03/01/2015
la société de l'avenir, c'est ça que vous voulez ?
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23/12/2014
quelques dessins pour Noël
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*voilà ce qu'est devenu le monde d'aujourd'hui; l'esprit de Noël, comme on disait autrefois, est bien mort, et sans doute interdit par la loi en qualité de "signe religieux ostentatoire" !
kaj nun kristnaska fabelo, sed moderna, mi bedaŭras !
KRISTNASKA FABELO MODERNA
Nuntempe Jesuo-Kristo estus rigardata kiel frenezulon; oni enfermus lin, kaj plenŝtopus lin per neŭroleptikoj.
Fakte unue li ne estus naskiĝinta : la virgulino Mario estus sin abortigita. Nu, pensu ! je tioma aĝo oni nepre ne konsentus ke ŝi naskus infanon; la socia premo estintus tro forta.
Kaj, se li estus naskita, senŝirmaj kiel ili estis, nuntempe ili neniam trovintus ian ajn stalon por ŝirmiĝi ; aŭ oni venigus al ili la policon ! Li estus naskiĝinta sur trotuaro. Ne, la patrinon oni enhospitaligus en akuŝejon ( Jozefo, li, eksteren ! al la strato. Ne ! en malliberejon : konsiderinte la aĝon de Mario, oni kondamnus lin pro pedofilio !), kaj oni forprenus disde ŝi la infanon tuj post la nasko, por formeti lin en establon de la « Socia Helpo » ; kaj nenia fuĝo en Egipton eblus ! Ĉiamaniere nuntempe la fuĝo en Egipton ne estus ebla : la landlimoj estas nun tro bone kontrolataj kaj hermetikaj ; kaj senlegitimaĵaj ili estus arestitaj kaj retroirigitaj en ilian landon, kaj transdonitaj al la polico de Herodo !
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02/12/2014
la société contemporaine devient d'un totalitarisme délirant
Finlande : un enfant retiré à une famille russe
© href="http://www.youtube.com/user/Pronssisoturi/" target="_blank" rel="nofollow"
Par La Voix de la Russie | Les autorités finlandaises ont retiré la fillette Diana de 10 ans à la citoyenne russe Alexandra Fomina. Cela a été annoncé par le défenseur des droits de l’Homme finlandais Johan Backman.
Le 7 novembre, cette jeune citoyenne de la Fédération de Russie n'est pas revenue de l'école.
Le week-end dernier, la jeune fille a été placée en "tutelle".
Backman a noté que les autorités finlandaises n’étaient pas obligées de déclarer les raisons de retrait de l’enfant. (!!) Selon une version, Diana aurait dit une voisine finlandaise que sa mère l’a donnée une fessée.
Selon la seconde version, la jeune fille a été retirée parce qu’elle se plaignait que sa mère a refusé de prendre un chien chez soi.
L’originaire de Saint-Pétersbourg Fomina vit à Vantaa depuis 3 ans.
Elle est en train de divorcer avec son mari finlandais.
Fomina demande de l'aide aux autorités de la Fédération de Russie.
Lire la suite: http://french.ruvr.ru/news/2014_11_11/Finlande-un-enfant-...
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27/11/2014
le bassin de Briey vous connaissez ? - révélations !
La face cachée de la « GRANDE » guerre
Nous savons à quoi nous en tenir sur les politiciens véreux qui pactisent avec l'ennemi pendant les hostilités même. Dans sa remarquable étude sur le pacifisme intégral, Jean Gauchon décrit parfaitement ces périodes troubles, ces marchandages abjects perpétrés, loin des canons, par ceux qui fortifient ou construisent leurs fortunes en alimentant les charniers.
Ainsi, en 1914 :
Les marchands de canons, dont les principaux étaient Schneider en France et Krupp en Allemagne, étaient étroitement unis en une sorte de trust international dont le but secret était d'accroître l'immense fortune de ses membres en augmentant la production de guerre, de part et d'autre de la frontière.
A cet effet, ils disposaient de moyens puissants pour semer la panique parmi la population des deux pays, afin de persuader chacune que l'autre n'avait qu'un but : l'attaquer.
De nombreux journalistes, des parlementaires, étaient grassement rétribués par eux pour remplir ce rôle. D'ailleurs, un important munitionnaire français, de Wendel, député de surcroît, avait pour cousin un autre munitionnaire, allemand. Von Wendel, siégeant au Reichstag. Ils étaient aux premières loges, dans chaque pays, pour acheter les consciences et faire entendre leurs cris d'alarme patriotiques.
Tout ce joli monde - marchands de canons, journalistes et parlementaires - parvint aisément à lancer les deux peuples dans une folle course aux armements que rien ne devait plus arrêter, jusqu'à ta guerre.
Leurs Chefs d'Etat respectifs, loin de les freiner, les encourageaient. Et notamment notre Président de la République, Raymond Poincaré, un Lorrain, élevé dans l'idée de revanche et prêt à n'importe quel mensonge, à n'importe quel forfait, pour reconquérir l'Alsace et la Lorraine.
C'est pour ces différents motifs que les soldats allemands et français allaient s'entr'égorger.
On leur avait appris à se haïr, alors que les munitionnaires et les états-majors, fraternellement unis, suivaient avec satisfaction, à l'arrière, les déroulements du drame qu'ils avaient conjointement déclenché.
Pour bien approfondir cette immense duperie, et pour que tous nos lecteurs comprennent que le "patriotisme", et la "défense du territoire" ne sont que des mots creux servant à couvrir les plus abominables tripotages.
Il convient de raconter l'histoire du bassin de Briey, car elle est caractéristique, symptomatique, et, à elle seule, devrait dégoûter à jamais les peuples de prendre les armes.
Les mines de fer de Briey-Thionville étaient à cheval sur les frontières du Luxembourg, de la France et de l'Allemagne. La famille franco-allemande de Wendel en était propriétaire.
Ce bassin était d'une importance capitale pour le déroulement de la guerre. M. Engerand, dans un discours prononcé à la Chambre des députés, après le conflit, le 31 janvier 1919 dira :
« En 1914 ; la seule région de Briey faisait 90 % de toute notre production de minerai de fer ».
Poincaré lui-même avait écrit autrefois : « L'occupation du bassin de Briey par les Allemands ne serait rien moins qu'un désastre puisqu'elle mettrait entre leurs mains d'incomparables richesses métallurgiques et minières dont l'utilité peut être immense pour celui des belligérants qui les détiendra ».
Or, il se passa un fait extraordinaire : dès le 6 août 1914, le bassin fut occupé par les Allemands sans aucune résistance.
Plus extraordinaire encore : le général de division chargé de la défense de cette région, le général Verraux, révéla par la suite que sa consigne (contenue dans une enveloppe fermée à ouvrir en cas de mobilisation), lui prescrivait formellement d'abandonner Briey sans combat.
La vérité, connue longtemps après, était la suivante : une entente avait été passée entre certains membres de l'état-major et des munitionnaires français, pour laisser le bassin aux mains des Allemands, afin que la guerre se prolonge (les Allemands n'auraient pu la poursuivre sans le minerai de fer), et que les bénéfices des marchands de canons soient accrus.
Et vive la légitime défense au nom de laquelle on s'étripait un peu partout sur les champs de bataille !
Mais cette histoire - combien édifiante ! - n'est pas terminée.
Pendant tout le conflit, il n'y eut pas une seule offensive française contre Briey ! Ce n'était pourtant pas faute d'avertissements !
En effet, en pleine guerre, le Directeur des Mines envoyait la note suivante au sénateur Bérenger :
« Si la région de Thionville (Briey) était occupée par nos troupes, l'Allemagne serait réduite aux quelques 7 millions de tonnes de minerais pauvres qu'elle tire de la Prusse et de divers autres Etats, toutes ses fabrications seraient arrêtées. Il semble donc qu'on puisse affirmer que l'occupation de la région de Thionville mettrait immédiatement fin à la guerre, parce qu'elle priverait l'Allemagne de la presque totalité du métal qui lui est nécessaire pour ses armements ».
L'état-major français et le Président de la République furent abondamment avertis de ces faits.
Des dossiers complets sur cette affaire furent même fournis à Poincaré par le député Engerand.
Poincaré refusa d'intervenir. L'Etat-Major refusa toute offensive du côté de Briey.
A défaut d'offensive, de reprise du terrain, on aurait pu bombarder Briey pour rendre inutilisables les installations.
Au contraire, des accords secrets furent passés entre états-majors allemands et français, afin que les trains remplis de minerai se dirigeant vers l'Allemagne ne fussent, en aucun cas bombardés.
En passant, disons que, bien entendu, ces mêmes états-majors avaient décidé également de ne pas détruire leurs quartiers généraux respectifs... Ces deux bandes de gangsters étaient "régulières" !
Des aviateurs français, néanmoins, désobéirent aux ordres reçus et lancèrent quelques bombes sur les installations de Briey. Ils furent sévèrement punis.
Et savez-vous par quel intermédiaire les directives secrètes d'interdiction de bombarder avaient été données ? Par un certain lieutenant Lejeune - tout puissant, quoique simple lieutenant - qui, dans le civil, avant la guerre, était ingénieur attaché aux mines de Jœuf et employé de M. de Wendel.
Pour conclure nous ne saurions mieux faire que de citer Jean Galtier-Boissière (Histoire de la Guerre 14-18) : «
Pour ne pas léser de très puissants intérêts privés, et pour éviter d'enfreindre les accords secrets conclus entre métallurgistes allemands et français, on a sacrifié, dans des entreprises militaires inefficaces, des centaines de milliers de vies humaines, sauf sur un point : Briey-Thionville, dont, durant quatre années, l'Allemagne en toute tranquillité a tiré les moyens de continuer la lutte ».
Mais la famille franco-allemande de Wendel faisait des bénéfices!
Cette histoire n'est qu'un exemple, parmi beaucoup, de la collusion des munitionnaires et des gouvernements des pays en guerre.
Vous connaissez peut-être l'aventure de ce navire intercepté, durant la guerre de 1914, par la flotte française, alors qu'il transportait du minerai de nickel en Allemagne. Le bateau fut pris, la Chambre des Députés consultée décida qu'il serait dévié sur le Danemark pour de là repartir, devinez où... en Allemagne, bien sûr !
Pendant ce temps des hommes sincères s'égorgeaient en croyant sauver leurs patries respectives, et des "chefs" entretenaient la flamme guerrière à grands coups d'exécutions pour l'exemple !
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17/11/2014
il ne faut jamais s'abstenir de réfléchir
13/6/1997 Un professeur alcoolique a été dénoncé comme tel par un médecin de santé scolaire (et le secret médical ?! et le serment d'Hippocrate ?!); on va faire une enquête sur son compte, et les employées de l'** s'activent là-dessus pour essayer de le localiser et le "pincer", et etc, comme l'auraient fait avec autant de sérieux, de zèle et de conviction, et sans états d'âme, que les fonctionnaires des années 40-45 le faisaient sur les cas des juifs à repérer et à chasser de la fonction publique, et etc
Il ne faut jamais s'abstenir de réfléchir sur ce qui se passe.
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29/10/2014
That the wider world is unaware is a scandal
http://www.theguardian.com/commentisfree/2014/oct/08/why-...
au milieu de la guerre les KURDES réinventent la démocratie (et le socialisme)
http://www.vineyardsaker.fr/2014/10/24/loeil-itinerant-tu...
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08/10/2014
Le journaliste Udo Ulfkotte balance: "les médias trahissent le public continuellement" "J'étais un agent non officiel sous couverture"
Le journaliste Udo Ulfkotte balance: "les médias trahissent le public continuellement" "J'étais un agent non officiel sous couverture"
Ce journaliste avec 25 ans de carrière interviewé par RT dénonce les mensonges généralisés dans les médias de masse. Il dit qu'il a lui-même été formé pour mentir et trahir le public et qu'il regrette ce qu'il a fait dans le passé. Il se lève aujourd'hui pour dénoncer la propagande de guerre impulsée par les médias contre la Russie.
Il en a marre des mensonges et indique que l'on vit dans une république bananière, pas dans une démocratie avec une vrai presse indépendante. Certains de ses collègues font partie d'organisations transatlantiques et sont soutenus par les Etats-Unis pour faire de la propagande.
Il affirme une information déjà largement suspectée par ailleurs: de nombreux journalistes expatriés sont en fait également des "agent non officiels sous couverture". Udo Ulfkotte travaillait par exemple à la fois pour le Frankfurter Allgemeine Zeitung et pour la CIA. Son travail consistait à faire de la propagande pro-américaine et pro-européenne.
D'après lui, l’Allemagne est une colonie des Etats-Unis. Les organisations transatlantiques invitent des journalistes, leurs font la cour, leurs payent des voyages puis les soudoient pour les avoir dans leur poche. Ils deviennent ainsi progressivement des "agents non officiels sous couverture" dont l'agence peut nier tout lien avec eux avec si nécessaire. Ce serait particulièrement le cas des journalistes allemands, anglais, israéliens, australiens, néo-zélandais mais aussi bien sûr les français (pas étonnant d'ailleurs). On revient à l'opération Mockinbird.
Pire encore, le journaliste affirme qu'il lui est arrivé de recevoir un article déjà rédigé concernant Kadhafi et qu'on lui demandait simplement d'y coller sa signature pour la publication sur le Frankfurter Allgemeine Zeitung. L'article provenait directement des services de renseignements allemands, le Bundesnachrichtendienst (BND). Certains journalistes qui n'acceptent pas de coopérer sont licenciés.
Il finit son intervention ainsi:
"La vérité sera révélé un jour. La vérité ne meurt jamais. Je me fiche de ce qui arrivera. J'ai eu 3 crises cardiaques, je n'ai pas d'enfants, donc s'ils veulent m'envoyer devant un tribunal ou en prison, cela vaut la peine pour la vérité".
Chapeau bas M. Ulfkotte.
Pendant ce temps das plein de pays d'Europe des partis se réusnissent à Athènes en novembre dernier
- EPAM (Front unitaire populaire) – Grèce.
- Union Populaire Républicaine (UPR) – France.
- Per Il Bene Comune (Pour le bien commun) – Italie.
- Asociación Democracia Real Ya (Association démocratie réelle maintenant) – Espagne.
- Campaign for an Independent Britain (Campagne pour une Grande-Bretagne indépendante) – Grande-Bretagne.
- Alza Il Pugno /Eurotruffa (Soulevez votre poing/ Eurotruffa) – Italie.
- Economia Per I Cittadini (EPIC – L’économie pour les citoyens) – Italie.
- National Platform (Plateforme nationale) – Irlande.
- Mouvement Politique d’Emancipation Populaire (MPEP) – France
- IPU (Parti de l’indépendance) – Finlande.
Et ceux qui se sont réunis récemment à Assise :
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-Borotba (Combat) : Sergeï Kirichuk, Ukraine.
-Committee « Euro exit » (Comité « Sortir de l’euro ») : Wilhelm Langthaler, Albert F. Reiterer, Autriche.
-Coordinamento nationale sinistra contro l’euro (Coordination nationale contre l’euro) : Moreno Pasquinelli, Italie.
-Frente Civico (FC – Front civique) : Manolo Monero Pérez, Espagne.
-Front uni populaire (EPAM) : Antonis Raskousis, Grèce.
-Initiative e.V. Duisburg : Thomas Zmrzly, Allemagne.
-Left Co-March, Kostas Kostopoulos, Grèce.
-Mouvement politique d’émancipation populaire (M’PEP) : Jacques Nikonoff, Joël Périchaud, France.
-Plan B : Nasia Pliakogianni, Grèce.
pour la France ce fut :
http://www.m-pep.org/spip.php?article3850
26/09/2014
les horreurs découvertes !
Des fosses communes remplies de corps d’habitants, torturés et exécutés par les militaires ukrainiens, ont ainsi été mises au jour. Les faits les plus épouvantables déjà signalés auparavant par les forces d’autodéfense ont été confirmés: les punisseurs de la Garde nationale et des "bataillons de volontaires" ont perpétré un génocide dans le Donbass.
Les forces d’autodéfense venues déminer la zone ont découvert une fosse commune près d’une carrière du village Nijniaïa Krynka dans la région de Donetsk. Quatre corps de femmes et plusieurs corps d’hommes s’y trouvaient, à peine recouverts de terre. Les hommes avaient les mains attachées dans le dos, un corps était décapité et tous – les hommes et les femmes – ont été torturés avant d’être exécutés d’une balle dans la nuque. Les femmes, dont une était enceinte, ont été violées avant l’exécution. Telles sont les traces laissées par le bataillon "Aïdar" déployé à proximité de la carrière.
Contrairement aux constats précédents faits jusque-là par le Parquet militaire des républiques autoproclamées du Donbass sur le traitement cruel des militaires ukrainiens envers les civils, complètement ignorés par les médias ukrainiens et occidentaux, cette fois des experts et des observateurs de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) se sont rendus sur les lieux. Les forces d’autodéfense ont également annoncé la découverte d’autres fosses sur le territoire qui était jusqu’à récemment contrôlé par l’armée ukrainienne, et attendent l’arrivée des démineurs et des experts judiciaires accompagnés d’observateurs européens. Les corps de la fosse commune de Nijniaïa Krynka ont été exhumés et envoyés à Donetsk pour une expertise médico-légale et identification. De leur côté, les procureurs militaires de Donetsk interrogent les habitants, qui confirment la disparition de plusieurs hommes et femmes capturés dans la rue par les combattants du bataillon "Aïdar".
Il s’agit des premières preuves formelles des sévices des bataillons punitifs et de la Garde nationale dans le Donbass. Elles sont irréfutables: Kiev et Bruxelles ne pourront plus les mettre sur le compte de la "propagande".
Le corps d’une femme violée et noyée a été découvert près de Lougansk. On y a découvert également des fosses communes de civils à qui les punisseurs ont même accroché des plaques outrageantes. Les faits horribles s’accumulent. Un membre des forces d’autodéfense a annoncé sur les réseaux sociaux la découverte d’une famille de sept réfugiés assassinés dans une maison.
Une vidéo a été diffusée récemment où l’on voit les combattants du bataillon "Aïdar" ouvrir le feu sur deux adolescents à vélo près de Marioupol. La police locale a confirmé que le premier adolescent avait été tué et le second grièvement blessé.
A Marioupol également, selon le bureau d’information de l’Armée du sud-est, "des fascistes saouls ont commencé à tirer dans un restaurant avec des fusils automatiques, ont violemment battu le propriétaire de l’établissement et ont amené de force deux serveuses". Les deux jeunes filles n’ont toujours pas été retrouvées et la police a peur d’enquêter sur l’incident.
Ce n’est qu’une mince partie des faits recueillis par les militants des droits de l’homme russes et ukrainiens dans le Livre blanc dont la rédaction a commencé après le premier massacre de civils le 2 mai à Odessa.
Lire la suite: http://french.ruvr.ru/news/2014_09_25/Larmee-ukrainienne-a-massacre-des-milliers-dhabitants-du-Donbass-3769/
http://www.alterinfo.net/notes/CRIMES-DE-GUERRE-DE-KIEV-A...
*les néo-nazis ukrainiens sont aussi anti-sémites :
*
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24/09/2014
partout en France
Dans la France des années 40, comme la seule présence de magasins tenus par des juifs « donnait des boutons » à certains, ils se sont arrangés pour leur rendre la vie impossible et les ruiner, sans se demander qu’est-ce qu’ils pourraient devenir dans ces conditions ( enfin, on ne se le demandait pas encore ……….). De même, dans la France actuelle on rend les déplacements et la vie impossible aux Gens du Voyage, sans davantage s’inquiéter de leurs conditions de survie. Et de même que les grandes étoiles à la peinture blanche sur certaines vitrines étaient une vision typique de cette époque, les portiques surbaissés blanc et rouge à l'entrée de tout parking, et les gros blocs de pierre barrant l'entrée des terrains vagues, sont une vision typique de la notre !
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30/08/2014
c'est comme la guerre d'Espagne autrefois, la défense des républiques populaires de Donetsk et Lougansk attire les âmes les plus nobles du monde entier
*vidéo d'un combattant venu de Turkménistan pour défendre les civlis innocents :
et interview d'un ossète :
« Les habitants de Novorossia attendent notre victoire ! ». Entretien avec Alan Mamiev, volontaire-résistant du bataillon « Vostok »
Par La Voix de la Russie | Novorossia résiste. Elle ne tombe pas. Depuis que la junte de Kiev ait décidé d’éliminer la population du Sud-Est d’un Etat qui jadis s’appelait l’Ukraine, la résistance y a joué un rôle clé et ce malgré le fait que les troupes fascistes envoyés par Kiev ont tout de même « réussi » à commettre un très grand nombre de crimes contre les civils du Donbass. Entretien aujourd’hui avec l’un de ces résistants, Alan Mamiev, volontaire au sein du bataillon « Vostok » (l’Est), originaire d’Ossétie.
Par La Voix de la Russie |
Mikhail Gamandiy-Egorov, La Voix de la Russie : Alan, bonjour ! Pourriez-vous si possible brièvement vous présenter à nos lecteurs francophones ?
Alan Mamiev : Je m’appelle Alan (surnom « Koba »), je fais partie des volontaires du bataillon « Vostok ». Je suis originaire d’Ossétie et je suis arrivé ici en tant que volontaire pour combattre le néofascisme. Car je considère que les banderovtsy (partisans du collabo nazi Stepan Bandera et membres d’organisations néonazies et ultra-nationalistes, ndlr) qui ont pris le pouvoir à Kiev doivent être combattus. J’insisterai sur un fait, je ne parle aucunement du peuple ukrainien car la junte qui a pris le pouvoir à Kiev ne représente pas tout le peuple ukrainien. Il s’agit d’un groupe de personnages minoritaire. Lorsqu’on parle par exemple du nazisme en Allemagne, fait-on allusion à tout le peuple allemand ? Jamais. Donc ceux qui représentent nos ennemis sont ces groupes de néofascistes contre lesquels moi et mes camarades sommes venus lutter. Mais j’insiste : aucunement contre le peuple ukrainien. Nous luttons contre cette peste néonazie des partisans de Bandera.
LVdlR : Cela fait combien de temps que vous êtes à Novorossia ?
Alan Mamiev : En ce qui me concerne, cela fait deux mois. Depuis que les combats d’envergure aient commencé.
LVdlR : Comment décririez-vous la situation actuelle ?
Alan Mamiev : Il y a une guerre de positions. Sur certains endroits du front, nous avons dû reculer, sur d’autres nous avons avancé. Mais j’aimerai porter votre attention sur un point très important. Nous représentons à la base des unités d’auto-défense, l’armée insurrectionnelle, et nous devons faire face aussi bien à l’armée régulière ukrainienne qu’aux différents groupes d’extrémistes. En face de nous, nous avons affaire à une armée importante et avec tous les moyens qui en découlent. Donc évidemment nous nous trouvons dans des conditions totalement inégales. Que ce soit sur le plan quantitatif des effectifs armés, qu’en termes de matériel militaire, ainsi que dans les autres domaines. Mais nous résistons malgré tout.
LVdlR : A ma connaissance le bataillon « Vostok » est très international. Quelles nationalités sont représentées parmi les volontaires ?
Alan Mamiev : En effet. Une vraie brigade internationale. Au sein de « Vostok », nous avons des représentants de pratiquement tous les peuples de l’ex-URSS. Du Caucase notamment car nous avons des combattants nord et sud-ossètes, arméniens, géorgiens, ainsi que d’autres régions comme par exemple de Bouriatie. En ce qui concerne les volontaires venus en dehors de l’ex-URSS, nous avons des citoyens français, britanniques, un citoyen allemand, des volontaires antifascistes espagnols… Un vrai groupe international.
LVdlR : Si je comprends bien, toutes ces personnes sont unies par l’antifascisme ?
Alan Mamiev : Oui, exactement. Nous luttons tous contre le néofascisme. J’imagine que certaines personnes en Occident et notamment en Europe, ne connaissent pas ou ne comprennent pas ce qui se passe vraiment ici. Car ce qui se passe ici c’est justement la renaissance du fascisme, dans les pires formes qui soient. D’une certaine manière, cela ressemble à ce qui s’est passé en Espagne avant la Seconde guerre mondiale (Guerre civile espagnole qui opposa de 1936 à 1939 les profascistes aux républicains, ndlr).
LVdlR : Savez-vous que les médias occidentaux décrivent le tout d’une manière trop souvent différente ?
Alan Mamiev : Oui et cela n’est guère surprenant. Lors de la montée au pouvoir d’Hitler, les médias occidentaux avaient longtemps donné une image de lui fort positive.
LVdlR : Il y a par ailleurs un mythe souvent propagé par ces mêmes médias du mainstream, qui affirme qu’au Donbass ce ne sont majoritairement pas des habitants locaux qui combattent contre la junte kiévienne, mais des citoyens russes et autres. Qu’en est-il vraiment ?
Alan Mamiev : Si on parle en termes de pourcentage, au sein des forces de résistance les habitants locaux constituent 95-96% du nombre total des combattants. Le reste étant des volontaires comme moi et mes camarades.
LVdlR : Comme vous l’avez noté précédemment, mis à part le fait que devez faire face aux différents groupes néonazis et ultra-nationalistes issus majoritairement d’Ukraine de l’ouest, vous devez également résister à l’armée régulière. Quelles sont les perspectives de la résistance ? Etes-vous optimiste quant à la victoire ?
Alan Mamiev : Vous savez le temps travaille en notre faveur. Mis à part les problèmes militaires, le fait que la junte de Kiev ne réussit pas à écraser la résistance de Novorossia, d’ici très peu de temps, la junte aura d’autres très grands problèmes. En premier lieu économiques. Chute de la production industrielle qui se trouve très majoritairement au Donbass. Chute de la production agricole. Et vraisemblablement de très sérieux problèmes avec la réception du gaz. Donc tous ces problèmes économiques feront exploser la junte de l’intérieur. D’ici probablement l’automne, la junte sera confrontée à énormément de problèmes internes, au sein même des territoires occupés ukrainiens qu’elle contrôle pour le moment. La très grave crise économique qui est déjà en cours sera encore plus aggravée d’ici l’automne. Nous, notre objectif est de tenir jusque-là.
LVdlR : Pensez-vous qu’alors la junte sera forcée de reconnaitre le fait que Novorossia est une réalité qui ne peut être remise en question ?
Alan Mamiev : Après tous les crimes qui ont été commis par la junte néofasciste contre la population de Novorossia, leur « reconnaissance » ne vaudrait pratiquement rien. Ce n’est aucunement suffisant. Ils vont devoir répondre pour tous les crimes et massacres commis. On se souvient tous de la tragédie d’Odessa. Chaque jour je vois des civils qui se font tuer par les troupes de la junte kiévienne. Ils bombardent la population civile avec des systèmes de lance-roquettes Grad, Smerch, Ouragan. Des utilisations complètement inadmissibles lorsqu’elles sont utilisées dans des conditions urbaines et contre la population civile. Eux, ils l’utilisent. Fort heureusement encore que l’Ukraine durant les années 1990 s’était débarrassée de l’arme nucléaire. Sinon, je n’ai pratiquement aucun doute qu’ils auraient utilisé contre les habitants du Donbass. D’autant plus qu’on se souvient tous des déclarations de Ioulia Timochenko qui avait exprimé un vif désir d’éradiquer toute la population du Donbass avec des armes nucléaires. Très fort heureusement ils ne les ont pas. Mais cela ne les empêche nullement de perpétrer des massacres massifs contre la population civile. Leurs cibles préférées étant les hôpitaux, les écoles, les bâtiments résidentiels. Devant nos yeux, des bâtiments de neufs étages ont été entièrement détruits après des bombardements par l’artillerie lourde.
LVdlR : La situation humanitaire est donc très difficile pour les habitants du Donbass ?
Alan Mamiev : Extrêmement difficile. Ici, à Iassinovataïa où je me trouve, la ville est coupée en eau et en électricité. Le gaz est resté présent seulement dans quelques foyers. Il n’y a plus de produits alimentaires de base, tel que le pain. Les résistants font en sorte de préparer avec les moyens du bord le pain afin de le distribuer gratuitement aux habitants. La ville de Donetsk se trouve également dans une situation humanitaire très difficile. Personnellement, j’ai vraiment l’impression que la junte de Kiev combat ouvertement la population civile du Donbass. Pas autant la résistance que la population civile. A chaque fois qu’ils ont des affrontements directs avec nous, ils subissent de bien grosses pertes. Evidemment, il est donc beaucoup plus facile de viser les civils de loin comme cibles avec de l’armement lourd.
LVdlR : Abordons un autre thème que le mainstream occidental préfère éviter. Selon vous, en cas d’absence d’une résistance féroce à Donbass contre la junte kiévienne, l’option du génocide contre la population de Novorossia serait d’actualité ?
Alan Mamiev : Je pense que oui. Car l’idéologie de ceux qui ont pris le pouvoir à Kiev est justement celle qui se base sur l’idée de création d’un Etat mononational. Une seule langue, une seule version admise de l’histoire, un seul peuple ethnique. Tous ceux qui refusent cette idéologie dans ce que la junte appelle « l’espace culturel ukrainien », devront soit quitter leur territoire, soit être exterminés. C’était l’objectif de Stepan Bandera. C’est l’objectif des nouveaux banderovsty aujourd’hui. « L’Ukraine pour les Ukrainiens ethniques ! », voici leur slogan. Les autres doivent être selon eux écrasés et supprimés.
LVdlR : Y compris les habitants ethniquement ukrainiens qui refusent cette idéologie ?
Alan Mamiev : Exactement ! Les mêmes idées de base et objectifs que ceux de l’Allemagne nazie. Dans un pays multiethnique et de plusieurs langues courantes, ce genre d’idéologie amène inévitablement la guerre civile. C’est le cas aujourd’hui. Comme c’était d’ailleurs le cas lorsque les nazis ukrainiens de Stepan Bandera avaient durant la Seconde guerre mondiale massivement massacré les Russes, Polonais, Juifs, ainsi que d’autres Ukrainiens qui ne partageaient pas leur vision. L’histoire se répète. Et dans cette situation, soit il faut se soumettre, soit résister et combattre. Novorossia a fait le choix de la seconde option.
LVdlR : Autre question pour le futur plus ou moins proche. Comment Novorossia pourra coexister avec un Etat ukrainien dirigé par la junte actuelle et avec l’idéologie qui en ressort ?
Alan Mamiev : Selon moi, cette coexistence est impossible. Mais je pense que la junte ne pourra pas rester bien longtemps au pouvoir. Surtout avec les énormes problèmes économiques qui sont déjà d’actualité et qui le sauront encore beaucoup plus d’ici peu de temps. Les mêmes personnes qui avaient soutenu ce qu’il appelle la « révolution du Maïdan » se retourneront contre ceux qu’ils ont portés au pouvoir. La junte le comprend parfaitement et se prépare déjà à cela. Les représentants de la junte qui travaillent pour des intérêts extra-ukrainiens et dont les familles majoritairement vivent déjà en Occident, leurs comptes bancaires et intérêts y sont également, partiront le moment venu aussi. Ils laisseront leur pays dans le chaos qu’ils ont eux-mêmes créé. Les USA qui sont les principaux instigateurs de ce chaos comprennent aujourd’hui parfaitement qu’ils n’ont pas les moyens d’établir durablement leur nouvel ordre mondial, y compris les moyens économiques. Leur objectif est donc désormais de créer le nouvel désordre mondial, ou en d’autres termes la stratégie du chaos contrôlé. Qu’est-ce que cela signifie ? Lorsque tout le monde fait la guerre à tout le monde, sauf les instigateurs de ce chaos qui gardent le contrôle. Ainsi, les ressources financières continueront à venir massivement aux USA, puisque de nouveau ils représenteront le signe de la « paix et la prospérité ». C’est l’objectif de ladite stratégie. Ils ont créé ce chaos au Moyen-Orient. Ils veulent maintenant le créer ici, aux frontières russes. Ils veulent certainement faire de même en Asie centrale.
LVdlR : Et lorsque le chaos cesse d’être contrôlé, il devient incontrôlable ?
Alan Mamiev : Les USA ne s’en soucient guère. Ils se trouvent de l’autre côté de l’Atlantique. Ils savent parfaitement que les hordes de criminels de guerre très mal éduqués auront de toute façon beaucoup de mal à traverser l’Atlantique pour débarquer chez eux, et que ces groupes extrémistes continueront de semer le chaos ailleurs. En Europe, ces hordes peuvent débarquer à tout moment. D’ailleurs elle n’est aucunement à l’abri d’un tel scénario. Les USA, eux, se trouvent pour le moment bien épargnés. Je ne sais pas si les Européens ont besoin d’un tel scénario de guerre et de chaos total chez eux, j’espère qu’il y a suffisamment de gens qui comprennent ce qui se passe vraiment dans le monde aujourd’hui. Le seul intérêt de l’Europe est en coordonnant les mesures avec la Russie, tenter de mettre fin à ce chaos.
LVdlR : De plus en plus de citoyens européens comprennent la réalité des choses. Mais les élites politiques, financières et médiatiques participent activement au jeu des USA.
Alan Mamiev : Les élites d’Europe occidentale sont autant américanisés que celle de l’Ukraine actuelle. Il faut être aveugle pour ne pas voir et comprendre que toutes les décisions sont prises à Washington. Mis à part le Moyen-Orient, les USA continueront de semer le chaos partout ailleurs. L’un de leurs objectifs étant évidemment de stopper la Russie et la Chine. D’ailleurs les provocations à l’encontre de la Chine se poursuivront également, comme contre la Russie. Les USA n’oseront pas affronter directement la Chine et la Russie. Alors ils continueront de les attaquer différemment, par diverses tentatives de déstabilisation.
LVdlR : Cela signifie que tous les pays des BRICS sont visés ?
Alan Mamiev : Bien sûr ! L’objectif des USA est d’éliminer tout pôle de résistance et de tenter de nous faire revenir à l’ère unipolaire. Sinon, cela viendrait à dire qu’ils ont perdu et cela ils ne peuvent pas l’accepter. En tout cas, ils ne sont pas prêts pour le moment.
LVdlR : Novorossia constitue donc aujourd’hui l’un des principaux pôles de résistance ?
Alan Mamiev : Oui ! Il faut savoir que l’objectif étasunien est de créer une multitude d’autres zones chaudes de conflit, aux quatre coins du monde. Mais si nous réussissons à les stopper ici à Novorossia, alors nous pouvons espérer stopper l’hémorragie pour le reste du monde.
LVdlR : La population de Novorossia est-elle globalement optimiste quant à l’avenir ? Sentez-vous le soutien de cette population ?
Alan Mamiev : Bien sûr que nous la sentons ! Les habitants nous soutiennent et nous aident beaucoup, autant qu’ils peuvent. Ils comprennent également parfaitement les répercussions pour eux et leurs familles si la résistance n’aurait pas stoppé les forces néofascistes. On sait ce qui s’est passé à Slaviansk après sa prise par les forces de la junte, où des civils étaient massivement fusillés pour leur soutien à la résistance. Les mères des combattants étaient humiliées d’une façon totalement inhumaine et immorale, y compris conduits en laisse. Vous imaginez ne serait-ce qu’un moment ? Et ça pourrait être pareil ici.
LVdlR : On a noté une approche dans le traitement des prisonniers totalement différente de votre côté et celle de vos ennemis.
Alan Mamiev : Lorsque des résistants étaient aux mains des troupes de la junte néofasciste, ils subissaient des tortures inhumaines. On leur arrachait les doigts, les ongles. Les tortures étaient d’ailleurs souvent filmées. Nous, on ne peut pas tolérer ce genre d’approche. Lors de la Seconde guerre mondiale, les pertes de l’URSS étaient énormes aussi bien en termes de pertes militaires mais également énormes en termes de civils. Car les troupes nazis, parmi lesquels il n’y avait pas que des Allemands d’ailleurs mais bon nombre d’autres nationalités, massacraient la population civile de l’URSS. Lors de la libération de l’Europe de la peste brune nazie par les troupes de l’Armée rouge, il n’en n’était rien. Aucun massacre perpétré par notre armée à l’encontre de la population civile d’Europe. Aujourd’hui pareil. Car si on commençait à appliquer les mêmes méthodes que nos ennemis néofascistes, qu’est ce qui nous rendrait différents d’eux, de ces néofascistes contre lesquels on lutte ?
LVdlR : Ces derniers jours, les forces armées de Novorossia sont passés à la contre-offensive et ont repoussé massivement les forces de la junte. Des combats sont maintenant menés pour la sortie vers la Mer d’Azov. Qu’en est-il ? La coordination des résistants est-elle totale ?
Alan Mamiev : Oui. Au départ, la résistance n’était représentée que par des groupes de partisans. Cela signifiait que nous ne pouvions que nous défendre. Aujourd’hui, les groupes de résistants de Novorossia prennent la forme et la structure de véritables forces armées. Tout est coordonné. Beaucoup de nos combattants n’avaient absolument aucune expérience armée au départ mais avec un peu de temps ont appris les compétences nécessaires. Et ces acquis on les voit aujourd’hui. C’est ce qui permet de passer du stade de la défense pure et simple à l’offensive.
LVdlR : Un dernier mot pour résumer les attentes de la population de Novorossia ?
Alan Mamiev : Que dire d’autre que les habitants attendent notre victoire.
LVdlR : Merci Alan d’avoir répondu aux questions. Succès à vous !
Alan Mamiev : Merci !
alors que la plupart des pays fournissent des républicains, des communistes, des antifascistes à la Résistance du Donbass, nous nous leur envoyons également d’autres nazis : http://histoireetsociete.wordpress.com/2014/08/29/6-clich...
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Et c'est comme pendant la Révolution Française, les grands militaires se révèlent comme ça et deviennent généraux, un fils d'aubergiste devient roi de Suède, un prof de judo devient le commandant qui sauvera la Novorossia, les simples civils se lèvent pour défendre leur patrie et leurs proches et c'est parti !
http://gaideclin.blogspot.fr/2014/08/qui-est-il-ce-tsar-p...
http://gaideclin.blogspot.fr/2014/08/le-mythe-russe-porte...
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Quands aux soldats ukrainiens les voici, prisonniers : http://www.dailymotion.com/video/x24qtkl_13-soldats-de-l-...
au fait vous saviez ça : "chacun a pu observer que les combattants de l'Emirat Islamique sont entrés dans le pays à bord de colonnes de Humvees flambants neufs, directement sortis des usines états-uniennes d’American Motors, et armés de matériels ukrainiens, également neufs."
Beau résumé de l'union des forces fascistes ! significatif non ?
Publié dans morale, y'en a marre de l'américanisation | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer