui fourrent leur nez là ou ils n'ont rien à faire. La prochaine fois que vous vous mettrez à travailler sur des systèmes qui ne vous concernent pas, vous perdrez votre emploi ! Comme je me sens généreux aujourd'hui , je crois que vous pourrez retourner à votre travail bientôt. CLICK.
J'ai aussitôt fait le rapprochement entre ce qui venait de se produire et ma découverte de la tuyauterie mystérieuse.

Le matin suivant le directeur général m'appela. Il me dit qu'à cause de l'excellence de mon dossier, la suspension avait été réduite à une journée. Je devais donc me remettre immédiatement au travail. La seule chose à laquelle je pouvais penser était : Qu'est-ce qu'ils essayent de cacher et ensuite qui sont -ILS!
Le retour au travail s'est passé comme si de rien n'était. Aucun des autres mécaniciens ne mentionna la suspension qu'on m'avait infligée. Le représentant syndical m'a d'ailleurs dit qu'il était inutile d'en parler. Mais cette nuit-là, Je surfais sur Internet pour essayer de trouver des réponses. Je ne me rappelle pas comment j'y suis arrivé, mais j'ai trouvé votre site par hasard. C'est alors que la situation est devenue de plus en plus claire. Le lendemain matin, au travail j'ai trouvé une note écrite à l'intérieur de mon casier verrouillé. Elle disait : La curiosité a tué le chat. Ne regarde pas les sites Internet qui ne te concernent pas.
Alors, voilà! Ils m'observent.
Je ne sais pas ce qu'ils sont en train de vaporiser, mais je peux vous certifier qu'ils le font. J'imagine qu'ils utilisent les camions-citernes. Ce sont les camions qui vident les déchets des réservoirs de vidanges des toilettes. Habituellement les aéroports confient à la sous-traitance ce genre de travail et personne ne va près de ces camions. Qui voudrait se tenir près d'un camion rempli de m...? Tandis que ces types vident des réservoirs des eaux usées, ils remplissent les réservoirs du système des gicleurs à vaporisation. Ils connaissent les plans de vol des avions. Ainsi, ils programment probablement l'unité de commande afin qu'elle commence à pulvériser une certaine quantité d'un produit quelconque après un certains temps, dès que l'avion a atteint une certaine altitude, ou encore au-dessus de certaines agglomérations. Le bec des gicleurs des fausses tiges électrostatiques est si petites que personne dans l'avion, ne pourrait remarquer la chose.

Je ne suis aucunement un imbécile. Je sais qu'il se passe quelque chose et je suis franchement effrayé. Je me sens très coupable de connaître l'existence de cette opération, mais je
suis tenu au silence. Cela me perturbe de savoir que la compagnie pour laquelle je travaille pourrait être en train d'empoisonner les Américains. J'espère que cette lettre ouvrira les yeux de certaines personnes sur ce qui se produit, en ce moment, dans nos cieux.

Encore une fois, je souhaiterais bien pouvoir vous donner une information documentée, mais vous comprenez pourquoi je dois conserver l'anonymat absolu."
Merci,
un citoyen concerné.

 

témoignage "J’ai photographié « mes » premiers chemtrails en juillet 2009 : le matin le ciel est bleu sans nuage et puis arrive un avion qui fait un épandage en ligne droite (axe est/ouest) puis un deuxième avion en parrallèle à côté fait de même, puis un 3ème en parallèle à côté etc…au bout de quelques heures les trainées se rejoignent et formaient un voile rougeâtre orangé (à l’époque), la température baisse de plusieurs degrés en quelques dizaines de minutes, il pleut en général quelques temps aprés…aujourd’hui le voile est de couleur blanche (ils ont dû changer la compo des produits)…
J’ai beaucoup voyagé en France et en Europe mêmes phénomènes observés et toujours des avions blancs. Sur des photos de Bretagne en 2002 on distingue nettement des chemtrails : donc les épandages ont dû commencer en France un peu avant; certainement après la fameuse (et provoquée)double tempête de 1999. Cette tempête a dû être un moyen de pression pour faire accepter le survol de ces avions blancs et leurs épandages malveillants qui durent donc depuis 20ans ! et t’en as encore qui n’ont pas été foutu de lever leurs yeux au ciel et d’observer et te disent que c’est du complotisme ! Claire Séverac avait justement écrit un livre sur le sujet peu de temps avant son assassinat : » La guerre secrète contre les peuples ».

Claire Séverac, a publié son dernier livre en 2015, elle donnait aussi beaucoup d'interview, visible, jusqu'à présent, sur internet. Elle était en pleine forme, cet automne elle a tout à coup senti les symptomes d'un cancer de l'estomac fulgurant, le 22 décembre son site internet a disparu et sa page  facebook s'est retrouvée fermée, par qui ? le 25 décembre elle est morte

décidément le curiosité c'est mauvais pour la santé

Au fait vous connaissez Istvan Marko ? physicien belge de l'ULB, né à Wavre comme Maurice Carême, qui fut un des GRANDS LANCEURS D'ALERTE, sur la grande mystification du "climat" !!

ce n'est pas 90.000 vues que devrait faire cette vidéo mais 900.000 ! on y remet les choses en place avec des chiffres des graphiques, limpide ! la conclusion est évidente !

contribuez-y faites-là connaître autour de vous !

Mais il n'a pas pu continuer son action de dévoilement car Il est bizarrement mort assez jeune, en 2017, subitement. Nulle part on ne nous dit de quoi.

 

 

05/07/2023

Anniversaire : 84 ans

1939 – 2019 : 80 ans après l’euthanasie des handicapés

Rebondissement inespéré dans l’affaire Vincent Lambert : la Cour d’appel de Paris a ordonné lundi soir l’arrêt de son euthanasie et la reprise de son alimentation et de son hydratation. Cette décision ravive à nouveau le débat entourant la légalisation de l’euthanasie en France. Pourtant cette affaire ne concerne pas l’euthanasie d’un patient en fin de vie, mais bien celle d’une personne en situation de handicap. Cette situation nous renvoie à des heures sombres de notre passé. 

Vincent Lambert se situe dans un état de conscience minimal depuis un accident en 2008. Il n’est ni mourant ni souffrant : sa santé ne se détériore pas et son état est stable. Les seuls soins dont il bénéficie sont ceux d’une hydratation et d’une alimentation par sonde. Nous sommes loin d’un acharnement thérapeutique exercé sur un mourant, entouré par des moniteurs, une assistance respiratoire et des tuyaux en tous sens.

Comment donc définir l’état d’une personne qui a perdu de manière durable plusieurs fonctions physiques, sensorielles, mentales et cognitives ? C’est la définition du handicap donnée par la loi française de 2005 sur le handicap et la Convention des Nations unies sur les droits des personnes handicapées. La situation objective, bien que dérangeante, est donc la suivante : Vincent Lambert est handicapé. Son état a d’ailleurs été reconnu par le Comité des droits des personnes handicapées de l’ONU.

NOTEZ BIEN CECI (sur la vidéo suivante  à 1 H 43min lien : https://ru-clip.net/video/vZEOL0_Uld8/marche-blanche-pari... ) 7 CENTRES D'ACCEUIL DE SOINS ETAIENT PRÊTS à ACCEUILLIR VINCENT ! et ça a été refusé, il s'agit donc bien d'un assassinat délibéré.

Il fallait obtenir sa mort afin de faire avancer un projet global.

 

Son euthanasie ne renvoie donc pas aux débats entourant la fin de vie, mais bien à la question suivante : faut-il laisser vivre une personne handicapée, dont il nous semble que la vie ne vaut pas d’être vécue ?

Cette question a déjà été posée par le passé, et sa réponse fut radicale :

« Le Reichsleiter Bouhler et le docteur Brandt sont, sous leur responsabilité, chargés d’étendre les pouvoirs de médecins, qui seront nommément désignés, à accorder une mort miséricordieuse aux malades qui, selon les critères humains, auront été déclarés incurables après un examen critique de leur état de santé ».

 

Il suffirait de remplacer le nom des médecins pour croire lire le jugement rendu par les instances françaises dans l’affaire Lambert. Pourtant cette phrase est bien issue d’un décret de 1939, écrit de la main d’Adolf Hitler, qui met en place un programme secret d’extermination des handicapés allemands, connu depuis sous le nom de Aktion T4. De janvier 1940 à août 1941, ce sont 70 273 handicapés physiques et mentaux qui ont été gazés dans des centres de mise à mort installés sur le territoire du Reich. En moyenne, 50% des patients chroniques hospitalisés dans les asiles allemands furent éliminés. Le mois précédent, 5 000 enfants possédant des malformations avaient été assassinés par injection de morphine et de scopolamine ou l’ingestion de comprimés de Luminal ou de Véronal.

Pendant la guerre, l’extermination d’handicapés se poursuit dans toute l’Europe, par gazage, injection létale ou dénutrition. Au total, ce sont plus de 200.000 personnes handicapées qui ont été tuées entre 1939 et 1945.

 

Avant d’en arriver à une politique d’extermination, l’euthanasie avait été promue comme un moyen d’abréger les souffrances, notamment dans le livre Le Droit de mourir d’Alfred Jost (1895) :

« Quand nous voyons un malade incurable se tordre de douleurs indicibles sur sa couche, avec pour toute perspective celle, misérable, de longs mois de dépérissement, sans espoir de guérison, quand nous traversons les salles d’un asile et que la vision du fou furieux ou du paralytique nous emplit de toute la pitié dont l’homme est capable, cette idée ne peut que surgir en nous malgré tous les préjugés dont nous sommes pétris : « ces gens n’ont-ils pas droit à la mort, la société humaine n’a-t-elle pas le devoir de leur accorder cette mort avec le moins de souffrance possible ? » »

Cette compassion fut à double tranchant : en défendant le droit d’abréger les souffrances d’un mourant, on défendit également le droit de mettre fin à la « souffrance » que constituait la vie d’un handicapé. La rhétorique est progressive et subtile : en mettant sur le même plan les souffrances liées à la mort et les souffrances de la vie, elle ouvre la voie aux excès de l’euthanasie sur des autrui plus vulnérables.

L’euthanasie des handicapés sous le régime nazi fut ainsi opérée officiellement par « compassion ». Ce faisant, le choix d’apprécier la valeur d’une vie ne fut pas laissée à l’intéressé, au contraire. Ce furent des personnes tierces, en premier lieu les médecins, qui par « compassion » ont assassiné des dizaines de milliers d’handicapés physiques et mentaux.

Cette idée a été reprise en 1920 par le juriste Karl Binding et le psychiatre Alfred Hoche dans leur ouvrage La libéralisation de la destruction des vies qui ne valent pas d’être vécues, ouvrage qui servira de base au programme Aktion T4.

Les deux auteurs justifient d’ailleurs également l’euthanasie des handicapés physiques et mentaux par le coût qu’ils représentent pour la société :

« D’un point de vie économique, ces idiots totaux qui remplissent le plus les conditions d’une mort mentale complète seraient aussi ceux dont l’existence pèse le plus lourdement sur la collectivité »

Le spectre nazi paraît souvent comme exagéré lorsque l’on se réfère à l’euthanasie. Pourtant, force est de constater que les arguments en faveur de l’euthanasie des handicapés sont identiques à ceux utilisés 80 ans auparavant.

Cette confusion volontaire entre l’euthanasie de « fin de vie » et de « vie qui ne vaut pas d’être vécue » est porteuse de conséquences graves...

Suite de l'article https://lincorrect.org/1939-2019-80-ans-apres-leuthanasie...

Jean-Marie le Méné : Président de la fondation Jérôme-Lejeune : "Vincent Lambert n’est pas mort, il a été tué. La différence est importante. Nous nous attendions bien sûr à cette triste issue. C’est une date historique et symbolique. C’est la première fois, en France, sous l’empire d’une loi de la République, qu’on tue une personne handicapée qui n’est pas en fin de vie, qui n’est pas malade, qui n’a pas de maladie évolutive, qui ne souffre pas et qui n’a rien demandé.
Cette date est très importante parce que, derrière lui, se trouve une quantité de personnes dans cette situation. Elles sont isolées et sans famille. On ne sait pas très bien ce que ces personnes veulent et pensent.
Le danger est que la médecine s’empare de ce pouvoir pour mettre un terme à la vie de ceux qui coûtent trop cher à la société. C’est exactement le sens de l’évolution des sociétés occidentales de l’Europe de l’Ouest d’aujourd’hui.
L’association du Droit à mourir dans la dignité milite activement pour l’euthanasie.
Pensez-vous que l’affaire Vincent Lambert va faire jurisprudence ?

C’est une évidence! La Fondation Jérôme Lejeune dit depuis 15 ans qu’à partir du moment où on assimile la nourriture et l’hydratation à des traitements, on arrête les traitements. Cela veut dire qu’on tue la personne non pas avec sa maladie, mais avec l’arrêt de l’hydratation et de la nutrition. Il est tout à fait évident que la sédation profonde et continue est un maniement très incommode.
L’agonie de Vincent Lambert a duré suffisamment et pas trop. On a mesuré la sédation, ce qui a entraîné chez lui des souffrances horribles.
Il est évident que l’ADMD va dire ‘’c’est tout à fait inhumain’’. Ils disent d’ailleurs depuis longtemps «acceptons, puisque la société française est mûre, acceptons l’euthanasie dans certain cas avec une loi très encadrée, etc».
Cette étape a été annoncée par le demi-neveu de Vincent qui fait l’objet de pression de la part l’ADMD.
La direction dans laquelle on se dirige nous dit «c’est pénible à supporter pour nous les bien-portants, alors faisons en sorte que cela aille plus rapidement».
Le docteur Ducrocq déclarait que la loi Léonetti avait été conçue sur mesure pour régler le cas de Vincent Lambert.

Comme Xavier Ducrocq, je pense que c’est une mauvaise loi. On ne peut pas faire une bonne application d’une mauvaise loi.
La droite parlementaire française pense le contraire. Elle a voté la loi à l’unanimité. La conférence des évêques de France pense aussi que c’est une bonne loi, https://www.agoravox.tv/tribune-libre/article/chouard-tous-les-pouvoirs-abusent-82222mais mal appliquée. Je pense exactement le contraire. C’est une mauvaise loi qui est bien appliquée.
Du reste, c’est ce que toute la jurisprudence a confirmé depuis cinq ans. Nous avons financé la défense de Vincent Lambert depuis cinq ans. Des dizaines et des dizaines de décisions de justice disent toutes que c’est une loi bien appliquée. Jean Léonetti lui-même dit que cette loi est bien appliquée.
Dans les motifs de cette loi Léonetti, il était clair qu’il ne devait plus y avoir de cas comme celui de Vincent Lambert et qu’elle permettait de régler les cas comme ceux de Vincent Lambert. Le problème c’est que le cas de Vincent Lambert est un cas très simple. Médicalement, ce cas est difficile et tragique pour la personne, puisque c’est un grand handicapé tétraplégique, mais médicalement ce type de cas est pris en charge par des établissements spécialisés qui s’occupent admirablement des patients.
Ce n’est pas du tout le cas d’un patient qui fait des arrêts cardio-respiratoires toutes les semaines et qu’il faut réanimer ou non.
La question ne se posait pas pour Vincent Lambert. Il n’avait pas de maladie évolutive, il ne souffrait pas et n’était pas en fin de vie.
C’est vraiment la mise à mort délibérée d’une personne handicapée qui n’a pas pu s’exprimer sur son sort. On ne l’a guère traitée puisque tel est le vent de l’Histoire aujourd’hui.
Ceux qui ne sont pas aptes à vivre dans la modernité sont passés par pertes et profit. C’est le cas des handicapés avant la naissance. Aujourd’hui en France, il ne naît plus d’handicapés sauf quand on ne les a pas vus. Si c’est le cas,ils sont tous éliminés par l’avortement. Il en sera de même à la fin de la vie.
Cette situation avait été largement prévue par Jérôme Lejeune il y a de cela 35 ans. Nous l’avions confirmée en étudiant la loi Léonetti de 2005. Elle se confirme évidemment. Beaucoup n’ont pas voulu voir et ne veulent pas voir. C’est trop difficile. Il faut être lucide et courageux pour le dire et essuyer les critiques pendant des années lorsqu’on soutient une famille qui dit qu’elle aime son enfant en dépit de son handicap.

Hitler a gagné la guerre

 

et (eh oui ! il semble que finalement c 'est Hitler qui a gagné la guerre ! c'est son "esprit de la modernité" comme le dénonce Zygmunt Bauman,qui est en train de tout régir...) les idées qui sous-tendaient la tristement célèbre AKTION T4 onten train d'impreigner l'opinion, et d'être à nouveau instaurée dans les lois. Certains cas "médiatiques"servent à  faire avancer la cause de la mort (et du capitalisme, eh oui !la fameuse"rentabilité" ,rien n'est moins rentable qu'une pauvre vie humaine, un déprimé, un vieux, un "innocent" etc, des "déchets" quoi ! c'est ça que vous voulez ?

Victime de ce qui n’est rien de moins qu’une euthanasie par privation d’eau et de nourriture en raison de son lourd handicap, Vincent Lambert n’avait pas encore fermé les yeux que déjà les partisans de l’euthanasie se prenaient à rêver d’une légalisation de cette pratique en France, tout en vantant les mérites des lois belges relatives à la fin de vie. Pourtant ces dernières, et particulièrement la loi relative à l’euthanasie, laissent la porte largement ouverte à de graves dérives. C’est précisément sur de telles dérives que la CEDH est saisie pour la première fois dans une affaire : Mortier contre Belgique.

La Cour s’est jusqu’à présent prononcée à propos de personnes réclamant un droit au suicide assisté (Pretty c. Royaume-Uni en 2002, Haas c. Suisse en 2011, Koch c. Allemagne en 2012, Gross c. Suisse en 2014). Elle a aussi validé « l’euthanasie déguisée » par arrêt de soins de patients handicapés tels que Charlie Gard et Vincent Lambert (Lambert et. a. c. France en 2015, Gard et. a. c. Royaume-Uni en 2017). Avec l’affaire Mortier, c’est donc la première fois que la Cour doit se prononcer pour évaluer un cas d’euthanasie déjà réalisée. margin: 0.26cm;" align="justify">Rappelons-en les faits. Madame Godelieve De Troyer, atteinte de dépression chronique pendant plus de 20 ans, a été euthanasiée en 2012 sans que ses enfants ne soient avertis, ceux-ci ayant été informés le lendemain du décès. Son fils, Tom Mortier, se plaint devant la Cour du manquement de l’État belge à son obligation de protéger la vie de sa mère au motif que la législation belge n’aurait pas été respectée et qu’il n’y a pas eu d’enquête effective sur ces faits qu’il a pourtant dénoncés à la justice. Il dénonce notamment le manque d’indépendance de la Commission fédérale de contrôle et d’évaluation de l’euthanasie (CFCEE) chargée de contrôler a posteriori la légalité des euthanasies. Il reproche en particulier le fait que le médecin qui a euthanasié sa mère est lui-même le président de cette Commission de contrôle ainsi que de l’association LevensEinde InformatieForum (LEIF) qui milite en faveur de l’euthanasie. Or, sa mère a versé 2 500 € à cette association peu de temps avant son euthanasie.

Une loi sur l’euthanasie inadaptée à la souffrance psychique Cette affaire illustre parfaitement la difficulté d’encadrer cette pratique et les abus et dérives graves qui en découlent. Elle n’est d’ailleurs pas un cas d’école car les médias relatent régulièrement des euthanasies controversées en Belgique ou en Suisse. Et nombreux sont ceux qui dénoncent le laxisme avec lequel la loi du 28 mai 2002 relative à l’euthanasie a été mise en œuvre.

Selon les conditions posées initialement par cette loi belge, l’euthanasie doit faire l’objet d’une demande «volontaire, réfléchie et répétée» émanant d’un patient «capable et conscient» qui «fait état d’une souffrance physique ou psychique constante et insupportable qui ne peut être apaisée et qui résulte d’une affection accidentelle ou pathologique grave et incurable». Or les termes employés s’avèrent flous et subjectifs: la souffrance est elle-même une notion subjective, tout comme son caractère insupportable comme en atteste d’ailleurs la CFCEE. En cas de souffrance psychique, son caractère inapaisable est également presque impossible à déterminer, comme l’illustre le cas médiatisé de Laura Emily, 24 ans, souffrant de dépression et qui, ayant demandé à être euthanasiée, s’est ravisée le jour-J en expliquant qu’elle avait mieux supporté les semaines précédentes. Ainsi la possibilité d’euthanasie pour souffrance psychique s’avère véritablement problématique. D’ailleurs, en 2002, la Commission Santé publique de la Chambre ne s’y était pas trompée en s’opposant à l’unanimité à l’inscrire dans la loi, estimant avec raison qu’une telle souffrance est pratiquement impossible à évaluer. Elle soulignait également l’ambivalence de la volonté des malades psychiques. Ainsi en cas de dépression, l’affection dont souffrait Mme De Troyer, la demande d’euthanasie est davantage un symptôme de la pathologie qu’une manifestation de volonté libre et réfléchie. margin: 0.26cm;" align="justify">Il y a en outre un paradoxe à prétendre offrir un droit au suicide assisté ou à l’euthanasie - au nom du respect de l’autonomie individuelle - à des personnes qui précisément ne disposent plus d’un équilibre mental. Le respect de l’autonomie devrait au contraire conduire à interdire l’euthanasie aux personnes dépressives ou atteintes de maladies psychiques. Atteintes d’un « handicap » au sens de la Convention relative aux droits des personnes handicapées, ces personnes vulnérables devraient être protégées, et non exposées au suicide. Mais protéger est malheureusement impossible en pratique puisque la loi belge n’interdit pas le « shopping médical » qui consiste, pour un patient se heurtant au refus du médecin qui le suit habituellement, à réitérer sa demande d’euthanasie auprès d’autres médecins jusqu’à trouver celui qui y soit favorable, c’est-à-dire le plus laxiste ou militant. Mme De Troyer a d’ailleurs usé de cette pratique. La CFCEE, une instance favorisant les dérives ?

On pourrait croire que la Commission fédérale de contrôle et d’évaluation de l’euthanasie, instance chargée de vérifier que les euthanasies pratiquées ont respecté les conditions et procédures légales et instituée par la loi du 28 mai 2002, compense les défauts de cette dernière. Il n’en est rien, comme le montre une fois encore la requête Mortier. La CFCEE manque en fait cruellement d’impartialité puisque sur les seize membres titulaires, au moins huit (et au moins six des seize suppléants) font partie d’associations militant en faveur de l’euthanasie (on compte par exemple les présidents du LEIF et de l’ADMD) et/ou sont des médecins pratiquant eux-mêmes des euthanasies. C’est le cas de son président néerlandophone, le Dr Wim Distelmans, qui n’est autre que le médecin qui a euthanasié Mme De Troyer ! À plusieurs reprises, la CFCEE a également avoué son incapacité à mener à bien sa mission car celle-ci repose sur un système déclaratif et donc tributaire de la conscience professionnelle des médecins. Et le Dr Distelmans d’ajouter : « Les cas douteux évidemment, les médecins ne les déclarent pas, alors on ne les contrôle pas ». Or des études révèlent par exemple que près de la moitié des euthanasies en Belgique n’ont pas été déclarées en 2007. En outre, si les termes de la loi relative à l’euthanasie sont effectivement flous et subjectifs, la Commission s’engouffre dans la brèche en les interprétant dans un sens excessivement extensif et libéral. Florilège : selon elle, la coexistence de plusieurs pathologies non graves et non incurables remplit l’exigence d’une affection grave et incurable ; elle a aussi approuvé des cas s’apparentant au suicide médicalement assisté alors qu’il n’entre pas dans le champ d’application de la loi ; il semble qu’elle ait validé l’euthanasie « en duo » obtenue par un couple dont l’un des membres ne se trouvait pas en phase terminale. " align="justify">Enfin, l’on peut s’interroger sur l’utilité d’un contrôle a posteriori, c’est-à-dire une fois que l’euthanasie a eu lieu, ce qui n’a visiblement pas pour objectif de protéger la vie des personnes et est particulièrement inadapté en cas d’euthanasie pour cause de souffrance psychique. Faut-il alors s’étonner qu’entre 2002 et 2016, la CFCEE n’a transmis au procureur du roi qu’un seul dossier sur 14 573 euthanasies ? Membres juges et parties, conflits d’intérêts, partialité, contrôle a posteriori et basé sur un système déclaratif, interprétation large des termes de la loi : la CFCEE s’avère totalement inefficace pour prévenir les dérives. C’est ainsi qu’un de ses membres, médecin, a récemment démissionné, lui reprochant de n’avoir pas renvoyé devant la justice un médecin ayant euthanasié une patiente à la demande de sa famille.

Une affaire mettant en cause l’ensemble du système encadrant l’euthanasie en Belgique L’État belge manque donc de manière évidente à ses obligations découlant de la Convention alors que la CEDH a jugé que le droit à la vie « impose aux autorités le devoir de protéger les personnes vulnérables même contre des agissements par lesquels elles menacent leur propre vie » (Haas c. Suisse, § 54). Ce que décidera la Cour dans cette affaire ne sera donc pas sans conséquence car la portée de la requête Mortier dépasse largement son seul cadre: elle met en effet en cause l’ensemble du système encadrant l’euthanasie en Belgique en montrant combien il s’avère défectueux et les garde-fous illusoires. Alors que la Cour a déclaré que « l’on ne saurait sous-estimer les risques d’abus inhérents à un système facilitant l’accès au suicide assisté » (Haas c. Suisse, § 58), cette affaire confirme que ce risque est bien réel, donne un aperçu concret de telles dérives et en laisse entrevoir les conséquences à grande échelle. En effet, loin de concerner uniquement la personne qui la demande, l’euthanasie et ses modalités ont des conséquences sociales profondes et funestes : suites psychologiques sur les membres de la famille du défunt en premier lieu, mais aussi perte de confiance dans la famille en général et méfiance à l’égard des soignants, fragilisation des personnes vulnérables dont certaines sont incitées au suicide. Il serait abusif et dangereux de faire prévaloir l’autonomie d’un patient en tant que valeur éthique suprême pour justifier une pratique dommageable à la société tout entière et remettant donc en cause le bien commun.

Ne pas condamner l’État dans cette affaire reviendrait donc à pratiquer la politique de l’autruche quant aux dérives de l’euthanasie, alors que la banalisation de la mentalité euthanasique en Belgique est réelle et fait des ravages. En témoignent par exemple les cas d’euthanasie sans obtention du consentement de la personne, l’ouverture de l’euthanasie aux mineurs « dotés de capacités de discernement » sans limite d’âge en 2014, ainsi que les chiffres officiels : de 235 euthanasies pratiquées en 2003, leur nombre a augmenté rapidement d’année en année pour atteindre 2537 en 2018, ce qui représente 2 % du total annuel des décès. Dans ce contexte, notons également que trois études ont révélé que « 40 % des Belges sont pour l’arrêt des soins pour les plus de 85 ans ». Si la Cour ne fait rien, elle accomplira le roman d’anticipation publié en 1907, Le Maître de la terre où l’auteur, Robert-Hugh Benson imagine des maisons d’euthanasie, où « d’un consentement unanime, les être inutiles, les mourants, étaient délivrés de l’angoisse de vivre ; les maisons spécialement réservées à l’euthanasie [prouvaient] combien un tel affranchissement était légitime.

  en ce moment en Grande-Bretagne :
https://www.dailymail.co.uk/news/article-7457145/Tafida-Raqeebs-mother-cries-implores-daughter-dont-up.html

Canada :

À mesure que le régime canadien d’  "aide médicale à mourir" (nouvelle formulation chic pour TUER Bender et Hoche e 1921 disaient "libéralisation  du droit de mettre fin à une vie qui ne mérite pas d'être vécue", et Hitler disait "Gnadentod" - "aide" "libéralisation" "Gnade" (grace) comme c'est mignon tout ça !) prend de l’expansion, il rencontre plus de résistance. L’une des critiques les plus fortes, qui a souvent fait surface dans les médias, est que certaines personnes atteintes de maladies chroniques, dont la mort n’est pas raisonnablement prévisible, choisissent de mourir parce qu’elles sont pauvres et que les services sociaux (capitalistes !) sont inadéquats. Ils ne veulent pas mourir, mais ils sentent qu’ils n’ont pas le choix.

Les critiques disent que ces cas montrent que les gens sont forcés de choisir l’euthanasie et sont incapables de faire un choix vraiment autonome. Cependant, les critiques peuvent remonter en amont. Selon un récent sondage de Research Co, qui surveille l’opinion publique au Canada, plus d’un Canadien sur quatre autoriserait l’euthanasie pour les sans-abri (28%) et la pauvreté (27%). Ce qui est encore plus choquant, c’est que le sondage a révélé que 50% des Canadiens autoriseraient l’euthanasie pour les personnes qui n’avaient pas accès à un traitement médical et 51% pour les personnes handicapées.

Les jeunes nés après l’année 2000 sont encore plus en faveur. Dans une lettre d’opinion publiée dans le Prince George Citizen, Mario Canseco, directeur de Research Co, souligne que « Les adultes les plus jeunes du Canada sont bien en avance sur leurs homologues plus âgés pour ce qui est de croire que ces deux raisons sont suffisamment convaincantes pour qu’une personne demande l’aide médicale à mourir (60% pour une invalidité et 57% pour un traitement médical non disponible) ».

Lorsqu’on leur demande quelle est la peine appropriée pour un parent reconnu coupable d’avoir aidé un fils ou une fille en phase terminale à mourir, un Canadien sur quatre (24%) ne choisit aucune peine. Une grande majorité (73%) appuie la législation sur l’euthanasie du pays, qui a été qualifiée comme étant la plus radicale au monde. Les Canadiens sont divisés lorsqu’ils se demandent si la maladie mentale devrait justifier qu’un adulte demande l’aide médicale à mourir : 43% appuient cette idée, tandis que 45% s’y opposent. Le gouvernement fédéral a reporté à mars 2024 la décision finale relative à l’admissibilité à la maladie mentale à l’euthanasie.

Commentaire de votre serviteur. Quelle est la signification de cet engouement pour l’euthanasie ? Les Canadiens ne doivent peut-être plus supporter les longs hivers d’une rudesse parfois déroutante alors qu’ils attendent le réchauffement du climat qui ne se concrétise toujours pas. Ou bien ils perdu toute forme d’humanité. Un précédent Premier ministre japonais avait déclaré qu’il serait préférable pour la société que les « vieux » malades soient euthanasiés pour réduire les dépenses sociales du pays. Cette dérive sociétale ressemble progressivement à ce que les régimes totalitaires ont mis en place durant les années 1930 et 1940. La société ne peut pas accepter que l’euthanasie soit banalisée à moins que tout sens moral disparaisse surtout quand il s’agit de motifs économiques. De nombreuses découvertes archéologiques ont montré que les sociétés anciennes, il y a vingt à trente mille ans, prenaient soin des malades et des anciens, ils étaient inhumés décemment. Accepter cette banalisation de l’euthanasie ne pourra qu’aboutir à des excès pour des raisons économiques ou financières. Qui pourra objectivement fixer une limite pour que des malades mentaux soient euthanasiés ? Il semble que les sociétés occidentales rejoignent l’idéologie de l’époque de l’URSS mise en place par le pouvoir central pour éliminer les citoyens récalcitrants en détruisant d’abord leurs aptitudes mentales puis en les éliminant sans aucun état d’âme. Ces abus semblent se reproduire dans les pays anglo-saxons avec l’uniformisation du style de vie, le « chacun pour soi et rien pour les autres » une sorte de disparition de tout sorte de respect et d’humanité. Il est vrai que dans les villages de la campagne profonde, dans les années 1950 et j’ai connu cela quand j’étais enfant, lorsqu’un « vieux » ne trouvait plus son chemin pour aller donner à manger aux poules dans l’une ou l’autre des familles du hameau où je suis né alors sa ration de nourriture et de vin dilué avec de l’eau était progressivement réduite, une forme douce d’euthanasie qui ne disait pas son nom …

source : Jacques Henry

30/06/2023

grillons et courtillères


podcast

www.jama.fr/boutique/fr/prise-de-vue/cd-chant-d-oiseaux-e...
Il y en a 60 plages différentes d'espèces différents enregistrée dans les jours et les nuits de lieux du monde entier, un disque d'une 1heure de bruits comme ça, que certains jours j'écoute DES HEURES DURANT TOUT LE LONG DE LA JOURNEE en bruit de fond
- si, si ! c'est très agréable, très.
Histoire peut-être (?) de faire pénétrer dans notre monde mort et aseptisé, (et encore plus depuis 2020 et la prise de pouvoir mondiale de Davos Klaus Schwab Buzyn et toute cette mafia capitaliste totalitaire !) et dans l'enfermement de mes quatre murs le monde réel, le monde vivant, un monde symphonique et profond, le monde de l'être, de la vie, et du bonheur, un monde à visage humain, ce monde plein d'odeurs et de rumeurs, c'est à dire le monde que les petits "trou-du-cul" fascistes de la France profonde ne supportent pas, et dont les "Ayatollahs" détraqués des Instances officielle ont horreur.

22/06/2023

merci

la puissance du peuple inorganisé


 

18/06/2023

"c'est pour votre bien !"

Par Julien, pour “Nos Libertés”, le 1er novembre 2011.

Ils commencèrent pas créer l’agriculture et avec elle naquit la propriété et l’idée de guerre pour conquérir la propriété de l’autre. Plus tard, ils fabriquèrent l’esclavage et certains étaient contents de bénéficier d’une main-d’œuvre et de domestiques gratuits. Par la suite, Ils créèrent la machine à vapeur et le train. Et tout le monde était content, car on pouvait voyager plus vite qu’avec un cheval, on pouvait sortir et voir du beau monde. On pouvait vendre de la marchandise sur un pays entier. Ils créèrent le rasoir, le shampoing, le déodorant, et aussi la brosse à dent. Alors tout le monde acheta des rasoirs, des shampoings et des brosses à dents. Tout le monde voulait être beau et propre et surtout partir à la ville, quitter la ferme. Alors, ils créèrent la Police, la Justice, L’Hôpital, la Prison, les prisons pour vieux. Et tout le monde était content car la Police, la Justice, L’Hôpital, les prisons pour vieux c’était vraiment fameux !

Alors, ils créèrent l’électricité, le rasoir électrique, l’aspirateur, la moquette, la voiture, le chewing-gum, le gaz moutarde, les pesticides, l’anti-moustiques, le pétrole, les médicaments. Tout le monde était content de pouvoir tuer des moustiques, des insectes, des microbes, des odeurs, des douleurs. Ils créèrent la radio et la télévision. Et tout le monde était très content, car il y avait toujours quelque chose de nouveau à acheter.

Puis, ils créèrent le Permis de conduire. Il fallait payer pour l’avoir, mais c’était pour le bien de la société, alors c’était normal qu’on paye. Plus tard, on nous apprit que désormais quand on avait le permis de conduire on pouvait aussi le perdre et payer à nouveau. Mais, c’était pour le bien de la société, alors on était satisfait.

Puis, ils changèrent les bases mêmes du droit, on était plus coupable d’un meurtre ou d’un vol, on devenait soudain coupable du risque potentiel d’un meurtre ou d’un vol : risque potentiel de l’alcool au volant, risque potentiel de la drogue au volant, risque potentiel de la vitesse élevée, risque potentiel sans ceinture, risque potentiel sans gilet jaune, risque potentiel du tabac dans les bistrots, risque potentiel terroriste, risque potentiel des plantes de la nature, risque potentiel chez les moins de cinq ans, risque potentiel chez les gros, risque potentiel de mauvaise éducation des enfants, etc. Au nom du risque potentiel on pouvait autoriser une société totalitaire, mais c’était pour notre bien, alors, on devait s’estimer très heureux... Même si certains pouvaient tuer plus de 500 000 Irakiens, sans aller en prison et sans aucun risque potentiel.

Mais, on était quand même très content, car le gouvernement s’occupait de la crise. La crise des banques qui ont perdu des milliards d’euros. Donc, il fallait leur rembourser leurs pertes, car sinon la société risquait de s’écrouler. Alors, il faut faire la guerre pour gagner de nouveaux marchés et rembourser les dettes des banquiers. C’est normal, c’est pour notre bien.

Le marché de la voiture.
Pour General Motors.
Le marché de l’alimentation.
Pour General Food.
Le marché de l’électricité.
Pour General Electric.
Le marché des assurances.
Pour Generali Assurance.
Le marché du pétrole.
Pour General Pétrole.
Le marché des radars.
Pour General Radars
Le marché du permis à point.
Pour General Permis.
Le marché du GPS.
Pour notre sécurité.
Le marché de la vidéosurveillance.
Pour notre sécurité.
Le marché du vélib.
Pour notre sécurité écologique.
Le marché du BTP.
Pour General Bouygues.
Le marché des autoroutes.
Pour General Péages.

Le marché des taxes pour fumer, des taxes pour boire, des taxes pour la drogue, des taxes pour l’essence, des taxes pour le permis. Les taxes pour les sodas et bientôt d’autres taxes pour alimenter la cagnotte de l’État et faire de futures guerres. Des petites guerres pour détruire ce qui existe et développer de nouveaux marchés.

Le marché de la médecine contre la maladie.
Pour General Chimie.
Le marché des vaccins contre les virus ennemis.
Pour General Vaccins.
Le marché des déodorants contre les mauvaises odeurs.
Pour General Déo.
Le marché de l’anti-moustique bio contre les moustiques.
Celui qui tue tout en étant bio.

Et puis ils fabriquèrent des bombes atomiques. Pour notre sécurité. Et le marché des bombes atomiques était florissant, alors tout le monde était très content, car tout le monde était en complète sécurité avec ces bombes, ces radars, ces machines, ces caméras, ces digicodes, ces permis, ces gilets jaunes.

Alors, ils eurent envie de foutre des bombes sur la gueule des Vietnamiens, des Yougoslaves, des Afghans, des Irakiens. Puis, ils détruisirent les bistrots pour les remplacer par des « fastheufood » et des « lounge bars ». Puisque le marché était devenu mondial, ils allaient enfin pouvoir vendre partout leur shampoing, leurs rasoirs, leurs bombes, leurs journaux, leurs « facebook», leurs ordinateurs, et leurs voitures sur toute la terre, fabriqués, pour pas cher, en Chine dans des camps de travail forcé. Et en standardisant les gens ils pouvaient vendre mondialement la même musique, les mêmes films, les mêmes slogans et la même langue.....

Pour vendre toujours plus de voitures, d’avion, de bombes, de journaux, d’information, il faut une seule culture mondiale. Il faut un monde uni ayant une seule et même culture et la paix universelle arrivera enfin, puisque tout le monde pensera pareil. Si tout le monde est identique, plus de différence, plus de jalousie, plus de guerre, voilà la bonne solution ! Mais pour cette paix universelle, il faut auparavant tout détruire, quel paradoxe… Détruire tout, pour obtenir la paix. Quelle idée rentable… pour les vendeurs de destruction.

Former des petits soldats de la destruction dès la naissance. Les gaver de jeux vidéos et de films de guerre. Leur formater le cerveau à l’école dès le plus jeune âge. Les faire travailler sur ordinateurs, les transformer en petit robot exécutant docilement les ordres de destruction, au nom de la sécurité et du progrès : ma tribu contre ta tribu !

Détruisons les villages !
Détruisons les maisons !
Bombardons les Africains !
Bombardons les Irakiens !
Bombardons les Lybiens !
Détruisons les artisans !
Détruisons les paysans !
Détruisons les campagnes !
Détruisons les Amérindiens !
Détruisons les Musulmans !
Détruisons les rouquins !
Détruisons les vieux !
Détruisons les autonomes !
Détruisons les libertés !
Détruisons les musiques !
Détruisons le silence !
Détruisons la beauté !
Détruisons les langues !
Détruisons les racailles !
Détruisons les Juifs !
Détruisons les artistes !
Détruisons les poètes !
Détruisons l’intelligence !
Détruisons la religion !
Détruisons la paix !
Détruisons les insectes.
Détruisons la tolérance !
Détruisons la politesse !
Détruisons les oiseaux !
Détruisons la virilité !
Détruisons les saveurs !
Détruisons les identités !
Détruisons ceux qui ne sont pas écolos !
Détruisons les libertins !
Détruisons les drogués !
Détruisons les buveurs !
Détruisons les déviants !
Détruisons les gros !
Détruisons les fumeurs !
Détruisons les clochards !
Détruisons les cultures !
Détruisons les poils !
Détruisons la saleté !
Détruisons la réalité !
Détruisons votre argent !
Oh oui, encore, encore !
Encore et toujours plus de destruction !
Oui !
Vive la Guerre !
Oui !
Vive l’Armée !
Oui !
Vive la Police !
Oui !
Vive la Loi !
Oui !
Vive la Télévision !
Oui !
Vive l’Ordre des Médecins !
Oui !
Vive l’intolérance !
Oui !
Vive la destruction de la vie !

Comment on vous bourre le mou : https://www.hacking-social.com/2015/06/30/deformatage-vid...

vous comprenez-mieux l'histoire récente maintenant ?

26/05/2023

la mort passée des autres ou celle à venir de nous-même - toujours ce lâche soulagement recherché à coup de sophismes et d'égoïsme

 Comment voulez-vous que j’ »accepte » ; ça c’est quelque chose que fait l’égoïsme humain quand  il est entouré, qu’il a d’autres êtres aimés, du bonheur, de la chaleur, etc, pour se raccrocher (et se droguer….), alors on finit par s’asseoir sur le cadavre des autres, secrètement soulagé de ne plus souffrir, en habillant ça de temps en temps d’une douce et confortable (le confort du bonheur et de l’amour qui vous reste) « tristesse », comme dans les pages d’André Comte-Sponville, se flatter, transformer, en une alchimie en fait nullement magique, l’horreur en douceur parce qu’en fait on a évacué la réalité, on l’a remplacée par une image, et cette douceur n’est rien d’autre que le confort nombrilique qui a hypocritement pris sa place. Mais quand, comme moi, on n’a rien, il n’y a pas de carburant pour l’égoïsme humain, et on ne peut pas comme ça s’asseoir négligemment sur le cadavre de quelqu’un en oubliant que c’est un cadavre.


Commentaires sur une page de Comte-Sponville

**

(je ne la reproduit pas, mais à quoi bon, c'est une page sur la mort des autres, avec le genre de discours et de sophismes qu'on a l'habitude d'entendre de nos jours sur ce sujet ! vous pouvez trouver ce genre de discours  partout .....):
Eh oui il parle bien ! mais cette musique douce et apaisée, aussi trompeuse, bien évidemment, que l’hébétude du drogué, est bien entendu de la même nature que les éléphants roses de celui-ci, et également que le trompeur et paresseux soulagement - provisoire ! – du lâche et du Collaborateur ; le tout « armé », pour avoir l’air de tenir debout, des habituels sophismes, sans aucun fondement dans la réalité (il suffit de réfléchir un petit peu) qui ont pour but de donner une apparence de justification théorique à l’égoïsme, et surtout à l’infinie faiblesse du cœur (et du corps) humain, qui n’a d’égale que sa frivolité, et surtout son inconscience, et qu’on a, de nos jours, érigé en nouvelle religion, en catéchisme établi, que se chargent de faire régner les nouveaux « calotins » !

* comme la France de Pétain
Notre société et son idéologie en vigueur ont envers la mort la même attitude que la France de Pétain envers les Nazis. Non seulement ils acquiescent de bon cœur aux volontés de l’oppresseur monstrueux, faisant de nécessité vertu, mais ils devancent ses désirs, même ils « en rajoutent » !

 

moi ça me dégoutte, cette façon qu'ils ont de lécher les bottes de la mort!

 


* Face à la mort la société (actuelle) est comme une armée stoïque en guerre : il faut remplir son devoir jusqu’au bout, il faut maintenir les apparences. L’air de rien, l’éthique ambiante est la même que celle des cadets du roi de Prusse ;


* « Elle a le sentiment d’avoir vraiment tout perdu maintenant qu’elle a perdu même son chagrin. » (Kénizé Mourad)

 

et les egoïstes absurdes veulent imposer leur déshumanisation à tout le monde en plus :

 

 

21/05/2023

comme dans "Rhinocéros" de Ionesco

18/8/2020 c’est incroyable ! On a l’impression de vivre un cauchemar.

c’est vrai que la nature aussi est un cauchemar, demandez aux oiseaux !

Mais on s’était habitué à vivre dans une société faite pour les humains, et une société humaine, un Etat de droit, où on avait des droits, qui étaient inscrits dans la citoyenneté, et on y croyait, et on étudiait en Droit Public en quoi ils consistaient, Et les autorités aussi y croyaient, et on était fiers de vivre dans le Monde Libre. Et on vivait dans un monde cultivé, où on apprenait le patrimoine culturel, et tout le savoir, et les gens le possédait. Et il y avait des magasins partout, des églises, des enfants, des mères, des gens qui se tenaient par la main, des cigarettes, des hirondelles, des cloches, des manifestations, des grèves, et on en avait le droit, c’était inscrit dans la Constitution, comme le secret de la correspondance, et la liberté d'expression, des restaurants, des cafés, des théatres, des hôtels, des trains, des services publics, tout était libre, civilisé, et sociable, à de rares exceptions près, un monde où on avait la possibilité de téléphoner à tous les services publics et commerciaux, et d’avoir un être humain qui vous réponde, où on n’avait pas peur d’adresser la parole à un policier, et où le mot « réforme » signifiait un changement vers un mieux, et non vers un pire, maintenant c’est devenu impensable. On a tout perdu tout ça les uns après les autres. Comme dans l’histoire de la grenouille qu’on cuit. Maintenant on est finis.

Et puis on votait, et on avait l’impression que ça avait une influence sur notre destin.

 

(interrogé sur le masque, le Pr. Toussaint, qui fut président des États généraux de la prévention organisés par le ministère de la santé en 2006, a rejoint l'analyse de Didier Raoult: "C'est du mimétisme social, [cf. "Rhinocéros" de Ionesco ! relisez cette pièce "prophétique" ! ]

(et David Icke dit (26/9/2020  sur Trafalgar Square) : "Le masque est là pour être un symbole de soumission .... c'est un exercice de déshumanisation mondiale de masse" ) on n’a absolument aucune démonstration du moindre intérêt scientifique, on est de plus en plus dans un monde de croyance, de moins en moins scientifique et de plus en plus irrationnel (comme dit un commentateur d'une vidéo de Florian Philippot : "Je l'ai remarqué aussi je n'ai jamais vu autant de psychopathes que aujourd'hui, ils sont en train de créer des générations entières de tarés, qui se posent plus de questions, ils obéissent sans réfléchir on a du soucis a se faire...")


Pour la rationalité contre l'irrationnel, pour le peuple contre le grand capital, pour la morale contre la criminalité (il faut appeler les choses par leur nom, comme à Nüremberg) écoutons le Pr Perronne (et Florian Philippot) https://ru-clip.net/video/ODISHwwsw9g/professeur-raoult-s...

VIVE RICHARD BOUTRY ! il est l'honneur de la France !

Vivent le Pr Perronne et le Dr Fouché !!

Vivent Olivier Probst et Florian Piana !!!

Vive Jean-Jacques Crèvecoeur et Fabrice Lalanne !!!!

Vive la Résistance Française ! Qui sera notre  De Gaulle  ? Philippot ? - en tous cas lisez "un si fragile vernis d'humanité" de Michel Terestchenko ! - et n'oubliez pas Giuseppe Belvedere !

rhino parmi les.jpg

A partager d'urgence. çà s'est passé mercredi 19/8/2020, et aucune chaine info n'en a parlé bien entendu, vu qu'aucun vrai journaliste ne travaille dedans. Nos forces de l'ordre n'ont plus rien à envier à la police chinoise https://ru-clip.net/video/Nb13F_EAdRc/vid%C3%A9o.html C'est le gouvernement de Vichy 2.0

et bien sûr que ceux qui ont comparé Macron à HITLER ont RAISON !!! c'est l'évidence même !!

 

(de toutes façons boycottez les supermarchés ! tous ! systématiquement ! lisez mon article là-dessus, qui paye commande, il y a des dizaines de raisons pour ça.)

 Vivons nous vraiment cette ruine politique, économique, sociale, culturelle "pour de vrai !" ? où s’agit-il d’un cauchemar ?! Pincez moi très fort, je veux absolument me réveiller

17/05/2023

ce que sont devenus les centre-villes

Dans les centre-villes de maintenant il n’y a plus rien, RIEN !

Plus d’églises (toutes fermées en permanence), plus de bureaux, plus de services publics, plus d’écoles, ni de lycées, plus de magasins, (comment les gens iraient-ils faire leur courses dans le centre-ville où maintenant il est impossible de stationner et même de circuler ?! seulement dans les toute-petites villes de 3.000-5.000 habitants maxi c’est encore comme ça), plus de cafés (à part qq cafés chics très chers pour une clientèle « branchée »), plus de restaurants, plus de bancs publics, plus de badauds, seulement des flics, plus d’habitants, seulement des « résidences » de grand luxe, de mini-appartements très chers - sous digicode ! - où les « habitants » n’ont même pas le droit de planter un clou ni d’afficher quelque chose sur les murs ni de faire entrer un meuble (trop petits), de purs décors  pour l’ »industrie du tourisme » et du « patrimoine », des ghettos pour touristes en cars (pas pour touristes individuels puisqu’il n’est plus possible d’y circuler).

Et comme dit l'association   "Ligue de défense des conducteurs" :
"Les centres-villes où les voitures ont été bannies sont entrain de mourir à petit feu, avec 10 à 15% de vitrines vides en moyenne !"

Les marchands sur le marché de ***** ne vont plus pouvoir avoir aucun client, à part les quelques bourgeois des nouveaux appartements de grand luxe digicodés du centre-ville, les enseignants insociables et friqués qui vont à ATTAC parce qu'ils veulent se faire passer pour des socialistes et des anarchistes.      

 

encore pire !

du 24 au 27 octobre 2017 : Il a fallu 6 ans, six années pleine pour que la presse locale finisse par aborder le sujet des boutiques vides. Et encore, pas forcément sous l'angle auquel vous êtes habitués ici. Voici ce que nous apprend MaCommune.info sur la ville de Besançon:

"Les cellules vides" (notez bien l'usage du mot "cellule" et pas "boutiques",  "du centre-ville de Besançon vont bientôt se faire une beauté" (wouaa quelle bonne nouvelle...) "Le 27 octobre 2017, les vitrines vides seront habillées pour mieux se vendre lors de l’inauguration du "pôle" (sic !) dédié aux Industries culturelles et "créatives " ouvert au 52 rue Battant. C'est une idée collective qui est partie de la CCI du Doubs, de l'Union des commerçants, de l'Office du commerce, du Grand Besançon et de la ville afin de "redynamiser le centre-ville", nous précise-t-on. Les propriétaires de cellules commerciales vacantes habilleront ces dernières s'ils le souhaitent pour les rendre plus esthétiques. Une première série de 10 vitrines seront inaugurées le 27 octobre dans la rue Battant et sur la place Saint Pierre avec des visuels originaux déclinés sur deux principes : une valorisation de la vitrine en vue de la recommercialisation du local vacant, un visuel patrimonial ou de promotion commerciale ou touristique, si le local n’a pas vocation à être reloué rapidement pour cause de travaux par exemple".

Ci-dessous, Blois et Noisy merci à nos lecteurs qui ont fait ses clichés avec leur téléphone...

 

blois commerces vides

noisy commerces vides

remarquez l'invasion obsédante de la langue anglaise en FRANCE !!!!

Du côté de la ville de Pau, Mr Rohrbacher nous signale un article sur les "cellules" du centre ville dans le quotidien régional La République des Pyrénées avec des chiffres intéressants qui sont en CONTRADICTION TOTALE avec ce que vous avez pu lire dans le Figaro par exemple qui parlait de 10 ou 11%...

La réalité est bien plus cruelle: "où sur 1000 locaux, 300 sont vacants sur toute la ville, soit 30% !", lire ici la RdesP. Une évidence, la situation n'est pas prête de s'améliorer. Revue de Presse par Pierre Jovanovic

 

les vidéos sur ce sujet se multiplient partout !  regardez sur le côté :
https://www.youtube.com/watch?v=wnbpTeKvg90
partout les centre-villes meurent,
forcément !
avec les politiques actuelles il n'est plus possible d'y mettre les pieds alors les gens n'y vont plus, n'essaient même plus d'y aller, trop dur, et voilà. Moi non plus je ne mets plus les pieds en ville d'Arras maintenant. Et pour tout je commande et me fais livrer par la poste.
Et ce ne sont pas que magasins qui disparaissent, ils déménagent toutes les administrations, tous les établissements scolaires, ils ferment les églises, ils font fermer tous les cafés, qu'est-ce qui pourrai attirer les gens en ville ?! à part les touristes en car ! ou qui ont du temps à perdre, mais les touristes qui ont du temps à perdre aussi vont ailleurs, sauf quand ils sont en voyage organisé !