05/03/2017
le vrai racisme c'est celui-là, la vraie "parité" qui manque c'est celle-là !
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26/02/2017
"plus impitoyable et plus infâme", ou une cause commune contre la mort
"celle qui avait inventé pour moi tant de bonnes paroles et de beaux regards"
comme je dis dans la description de la couverture Henri Barbusse http://eo.wikipedia.org/wiki/Henri_Barbusse qui fut d'abord lié au milieux symbolistes, puis plongé, lui si sensible et si obsédé par le caractère sacré de la vie et l'horreur de la mort, dans l'enfer de la guerre 1914-18, est devenu au sortir de celle-ci communiste (et quand on lit "Clarté" , son livre majeur, on le comprend) - et aussi défenseur de l'Espéranto - La postérité n'a retenu de lui que son admiration, illusion alors pas rare, il faut se remettre dans le contexte, de Staline, et injustement oublié ses deux plus grands livres. Outre "Clarté" après la guerre, celui-ci, recueil de profondes et poignantes nouvelles (j'ai traduit l'une d'elle en espéranto http://r.platteau.free.fr/prozajtradukajxoj.html#Henri_Ba... ) dominées par la fraternité déchirante des être qui vivent, et qui meurent ...
VENGEANCE
Dans cette loge d’artiste de cirque, au milieu des pauvres oripeaux luxueux, des glorieuses affiches de papier, des débris de décors, la petite dompteuse était étendue, glacée. On l’avait posée sur des tentures et des draperies, comme sur des espèces de drapeaŭx ; et je veillais seul, ayant gardé mon costume de dompteur.
Ma douleur ne servit à rien. Elle tait morte, ma compagne, ma femme, mon enfant, celle qui avait inventé pour moi tant de bonnes paroles, et de beaux regards. Depuis des heures que frissonnait sur elle la lueur de la bougie et que je sanglotais, sa petite figure devenait de plus en plus immobile.
C’était la dernière nuit qu’elle passait sur la terre. Cette nuit encore, bien que morte, elle était là, à côté de moi. Cette nuit encore, bien que morte, elle souriait : ses traits reposés avaient repris leur vraie forme, leur habitude, et alors, naturellement, elle s’était mise à me sourire. Cette nuit encore, j’aurais pu la toucher. Mais demain, elle irait dans la terre ; puis, cachée et seule, elle changerait.
Et tout mon deuil, mon impuissance, se répétaient dans une prière inutile, une invocation de fou que je proférais en tremblant :
- Ah ! si ce drame n’avait pas eu lieu ! Si elle n’était pas entré dans la cage !… Oh ! mon Dieu ! si …
Et je pensai, en un frisson affreux, à celui qui l’avait tuée… Lui…
Le grand lion.
Dans un angle de la cage, je ne sais pas comment – l’abominable chose fut si rapide – un coup de mystérieuse colère avait jeté l’énorme monstre sur elle, et tout de suite, elle avait été tuée.
Pourtant, elle était si riante et si fraîche ! Tandis que j’étais là, n’osant pas la regarder, à cause du peu de moments que nous avions, ses sourires et ses grâces étaient ce qui m’obsédait le plus. J’étais torturé par la finesse de sa voix, la légèreté de sa marche, la petitesse de ses mains. Et je me débattais…
Le lion… Le lion !…
Alors, vers minuit, dans une crise, je fus pris d’une fureur désespérée contre le grand lion maudit. Une idée s’implanta, farouche, dans mon cerveau : me venger, le tuer !
Et je me levai en chancelant, pour aller le tuer.
Je parcourus un couloir, le long de la toile oblique du cirque, et j’arrivai aŭ cages, avec ma lampe allumée et mon revolver.
Je ne me souviens plus des détails. Au fond, tout contre les barreaŭ, la forme monumentale remua. Puis, gêné dans la souveraineté de son sommeil, le lion se leva en s’étirant, hostile, sauvage ; sa griffe déchira le plancher, un grondement rauque passa dans l’enfer de sa gorge.
Une rage folle me monta à la tête. J’étendis le bras. Une fois, deux fois, six fois, je fis peu.
Le fantôme hideux et colossal se dressa tout entier, comme une maison qu’une mine fait sauter. Il se secoua terriblement, il fit trembler, comme un ouragan, la cage et toute la baraque et, eût-on dit, la terre elle-même.
Puis il exhala un petit miaulement plaintif où l’on sentait une intime souffrance. Il souffla s’écroula, et je l’entendis lécher ses plaies.
Il devait avoir le cœur haché par les balles. En un instant son sang emplit la cage et s’égoutta au dehors.
J’étais glacé, hébété ; je ne savais plus rien.
Mais tout d’un coup, un remords aigu, déchirant, inouï, s’empara de moi. J’entrai dans la cage, j’allai à lui, je m’agenouillai, et j’entendis mes lèvres qui lui demandaient pardon. Il s’arrêta de se lécher, demeura un instant immobile, puis il s’appuya doucement sur moi, me présentant la blessure énorme d’où son sang coulait comme d’une source.
Nous restâmes ainsi tous les deux, côte à côte, à ne pas comprendre.
Le grand corps continuait à répandre son sang et à jeter un très léger râle, voilé, étouffé, comme destiné à moi seul. Ah ! ce cri trop petit qui semblait me parler tout bas !… La face gigantesque, hérissé, pleine de nuit, s’inclinait peu à peu vers le sol, et on voyait baisser comme une lampe les fanaux verts de ses yeux.
Penché, plié sur lui, je le regardais, et j’étais saisi par une sorte d ‘émerveillement à le voir créé si grand, si fort et si beau.
Je scrutais l’émeraude crépusculaire du regard, je contemplai de près les formes de son corps, ramassées, tassées et sculptées sous leur velours épais : l’admirable organisme assemblé pour une destinée extraordinaire, d’aventures et de victoires. J’étendis la main, et je touchai la tête, l’énorme tête inerte et obscure, et qui était tout de même un monde.
… Je le voyais de mieux en mieux, de plus en plus ; mon regard descendait en lui comme dans un décor nocturne. J’adorai sa gloire si simple, son ardeur, son amour féroce de la vie, la plénitude menaçante de son sommeil et l’étirement souple des faisceaŭ de sa chair, et la fête de ses repas, et sa fauve habitude native du désert avec les mirages, le jour, de l’oasis, et la nuit, des étoiles.
Et j’effleurai la patte posée trop doucement par terre, et mes doigts se mêlèrent aŭ griffes à demi sorties. Ses griffes ! C’étaient celles-là…Il l’avait tuée, elle, avec ces griffes. Il avait souillé la chair exquise avec ces griffes hideuses et criminelles.
Criminelles ?… Non ! innocentes. Il n’y avait qu’un criminel : moi !….
Et presque étendu sur ce corps dont les battements s’espaçaient, devenaient immenses, j’enlaçai de mes bras le colossal mourant, et je le serrai en tremblant contre moi, tandis qu’il abandonnait sa tête contre mon cœur !
Alors, comme un dormeur qui se réveille, comme un aveugle délivré, je vis la vérité changer de forme. Je me mis à démêler des choses plus terribles et plus douces que celles que j’avais jusque-là rêvées : le prix incalculable de la vie, du mouvement, de tout ce que, par une décision de mon jugement infirme, j’avais jeté à la boue, à la pourriture, à la poussière.
J’avais ajouté cette immobilité à l’autre – à celle du petit ange posé là-bas comme un crucifix. J’avais rendu la mort plus impitoyable et pus infâme.
Tout était pire qu’avant. Le meurtre de l’enfant et le meurtre du lion n’avaient aucun rapport, aucun. Dans un prodigieux effort, j’essayai de rapprocher ces drames, de les attacher l’un à l’autre, de les changer l’un avec l’autre, de ne pas les ajouter l’un à l’autre. Je ne pouvais pas, je ne pouvais pas !…
Il faut être fou pour poursuivre une vengeance. Pourquoi ? Parce qu’un malheur ne peut pas effacer un malheur. Pourquoi ? Je ne sais pas ; mais la vengeance n’est pas une chose humaine.
Et lorsque, malgré l’immensité et l’acharnement de mon regret, il mourut, moi, dans un pauvre cauchemar de fièvre, je ne pus m’empêcher de me balbutier qu’il était allé au paradis !
Depuis, j’ai rôdé bien des années… Mais si misérable que je sois devenu, j’ai gardé en moi un incomparable remords. Il y a quelque chose de profond que je sais et que j’ai vu : moi qui ai tué quelqu’un – non, pas quelqu’un… si, quelqu’un ! – je contiens un tel respect de la vie que je ne peux plus me tromper sur ce sujet-là, et lorsque, dans quelque champ, à l’écart, immobile comme un épouvantail, je vois des chasseurs, ou bien des enfants lâchés contre des papillons, ou même des pêcheurs, qui n’en savent pas autant que moi, je plains ces pauvres gens.
Parfois ma croyance m’oriente dans un autre sens, et je voudrais crier contre l’erreur de se venger et vous supplier tous de briser cet affreux lien que vous essayez de mettre entre les douleurs.
Il est difficile d’apercevoir la vérité, de la tenir dans son regard. Il faut, pour cela, une préparation et aussi un concours de circonstances. Il n’est pas donné à tout le monde d’avoir, une fois dans la vie, par hasard, contemplé assez parfaitement une créature – fût-ce un animal – pour voir qu’il y a peu de vraie différence entre tous ceŭ qui peuvent souffrir. Dans le courant des jours, tout se trouble, l’erreur pèse d’un poids brutal, et nous sommes si petits que nos petites pensées nous cachent l’infini.
Henri Barbusse « nous autres » Flammarion 1914
22/02/2017
une bien grande vérité, mais qu'on ne découvre souvent que trop tard
« Accept the things to which the fate binds you, and love the people with whom fate brings you together, but do so with all your heart. »
(Marc-Aurèle)
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18/02/2017
la manipulation des cerveaux
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10/02/2017
Dimitri Yani Natacha et moi - l'amitié c'est un peu comme le vin
la merveilleuse époque où on pouvait voyager en wagons-lits, disparue ...
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22/01/2017
on parie que la presse aux ordres va caricaturer et diabolisers ces manifestants ?!
Oui, on parie que les « médias » vont tous présenter cette manif comme quelque chose d’abominable, œuvre de méchants « extrème-droitistes », catholiques de surcroît (alors que a priori les athées devraient être beaucoup beaucoup plus spontanément et viscéralement CONTRE l'avortement ! quand-même pour eux c'est l'être ou le néant, alors que pour les croyants c'est moins grâve) hou le christianisme quelle horreur ! l'Evangile beurk ! c'est c'est mauvaîîîs ! le respect de l'êxistence quelle abomination !
?
http://www.enmarchepourlavie.fr/
alors comme a dit un témoin anonyme, pas de phrases ! du concret, de l’existentiel, de l’individualiste :
« les témoignages les plus simples sont souvent les plus intéressant donc j’en donne un : je suis le troisième d’une famille de quatre enfants. Ma mère était sans revenus, mère au foyer. Mon père a un temps travaillé aux hauts- fourneaux d’arcelor mittal à Charleroi en Belgique. Travail dangereux, précaire, difficile. Il est évidemment vite devenus chomeur,
Nous avons, tout les 6, mes 3 soeurs mes parents et moi vécus beaucoup de moments difficiles mais je suis bien évidemment heureux d’être en vie et de pouvoir en témoigner. Si cette histoire se déroulait maintenant, sous l’ère de l’apologie de l’avortement de confort à tout va, il y a de grandes chances que la majorité d’entre nous quatre, les enfants n’ai pas vu le jour. »
en 2015 ils l'avaient déjà fait,regardez les slogans "protéger les faible, ça c'est fort !"
http://cache1.citizenside.com/fr/photos/a-la-une/2015-01-...
un autre de leurs slogans disait "j'ai été embryon" oui rien de tel que le bon sens pour faire comprendre.
cette année :
14/01/2017
la saĝo de Gottfried Keller
Pacon al la Kreaĵo
De Gottfried Keller
esperantigis : Manfredo Ratislavo
Araneojn malŝatadis
Mi dum junecaj jaroj,
Ili malsupren sin lasadis,
Kuris sur la kap-haroj,
Sidis kaŝe en anguloj;
Min timigis la aĉuloj,
Sur la tablo kuregadis,
La mortigo ne ĉesadis.
Kiam la harar’ griziĝis,
Mi ilin ne plu ĉasis,
Tiam fine mi saĝiĝis,
Ilin vivi lasis.
Nun mi ilin rare vidas,
Kaŝe ili ie sidas;
Sed se iu sin vidigas,
Mi min saĝe elvojigas.
Se mi havus infaneton,
Mi gardus ĝin honore,
Gvidus ame la hometon,
Dirus al ĝi kore:
Lasu vivi araneojn,
Ili same sentas veojn.’
Frue iĝus ĝi paculo,
Ne nur kiel maljunulo!
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28/12/2016
Vivo komuna afero
Kato kaj muso
Aŭ
Vivo, Unu Komuna Afero
filozofia, morala, eĉ metafizika, okazaĵo
[ El membiografia romano de Marguerite Audoux (1863-1937) « La Marie-Claire-a Laborejo » (1910).] :
« Iumatene S-ro Dalignac vidinte etan muson eliri el la porĉifona kesto, postulis apenaŭ ne koleriĝanta, ke Duretour iru tuj serĉi la katon de l’najbaro.
Tiu estis dika kato, naskiĝinta en la apuda apartamento, kaj kiu estis neniam vidinta muson. Li renkontiĝadis sur la interŝtuparo kie li petadis por la karesoj de l’laboristinoj. Enirinte tuj ĝi sursaltis la stabmaŝinojn, kaj elesploris la laborejon flarekzamenanteen ĉiaj anguloj, poste, ĉion vidinte, li ŝovis sian korpon en malplenan fakon por tie dormi komforte.
Eta la muso antaŭsentis la danĝeron. Plurfoje ĝi montris sian subtilan muzelon inter la muro kaj la kamentabulo, sed ĝi ne aŭdacis iri pluen. Poste, ĉar dika la kato pludormadis, ĝi kuraĝiĝis kaj trakuris la laborejon kuirejen.
Ree ŝi agis la postajn tagojn. Ĝi pasis eteta kaj vigla kun sia beleta griza felo, kaj Bergounette , kiu ĝin gvatadis, ridis pro vidi ĝin tiom lertan.
Tamen ĝin ekvidis la kato ; tiu saltis peze de sia breto kaj iris malantaŭ ĝi en la kuirejon. Iom poste ĝi revenis, sed ŝanĝiĝintis ĝia sinteno. Ĝi paŝadis singarde, kaj ĝia tuta korpo plilongiĝadis ; ĝiaj okuloj fariĝintis pli flavaj ankaŭe, kaj siajn ungegojn ĝi lente ellongigadis. Ĝi denove ĉirkaŭiradis la laborejon, sed, anstataŭ ol reveni al sia fako, ĝi lokis sin sub tabureto ĉe la kamenoniĉo. Ĝi aspektis dormanta, nazon sur la piedoj, sed unu aŭ alia el ĝiaj oreloj konstante streĉiĝantis, kaj vidiĝis inter ĝiaj palpebroj streko malhela.
Al la museto ŝajne ne urĝadis reveni, kaj neniu estis plu pensanta pri ĝi nek pri la kato, kiam ekaŭdiĝis krion tiom fajna kaj tiom longa, ke ĉiuj maŝinoj haltis, kaj ĉiuj ekrigardis tabureten. Ankoraŭ tie troviĝis la kato, sed kuŝe surflanke kaj, sub unu el ĝiaj kruroj, sterniĝanta, la vosto de l’muso elkuŝis kiel disa peco da nigra laĉo. Preskaŭ tuje svingiĝis la nigra laĉo, kaj forfuĝis la muso. Ĝi ne iris longe, la kato baris al ĝi la vojon, kaj turnis ĝin per krurbato. Ĝi unu temperon restis kiel morta, poste provis forkuri al la kuirejo ; denove la kato troviĝis antaŭ ĝi.
Tiam ĝi freneziĝis el teroro ; ĝi deziregis elfuĝi ie ajn kaj iel ajn ; ĝi turniĝis aŭ impetis ĉiudirekten, kaj ĉiam ungegobate revenigis ĝin la kato en la laborejon. Estis momento kiam krediĝis ke, ĝi estis rezignacionta je morti , tiomtiome ĝi estis tremanta kaj sinka. Sed subite ĝi staris kontraŭ sia turmentisto. Ĝi tiom abrupte ekstaris ke ĝia impeto apenaŭ ne faligis ĝin malantaŭen : restis ĝi stare plentremetanta, moviganta siaj antaŭajn krurojn, dum ĝia sanganta buŝeto eligadis vice diversajn kriojn. Kaj ĉiu inter ni bone komprenis, ke ĝi estis superŝutanta je insultoj la egan monstron (1) , kiu rigardis al ĝi, kvietside, klinante la kapon. Poste, Kvazaŭ ĝi estus mezurinta subite tutan sian malpovon, kaj kompreninta, ke nenio povis ĝin savi, ĝi ŝanceliĝis kaj refalis dum ĝi eligis akran ĝemon. Kaj tio estis tiom kompatinda, ke « Bouledogue » ekkaptis la katon je mezo de l’dorso, kaj ĝin ĵetis sur la tablon. Ĝi remalsupreniris tre rapide, sed la muso ne plu estis tie.
La mastro returnis al sia kuŝseĝo, kaj oni ne sciis ĉu kontente aŭ malkontente li diris :
- Nu ĝi estas for !
S-ino Dalignac spiregis, kaj ŝiaj du pugnoj, kiujn ŝi estis tenadanta premitaj ĉe l’brusto, subite malfermiĝis tiel, kiel ŝi mem nenion plu havis por timi. »
(1) tuta la simbolo de l’homa situacio………
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24/12/2016
devoir de mémoire ! quand on est mort c'est pour longtemps
http://www.algeria-watch.org/fr/mrv/mrvrepr/retraite_tabasse_a_mort.htm
La Cour de cassation a annulé, mardi 18 février 2014, le non-lieu prononcé en octobre 2012 par le juge d’instruction de Pontoise et confirmé par la cour d’appel de Versailles dans l’affaire Ali Ziri.
Ce retraité algérien de 69 ans est décédé le 11 juin 2009 des suites de son interpellation "musclée" par la police à Argenteuil. Les policiers mis en cause avaient été dédouanés de toute responsabilité dans sa mort alors même que de nombreux hématomes avaient été constatés sur le corps de la victime.
La réouverture du dossier constitue une victoire pour la famille d'Ali Ziri. Elle attend désormais un nouveau procès qui puisse enfin déterminer les responsables de la mort du retraité.
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10/12/2016
la fameuse "transition" ! le grand capital international se cherche toujours des rastaqouères pour se faire d fric sur le dos des peuples mis en esclavage !
https://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=...
oui, ce Saif-al-Islam ils le trouvent "modéré", et prêt à entamer une "transition" (leurs fameuses "transitions" ! on a compris ! ) vers la "démocratie" (on sait que chaque fois que la presse "La Voix de nos Maîtres" parle de "démocratie" elle ajoute aussitôt en bout de phrase (ou même si elle n'ajoute pas c'est bien à ça et uniquement à ça qu'elle pense) "le libre marché" comprenez le capitalisme et les investissements étrangers !
Et au cas ou on n'aurait pas compris dans la foulée on rappelle qu'il est diplomé de la "London School of Economics"
(je remarque au passage que les fabricants d'ordinateurs, de sites internets, et de moteurs de recherches, ont de plus en plus tendance à empêcher les GENS de voir l'adresse internet où ils sont, de la CACHER sous une vague appellation, qui n'est pas l'adresse et à laquelle l'ordinateur ne risque pas de répondre, gardant ainsi SOUS LEUR POUVOIR SECRET DISCRETIONNAIRE ET TOTALITAIRE la possibilité de s'y rendre, pour l'instant il y a encore des commandes qui permettent de FORCER LA VISUALISATION de l'adresse, mais parions, que comme la suppression de l'argent liquide ils ont planifié la disparition totale et l'impossibilité pour les GENS d'avoir accès aux adresse internet des pages où ils sont et où ils vont. Pour toujours plus de mise en esclavage et de tyrannie incontrôlable !!!!!)
et si Saif al Islam est "plus interessant" (pour les propriétaires des merdias, donc le grand capital) que ses frères et soeurs, c'est qu'il doit être moins intéressant pour le peuple lybien ! on parie ?