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20/01/2015

une vie de moins

03/01/2015

la société de l'avenir, c'est ça que vous voulez ?

http://www.dailymotion.com/video/xk1ltd_l-entretien-d-emb...

23/12/2014

quelques dessins pour Noël

*Noel-Slave-.jpg

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Nativite-.jpg

*voilà ce qu'est devenu le monde d'aujourd'hui; l'esprit de Noël, comme on disait autrefois, est bien mort, et sans doute interdit par la loi en qualité de "signe religieux ostentatoire" !

kaj nun kristnaska fabelo, sed moderna, mi bedaŭras !

 

 

KRISTNASKA FABELO MODERNA

 

Nuntempe Jesuo-Kristo estus rigardata kiel frenezulon; oni enfermus lin, kaj plenŝtopus lin per neŭroleptikoj.

Fakte unue li ne estus naskiĝinta : la virgulino Mario estus sin abortigita. Nu, pensu ! je tioma aĝo oni nepre ne konsentus ke ŝi naskus infanon; la socia premo estintus tro forta.

Kaj, se li estus naskita, senŝirmaj kiel ili estis, nuntempe ili neniam trovintus ian ajn stalon por ŝirmiĝi ; aŭ oni venigus al ili la policon ! Li estus naskiĝinta sur trotuaro. Ne, la patrinon oni enhospitaligus en akuŝejon ( Jozefo, li, eksteren ! al la strato. Ne ! en malliberejon : konsiderinte la aĝon de Mario, oni kondamnus lin pro pedofilio !), kaj oni forprenus disde ŝi la infanon tuj post la nasko, por formeti lin en establon de la « Socia Helpo » ; kaj nenia fuĝo en Egipton eblus ! Ĉiamaniere nuntempe la fuĝo en Egipton ne estus ebla : la landlimoj estas nun tro bone kontrolataj kaj hermetikaj ; kaj senlegitimaĵaj ili estus arestitaj kaj retroirigitaj en ilian landon, kaj transdonitaj al la polico de Herodo !

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02/12/2014

la société contemporaine devient d'un totalitarisme délirant

Finlande : un enfant retiré à une famille russe

Finlande : un enfant retiré à une famille russe

© href="http://www.youtube.com/user/Pronssisoturi/" target="_blank" rel="nofollow"

Par La Voix de la Russie | Les autorités finlandaises ont retiré la fillette Diana de 10 ans à la citoyenne russe Alexandra Fomina. Cela a été annoncé par le défenseur des droits de l’Homme finlandais Johan Backman.

Le 7 novembre, cette jeune citoyenne de la Fédération de Russie n'est pas revenue de l'école.

Le week-end dernier, la jeune fille a été placée en "tutelle".

Backman a noté que les autorités finlandaises n’étaient pas obligées de déclarer les raisons de retrait de l’enfant. (!!) Selon une version, Diana aurait dit une voisine finlandaise que sa mère l’a donnée une fessée.

Selon la seconde version, la jeune fille a été retirée parce qu’elle se plaignait que sa mère a refusé de prendre un chien chez soi.

L’originaire de Saint-Pétersbourg Fomina vit à Vantaa depuis 3 ans.

Elle est en train de divorcer avec son mari finlandais.

Fomina demande de l'aide aux autorités de la Fédération de Russie.
Lire la suite: http://french.ruvr.ru/news/2014_11_11/Finlande-un-enfant-...

http://miiraslimake.over-blog.com/article-731736.html

27/11/2014

le bassin de Briey vous connaissez ? - révélations !


La face cachée de la « GRANDE » guerre
 

Nous savons à quoi nous en tenir sur les politiciens véreux qui pactisent avec l'ennemi pendant les hostilités même. Dans sa remarquable étude sur le pacifisme intégral, Jean Gauchon décrit parfaitement ces périodes troubles, ces mar­chandages abjects perpétrés, loin des canons, par ceux qui fortifient ou construisent leurs fortunes en alimentant les charniers.
Ainsi, en 1914 :


Les marchands de canons, dont les principaux étaient Schneider en France et Krupp en Allemagne, étaient étroite­ment unis en une sorte de trust international dont le but secret était d'accroître l'immense fortune de ses membres en augmentant la production de guerre, de part et d'autre de la frontière.


A cet effet, ils disposaient de moyens puissants pour semer la panique parmi la population des deux pays, afin de persuader chacune que l'autre n'avait qu'un but : l'attaquer.

 
De nombreux journalistes, des parlementaires, étaient grassement rétribués par eux pour remplir ce rôle. D'ailleurs, un important munitionnaire français, de Wendel, député de surcroît, avait pour cousin un autre munition­naire, allemand. Von Wendel, siégeant au Reichstag. Ils étaient aux premières loges, dans chaque pays, pour acheter les consciences et faire entendre leurs cris d'alarme patriotiques.

 
Tout ce joli monde - marchands de canons, journa­listes et parlementaires - parvint aisément à lancer les deux peuples dans une folle course aux armements que rien ne devait plus arrêter, jusqu'à ta guerre.


Leurs Chefs d'Etat respectifs, loin de les freiner, les encourageaient. Et notamment notre Président de la Répu­blique, Raymond Poincaré, un Lorrain, élevé dans l'idée de revanche et prêt à n'importe quel mensonge, à n'importe quel forfait, pour reconquérir l'Alsace et la Lorraine.

 
C'est pour ces différents motifs que les soldats alle­mands et français allaient s'entr'égorger.

On leur avait appris à se haïr, alors que les munition­naires et les états-majors, fraternellement unis, suivaient avec satisfaction, à l'arrière, les déroulements du drame qu'ils avaient conjointement déclenché.

 
Pour bien approfondir cette immense duperie, et pour que tous nos lecteurs comprennent que le "patriotisme", et la "défense du territoire" ne sont que des mots creux ser­vant à couvrir les plus abominables tripotages. 

Il convient de raconter l'histoire du bassin de Briey, car elle est carac­téristique, symptomatique, et, à elle seule, devrait dégoûter à jamais les peuples de prendre les armes.

 
Les mines de fer de Briey-Thionville étaient à cheval sur les frontières du Luxembourg, de la France et de l'Alle­magne. La famille franco-allemande de Wendel en était pro­priétaire.

 
Ce bassin était d'une importance capitale pour le dérou­lement de la guerre. M. Engerand, dans un discours prononcé à la Chambre des députés, après le conflit, le 31 janvier 1919 dira :

 

« En 1914 ; la seule région de Briey faisait 90 % de toute notre production de minerai de fer ».
 

Poincaré lui-même avait écrit autrefois : « L'occupation du bassin de Briey par les Allemands ne serait rien moins qu'un désastre puisqu'elle mettrait entre leurs mains d'incom­parables richesses métallurgiques et minières dont l'utilité peut être immense pour celui des belligérants qui les détiendra ».

 


Or, il se passa un fait extraordinaire : dès le 6 août 1914, le bassin fut occupé par les Allemands sans aucune résistance.


Plus extraordinaire encore : le général de division chargé de la défense de cette région, le général Verraux, révéla par la suite que sa consigne (contenue dans une enveloppe fermée à ouvrir en cas de mobilisation), lui prescrivait formel­lement d'abandonner Briey sans combat.


La vérité, connue longtemps après, était la suivante : une entente avait été passée entre certains membres de l'état­-major et des munitionnaires français, pour laisser le bassin aux mains des Allemands, afin que la guerre se prolonge (les Allemands n'auraient pu la poursuivre sans le minerai de fer), et que les bénéfices des marchands de canons soient accrus.


Et vive la légitime défense au nom de laquelle on s'étripait un peu partout sur les champs de bataille ! 

Mais cette histoire - combien édifiante ! - n'est pas terminée. 

Pendant tout le conflit, il n'y eut pas une seule offen­sive française contre Briey ! Ce n'était pourtant pas faute d'avertissements !

 

En effet, en pleine guerre, le Directeur des Mines envoyait la note suivante au sénateur Bérenger :

 

« Si la région de Thionville (Briey) était occupée par nos troupes, l'Alle­magne serait réduite aux quelques 7 millions de tonnes de minerais pauvres qu'elle tire de la Prusse et de divers autres Etats, toutes ses fabrications seraient arrêtées. Il semble donc qu'on puisse affirmer que l'occupation de la région de Thionville mettrait immédiatement fin à la guerre, parce qu'elle priverait l'Allemagne de la presque totalité du métal qui lui est nécessaire pour ses armements ».

 
L'état-major français et le Président de la République furent abondamment avertis de ces faits.


Des dossiers complets sur cette affaire furent même fournis à Poincaré par le député Engerand.

 

Poincaré refusa d'intervenir. L'Etat-Major refusa toute offensive du côté de Briey.


A défaut d'offensive, de reprise du terrain, on aurait pu bombarder Briey pour rendre inutilisables les installations. 

Au contraire, des accords secrets furent passés entre états-majors allemands et français, afin que les trains remplis de minerai se dirigeant vers l'Allemagne ne fussent, en aucun cas bombardés.

 
En passant, disons que, bien entendu, ces mêmes états-­majors avaient décidé également de ne pas détruire leurs quartiers généraux respectifs... Ces deux bandes de gangsters étaient "régulières" !

 
Des aviateurs français, néanmoins, désobéirent aux ordres reçus et lancèrent quelques bombes sur les installa­tions de Briey. Ils furent sévèrement punis.


Et savez-vous par quel intermédiaire les directives secrètes d'interdiction de bombarder avaient été données ? Par un certain lieutenant Lejeune - tout puissant, quoique simple lieutenant - qui, dans le civil, avant la guerre, était ingénieur attaché aux mines de Jœuf et employé de M. de Wendel.

 

Pour conclure nous ne saurions mieux faire que de citer Jean Galtier-Boissière (Histoire de la Guerre 14-18) : «

Pour ne pas léser de très puissants intérêts privés, et pour éviter d'enfreindre les accords secrets conclus entre métal­lurgistes allemands et français, on a sacrifié, dans des entre­prises militaires inefficaces, des centaines de milliers de vies humaines, sauf sur un point : Briey-Thionville, dont, durant quatre années, l'Allemagne en toute tranquillité a tiré les moyens de continuer la lutte ».

 
Mais la famille franco-allemande de Wendel faisait des bénéfices!


Cette histoire n'est qu'un exemple, parmi beaucoup, de la collusion des munitionnaires et des gouvernements des pays en guerre.


Vous connaissez peut-être l'aventure de ce navire inter­cepté, durant la guerre de 1914, par la flotte française, alors qu'il transportait du minerai de nickel en Allemagne. Le bateau fut pris, la Chambre des Députés consultée décida qu'il serait dévié sur le Danemark pour de là repartir, devinez où... en Allemagne, bien sûr !

 

Pendant ce temps des hommes sincères s'égorgeaient en croyant sauver leurs patries respectives, et des "chefs" entretenaient la flamme guerrière à grands coups d'exécutions pour l'exemple !

17/11/2014

il ne faut jamais s'abstenir de réfléchir

13/6/1997 Un professeur alcoolique a été dénoncé comme tel par un médecin de santé scolaire (et le secret médical ?! et le serment d'Hippocrate ?!); on va faire une enquête sur son compte, et les employées de l'** s'activent là-dessus pour essayer de le localiser et le "pincer", et etc, comme l'auraient fait avec autant de sérieux, de zèle et de conviction, et sans états d'âme, que les fonctionnaires des années 40-45 le faisaient sur les cas des juifs à repérer et à chasser de la fonction publique, et etc

Il ne faut jamais s'abstenir de réfléchir sur ce qui se passe.

29/10/2014

That the wider world is unaware is a scandal

http://www.theguardian.com/commentisfree/2014/oct/08/why-...

au milieu de la guerre les KURDES réinventent la démocratie (et le socialisme)

http://www.vineyardsaker.fr/2014/10/24/loeil-itinerant-tu...

08/10/2014

Le journaliste Udo Ulfkotte balance: "les médias trahissent le public continuellement" "J'étais un agent non officiel sous couverture"

Après 25 ans de soumission et avant de mourir un journaliste allemand tient à dire la vérité.
mercredi 8 octobre 2014

Le journaliste Udo Ulfkotte balance: "les médias trahissent le public continuellement" "J'étais un agent non officiel sous couverture" 

 

Ce journaliste avec 25 ans de carrière interviewé par RT dénonce les mensonges généralisés dans les médias de masse. Il dit qu'il a lui-même été formé pour mentir et trahir le public et qu'il regrette ce qu'il a fait dans le passé. Il se lève aujourd'hui pour dénoncer la propagande de guerre impulsée par les médias contre la Russie.

 Il en a marre des mensonges et indique que l'on vit dans une république bananière, pas dans une démocratie avec une vrai presse indépendante. Certains de ses collègues font partie d'organisations transatlantiques et sont soutenus par les Etats-Unis pour faire de la propagande.


Il affirme une information déjà largement suspectée par ailleurs: de nombreux journalistes expatriés sont en fait également des "agent non officiels sous couverture". Udo Ulfkotte travaillait par exemple à la fois pour le Frankfurter Allgemeine Zeitung et pour la CIA. Son travail consistait à faire de la propagande pro-américaine et pro-européenne.

D'après lui, l’Allemagne est une colonie des Etats-Unis. Les organisations transatlantiques invitent des journalistes, leurs font la cour, leurs payent des voyages puis les soudoient pour les avoir dans leur poche. Ils deviennent ainsi progressivement des "agents non officiels sous couverture" dont l'agence peut nier tout lien avec eux avec si nécessaire. Ce serait particulièrement le cas des journalistes allemands, anglais, israéliens, australiens, néo-zélandais mais aussi bien sûr les français (pas étonnant d'ailleurs). On revient à l'opération Mockinbird.


Pire encore, le journaliste affirme qu'il lui est arrivé de recevoir un article déjà rédigé concernant Kadhafi et qu'on lui demandait simplement d'y coller sa signature pour la publication sur le Frankfurter Allgemeine Zeitung. L'article provenait directement des services de renseignements allemands, le Bundesnachrichtendienst (BND). Certains journalistes qui n'acceptent pas de coopérer sont licenciés.



Il finit son intervention ainsi:


"La vérité sera révélé un jour. La vérité ne meurt jamais. Je me fiche de ce qui arrivera. J'ai eu 3 crises cardiaques, je n'ai pas d'enfants, donc s'ils veulent m'envoyer devant un tribunal ou en prison, cela vaut la peine pour la vérité".


Chapeau bas M. Ulfkotte.

 

Pendant ce temps das plein de pays d'Europe des partis se réusnissent à Athènes en novembre dernier 

  1. EPAM (Front unitaire populaire) – Grèce.
  2. Union Populaire Républicaine (UPR) – France.
  3. Per Il Bene Comune (Pour le bien commun) – Italie.
  4. Asociación Democracia Real Ya (Association démocratie réelle maintenant) – Espagne.
  5. Campaign for an Independent Britain (Campagne pour une Grande-Bretagne indépendante) – Grande-Bretagne.
  6. Alza Il Pugno /Eurotruffa (Soulevez votre poing/ Eurotruffa) – Italie.
  7. Economia Per I Cittadini (EPIC – L’économie pour les citoyens) – Italie.
  8. National Platform (Plateforme nationale) – Irlande.
  9. Mouvement Politique d’Emancipation Populaire (MPEP) – France
  10. IPU (Parti de l’indépendance) – Finlande.

Et ceux qui se sont réunis récemment à Assise :

  1. -Borotba (Combat) : Sergeï Kirichuk, Ukraine.

    -Committee « Euro exit » (Comité « Sortir de l’euro ») : Wilhelm Langthaler, Albert F. Reiterer, Autriche.

    -Coordinamento nationale sinistra contro l’euro (Coordination nationale contre l’euro) : Moreno Pasquinelli, Italie.

    -Frente Civico (FC – Front civique) : Manolo Monero Pérez, Espagne.

    -Front uni populaire (EPAM) : Antonis Raskousis, Grèce.

    -Initiative e.V. Duisburg : Thomas Zmrzly, Allemagne.

    -Left Co-March, Kostas Kostopoulos, Grèce.

    -Mouvement politique d’émancipation populaire (M’PEP) : Jacques Nikonoff, Joël Périchaud, France.

    -Plan B : Nasia Pliakogianni, Grèce.
    pour la France ce fut :

 http://www.m-pep.org/spip.php?article3850

 

 

26/09/2014

les horreurs découvertes !

MOSCOU, 25 septembre – RIA Novosti/ Après le retrait des forces gouvernementales ukrainiennes repoussées par les insurgés, des découvertes terrifiantes ont été faites dans les zones qui étaient alors contrôlées par l’armée de Kiev avant la signature d’une seconde trêve à Minsk, écrit jeudi le quotidien Rossiïskaïa gazeta.

Des fosses communes remplies de corps d’habitants, torturés et exécutés par les militaires ukrainiens, ont ainsi été mises au jour. Les faits les plus épouvantables déjà signalés auparavant par les forces d’autodéfense ont été confirmés: les punisseurs de la Garde nationale et des "bataillons de volontaires" ont perpétré un génocide dans le Donbass.

Les forces d’autodéfense venues déminer la zone ont découvert une fosse commune près d’une carrière du village Nijniaïa Krynka dans la région de Donetsk. Quatre corps de femmes et plusieurs corps d’hommes s’y trouvaient, à peine recouverts de terre. Les hommes avaient les mains attachées dans le dos, un corps était décapité et tous – les hommes et les femmes – ont été torturés avant d’être exécutés d’une balle dans la nuque. Les femmes, dont une était enceinte, ont été violées avant l’exécution. Telles sont les traces laissées par le bataillon "Aïdar" déployé à proximité de la carrière.

Contrairement aux constats précédents faits jusque-là par le Parquet militaire des républiques autoproclamées du Donbass sur le traitement cruel des militaires ukrainiens envers les civils, complètement ignorés par les médias ukrainiens et occidentaux, cette fois des experts et des observateurs de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) se sont rendus sur les lieux. Les forces d’autodéfense ont également annoncé la découverte d’autres fosses sur le territoire qui était jusqu’à récemment contrôlé par l’armée ukrainienne, et attendent l’arrivée des démineurs et des experts judiciaires accompagnés d’observateurs européens. Les corps de la fosse commune de Nijniaïa Krynka ont été exhumés et envoyés à Donetsk pour une expertise médico-légale et identification. De leur côté, les procureurs militaires de Donetsk interrogent les habitants, qui confirment la disparition de plusieurs hommes et femmes capturés dans la rue par les combattants du bataillon "Aïdar".

Il s’agit des premières preuves formelles des sévices des bataillons punitifs et de la Garde nationale dans le Donbass. Elles sont irréfutables: Kiev et Bruxelles ne pourront plus les mettre sur le compte de la "propagande".

Le corps d’une femme violée et noyée a été découvert près de Lougansk. On y a découvert également des fosses communes de civils à qui les punisseurs ont même accroché des plaques outrageantes. Les faits horribles s’accumulent. Un membre des forces d’autodéfense a annoncé sur les réseaux sociaux la découverte d’une famille de sept réfugiés assassinés dans une maison.

Une vidéo a été diffusée récemment où l’on voit les combattants du bataillon "Aïdar" ouvrir le feu sur deux adolescents à vélo près de Marioupol. La police locale a confirmé que le premier adolescent avait été tué et le second grièvement blessé.

A Marioupol également, selon le bureau d’information de l’Armée du sud-est, "des fascistes saouls ont commencé à tirer dans un restaurant avec des fusils automatiques, ont violemment battu le propriétaire de l’établissement et ont amené de force deux serveuses". Les deux jeunes filles n’ont toujours pas été retrouvées et la police a peur d’enquêter sur l’incident.

Ce n’est qu’une mince partie des faits recueillis par les militants des droits de l’homme russes et ukrainiens dans le Livre blanc dont la rédaction a commencé après le premier massacre de civils le 2 mai à Odessa.
Lire la suite: http://french.ruvr.ru/news/2014_09_25/Larmee-ukrainienne-a-massacre-des-milliers-dhabitants-du-Donbass-3769/
 
 
Dans la région de Donetsk, les combattants ont trouvé plusieurs charniers, après le départ des troupes ukrainiennes, de la Garde nationale et de bataillons comme Aïdar.
Dans un premier temps, l’on a annoncé la découverte de 3 charniers, l’un avec les corps d’environ 40 civils, les deux autres avec des corps de combattants. Maintenant, les chiffres ne cessent d’augmenter, au fur et à mesure que les combattants mènent les recherches sur les territoires desquels l’armée ukrainienne s’est retirée. Actuellement, nous en sommes à 4 dans lesquels les habitants furent enterrés rapidement. Ce qui montre l’attitude globale du pouvoir ukrainien, même face à ses hommes, les combattants ont également découverts 6 endroits, où les corps des soldats ukrainiens ont été abandonnés dans des fosses communes creusées dans la nature.
Les corps des habitants de la région portent les marques de violences particulièrement graves. Certains n’ont plus d’organes à l’intérieur, on a retrouvé le corps d’une mère avec son bébé, les corps ont les mains attachées dans le dos, certains ont été exécutés d’une balle dans la tête après avoir été torturés.
Face à cette horreur, le silence de la communauté internationale est insupportable. La Russie demande une enquête internationale pour savoir ce qui s’est passé, qui a commis ces crimes. Une demande va être envoyée à l’ONU et à l’OSCE.
Jusqu’à quel point va-t-on encore s’abaisser et détourner le regard? Nous sommes en Europe. Çà se passe sur notre terre. Pourquoi aller bombarder des pays au loin, si l’on n’est pas capable de faire respecter ses valeurs chez soi?

http://www.alterinfo.net/notes/CRIMES-DE-GUERRE-DE-KIEV-A...

*les néo-nazis ukrainiens sont aussi anti-sémites :

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24/09/2014

partout en France

Dans la France des années 40, comme la seule présence de magasins tenus par des juifs « donnait des boutons » à certains, ils se sont arrangés pour leur rendre la vie impossible et les ruiner, sans se demander qu’est-ce qu’ils pourraient devenir dans ces conditions ( enfin, on ne se le demandait pas encore ……….). De même, dans la France actuelle on rend les déplacements et la vie impossible aux Gens du Voyage, sans davantage s’inquiéter de leurs conditions de survie. Et de même que les grandes étoiles à la peinture blanche sur certaines vitrines étaient une vision typique de cette époque, les portiques surbaissés blanc et rouge à l'entrée de tout parking, et les gros blocs de pierre barrant l'entrée des terrains vagues, sont une vision typique de la notre !