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22/06/2021

alors comme ça on se remet à décider administrativement d'apporter une solution finale aux espèces "nuisibles et invasives" ??

il va falloir ajouter un nouveau slogan pour  2017 : Liberté pour les perruches à collier immigrées en France !

l’approche existentielle est la base de la morale, comme l'a sans doute compris Elian-J Finbert (et Brigitte Bardot)

ils (les intégristes de l'écologie et les "scientifiques, aussi impavides que il y a un siècle les savants nazis...) sont tellement dans leurs concepts d’espèces et de biodiversité, qu’ils oublient que les individus, bien vivants et bien concrets, sont des êtres sensibles.

Giuseppe Belvedere la paradigme de la résistance au nazisme ( et relisez Michel Terestchenko) :

Les perruches à collier de France.

Pour retrouver leurs premières traces, il faut remonter au milieu des années 1970, affirment les spécialistes interrogés par franceinfo. "En 1976, une centaine d’individus se sont échappés de l'aéroport d'Orly", assure Rémy Delanoue, ornithologue et juge international lors de concours de beauté de psittacidés (comprenez perroquets, perruches et autres inséparables). La piste semble vraisemblable. A cette époque, l'oiseau, à la mode dans les animaleries, était importé en nombre par avion. "Leur cage s’est ouverte lors d’une manipulation par un Fenwick [un chariot de manutention] et une centaine de perruches ont ainsi pu s'envoler", croit-il savoir.  L'autre foyer d'origine, plus récent, se situerait du côté de l'aéroport de Roissy-Charles-de-Gaulle (Val-d'Oise). Pas d'erreur de manutention cette fois : les soupçons se portent sur un grossiste qui ignorait sans doute la malice de l'animal et sa capacité à s'échapper de sa cage. "Elles sont de la famille des perroquets, l'un des oiseaux les plus intelligents qui soient", explique ****** ******, de l'antenne francilienne de la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO). "Au début des années 1990, les contrôles des oiseaux étaient moins stricts et les fenêtres du bâtiment où elles étaient entreposées n'étaient pas grillagées. (comme Fleury-Mérogis !...) C'était facile pour elles de prendre le large", insiste R. D.. Depuis un demi-siècle on a vu arriver les tourterelles turques, les roselins cramoisi pointent leurs nez, les merles ont envahi nos villes depuis le XIX siècle (autrefois ils ne sortaient pas des forêts), Autrefois les moineau, oiseaux des rochers, ont peuplé les villes, les alouettes les campagnes. À part les intégristes ecologistonazis qui s’en plaint ? la carte de leurs dortoirs (les lieux où elles passent la nuit) le confirme : ils n'ont quasiment pas bougé depuis quarante ans et se concentrent autour de Wissous (Essonne) et Roissy-en-France (Val-d'Oise). Contacté par franceinfo, le gestionnaire Aéroports de Paris explique avoir entendu parler de ces thèses, mais n'a retrouvé aucune trace des "évasions" supposées. Le responsable du pôle Espaces verts d'Orly penche plutôt pour des remises en liberté par des propriétaires lassés de ces oiseaux trop bruyants. 

Environ 8 000 spécimens (non, êtres vivants ! Je dirais même mieux personnes vivantes, images de Dieu) en Ile-de-France

Quoi qu'il en soit, les perruches sont bien là... et se reproduisent. (comme les humains ! lisez « Un Nid » de Sully-prudhomme) ) Résultat, en Ile-de-France, la population s'est envolée : leur nombre est passé de quelques dizaines d'individus dans les années 1980, à 1 100 en 2008 puis 4 200 en 2015, selon  une étude menée par des chercheurs du Muséum d'histoire naturelle de Paris. Avec deux à trois oisillons par an et par couple, la progression est très rapide. Désormais, en 2017, "on s'approche plus des 7 000 à 8 000 individus" dans la région, estime le spécialiste de la LPO. L'Ile-de-France n'est pas la seule concernée par le phénomène : d'autres foyers ont été signalés près de Marseille (Bouches-du-Rhône),  Roubaix, Villeuneuve d'Ascq ou encore Toulouse. A l'étranger aussi, comme à Barcelone au-dessus des Ramblas ou en Grande-Bretagne, où elles seraient plus de 30 000. (+ la Rhénanie ! + Bruxelles ! )  L'invasion fait le bonheur des passionnés. Cela fait vingt-trois ans que Bruno Lebrun, agent d'accueil du parc de Sceaux (Hauts-de-Seine) et détaché à la surveillance des oiseaux nicheurs, arpente les 180 hectares pensés par Le Nôtre. Depuis 2003 et l'arrivée du premier couple de perruches, pas un nid ne lui échappe. Chaque année, il est chargé de recenser les couples qui s'installent entre février et juin dans les creux des platanes centenaires, abri idéal pour décourager les écureuils roux, friands de leurs œufs et de leurs oisillons. Aujourd'hui, il en dénombre plus de 90 qui, chaque soir, s'envolent en nuées vers leurs dortoirs de Wissous et Massy, situés de l'autre côté de l'A86.

Ici, elles trouvent de tout, toute l'année. Au printemps, elles dévorent les bourgeons, l'été elles trouvent toutes sortes de fruits et de baies et à l'automne, ce sont les glands et les pommes.Bruno Lebrun, du parc de Sceaux.

"Elles sont magnifiques", glisse un promeneur

mais  ces racistes anti-immigrés que sont les écologistes intégristes, n'es veulent pas : elles ne "sont pas d'cheu nous" !

Les perruches peuvent compter sur la générosité des promeneurs qui leur apportent des graines, malgré les panneaux d'interdiction. Au détour d'une allée longeant l'un des bassins du parc de Sceaux, Amadou témoigne. "J'adore les perruches. Elles sont magnifiques",

(LES IBIS SACRES AUSSI ETAIENT MAGNIFIQUES…...)

s'enthousiasme-t-il. Séduit, il en a même acheté plusieurs pour agrémenter son balcon... mais elles se sont échappées. Les fugueuses reviennent le voir régulièrement : "Même après les hivers les plus secs et rigoureux, elles sont toujours là."

Contrairement à ce que l'on pourrait croire, la rigueur de nos hivers ne leur fait pas froid aux yeux. "A l'origine, elles vivent sur les contreforts de l'Himalaya, jusqu'à 1 500 mètres d'altitude", rappelle Frédéric Malher, président du Centre ornithologique Ile-de-France. Autant dire que les quelques épisodes de neige francilienne n'ont rien d'incroyable pour elles.  "L'hiver, elles passent 50% de leur temps près des mangeoires ou des boules de graisse disposées dans les jardins par les particuliers", précise Olivier Païkine, de la LPO Ile-de-France. Même celles suspendues en hauteur et destinées aux petits oiseaux y passent. Avec leurs pattes, les perruches agrippent le fil, le remontent et se régalent. Elles se servent aussi chez les particuliers. Près du parc de la Vallée-aux-Loups, à Châtenay-Malabry (Hauts-de-Seine), un voisin n'a pas pu savourer ses cerises cette année. "Les perruches ont découpé le filet de protection qu'il avait installé pour éloigner les oiseaux et elles se sont régalées", s'amuse Bruno Lebrun.

Peu de prédateurs et très envahissante

ouais , mais comme dit Christian Lévêque :

« Les écosystèmes ont des capacités d’adaptation importantes, aussi bien lorsqu’ils perdent des espèces que lorsqu’ils acquièrent de nouvelles espèces, comme l’a montré l’écologie rétrospective. »

Leur vie est à peine troublée par quelques prédateurs : la chouette hulotte. Des plumes de perruches ont été retrouvées dans le nid d'un rapace, dans le 15e arrondissement de Paris, rapporte la LPO. Et si les écureuils et les rats peuvent occasionnellement se délecter de leurs œufs, les perruches savent se défendre d'un coup de bec. Un écureuil en a déjà fait les frais dans un parc de Vitry-sur-Seine (Val-de-Marne).

Sans véritable prédateur et avec son chant, la perruche agace. Et inquiète aussi (les fonctionnaires du Commissariat général aux questions juives ) Car elle entre en compétition avec d’autres oiseaux, notamment pour les nids. Opportuniste, la perruche à collier ne creuse pas son propre nid. Dès février, elle élargit ceux des autres oiseaux (comme la sittelle torchepot, l'étourneau sansonnet et le pigeon colombin), bien avant que ces espèces ne s'y installent. Ce qui les oblige à trouver d'autres lieux de nidification.

Dans le parc de Sceaux, on a déjà remarqué une baisse du nombre d'étourneaux sansonnets. Bruno Lebrun à franceinfo. Pour certains spécialistes de la biodiversité, il est temps de « réguler » la population de perruches. La LPO demande d'ailleurs l'aide des Franciliens pour les "signaler" ! (ça s'est déjà fait autrefois pour localiser des personnes pourchassées) Pour le moment, "en Ile-de-France, elles ne vivent qu'en petite couronne, tempère Bruno Lebrun. Mais si elles s'attaquent aux cultures, comme elles le font en Inde par exemple, elles peuvent faire des ravages..." par exemple, jusqu'à 70% des récoltes de tournesol ont parfois été perdues. De quoi préoccuper certains maires franciliens.  à Antony (Hauts-de-Seine), des perruches ont déjà creusé des nids dans les plaques isolantes de façades d'immeubles récemment ravalés. [tant mieux ! j'ai vécu les effets de l'isolation thermique de l'IA,c'est étouffant !] 

La perruche à collier est-elle une menace pour « notre » [ça veut dire quoi ? Un écosystème par définition ça évolue constamment, ça veut dire quoi une « menace » ? Si on réfléchit bien, ça n’a pas de sens, et puis c’est quoi ce « notre » ? l’écosystème ne vous appartient pas], écosystème ? Aucun consensus ne s'est dégagé sur la question, estime l'ornithologue Philippe Clergeau, et la loi reste floue.. N'empêche, le sujet devient politique. En 2015, le sénateur des Hauts-de-Seine André Gattolin (ex-EELV, désormais LREM - tiens tiens ! je vois le genre .... ) avait interpellé le ministère de l'Ecologie pour inclure la perruche à collier parmi les espèces nuisibles et invasives. [et donc à exterminer, exactement comme Hitler avait mis les tziganes et les juifs dans la liste des espèces d’humains nuisibles et invasives…] "La législation actuelle permet à l'autorité administrative d'organiser la capture ou la destruction des immigrés. Mais, pour l'instant, aucune action de cet ordre n'a été entreprise à ma connaissance", explique-t-il à franceinfo.

Une population trop difficile à "contrôler" (en anglais ça se dit :"to control a disease" mais en français ça veut dire "se rendre maître de" voire "éradiquer",  là ils sont en train d'éradiquer la langue française !)

Au cas où, plusieurs solutions existent pour réguler leur nombre : stériliser des couples ou secouer leurs œufs pour les empêcher d'éclore. Mais avec des nids situés à plus de 10 mètres de hauteur dans les arbres, "de telles opérations semblent irréalisables" à grande échelle, aux yeux de Bruno Lebrun. "En revanche, en lançant des filets sur les dortoirs des perruches, on pourrait en capturer un grand nombre d'un seul coup. Mais cela coûte très cher à réaliser."  Aux Seychelles, dans l'océan Indien, la réponse au problème des perruches à collier (après le « problème juif » on nous bassine avec le « problème rom », et après ça va être le « problème perruches à colliers » ! mais les intéressés qu’est-ce qu’ils en pensaient ou qu’ils en pensent? Comment ils on vécu, ou vivront ça ?) a été radicale (une « solution finale » quoi ! Comme pour les Ibis Sacrés). Des opérations d'éradication ont été lancées dès 2013 et le dernier spécimen de perruche à collier aurait été tué début septembre, rapporte Seychelles News Agency. Mais pour Jean-Philippe Siblet, du Muséum d'histoire naturelle, il est déjà trop tard. "Sur une île, une espèce invasive peut être éradiquée, mais à l'échelle d'un continent comme l'Europe, c'est totalement impossible." En cage comme en liberté, les perruches à collier n'ont donc pas fini d'échapper au contrôle de l'homme. (les roms non plus)  

 

un millier de Tadorne Casarca, beau canard roux originaire des déserts d'Asie centrale, s'est installé en Suisse (outre qq millions d'humains de toutes origines). L'office Suisse de "protection" des oiseaux commente

"Cette situation est problématique, car ses effectifs ne sont pas indigènes."

Et voilà !  C'est clair, comme motivation ! (mais les celtes quand ils sont arrivés en Helvétie étaient-ils indigènes ? pas plus que les alouettes et les moineaux, bref tout ce qui n'était pas hommes de Néandertal et rhinocéros laineux ! )

alors comme ça sous prétexte qu'elles "ne sont pas d'cheu nous" et qu'elles en concurrencent d'autres il faudrait es exterminer ?

donc fallait-il au XIXè sièce exterminer les auvergnats qui ont concurrencé les bistrotiers parisiens "de souche" en ouvrant partout des commerces de "vins et Charbon" ?  Heureusement qu'on n'a pas fait ça : on n'aurait pas eu les bals musettes !!  ni cette musique qui pendant  un demi-siècle est devenue le symbole même de la culture française populaire !

donc faut-il exterminer les jaïns de l'Inde qui à Anvers sont en trains de retirer le commerce des diamants des mains des juifs ?

donc Fallait-il exterminer les polonais du Pas-de-Calais qui ont pris le charbon des mains des mineurs autochtones ?

Etc donc selon les écologistes, et les préfets à leurs ordres, il faut raisonner comme ça ? ban en voilà des génocides en perspective ! Le Pen à côté c'est un ange ! Je sais , dans les années 30 il y a eu quelqu'un qui a raisonné comme ça, envers les juifs et les roms, mais je croyait qu'il en avait gardé  une sinistre réputation ! Les écologistes vont-ils se mettre à son école ?

09/06/2021

Louis Pauwels le courage et la dignité (ce sont des choses dont on a de plus en plus beson.....)

Quelques mois avant de mourir Louis PAUWELS, à la suite de la publication d'une "liste noire" de 172 mouvements taxés "sectes" par une commission de députés, fit paraître cet article dans les colonnes du FIGARO du 24 octobre 1996 Extraits de cet article :

"Sectes  l'esprit d'inquisition"

"J'ai sous les yeux les travaux de quelques sociologues, universitaires, juristes, historiens français qui réagissent à la guerre générale entreprise depuis quelques années, sans discrimination, contre les groupes spirituels minoritaires, hâtivement qualifiés de secte et, comme tels, diabolisés aux yeux de l'opinion. Ces travaux sont encore isolés et peu divulgués. Pourtant leur réunion constituerait un très utile complément au Traité de la tolérance du regretté Voltaire."

"Depuis 1975 se sont instaurés des associations antisectes qui accusent globalement leurs adversaires de déstructurer les individus et de menacer les familles. La plus virulente d'entre elles est l'ADFI (Association pour la défense de la famille et de l'individu). Elle catalyse, sinon promeut les attaques contre les groupes spirituels non conformes...."

"...Il suffit désormais d'accuser un groupe de captation de la personnalité et manipulation mentale pour qu'il se trouve rangé au nombre des sectes et, par là même, mobiliser contre lui l'opinion générale. Cette nouvelle chasse aux sorcières bénéficient des subsides de l'État et, sauf exceptions, du soutien sans réflexion des médias...."

"...J'ai bien conscience que le présent article risque d'être interprété comme une défense inconditionnelle des minorités spirituelles et donc un parti pris en faveur des sectes. J'ai aussi conscience qu'il risque de nuire à ma réputation, les choses étant ce qu'elles sont. C'est un risque que j'accepte s'il s'agit du prix à payer quand on tient l'indépendance de l'esprit pour le suprême bien."

 

Louis Pauwels mourut au début de l'année suivante, alors que l'Adfi venait de l'assigner en diffamation pour cet article ! Le 12 septembre 1997 le tribunal de grande instance de Paris débouta l'Adfi de son action.

quelques citations de Pauwels
- "Les esprits sont comme les parachutes. Ils ne fonctionnent que quand ils sont ouverts."
- "Tout ce qui est important est ignoré."
- "Le pouvoir des choses sur l'homme est plus propre que le pouvoir d'un homme sur un autre homme."
- "Ce n'est pas parce que fausseté devient générale qu'elle devient vérité."
- "Quand il y a discrédit du divin et de l'humain, le crédit du tyran est en hausse."

 

"L'empire du Bien triomphe, il devient urgent de le saboter"  (Louis Pauwels)

 

05/06/2021

influence du protestantisme

La grande différence entre le protestantisme et le catholicisme est la notion de PARDON. Le pardon des péchés (et tout ce qui va avec) est quelque chose de central dans le catholicisme, dans le protestantisme ça n’existe pas, on est prédestiné dès la naissance pour être sauvé ou damné, il n’y a pas de pardon !

Ça fait des sociétés tout différentes !

et surtout ça laisse des traces, indélèbiles, dans les sociétés, après que les religions sont mortes.

http://lesakerfrancophone.fr/le-calvinisme-les-fondations...

tiens par exemple : En tout, on dénombrera trois à quatre fois plus de prêtres catholiques envoyés dans     les camp de concentration nazis que de pasteurs protestants, alors que ces derniers étaient à l'époque trois fois plus nombreux que les prêtres (donc 3x3 = 9 !).

Il y a aussi la notion du Démon. Chez les protestants la chasse au péché rend coupable le pécheur, l’Axe du Mal à lui tout seul ! intrinsèquement mauvais ; tandis que chez les catholiques le mal c’est le Diable, et le Diable devient la hantise, la peur, mais aussi le Diable entre dans le corps du pécheur, on peut donc aussi l’en faire sortir, et alors le pécheur est libéré, et redevient innocent comme l’enfant qui vient de naître.

 alors que le (vrai) christianisme c'est dire :

« Quand tu vois ton frère en train de pécher, couvre-le du manteau de ton amour » Saint Isaac le Syrien

Et puis il y a toutes les névroses totalitaires du puritanisme. L'eugénisme est né et a été pratiquée - chronologiquement USA, puis Suisse, puis Scandinavie, l'Allemagne seulement après, quand Hitler est venu au pouvoir - dans les pays protestants, pareil ce sont eux qui ont lancé la "tolérance zéro" et le Libéral-Fascisme, c'est pourquoi Pierre Jovanovic dit http://www.youtube.com/watch?v=D-bYgeDCzUQ minutes 22-24 "c'est ce monde protestant typiquement orwellien"  -" le vol de la démocratie va avec le fait qu'il y ait des espèces de connards qui interdisent aux gens d'acheter des bouteilles de coca-cola de deux litres"


Ne pas oublier aussi de revoir le film "Breaking the waves" (j'ai fait une note dessus)

et aussi d'écouter ce qu'Etienne Chouard dit (vers le milieu de la vidéo) sur le livre "l'Ethique Hacker" https://www.youtube.com/watch?v=DROqR_7EKvs

tiens regardez comment c'est en Norvège, le christianisme y est mort (et même persécuté voyez l'article) mais l'empreinte de la mentalité du protestantisme paranoïaque et totalitaire reste :

http://reinformation.tv/violation-droits-parentaux-norveg...

En Norvège, les services sociaux arrachent les cinq enfants Bodnariu à leurs parents pour « radicalisation et endoctrinement chrétiens »En Norvège, les services sociaux arrachent les cinq enfants Bodnariu à leurs parents pour…   Les services sociaux de Norvège, le réseau du « bien-être de l’enfance » ou Barnevernet, ont arraché les cinq jeunes enfants d’une famille

Dans un article de "Politique et Société https://www.erudit.org › journals › 2012-v31-n2-ps0459 
L'auteur remarque que les politiques eugéniste de stérilisation ne furent adoptées que dans les pays de culture protestante, Seules la Grande-Bretagne y a échappé, en dépit du fait qu'elle fit le berceau de l' eugénisme, du fait d'une forte tradition de respect des libertés individuelles, et de la forte opposition de l'eglise catholique; partout les catholiques et l'Eglise se sont opposés à ces pratiques au nom du respect inconditionnel dû à toute personne. Les protestants par contre ont été sur ces sujets, ainsi que sur le mépris des pauvres et des inefficaces, et linterdiction des gens "pas dans les normes", ainsi que sur l'euthanasie, beaucoup plus accomodants.

03/06/2021

le psychiatre Fédéric Badel

comme dit le psychiatre Frédéric Badel

https://www.le-journal-catalan.com/pro-ou-anti-vaccin-lavis-du-psychiatre-frederic-badel/86849/

(Superbe Article ! Merci beaucoup de cette magnifique réaction. Je ne sais pas si les gens réalisent ce qui les attends à la rentrée prochaine, les Vax accusant les non-Vax et les fuyant comme la peste et les non-Vax accusant les Vax et les fuyant comme la peste … ça va être Joyeux la France déjà pas joyeuse du tout ! déjà entre les troupeaux de "Rhinocéros" masqués et les "derniers hommes" (termes de la pièce de Ionesco) vomissant à la vue d'une muselière il n'y a plus que le dégout et la haine)

la population française est maintenant divisée en deux groupes, comme en 40-44, les pétainistes et les Résistants, Ceux à qui ont a fait l'ablation du cerveau et qui sont remplis de haine sommaire (il n'y a qu'à lire les "trolls" - certains sont certainement payés, mais d'autres sont "sincères" et c'est le pire !.... - qui injurient les héros de l'humanisme (et du courage ! relisez le livre de Michel Terestchenko "un si fragile vernis d'humanité" et les films sur Giuseppe Belvedere, et relisez le roman de John Le Carré "La patience du jardinier")

Et ceux qui se servent de leurs cerveaux, et qui n'ont pas perdus le sens des valeurs de l'humanité (comme les personnages de "La rue aux moineaux" le roman de Wilhelm Raabe) et de la République, et de la Civilisation, et celles qui sont le BA-ba de tout inspecteur de police, et bien sûr les principes d'analyse marxiste de base ! (ou le bon sens de La Fontaine, ça peut suffire si vous avez des préjugés ridicules contre cet esprit clair et très documenté - déjà ! - qu'est Marx).

Et comme en 40-44 entre ces deux Frances il ne peut plus y avoir que LE MEPRIS ET LA HAINE, et un jour il n'y aura plus que des balles,çsi !

(des commentaires au hasard sur internet : Chomeur Et fier de l être Il y a jour : Qui serait partant pour une chasse aux "covidistes" ? Carlos Il aura qu'une seule façon de terminer ce cirque... CYRIL  Il y a jour  Ce n'est pas juste manifester pacifiquement qui va changer les choses , ça fait 1 an que ça dure , il faut une vraie revolte . )

En tous cas le mépris et la haine. Moi les français de la première catégorie, je ne leur adresserai plus jamais la  parole, ils sont la honte de l'humanité, ils donnent envie  de vomir, (et "des cloques sur la poitrine" comme chanterait Sim) comme ceux qui en 33-45 acceptaient avec zèle de faire le salut nazi, parce que il fallait faire comme ça si on était "pas un fou", "citoyen", "solidaire", "décent", zombie bien obéissant,  et tout ça !

 

Vive Richard Boutry !

et Olivier Probst !

et louis Fouché

 

Le texte de l'article du psychiatre :

Constat et analyse du Docteur Frédéric Badel, médecin-psychiatre spécialisé dans les stress post-traumatiques :

« – La population est désormais scindée en deux groupes.

Le premier, hétérogène, est composé des personnes favorables au vaccin. Il réunit celles qui, par conviction ou par lassitude, sont prêtes à s’y soumettre pour sortir de la crise. Il abrite ainsi les personnes qu’il a été possible de sensibiliser, qui croient sans hésitation au message relayé par les ondes. Celles-là resteront réceptives à tous les messages de danger et agréeront la méthode de sortie de crise, fût-elle assortie de privations pérennes de leurs droits.

On trouve aussi dans ce groupe les personnes qui se sont coupées de toute information depuis longtemps, pour se protéger, et qui sont devenues indifférentes à tout discours. Pour elles, l’essentiel est de ne plus entendre parler du sujet. Elles ont disqualifié tous les avis pour les neutraliser. Ainsi le leurre des tests conduisant à une épidémie de cas, sans morts ni malades, ne parvient plus à leur entendement, comme si leur cerveau avait été débranché. Leur priorité est de mettre un terme à la maltraitance qui leur est infligée en se coupant de toute nuisance.

Le second groupe rassemble les détracteurs du vaccin, ceux qui ont échappé à l’influence du matraquage médiatique, qui ont souvent pris des avis ou cherché des informations hors des sources classiques, tout en restant sensibles à la réalité de leur environnement (services hospitaliers non saturés, nombre de morts comparable aux années précédentes, mesures prises non proportionnées, amenuisement des droits fondamentaux sans justification etc.). Ces personnes ont également intégré qu’une vaccination n’exempterait pas des mesures de distanciation sociale et, par conséquent, que la convivialité ne serait pas rétablie, que le gouvernement garderait de façon arbitraire le contrôle de la population et de ses activités. Elles observent avant tout l’immixtion toujours croissante de l’État dans leur quotidien et dans leur vie privée.

Ces deux groupes sont désormais séparés par une ligne qu’il sera difficile de faire bouger. La manipulation a montré des limites qui étaient prévisibles et elle sera sans effets sur ceux qu’elle a tenté, en vain, de convaincre. Ces groupes se sont figés, leurs effectifs se sont immobilisés, et peu importe les arguments avancés, les scandales établis ou les preuves apportées, ceux-ci se noieront dans un récit national inaliénable impossible à dénoncer sauf à être traité de complotiste. Les mots se seront substitués à la réalité et, utilisés à contre-emploi, ils auront perdu de leur sens et véhiculeront des idées en rupture avec les faits.

Le pouvoir en place pourra même avouer ses mensonges, le peuple l’acclamera, incapable de le croire mal intentionné et persuadé qu’il est au-dessus des soupçons. Il n’est donc plus temps de publier des résultats d’études prouvant l’efficacité de tel produit, le mensonge sur tel autre, de produire des courbes démontrant le caractère infinitésimal du risque sanitaire et disproportionné des réactions de peur. Surdité et aveuglement règnent en maître chez les personnes qui, conditionnées, sont privées de jugement et incapables d’admettre que des faits objectifs puissent démentir la réalité qu’elles ont construite.

Organiser l’affrontement de ces deux groupes de la population est une possibilité – occasion ? – désormais envisageable. Nos dirigeants devraient rapidement s’en saisir (de cette occasion)pour encourager une organisation sociale qui opposerait bons et mauvais citoyens, gens sains, dociles, responsables et vaccinés et gens toxiques, rebelles, inconséquents et non vaccinés. Ce système de bons citoyens est présent en Chine. Il repose sur la délation et l’obéissance à la règle.

Le bon usage par le gouvernement de la graduation dans la contrainte et la soumission du peuple conduisent à ce jour à l’acceptation d’une vaccination inutile dont la toxicité n’est pas évaluée et pour laquelle les laboratoires, compte tenu de la rapidité d’élaboration des produits, ont déjà négocié de ne pas être tenus responsables de potentiels effets secondaires, obtenant des États qu’ils répondent de telles conséquences. Et pourquoi pas en définitive puisque les politiques sont devenus médecins.

Nos gouvernants et nos parlementaires, de par leur pouvoir et leur influence, vont inciter toute une population à faire un geste dont l’intérêt n’est pas démontré et dont les conséquences ne sont pas mesurées, et se présenter ainsi en sauveurs.

Cela évoque les techniques sectaires et les suicides collectifs. Pour échapper à la fin du monde ou aux extra-terrestres – ici au virus mortel -, le sacrifice est présenté comme salvateur. La réalité ensevelie sous les messages quotidiens discordants, culpabilisants, a laissé la place au délire dans lequel les liens logiques se dissolvent.

Les sectes se servent de ces moyens : isoler les individus en les coupant de leurs liens sociaux et familiaux, rendre les gens dépendants en les privant de leurs moyens de subsistance, propager un discours univoque martelé dans des grand-messes permanentes, évincer toute pensée divergente, présenter les opposants comme des nuisibles qui ne comprennent ni leur propre intérêt, ni l’intérêt commun supérieur. « Nous contre les autres » est généralement la doctrine simple compréhensible par chacun car simpliste, et hélas adoptée.

Le cap est franchi. Maintenant que les lignes de partage qui clivent la population se précisent, ce gouvernement n’a plus la possibilité de revenir à des positions plus raisonnables et proportionnées. Il a fait tout son possible dans le domaine de la manipulation, il a mobilisé toutes les sphères d’influence tout en restant crédible auprès d’une partie importante de la population. Pour ceux qui, rebelles, refusent d’adhérer, d’autres méthodes plus coercitives encore s’imposent.

Les signes de cette dérive totalitaire se trouvent dans les techniques de lavage de cerveau employées, identiques à celles des sectes. Elles étaient là dès le départ, mais comment croire qu’un gouvernement démocratiquement élu puisse se retourner contre son peuple ?

Aujourd’hui, une partie de ce peuple est plongée dans la pauvreté, le désarroi, les « non-essentiels » commencent à se suicider, les troubles psychiatriques se multiplient et… le conseil scientifique continue d’assurer sa grand-messe à une armée de fidèles hallucinés.

Demain, n’importe quel virus, réel ou fictif, pourra de nouveau semer la terreur chez des populations prêtes à se faire vacciner pour conserver un peu de liberté. Elles y sont prêtes. Et si les tests actuels sont encore utilisés -contre toute logique-, même les populations vaccinées seront positives et resteront contagieuses. Les mesures de distanciation resteront la règle.

Signe supplémentaire de la supercherie, les hommes qui murmurent à l’oreille des virus prédisent déjà les vagues à venir et leurs dates d’apparition. Toute science a vraiment déserté nos sociétés.  Les réseaux sociaux, « complotistes », ont donné des dates de confinement bien avant leur annonce officielle, montrant ainsi que toute préoccupation sanitaire était absente des décisions officielles.

Les conséquences humaines sont terribles. Tout lieu de convivialité a disparu, les gens sont plus isolés que jamais, ils souffrent de mesures iniques imposées par une poignée de dirigeants, sans aucune concertation, sous couvert d’assurer leur salut. Ce qui fait l’humain, sa capacité à tisser des liens, son besoin d’entrer en contact avec l’autre, est menacé. Le tissu social s’est dissout dans les mesures imposées par un régime devenu fou, hors de contrôle, déroulant une feuille de route établie de longue date en dépit de toute considération du réel. Les mesures prises altèrent la santé de la population et tuent. Elles sont anti-sanitaires. La dictature est en marche.

Notre mode de vie a effectivement bien changé ; le Covid n’en est que le prétexte, le catalyseur. Cette dégradation de nos conditions d’existence et la disproportion des mesures prises pour lutter contre un virus donne du crédit au discours de ceux qui voient là le moyen d’instaurer un nouvel ordre mondial qui doit annihiler notre vie privée et nos droits individuels.

Les premiers constats montrent les signes de la réalisation de cet ordre nouveau. »

"Que le profit soit convenable, et le capital devient courageux : 10% d’assurés, et on peut l’employer partout ; 20%, il s’échauffe ; 50%, il est d’une témérité folle, à 100%, il foule aux pieds toutes les lois humaines ; à 300%, et il n’est pas de crime qu’il n’ose commettre" (TJ Dunning, 1860 "Trade-Unions and Strikes")

Regardez ! Encore un point commun de plus avec l'Allemagne nazie : https://www.wikistrike.com/2021/01/royaume-uni-un-projet-...

et l'explication psychosociologique des facteurs sur lesquels ils jouent :

https://odysee.com/@WakeUp:d/RedactriceEnChef-DeLa-TV-WochenBlick-Tout-Sera-Pire-Apres-La-Vaccination:6

La société technologique qui a contribué à l’Holocauste gère désormais les « passeports vaccinaux ».
Vous avez probablement déjà entendu parler du projet maniaque de « passeport vaccinal » de l’État profond, qui sera finalement utilisé pour soumettre le monde entier à la tyrannie médicale. Eh bien, nous savons maintenant qu’IBM dirige la création et la mise en œuvre des passeports vaccinaux dans une grande partie du monde développé, IBM étant la même société qui a aidé à organiser l’Holocauste, soit dit en passant.
Tout a commencé avec les masques, qui, après être devenus « obligatoires », ont été utilisés comme un outil de division pour séparer les « désirables » qui sont prêts à s’y conformer des « indésirables » qui disent simplement non à la tyrannie médicale.

En1945 les gens n'ont pas voulu comprendre les vraies  caractères ,du fascisme, ilson"poussé la poussière sous le sofa" et se sont couchés dessus. On nous fait croire que Hitler était simplement "un fou" et les millions de nazis ? oh des extra-terrestres débarqués d'on ne sait où ! Ah oui ? Churchill a dit dans un discours de 1948 que ceux qui ne voulaient pas tirer les leçons de l'histoire seront condamnés à la revivre ..*

 déjà que depuis trente ans les français qui acceptaient d’entrer dans les magasins qui mettaient des caméras de vidéo-surveillance, ou ceux qui n’allaient dans les gares que pou réserver leur biller à une machine, puis repartir par le même chemin, ou les juifs - pardon ! Les fumeurs - qui sortaient, debouts dans les exhalations des gaz d’échappement pour fumer honteusement, m’inspiraient le dégoût. Alors maintenant ! Ils n’avaient pas compris ce que à quoi on les habituaient, maintenant ils voient ! Non ! même pas ils continuent à trouver ça bien, ces nazis bien zélés. Cette sale race de rhinocéros-nés me donnent le haut-le-cœur. On a qu’un envie : de les jeter à la poubelle et bien refermer le couvercle dessus !

Alors ? et   maintenant   vous avez fini par comprendre  quelle est l'essence du fascisme ????????

 

 

6/6/2021 un bon dévot qui fait ses exercices de piété (son jogging je le rappelle). Ça fait un bout de temps qu’il en a, ça. C’est comme en 40 il y avait plein de dévots, et puis en plus il a eu plein de pétainistes, comme maintenant. C’était souvent les mêmes, c’étaient beaucoup les mêmes milieux, car ça ressort de la même démarche mentale.

29/05/2021

Bégaudeau Branco Ayala une vidéo capitale !

et méditons bien dans le contexte actuel son jugement sur la situation :

Juan Branco : « c’est très important qu’on commence à se préparer de façon très pragmatique à la révolution »

oui ! la moment est venu. Et de toutes façons on ne sortira pas du monde fasciste impposé par les forces capitalistiques et etatiques "covidistes" sans révolte violente. Croyez-moi ! vous allez vous en apercevoir !

Violence, et mise en cause radicale des milieux qui ont lancé ce projet ....



Une phrase très importante de Bégaudeau à 12min00 « et une des raisons pour lesquelles je travaille trop est que j’ai été pris dans une espèce d’idéologie du travail et de la performance, et de la rentabilité, »
Il est en tain de découvrir quelque chose d’important,que peu de gens découvrent à notre époque.
Et aussi : « comment le capitalisme nous a tous colonisé »
« et en même temps nous sommes tous pris dedans, d’une certaine manière ».
Je n’ai pas encore rédigé le texte qui ferait la synhtèse de ça, mais il y a un de mes billets-de-blog qui touche ça par une de ses conséquences les plus importantes http://miiraslimake.hautetfort.com/archive/2014/11/30/que...

Ah ah ! David Ayala (metteur en scène, le gros qui a parlé après Begaudeau) aborde - de 16min à 20min, une des interventions les plus importantes ! Les gens ne s’y sont d’ailleurs pas trompés et ont crié « bravo » - le sujet qu’à traité Dieudonné dans plusieurs de ses vidéos « gilets jaunes » (« la lâcheté et l’indignité sont la principale caractéristique de ma corporation », https://www.youtube.com/watch?v=EXSkplQ52CI et aussi voir le commentaire que j’ai cité « je crois que les intellectuels sont très gênés, car ils sont les employeurs des gilets jaunes !»). Les gens du monde de la « culture » professionnelle, sont des bourgeois, et ils sont déconnectés des souffrances du peuple, les revendications des gilets jaunes les ennuient, et même ils y sont hostiles, de par leur conditionnement « bobos-antifas », qui est un conditionnement de BOURGEOIS.
(remarque aussi : qu’est-ce ce sont des « petits objets rituels fragiles » !! (comme dit le sociologue étatsunien Erving Goffman) les intellectuels ; c’est fou !! Même David Ayala. Ce sont des gens « hyper-socialisés » comme dit Unabomber dans son manifeste)
« pourquoi une telle Omerta » et je crois que ce sont les mêmes raisons qui font les intellectuels plus panurgiques et avec moins de liberté d’esprit que le peuple, et qui est à la racine de ce que dénonce Dieudonné dans sa vidéo, et moi dans le billet « une analyse marxiste du petit monde des universitaires s’impose » : la carrière ! Si vous voyez ce que je veux dire ...

Et il finit par lâcher « les intellectuels sont complètement corrompus ». Oui c’est une des choses qu’a révélé cette crise, chose que j’avais commencé à découvrir au bout de 10 ans de lecture du Monde, des années 80 jusqu’à la grêve de 1995, comme je raconte dans mon texte « les petits cu-cubes à la momode », et conclu dans mon autre texte, lui aussi traduit en Espéranto et lui aussi paru sur Sennaciulo en 2019.
et « qu’est-ce qu’il se passe avec ce qu’on appelle les élites intellectuelles ? » TRES bonne question ! c’est un des phénomènes et des problèmes contemporains les plus importants.
Et (super le gars!) il lâche les mots qui fâchent, et qui révèlent ! « très bien payés » eh eh ! eh oui !  « 10.000 euros par mois » eh oui ! Voilà l’explication ! Pas besoin d’aller plus loin ! (ou relisez, ceux qui ne savent pas l’Espéranto ne peuvent pas, l’article qui vient de paraître sur Sennaciulo, là aussi il y a des chiffres !)

Oui de nos jours les bourgeois de "gôôche", qui se considèrent toujours "de gôôche" puisque en tant qu'enseignants, ou de toutes manières de "diplômés de l'université", il sont persuadés d'être par nature du côté du BIÂÂN,et que être pour le BIEN c'est forcèment se déclarer de gôôche (se déclarer ! bien sûr, rien de plus ! tout en se foutant éperduement du sort des exploités, et en se conduisant soi-même comme un infect réactionnaire teigneux), sont en même temps les plus autoritaires, !! les plus normatifs, y compris et surtout envers le peuple, des "pas diplômés du Supérieur", et qui gâgnent moins de 4.000 par mois, qu'ils méprisent souverainement. Mais ils ne voient pas la contradiction !!! voyons ! ils sont "de gôôche", (meme si ils ont une mentalité de bourgeois nantis et égocentriques).
Une enquête a d'ailleurs montré que les plus opposés à la démocratie, et les plus tentés par le totalitarisme ce sont ceux qui snt politiquement de l'extrème-centre ! cherchez, il y a des articles là-dessus.

"les mœurs de cour qui sont habituellement la norme dès lors que l’on s’élève, en France, dans l’échelle hiérarchique."

voilà ! ça explique le paradoxe des intellectuels que j'ai mis 20 ans à découvrir àla fin du XXè siècle à la lecture assidue du quotidien "Le Monde". j'ai fit un billet là-dessus, (plus un article en espéranto dans "Sennaciulo") retrouvez le lien !


L’anecdote racontée par Juan Branco à 22 minutes, montre bien que l’Ecologie (Notre Très Sainte Mère l’Église Ecologie Romaine et Apostolique) est devenus une idéologie du pouvoir, du « régime » comme ils disent, un prétexte à totalitarisme, soumission du peuple, et agréables profits, Bernard Charbonneau, qui avait toujours refusé cette étiquette avait raison d’y voir des potentialités totalitaires !
Et pareil pour le féminisme !
Tandis que comme il dit très bien (car il parle bien et dit la vérité Juan Branco!) les gilets jaunes ça met en cause concrètement les conditions matérielles de vie de la classe de privilégiés, qui fréquentent le Festival, tandis que les pseudos révoltes à la mo-mode, ça permet de se faire bourgeoisement une petite coquetterie « anarchiste » qui ne fait que conforter leur statut de classe dominante ! Comme le « parti des prêtres » au XIXè siècle !

« s’est créé un entre-soi » tout à fait !
l’intervention de Bégaudeau qui vient après est très intelligente et intéressante aussi (dommage que le son ne soit pas bon et que beaucoup de phrases se perdent!) Et puis il a un sens de l’humour sarcastique excellent et le don de la formule !
« le niveau CM2 de la politique » !
(oui ! Les bourgeois pour cacher qu’ils sont du côté des nantis et des exploiteurs, se réfugient (comme les cathos autrefois) dans une bien-pensance puérile et inculte politiquement niveau CM2 !).
Lui et Etienne Chouard (et Branco et Friot, et Asselineau bien sûr!) il vont réapprendre les gens à penser ! Et à mettre la soumission CM2 en question. Les profiteurs du système le sentent, que ça sent le roussi pour eux, alors ils deviennent féroces, et ne savent pas quoi faire pour les faire taire et les disqualifier !


Et regardez les méthodes qu'ils utilisent envers Christian Perronne https://ru-clip.net/video/IvjJ3oi4_6Q/christian-perronne-...


Et je défends Juan Branco ! Si il a fait Science-Po et connu Attali, c’est justement ce qui fait sa valeur (et sa dangerosité pour l’Establishment) il a « coché toutes les cases » de la reproduction des élites, et au lieu d’accepter de rejoindre le Réseau, et il à bifurqué dehors il s’est mis à dénoncer ce système, c’est un dissident.
« un milieu qui est quand-même très chloroformé » voilà qui permet de comprendre la critique que faisait Unabomber de la « gauche » (US, mais maintenant la « gauche française est pareille) et aussi le malaise et la découverte que j’ai fait sur le monde des intellectuels au bout de 20 ans de lecture assidue du Monde, dans les années 80 et 90.
Et je remarque qu’il décortique et dénonce le racisme de classe des élites. Problème capital.
Et il nous rappelle ce principe marxiste que les idées des gens sont conditionnées par leurs conditions matérielles de vie, et leurs centre d’intérêts nés de leur condition matérielle.
(et c’est pourquoi les « anarchistes » de maintenant sont des bourgeois, qui au fond aiment bien l’ordre social et économique (surtout l’économique!) qui les nourrit et leurs assure leur bonne vie !)
L’anecdote de David Ayala qui pour empêcher le festival d’Aix-en-Provence (à 300 euros la place) qui s’est couché au travers de l’entrée et qui s’est fait marcher dessus par les talons aiguille de la bourgeoisie ulcérée (et qui devait sans doute les traiter de « populistes » « conspirationnistes » « antisémites » !) Voilà « le retour du concret » comme dit Lénine.
Le gars dont David Ayala fait un tel éloge, et dont je n’avais jamais entendu le nom est Eward Bond, anglais né en 1934.
la fin de la vidéo est inaudible
https://www.youtube.com/368c570e-a337-40f5-9e8a-6ead0e3e3990


Cette vidéo est vraiment CAPITALE !

22/05/2021

une entreprise bien gérée

https://reseauinternational.net/la-vaccination-mettra-t-elle-vraiment-fin-a-la-pandemie/

les mafiosi aux commandes ne sont pas si stupides qu’ils en ont l’air, et qu’ils savent très bien où ils vont, à savoir supprimer les inutiles, comme dans une grosse entreprise bien gérée. (ici il sera temps de relire Marx bien sûr ! mais aussi mon article intitulé Question rentabilité, travail, société, n'a-t-on pas tous tragiquement fait fausse route ?  )
Le combat est inégal, mais entre mourir debout ou vivre à genoux, le choix est vite fait, car il est évident que les gestes de résistance nous dévoileront . ( et l'absence de gestes de résistance dévoileront les ordures.....)

question gestes de résistance, avant de sortir de la paille "les fusils, les grenades, la mitraille", il y a le boycott, et là fonctionne "l'éternel retour du concret" ! comme dirait Lénine !

et on voit aussi suivant les déclaration de "La libre (sic !!!) Belgique" que les covidistes sont en train de créer une nouvelle sorte de "Juifs" il ne manque plus que d'imposer aux non-vaccinés le port d'une étoile jaune ! vous voyez que Covidisme   -   Nazizme : même combat !

éternel retour des modes de pensées fascistes aussi, vous voyez ! il ne faut jamais baisser la garde devant "la bête immonde" - et bien lire Zygmunt Bauman. 

Ne pas oublier de boycotter le groupe Indochine également... Quelle honte

10/05/2021

la cause de tout ça ?

ben ! le profit financier ! eh oui l'analyse marxiste on y revient toujours ! c'est la clé pour comprendre les forces politiques, les oppressions les lobbies, et par suite les propagandes, les mensonges, les "religions", les diabolisations, les manipulations de l'opinion, intimidations, racismes, caricatures, etc


Tellement de milliards et de milliards en jeu, alias "rapports matériels de production"; et la psychologie qui va avec, ça aussi le marxisme nous l'apprend (et La Fontaine aussi, c'est vrai !)

l'Hyperclasse, tout ce petit monde de capitalistes criminels se connaissent écoutez quelques unes des choses qu'a découvert le journaliste Philippe Aimar :

apprenez (qq-part dans la deuxième moitiè de la vidéo) ce qui a fait la une du Monde le19 décembre 2019 - et après c'est Jovanovic qu'on taxe de "conspirationniste" ! (remarquez, quelqu'un qui en 1933 aurait dit "vous verrez un jour Hitler envahira l'Autriche" aurait été taxé de "conspirationniste" ! et je ne parles pas du reste)

06/05/2021

"TECHNO-NAZISME" voilà le terme juste et qui fait comprendre la nature fondamentale du truc, qu'avait identifié ZYGMUNT BAUMAN dans son livre incontournable "modernité et holocauste"

 Zygmunt Bauman fut donc avertisseur de ce qui nous arrive, Michel Foucault aussi, maintenant un autre texte excellent de Nicolas Bonnal "pouvons-nous encore nous défendre ?"

Nous sommes en face de la plus belle destruction créatrice, pour reprendre l’expression luciférienne du regrettable Schumpeter, de notre histoire humaine. Des élites veulent détruire les peuples et les économies, et veulent les remplacer par un grand projet « créateur » nommé le Grand Reset. Et comme nous sommes en démocratie en occident, terre présumée des grandes libertés, personne ou presque n’ose se défendre ou réaliser ce qui se passe : on masque, on ruine, on séquestre, on tabasse, on militarise, et tout le monde se la ferme, comme au cours des deux premières guerres mondiales, quand les opinions publiques occidentales ont gobé les propagandes imposées (Bernays). Les Français eux comme dit Céline restent « parfaitement enthousiastes », fidèles à leur habitude. Zinoviev (ce dissident soviétique, qui après avoir émigré à l'Ouest, s'est mis à  observer et analyser l'Occident actuel avec la même pénétration critique qu'il en avait fait montre envers l'URSS) a raison et le citoyen occidental est le plus abruti de l’histoire. Seulement voilà nous sommes mêlés à son sort titanesque. Zinoviev :

« Nous sommes dans une époque post idéologique mais en réalité la supra idéologie du monde occidental diffusée au cours des 20 dernières années est bien plus forte que l’idéologie communiste ou nationale-socialiste. Le citoyen occidental est bien plus abruti que ne l’était le soviétique moyen par la propagande communiste. »

Guy Debord disait la même chose dans ses commentaires :

« Le spectaculaire intégré a fait mieux, avec de très nouveaux procédés, et en opérant cette fois mondialement. L’ineptie qui se fait respecter partout, il n’est plus permis d’en rire ; en tout cas il est devenu impossible de faire savoir qu’on en rit. »

Jamais l’expression « d’élites hostiles » (Kevin Macdonald) n’a été si juste qu’aujourd’hui. Les élites occidentales (guerres, contrôles, impôts, répressions) ont rarement été bienveillantes, sauf pendant la guerre froide (Zinoviev) et on juge les gens à leur mouvement, pas à leur couleur, comme dans le jeu d’échecs du prisonnier (épisode « checkmate »). Mais l’expression est très juste, on l’a vu au moment des gilets jaunes. En France les élites sont devenues haineuses et odieuses.

Tous les écrivains spécialistes de ces questions nous mettaient en garde contre ces mêmes élites depuis les années 60 et 70 quand les plans d'action malthusiens, technophiles et écologistes se sont mis en place avec deux ou trois objectifs prioritaires, d’ailleurs assez puérils (puérils ou sataniques ?) : dépeupler, régenter, dépolluer. Tout cela devient possible avec la révolution informatique qui permet aux élites occidentales si bien étudiées par Michel Foucault de parachever leur obsession séculaire de surveillance et de contrôle des populations. Je le cite pour l’exemple, car des ignares en matière de déconstruction l’insultent sans même le lire :

« Espace découpé, immobile, figé. Chacun est arrimé à sa place. Et s’il bouge, il y va de sa vie, contagion ou punition. L’inspection fonctionne sans cesse. Le regard partout est en éveil…Tous les jours, l’intendant visite le quartier dont il a la charge, s’enquiert si les syndics s’acquittent de leurs tâches, si les habitants ont à s’en plaindre; ils « surveillent leurs actions ». Tous les jours aussi, le syndic passe dans la rue dont il est responsable; s’arrête devant chaque maison; fait placer tous les habitants aux fenêtres (ceux qui habiteraient sur la cour se verraient assigner une fenêtre sur la rue où nul autre qu’eux ne pourrait se montrer) ; appelle chacun par son nom; s’informe de l’état de tous, un par un…Chacun enfermé dans sa cage, chacun à sa fenêtre, répondant à son nom et se montrant quand on lui demande, c’est la grande revue des vivants et des morts. »

Tout cela pour décrire le bon vieux temps de Louis XIV et de l’Ancien Régime…Jésuites (avec ce pape décalé on est servis), caserne, hôpital, voilà ce que devient notre ordinaire. J’oubliai le poste de police et la marque théâtrale et baroque du masque. [comme dans la fameuse pièce de de théatre de IONESCO "Rhinocéros" ! ou comme le salut "Heil Hitler !" si facilement accepté par tout un peuple d'allemand bien "citoyens" et "solidaires" ! ma note]

Ici cela va devenir permanent et facilité par les technologies de l’information…Un rappel aussi sur la Chine que des antisystèmes pas trop informés [Danielle Bleitrach par exemple ! ma note] nous présentent comme le modèle à suivre. La Chine présente un vieux modèle de bureaucratie totalitaire dirigée par des eunuques (l’idéologie du genre et l’avortement à neuf mois ça vous dit ?), alors citons Michel Maffesoli :

« Dans son livre La bureaucratie céleste, l’historien de la Chine antique, Etienne Balazs, souligne la prédominance des eunuques dans l’organisation de l’Empire. Ne pouvant procréer ils élaborent une conception du monde dans laquelle un ordre abstrait et totalement désincarné prédomine. L’élément essentiel étant la surveillance généralisée. En utilisant, d’une manière métaphorique cet exemple historique, on peut souligner que la mascarade en cours est promue par la « bureaucratie céleste » contemporaine dont l’ambition est stricto sensu d’engendrer une société aseptisée dans laquelle tout serait, censément, sous contrôle. Et en reprenant la robuste expression de Joseph de Maistre, c’est toute « la canaille mondaine » qui sans coup férir s’emploie non pas à faire des enfants, mais à infantiliser la société : il faut en effet noter que pas un parti politique n’a osé s’élever contre le port du masque généralisé. » [sauf le parti "les patriotes" de Florian Philippot, admirateur d'Hugo Chavez, qui se révèle ainsi le seul libre, le seul humaniste et la seule véritable opposition qui reste, ma note]

Cette gestion par les eunuques et les féministes est aujourd’hui parfaitement appliquée dans le monde occidental. Comme je l’ai montrée ailleurs elle était entrevue par Chesterton dans son livre What I saw in America, qui commence par un intense contrôle aux frontières…

Mais revenons à notre sujet : comment nous défendre. Il va falloir faire vite car le système des élites hostiles de Davos (Claus Schwab), du Potomac, de Bruxelles et de la Silicon Valley veut vraiment détruire. Tout sera mis en place l’an prochain ou dans quelques années. J’ai montré que tous les films de dystopie se passaient autour des années 2020 (Mad Max, Blade runner, Soleil vert, 2019 la chute de New York…) :

Le système procède par destruction, anéantissement. Liliane Held-Khawam :

« Cette aberration, qui consiste à prendre du réel à des individus en leur cédant du néant, est en train de mener la planète à la faillite généralisée. Une fin inéluctable prévue par le concepteur du modèle économique Milton Friedman puisque celui-ci avait prévu l’hélicoptère monétaire qui consiste à remettre à tout un chacun un Revenu universel.

Le Revenu universel devient indispensable quand le marché planétaire n’existe plus, qu’il est tenu par des oligopoles/des cartels/ des monopoles. De fait, à l’heure actuelle, seules les entreprises PME et commerces très sains peuvent encore prétendre à une certaine liberté d’entreprendre hors des griffes des banquiers. » [et c'est qu'ils veulent les détruire...... ma note]

Mais ceci c’était avant! »

Comment leur échapper ? Car ce sera le vaccin pour une bouchée.

Nous sommes tous dépendants du système, de son informatique, de son électricité, de ses banques, de ses villes, de son eau courante et du reste. Comment lui échapper alors quand il voudra nous pucer après nous avoir ruinés et peu à peu (c’est le plus grave) dévitalisés, découragés? Faut-il fuir dans leur campagne ? J’ai plusieurs amis comme cela, qui vivent d’ailleurs plus confortablement que les bobos parigots dans leur cambrousse, en Bourgogne ou en Andalousie, ont un puits, des animaux herbivores, des arbres fruitiers, possèdent un groupe électrogène (excellent pour échapper à EDF, mais il faut de l’essence). On peut avoir ses armes, bien s’entendre avec ses voisins, imaginer une communauté, etc. Ce modèle à la mode un temps en Amérique du temps des milices, on n’en parle plus. On n’en parle plus, ou il a disparu du fait de la traque et de la répression ?

Beaucoup recommandent d’acheter de l’or… Il y a dix ans déjà dans sa merveilleuse entrevue Lucien Cerise déclarait :

« Il faut laisser le moins d’argent possible à la banque, ou alors dans des banques non-occidentales. Le bank run complet est un idéal vers lequel il faut tendre, mais il est difficilement praticable pour la plupart des gens. Il faut essayer quand même de dé-virtualiser nos biens et de re-matérialiser notre capital au maximum, par exemple, dans les métaux précieux ou l’immobilier. Si on n’a pas beaucoup d’argent, acheter des objets utiles pour le bricolage, des denrées alimentaires non périssables, des graines et des semences, ou un petit terrain, voire un garage, une cave, un grenier, un comble, un box. Bref, convertir tout ce qui n’a qu’une valeur d’échange, une valeur fiduciaire, sous format papier ou numérique, en choses à valeur d’usage, valeur réelle et concrète. »

Face à la guerre d’extermination menée par le capital, les bureaucrates et leur techno-nazisme Lucien déclarait encore :

« Dans l’associatif, s’investir dans divers mouvements, les « villes en transition », la relocalisation, le survivalisme (à condition qu’il abandonne ce qui reste en lui d’égoïsme concurrentiel libéral), les monnaies alternatives et complémentaires, où l’on apprend à s’organiser concrètement en dehors du capitalisme. La reconquête locale d’une souveraineté alimentaire, énergétique, puis économique et politique permet d’améliorer la résilience, la capacité de résistance aux chocs infligés par le capitalisme et son mode de fonctionnement par la crise, la délocalisation et le déracinement. Comme disait Sun-Tzu, « Gagner, c’est rester en vie ». Tant que nous sommes en vie, quelles que soient les conditions de cette vie, l’ennemi n’a pas gagné. Donc nous ne perdons pas. Donc nous gagnons. »

Je ne suis ni jeune ni optimiste et je compte des imbéciles innombrables : je vois quand même bien le système triompher. La police est devenue barbare en France et ailleurs ; l’armée est mobilisée ; 90% des gens ne remettent jamais en cause le discours des médias oligarques et gouvernementaux ; la jeunesse est absorbée…

Dans le bon film Bourne Legacy on voit des drones lanceurs de missiles anéantir un B.A.D. de luxe au fin fond de l’Alaska, alors… Le système peut et pourra aussi faire des exemples : on tabasse déjà des couples et des mères de famille, des jeunes filles avec la bénédiction des surréelles néo-féministes, alors on peut à terme pratiquer les assassinats ciblés, les exterminations pour l’exemple, les massacres gratuits. Cela peut servir à liquider des contrevenants-terroristes, les rebelles disait Jünger qui après la guerre précédente sentait la menace venir, et à démotiver les autres dans le sens du vaccin de Bill Gates si bien décrit à Berlin comme le fils de Robert Kennedy.  S’il y a une chose que le monde moderne m’a montré depuis que j’ai appris à le connaître, c’est que le pire est avec lui toujours sûr. Tous les agendas de la dystopie terminale sont en place. A ceux qui sont vivants de les déjouer s’ils en ont encore la motivation et l’énergie. Le reste jouera au troupeau pucé et encadré par les humoristes.

ses Sources :

https://nicolasbonnal.wordpress.com/2019/02/20/%EF%BB%BFl...

https://lilianeheldkhawam.com/2020/08/27/la-faillite-de-l...

https://nicolasbonnal.wordpress.com/2020/08/28/michel-maf...

https://nicolasbonnal.wordpress.com/2020/07/27/michel-fou...

https://nicolasbonnal.wordpress.com/2020/08/17/zinoviev-e...

encore une parenté de plus :

La société technologique qui a contribué à l’Holocauste gère désormais les « passeports vaccinaux ».
Vous avez probablement déjà entendu parler du projet maniaque de « passeport vaccinal » de l’État profond, qui sera finalement utilisé pour soumettre le monde entier à la tyrannie médicale. Eh bien, nous savons maintenant qu’IBM dirige la création et la mise en œuvre des passeports vaccinaux dans une grande partie du monde développé, IBM étant la même société qui a aidé à organiser l’Holocauste, soit dit en passant.
Tout a commencé avec les masques, qui, après être devenus « obligatoires », ont été utilisés comme un outil de division pour séparer les « désirables » qui sont prêts à s’y conformer des « indésirables » qui disent simplement non à la tyrannie médicale.

05/05/2021

Schwab et son livre, le M K (censuré) du fascisme 2.0

https://echelledejacob.blogspot.com/2021/03/schwab-beauco...

Schwab : « Beaucoup d’entre nous se demandent quand les choses reviendront à la normale. La réponse est : jamais ! »

« Celui qui dirige la peur des gens devient le maître de leurs âmes » – Nicolas Machiavel, Le Prince

c’était également là la théorie de GOERING,il l’a avoué à Nüremberg.

« Soyez résolus à ne plus servir et vous voilà libres ! »   Cette maxime de La Boétie doit devenir pour nous tous le meilleur antidote au projet eugéniste de Klaus Schwab dont le livre Covid-19 : la grande réinitialisation se veut le bréviaire et la feuille de route d’une prise d’otage mondiale qui a commencée, afin de soumettre les peuples dans une dictature sanitaire avec le Covid-19 pour mettre en œuvre la grande réinitialisation du capitalisme.

Qui est Klaus Schwab ? Il est né en Allemagne à Ravensburg en 1938 et est le dirigeant fondateur du Forum de Davos (WEF) qui rassemble depuis 1971 le gratin de l’élite économique mondiale, mais aussi, politique, financière et des médias, à l’image d’autres organisations plus informelles que sont le Bilderberg ou la Trilatérale, rassemblant chaque année des décideurs internationaux parmi lesquels Jacques Attali, Christine Lagarde, Bill Gates, Jeff Bezos ou David Rockefeller. « L’existence de ces organisations pose pourtant des questions aussi essentielles que : est-il possible de répondre aux défis de notre temps avec des appareils de coordination contrôlés par des élites aussi restreintes ? Élites uniquement sélectionnées en vertu de leur pouvoir et de leur richesse, qu’elles appartiennent à quelques pays seulement, ne sont élues par personne, ni déléguées par aucune autorité publique et sont inspirées par le dogme du marché autorégulé ».1

Seulement voilà, le dit marché autorégulé donne des signes de faiblesse depuis quelque temps. La crise des subprimes de 2008 montre à quel point une gestion confiée à un groupe restreint et aux favorisés du marché est porteuse de chaos. « Ce système de création monétaire kafkaïen voulant que l’argent soit créé à partir de dettes et d’intérêts qui nous obligent mécaniquement à générer perpétuellement de nouvelles dettes plus grandes que les précédentes est à bout de souffle. Un système d’esclavage financier qui porte en lui les germes de l’autodestruction, puisqu’une dette en constante augmentation exige une croissance en constante augmentation et donc des émissions de CO2 toujours plus grandes »2. Pour éviter la surchauffe qui ne peut mener qu’à un effondrement généralisé de tout le système financier dans son ensemble, Klaus Schwab et ses affidés ont imaginé un scénario de décroissance accélérée appelé grande réinitialisation, ou « grand reset » et qu’ils s’appliquent à mettre en œuvre aujourd’hui avec le Covid.

De même que ce sont les États, donc les peuples, qui ont sauvé les banques de la faillite lors de la crise des subprimes de 2008, ce sont à nouveau les peuples qui sont mis à contribution pour éviter le naufrage financier suite à la dérégulation financière débridée de la mondialisation dont la dette devient aujourd’hui insoutenable. La décroissance voulue par Schwab passe donc par la mise au pas des peuples en leur imposant de gré ou de force une dictature sanitaire en agitant la peur d’un virus pour endiguer toute croissance de la consommation et saper des pans entiers de l’économie jugés non essentiels : culture, tourisme, restauration, PMI-PME, le point commun de ces secteurs économiques étant qu’ils utilisent tous, entre autre, la monnaie papier pour leurs règlements, monnaie que veulent faire disparaître les grands argentiers de la planète pour faire advenir la monnaie cryptée pour mieux tracer et contrôler la population à l’image de ce qui se fait déjà en Chine.

Cette prise d’otage des peuples s’inscrit dans un scénario planifié en deux temps simultanés :

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Tout d’abord l’intrusion de la fraude dans l’élection américaine en mettant tout en œuvre pour exclure la réélection de Donald Trump dont le premier mandat a favorisé une croissance de 2,5%, inédite depuis longtemps aux États-Unis. Le corollaire de cette croissance est que la dette déjà insoutenable de l’économie américaine s’est littéralement envolée. Donald Trump a certes bénéficié d’un héritage très positif, mais il est parvenu à faire en sorte que l’expansion se poursuive. Avec un chômage de 3,5%, au plus bas depuis 50 ans jusqu’à la crise du Covid, la réélection de Donald Trump semblait assurée. C’était sans compter sur la volonté d’en finir des mondialistes avec l’administration Trump : les 6 swing states ont basculé comme par miracle dans le camp du challenger démocrate Joe Biden. Aujourd’hui, il apparaît indéniablement que ces élections ont été entachées de fraudes massives pour faire élire le candidat démocrate, les innombrables preuves compilées par l’avocate Sidney Powell étant accablantes.

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Ensuite, la deuxième mise au pas des peuples, la plus effrayante et la plus cauchemardesque par son ampleur et sa solution finale, passe par la création d’une peur collective planifiée et entretenue par la scénarisation de la contagion d’un virus à l’échelle planétaire : le Covid-19.

Ce virus à la létalité de 0,05% dont ont doit rappeler qu’il n’est ni plus ni moins mortel que celui de la grippe saisonnière.

Malgré tout, ce que l’on appelle dorénavant « la grande pandémie du Covid-19 » n’est rien d’autre qu’un scénario monté de toutes pièces par Klaus Schwab, le tout relaté en détail dans son livre3,

(le Mein Kampf du capitalsme actuel – le premier était déjà la planche de salut du capitalisme allemand, ET DE SES PRETEURS ANGLO-SAXONS!! souvenez-vous de la réunion du 20 février 1933 des grands patrons allemands au siège de la présidence du Bundestag …. )

pour tétaniser les peuples par la peur afin de mettre en scène son grand reset de l’économie mondiale. À tel point que ce scénario a fait l’objet d’une répétition générale en 2019 au Forum de Davos que l’on peut trouver en ligne sur la chaîne YouTube du WEF sous le titre « We ran a massive viral pandemic simulation. Here’s what we learned about managing Coronavirus » (« Nous avons testé une simulation de pandémie virale. Voici ce que le management du Covid nous a appris »). Il suffit de lire tous les commentaires de cette vidéo de 3 minutes pour voir que personne n’est dupe : il ne s’agit ni plus, ni moins qu’une manipulation de grande envergure.4

Tout avait déjà été prédit par le gourou Jacques Attali dès 2009 dans un article messianique publié par L’Express et intitulé « Avancer par peur »5, où il affirmait que « l’humanité ne pouvait évoluer significativement que lorsqu’elle a vraiment peur et que seule une « pandémie » majeure ferait surgir la prise de conscience d’un altruisme (!) pour jeter les bases d’un véritable gouvernement mondial ».

Publié en juillet 2020, le livre de Klaus Schwab Covid-19 : la grande réinitialisation n’est rien d’autre qu’un programme économique et politique totalitaire qui se propose d’avancer « des conjectures et des idées sur ce à quoi le monde post-pandémique devrait ressembler ». Le plus étonnant est que Schwab admet que le Covid-19 est « l’une des pandémies les moins meurtrières que le monde ait connues au cours des 2.000 dernières années », ajoutant que « les conséquences du COVID-19 en termes de santé et de mortalité seront bénignes par rapport aux pandémies précédentes ». Il continue : « Cela ne constitue pas une menace existentielle, ni un choc qui laissera son empreinte sur la population mondiale pendant des décennies ». Et pourtant ! Incroyablement, cette maladie « bénigne » est simultanément présentée comme l’occasion unique d’un changement sociétal sans précédent, sous la bannière de « La Grande Réinitialisation » ! [l’incendie du reichtag c’était pareil! Un des moins graves incendies produits par des communistes, en rien une réelle menace, a été utilisé comme prétexte à une grande psy-op sur le peuple allemand, à se faire accorder les Pleins Pouvoirs (avec le vote du Centre Catholique ….) à la rafle de tous les communistes et la création du premier camp de concentration pour les y enfermer, et bref tout ce qui s’est suivi!]

[Schwab place ainsi le Covid-19 dans une longue tradition d’événements allant de la peste noire du Moyen-Âge au 11 septembre 2001 en passant par la seconde Guerre mondiale qui ont facilité des changements soudains et significatifs dans nos sociétés. Il invoque ainsi « La seconde Guerre mondiale qui a été la guerre de transformation par excellence, déclenchant non seulement des changements fondamentaux dans l’ordre et l’économie mondiale, mais aussi des changements radicaux dans les attitudes et les croyances sociales qui ont finalement ouvert la voie à des changements radicalement nouveaux des politiques et des dispositions du contrat social ».

Il ajoute qu’il « existe évidemment des différences fondamentales entre une pandémie et une guerre, mais l’ampleur de leur pouvoir de transformation est comparable. Les deux ont le potentiel d’être une crise transformatrice aux proportions auparavant inimaginables. C’est notre moment décisif », pavoise-t-il. « Un nouveau monde émergera ». « Le bouleversement sociétal déclenché par le COVID-19 durera des années, voire des générations ».

« Beaucoup d’entre nous se demandent quand les choses reviendront à la normale. La réponse est : jamais ! » Les industries de la restauration, du tourisme et de la culture, mais aussi les petits commerces savent à quoi s’en tenir désormais.

Le ton est donné : « Des changements radicaux d’une telle ampleur sont tels que certains experts ont évoqué une ère “avant le coronavirus” et “après le coronavirus” ».

Tous ces commentaires montrent une seule et même chose : Schwab (le nouveau Adolf H.) se veut le grand architecte de cette pandémie planifiée par lui et ses acolytes pour mettre en place le grand reset. Comment Schwab et ses amis milliardaires peuvent-ils imposer leur société dystopique au reste d’entre nous ? La solution est le lavage de cerveau par la propagande implacable débitée en copié-collé par les grands médias occidentaux, mais aussi les GAFAM, verrouillés par une oligarchie financière aux mains d’une poignée de multi-milliardaires pour instiller la peur du virus durablement.

Schwab est évidemment déterminé à faire tout ce qui est en son pouvoir non négligeable pour réaliser son monde eugéniste [l’eugénisme était aussi le point le plus central du nazisme] et transhumaniste de la surveillance, du pouvoir, et du profit exponentiel. Il proclame : « Le fait qu’il soit maintenant beaucoup plus facile de manipuler avec précision le génome humain dans des embryons viables, signifie que nous sommes susceptibles de voir l’avènement de bébés sur mesure qui possèdent des traits particuliers ou qui sont résistants à une maladie spécifique ». [c’était déjà le grand rêve des Mengele et compagnie!]

Une section entière de ce livre est consacrée au thème « Modifier l’être humain », ravalant les dystopies 1984 et Le meilleur des mondes à celui des bisounours. Ici, Schwab bave sur « la capacité des nouvelles technologies à devenir littéralement partie de nous » et évoque un futur cyborg impliquant « des curieux mélanges de vie numérique et analogique qui redéfiniront nos natures mêmes ». Il écrit : « Ces technologies fonctionneront dans notre propre biologie et changeront notre interface avec le monde. Ils sont capables de traverser les frontières du corps et de l’esprit, d’améliorer nos capacités physiques et même d’avoir un impact durable sur la vie elle- même ». Aucune violation ne semble aller trop loin pour Schwab, qui rêve de « micropuces implantables actives qui cassent la barrière cutanée de notre corps », de « tatouages intelligents », de « calcul biologique » et « d’organismes sur mesure capables de lire dans nos souvenirs » (!)

Il est ravi d’annoncer que « les capteurs, commutateurs de mémoire et circuits peuvent être codés dans des bactéries intestinales humaines communes », que « les dispositifs implantés aideront aussi à communiquer des pensées exprimées verbalement via une puce numérique intégrée, et des pensées ou des humeurs potentiellement non exprimées en lisant les ondes cérébrales ».

La « biologie synthétique » est à l’horizon dans le monde de Schwab, donnant aux chefs du capitalisme technocratique mondial « la possibilité de personnaliser les organismes en écrivant de l’ADN ». C’est sur quoi certains labos s’ingénient à travailler dès à présent avec les « vaccins » ARN. L’idée même des neurotechnologies, dans lesquelles les humains auront des souvenirs entièrement artificiels implantés dans le cerveau suffit à nous donner la nausée, tout comme « la perspective de connecter notre cerveau à la réalité virtuelle via des modems corticaux, des implants ou des nanorobots ». Le Covid-19 sert parfaitement les objectifs de Schwab d’asservissement des peuples, car l’urgence immédiate qu’il présente permet de précipiter l’ensemble du processus sans examen minutieux et sans aucune considération éthique. Ainsi : « Notre peur persistante et durable d’être infectés par un virus COVID-19 ou un autre accélérera la marche implacable de l’automatisation. De nouvelles réglementations resteront en place ». Il ajoute : « L’impératif actuel est de propulser, quoi qu’il arrive, « l’économie sans contact » et la volonté ultérieure des régulateurs de l’accélérer signifie que l’on est sans tabou ». (!)

« Bon nombre des comportements technologiques que nous avons été forcés d’adopter pendant la détention (!) deviendront plus naturels grâce à la familiarité. Au fur et à mesure que les distanciations sociales et physiques persisteront, l’appui sur les plateformes numériques pour communiquer, travailler, demander conseil ou commander quelque chose va petit à petit gagner du terrain sur des habitudes autrefois ancrées ».

(c’est pourquoi la campagne anti-tabac qu’on nous a martelé hystériquement depuis 30 ans était sans doute un TEST, ils voulaient voir si ils allaient pouvoir détruire tout un plan de la culture humaine et de la liberté des individus jusqu’à les convaincre à se soumettre, à avoir honte de soi, à obeir, et à raser les murs, ils ont réussi, ils ont vu, maintenant ils foncent!]

« Le mouvement de l’entreprise ira vers une plus grande surveillance : pour le meilleur ou pour le pire, les entreprises surveilleront et enregistreront parfois ce que font leurs effectifs. La tendance pourrait prendre différentes formes, de la mesure de la température corporelle avec des caméras thermiques à la surveillance via une application de la manière dont les employés respectent la distanciation sociale ».

Des mesures coercitives d’un type ou d’un autre sont également susceptibles d’être utilisées pour forcer les gens à prendre les « vaccins Covid » en cours de préparation, car derrière les « vaccins » se cache le traçage et la surveillance de masse de toute la population. On ne s’étonne donc pas qu’il insiste sur le fait « qu’un retour complet à la normale ne peut être envisagé avant qu’un « vaccin » ne soit disponible ». Il ajoute : « Le prochain obstacle est le défi politique de vacciner suffisamment de personnes dans le monde avec un taux de conformité suffisamment élevé malgré la montée des anti-vaccins ». Ceux-ci rejoignent ainsi la liste des menaces pesant sur le projet de Schwab, aux côtés des manifestants anti-mondialisation et anticapitalistes, des Gilets jaunes et de tous les engagés dans des « conflits de classe », « résistance sociale » et « réaction politique ».

Mais comment Schwab envisage-t-il de faire face au « sombre scénario » des gens qui se soulèvent contre sa grande réinitialisation et sa quatrième révolution industrielle transhumaniste ? Quel degré de force et de mesures coercitives serait-il prêt à accepter pour assurer l’aube de sa nouvelle ère technocratique ?

La question est effrayante, mais nous devons également garder à l’esprit l’exemple historique du régime du XXe siècle dans lequel Schwab est né. La nouvelle normalité nazie d’Hitler était censée durer mille ans, elle s’est effondrée 988 ans avant son objectif.

Ce n’est pas parce qu’Hitler a dit, avec toute la confiance du pouvoir, que son Reich durerait un millénaire, qu’il en a été ainsi.

Ce n’est pas parce que Klaus Schwab et ses amis disent que nous entrons maintenant dans la quatrième révolution industrielle et que notre monde sera changé à jamais, qu’il en est ainsi.

Nous n’avons pas à accepter leurs propos alarmistes et leur conditionnement pour accepter leur dictature sanitaire et leur nouvelle norme. Nous n’avons pas à prendre leurs vaccins qui ne sont rien d’autre qu’une thérapie génique. Nous n’avons pas à les laisser nous implanter des puces numériques ou à modifier notre ADN. Nous n’avons pas à rester confinés ou marcher muselés et soumis, pour bientôt être piqués tels des poulets dans l’attente de l’abattoir de leur enfer transhumaniste. Nous devons dénoncer leurs mensonges ! Exposer leur agenda mortifère ! Refuser leur grand reset qui n’est rien d’autre qu’un populicide ! Rejeter leur idéologie toxique ! Résister à leur fascisme ! Klaus Schwab n’est pas un dieu, juste un homme âgé. Et ceux avec qui il travaille, l’élite capitaliste mondiale, dont Emmanuel Macron est l’apôtre le plus servile et zélé, sont peu nombreux. Leur vision transhumaniste est répugnante pour presque tout le monde en dehors de leur petit cercle et ils n’ont pas notre consentement pour la dictature technocratique qu’ils essaient de nous imposer.

Tout cela pour tenter de sauver le néolibéralisme qu’ils ont fait prospérer au-delà de tout contrôle alors qu’il existait d’autres voies plus raisonnables et plus viables comme le Keynesianisme qu’ils ont systématiquement rejetées et balayées.

C’est pourquoi, après tout, ils ont dû se donner tant de mal pour nous forcer à nous confiner et nous bâillonner [ sous des gueules de rhinocéros, comme dans la pièce d’Eugène Ionesco ! ] sous le faux drapeau de la lutte contre un virus. Ils ont compris que sans la justification d’urgence par la peur, nous n’allions jamais accepter leur plan monstrueux.

Mais la peur est en train de changer de camp : pourquoi le prochain Forum économique mondial aura-t-il lieu à Singapour et non pas à Davos, puis Genève comme prévu précédemment ? Ont-ils peur de notre pouvoir potentiel parce qu’ils savent que si nous nous soulevons, nous les vaincrons ? En réalité, si nous nous en donnons la peine, nous pouvons faire échouer leur projet avant même qu’il n’ait vraiment démarré. Pour preuve, le Dr Drosten, le conseiller virologue d’Angela Merkel est poursuivi par la justice allemande pour avoir faussé le protocole des tests PCR qui a amené les gouvernements à prendre des décisions de confinement ravageuses. En effet, en préconisant des valeurs de réglage CT au dessus de 30, les résultats des tests devenaient positifs avec des traces infimes de virus dans la plupart des cas, dans le but de continuer à alimenter la peur généralisée. Enfin, le Conseil d’État italien vient d’autoriser à nouveau l’hydroxychloroquine comme traitement du Covid-19, entravant ainsi la thérapie génique mortifère planifiée par Schwab.

Aujourd’hui, il appartient à chacune et à chacun d’entre nous de lire le livre de Klaus Schwab qui jette les bases du monde cauchemardesque dans lequel on vient d’entrer si l’on veut savoir ce qui nous attend pour en sortir au plus vite. Quand il sera trop tard, on ne pourra pas dire qu’on ne savait pas. Car comme pour Mein Kampf, tout était déjà écrit.

Comme l’a dit Emmanuel Macron, nous sommes bien en guerre, mais pas contre un virus : contre Klaus Schwab et ses soldats mondialistes qui veulent nous asservir par la dictature sanitaire et la thérapie génique pour éviter l’effondrement du néolibéralisme.

Ce n’est pas aux peuples de payer les erreurs néolibérales d’une poignée de multi-milliardaires corrompus qui ont mis l’économie mondiale à genoux. Il y aura un tribunal de Nüremberg pour toutes celles et ceux qui auront participé à cette tentative de génocide mondial : politiques, économistes, financiers, gourous, médecins, chercheurs et autres apprentis sorciers des laboratoires pharmaceutiques.

Nous devons gagner cette guerre idéologique par tous les moyens : judiciaire, médiatique, cyber et politique. Il y va de notre survie à tous et de l’avenir de nos enfants ! Nous sommes le peuple, nous sommes les 99%, et ensemble, nous pouvons reprendre dès demain notre liberté des mâchoires mortelles de cette machine infernale à broyer les humains et sauver la démocratie.

Ce texte est une adaptation résumée de la traduction du remarquable article des journalistes dissidents du Guardian le 12 octobre 2020 :

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https://off-guardian.org/2020/10/12/klaus-schwab-his-great-fascist-reset

source : https://nouveau-monde.ca/

Jean-Michel Grau

Le groupe Bilderberg, “l’élite” du pouvoir mondial, Domenico Moro, éditions Delga.

Les esclaves de l’anthropocène, Nicolas Teterel, éditions Yves Michel

Klaus Schwab, Covid-19 : la grande réinitialisation, forum publishing

https://www.youtube.com/watch?v=0-FQbhkWYuY&ab_channel=WorldEconomicForum

https://www.lexpress.fr/actualite/societe/sante/avancer-par-peur_758721.html

 Source

 

ET ICI une interview DYNAMITE ! de PIERRE JOVCNOVIc 

https://odysee.com/@francesoir:2/PierreJovanovic:1

ça c'est un journaliste qui fait son travail !

Espérons qu'on ne le retrouvera pas un de ces jours "suicidé" au pied de son immeuble, ou victime d'un accident de moto ....

En tous cas dépèchez-vous de diffuser et faire passer cette vidéo (qu'on peut télécharger, ça aussi je vous le conseille!) au plus grand monde.

"there is no depth to which the psychopath will nor sink."
Mengeles are in dank crevices all around.


Je n'irai nulle part, et ils crèveront la gueule ouvert tous les établissements qui font comme ça, comme les suisses (cette graine de fascistes : en 1935 27% des suisses ont voté "oui" à un référendum qui demandait que la Suisse devienne un régime nazi ! si si ! les livres d'histoire ne vous en parlent pas, curieux ! pourquoi ?), crèveront la gueule ouverte par manque de clients, et ils l'auront bien mérité !

02/05/2021

l'analyse du psychiatre Frédéric BADEL permet de confirmer mon analyse (et celle de Michael Paraire et celle de Michel Waber) de la crise actuelle

Nous pensions que le monde démocratique dans lequel, quelles que soient nos croyances et nos opinions, nous pouvions débattre, avait un sens car nous avions un référentiel commun. Nous nous trompions sans doute car ce sens a disparu en peu de temps.

Le 17 mars, le confinement a été mis en place. Chacun a espéré qu'il ne durerait pas. L'état d'urgence a permis d'imposer des mesures de restrictions de liberté, plus ou moins bien acceptées, comprises probablement comme étant transitoires et justifiées par la santé de tous.

Le 14 octobre sont apparus les couvre-feux, notions évoquant les guerres et les coups d'État. Premier non-sens. Pourquoi de telles mesures ? Nos efforts d’adhésion aux mesures transitoires n'auraient-ils servi à rien ?

Durant cette période de sept mois, de mars à octobre, nous avons tenté de nous adapter, d'être patients, de nous rassurer, en nous situant encore dans un espace d'illusion qui nous garantissait que le Gouvernement prenait soin de notre sécurité à l'aide de décisions justifiées par l'intérêt général.

Mais progressivement, dans le même temps, une série de non-sens a éclos, rendant les analyses difficiles et confuses. 

Le non-sens,

- Pourquoi annoncer un monde d'après dès le début d'une épidémie virale saisonnière ? La question aurait pu alerter dès avril.

- Pourquoi les masques, inutiles quand nous n'en disposions pas, sont-ils ensuite devenus obligatoires ? Et pourquoi le sont-ils par intermittence ? Aucune mention de protection contre un virus ne figure sur les boîtes... Ils sont imposés en station debout, pas en station assise... dans certaines villes et pas dans d'autres... Leur mode d'utilisation habituelle est fantaisiste ; et quand bien même ils auraient une efficacité prouvée, celle-ci ne pourrait que très rapidement disparaître, les masques étant touchés, enlevés, remis à longueur de journée.

En plus d'être inutiles pour nous protéger ou protéger les autres, ils peuvent se révéler toxiques.

Quel sens donner à tout cela ?

- Pourquoi recourir aux test PCR (polymerase chain reaction) ? Ces tests, très sensibles, détectent le moindre fragment d'ARN viral mais ne disent pas si la personne est malade, si elle est contagieuse, quelle est sa charge virale. La population crédule, anxieuse, ou encore sous le choc du confinement (ou du dé-confinement) se presse vers des laboratoires saturés de demandes pour se rassurer.

L'organisation de la campagne de détection a favorisé cette ruée vers les tests et a créé une épidémie de « cas positifs », néo-entité de personnes considérées comme malades, et de cas contacts, souvent mis en quarantaine. De nombreuses personnes asymptomatiques ont été testées. La population s'est fait piéger en facilitant ainsi, de plein gré mais sans le réaliser, la formation de cette deuxième vague attendue depuis le mois d'avril.

- Pourquoi parler, pour la première fois dans l'histoire de la médecine, d'une épidémie de cas positifs ? Cela défie l'entendement.

- Les nouvelles rassurantes n'ont pas droit de cité. Les Professeurs Raoult, Toussaint, Toubiana pour ne citer qu'eux sont passés de personnalités scientifiques reconnues à des complotistes originaux. Pourquoi ce dénigrement systématique et cette ostracisation ? Pourquoi continuer à nous affoler en nous privant des informations qu'ils peinent à donner ?

- Nous disposons de molécules efficaces mais interdiction a été faite aux médecins de les utiliser. Ceux qui ont défié l'interdiction ont pu soigner leurs patients, comme leur intime le serment qu'ils ont signé, dans la limite des connaissances du moment. D'autres molécules, très chères et moins efficaces, ont fait l'objet de publicité. Quel sens donner ?

- Un virus qui vit la nuit, épargne les foules entassées sur les quais de métro et s'y attaque après 21 heures quand elles sont installées dans un bar, c'est délirant.

Le non-sens est une puissante arme de destruction mentale. Le cerveau a du mal à fonctionner quand les repères logiques disparaissent. Le non-sens permet à la sidération initiale créée par la peur, la culpabilisation et la sanction de s'établir plus durablement dans l'esprit. Privé des informations logiques et cohérentes qui pourraient l'orienter, le cerveau « patine ». Ce qui n'a pas de sens ne peut s'exprimer avec des mots. L'intelligence reste défaillante, comme débranchée, les facultés d'analyse deviennent inopérantes.

L'afflux d'informations contradictoires permet le maintien de l'emprise et du doute, la persistance de l'espoir qu'en se comportant bien, l'ordre ancien pourrait revenir.

Ainsi observons nous des excès de confusion chez les personnes qui portent un masque seules à la campagne, à la plage ou dans leur voiture. Ce pourrait être risible si ce n'était là le signe d'une intense soumission liée à une perte de contact avec la réalité de l'environnement, ( 13min30 :  "on est passé dans une narration qui n'a plus à voir avec le réel"  https://ruclip.com/video/sksYYKYrXxw/louis-fouch%C3%A9-ac... ) soumission issue d'une terreur savamment entretenue. La plupart de ces personnes ne mesurent pas qu'elles adoptent un mode de pensée qui leur était totalement étranger il y a peu de temps encore et qu'elles développent des comportements régis exclusivement par la peur. C'est pourquoi elles deviennent imperméables aux discours rationnels, par exemple aux chiffres qui démontrent que la situation sanitaire actuelle n'est en aucun point comparable à celle des mois de mars et avril. Leur cortex (le cerveau qui réfléchit) est incapable de freiner l'alarme (située dans des structures plus archaïques du cerveau) sans cesse activée par des messages terrifiants. Ceux qui pourraient rassurer sont immédiatement disqualifiés et ils le resteront tant que les sources officielles resteront alarmistes.

Un patient resté lucide me confiait ne pouvoir répondre aux questions de son fils sur le port du masque. « Que lui dire puisque ça n'a pas de sens ? Alors je lui dis que c'est comme ça, que c'est la règle, que tout le monde le fait ». Terrible constat que de ne pouvoir expliquer à son enfant de huit ans qui, lui, a perçu les absurdités, la logique de ces nouvelles normes.

Le non-sens conduit progressivement à l'impuissance apprise, terme issu de l'expérimentation animale. Après avoir essayé de rechercher nombre de solutions toutes aussi vaines les unes que les autres, l'animal renonce à s'échapper et s'immobilise, même s'il continue à être martyrisé (le rat qui reçoit des décharges électriques dans les pattes ne cherche plus à fuir la situation). Il a intégré que toute tentative est vouée à l'échec.
[cf l’attitude « stupide » des coolies des du colonialisme, attitude quand on se retrouve dans un bureau clan de bonnes-femmes]  

Chez l'homme, l'observation clinique permet de mettre en évidence ces phénomènes après des séquestrations, des violences répétées par des personnes ayant autorité, ou après des violences conjugales par exemple. De tels cas sont longs et difficiles à traiter. Ils sont d'autant plus compliqués que l'agresseur a une ascendance, une autorité sur la victime, et que le mauvais traitement se prolonge. Il existe un lien direct entre personne ayant autorité et durée des mauvais traitements d'une part, et sévérité du tableau clinique d'autre part. Le psychisme de la victime peut être littéralement colonisé par des pensées qui ne lui appartiennent pas. Ces pensées sont issues du discours de l'agresseur ; elles ont fini par faire effraction dans l'esprit de la victime. Sa personnalité peut se modifier durablement, voire définitivement.

La violence institutionnelle installée depuis le mois de mars produira des effets délétères indélébiles. Il est difficile de croire qu'un gouvernement inflige ce type de traitement. Pourtant, regardons autour de nous et admettons qu'il en est ainsi aujourd'hui : nous voyons des foules impersonnelles, masquées, attendant un transport dans lequel elles vont s'amasser avant de rentrer chez elles pour ne plus en sortir jusqu'au lendemain. 

Transformer la foule en masse informe, cela rappelle les écrits de Hannah Arendt bien souvent convoqués ces derniers temps. Mais nous le banalisons chaque jour car c'est le seul moyen de nous adapter et de rendre ces nouvelles exigences vivables. Un homme décide seul pour l'ensemble des citoyens, coupé du système de contrôle qui en temps normal permet la régulation du pouvoir et en limite les abus. Tous les régimes totalitaires ont utilisé ces mêmes stratégies efficaces. La peur, la culpabilisation, la sanction, l'usage de l'arbitraire qui prive de sens, constituent la matrice des dictatures. Renoncer à comprendre ou, plus précisément, renoncer à identifier une logique permet d'échapper à la sidération, à l'emprise, au chaos mental. L'agresseur -celui qui maltraite, persécute, séquestre, humilie, peu importe les actes qu'il fait subir- a sa propre logique. Pour échapper à la folie, il faut rester dans nos repères habituels, les valider chaque jour, et identifier le fonctionnement de l'agresseur comme relevant du pathologique sous peine de s'identifier à lui (syndrome dit de Stockholm). Les premières mesures de restrictions des droits fondamentaux n'ayant pas déclenché de réaction hostile dans la population, ce qu'il est facile de traduire par « le peuple a été bien conditionné », il semble que nous soyons prêts à accepter d'autres privations. Un non-sens de plus ou de moins, qui sera encore capable d'en être conscient ? Rien ne fera plus dorénavant obstacle, quels que soient les indicateurs sanitaires par ailleurs et à supposer qu'ils soient encore d'actualité, à imposer à une population soumise et martyrisée un confinement permanent, une vaccination ou des conditions drastiques à son déplacement, par exemple un passeport sanitaire. Qui nous garantit même qu'une élection aura lieu dans un an et demi ? Les dictateurs choisissent seuls les chemins menant au bonheur du peuple. Quand le non-sens est établi en système, la valeur de l'être humain est niée et la personne, privée de sa logique, peine à conserver une organisation psychique cohérente.qués ces derniers temps. Mais nous le banalisons chaque jour car c'est le seul moyen de nous adapter et de rendre ces nouvelles exigences vivables.

Tous les régimes totalitaires ont utilisé ces mêmes stratégies efficaces. La peur, la culpabilisation, la sanction, l'usage de l'arbitraire qui prive de sens, constituent la matrice des dictatures.

L'agresseur -celui qui maltraite, persécute, séquestre, humilie, peu importe les actes qu'il fait subir- a sa propre logique. Pour échapper à la folie, il faut rester dans nos repères habituels, les valider chaque jour, et identifier le fonctionnement de l'agresseur comme relevant du pathologique sous peine de s'identifier à lui (syndrome dit de Stockholm).

Les dictateurs choisissent seuls les chemins menant au bonheur du peuple.

Quand le non-sens est établi en système, la valeur de l'être humain est niée et la personne, privée de sa logique, peine à conserver une organisation psychique cohérente.

Dr. Frédéric BADEL