04/06/2018
il faut être fier d'être "complotiste", car c'est refuser de prendre pour argent comptant la version officielle des faits
De tous temps et dans tous les pays la version officielle, celle des maîtres du moment, et de leurs intérêts, a été mensongère.
01/06/2018
vous savez l'importance que je donne aux DETAILS qui révèlent
http://miiraslimake.hautetfort.com/archive/2014/06/15/la-...
http://miiraslimake.hautetfort.com/archive/2015/05/15/le-...
http://miiraslimake.hautetfort.com/archive/2016/09/16/le-...
eh bien, lisez cet article :
https://fr.sputniknews.com/international/2017092410331920...
vous n'avez rien remarqué ? non ?
dans cette nouvelle ville, en Egypte, mais elle n'est nullement une exception, on prévoit d'amener des quartiers d' "affaires" (c'est à dire de gestions commerciales spéculatives, ne consistant pas le moins du monde à produire de biens ni des services, mais à gérer des entreprises consistant à chercher à se faire un max de fric par l'achat ou la vente de ces biens et services .....)
et à part ça un "parc de loisirs" ! ...
bref, récapitulons
une civilisation nulle part consacrée à produire, (qui produit au fait ? où ? oui où donc alors ???? des esclaves sous-payés, dans des pays encore plus pauvres que l'Egypte ? avec des "salaires" encore plus bas, visiblement). Toute l'activité jugée "respectable" se réduit à des activités parasitaires (comme le rappelle si justement Bernard Friot à la télévision). Et comme ça rend, comme le disait Zbigniew Brzezinski, 80% des gens inutiles, il faut les occuper (et leur soutirer de l'argent, car il y a un empire financier, un "groupe", capitaliste derrière, bien sûr) à des loisirs payants (et rentables pour certains, l' "industrie" touristique, pas le tourisme spontané et libre ! pas des distractions individuelles ou familiales, non ! pas question de jouer aux cartes, ou au jacquet comme c'est la tradition justement en Egypte, ça n'est pas rentable comme loisir, et rêvasser encore moins) alors on crée des "parcs" de loisirs.
Voilà le type de société que nos maîtres nous font.....
vu ?
29/05/2018
comment nos maîtres et leurs larbins nous mentent et nous déforment la réalité !!!
Comment la presse Voix-de-nos-Maîtres des journaputes au service de leurs propriétaires milliardaires pratique la NOVLANGUE et appelle blanc ce qui est noir et noir ce qui est blanc - mais si on ne retient que les faits on s’apperçoit du degré hallucinant du mensonge et de la propagande de classe éhontée à laquelle nous sommes soumis !!!
déclaration d'un polonais interviewé :
« Le PiS, ce sont les seuls qui nous soutiennent, ils sont proches des gens. »
( = ce que les journaputes du grand capital appellent « populisme » )
La Pologne augmente de 20 % le salaire minumum
27-11-2007
Augmentation de +20% pour le salaire Minimum
Le 1er Janvier 2008, le salaire minimum est passé de 0,936 PLN à 1,126 PLN brut. Cette augmentation est le résultat d’un accord entre l’ancien gouvernement « Droit et Justice » PIS et le syndicat Solidarnosc. Le salaire minimum se situe au alentour de 36% du salaire moyen en Pologne, qui était de 3,092 pln brut en novembre 2007.
Seulement 2 à 3% des travailleurs polonais perçoivent le salaire minimum, mais son augmentation aura un impact sur l’ensemble des rémunération, puisque le salaire minimum est un point de référence pour le calcul des autres formes de rémunération. Ce changement entrainera une augmentation du salaire horaire pour le travail de nuit, des indemnités perçues en cas d’infraction aux règles de non discrimination, d’harcelement et de plan social entre autres. Les frais d’assurance sociale seront revus également à la hausse.
La Pologne recrée les allocations familiales
27-11-2007
un ambitieux programme social : une allocation mensuelle de 500 złotys (115 euros) par enfant, financée par la taxation des banques et des grandes surfaces
La Pologne baisse l’âge de la retraite : c’est la ruée
28/09/2017
Retour à 65 ans pour les hommes, à 60 ans pour les femmes. La mesure du gouvernement populaire du PiS fait un tabac. Pas sûr qu’elle résiste à la réalité budgétaire et au droit (antisocial) européen (c’est à dire de lutte de classe pro-capitaliste et réactionnaire)
Le 1er octobre, la Pologne pourrait compter d’un coup jusqu’à 331 000 retraités supplémentaires. Cette flambée est liée à l’abaissement à 65 ans pour les hommes, et à 60 ans pour les femmes, de l’âge légal de départ à la retraite. Jusqu’ici, depuis une réforme en 2012, c’était 67 ans pour tous. Le gouvernement dominé par les populistes ( donc démocrates et progressistes) du PiS (parti « conservateur » (sic !! ) Droit et justice) a décidé de faire machine arrière toute, à contre-courant (démocratique) de (de l’évolution réactionnaire et de lutte de classe procapitalistes de l’Union « Européenne ») l’allongement de l’espérance de vie à 78 ans (+8 ans depuis 1990) et du reste de l’Europe.
64 000 demandes en une journée
Les risques pour l’équilibre financier (des profits du grand capital et des banques, et des riches qui ne veulent pas payer d’impôts) du système de retraite, qui pourrait exploser dans les deux ans ? Et aussi pour le marché du travail, qui manque déjà de bras ? (et dont les salaires risque d’augmenter les salariés se retrouvant dans une meilleure position face aux interêts contradictoire des employeurs capitalistes?) Le gouvernement insiste sur la liberté offerte aux personnes agées. Ils sont encouragés à travailler au-delà de l’âge légal pour s’offrir une meilleure pension. Actuellement, la moyenne s’élève à 500 € par mois.
Mais rien à faire ! Les Polonais se sont rués dans les bureaux de la Sécu. Rien que le 1er septembre, date de l’ouverture des dossiers, 64 000 personnes se sont déplacées, au moins pour se renseigner. Dans certaines villes, les queues s’étaient formées dès 3 h du matin ! Les sondages estiment que 80 % de ceux qui ont atteint le nouvel âge légal vont demander à profiter de leur retraite.
La situation s’est depuis un peu calmée. À Varsovie, Joanna est venue consulter l’un des conseillers retraite spécialement recrutés cette année. Elle a atteint l’âge légal, mais hésite à liquider ses droits. « Je ne suis pas encore sûre, mais je pense que je vais le faire. De toute façon, je continuerai à travailler en parallèle. » Une combinaison permise en Pologne, à condition que les revenus du travail ne dépassent pas 70 % de 1 050 € bruts, le salaire moyen.
À près de 67 ans, Augustyn n’a pas besoin de la réforme. Mais il s’en félicite car « le passage à 67 ans pour tous était un crime ».
Excellentes rentrées fiscales du budget polonais : une bonne nouvelle qui met l’opposition « libérale » (pro-capitaliste européiste et antisociale) dans l’embarras
Pologne – « Il suffisait de ne pas voler ! »
Voilà comment le Premier ministre polonais Beata Szydło expliquait en avril dernier les excellentes rentrées fiscales de son gouvernement et aussi les bénéfices générés par les mines de charbon, un secteur qui était au bord de la faillite avant l’arrivée du PiS au pouvoir à l’automne 2015. « Il suffit de ne pas voler et de ne pas gaspiller les deniers publics » est désormais l’explication qui revient régulièrement dans la bouche des leaders du PiS, à mesure que se confirme la très bonne tenue du budget et l’ampleur des fraudes fiscales, en particulier en ce qui concerne la TVA, pendant les huit années de gouvernement PO-PSL sous la houlette du Premier ministre Donald Tusk puis, lorsque celui-ci a émigré à Bruxelles en 2014 en quête d’un meilleur salaire, du Premier ministre Ewa Kopacz.
Ces bons résultats, qui vont au-delà des attentes du gouvernement lui-même, sont directement liés à la lutte contre les fraudes fiscales. Les systèmes de chaînes d’entreprises créées dans l’unique but de générer de fausses factures afin de tricher sur la TVA. Dans le commerce des hydrocarbures, par exemple, on parle d’une véritable « mafia des carburants » qui a été mise à mal par les nouvelles règles mises en place par le gouvernement de Beata Szydło, sous l’impulsion du ministre des finances Mateusz Morawiecki. C’est paraît-il en 2012 que les entreprises du secteur des carburants avaient commencé à sonner l’alarme, alertant sur une concurrence déloyale croissante de la part de fraudeurs qui ne s’acquittaient pas de la TVA à 23 %. Après l’adoption de nouvelles règles par la majorité PiS en août 2016, le commerce déclaré de carburants a très rapidement augmenté de 30 %, ce qui donne une idée de la place qu’avait prise le marché noir.
Le gouvernement PiS a aussi unifié trois administrations qui travaillaient séparément jusqu’ici : le fisc, le contrôle fiscal et les douanes. Ces administrations sont désormais réunies depuis le 1er mars 2017 au sein d’une administration fiscale nationale (KAS). Le ministère des Finances a aussi mis en place de nouvelles solutions informatiques pour faire la chasse aux fraudeurs. Résultat ? Pour la période de janvier à août, les rentrées fiscales ont augmenté de 20,5 milliards de zlotys (environ 4,8 milliard d’euros) par rapport à 2016. En rythme annuel, les rentrées de TVA sont en augmentation de 23,5 % d’une année sur l’autre, sans qu’il y ait eu d’augmentation des taux prélevés. Les recettes au titre de l’accise et de l’impôt sur les jeux connaissent une augmentation de 4,1 %, et celles au titre de l’impôt sur le revenu de 8,3 % tandis que les recettes tirées de l’impôt sur les sociétés sont supérieures de 13,3 %. Du coup, le déficit budgétaire pour cette année devrait être de 10 ou 20 milliards de zlotys inférieur à ce qui était prévu dans la loi budgétaire.
Au début du mois de septembre, à la veille du Forum économique de Krynica, l’agence de notation Moody’s a relevé ses prévisions de croissance pour la Pologne en 2017, de 3,2 % a 4,3 %, et elle a réduit ses prévisions de déficit du secteur des finances publiques de 2,9 % à 2,5 %. Pourtant, lorsque le PiS avait mis en place au printemps 2016 les premières allocations familiales depuis la chute du communisme, (c’est à dire que alors que les communistes – tellement villipendés par les « libéraux ! …..- payaient des allocations familiales, le gouvernement « libre » et « démocrate » pro-capitaliste mis en place à la chute du communisme les AVAIT SUPPRIMéES !!! et seul le gouvernement du Pis Droit et Justice - villipendé par les « libéraux » du grand capital européiste les a rétablies) réduisant au passage de manière très significative l’extrême pauvreté qui affectait au premier chef les familles nombreuses, l’opposition « libérale-libertaire » (représentant visiblement en fait les interêts de la bourgeoisie fortunée !!) (la Plateforme civique – PO – de l’ancien Premier ministre Donald Tusk et le parti « Moderne » – Nowoczesna – créé pour récupérer les électeurs mécontents de la PO aux élections de 2015), prévenait que cela allait entraîner la banqueroute du budget de l’État. Et ce d’autant plus que le PiS applique encore d’autres politiques qualifiées de « populistes » (c’est à dire sociales et progressistes) : il a augmenté les salaires minimums (le salaire moyen est aussi en forte hausse du fait d’un taux de chômage, à 7 %, qui n’avait jamais été aussi bas depuis 1991), il a augmenté les pensions de retraite des retraités les plus défavorisés et réduit l’âge de la retraite a contrario de ce qui se fait ailleurs en Europe (soumise aus dictats européistes du grand capital). Il a encore lancé un programme de construction de logements subventionnés pour les familles et augmente les dépenses militaires.
Comment est-ce donc possible ? « Il suffit de ne pas voler », martèle la majorité parlementaire conservatrice en direction de l’opposition libérale présentée dans les médias étrangers comme meilleure gestionnaire mais qui a toujours bénéficié, et ce n’est pas un hasard, du soutien de sponsors généreux des milieux des affaires. D’après les chiffres préparés par le gouvernement actuel pour la Commission européenne, la différence entre la TVA qui aurait théoriquement due être perçue par l’État et les recettes effectives du budget au titre de cette taxe a été multipliée par plus de sept sur la période des gouvernements PO-PSL (2007-2015), passant de 7,1 milliards de zlotys (1,7 milliard d’euros) à 50,4 milliards de zlotys (11,7 milliards d’euros) en 2015. Les pertes cumulées du budget à ce titre sur cette période totaliseraient 262 milliards de zlotys (61 milliards d’euros) ! À titre de comparaison, le déficit budgétaire de la Pologne pour 2017 devrait atteindre un peu moins de 33 milliards de zlotys (7,7 milliards d’euros).
23/05/2018
suite aux infos du 7 avril (2016) matin
Le peuple néerlandais a dit non à 61% à l'accord d'association de l'Ukraine à cette URSS capitaliste qu'est l'Union « Européenne ». Aussitôt on entend se déverser de la part de tous les Junker-Draghi et autre cadres de chez Goldman-Sachs, de tous les Valls, Sarko, Haziza, Alain Minc, et tous les maîtres à penser du « Monde » et du « Point », tous nos marquis versaillais, des tonnes de déclaration haineuses contre ce ramassis de « militants d'ultra-gauche » et de « fascistes » qui défouleraient leur « populisme » sur cette pauvre et vertueuse « Europe ».
Ach ! "Populist" !
Mais au fait : pourquoi n'a-t-on pas un terme à connotation négative pour les partis "normaux", plus exactement de l'"Establishment", qui se moquent du peuple à nos frais depuis des décennies? Il est plus simple d'attaquer ses opposants, que d'admettre que cette opposition est la conséquence d'une utilisation criminelle du Pouvoir (et d'une lutte de classe).
Comme si le terme « populisme » ne venait pas de « peuple », = demos comme leur chère « démocratie » (vous savez le truc qu'ils font toujours automatiquement suivre par « marché libre » ! et qu'ils diffusent à coup de bombes à l'uranium appauvri). Comme si leur fameuse « Europe » n'était pas ne l'oublions pas « une assurance-vie contre le socialisme » (Alain Madelin), et une Union Soviétique capitaliste gouvernée avec 0% de démocratie par des oligarques autoproclamés à l'écoute des lobbies industriels biens financés, et réduisant les etats nationaux à la fonction de « kapo » de baraque de camp de concentration, chargés de faire tenir leur peuples tranquilles et d'obéir aux directives des SS commandant le camp. Y en a marre de les laisser nous imposer leur vocabulaire spécieux; si on les laisse choisir le champ de bataille à leur mode on part déjà perdant. (1)
Je rappelle que le peuple c'est lui qui a fait la Révolution Française, et celle de 1830, et celle de 1848, et la Commune (là aussi les « élites » étaient vachement haineuses de voir ça, même qu'ils ont faillit lyncher Victor Hugo à Bruxelles, parce qu'il avait tenu des propos indulgents !), et la révolution de 1945-456 car ce fut une révolution ! populaire, (« populiste » ? « d'ultra-gauche » ?) quand les partis de droite tout péteux d'avoir collaboré avec l'ennemi, rampaient sous les meubles, et quand dans le gouvernement de De Gaulle les Marcel Paul, Ambroise Croizat, les Maurice Thorez nous créaient notre Sécu, notre statut de la Fonction Publique, nationalisaient nos Services Publics (qu'on est en train de privatiser pour le grand appétit des investisseurs et des vendeurs de Linky), bref traçaient les bases de notre civilisation, la civilisation des 30 glorieuses, bases qui était à l'époque considérées comme une évidence allant de soi dans tout Etat occidental et moderne.
Il serait peut-être temps de remettre les choses sur leurs pieds, les yeux en face des trous, de se remettre à appeler un chat un chat, et une souris une souris, et de cesser de se laisser tourner la tête en bourrique par la propagande de nos maîtres
(1) il faut aussi analyser ce que c'est que la NOVLANGUE de nos maîtres, ou comment on est passé des exploités (ce qui implique des exploiteurs !) aux "défavorisés", et le tour est joué !
Et puis "si vous interdisez certains mots vous interdisez de penser certaines choses" (exploitation par exemple, et il y en a beaucoup d'autres !)
"le premier combat à mener c'est le combat pour la langue" tout à fait !
et j'ajouterai ce qui est un des préceptes stratégiques de Sun Tseu je crois : il na faut pas laisser l'ennemi choisir le champ de bataille, c'est valable aussi sur le plan sémantique, et du simple vocabulaire, il ne faut reprendre le vocabulaire et la façon de définir les problèmes de l'ennemi ! il faut imposer son propre vocabulaire, et sa propre définition des problèmes !
et surtout "ne pas se laisser intimider" par le terrorisme intellectuel
21/05/2018
en IRAK
https://www.ouest-france.fr/monde/irak/irak-moqtada-sadr-remporte-les-elections-legislatives-5769037
de ce "rapport" confus, brouillon, et manquant énormément de précisions, et de données numériques, il résulte que
une coalition, qui a la côte auprès des habitants les plus déshérités de Bagdad, et qui est allié avec les communistes, antimpérialiste, et qualifié de "populiste" par le monde des journaputes, ce qui est un bon signe en général ! et de "antisystème", a battu la coalition (c'est tout des coalitions de partis, ce qui en dit long sur l'extrême éparpillement des forces politiques en Irak !) de l'actuel premier ministre qui est bien vu de la fameuse "communauté internationale", traduisez des seuls USA !.
Bon ça a l'air d'être bon signe ces résultats. Mais il faut relativiser : seulement 44% des gens on voté !! on dirait le second tour de la présidentielle française
Ce qui veut dire a priori que 56% des irakiens ne se reconnaissent dans aucun des partis en présence ! normalement, une élection comme ça devrait être annulée et refaite ! c'est logique !
14/05/2018
parité ? vous avez dit parité ?
Maxime Gremetz, Né en 1940, ce fils de bûcheron né dans une famille de 9 enfants, s’engagea au Parti communiste français à 15 ans. Ouvrier métallurgiste, élu au Conseil général de la Somme en 1970, responsable communiste de la Fédération de la Somme, il fut élu au Comité central du Parti Communiste Français en 1973, puis au Bureau politique en 1976 et enfin au Secrétariat du Parti Communiste Français en 1979, date à laquelle il signa la préface de l’ouvrage évoqué ici. Il était l'UNIQUE et dernier député d'origine ouvrière de l'Assemblée dite "NATIONALE" .....
Maintenant il n'y en a plus du tout !
euh, la parité ouvriers/patrons c’est pas plus important pour la démocratie que celle hommes/femmes ?
Comment se fait-il qu’ils s’amusent à faire des lois pour imposer une parité hommes/femmes mais rien, rien de rien, pour la parité sociale ?
Pourtant une directrice des ressources humaines ou une conseillère fiscale vous croyez vraiment qu’elle a des des
intérêts différents d’un directeur des ressources humain ou un conseiller fiscal de sexe masculin ? par contre elles n’ont pas du tout les mêmes intérêts à représenter qu’une caissière de supermarché !!
Oui, on n’est pas là en train de découvrir des choses sur ces fameuses « féministes » ? ….
Vous savez Parménide disait « c’est par le raisonnement qu’il faut résoudre les problèmes, il n’y a qu’une seule voie pour le courage » et Aimé Michel « il ne faut jamais s’abstenir de penser ».
13/05/2018
"on s'fait une petite réunion" et après "on mange une pizz" ou mai 68
De mai 68 est sorti une nouvelle bourgeoisie qui sous ses airs désinvoltes est plus dure et cynique que l'ancienne, et une société précarisée, normalisée, et rongée par le racisme social !
En 1999, Daniel Cohn-Bendit AVOUE ! Et déclare être "libéral-libertaire" reprenant ainsi à son compte un concept créé en 1972 par le sociologue Michel Clouscard. A partir du plan Marshall, Clouscard nous enseigne que le capitalisme a besoin d'éviter une crise de surproduction. Le capitalisme a également intérêt à contenir la menace communiste. Quant à Charles de Gaulle, il semble acquis que sa résistance au diktat américain ne fut pas du goût de tout le monde. L'émergence d'une nouvelle industrie (légère) voit apparaître un nouveau mode de consommation. La société des gadgets est née. En conséquence de quoi le capitalisme peut user d'une nouvelle arme (la séduction). Cette stratégie vise à liquider la question sociale et tuer dans l'oeuf le socialisme. (d’où la création de l’Union Européenne, ce « puissant levier », pour l’exploitatio et « assurance-vie contre le socialismé ») Mais la consommation ce n'est pas pour toutes les strates de la population, remarque Michel Clouscard. La société libérale est répressive envers les producteurs (le prolétariat)
(par ailleurs moquée et déméprisée de plus en plus « l’axe du mal à elle toute seule » ! souvenez-vous du film dont on a rit naïvement sans se rendre compte du racisme social qu’il instillait « La vie est un long fleuve tranquille » ! par la suite on a créé « populisme » pour que les gens associent de manière indissoluble le peuple avec tout ce qui est « caca » !)
et elle est permissive envers les consommateurs (la bourgeoisie). Regardez les pubs et lisez les annonces matrimoniales qu’on trouve dans le « Nouvel Observateur » le magazine censé être « de gauche » ! il n’y a pas besoin de beaucoup de pensée marxiste pour comprendre tout de suite !!
Clouscard souligne ainsi l'importance de distinguer le mai 68 bourgeois et sociétal du mai 68 social des Accords de Grenelle. Il insiste sur le fait que contrairement aux apparences il y a des collusions d'intérêts entre les tenants du jouir sans entrave et les responsables de l'économie capitaliste. La consommation libidinale et ludique est réservée à une élite fortunée. En somme, la classe ouvrière doit, elle, se contenter de rêver. Cette nouvelle consommation qu'il faut dissocier des biens d'équipement (lave-linges, automobiles...) s'appuie sur une nouvelle morale qui fait que la liberté devient liberté d'entreprendre (liberté du patron). L’éthique, elle, en est réduite à la soumission « citoyenne » à tous les dogmes en vogue et imposés par les appartchiks du pouvoir . La quête du sublime devient une affaire de goût, décré comme « ringard » et « fasciste » ! Les termes “lutte des classes” ou encore “prolétariat” ne font plus partie du vocabulaire (et sont même interdits avec dégoût, « Staline ! » caca !) de ce qu'il convient d'appeler la « gauche » mondaine, une néo-gauche qui petit à petit a fait de la classe ouvrière la classe fantôme, même celle du tiers-monde celle pourtant qui maintenant produit - elle ! - et travaille pour nous, enfin pour les gras profits des "groupes" dont les cadres, si performants ! autoproclamés "créateurs de richesse" ! (sic!) et "dynamiques", se pavanent dans nos tours blindées sous air conditionné vigiles privés et digicodes.
Selon Clouscard, le capitalisme veut à l'évidence un comportement d'individualisation (oui mais à condition de rester bien dans les rails "citoyens" de l'uniformité de mode, et de l'obéissance stricte - sinon diabolisation à outrance - aux préjugés, comportements, abstinences imposées, normes de rigueur, et "opinions" édictées par les maîtres à penser autorisés par l'Etat !)
En substance, Michel Clouscard suggère qu'à la vue de l'émergence du socialisme, le libéralisme-libertaire est une contre-révolution parfaite. Premièrement, la néo-féodalité qui s’incarne de facto dans le grand capital et la rente foncière, a poursuivi son entreprise de pourrissement via ses courroies de transmission que sont les médias. Deuxièmement, la nouvelle bourgeoisie qui s’incarne dans l'élite intellectuelle, les diplomés de l’Universté, de nos jours de manière significative on dit « diplomés » ce qui sous-entend que tous les diplômes qui sont en-dessous ne sont pas des diplômes !!! ... d’ailleurs de nos jours pour la « basse-cour qui fait l’opinion » en-dessous de la maîtrise tu es un sous-homme !) l'élite entrepreneuriale (rebaptisée « la société civile »!) et le star-système, a généré des stratégies de diversion pour garantir ses privilèges.
La sphère des médias, du divertissement de style amerloque et de l'audiovisuel va s'avérer être une formidable structure de rayonnement de la propagande libérale-libertaire. En se présentant “plus à gauche que la gauche”, la pseudo rébellion libérale-libertaire va effacer des consciences l'idée même de lutte des classes. Le prolétariat n'est plus le sujet de l'histoire.
Dès l'après mai 68, Michel Clouscard attire notre attention sur le véritable rôle des nouveaux faiseurs d'opinion. Selon lui, ils sont les idéologues d'une doctrine contre-révolutionnaire qu'il qualifie de libérale-libertaire. Par son style libertaire et ses idées franchement libérales Daniel Cohn-Bendit est assurément la figure emblématique de la contre-révolution bourgeoise. Si l'indélicatesse est son principal attribut, un examen de ses états de service nous indique qu'il est inutile de rechercher chez lui une quelconque traîtrise. Daniel Cohn-Bendit est tout simplement devenu ce qu'il a toujours été : un bourgeois astucieux et élitiste soucieux de conserver ses privilèges. Quelle que soit la couleur de son maquillage, le mépris des classes populaires est une constante dans son parcours politique. Par conséquent, il n'a jamais supporté les structures politiques (syndicats et partis) qui à travers l'histoire des luttes sociales ont participé à l'émancipation de la classe ouvrière. Sa version des droits de l'homme n'est qu'un vulgaire détournement qui a pour objectif la justification des guerres que mène l'Occident pour des intérêts à la fois économiques et géostratégiques. Enfin, il est européiste car l'UE au demeurant atlantiste, est totalement assujettie aux puissances de l'argent. Une position qui lui a sans nul doute permis de contribuer à l'élection d’Emmanuel Macron en 2017, un nouveau Président qui illustre parfaitement le “mix” entre le libéralisme - libertaire et la nostalgie de l'ancien régime.
sources : Agoravox, et moi-même
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12/05/2018
la "mondialisation" stade ultime du capitalisme
C’est une sorte d’hydre à plusieurs têtes ; avant on l’appelait « GAFA » pour « Google, Apple, Facebook, Amazon » mais d’autres têtes lui ont poussé depuis… Twitter, Netflix, Uber… Et puis il y a toujours Monsanto, Total, Goldman Sachs, et quelques autres encore… mais elles ne sont pas tant que ça en définitive.
Sauf que ce monstre insatiable est en train de mener une lutte acharnée pour le pouvoir, et ce sur deux fronts en même temps : contre les citoyens bien sûr (les lanceurs d’alerte vous le confirmeront !), mais aussi contre les Etats qui refusent de se soumettre à leurs exigences -ou ne le font pas assez vite.
On soupçonnait bien qu’un jour les financiers finiraient par s'affronter aux politiques, inévitablement : leurs intérêts divergent à partir du moment où la compromission du pouvoir politique par le pouvoir financier commence à être rendue publique (Luxleaks, Panama papers pour ne citer que les affaires les plus récentes). Internet -et sa force de frappe planétaire- est un danger pour tous les tricheurs qui veulent rester discrets : c’est pour cela qu’ils poussent les politiques à adopter, pour leur propre sécurité mutuelle, des mesures restrictives sur tout ce qui concerne les libertés sur internet ; le terrorisme étant le biais idéal pour faire passer la fin des libertés sur internet comme un sacrifice difficile -mais nécessaire- à accepter.
Sacrifice qui s’ajoute à ceux exigés par les politiques quand les financiers commandent des lois aux politiques qui les servent (et se servent eux-mêmes au passage)… Contraints de faire passer la pilule auprès des peuples qui ne sont pas toujours d’accord (ce qui ajoute une raison de contrôler internet !), nos hommes politiques sont parfois quelque peu réticents à risquer leur place pour quelques accommodements avec leurs convictions. Regardez le TAFTA : des dispositions légales impliquant une égalité de pouvoir entre une entreprise et un Etat pose des problèmes à tous : les politiques rechignent à signer par peur du peuple qui doit continuer de les élire, tandis que les entreprises payent des sommes considérables pour obtenir ces signatures. Même si au bout du compte ces accords seront adoptés bon gré mal gré, le temps et l’argent perdu par les multinationales pour obtenir la légalisation de leurs comportements immoraux les empêche d’avancer comme ils veulent… d’autant que ces traités sont sujets à changements au gré des alternances gouvernementales.
Quand on pense que certaines entreprises possèdent des ressources financières parfois bien plus importantes que celles d’Etats entiers -dettes comprises !- on est en droit de se demander si des pays entiers ne pourront pas être définitivement achetés par une entreprise -un peu comme dans « les condamnés à mort », un livre que j’ai découvert il y a peu, écrit en 1920 par « Claude Farrère ». Ainsi ils supprimeraient les intermédiaires gênants qui ralentissent le bon déroulement des affaires.
Du coup se pose également la question de la démocratie : ne nuirait-elle donc pas aux affaires ? Alors que la Chine rachète tout ce qu’elle peut de par le monde, la démocratie devrait-elle empêcher « l’Occident » continuer de vivre dans l’opulence ? Cette façade idéologique marque bien toute l’hypocrisie de ce genre de discours, alors que ce sont ces mêmes Apple, Facebook ou Amazon qui exploitent le travail de ces Chinois, dont les plus corrompus gagnent des fortunes. C’est qu’en réalité il n’y a pas de combat entre le nord et le sud, pas plus qu’entre l’est et l’ouest. Le combat est celui des riches contre les pauvres. A l’heure où il est de bon ton de s’alarmer du climat, de la surpopulation, des terroristes, de la pollution, on peut se demander si l’on essaye pas de nous faire peu à peu comprendre qu’il n’y a pas de place pour tout le monde, et que par conséquent on ne gardera que « les meilleurs »…
Ce qui se passe actuellement est une offensive directe de la part de quelques entreprises géantes qui ne veulent plus se laisser emmerder par la démocratie, même fictive. Ils veulent lever le rideau et prendre les commandes en direct. Quittes à imposer la dictature.
Le mouvement de concentration des médias et leur rachat malgré leur faible rentabilité montre également à quel point la bataille de l’opinion doit quand même leur être acquise avant de donner l’assaut final. Prêts à dépenser des milliards pour obtenir nos données, pour nous faire voir le monde à leur manière, ils désirent contrôler ce que nous avons le droit de savoir ou de ne pas savoir, ce que nous devons vouloir ou ne pas vouloir, afin de continuer à nous vendre leurs produits, ainsi que leur idéologie : soyez les meilleurs, sinon vous n’aurez pas votre place parmi les « élus ».
Cette concentration constitue la dernière étape du système capitaliste, qui pourrait conduire au rachat de pays entiers par des multinationales qui gèreront les peuples à la manière de leurs entreprises, avec les moyens techniques de surveillance et de contrôle dont ils disposent. Les riches ont pris l’ascendant et sont bel et bien en train de gagner la lutte des classes. Leur puissance a atteint de tels sommets qu’il est désormais impossible de leur faire entendre raison : too big too fail, un point c’est tout !
De leur point de vue, c’est d’une logique imparable : de la même manière que Monsanto achète petit à petit toutes les entreprises qui produisent des semences « non-OGM » afin de les empêcher de « nuire aux affaires », et que la Chine (pays devenu capitaliste depuis que le Parti Communiste Chinois de "parti de la classe ouvrière" est devenu "Le parti des entrepreneurs") à son tour achète l'immonde et mortifère Sygenta, chaque multinationale dominante désire racheter ses concurrents pour les rendre inoffensifs. Toutes les barrières réglementaires qui contraignent leur puissance est un ennemi à abattre. Et la démocratie nuit aux affaires. Comme l’écologie et les journalistes, ou les droits sociaux.
Tant que l’on ne remettra pas en cause l’idéologie qui érige la rentabilité en valeur supérieure à toutes les autres il ne peut y avoir ni démocratie ni écologie ; mais il y aura des guerres, et de la misère aussi. Car dans un monde où la rentabilité est la valeur supérieure, il n’y a pas de limite à l’exploitation de l’homme.
Et le "Bohemian Club" vous connaissez ?
Le Bohemian Club : la secte planétaire
Source : crashdebug.fr – texte de 2001
La « mondialisation » signifie la liberté pour les possesseurs du capital d’exploiter librement la main-d’oeuvre et les ressources du monde. Tout ce qui peut opposer une résistance à la maximisation des profits – syndicats, règlements pour protéger l’environnement, services publics ou indépendance nationale – doit être cassé et détruit.
Les maîtres de la « mondialisation » cherchent à « discipliner » les peuples les plus pauvres et les travailleurs de la planète tout en nous forçant à accepter la dictature du « marché » et les conditions de travail et de vie misérables qu’ils imposent. L’élite souveraine utilise la Banque mondiale, le Fonds Monétaire International et l’OMC pour mettre en pratique des plans d’austérité dans un grand nombre de pays pauvres. Ceux qui résistent sont assujettis aux conflits armés, aux interventions, à l’occupation et au blocus – d’Irak à Cuba, de la Palestine à la Corée, de la Colombie à l’Angola, de la Chine au Mexique. Dans cette quête visant à la domination du monde, le gouvernement Bush propose une nouvelle version de Guerre des Etoiles et poursuit son programme nucléaire, prétextant que le programme de bouclier anti-missiles (NMD, National Missile Defense) est essentiellement un outil de défense. Mais Bush junior rajoute que, sur la politique étrangère en général, l’objectif est de montrer la « force et l’autorité de l’Amérique » dans le monde.
Que cache cet événement de plein air où, à partir du 14 juillet 2001 et durant trois semaines consécutives, les protagonistes sont censés suivre des conférences et des discussions politiques, assister à des divertissements et des pièces de théâtre, et même participer à des rituels ? Les arbres de la forêt du Bohemian Club cacheraient une orgie sacrificielle que la nature de ses membres ne laissait pas envisager, mais dont le but met en jeu l’avenir de chacun d’entre nous.
Un Club de l’élite
Le Bohemian Club accueille dans la forêtd’ californienne les américains les plus riches, et quelques étrangers européens (entre autres Michel Rocard … et Giscard) ou asiatiques. Ces membres sont au nombre de 2235. La majorité est californienne, alors que les autres proviennent de 35 états et une douzaine de pays étrangers. Environ un cinquième des membres est directeur d’une ou plus des 1000 compagnies classées dans le magazine Fortune, PDG d’entreprise, hauts fonctionnaires gouvernementaux au sommet et/ou membre d’importants conseils politiques ou de fondations majeures. Le reste des membres se décompose essentiellement en une élite de la justice et du business avec un petit mélange d’universitaire, d’officiers militaires, d’artistes, ou de docteurs en médecine. Les PDG, chefs d’État, et écrivains à gros tirages représentent au total le quart de la fortune privée des Etats-Unis.
08/05/2018
nous donnons notre consentement à ce qu'ils sont en train de faire ! est-ce que vous comprenez ça ?
06/05/2018
5 mai c'est sûr que cette initiative don-quichottesque ne pouvait faire qu'un "flop". MAIS
https://www.youtube.com/watch?v=GNarHKbyX3c
c'est sûr que cette initiative don-quichottesque ne pouvait faire qu'un "flop". MAIS
avez-vous remarqué que aucun des "médias" n'en a parlé, ni avant (quand-même !) ni pendant, ni après ! pas même sur un ton ironique ou comme un "faits-divers pittoresque".
CE QUI VEUT DIRE que TOUS les journaputes ont RECU DES INSTRUCTIONS de silence de de black out délibéré (je rappelle qu'il y a 3 ans alors qu'ils étaient moins nombreux plusieurs ont titré "qui est Eric Fiorile qui veut faire un coup d'Etat le 14 juillet ?").
révélateur non ? ça mérite réflexion ...
2° l'attitude des CRS confirme l'impression qu'on depuis quelques années que les policiers considèrent tout civil comme un ennemi ! et se comportent comme une armée d'occupation en pays conquis ...