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05/02/2015

Goran Bregovic

 

Et en cette époque où interdire les artistes d'exister et de se produire quand ils ne pensent pas comme on leur somme de penser (!!) un hommage à ce magnifique musicien qu'est Goran Brégovic (censuré comme tant d'autres, parce qu'il qu'ils dit des choses de bon sens au sujet de la Crimée et de la Russie). la chanson de Résistance "Bella ciao" en version trompettes serbes ! super beau !
https://www.youtube.com/watch?v=OyMA84-mowI

 

 

31/01/2015

la fin de tout, le verrou sur la dictature totale des prédateurs

c'est une horreur ce truc, le verrou sur la dictature finale, pire encore que l'UE

Selon une ébauche obtenue par le journal allemand Die Zeit, publié en mars 2014, l’article 14 des règles proposées du PTCI interdit aux gouvernements de «directement ou indirectement nationaliser, exproprier ou appliquer des mesures ayant l’effet équivalent à la nationalisation ou expropriation» des investissements, à moins que cela soit réalisé pour un «objectif public; par respect de la loi; sur une base non discriminatoire» et prévoit «une indemnisation effective».
Les tribunaux RDIE délibèrent à huis clos. Ils sont composés d’avocats d’entreprises et il n’y a pas de droit d’appel et ni de plafond d’indemnisation que les tribunaux peuvent attribuer et ces derniers peuvent ordonner les trésoriers de l’État à indemniser les entreprises dont les «profits futurs escomptés» sont minés par les politiques gouvernementales.

Parmi les cas les plus tristement célèbres:

La compagnie d’assurance hollandaise de santé Achmea qui avait saisi 29,5 millions d’euros de fonds publics de la République slovaque comme «indemnisation» contre ses démarches en 2006 pour restreindre les pouvoirs des entreprises privées dans le secteur de la santé publique.

Veolia de France qui fait un procès contre l’Égypte pour des dommages suite à la fin de son contrat de traitement de déchets à Alexandrie en octobre 2011, prétendant que la décision du Conseil national des salaires d’ajuster les salaires en fonction de l’inflation avait causé préjudice à ses bénéfices prévus.

quel cynisme éhonté ! bientôt les cambrioleurs porteront plainte contre leurs victimes qui auront appelé la police, car ce faisant ils auront réduit leurs butin escompté !

espérons que les spéculateurs, personnes physiques bien concrètes, rebaptisés "les marchés", n'auront pas la peau de la Grèce, et que Tsipras arrivera de le libérer des griffes de cette bande de voleurs de grands chemins, car sinon il n'y aurait plus qu'à se pendre !

 

Le Süddeutsche zeitung se plaint de ce que Tsipras n'est pas un mercenaire plein de haine (arrêt des "sanctions contre De Gaulle, pardon ! contre Poutine)

Et les premières mesures d'urgence de récupération de tout ce qu'on a volé aux grecs et décrit comme un "cadeau", bref il n'y a que les cadeaux aux banquiers qui sont honorable ! morale de bandits de grands chemins qui vous tiennent en joue !
http://www.courrierinternational.com/dessin/2015/01/29/le...

(quand aux "Grec Indépendants", qu'il est de bon ton dans notre presse Voix-de-nos-Maîtres de caricaturer et de diaboliser, ce sont patriotes qui sont d'accord avec le programme social de Syriza et en voulant libérer la Grèce du racket auquel elle est soumise lutte pour la liberté de tous les peuples d'Europe)

29/01/2015

Thierry Meyssan l'honneur de la France

 

*

Thierry Meyssan et le Réseau Voltaire - site de grande valeur absolument indispensable, actuellement sous attaque informatique et campagne de calomnies
(profitez de ce que cette vidéo est sur Youtube et que donc il est possible de la télécharger, dépéchez-vous de la télécharger, vous pourrez la visionner par petites tranches (il y en a pour 5 heures !) et la mettre à l'abris si jamais les forces de censures la suppriment ! et comme ça vous pourrez plus tard la rediffuser ailleurs si jamais on l'efface de Youtube.)

remarquez 'idée d'Edward Luttwak selon qui un coup d'Etat réussi c'est quand personne ne s'est aperçu qu'il y a eu un coup d'Etat, comme ça il n'y a pas de révolte ! (de même que de Marenches, ex-directeur des services Secrets français disait qu'une "opération spéciale" (tio estas false flags, assassinats, tout ça) au sujet de laquelle le public se pose des questions, c'est une "opération spéciale" ratée ! quand elle est réussi personne ne la remarque seulement, tout le monde pense que la victime est morte de mort naturelle par exmple, que les "terroristes sont devrais terroristes, l'"accident" un vrai accident, etc)

27/01/2015

les aveux de sarkozy

« Il y a eu une improvisation sur le et la . Je ne dis pas qu’il ne fallait pas intervenir, mais je n’ai toujours pas compris ce qu’on allait y faire. Le Mali, c’est du désert, des montagnes et des grottes. Quand je vois le soin que j’ai mis à intervenir en Côte d’Ivoire… On a sorti Laurent Gbagbo, on a installé Alassane Ouattara, sans aucune polémique, sans rien». Nicolas a fait cet aveu de taille lors des nombreux rendez-vous secrets qu’il a eus pendant sa retraite politique de deux ans et demi avec Nathalie Schuck et Frédéric Gerschel pour chroniquer le quinquennat de François . Des confidences que les deux journalistes français ont consignées dans un livre paru, en novembre 2014, aux éditions Flammarion, sous le titre : « Ça reste entre nous, hein ? Deux ans de confidences de Nicolas ». Et qui dévoile, selon l’éditeur, «un brut de décoffrage, sans le filtre de la communication que les Français détectent et abhorrent».

Les vérités d’un aveu

Nicolas Sarkozy avoue avoir installé Alassane Ouattara en renversant le président Laurent Gbagbo, déclaré élu à l’issue de l’élection présidentielle de novembre 2010, et investi comme tel par le Conseil constitutionnel, l’unique juge des élections en Côte d’Ivoire. Gbagbo a été «sorti» pour qu’Alassane Ouattara soit «installé» comme l’affirme Nicolas Sarkozy, à la page 39 du livre.

La première vérité, c’est qu’il s’agit d’un aveu pur et simple de coup d’Etat. La deuxième vérité dévoilée par cet aveu, c’est que Sarkozy reconnaît l’implication de dans le drame ivoirien qui a coûté la vie à des milliers d’enfants, de et d’hommes. La troisième vérité, c’est la raison économique qui a motivé, comme l’indique Nicolas Sarkozy, la de l’ en Côte d’Ivoire. Notre pays étant pour , une vache à lait. Dès lors, toutes ses ressources naturelles énormes doivent être contrôlées par .

Toutes ces vérités contredisent clairement ce que Nicolas Sarkozy avait toujours brandi comme argument au début de son offensive contre le président Gbagbo dans une affaire de contentieux électoral. A savoir que c’était pour « le respect du choix des Ivoiriens exprimé dans les urnes».

Le choix des Ivoiriens n’était pas Ouattara. Gbagbo qui en était sûr avait demandé le recomptage des voix sous la supervision de la communauté internationale pour voir où se trouvait la vérité. Mais cette démarche démocratique et pacifique avait été catégoriquement récusée par Sarkozy qui a usé de la violence militaire pour installer son poulain, Alassane Ouattara, à la tête de la Côte d’Ivoire.

Robert Krassault ciurbaine@yahoo.fr

Source : http://presse.ivorian.net/informations/?p=15552

20/01/2015

une vie de moins

03/01/2015

la société de l'avenir, c'est ça que vous voulez ?

http://www.dailymotion.com/video/xk1ltd_l-entretien-d-emb...

23/12/2014

quelques dessins pour Noël

*Noel-Slave-.jpg

*

Nativite-.jpg

*voilà ce qu'est devenu le monde d'aujourd'hui; l'esprit de Noël, comme on disait autrefois, est bien mort, et sans doute interdit par la loi en qualité de "signe religieux ostentatoire" !

kaj nun kristnaska fabelo, sed moderna, mi bedaŭras !

 

 

KRISTNASKA FABELO MODERNA

 

Nuntempe Jesuo-Kristo estus rigardata kiel frenezulon; oni enfermus lin, kaj plenŝtopus lin per neŭroleptikoj.

Fakte unue li ne estus naskiĝinta : la virgulino Mario estus sin abortigita. Nu, pensu ! je tioma aĝo oni nepre ne konsentus ke ŝi naskus infanon; la socia premo estintus tro forta.

Kaj, se li estus naskita, senŝirmaj kiel ili estis, nuntempe ili neniam trovintus ian ajn stalon por ŝirmiĝi ; aŭ oni venigus al ili la policon ! Li estus naskiĝinta sur trotuaro. Ne, la patrinon oni enhospitaligus en akuŝejon ( Jozefo, li, eksteren ! al la strato. Ne ! en malliberejon : konsiderinte la aĝon de Mario, oni kondamnus lin pro pedofilio !), kaj oni forprenus disde ŝi la infanon tuj post la nasko, por formeti lin en establon de la « Socia Helpo » ; kaj nenia fuĝo en Egipton eblus ! Ĉiamaniere nuntempe la fuĝo en Egipton ne estus ebla : la landlimoj estas nun tro bone kontrolataj kaj hermetikaj ; kaj senlegitimaĵaj ili estus arestitaj kaj retroirigitaj en ilian landon, kaj transdonitaj al la polico de Herodo !

*

02/12/2014

la société contemporaine devient d'un totalitarisme délirant

Finlande : un enfant retiré à une famille russe

Finlande : un enfant retiré à une famille russe

© href="http://www.youtube.com/user/Pronssisoturi/" target="_blank" rel="nofollow"

Par La Voix de la Russie | Les autorités finlandaises ont retiré la fillette Diana de 10 ans à la citoyenne russe Alexandra Fomina. Cela a été annoncé par le défenseur des droits de l’Homme finlandais Johan Backman.

Le 7 novembre, cette jeune citoyenne de la Fédération de Russie n'est pas revenue de l'école.

Le week-end dernier, la jeune fille a été placée en "tutelle".

Backman a noté que les autorités finlandaises n’étaient pas obligées de déclarer les raisons de retrait de l’enfant. (!!) Selon une version, Diana aurait dit une voisine finlandaise que sa mère l’a donnée une fessée.

Selon la seconde version, la jeune fille a été retirée parce qu’elle se plaignait que sa mère a refusé de prendre un chien chez soi.

L’originaire de Saint-Pétersbourg Fomina vit à Vantaa depuis 3 ans.

Elle est en train de divorcer avec son mari finlandais.

Fomina demande de l'aide aux autorités de la Fédération de Russie.
Lire la suite: http://french.ruvr.ru/news/2014_11_11/Finlande-un-enfant-...

http://miiraslimake.over-blog.com/article-731736.html

27/11/2014

le bassin de Briey vous connaissez ? - révélations !


La face cachée de la « GRANDE » guerre
 

Nous savons à quoi nous en tenir sur les politiciens véreux qui pactisent avec l'ennemi pendant les hostilités même. Dans sa remarquable étude sur le pacifisme intégral, Jean Gauchon décrit parfaitement ces périodes troubles, ces mar­chandages abjects perpétrés, loin des canons, par ceux qui fortifient ou construisent leurs fortunes en alimentant les charniers.
Ainsi, en 1914 :


Les marchands de canons, dont les principaux étaient Schneider en France et Krupp en Allemagne, étaient étroite­ment unis en une sorte de trust international dont le but secret était d'accroître l'immense fortune de ses membres en augmentant la production de guerre, de part et d'autre de la frontière.


A cet effet, ils disposaient de moyens puissants pour semer la panique parmi la population des deux pays, afin de persuader chacune que l'autre n'avait qu'un but : l'attaquer.

 
De nombreux journalistes, des parlementaires, étaient grassement rétribués par eux pour remplir ce rôle. D'ailleurs, un important munitionnaire français, de Wendel, député de surcroît, avait pour cousin un autre munition­naire, allemand. Von Wendel, siégeant au Reichstag. Ils étaient aux premières loges, dans chaque pays, pour acheter les consciences et faire entendre leurs cris d'alarme patriotiques.

 
Tout ce joli monde - marchands de canons, journa­listes et parlementaires - parvint aisément à lancer les deux peuples dans une folle course aux armements que rien ne devait plus arrêter, jusqu'à ta guerre.


Leurs Chefs d'Etat respectifs, loin de les freiner, les encourageaient. Et notamment notre Président de la Répu­blique, Raymond Poincaré, un Lorrain, élevé dans l'idée de revanche et prêt à n'importe quel mensonge, à n'importe quel forfait, pour reconquérir l'Alsace et la Lorraine.

 
C'est pour ces différents motifs que les soldats alle­mands et français allaient s'entr'égorger.

On leur avait appris à se haïr, alors que les munition­naires et les états-majors, fraternellement unis, suivaient avec satisfaction, à l'arrière, les déroulements du drame qu'ils avaient conjointement déclenché.

 
Pour bien approfondir cette immense duperie, et pour que tous nos lecteurs comprennent que le "patriotisme", et la "défense du territoire" ne sont que des mots creux ser­vant à couvrir les plus abominables tripotages. 

Il convient de raconter l'histoire du bassin de Briey, car elle est carac­téristique, symptomatique, et, à elle seule, devrait dégoûter à jamais les peuples de prendre les armes.

 
Les mines de fer de Briey-Thionville étaient à cheval sur les frontières du Luxembourg, de la France et de l'Alle­magne. La famille franco-allemande de Wendel en était pro­priétaire.

 
Ce bassin était d'une importance capitale pour le dérou­lement de la guerre. M. Engerand, dans un discours prononcé à la Chambre des députés, après le conflit, le 31 janvier 1919 dira :

 

« En 1914 ; la seule région de Briey faisait 90 % de toute notre production de minerai de fer ».
 

Poincaré lui-même avait écrit autrefois : « L'occupation du bassin de Briey par les Allemands ne serait rien moins qu'un désastre puisqu'elle mettrait entre leurs mains d'incom­parables richesses métallurgiques et minières dont l'utilité peut être immense pour celui des belligérants qui les détiendra ».

 


Or, il se passa un fait extraordinaire : dès le 6 août 1914, le bassin fut occupé par les Allemands sans aucune résistance.


Plus extraordinaire encore : le général de division chargé de la défense de cette région, le général Verraux, révéla par la suite que sa consigne (contenue dans une enveloppe fermée à ouvrir en cas de mobilisation), lui prescrivait formel­lement d'abandonner Briey sans combat.


La vérité, connue longtemps après, était la suivante : une entente avait été passée entre certains membres de l'état­-major et des munitionnaires français, pour laisser le bassin aux mains des Allemands, afin que la guerre se prolonge (les Allemands n'auraient pu la poursuivre sans le minerai de fer), et que les bénéfices des marchands de canons soient accrus.


Et vive la légitime défense au nom de laquelle on s'étripait un peu partout sur les champs de bataille ! 

Mais cette histoire - combien édifiante ! - n'est pas terminée. 

Pendant tout le conflit, il n'y eut pas une seule offen­sive française contre Briey ! Ce n'était pourtant pas faute d'avertissements !

 

En effet, en pleine guerre, le Directeur des Mines envoyait la note suivante au sénateur Bérenger :

 

« Si la région de Thionville (Briey) était occupée par nos troupes, l'Alle­magne serait réduite aux quelques 7 millions de tonnes de minerais pauvres qu'elle tire de la Prusse et de divers autres Etats, toutes ses fabrications seraient arrêtées. Il semble donc qu'on puisse affirmer que l'occupation de la région de Thionville mettrait immédiatement fin à la guerre, parce qu'elle priverait l'Allemagne de la presque totalité du métal qui lui est nécessaire pour ses armements ».

 
L'état-major français et le Président de la République furent abondamment avertis de ces faits.


Des dossiers complets sur cette affaire furent même fournis à Poincaré par le député Engerand.

 

Poincaré refusa d'intervenir. L'Etat-Major refusa toute offensive du côté de Briey.


A défaut d'offensive, de reprise du terrain, on aurait pu bombarder Briey pour rendre inutilisables les installations. 

Au contraire, des accords secrets furent passés entre états-majors allemands et français, afin que les trains remplis de minerai se dirigeant vers l'Allemagne ne fussent, en aucun cas bombardés.

 
En passant, disons que, bien entendu, ces mêmes états-­majors avaient décidé également de ne pas détruire leurs quartiers généraux respectifs... Ces deux bandes de gangsters étaient "régulières" !

 
Des aviateurs français, néanmoins, désobéirent aux ordres reçus et lancèrent quelques bombes sur les installa­tions de Briey. Ils furent sévèrement punis.


Et savez-vous par quel intermédiaire les directives secrètes d'interdiction de bombarder avaient été données ? Par un certain lieutenant Lejeune - tout puissant, quoique simple lieutenant - qui, dans le civil, avant la guerre, était ingénieur attaché aux mines de Jœuf et employé de M. de Wendel.

 

Pour conclure nous ne saurions mieux faire que de citer Jean Galtier-Boissière (Histoire de la Guerre 14-18) : «

Pour ne pas léser de très puissants intérêts privés, et pour éviter d'enfreindre les accords secrets conclus entre métal­lurgistes allemands et français, on a sacrifié, dans des entre­prises militaires inefficaces, des centaines de milliers de vies humaines, sauf sur un point : Briey-Thionville, dont, durant quatre années, l'Allemagne en toute tranquillité a tiré les moyens de continuer la lutte ».

 
Mais la famille franco-allemande de Wendel faisait des bénéfices!


Cette histoire n'est qu'un exemple, parmi beaucoup, de la collusion des munitionnaires et des gouvernements des pays en guerre.


Vous connaissez peut-être l'aventure de ce navire inter­cepté, durant la guerre de 1914, par la flotte française, alors qu'il transportait du minerai de nickel en Allemagne. Le bateau fut pris, la Chambre des Députés consultée décida qu'il serait dévié sur le Danemark pour de là repartir, devinez où... en Allemagne, bien sûr !

 

Pendant ce temps des hommes sincères s'égorgeaient en croyant sauver leurs patries respectives, et des "chefs" entretenaient la flamme guerrière à grands coups d'exécutions pour l'exemple !

17/11/2014

il ne faut jamais s'abstenir de réfléchir

13/6/1997 Un professeur alcoolique a été dénoncé comme tel par un médecin de santé scolaire (et le secret médical ?! et le serment d'Hippocrate ?!); on va faire une enquête sur son compte, et les employées de l'** s'activent là-dessus pour essayer de le localiser et le "pincer", et etc, comme l'auraient fait avec autant de sérieux, de zèle et de conviction, et sans états d'âme, que les fonctionnaires des années 40-45 le faisaient sur les cas des juifs à repérer et à chasser de la fonction publique, et etc

Il ne faut jamais s'abstenir de réfléchir sur ce qui se passe.