12/05/2021
défense de la langue française
Reprenons langue(s) ! Par Georges Gastaud et Matthieu Varnier
Georges Gastaud : Philosophe, président de l’association CO.U.R.R.I.E.L. pour la résistance au tout-anglais impérial. Auteur notamment de Patriotisme et internationalisme (2011) et de la Lettre ouverte aux ‘bons’ Français qui assassinent la France (2005).
Matthieu Varnier : Ingénieur, secrétaire général du CO.U.R.R.I.E.L. (www.courriel-languefrancaise.org et www.defenselanguefrancaise.org)
A chaque fois qu’affleure, d’une manière ou d’une autre, la question de la langue, cela signifie qu’une série d’autres problèmes est en train de s’imposer : la formation et l’élargissement de la classe dirigeante, la nécessité d’établir des rapports plus intimes entre les groupes dirigeants et la masse nationale-populaire, c’est-à-dire de réorganiser l’hégémonie culturelle ». Antonio Gramsci
Reprenons langue(s) ! Par Georges Gastaud et Matthieu Varnier
Avec toute la perversité idéologique qui les caractérise, le capitalisme euro-mondialisé et ses collaborateurs hexagonaux présentent le basculement de la France au tout-globish et la relégation largement engagée du français, comme une « ouverture » sur la modernité et sur la pluralité des cultures. C’est également au nom de la diversité culturelle que les régionalismes les plus régressifs tentent d’imposer, Charte européenne des langues régionales et minoritaires à l’appui, la « co-officialité » du français – « langue de la République » au titre de la Constitution – et des langues de territoire au risque clairement assumé, voire revendiqué, d’ethniciser la citoyenneté française et de couvrir d’un voile « culturel » le repartage en cours de la France et son redécoupage en euro-Länder taillés sur mesure pour la « concurrence libre et non faussée » entre les « territoires ».
Comment alors réagir à cette sournoise agression linguistique qui vise à la fois la langue de Molière, la République une et indivisible issue de la Révolution française et – nous l’allons montrer tout à l’heure – toutes les conquêtes du monde du travail ? Car lorsque le français aura été réduit, en France même, au rôle subalterne de « langue domestique »[1], il sera encore plus aisé aux chasseurs de profits du M.E.D.E.F. et du grand capital mondialisé de diviser notre peuple, de dynamiter les avancées sociales et démocratiques de 1905, du Front populaire et du C.N.R., de briser l’aspiration au « tous ensemble » combatif des salariés, de casser les conventions collectives de branche, les statuts nationaux, les services publics et la fonction publique territoriale ou d’État, voire la Sécurité sociale et les retraites par répartition qui forment, aujourd’hui encore, le socle matériel de l’unité nationale-étatique de notre pays.
I – Intégrer la dimension linguistique à nos résistances sociales et civiques !
Il faut d’abord prendre la mesure de l’arrachage linguistique en cours : ils arrachent notre langue comme ils virent nos usines, ferment nos hôpitaux, arrachent nos vignes ou éliminent nos exploitations agricoles quand Bruxelles et le M.E.D.E.F. jugent que c’est indispensable à la « profitabilité » du « site France ». Nous n’en sommes plus désormais au franglais, raillé naguère par Etiemble[3], ni à la multiplication des « emprunts » lexicaux à l’anglais. Quand toute la recherche – y compris peu à peu la recherche en sciences humaines, voire en littérature française – bascule à l’anglais, quand de plus en plus de Grandes Écoles et de cycles universitaires se livrent sans vergogne à la langue – non pas de Shakespeare, mais des « traders » et de la City – quand tant de jeunes chanteurs « français » chantent en mauvais anglais, quand tant de films « français », subventionnés par l’argent public, affichent des titres anglais, quand des enseignes « tricolores » comme Carrefour se rebaptisent « Carrefour-Market » ou « Carrefour-City », quand la Société « nationale » des Chemins de fer nomme ses « produits » T.G.V.-Night ou T.G.V.-Family, quand le président de cette société se glorifie d’offrir des cours d’anglais dans ses rames de T.G.V., mais que l’idée ne lui vient même pas d’offrir des cours de français aux étrangers circulant dans ses trains, on n’en est plus à « emprunter » à l’anglais des vocables qui manqueraient provisoirement au français (car des mots français existent depuis toujours, convenons-en, pour dire night, card, map, market ou access – comme on dit chez Total – ou everyone ajustable, comme le proclamait horriblement une pub d’Orange, anciennement « France »-Télécom !) ! En l’occurrence, il s’agit clairement de détruire notre langue nationale, de la polluer au maximum en la saturant et en l’enlaidissant d’anglicismes bas de gamme, de ridiculiser notre pays aux yeux des vrais anglophones, en un mot d’esquinter « ludiquement » notre langue nationale, (qui est aussi celle de la Francophonie mondiale), avec des objectifs de classe politiques, économiques, culturels très précis : ringardiser la nation républicaine, éradiquer la fameuse « exception française » issue du Front populaire et de la Résistance antifasciste, insinuer à tout instant le contre-modèle anglo-saxon et néolibéral dans nos cerveaux, distinguer les travailleurs en catégories sociolinguistiques discriminantes[4], faire accroire au bon peuple qu’en un mot, il n’y a pas d’autre alternative que l’Empire euro-atlantique promis par les maîtres de l’U.E., de l’euro, de l’O.T.A.N. et du « Grand Marché Transatlantique » en construction…
Ce ne sont pas là des fantasmes, hélas : déjà en 2006 l’Union des industries de la Communauté européenne (UNICE), ancien nom de l’actuel syndicat patronal européen Businesseurope, promouvait à son de trompes cette politique de substitution et d’exterminisme linguistiques en déclarant, par la bouche de son tout nouveau président d’alors – le triomphant Baron Seillière, qui venait d’imposer en France une grave contre-réforme sur les retraites – que l’anglais serait désormais « la langue des affaires et de l’entreprise » dans toute l’U.E.[5]. Sciemment opérée par un grand patron français devant le Conseil des chefs d’État européens, cette déclaration déshonorante avait d’ailleurs provoqué la sortie immédiate de Jacques Chirac, un acte de dignité nationale qu’il serait naïf d’attendre des présidents de droite et de « gauche » qui lui ont succédé… Notons du reste que le nouveau nom du syndicat patronal, beaucoup moins francophone, est dû au même Ernest-Antoine Seillière…
Au demeurant, la résistance ne saurait être purement collective. Chacun peut commencer par réagir individuellement en suscitant, par son attitude linguistiquement rebelle, la résistance collective à venir. Dire haut et fort « courriel » au lieu d’ « imeïlle » (ce qui écorche, non seulement le lexique français, mais les structures phonétiques de notre langue qui ne connaît pas le son « eïl’ »), cesser de dire à tout propos « OK » (voire, ridiculement, « OK d’accord ! »[7]), refuser de s’exclamer « yèèèèèèsss ! » à toute occasion, souhaiter « bon anniversaire » en chanson et non « happy birthday to you ! », c’est OSER, si peu que ce soit, marcher et parler à contre-courant, c’est offrir à l’auditeur – une fois la surprise passée et le débat civique et linguistique éventuellement lancé – un point de repère et de résistance structurant, c’est susciter la discussion contradictoire, ce havre de l’esprit républicain, en brisant le consensus linguistique (mais aussi culturel et idéologique) mortifère qui infiltre aujourd’hui nos cerveaux, nos cœurs et… nos cordes vocales ! Revivons l’échéance plutôt que la deadline, assumons d’être ou d’avoir un entraîneur plutôt qu’un coach, d’aimer le rétro plus que le vintage, de s’amuser franchement et sans « fun », d’assister à un tournée en direct, de trouver des coins sympa pour la course plutôt que des spot de running… Prenons un plaisir sobre à dominer nos mots, à maîtriser notre communication –à ne rien céder, ni à la mode, ni au conformisme, ni à la paresse. A utiliser ces mots droits et nets, précis et bien connus, qui savent ce qu’ils disent et osent être crûment eux-mêmes, sans se farder d’un latinisme marchand ou se gonfler avec fatuité des reflux de l’air du temps.
II – Vivent les langues régionales !
Entre la récente Loi Fioraso, qui a institué l’anglais comme langue universitaire en ridiculisant l’article II de la Constitution et la Loi Toubon de 1994, et la Charte européenne des langues régionales, qui tend à faire du français un idiome parmi d’autres sur l’ex-territoire national en voie d’euro-fédéralisation, notre langue nationale est délibérément prise en tenaille avec la complicité de François Hollande, en cela aussi digne continuateur de Sarkozy. Par tous les moyens le Parti Maastrichtien Unique a entrepris de banaliser et de désétablir le français, et cela au moment même où les négociations sur le Marché transatlantique menacent de mort l’ « exception culturelle » à l’échelle mondiale, européenne et française, face à la domination globalitaire de l’Oncle Sam. Le projet linguistique de « Charte » des langues minoritaires – dont les origines politico-idéologiques remontent à la pire période de l’histoire allemande[8] – répond clairement au projet politico-territorial porté par le M.E.D.E.F. dans son manifeste Besoin d’aire publié en décembre 2011 à l’initiative de Mme Parisot. Le haut patronat veut ouvertement en finir avec la République française souveraine (notamment avec son cadre territorial « jacobin » issu de la Révolution : communes, départements, État-Nation, tout cela s’insérant dans une Charte de l’O.N.U. proscrivant – au moins en principe – le prétendu « droit d’ingérence » des forts sur les faibles et proclamant au contraire le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes). Et pour cela, il faut dissoudre la République une, laïque, sociale, démocratique et indivisible que proclame – en théorie, nous sommes bien d’accord, mais la théorie n’est pas rien ! – la Constitution actuelle, dans l’U.E. des métropoles et des euro-régions, de préférence transfrontalières. Celles-ci seront centrées en apparence sur les langues régionales (breton, basque, etc.), et dans les faits, sur l’anglo-américain[9], soit –plus marginalement – en allemand[10].
En outre, ce rejet prétendument républicain des langues régionales serait suicidaire politiquement pour la défense du français. Le fin marxiste que fut longtemps Mao nous a suffisamment appris, notamment dans son étude dialectique sur la contradiction, qu’il convient dans chaque lutte de distinguer l’ennemi principal de l’adversaire secondaire en réservant au premier l’essentiel de nos coups ; d’autant que souvent, tout ou parti de l’adversaire secondaire peut devenir un allié si l’on sait le dissocier de l’ennemi principal qui le manipule et ne cherche qu’à le poignarder dans le dos le moment venu. Enfin et surtout, il faut faire entendre aux tenants abusés des langues régionales que l’oppression linguistique et scolaire que ces langues ont subie hier (non par la faute de « la langue française », mais par celle de la bourgeoisie autoritaire), ne saurait justifier que leurs partisans actuels aident aujourd’hui à assassiner le français et la Francophonie internationale – ce ferment de résistance mondiale à l’américanisation générale – au profit d’un maître combien plus écrasant : le tout-anglais de l’Empire transatlantique et transpacifique en gestation[12], ce monstrueux totalitarisme planétaire que construisent l’Empire américain et l’Europe allemande en pleine expansion vers l’Est (cf l’actuelle extension de l’O.T.A.N. à l’Ukraine, en attendant qu’arrive le tour de la Biélorussie) : car la légitime dénonciation des crimes passés ne saurait légitimer la collaboration enthousiastes aux crimes présents et à venir !
Il est d’ailleurs surprenant que les organisations écologistes qui, à raison, défendent la biodiversité du vivant contre le rouleau compresseur du consumérisme capitaliste, restent de marbre quand disparaissent jusqu’à huit langues PAR AN
III – Vive l’enseignement des langues de l’immigration de travail !
Curieusement, les mêmes qui s’enthousiasment pour la Charte européenne des langues au nom de la diversité et de l’égalité entre les parlers, ne trouvent rien à dire au fait que les langues de l’immigration de travail ne sont quasiment pas enseignées par l’école publique. C’est ainsi que pas un lycée de l’ex-bassin minier du Nord-Pas-de-Calais n’enseigne l’arabe comme LV 1 ou LV 2, alors que cette langue est parlée par nombre d’anciens mineurs marocains et leurs ayants-droit. Une étrange lacune qui semble ne choquer personne et qui ouvre un espace considérable aux intégristes pour accaparer l’enseignement de cette langue internationale sur des bases lourdement cléricales…
IV – Vive(nt) le(s) français[17] !
Même Malherbe, le poète qui « épura » notre langue et notre littérature au Grand Siècle, se référait aux « crocheteurs des Halles » pour fixer le vocabulaire. La première des choses à faire pour encourager les travailleurs et d’abord, les militants politiques et syndicaux du mouvement ouvrier, à défendre leur langue, est de les convaincre qu’ils sont compétents en matière de « bon français » puisqu’ils se font clairement entendre de leurs pairs. Au demeurant, qui pourrait parler plus mal le français que les moulins à paroles des « merdias » capitalistes qui ne savent plus faire une liaison évidente, inverser le verbe et le sujet dans une interrogation directe, utiliser la double négation, qui abusent de la novlangue politicienne à la mode et qui – surtout à Paris intra muros – multiplient les anglicismes branchés sans le moindre souci du droit des auditeurs à comprendre ce que disent les chaînes qu’ils financent par leurs impôts.
Il est également nécessaire de faire de la Francophonie internationale non plus seulement cet espace guindé piloté par les gouvernements (hyper-angliciseurs pour beaucoup d’entre eux, à commencer par ceux de la France, de la Belgique et du Canada…), qui prend prétexte d’une langue commune, qu’ils ne servent guère, pour pontifier sur les problèmes mondiaux, mais un lieu vivant de résistance sociale, d’échange international, d’impulsion culturelle, d’émancipation nationale et de mise en commun linguistique permettant d’affronter à armes égales le rouleau compresseur des oligarchies américanolâtres arc-boutées sur l’exportation de leur langue, réduite au rôle d’une arme de « soft power » (car contrairement à nos gouvernants, qui considèrent comme un boulet une langue parlée sur les cinq continents, les élites anglo-américaines savent que la pénétration mondiale du globish constitue à long terme une arme économique et commerciale plus efficace que plusieurs alliances militaires ![18]). Face à un tel monstre nourri à la fois par Wall Street, par le Pentagone et par la City, il est vital pour le français d’échanger et de collectiviser la créativité africaine, l’esprit de résistance québécois, la force poétique haïtienne, etc.
Dans le même esprit le français moderne doit dialoguer avec et s’enrichir d’échanges, voire d’emprunts, aux autres langues de France, aux langues de l’immigration ainsi qu’aux autres langues romanes, espagnol, italien, portugais, roumain, qui sont confrontées aux mêmes problèmes d’arrachage linguistique (du moins en Europe) que notre pays, sans négliger bien entendu l’apport de l’espéranto. En un mot, internationalisons les résistances linguistiques et refusons que le tout-anglais règne dans le mouvement syndical international, dans les « alter-summits » (sic) ou dans certaines émissions de prétendue « Underground Democracy » qui, jusque dans leur dénomination, clament le caractère petit-bourgeois, ostentatoire et inoffensif de leur semi-révolte. Entendons enfin le conseil de Montaigne, auteur des Essais et maire de Bordeaux, qui déclarait déjà au 16ème siècle : « que le gascon y aille si le français n’y peut aller ! »…
Conclusion – Les « élites » françaises – en réalité l’oligarchie transatlantique et ses collabos de la haute bourgeoisie « française » sacrifient cyniquement une langue dont ils ont profondément honte car elle porte l’inexpiable héritage d’une histoire populaire qu’ils abhorrent : l’héritage de Marat et de Toussaint Louverture, des Communards et du Front populaire, voire de l’Internationale communiste (dont le français était la langue de congrès) et des luttes de libération nationale d’Afrique. Marginaliser cette langue maudite est un enjeu central pour ceux qui veulent, comme le M.E.D.E.F., « reconfigurer les territoires », construire « l’Union transatlantique » et mettre en place « les États-Unis d’Europe, notre nouvelle patrie » – comme si l’on pouvait à son gré changer de patrie, c’est-à-dire de parents et d’histoire. Face à ce énorme parri- et matri-cide de classe et de caste, il revient d’abord aux progressistes d’imposer le débat politico-linguistique : car la substitution linguistique qui vise à exproprier le peuple de ses mots ne pourra l’emporter que si la classe travailleuse se laisse priver de débat sur sa langue. C’est pour la priver de parole à jamais, pour faire d’elle une classe mutique après avoir fait d’elle une masse précarisée et largement chômeuse, que le Parti Maastrichtien Unique, toutes tendances confondues, veut (se) défaire (de) la langue frondeuse de Villon, de Rabelais, de Voltaire, d’Eugène Pottier et autre Jean-Baptiste Clément, sans parler de Félix Leclerc, de Jacques Brel ou des incandescents Fanon et Aimé Césaire.
Ce combat a beaucoup à voir avec celui par lequel les résistants sociaux affrontent la novlangue néolibérale (celle qui, par ex. nomme « modernisation » les régressions sociales et « archaïsmes » les acquis sociaux) pour reconquérir un vocabulaire de classe permettant de nommer un chat un chat et M. Manuel Valls un laquais du capital. Est-ce vraiment cela que nous voulons pour nos enfants ?
[1] Et dans un second temps – ce serait sa seconde mort, ignominieuse ! – à l’état de parler aristocratique mondial des « élites mondialisées », dont la soif de distinction pourrait ne pas se satisfaire très longtemps du « globish » imposé partout ?
[2] « Anglais langue maternelle ».
[3] René Etiemble (1909-2002), écrivain et linguiste éminent, auteur notamment de Parlez-vous franglais ? (Gallimard, 1964).
[4] Au sommet, les English Mother Tongue venus d’ailleurs ou provenant des enfants de l’oligarchie « française » élevés directement en anglais, comme les collabos gaulois de César reniaient le celtique en élevant leurs enfants en latin. Au milieu, les « globishisants », parlant plus ou moins bien un anglais d’aéroport et destinés aux fonctions de cadres moyens. En bas, les francophones demeurés (c’est à dire ceux demeurés francophones…), cantonnés dans les tâches d’exécution et parlant un français appauvri et truffé d’anglicisme. Et dans les soutes, les travailleurs immigrés venus de l’espace francophone africain et subissant la double peine linguistique puisque parlant le français avec un accent (comme s’il existait un français sans accent…) et ne sachant pas encore la vraie langue du French Euroland en cours de recyclage linguistique total. Le schéma étant compliqué, notamment pour les travailleurs des services publics d’État, ou pour les enseignants, par la nécessité de parler le français, l’anglais et, si possible, plusieurs langues régionales s’ils veulent par ex. être mutés de la Bretagne à la Corse ou à Perpignan, lorsque le breton, le corse ou le catalan auront obtenu la co-officialité dans les actes publics… Vive la « modernité » ! Et tout cela, bien entendu, sans un euro supplémentaire sur la fiche de paie…
[5] http://www.lefigaro.fr/international/2006/03/23/01003-20060323ARTWWW90425-seilliere_parle_anglais_chirac_part_fache.php ethttp://www.observatoireplurilinguisme.eu/index.php?option...
[6] « France is in the air » remplaçant dans la foulée le célèbre slogan « Faire du ciel le plus bel endroit de la terre »…
[7] Et si « oui », « d’accord », « ça marche ! », « ça roule ! », « ça baigne ! », vous paraissent trop fades, pourquoi ne pas OSER « Oc » en occitan, « si como no ? », en castillan, etc. ? S’il faut emprunter, il est prudent de ne pas emprunter toujours à la World Company…
[8] Lire notamment : http://www.m-pep.org/spip.php?article3517. La Charte a été rédigée par la FUEV (Föderalistische Union Europäischer Volksgruppen), groupe de pression directement héritier du pangermanisme allemand et d’une conception ethnique des populations ayant valu la reconnaissance du caractère nazi de certaines de ses formes antérieures.
[9] Déjà, en Catalogne ibérique, des Banques s’affichent uniquement en catalan et en anglais en proscrivant l’espagnol, seconde langue la plus parlée au monde, et le français, parlé de l’autre côté de la frontière !
[10] Arguant de la prochaine adoption de la Charte européenne par le Parlement français, le conseil municipal de Saverne a cru pouvoir annoncer que les séances du conseil municipal se tiendraient désormais en alsacien, avec des traducteurs français pour les non-locuteurs du dialecte, et que les comptes-rendus se feraient « en allemand, forme écrite de l’alsacien ». Fermez le ban ! Le patronat alsacien qui inspirait largement le projet (rejeté par l’électorat républicain alsacien) de fusion des deux départements et de la région Alsace, ne cachait pas que son but réel était de se fondre dans une grande euro-région transfrontalière avec le Bade-Würtemberg allemand. Des projets analogues sont couvés par les hiérarques féodal-« socialistes » du Languedoc-Roussillon, qui lorgnent sur la riche Barcelone, ou par Martin Malvy (Midi-Pyrénées) et Martine Aubry (la vraie patronne du Nord-Pas-de-Calais), qui veulent chacun leur région « transfrontalière ». C’est évidemment l’anglais, et non les langues régionales – purs prétexte d’un instant pour déconstruire mille ans de construction nationale française – qui fédérera ces regroupement dans lesquels le Code du travail, les statuts, le SMIG et les conventions collectives ne feront pas long feu.
[11] Poussée par le socialisme ouvrier naissant et encore portée par l’élan de la Révolution jacobine, cette bourgeoisie a AUSSI institué l’école laïque, gratuite et obligatoire, mis en place la loi de séparation de l’Église et de l’État, institué la loi passablement démocratique de 1901 sur les associations, interdit le travail du dimanche… Quelle différence avec l’oligarchie capitaliste actuelle et avec ses rampants serviteurs « socialistes » du type de Manuel Valls !
[12] Pressé d’équilibrer les BRIC, qui parlent portugais (Brésil), russe, mandarin ou hindi, l’Oncle Sam mène de front en ce moment deux négociations secrètes ; l’une avec les Européens (Union transatlantique) et l’autre avec les Japonais, les Coréens du Sud, etc. (Union transpacifique). Et quelle sera la langue officielle de l’Union transatlantico-pacifique quand ces négociations seront venues à leur terme et que Wall Street sommera la Maison Blanche d’unifier les deux Unions ? Alors que le système capitaliste fait fonds depuis cinquante ans sur une propagande « antitotalitaire » frelatée, il porte en ses flancs une pensée unique, une langue unique, une économie et une culture uniques qui battent d’avance tous les records de totalitarisme – si l’on tient à utiliser cette notion passablement floue – puisqu’elles s’étendront aux moindres recoins de la planète : plus la moindre île déserte, plus le moindre îlot d’Utopie où fuir ce « devenir-monstre » (dixit André Tosel) de la mondialisation capitaliste.
Tiens lisez un peu le roman de Samuel Odell paru en1898 "La dernière guerre ou le triomphe de la langue anglaise". J'ai fait un billet là-dessus.
[13] Il faudrait aussi évoquer le sort des francophones belges. Violant les prétendues règles démocratiques de l’U.E., la droite dure flamande persécute les francophones qui résident au nord du pays, abandonne la Wallonie en crise à son sort et resserre son étreinte menaçante sur Bruxelles ; or, la seule réponse du chef de file socialiste des francophones, M. Elio Di Rupo, le premier ministre fédéral belge, est de s’adresser à l’ensemble de ses compatriotes en anglais !!!
[14] Y compris sans doute de l’anglais britannique, en passe d’être avalé par le globish et par l’américain, et dont il serait sans doute stupide de priver les Écossais et les Gallois, sans parler des Irlandais, pourvu qu’ils disposent tous des moyens de recouvrer leur langue historique.
[15] http://www.debunkersdehoax.org/depenses-ahurissantes-pour-les-cours-darabe-a-lecole-intox-de-marion-le-pen
[16] http://www.slate.fr/story/33579/francais-anglais-langues-etrangeres-ecole
[17] Rappel orthographique : le substantif « le(s) français » en minuscules désigne la langue française et, au pluriel, ses divers usages, hexagonal, québécois, romand, wallon, etc. ; le substantif le(s) Français, avec la majuscule, désigne le ou les citoyens de nationalité française, donc des personnes.
[18] Honte à ceux des officiers français qui acceptent sereinement, pour poursuivre leur brillante carrière au sein de l’O.T.A.N., que l’anglais devienne la « langue de travail » de l’armée « française ».
http://www.initiative-communiste.fr/articles/luttes/reprenons-langues-georges-gastaud-matthieu-varnier/
UNE LANGUE C'EST FONDAMENTAL DANS L'IDENTITE D'UN PEUPLE :
10/05/2021
la cause de tout ça ?
ben ! le profit financier ! eh oui l'analyse marxiste on y revient toujours ! c'est la clé pour comprendre les forces politiques, les oppressions les lobbies, et par suite les propagandes, les mensonges, les "religions", les diabolisations, les manipulations de l'opinion, intimidations, racismes, caricatures, etc
Tellement de milliards et de milliards en jeu, alias "rapports matériels de production"; et la psychologie qui va avec, ça aussi le marxisme nous l'apprend (et La Fontaine aussi, c'est vrai !)
l'Hyperclasse, tout ce petit monde de capitalistes criminels se connaissent écoutez quelques unes des choses qu'a découvert le journaliste Philippe Aimar :
apprenez (qq-part dans la deuxième moitiè de la vidéo) ce qui a fait la une du Monde le19 décembre 2019 - et après c'est Jovanovic qu'on taxe de "conspirationniste" ! (remarquez, quelqu'un qui en 1933 aurait dit "vous verrez un jour Hitler envahira l'Autriche" aurait été taxé de "conspirationniste" ! et je ne parles pas du reste)
06/05/2021
"TECHNO-NAZISME" voilà le terme juste et qui fait comprendre la nature fondamentale du truc, qu'avait identifié ZYGMUNT BAUMAN dans son livre incontournable "modernité et holocauste"
Zygmunt Bauman fut donc avertisseur de ce qui nous arrive, Michel Foucault aussi, maintenant un autre texte excellent de Nicolas Bonnal "pouvons-nous encore nous défendre ?"
Nous sommes en face de la plus belle destruction créatrice, pour reprendre l’expression luciférienne du regrettable Schumpeter, de notre histoire humaine. Des élites veulent détruire les peuples et les économies, et veulent les remplacer par un grand projet « créateur » nommé le Grand Reset. Et comme nous sommes en démocratie en occident, terre présumée des grandes libertés, personne ou presque n’ose se défendre ou réaliser ce qui se passe : on masque, on ruine, on séquestre, on tabasse, on militarise, et tout le monde se la ferme, comme au cours des deux premières guerres mondiales, quand les opinions publiques occidentales ont gobé les propagandes imposées (Bernays). Les Français eux comme dit Céline restent « parfaitement enthousiastes », fidèles à leur habitude. Zinoviev (ce dissident soviétique, qui après avoir émigré à l'Ouest, s'est mis à observer et analyser l'Occident actuel avec la même pénétration critique qu'il en avait fait montre envers l'URSS) a raison et le citoyen occidental est le plus abruti de l’histoire. Seulement voilà nous sommes mêlés à son sort titanesque. Zinoviev :
« Nous sommes dans une époque post idéologique mais en réalité la supra idéologie du monde occidental diffusée au cours des 20 dernières années est bien plus forte que l’idéologie communiste ou nationale-socialiste. Le citoyen occidental est bien plus abruti que ne l’était le soviétique moyen par la propagande communiste. »
Guy Debord disait la même chose dans ses commentaires :
« Le spectaculaire intégré a fait mieux, avec de très nouveaux procédés, et en opérant cette fois mondialement. L’ineptie qui se fait respecter partout, il n’est plus permis d’en rire ; en tout cas il est devenu impossible de faire savoir qu’on en rit. »
Jamais l’expression « d’élites hostiles » (Kevin Macdonald) n’a été si juste qu’aujourd’hui. Les élites occidentales (guerres, contrôles, impôts, répressions) ont rarement été bienveillantes, sauf pendant la guerre froide (Zinoviev) et on juge les gens à leur mouvement, pas à leur couleur, comme dans le jeu d’échecs du prisonnier (épisode « checkmate »). Mais l’expression est très juste, on l’a vu au moment des gilets jaunes. En France les élites sont devenues haineuses et odieuses.
Tous les écrivains spécialistes de ces questions nous mettaient en garde contre ces mêmes élites depuis les années 60 et 70 quand les plans d'action malthusiens, technophiles et écologistes se sont mis en place avec deux ou trois objectifs prioritaires, d’ailleurs assez puérils (puérils ou sataniques ?) : dépeupler, régenter, dépolluer. Tout cela devient possible avec la révolution informatique qui permet aux élites occidentales si bien étudiées par Michel Foucault de parachever leur obsession séculaire de surveillance et de contrôle des populations. Je le cite pour l’exemple, car des ignares en matière de déconstruction l’insultent sans même le lire :
« Espace découpé, immobile, figé. Chacun est arrimé à sa place. Et s’il bouge, il y va de sa vie, contagion ou punition. L’inspection fonctionne sans cesse. Le regard partout est en éveil…Tous les jours, l’intendant visite le quartier dont il a la charge, s’enquiert si les syndics s’acquittent de leurs tâches, si les habitants ont à s’en plaindre; ils « surveillent leurs actions ». Tous les jours aussi, le syndic passe dans la rue dont il est responsable; s’arrête devant chaque maison; fait placer tous les habitants aux fenêtres (ceux qui habiteraient sur la cour se verraient assigner une fenêtre sur la rue où nul autre qu’eux ne pourrait se montrer) ; appelle chacun par son nom; s’informe de l’état de tous, un par un…Chacun enfermé dans sa cage, chacun à sa fenêtre, répondant à son nom et se montrant quand on lui demande, c’est la grande revue des vivants et des morts. »
Tout cela pour décrire le bon vieux temps de Louis XIV et de l’Ancien Régime…Jésuites (avec ce pape décalé on est servis), caserne, hôpital, voilà ce que devient notre ordinaire. J’oubliai le poste de police et la marque théâtrale et baroque du masque. [comme dans la fameuse pièce de de théatre de IONESCO "Rhinocéros" ! ou comme le salut "Heil Hitler !" si facilement accepté par tout un peuple d'allemand bien "citoyens" et "solidaires" ! ma note]
Ici cela va devenir permanent et facilité par les technologies de l’information…Un rappel aussi sur la Chine que des antisystèmes pas trop informés [Danielle Bleitrach par exemple ! ma note] nous présentent comme le modèle à suivre. La Chine présente un vieux modèle de bureaucratie totalitaire dirigée par des eunuques (l’idéologie du genre et l’avortement à neuf mois ça vous dit ?), alors citons Michel Maffesoli :
« Dans son livre La bureaucratie céleste, l’historien de la Chine antique, Etienne Balazs, souligne la prédominance des eunuques dans l’organisation de l’Empire. Ne pouvant procréer ils élaborent une conception du monde dans laquelle un ordre abstrait et totalement désincarné prédomine. L’élément essentiel étant la surveillance généralisée. En utilisant, d’une manière métaphorique cet exemple historique, on peut souligner que la mascarade en cours est promue par la « bureaucratie céleste » contemporaine dont l’ambition est stricto sensu d’engendrer une société aseptisée dans laquelle tout serait, censément, sous contrôle. Et en reprenant la robuste expression de Joseph de Maistre, c’est toute « la canaille mondaine » qui sans coup férir s’emploie non pas à faire des enfants, mais à infantiliser la société : il faut en effet noter que pas un parti politique n’a osé s’élever contre le port du masque généralisé. » [sauf le parti "les patriotes" de Florian Philippot, admirateur d'Hugo Chavez, qui se révèle ainsi le seul libre, le seul humaniste et la seule véritable opposition qui reste, ma note]
Cette gestion par les eunuques et les féministes est aujourd’hui parfaitement appliquée dans le monde occidental. Comme je l’ai montrée ailleurs elle était entrevue par Chesterton dans son livre What I saw in America, qui commence par un intense contrôle aux frontières…
Mais revenons à notre sujet : comment nous défendre. Il va falloir faire vite car le système des élites hostiles de Davos (Claus Schwab), du Potomac, de Bruxelles et de la Silicon Valley veut vraiment détruire. Tout sera mis en place l’an prochain ou dans quelques années. J’ai montré que tous les films de dystopie se passaient autour des années 2020 (Mad Max, Blade runner, Soleil vert, 2019 la chute de New York…) :
Le système procède par destruction, anéantissement. Liliane Held-Khawam :
« Cette aberration, qui consiste à prendre du réel à des individus en leur cédant du néant, est en train de mener la planète à la faillite généralisée. Une fin inéluctable prévue par le concepteur du modèle économique Milton Friedman puisque celui-ci avait prévu l’hélicoptère monétaire qui consiste à remettre à tout un chacun un Revenu universel.
Le Revenu universel devient indispensable quand le marché planétaire n’existe plus, qu’il est tenu par des oligopoles/des cartels/ des monopoles. De fait, à l’heure actuelle, seules les entreprises PME et commerces très sains peuvent encore prétendre à une certaine liberté d’entreprendre hors des griffes des banquiers. » [et c'est qu'ils veulent les détruire...... ma note]
Mais ceci c’était avant! »
Comment leur échapper ? Car ce sera le vaccin pour une bouchée.
Nous sommes tous dépendants du système, de son informatique, de son électricité, de ses banques, de ses villes, de son eau courante et du reste. Comment lui échapper alors quand il voudra nous pucer après nous avoir ruinés et peu à peu (c’est le plus grave) dévitalisés, découragés? Faut-il fuir dans leur campagne ? J’ai plusieurs amis comme cela, qui vivent d’ailleurs plus confortablement que les bobos parigots dans leur cambrousse, en Bourgogne ou en Andalousie, ont un puits, des animaux herbivores, des arbres fruitiers, possèdent un groupe électrogène (excellent pour échapper à EDF, mais il faut de l’essence). On peut avoir ses armes, bien s’entendre avec ses voisins, imaginer une communauté, etc. Ce modèle à la mode un temps en Amérique du temps des milices, on n’en parle plus. On n’en parle plus, ou il a disparu du fait de la traque et de la répression ?
Beaucoup recommandent d’acheter de l’or… Il y a dix ans déjà dans sa merveilleuse entrevue Lucien Cerise déclarait :
« Il faut laisser le moins d’argent possible à la banque, ou alors dans des banques non-occidentales. Le bank run complet est un idéal vers lequel il faut tendre, mais il est difficilement praticable pour la plupart des gens. Il faut essayer quand même de dé-virtualiser nos biens et de re-matérialiser notre capital au maximum, par exemple, dans les métaux précieux ou l’immobilier. Si on n’a pas beaucoup d’argent, acheter des objets utiles pour le bricolage, des denrées alimentaires non périssables, des graines et des semences, ou un petit terrain, voire un garage, une cave, un grenier, un comble, un box. Bref, convertir tout ce qui n’a qu’une valeur d’échange, une valeur fiduciaire, sous format papier ou numérique, en choses à valeur d’usage, valeur réelle et concrète. »
Face à la guerre d’extermination menée par le capital, les bureaucrates et leur techno-nazisme Lucien déclarait encore :
« Dans l’associatif, s’investir dans divers mouvements, les « villes en transition », la relocalisation, le survivalisme (à condition qu’il abandonne ce qui reste en lui d’égoïsme concurrentiel libéral), les monnaies alternatives et complémentaires, où l’on apprend à s’organiser concrètement en dehors du capitalisme. La reconquête locale d’une souveraineté alimentaire, énergétique, puis économique et politique permet d’améliorer la résilience, la capacité de résistance aux chocs infligés par le capitalisme et son mode de fonctionnement par la crise, la délocalisation et le déracinement. Comme disait Sun-Tzu, « Gagner, c’est rester en vie ». Tant que nous sommes en vie, quelles que soient les conditions de cette vie, l’ennemi n’a pas gagné. Donc nous ne perdons pas. Donc nous gagnons. »
Je ne suis ni jeune ni optimiste et je compte des imbéciles innombrables : je vois quand même bien le système triompher. La police est devenue barbare en France et ailleurs ; l’armée est mobilisée ; 90% des gens ne remettent jamais en cause le discours des médias oligarques et gouvernementaux ; la jeunesse est absorbée…
Dans le bon film Bourne Legacy on voit des drones lanceurs de missiles anéantir un B.A.D. de luxe au fin fond de l’Alaska, alors… Le système peut et pourra aussi faire des exemples : on tabasse déjà des couples et des mères de famille, des jeunes filles avec la bénédiction des surréelles néo-féministes, alors on peut à terme pratiquer les assassinats ciblés, les exterminations pour l’exemple, les massacres gratuits. Cela peut servir à liquider des contrevenants-terroristes, les rebelles disait Jünger qui après la guerre précédente sentait la menace venir, et à démotiver les autres dans le sens du vaccin de Bill Gates si bien décrit à Berlin comme le fils de Robert Kennedy. S’il y a une chose que le monde moderne m’a montré depuis que j’ai appris à le connaître, c’est que le pire est avec lui toujours sûr. Tous les agendas de la dystopie terminale sont en place. A ceux qui sont vivants de les déjouer s’ils en ont encore la motivation et l’énergie. Le reste jouera au troupeau pucé et encadré par les humoristes.
ses Sources :
https://nicolasbonnal.wordpress.com/2019/02/20/%EF%BB%BFl...
https://lilianeheldkhawam.com/2020/08/27/la-faillite-de-l...
https://nicolasbonnal.wordpress.com/2020/08/28/michel-maf...
https://nicolasbonnal.wordpress.com/2020/07/27/michel-fou...
https://nicolasbonnal.wordpress.com/2020/08/17/zinoviev-e...
encore une parenté de plus :
La société technologique qui a contribué à l’Holocauste gère désormais les « passeports vaccinaux ».
Vous avez probablement déjà entendu parler du projet maniaque de « passeport vaccinal » de l’État profond, qui sera finalement utilisé pour soumettre le monde entier à la tyrannie médicale. Eh bien, nous savons maintenant qu’IBM dirige la création et la mise en œuvre des passeports vaccinaux dans une grande partie du monde développé, IBM étant la même société qui a aidé à organiser l’Holocauste, soit dit en passant.
Tout a commencé avec les masques, qui, après être devenus « obligatoires », ont été utilisés comme un outil de division pour séparer les « désirables » qui sont prêts à s’y conformer des « indésirables » qui disent simplement non à la tyrannie médicale.
05/05/2021
Schwab et son livre, le M K (censuré) du fascisme 2.0
https://echelledejacob.blogspot.com/2021/03/schwab-beauco...
Schwab : « Beaucoup d’entre nous se demandent quand les choses reviendront à la normale. La réponse est : jamais ! »
« Celui qui dirige la peur des gens devient le maître de leurs âmes » – Nicolas Machiavel, Le Prince
c’était également là la théorie de GOERING,il l’a avoué à Nüremberg.
« Soyez résolus à ne plus servir et vous voilà libres ! » Cette maxime de La Boétie doit devenir pour nous tous le meilleur antidote au projet eugéniste de Klaus Schwab dont le livre Covid-19 : la grande réinitialisation se veut le bréviaire et la feuille de route d’une prise d’otage mondiale qui a commencée, afin de soumettre les peuples dans une dictature sanitaire avec le Covid-19 pour mettre en œuvre la grande réinitialisation du capitalisme.
Qui est Klaus Schwab ? Il est né en Allemagne à Ravensburg en 1938 et est le dirigeant fondateur du Forum de Davos (WEF) qui rassemble depuis 1971 le gratin de l’élite économique mondiale, mais aussi, politique, financière et des médias, à l’image d’autres organisations plus informelles que sont le Bilderberg ou la Trilatérale, rassemblant chaque année des décideurs internationaux parmi lesquels Jacques Attali, Christine Lagarde, Bill Gates, Jeff Bezos ou David Rockefeller. « L’existence de ces organisations pose pourtant des questions aussi essentielles que : est-il possible de répondre aux défis de notre temps avec des appareils de coordination contrôlés par des élites aussi restreintes ? Élites uniquement sélectionnées en vertu de leur pouvoir et de leur richesse, qu’elles appartiennent à quelques pays seulement, ne sont élues par personne, ni déléguées par aucune autorité publique et sont inspirées par le dogme du marché autorégulé ».1
Seulement voilà, le dit marché autorégulé donne des signes de faiblesse depuis quelque temps. La crise des subprimes de 2008 montre à quel point une gestion confiée à un groupe restreint et aux favorisés du marché est porteuse de chaos. « Ce système de création monétaire kafkaïen voulant que l’argent soit créé à partir de dettes et d’intérêts qui nous obligent mécaniquement à générer perpétuellement de nouvelles dettes plus grandes que les précédentes est à bout de souffle. Un système d’esclavage financier qui porte en lui les germes de l’autodestruction, puisqu’une dette en constante augmentation exige une croissance en constante augmentation et donc des émissions de CO2 toujours plus grandes »2. Pour éviter la surchauffe qui ne peut mener qu’à un effondrement généralisé de tout le système financier dans son ensemble, Klaus Schwab et ses affidés ont imaginé un scénario de décroissance accélérée appelé grande réinitialisation, ou « grand reset » et qu’ils s’appliquent à mettre en œuvre aujourd’hui avec le Covid.
De même que ce sont les États, donc les peuples, qui ont sauvé les banques de la faillite lors de la crise des subprimes de 2008, ce sont à nouveau les peuples qui sont mis à contribution pour éviter le naufrage financier suite à la dérégulation financière débridée de la mondialisation dont la dette devient aujourd’hui insoutenable. La décroissance voulue par Schwab passe donc par la mise au pas des peuples en leur imposant de gré ou de force une dictature sanitaire en agitant la peur d’un virus pour endiguer toute croissance de la consommation et saper des pans entiers de l’économie jugés non essentiels : culture, tourisme, restauration, PMI-PME, le point commun de ces secteurs économiques étant qu’ils utilisent tous, entre autre, la monnaie papier pour leurs règlements, monnaie que veulent faire disparaître les grands argentiers de la planète pour faire advenir la monnaie cryptée pour mieux tracer et contrôler la population à l’image de ce qui se fait déjà en Chine.
Cette prise d’otage des peuples s’inscrit dans un scénario planifié en deux temps simultanés :
Tout d’abord l’intrusion de la fraude dans l’élection américaine en mettant tout en œuvre pour exclure la réélection de Donald Trump dont le premier mandat a favorisé une croissance de 2,5%, inédite depuis longtemps aux États-Unis. Le corollaire de cette croissance est que la dette déjà insoutenable de l’économie américaine s’est littéralement envolée. Donald Trump a certes bénéficié d’un héritage très positif, mais il est parvenu à faire en sorte que l’expansion se poursuive. Avec un chômage de 3,5%, au plus bas depuis 50 ans jusqu’à la crise du Covid, la réélection de Donald Trump semblait assurée. C’était sans compter sur la volonté d’en finir des mondialistes avec l’administration Trump : les 6 swing states ont basculé comme par miracle dans le camp du challenger démocrate Joe Biden. Aujourd’hui, il apparaît indéniablement que ces élections ont été entachées de fraudes massives pour faire élire le candidat démocrate, les innombrables preuves compilées par l’avocate Sidney Powell étant accablantes.
Ensuite, la deuxième mise au pas des peuples, la plus effrayante et la plus cauchemardesque par son ampleur et sa solution finale, passe par la création d’une peur collective planifiée et entretenue par la scénarisation de la contagion d’un virus à l’échelle planétaire : le Covid-19.
Ce virus à la létalité de 0,05% dont ont doit rappeler qu’il n’est ni plus ni moins mortel que celui de la grippe saisonnière.
Malgré tout, ce que l’on appelle dorénavant « la grande pandémie du Covid-19 » n’est rien d’autre qu’un scénario monté de toutes pièces par Klaus Schwab, le tout relaté en détail dans son livre3,
(le Mein Kampf du capitalsme actuel – le premier était déjà la planche de salut du capitalisme allemand, ET DE SES PRETEURS ANGLO-SAXONS!! souvenez-vous de la réunion du 20 février 1933 des grands patrons allemands au siège de la présidence du Bundestag …. )
pour tétaniser les peuples par la peur afin de mettre en scène son grand reset de l’économie mondiale. À tel point que ce scénario a fait l’objet d’une répétition générale en 2019 au Forum de Davos que l’on peut trouver en ligne sur la chaîne YouTube du WEF sous le titre « We ran a massive viral pandemic simulation. Here’s what we learned about managing Coronavirus » (« Nous avons testé une simulation de pandémie virale. Voici ce que le management du Covid nous a appris »). Il suffit de lire tous les commentaires de cette vidéo de 3 minutes pour voir que personne n’est dupe : il ne s’agit ni plus, ni moins qu’une manipulation de grande envergure.4
Tout avait déjà été prédit par le gourou Jacques Attali dès 2009 dans un article messianique publié par L’Express et intitulé « Avancer par peur »5, où il affirmait que « l’humanité ne pouvait évoluer significativement que lorsqu’elle a vraiment peur et que seule une « pandémie » majeure ferait surgir la prise de conscience d’un altruisme (!) pour jeter les bases d’un véritable gouvernement mondial ».
Publié en juillet 2020, le livre de Klaus Schwab Covid-19 : la grande réinitialisation n’est rien d’autre qu’un programme économique et politique totalitaire qui se propose d’avancer « des conjectures et des idées sur ce à quoi le monde post-pandémique devrait ressembler ». Le plus étonnant est que Schwab admet que le Covid-19 est « l’une des pandémies les moins meurtrières que le monde ait connues au cours des 2.000 dernières années », ajoutant que « les conséquences du COVID-19 en termes de santé et de mortalité seront bénignes par rapport aux pandémies précédentes ». Il continue : « Cela ne constitue pas une menace existentielle, ni un choc qui laissera son empreinte sur la population mondiale pendant des décennies ». Et pourtant ! Incroyablement, cette maladie « bénigne » est simultanément présentée comme l’occasion unique d’un changement sociétal sans précédent, sous la bannière de « La Grande Réinitialisation » ! [l’incendie du reichtag c’était pareil! Un des moins graves incendies produits par des communistes, en rien une réelle menace, a été utilisé comme prétexte à une grande psy-op sur le peuple allemand, à se faire accorder les Pleins Pouvoirs (avec le vote du Centre Catholique ….) à la rafle de tous les communistes et la création du premier camp de concentration pour les y enfermer, et bref tout ce qui s’est suivi!]
[Schwab place ainsi le Covid-19 dans une longue tradition d’événements allant de la peste noire du Moyen-Âge au 11 septembre 2001 en passant par la seconde Guerre mondiale qui ont facilité des changements soudains et significatifs dans nos sociétés. Il invoque ainsi « La seconde Guerre mondiale qui a été la guerre de transformation par excellence, déclenchant non seulement des changements fondamentaux dans l’ordre et l’économie mondiale, mais aussi des changements radicaux dans les attitudes et les croyances sociales qui ont finalement ouvert la voie à des changements radicalement nouveaux des politiques et des dispositions du contrat social ».
Il ajoute qu’il « existe évidemment des différences fondamentales entre une pandémie et une guerre, mais l’ampleur de leur pouvoir de transformation est comparable. Les deux ont le potentiel d’être une crise transformatrice aux proportions auparavant inimaginables. C’est notre moment décisif », pavoise-t-il. « Un nouveau monde émergera ». « Le bouleversement sociétal déclenché par le COVID-19 durera des années, voire des générations ».
« Beaucoup d’entre nous se demandent quand les choses reviendront à la normale. La réponse est : jamais ! » Les industries de la restauration, du tourisme et de la culture, mais aussi les petits commerces savent à quoi s’en tenir désormais.
Le ton est donné : « Des changements radicaux d’une telle ampleur sont tels que certains experts ont évoqué une ère “avant le coronavirus” et “après le coronavirus” ».
Tous ces commentaires montrent une seule et même chose : Schwab (le nouveau Adolf H.) se veut le grand architecte de cette pandémie planifiée par lui et ses acolytes pour mettre en place le grand reset. Comment Schwab et ses amis milliardaires peuvent-ils imposer leur société dystopique au reste d’entre nous ? La solution est le lavage de cerveau par la propagande implacable débitée en copié-collé par les grands médias occidentaux, mais aussi les GAFAM, verrouillés par une oligarchie financière aux mains d’une poignée de multi-milliardaires pour instiller la peur du virus durablement.
Schwab est évidemment déterminé à faire tout ce qui est en son pouvoir non négligeable pour réaliser son monde eugéniste [l’eugénisme était aussi le point le plus central du nazisme] et transhumaniste de la surveillance, du pouvoir, et du profit exponentiel. Il proclame : « Le fait qu’il soit maintenant beaucoup plus facile de manipuler avec précision le génome humain dans des embryons viables, signifie que nous sommes susceptibles de voir l’avènement de bébés sur mesure qui possèdent des traits particuliers ou qui sont résistants à une maladie spécifique ». [c’était déjà le grand rêve des Mengele et compagnie!]
Une section entière de ce livre est consacrée au thème « Modifier l’être humain », ravalant les dystopies 1984 et Le meilleur des mondes à celui des bisounours. Ici, Schwab bave sur « la capacité des nouvelles technologies à devenir littéralement partie de nous » et évoque un futur cyborg impliquant « des curieux mélanges de vie numérique et analogique qui redéfiniront nos natures mêmes ». Il écrit : « Ces technologies fonctionneront dans notre propre biologie et changeront notre interface avec le monde. Ils sont capables de traverser les frontières du corps et de l’esprit, d’améliorer nos capacités physiques et même d’avoir un impact durable sur la vie elle- même ». Aucune violation ne semble aller trop loin pour Schwab, qui rêve de « micropuces implantables actives qui cassent la barrière cutanée de notre corps », de « tatouages intelligents », de « calcul biologique » et « d’organismes sur mesure capables de lire dans nos souvenirs » (!)
Il est ravi d’annoncer que « les capteurs, commutateurs de mémoire et circuits peuvent être codés dans des bactéries intestinales humaines communes », que « les dispositifs implantés aideront aussi à communiquer des pensées exprimées verbalement via une puce numérique intégrée, et des pensées ou des humeurs potentiellement non exprimées en lisant les ondes cérébrales ».
La « biologie synthétique » est à l’horizon dans le monde de Schwab, donnant aux chefs du capitalisme technocratique mondial « la possibilité de personnaliser les organismes en écrivant de l’ADN ». C’est sur quoi certains labos s’ingénient à travailler dès à présent avec les « vaccins » ARN. L’idée même des neurotechnologies, dans lesquelles les humains auront des souvenirs entièrement artificiels implantés dans le cerveau suffit à nous donner la nausée, tout comme « la perspective de connecter notre cerveau à la réalité virtuelle via des modems corticaux, des implants ou des nanorobots ». Le Covid-19 sert parfaitement les objectifs de Schwab d’asservissement des peuples, car l’urgence immédiate qu’il présente permet de précipiter l’ensemble du processus sans examen minutieux et sans aucune considération éthique. Ainsi : « Notre peur persistante et durable d’être infectés par un virus COVID-19 ou un autre accélérera la marche implacable de l’automatisation. De nouvelles réglementations resteront en place ». Il ajoute : « L’impératif actuel est de propulser, quoi qu’il arrive, « l’économie sans contact » et la volonté ultérieure des régulateurs de l’accélérer signifie que l’on est sans tabou ». (!)
« Bon nombre des comportements technologiques que nous avons été forcés d’adopter pendant la détention (!) deviendront plus naturels grâce à la familiarité. Au fur et à mesure que les distanciations sociales et physiques persisteront, l’appui sur les plateformes numériques pour communiquer, travailler, demander conseil ou commander quelque chose va petit à petit gagner du terrain sur des habitudes autrefois ancrées ».
(c’est pourquoi la campagne anti-tabac qu’on nous a martelé hystériquement depuis 30 ans était sans doute un TEST, ils voulaient voir si ils allaient pouvoir détruire tout un plan de la culture humaine et de la liberté des individus jusqu’à les convaincre à se soumettre, à avoir honte de soi, à obeir, et à raser les murs, ils ont réussi, ils ont vu, maintenant ils foncent!]
« Le mouvement de l’entreprise ira vers une plus grande surveillance : pour le meilleur ou pour le pire, les entreprises surveilleront et enregistreront parfois ce que font leurs effectifs. La tendance pourrait prendre différentes formes, de la mesure de la température corporelle avec des caméras thermiques à la surveillance via une application de la manière dont les employés respectent la distanciation sociale ».
Des mesures coercitives d’un type ou d’un autre sont également susceptibles d’être utilisées pour forcer les gens à prendre les « vaccins Covid » en cours de préparation, car derrière les « vaccins » se cache le traçage et la surveillance de masse de toute la population. On ne s’étonne donc pas qu’il insiste sur le fait « qu’un retour complet à la normale ne peut être envisagé avant qu’un « vaccin » ne soit disponible ». Il ajoute : « Le prochain obstacle est le défi politique de vacciner suffisamment de personnes dans le monde avec un taux de conformité suffisamment élevé malgré la montée des anti-vaccins ». Ceux-ci rejoignent ainsi la liste des menaces pesant sur le projet de Schwab, aux côtés des manifestants anti-mondialisation et anticapitalistes, des Gilets jaunes et de tous les engagés dans des « conflits de classe », « résistance sociale » et « réaction politique ».
Mais comment Schwab envisage-t-il de faire face au « sombre scénario » des gens qui se soulèvent contre sa grande réinitialisation et sa quatrième révolution industrielle transhumaniste ? Quel degré de force et de mesures coercitives serait-il prêt à accepter pour assurer l’aube de sa nouvelle ère technocratique ?
La question est effrayante, mais nous devons également garder à l’esprit l’exemple historique du régime du XXe siècle dans lequel Schwab est né. La nouvelle normalité nazie d’Hitler était censée durer mille ans, elle s’est effondrée 988 ans avant son objectif.
Ce n’est pas parce qu’Hitler a dit, avec toute la confiance du pouvoir, que son Reich durerait un millénaire, qu’il en a été ainsi.
Ce n’est pas parce que Klaus Schwab et ses amis disent que nous entrons maintenant dans la quatrième révolution industrielle et que notre monde sera changé à jamais, qu’il en est ainsi.
Nous n’avons pas à accepter leurs propos alarmistes et leur conditionnement pour accepter leur dictature sanitaire et leur nouvelle norme. Nous n’avons pas à prendre leurs vaccins qui ne sont rien d’autre qu’une thérapie génique. Nous n’avons pas à les laisser nous implanter des puces numériques ou à modifier notre ADN. Nous n’avons pas à rester confinés ou marcher muselés et soumis, pour bientôt être piqués tels des poulets dans l’attente de l’abattoir de leur enfer transhumaniste. Nous devons dénoncer leurs mensonges ! Exposer leur agenda mortifère ! Refuser leur grand reset qui n’est rien d’autre qu’un populicide ! Rejeter leur idéologie toxique ! Résister à leur fascisme ! Klaus Schwab n’est pas un dieu, juste un homme âgé. Et ceux avec qui il travaille, l’élite capitaliste mondiale, dont Emmanuel Macron est l’apôtre le plus servile et zélé, sont peu nombreux. Leur vision transhumaniste est répugnante pour presque tout le monde en dehors de leur petit cercle et ils n’ont pas notre consentement pour la dictature technocratique qu’ils essaient de nous imposer.
Tout cela pour tenter de sauver le néolibéralisme qu’ils ont fait prospérer au-delà de tout contrôle alors qu’il existait d’autres voies plus raisonnables et plus viables comme le Keynesianisme qu’ils ont systématiquement rejetées et balayées.
C’est pourquoi, après tout, ils ont dû se donner tant de mal pour nous forcer à nous confiner et nous bâillonner [ sous des gueules de rhinocéros, comme dans la pièce d’Eugène Ionesco ! ] sous le faux drapeau de la lutte contre un virus. Ils ont compris que sans la justification d’urgence par la peur, nous n’allions jamais accepter leur plan monstrueux.
Mais la peur est en train de changer de camp : pourquoi le prochain Forum économique mondial aura-t-il lieu à Singapour et non pas à Davos, puis Genève comme prévu précédemment ? Ont-ils peur de notre pouvoir potentiel parce qu’ils savent que si nous nous soulevons, nous les vaincrons ? En réalité, si nous nous en donnons la peine, nous pouvons faire échouer leur projet avant même qu’il n’ait vraiment démarré. Pour preuve, le Dr Drosten, le conseiller virologue d’Angela Merkel est poursuivi par la justice allemande pour avoir faussé le protocole des tests PCR qui a amené les gouvernements à prendre des décisions de confinement ravageuses. En effet, en préconisant des valeurs de réglage CT au dessus de 30, les résultats des tests devenaient positifs avec des traces infimes de virus dans la plupart des cas, dans le but de continuer à alimenter la peur généralisée. Enfin, le Conseil d’État italien vient d’autoriser à nouveau l’hydroxychloroquine comme traitement du Covid-19, entravant ainsi la thérapie génique mortifère planifiée par Schwab.
Aujourd’hui, il appartient à chacune et à chacun d’entre nous de lire le livre de Klaus Schwab qui jette les bases du monde cauchemardesque dans lequel on vient d’entrer si l’on veut savoir ce qui nous attend pour en sortir au plus vite. Quand il sera trop tard, on ne pourra pas dire qu’on ne savait pas. Car comme pour Mein Kampf, tout était déjà écrit.
Comme l’a dit Emmanuel Macron, nous sommes bien en guerre, mais pas contre un virus : contre Klaus Schwab et ses soldats mondialistes qui veulent nous asservir par la dictature sanitaire et la thérapie génique pour éviter l’effondrement du néolibéralisme.
Ce n’est pas aux peuples de payer les erreurs néolibérales d’une poignée de multi-milliardaires corrompus qui ont mis l’économie mondiale à genoux. Il y aura un tribunal de Nüremberg pour toutes celles et ceux qui auront participé à cette tentative de génocide mondial : politiques, économistes, financiers, gourous, médecins, chercheurs et autres apprentis sorciers des laboratoires pharmaceutiques.
Nous devons gagner cette guerre idéologique par tous les moyens : judiciaire, médiatique, cyber et politique. Il y va de notre survie à tous et de l’avenir de nos enfants ! Nous sommes le peuple, nous sommes les 99%, et ensemble, nous pouvons reprendre dès demain notre liberté des mâchoires mortelles de cette machine infernale à broyer les humains et sauver la démocratie.
Ce texte est une adaptation résumée de la traduction du remarquable article des journalistes dissidents du Guardian le 12 octobre 2020 :
https://off-guardian.org/2020/10/12/klaus-schwab-his-great-fascist-reset
source : https://nouveau-monde.ca/
Jean-Michel Grau
Le groupe Bilderberg, “l’élite” du pouvoir mondial, Domenico Moro, éditions Delga.
Les esclaves de l’anthropocène, Nicolas Teterel, éditions Yves Michel
Klaus Schwab, Covid-19 : la grande réinitialisation, forum publishing
https://www.youtube.com/watch?v=0-FQbhkWYuY&ab_channel=WorldEconomicForum
https://www.lexpress.fr/actualite/societe/sante/avancer-par-peur_758721.html
ET ICI une interview DYNAMITE ! de PIERRE JOVCNOVIc
https://odysee.com/@francesoir:2/PierreJovanovic:1
ça c'est un journaliste qui fait son travail !
Espérons qu'on ne le retrouvera pas un de ces jours "suicidé" au pied de son immeuble, ou victime d'un accident de moto ....
En tous cas dépèchez-vous de diffuser et faire passer cette vidéo (qu'on peut télécharger, ça aussi je vous le conseille!) au plus grand monde.
"there is no depth to which the psychopath will nor sink."
Mengeles are in dank crevices all around.
Je n'irai nulle part, et ils crèveront la gueule ouvert tous les établissements qui font comme ça, comme les suisses (cette graine de fascistes : en 1935 27% des suisses ont voté "oui" à un référendum qui demandait que la Suisse devienne un régime nazi ! si si ! les livres d'histoire ne vous en parlent pas, curieux ! pourquoi ?), crèveront la gueule ouverte par manque de clients, et ils l'auront bien mérité !
03/05/2021
Une bouffée d'espérance
il a raison, les français ne s'aattachent pas au contenu (ou au MANQUE de contenu, par exemple pas de mention de la sortie de l'UE de lEuro et de l'OTAN, pas de dénonciation du néo-libaralisme) mais à l'effet d'entrainement.
Le système politique et les partis en place actuels sont TOUS totalement déonsidérés et ne constituent plus le moindre espoir !! Les français n'espèrent plus rien des élections, dont ils savent à l'avance qu'elles seront truquées. Donc le seul espoir qui reste est celui d'un coup d'Etat militaire. Et c'est de cette prise de conscience du peuple français dont témoigne la majorité qui soutien cet appel.
Maintenant il ne reste plus qu'à espérer!!. Et à espérer que les militaires comprendront.
https://www.place-armes.fr/post/lettre-ouverte-a-nos-gouv...
23.312 signataires le 2/05/2021 – 8H du soir
30/04/2021
c'est le fruit de la déculturation du peuple - qui a été voulue ...
dans cette vidéo (toute entière très intéressante)
https://ru-clip.com/video/xmL0Cpzxm-U/ql20-pensons-l-avenir-des-m%C3%A9dias.html
autre lien pour la même vidéo (en cas de censure de ru-clip, qui déplait au grand capital Youtubesque ! ) https://kzclip.com/video/xmL0Cpzxm-U/ql20-pensons-l-aveni...
et encore un autre lien https://odysee.com/@quartierlibre.tv:8/ql20-pensons-l-ave...
conclusion ;Nous avons appris que ce virus avait été trafiqué génétiquement avant la « pandémie ». Nous avons appris que les vaccins ont été préparés avant la « pandémie ». (vous ne saviez pas ?! recherchez, pas dans les médias des 9 milliardaires, bien sûr ! ) Maintenant, nous apprenons que le projet de passeport vaccinal date d’avant la « pandémie ». (article sur Réseauinternational à ce sujet)
Où l’on voit que la soi-disant pandémie n’était qu’un prétexte à l’installation d’une société de surveillance, de diminution de la population, de la destruction de la médecine, de mise en esclavage totalitaire des citoyens et l’avènement d’une dictature mondiale. (Bref, comme j'ai dit dans un autre article de fascisme 2.0 il y a une tendance historique lourde au fascisme, qui s'est formée au cours du XIXème siècle, ça ne date pas d'hier, et dont les fascismes des années 30 n'étaient qu'un premier accès violent surfant sur la peur que ressantaient les bourgeois devant une possible révolution bolchévique dans leurs pays) Jusquà présent seul Zygmunt Bauman avait compris ça, voir "Modernité et holocauste". Maintenant tous les observateurs y viennent les uns après les autres. Mais il est un peu tard ! comme dit le Dr Fouché, il aurait fallu voir le doigt dans l'engrenage avant, dè qu'on nous a supprimé les contrôleurs à l'accès aux quais des gares ! si ! réfléchissez !
https://odysee.com/@quartierlibre.tv:8/ql20-pensons-l-avenir-des-m-dias:5
et avec le titre vous pouvez aussi la trouver sur youtube.
à la 44ème minute JJ Crévecoeur met le doigt sur ce conditionnement (qui remonte aux temps où le peuple restait quoi qu'il arrive adorateur de la bienveillance de "not' bon roi" qu'on ne pouvais pas imaginer ne pas être bienveillant, puisque "voulu par Dieu") comme quoi certaines personnes n'arrivent pas à admettre que le gouvernement puisse ne pas dire la vérité, et vouloir d'autres choses que notre bien ! c'est plus fort qu'eux, une puissance irrationnelle enracinée au fond de leur esprit, ils sont comme des gogosses. Alors que si ils avaient un peu réfléchi au marxisme (qui, quoi qu'on die, est plus scientifique que certains ne se complaisent à le dire maintenant !......), ils sauraient que "toute l'histoire de l'humanité n'est que l'histoire de la lutte des classes" Depuis l'antiquité, la première phase de lutte des classes qu'on aie pu identifier est ce que les égyptologues appellent la Première Période Intermédiaire, à la fin de l'Ancien Empire. Et que le gouvernement en place représente les intérêts de la classe dominante, donc des interêts conflituels, contradictoires en tous cas, et qui sont fondés sur l'exploitation des autres classes. Donc qu'un gouvernement en place mêne une politique qui soit nocive à une partie, (en général une partie majoritaire !) du peuple, rien de plus banal ! et de plus naturel ! On ne vit pas dans un monde de bisounours, non, non ! désolé de l'apprendre à cette catégorie de gens ! Les choses ne sont pas si simples !
pareil pour le caractère mondial de cette STRATEGIIE D'ENSEMBLE DU GRAND CAPITAL (appelons-là comme ça si le mot "conspiration" vous donne des boutons de mouton bien lavé du cerveau (!), de toutes façons c'est la même chose, flatus vocis !!) ça fait plus d'un demi-siècle rien ne se passe qui n'ai fait l'objet d'une étude poussée de la part de cette hyper-classe, tous les historiens savent ça !
(et si vous ne voulez pas lire Marx, lisez au moins T.J. Dunning qui en 1860 a écrit : "Que le profit soit convenable, et le capital devient courageux : 10% d’assurés, et on peut l’employer partout ; 20%, il s’échauffe ; 50%, il est d’une témérité folle, à 100%, il foule aux pieds toutes les lois humaines ; à 300%, et il n’est pas de crime qu’il n’ose commettre" )
maintenant regardez et écoutez attentivement (et notez les noms, et enregistrez la vidéo) cet interview du journaliste Pierre jovanovic sur France Soir
https://www.francesoir.fr/videos-le-defi-de-la-verite/pierre-jovanovic
Quand on pense que l'extrême droite fait croire que ce serait les maghrébins le problème … (qu’est-ce que vous appelez « l’extrème-droite » ? au XIXè siècle l’extrème-droite c’étaaient les monarchistes. )
On ne les entend jamais critiqué (er!) BigPharma.
Vous avez remarqué ?
Ben, bien sûr! de droite ce sont des procapitalistes, donc ils sont pour Big Pharma !
Pour que la machine infernale de la vaccination forcée cesse, il va falloir lutter comme contre les nazis,
exact ! Il y a une tendance historique, sociologique, et idéologique lourde au fascisme en Occident, on en a connu un premier accès aigu dans les années 30, c’était le fascisme 1.0, maintenant en voici un deuxième!)
sauf que ceux qu'on a face à nous sont plus mondialisés, plus riches et ont bien infiltré la presse
(voilà le problème ! Qui nous sauvera ! On n’est pas en 44!)
comme expliqué ici. Il y avait "Radio Paris ment. Radio Paris ment. Radio Paris est allemand."
L'Hitler du XXI ième siècle s'autofinance et comme celui du XX ième met son organisation au service des puissantes corporations (terme anglais, c’est à dire les gros « groupes », de sociatés par actions, comme ils disent maintenant, bref le grand capital) (qui a soutenu les nazi, en terme d'orga, de fourniture, de finance ? Etc).
Exact ! Et lisez tout ce qu’a fait Ernst Hanfstengel, sans doute envoyé enAllemagne par eux
Les résistants n'avaient pas les réseaux sociaux.
Mais ce qui est le plus puissant c'est de faire circuler l'info officielle autour de nous, en dehors des réseaux où tout le monde est d'accord, pour casser les cloisonnements ; je cite deux sources :
- les cluster dans les EHPAD avec des vaccinés deux doses : chercher dans les dernières nouvelles d'Alsaces (Pfizer)
- la pharmacovigilance officielle sur le site de l'ANSM qui prouve les dégâts mortels et cas graves des vaccins (tous compris !) à à peine 5 mois du début de la vaccination. Sachant que des effet secondaires graves peuvent apparaître durant 10 ans ! Et pour les vaccins ARNm tout au moins (Pfizer Moderna) la technologie n'a AUCUN recul.
- le rapport du ministre de la santé au Conseil d'Etat (qui ménage ainsi ses arrière en cas de procès ?)
"c'est un mode assez classique la défenestation !" en effet http://miiraslimake.hautetfort.com/apps/search/?s=hiroshi...
27/04/2021
Louis Fouché Président !
oui pourvu qu'on soit innarêtables, qu'IL soit inaretable !
21/04/2021
On vit vraiment une époque formidable !
1967 : Tu vas à la coop, avec les bouteilles consignées, on t'en décompte le prix sur les nouvelles bouteilles de vin que tu achètes. Tu payes avec le sourire de la crémière, et tu sors sous un grand soleil. Le tout a demandé 10 minutes.
2017 : Tu prends ta bagnole pour faire 5 kms, plus les détours ! aller, idem retour, pour aller te garer dans le parkinge d'un supermarché d'un gros empire capitaliste, Tu attends à la caisse sous les regards des caméras de vidéo-surveillance et des gorilles privés de la boite. Si tu achètes des bouteilles de vin on te fait entendre que c'est mauvais pour ta santé. Et quand tu les a finies, tu est obligé de refaire un périple égal, simplement pour avoir le "droit" de les jeter dans un récipient ad hoc (mais on te fait payer quand-même une taxe d'"enlèvement" des ordures). après tu n'a plus qu'à recommencer parce qu'il te manque un pain, et que le dernier boulanger a fermé.
Faire un voyage en avion :
1967 : On t’accueille dans les locaux d’Air France. Tu embarques on t’accompagne à ta place. Ton siège est tellement large qu’on peut s’asseoir à deux.
On t’invite à boire ce que tu veux et on te donne à manger, le tout servi par de belles hôtesses de l’air.
2017 : Tu arrives 4 heures avant le départ au guichet de Ryan Air. Tu entres dans l’avion en continuant de remettre ta ceinture qu’à la douane, ils t’ont fait retirer pour passer le contrôle, et te scanner tout nu aux rayons X.Tu t’assoies sur ton siège et, si tu respires un peu trop fort, tu mets un coup de coude à ta voisine qui t'accuse de "male spreading". Si tu as soif, le steward t’apporte la carte où les prix sont ahurissants. Si tu sort ton coupe-ongle pour te rogner un ongle, on t'arrête aussitôt, on te menotte, on fait retourner l'avion à son point de départ (bien sûr on ne te rembourse pas ton billet) et on t'inculpe pour "terrorisme", toi et ta famille restent fichés à vie comme "dangers potentiels".
Michel doit aller dans la forêt après la classe.
Il montre à Jean son couteau avec lequel il pense se fabriquer un lance-pierre :
1967 : Le directeur voit son couteau et lui demande où il l’a acheté pour aller s’en acheter un pareil.
2017 : Le directeur ferme l’école, on appelle la gendarmerie, on emmène Michel en préventive. TF1 présente le cas aux informations en direct depuis la porte de l’école.
Franck et Marc se disputent.
Ils se flanquent quelques coups de poing après la classe :
1967 : Les autres les encouragent, Marc gagne. Finalement ils se serrent la main et ils sont copains pour toute la vie.
2017 : L’école ferme. L’A2 proclame la violence scolaire, France Soir en fait sa première page et écrit 5 colonnes sur l’affaire.
Eric casse le pare brise d’une voiture du quartier :
Comme c'est une famille de droite, son père sort le ceinturon et lui fait "comprendre la vie" comme il dit..
1967 : Eric fera plus attention la prochaine fois, grandit normalement, devient de droite comme son père, il ne fait plus de violences illégales, seulement des violences légales quand il est le plus fort ! fait des études à HEC et devient un homme d’affaire, qui méprise son père qui n'était qu'un ouvrier travaillant à produire des choses utiles avec ses mains.
2017 : La police arrête le père d’Eric pour maltraitance sur mineur. Et arrête Eric pour "comportement inapproprié", inculpation qui vaut 10 ans de prison (tolérance zéro oblige !) , en prison il devient révolté, et recommence une fois sorti, puis une troisième, et par la vertu des lois à l'américaine il est condamné à la prison à vie; une multinationale se fait plein de fric avec les produits qu'il fabriquera en prison pour un salaire nul, et sans arrêts de travail. Le psy arrive à convaincre sa soeur que son père abusait d’elle et le fait mettre en prison.
Jean tombe en pleine course à pied.
Il se blesse au genou et pleure. Sa prof Jocelyne le rejoint, le prend dans ses bras pour le réconforter :
1967 : En deux minutes, Jean va beaucoup mieux et continue la course.
2017 : Jocelyne est accusée de perversion sur mineur et se retrouve au chômage, elle écopera de 3 ans de prison. Jean va de thérapie en thérapie pendant 5 ans. Ses parents demandent des dommages et intérêts à l’école pour négligence et à la prof pour traumatisme émotionnel. Ils gagnent les deux procès. (et les avocats gagnent plein de fric !)
La prof, au chômage et endettée, se suicide en se jetant du haut d’un immeuble.
On a vraiment vécu une époque formidable !
maintenant 4/4/2021 8 heures du matin : Tiens ! un être humain !!! ça existe encore ?!! il a même l’air des français comme du temps passé où la France existait, ou elle était peuplée de GENS, à visage humain, (et dont on avait oublié - à tort ! - qu’ils avaient été presque tout pétainistes et faisaient le salut hitlérien durant quatre ans, et beaucoup avaient dénoncé leurs concitoyens qui écoutaient Radio-Londres), où elle était une République, où il y avait des cafés, des bancs publics, des enfants, des magasins, des églises, des restaurants, des trains, des cars, des hotels, partout !
et on dansait ! (est-ce qu'on pourra "danser encore" https://kzclip.com/video/SyBEMRyt6Qg/hk-danser-encore-off... dans le monde fasciste de Claus Schwab ?)
20/04/2021
1975 époque où la France était encore un pays libre, civilisé et humaniste
La position de Mme Simone Veil (qui a fait la première loi "anti-tabac") était :
« pour moi, la loi était un complément de la société, de la liberté et de la démocratie, de sorte que les gens soient informés. Dans notre esprit, les gens avaient le droit de fumer, nous n’avons jamais essayé de nous opposer à cette liberté. »
19/04/2021
on dit : C’est lui ? Vous croyez ? Il ne faut rien exagérer ! Et puis un jour on le prend dans la gueule et il est trop tard pour l’expulser
La France n’a pas été libérée il y a 80 ans par des obéissants. Ne les laissez pas vous imposer intellectuellement l’obéissance aveugle. Les résistants avaient vu le glissement. Pendant longtemps ils ont souffert. Leur combat semblait perdu d’avance. Leurs alertes étaient ignorées. La masse préférait à la vérité le mensonge qui rassure, aussi à cette époque. Leurs ennemis disposaient d’argent, d’armes, des administrations d’État, de médias aux ordres, et d’une population laissant faire les abjections.
L’arme la plus efficace des monstres ? La propagande. Celle qu’on retrouvait à table, au repas de famille, entre amis. Celle qui ne doutait pas que le gouvernement aimait le peuple. Celle contre les résistants. Oui d’après les propagandistes de la famille ou du cercle amical, même ceux qui partaient dans des trains étaient aimés par le gouvernement. Les personnes qu’ils pensaient être des proches, des amis, des êtres liés par le sang, sont devenus leurs pires ennemis, oui les pires ennemis de ceux qui doutaient. C’est ça la force de la propagande. La trahison est facile. L’obéissance lucrative. Le choix, c’est difficile. Se positionner pour la liberté des siens, c’est un sacrifice. La plupart des gens aime le système du prêt à penser.
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La démocratie doit douter. Sans doute, s’instaure une dictature de la pensée. Et avec une telle dictature, il n’y a plus de liberté. Souvenez-vous de la citation de Françoise Giroud : « Ainsi commence le fascisme. Il ne dit jamais son nom, il rampe, il flotte, quand il montre le bout de son nez, on dit : C’est lui ? Vous croyez ? Il ne faut rien exagérer ! Et puis un jour on le prend dans la gueule et il est trop tard pour l’expulser ». La vision dominatrice nazie n’est pas morte à la fin de la seconde guerre mondiale. Les financiers d’Hitler n’ont pas tous été mis en examen. Il y a un film Canal+ de Fabrizio Calvi et Steeve Baumann à ce sujet. La pensée eugéniste on la retrouve encore aujourd’hui dans le discours d’un certain urologue transhumaniste anti-gilet jaune… Un autre climatosceptique qui voudrait faire taire le professeur microbiologiste coûte que coûte.
Donc, doutez de ceux qui veulent vous empêcher de remettre en question la bien-pensance propagandiste.
(paru sur divers sites, entre autres https://blogs.mediapart.fr/delhery/blog/120820/mefiez-vou...)
Allons nous prendre les armes avant ou après 2022 ?