04/06/2018
il faut être fier d'être "complotiste", car c'est refuser de prendre pour argent comptant la version officielle des faits
De tous temps et dans tous les pays la version officielle, celle des maîtres du moment, et de leurs intérêts, a été mensongère.
29/05/2018
comment nos maîtres et leurs larbins nous mentent et nous déforment la réalité !!!
Comment la presse Voix-de-nos-Maîtres des journaputes au service de leurs propriétaires milliardaires pratique la NOVLANGUE et appelle blanc ce qui est noir et noir ce qui est blanc - mais si on ne retient que les faits on s’apperçoit du degré hallucinant du mensonge et de la propagande de classe éhontée à laquelle nous sommes soumis !!!
déclaration d'un polonais interviewé :
« Le PiS, ce sont les seuls qui nous soutiennent, ils sont proches des gens. »
( = ce que les journaputes du grand capital appellent « populisme » )
La Pologne augmente de 20 % le salaire minumum
27-11-2007
Augmentation de +20% pour le salaire Minimum
Le 1er Janvier 2008, le salaire minimum est passé de 0,936 PLN à 1,126 PLN brut. Cette augmentation est le résultat d’un accord entre l’ancien gouvernement « Droit et Justice » PIS et le syndicat Solidarnosc. Le salaire minimum se situe au alentour de 36% du salaire moyen en Pologne, qui était de 3,092 pln brut en novembre 2007.
Seulement 2 à 3% des travailleurs polonais perçoivent le salaire minimum, mais son augmentation aura un impact sur l’ensemble des rémunération, puisque le salaire minimum est un point de référence pour le calcul des autres formes de rémunération. Ce changement entrainera une augmentation du salaire horaire pour le travail de nuit, des indemnités perçues en cas d’infraction aux règles de non discrimination, d’harcelement et de plan social entre autres. Les frais d’assurance sociale seront revus également à la hausse.
La Pologne recrée les allocations familiales
27-11-2007
un ambitieux programme social : une allocation mensuelle de 500 złotys (115 euros) par enfant, financée par la taxation des banques et des grandes surfaces
La Pologne baisse l’âge de la retraite : c’est la ruée
28/09/2017
Retour à 65 ans pour les hommes, à 60 ans pour les femmes. La mesure du gouvernement populaire du PiS fait un tabac. Pas sûr qu’elle résiste à la réalité budgétaire et au droit (antisocial) européen (c’est à dire de lutte de classe pro-capitaliste et réactionnaire)
Le 1er octobre, la Pologne pourrait compter d’un coup jusqu’à 331 000 retraités supplémentaires. Cette flambée est liée à l’abaissement à 65 ans pour les hommes, et à 60 ans pour les femmes, de l’âge légal de départ à la retraite. Jusqu’ici, depuis une réforme en 2012, c’était 67 ans pour tous. Le gouvernement dominé par les populistes ( donc démocrates et progressistes) du PiS (parti « conservateur » (sic !! ) Droit et justice) a décidé de faire machine arrière toute, à contre-courant (démocratique) de (de l’évolution réactionnaire et de lutte de classe procapitalistes de l’Union « Européenne ») l’allongement de l’espérance de vie à 78 ans (+8 ans depuis 1990) et du reste de l’Europe.
64 000 demandes en une journée
Les risques pour l’équilibre financier (des profits du grand capital et des banques, et des riches qui ne veulent pas payer d’impôts) du système de retraite, qui pourrait exploser dans les deux ans ? Et aussi pour le marché du travail, qui manque déjà de bras ? (et dont les salaires risque d’augmenter les salariés se retrouvant dans une meilleure position face aux interêts contradictoire des employeurs capitalistes?) Le gouvernement insiste sur la liberté offerte aux personnes agées. Ils sont encouragés à travailler au-delà de l’âge légal pour s’offrir une meilleure pension. Actuellement, la moyenne s’élève à 500 € par mois.
Mais rien à faire ! Les Polonais se sont rués dans les bureaux de la Sécu. Rien que le 1er septembre, date de l’ouverture des dossiers, 64 000 personnes se sont déplacées, au moins pour se renseigner. Dans certaines villes, les queues s’étaient formées dès 3 h du matin ! Les sondages estiment que 80 % de ceux qui ont atteint le nouvel âge légal vont demander à profiter de leur retraite.
La situation s’est depuis un peu calmée. À Varsovie, Joanna est venue consulter l’un des conseillers retraite spécialement recrutés cette année. Elle a atteint l’âge légal, mais hésite à liquider ses droits. « Je ne suis pas encore sûre, mais je pense que je vais le faire. De toute façon, je continuerai à travailler en parallèle. » Une combinaison permise en Pologne, à condition que les revenus du travail ne dépassent pas 70 % de 1 050 € bruts, le salaire moyen.
À près de 67 ans, Augustyn n’a pas besoin de la réforme. Mais il s’en félicite car « le passage à 67 ans pour tous était un crime ».
Excellentes rentrées fiscales du budget polonais : une bonne nouvelle qui met l’opposition « libérale » (pro-capitaliste européiste et antisociale) dans l’embarras
Pologne – « Il suffisait de ne pas voler ! »
Voilà comment le Premier ministre polonais Beata Szydło expliquait en avril dernier les excellentes rentrées fiscales de son gouvernement et aussi les bénéfices générés par les mines de charbon, un secteur qui était au bord de la faillite avant l’arrivée du PiS au pouvoir à l’automne 2015. « Il suffit de ne pas voler et de ne pas gaspiller les deniers publics » est désormais l’explication qui revient régulièrement dans la bouche des leaders du PiS, à mesure que se confirme la très bonne tenue du budget et l’ampleur des fraudes fiscales, en particulier en ce qui concerne la TVA, pendant les huit années de gouvernement PO-PSL sous la houlette du Premier ministre Donald Tusk puis, lorsque celui-ci a émigré à Bruxelles en 2014 en quête d’un meilleur salaire, du Premier ministre Ewa Kopacz.
Ces bons résultats, qui vont au-delà des attentes du gouvernement lui-même, sont directement liés à la lutte contre les fraudes fiscales. Les systèmes de chaînes d’entreprises créées dans l’unique but de générer de fausses factures afin de tricher sur la TVA. Dans le commerce des hydrocarbures, par exemple, on parle d’une véritable « mafia des carburants » qui a été mise à mal par les nouvelles règles mises en place par le gouvernement de Beata Szydło, sous l’impulsion du ministre des finances Mateusz Morawiecki. C’est paraît-il en 2012 que les entreprises du secteur des carburants avaient commencé à sonner l’alarme, alertant sur une concurrence déloyale croissante de la part de fraudeurs qui ne s’acquittaient pas de la TVA à 23 %. Après l’adoption de nouvelles règles par la majorité PiS en août 2016, le commerce déclaré de carburants a très rapidement augmenté de 30 %, ce qui donne une idée de la place qu’avait prise le marché noir.
Le gouvernement PiS a aussi unifié trois administrations qui travaillaient séparément jusqu’ici : le fisc, le contrôle fiscal et les douanes. Ces administrations sont désormais réunies depuis le 1er mars 2017 au sein d’une administration fiscale nationale (KAS). Le ministère des Finances a aussi mis en place de nouvelles solutions informatiques pour faire la chasse aux fraudeurs. Résultat ? Pour la période de janvier à août, les rentrées fiscales ont augmenté de 20,5 milliards de zlotys (environ 4,8 milliard d’euros) par rapport à 2016. En rythme annuel, les rentrées de TVA sont en augmentation de 23,5 % d’une année sur l’autre, sans qu’il y ait eu d’augmentation des taux prélevés. Les recettes au titre de l’accise et de l’impôt sur les jeux connaissent une augmentation de 4,1 %, et celles au titre de l’impôt sur le revenu de 8,3 % tandis que les recettes tirées de l’impôt sur les sociétés sont supérieures de 13,3 %. Du coup, le déficit budgétaire pour cette année devrait être de 10 ou 20 milliards de zlotys inférieur à ce qui était prévu dans la loi budgétaire.
Au début du mois de septembre, à la veille du Forum économique de Krynica, l’agence de notation Moody’s a relevé ses prévisions de croissance pour la Pologne en 2017, de 3,2 % a 4,3 %, et elle a réduit ses prévisions de déficit du secteur des finances publiques de 2,9 % à 2,5 %. Pourtant, lorsque le PiS avait mis en place au printemps 2016 les premières allocations familiales depuis la chute du communisme, (c’est à dire que alors que les communistes – tellement villipendés par les « libéraux ! …..- payaient des allocations familiales, le gouvernement « libre » et « démocrate » pro-capitaliste mis en place à la chute du communisme les AVAIT SUPPRIMéES !!! et seul le gouvernement du Pis Droit et Justice - villipendé par les « libéraux » du grand capital européiste les a rétablies) réduisant au passage de manière très significative l’extrême pauvreté qui affectait au premier chef les familles nombreuses, l’opposition « libérale-libertaire » (représentant visiblement en fait les interêts de la bourgeoisie fortunée !!) (la Plateforme civique – PO – de l’ancien Premier ministre Donald Tusk et le parti « Moderne » – Nowoczesna – créé pour récupérer les électeurs mécontents de la PO aux élections de 2015), prévenait que cela allait entraîner la banqueroute du budget de l’État. Et ce d’autant plus que le PiS applique encore d’autres politiques qualifiées de « populistes » (c’est à dire sociales et progressistes) : il a augmenté les salaires minimums (le salaire moyen est aussi en forte hausse du fait d’un taux de chômage, à 7 %, qui n’avait jamais été aussi bas depuis 1991), il a augmenté les pensions de retraite des retraités les plus défavorisés et réduit l’âge de la retraite a contrario de ce qui se fait ailleurs en Europe (soumise aus dictats européistes du grand capital). Il a encore lancé un programme de construction de logements subventionnés pour les familles et augmente les dépenses militaires.
Comment est-ce donc possible ? « Il suffit de ne pas voler », martèle la majorité parlementaire conservatrice en direction de l’opposition libérale présentée dans les médias étrangers comme meilleure gestionnaire mais qui a toujours bénéficié, et ce n’est pas un hasard, du soutien de sponsors généreux des milieux des affaires. D’après les chiffres préparés par le gouvernement actuel pour la Commission européenne, la différence entre la TVA qui aurait théoriquement due être perçue par l’État et les recettes effectives du budget au titre de cette taxe a été multipliée par plus de sept sur la période des gouvernements PO-PSL (2007-2015), passant de 7,1 milliards de zlotys (1,7 milliard d’euros) à 50,4 milliards de zlotys (11,7 milliards d’euros) en 2015. Les pertes cumulées du budget à ce titre sur cette période totaliseraient 262 milliards de zlotys (61 milliards d’euros) ! À titre de comparaison, le déficit budgétaire de la Pologne pour 2017 devrait atteindre un peu moins de 33 milliards de zlotys (7,7 milliards d’euros).
14/05/2018
parité ? vous avez dit parité ?
Maxime Gremetz, Né en 1940, ce fils de bûcheron né dans une famille de 9 enfants, s’engagea au Parti communiste français à 15 ans. Ouvrier métallurgiste, élu au Conseil général de la Somme en 1970, responsable communiste de la Fédération de la Somme, il fut élu au Comité central du Parti Communiste Français en 1973, puis au Bureau politique en 1976 et enfin au Secrétariat du Parti Communiste Français en 1979, date à laquelle il signa la préface de l’ouvrage évoqué ici. Il était l'UNIQUE et dernier député d'origine ouvrière de l'Assemblée dite "NATIONALE" .....
Maintenant il n'y en a plus du tout !
euh, la parité ouvriers/patrons c’est pas plus important pour la démocratie que celle hommes/femmes ?
Comment se fait-il qu’ils s’amusent à faire des lois pour imposer une parité hommes/femmes mais rien, rien de rien, pour la parité sociale ?
Pourtant une directrice des ressources humaines ou une conseillère fiscale vous croyez vraiment qu’elle a des des
intérêts différents d’un directeur des ressources humain ou un conseiller fiscal de sexe masculin ? par contre elles n’ont pas du tout les mêmes intérêts à représenter qu’une caissière de supermarché !!
Oui, on n’est pas là en train de découvrir des choses sur ces fameuses « féministes » ? ….
Vous savez Parménide disait « c’est par le raisonnement qu’il faut résoudre les problèmes, il n’y a qu’une seule voie pour le courage » et Aimé Michel « il ne faut jamais s’abstenir de penser ».
12/05/2018
la "mondialisation" stade ultime du capitalisme
C’est une sorte d’hydre à plusieurs têtes ; avant on l’appelait « GAFA » pour « Google, Apple, Facebook, Amazon » mais d’autres têtes lui ont poussé depuis… Twitter, Netflix, Uber… Et puis il y a toujours Monsanto, Total, Goldman Sachs, et quelques autres encore… mais elles ne sont pas tant que ça en définitive.
Sauf que ce monstre insatiable est en train de mener une lutte acharnée pour le pouvoir, et ce sur deux fronts en même temps : contre les citoyens bien sûr (les lanceurs d’alerte vous le confirmeront !), mais aussi contre les Etats qui refusent de se soumettre à leurs exigences -ou ne le font pas assez vite.
On soupçonnait bien qu’un jour les financiers finiraient par s'affronter aux politiques, inévitablement : leurs intérêts divergent à partir du moment où la compromission du pouvoir politique par le pouvoir financier commence à être rendue publique (Luxleaks, Panama papers pour ne citer que les affaires les plus récentes). Internet -et sa force de frappe planétaire- est un danger pour tous les tricheurs qui veulent rester discrets : c’est pour cela qu’ils poussent les politiques à adopter, pour leur propre sécurité mutuelle, des mesures restrictives sur tout ce qui concerne les libertés sur internet ; le terrorisme étant le biais idéal pour faire passer la fin des libertés sur internet comme un sacrifice difficile -mais nécessaire- à accepter.
Sacrifice qui s’ajoute à ceux exigés par les politiques quand les financiers commandent des lois aux politiques qui les servent (et se servent eux-mêmes au passage)… Contraints de faire passer la pilule auprès des peuples qui ne sont pas toujours d’accord (ce qui ajoute une raison de contrôler internet !), nos hommes politiques sont parfois quelque peu réticents à risquer leur place pour quelques accommodements avec leurs convictions. Regardez le TAFTA : des dispositions légales impliquant une égalité de pouvoir entre une entreprise et un Etat pose des problèmes à tous : les politiques rechignent à signer par peur du peuple qui doit continuer de les élire, tandis que les entreprises payent des sommes considérables pour obtenir ces signatures. Même si au bout du compte ces accords seront adoptés bon gré mal gré, le temps et l’argent perdu par les multinationales pour obtenir la légalisation de leurs comportements immoraux les empêche d’avancer comme ils veulent… d’autant que ces traités sont sujets à changements au gré des alternances gouvernementales.
Quand on pense que certaines entreprises possèdent des ressources financières parfois bien plus importantes que celles d’Etats entiers -dettes comprises !- on est en droit de se demander si des pays entiers ne pourront pas être définitivement achetés par une entreprise -un peu comme dans « les condamnés à mort », un livre que j’ai découvert il y a peu, écrit en 1920 par « Claude Farrère ». Ainsi ils supprimeraient les intermédiaires gênants qui ralentissent le bon déroulement des affaires.
Du coup se pose également la question de la démocratie : ne nuirait-elle donc pas aux affaires ? Alors que la Chine rachète tout ce qu’elle peut de par le monde, la démocratie devrait-elle empêcher « l’Occident » continuer de vivre dans l’opulence ? Cette façade idéologique marque bien toute l’hypocrisie de ce genre de discours, alors que ce sont ces mêmes Apple, Facebook ou Amazon qui exploitent le travail de ces Chinois, dont les plus corrompus gagnent des fortunes. C’est qu’en réalité il n’y a pas de combat entre le nord et le sud, pas plus qu’entre l’est et l’ouest. Le combat est celui des riches contre les pauvres. A l’heure où il est de bon ton de s’alarmer du climat, de la surpopulation, des terroristes, de la pollution, on peut se demander si l’on essaye pas de nous faire peu à peu comprendre qu’il n’y a pas de place pour tout le monde, et que par conséquent on ne gardera que « les meilleurs »…
Ce qui se passe actuellement est une offensive directe de la part de quelques entreprises géantes qui ne veulent plus se laisser emmerder par la démocratie, même fictive. Ils veulent lever le rideau et prendre les commandes en direct. Quittes à imposer la dictature.
Le mouvement de concentration des médias et leur rachat malgré leur faible rentabilité montre également à quel point la bataille de l’opinion doit quand même leur être acquise avant de donner l’assaut final. Prêts à dépenser des milliards pour obtenir nos données, pour nous faire voir le monde à leur manière, ils désirent contrôler ce que nous avons le droit de savoir ou de ne pas savoir, ce que nous devons vouloir ou ne pas vouloir, afin de continuer à nous vendre leurs produits, ainsi que leur idéologie : soyez les meilleurs, sinon vous n’aurez pas votre place parmi les « élus ».
Cette concentration constitue la dernière étape du système capitaliste, qui pourrait conduire au rachat de pays entiers par des multinationales qui gèreront les peuples à la manière de leurs entreprises, avec les moyens techniques de surveillance et de contrôle dont ils disposent. Les riches ont pris l’ascendant et sont bel et bien en train de gagner la lutte des classes. Leur puissance a atteint de tels sommets qu’il est désormais impossible de leur faire entendre raison : too big too fail, un point c’est tout !
De leur point de vue, c’est d’une logique imparable : de la même manière que Monsanto achète petit à petit toutes les entreprises qui produisent des semences « non-OGM » afin de les empêcher de « nuire aux affaires », et que la Chine (pays devenu capitaliste depuis que le Parti Communiste Chinois de "parti de la classe ouvrière" est devenu "Le parti des entrepreneurs") à son tour achète l'immonde et mortifère Sygenta, chaque multinationale dominante désire racheter ses concurrents pour les rendre inoffensifs. Toutes les barrières réglementaires qui contraignent leur puissance est un ennemi à abattre. Et la démocratie nuit aux affaires. Comme l’écologie et les journalistes, ou les droits sociaux.
Tant que l’on ne remettra pas en cause l’idéologie qui érige la rentabilité en valeur supérieure à toutes les autres il ne peut y avoir ni démocratie ni écologie ; mais il y aura des guerres, et de la misère aussi. Car dans un monde où la rentabilité est la valeur supérieure, il n’y a pas de limite à l’exploitation de l’homme.
Et le "Bohemian Club" vous connaissez ?
Le Bohemian Club : la secte planétaire
Source : crashdebug.fr – texte de 2001
La « mondialisation » signifie la liberté pour les possesseurs du capital d’exploiter librement la main-d’oeuvre et les ressources du monde. Tout ce qui peut opposer une résistance à la maximisation des profits – syndicats, règlements pour protéger l’environnement, services publics ou indépendance nationale – doit être cassé et détruit.
Les maîtres de la « mondialisation » cherchent à « discipliner » les peuples les plus pauvres et les travailleurs de la planète tout en nous forçant à accepter la dictature du « marché » et les conditions de travail et de vie misérables qu’ils imposent. L’élite souveraine utilise la Banque mondiale, le Fonds Monétaire International et l’OMC pour mettre en pratique des plans d’austérité dans un grand nombre de pays pauvres. Ceux qui résistent sont assujettis aux conflits armés, aux interventions, à l’occupation et au blocus – d’Irak à Cuba, de la Palestine à la Corée, de la Colombie à l’Angola, de la Chine au Mexique. Dans cette quête visant à la domination du monde, le gouvernement Bush propose une nouvelle version de Guerre des Etoiles et poursuit son programme nucléaire, prétextant que le programme de bouclier anti-missiles (NMD, National Missile Defense) est essentiellement un outil de défense. Mais Bush junior rajoute que, sur la politique étrangère en général, l’objectif est de montrer la « force et l’autorité de l’Amérique » dans le monde.
Que cache cet événement de plein air où, à partir du 14 juillet 2001 et durant trois semaines consécutives, les protagonistes sont censés suivre des conférences et des discussions politiques, assister à des divertissements et des pièces de théâtre, et même participer à des rituels ? Les arbres de la forêt du Bohemian Club cacheraient une orgie sacrificielle que la nature de ses membres ne laissait pas envisager, mais dont le but met en jeu l’avenir de chacun d’entre nous.
Un Club de l’élite
Le Bohemian Club accueille dans la forêtd’ californienne les américains les plus riches, et quelques étrangers européens (entre autres Michel Rocard … et Giscard) ou asiatiques. Ces membres sont au nombre de 2235. La majorité est californienne, alors que les autres proviennent de 35 états et une douzaine de pays étrangers. Environ un cinquième des membres est directeur d’une ou plus des 1000 compagnies classées dans le magazine Fortune, PDG d’entreprise, hauts fonctionnaires gouvernementaux au sommet et/ou membre d’importants conseils politiques ou de fondations majeures. Le reste des membres se décompose essentiellement en une élite de la justice et du business avec un petit mélange d’universitaire, d’officiers militaires, d’artistes, ou de docteurs en médecine. Les PDG, chefs d’État, et écrivains à gros tirages représentent au total le quart de la fortune privée des Etats-Unis.
08/05/2018
nous donnons notre consentement à ce qu'ils sont en train de faire ! est-ce que vous comprenez ça ?
06/05/2018
5 mai c'est sûr que cette initiative don-quichottesque ne pouvait faire qu'un "flop". MAIS
https://www.youtube.com/watch?v=GNarHKbyX3c
c'est sûr que cette initiative don-quichottesque ne pouvait faire qu'un "flop". MAIS
avez-vous remarqué que aucun des "médias" n'en a parlé, ni avant (quand-même !) ni pendant, ni après ! pas même sur un ton ironique ou comme un "faits-divers pittoresque".
CE QUI VEUT DIRE que TOUS les journaputes ont RECU DES INSTRUCTIONS de silence de de black out délibéré (je rappelle qu'il y a 3 ans alors qu'ils étaient moins nombreux plusieurs ont titré "qui est Eric Fiorile qui veut faire un coup d'Etat le 14 juillet ?").
révélateur non ? ça mérite réflexion ...
2° l'attitude des CRS confirme l'impression qu'on depuis quelques années que les policiers considèrent tout civil comme un ennemi ! et se comportent comme une armée d'occupation en pays conquis ...
02/05/2018
face à tous ces mensonges le refuge du rire
- partout sous les étoiles, face à l'univers, (comme les fumeurs... eux aussi ...)
et un moment historique :
et Jacky, l'anarchiste qui a compris, et qui sait analyser.
Si ça c'est pas d'l'émancipation, putain !
et Dieudo celui qui prend tout à la dérision, pour la première fois au bord de larmes
"surpris par la beauté des gens" oui c'est tout à fait ça.
"J'ai essayé de comprendre de quoi il s'agissait" oui, voilà ! elle a le mot de la fin ! une fois qu'on a compris de quoi il s'agit, on comprend aussi la valeur de ce mouvement historique.
28/04/2018
Internet puissance de résistance, de scepticisme, de démocratie - révolution dont on commence seulement à voir les effets, tsunami qui finira par renverser le vieux monde des menteurs qui nous exploitent !
Avant l’ère d’INTERNET, il était très difficile d’échapper au formatage de la connaissance du fait de la quasi omnipotence des médias dominants.
Puis il y a eu internet, là, ce fut un choc, la découverte de l’ampleur de la catastrophe et du mensonge régnant.
Une chose est certaine, une fois passé de l’autre côté, il n’y a pas de retour possible, c’est pour cela que la panique est générale : ceux qui en sont sortis, ne reviennent jamais à la propagande du système, le problème est que ce n’est donné qu’à une petite minorité, il faut d’abord le vouloir, ensuite il faut le croire, mais avant tout il faut avoir beaucoup de temps pour lire et rechercher, et posséder déjà un esprit critique, (une denrée en voie d’extinction) ce qui sera de plus en plus retiré à la jeunesse, formaté dès le berceau et totalement esclave des technologies récréatives, réseaux sociaux et autres titytaintment.
Je ne suis pas optimiste, vous le constatez, d’autant qu’il est quasi impossible d’alerter ses congénères sans passer pour une demeurée bonne à enfermer, la plupart de mes compatriotes ayant le nez dans le guidon et comme seule perspective l’enrichissement et la consommation, j’avoue y avoir renoncé.
Le seul espoir est que malgré tout, grandisse le flux des informés jusqu’au basculement, mais vu le verrou majeur qui s’annonce pour s’y opposer, j’ai bien peur
La Démocratie mondiale est inéluctable
découvert le 5 mai sur Agoravox, un article très important, car il parle d'un phénomène très important, qui est en train de se dérouler sous nos yeux (il y en a déjà eu des effets le résultat au référendum de 2005, le boycott par résistance passive au vaccin H1N1 en 2009, Asselineau, la résistance au Linky, Dieudonné - qui a théorisé lui aussi très bien ça à plusieurs reprises), la puissance d'Internet sur la démocratie, le scepticisme face à la propagande et aux scandales et aux False Flags, les mouvements de résistance, la capacité de réflexion et la culture des gens, l'autonomie et la création de réseaux à côté du système, l'antidote à la solitarisation des gens par la société actuelle (par exemple que ferait mon pauvre vieux correspondant espérantiste allemand, s'il n'avait pas ses 20 correspondants dans le monde entier !).
Le pape paraît-il, dixit Dieudonné, a qualifié internet de "don de Dieu".
"mais qui croit encore ces gens ?" eh oui !
grâce à Internet
ou Dieudonné : "avec la touche REPLAY ils ne vont plus pouvoir se foutre de notre gueule comme avant" eh oui !
grâce à Internet
"Nous vivons une époque clé de notre Histoire. Internet, qui est, selon moi, notre plus grande révolution intellectuelle, permet l'interconnexion en temps réel, la diffusion et la disponibilité immédiate des savoirs et l'explosion des interactions entre les individus. Il ouvre donc tout un champ de perception, comme une nouvelle habileté de l'Humanité, un nouveau sens collectif. Et étant donné que la situation est catastrophique sur bien des plans, et que les médias de masse, pour bien des raisons, échouent magistralement dans leur rôle de 4ème Pouvoir, cela pousse les peuples à se "réinformer". C'est à dire à utiliser l'outil providentiel qu'est Internet pour échanger les points de vue, débattre, essayer de comprendre la situation actuelle et trouver des solutions. En fait, Internet, couplé à un monde de merde, c'est la plus grande fabrique à citoyens de l'Histoire...
comme dit Eric Fiorile le "c'est vrai puisqu'ils l'ont dit à la télévision" commence à être remplacé par" on l'a dit à la télévision, mais il vaux mieux aller vérifier sur internet"
Et ce constat me semble évident à faire : regardez comment nos opinions ont évolué ces dernières années. Je pense que le basculement idéologique a vraiment été enclenché par les révélations de Snowden. C'était certes un secret de Polichinelle, mais pas n'importe quel secret non-plus, et c'est à partir de là, je crois, que les masses ont pu commencer à envisager que l'Empire, pour reprendre cette terminologie polémique, est prêt à tout pour accroitre son pouvoir et contrôler les peuples.
Aussi, ces dernières années, nous avons pu assister à une forte accélération des dérives de nos pouvoirs. Dérives qui avaient été anticipées par bien des gens, allant de certains auteurs SF dotés d'une clairvoyance certaine, à de nombreux intellectuels et citoyens qui ont tenté de nous mettre en garde sur les dangers de la direction qu'on a prise. Utilisation éhontée du 49.3, Orwellisation de nos médias (le Décodex et la réaction des journalistes mainstream qui, au lieu d'exprimer leur indignation, au risque de perdre leur job, saluent l'initiative et jouent le jeu)... Il y a, à vrai dire, tellement de dérives et de masques qui tombent qu'il est inutile de développer davantage l'idée dans cet article : des milliers d'autres le font en continu depuis des années.
Il y a donc un gigantesque mouvement qui s'opère, une révolution de fond dont l'inertie est plus forte que tout. Les peuples deviennent petit à petit des Citoyens, car ils sont dégoûtés de la tournure des évènements, cherchent à comprendre la situation et à s'investir pour défendre les causes qu'ils croient légitimes. Tout ça, en réaction face à la peur d'un lendemain dystopique. Alors, bien sûr, nous sommes plus divisés que jamais. Mais nous sommes aussi sur le point de comprendre pleinement que ces divisions ne sont pas le fruit du hasard.
En effet, les personnes au pouvoir ont de tous temps cherché à sécuriser leurs places, et pour cela, il faut... diviser pour mieux régner. Y a pas de secret, c'est vieux comme le monde. Le pire, c'est qu'on le sait tous, mais jusqu'à présent, on a continué de se prendre au jeu. A mon avis, c'est parce que nous sommes dans une Société du spectacle qui nous endoctrine notamment dans le culte de l'égo, et donc qu'on se sent exister en défendant nos opinions corps et âme. Et sans forcément prendre le temps d'écouter les autres, en particulier ceux qui pensent différemment.
De plus, on continue de tomber dans le piège sournois des médias dominants : ils mettent en avant les tranches de populations qui confortent l'idéologie qu'ils veulent propager, ils utilisent des sondages facilement orientables (merci le paradoxe de Simpson) qui visent à nous manipuler via le biais de confirmation. Alors bien sûr, en voyant tout ça, et en constatant que partout, en particulier sur Internet, les opinions partent dans tous les sens et que personne ne s'accorde, on a tendance à croire que "les gens sont des moutons". Mais si c'était vraiment le cas, il n'y aurait pas toute cette indignation populaire, pas d'abstention massive aux élections, pas autant de débats passionnés, etc... Alors certes, on continue de tomber dans certaines manipulations spécifiques, mais l'essentiel est là : les moutons en ont marre, ils s'informent (Salut Benji !). Le peuple Français sort petit à petit de sa torpeur, de sa condition de "peuple de veaux". De plus, malgré l'apparent acharnement des élites à vouloir instaurer le règne de l'Idiocratie, de plus en plus de personnes développent une critique forte et intelligente de nos dérives sociétales. Il y a ceux qui s'offusquent et ne comprennent pas le message, et il y a les autres, qui semblent bien plus nombreux et c'est rassurant. Et il y a Google, Facebook, etc. qui censurent. Ce qui conforte la dérive orwellienne de nos médias, y compris de ceux du net.
Il nous suffit maintenant d'un déclic pour l'union. Je pense qu'on peut faire de nombreuses analogies entre l'Humanité et l'Individu. Parfois, les personnes profitent d'un déclic pour évoluer radicalement, alors pourquoi il n'en serait pas de même pour l'Humanité ? La Théorie du 100ème Singe, par exemple, qu'elle soit scientifiquement valide ou pas, me semble très pertinente. Ou encore, c'est un peu comme si nous étions tous des flocons de neige qui, par des conditions météo particulières, s'agglutinent en formant une grosse corniche qui surplombe toujours plus le vide, jusqu'au jour où le flocon fatidique (le "100ème Singe"), vient se poser puis fait basculer cet ensemble, et provoque une avalanche. Nous sommes donc, je le ressens, et je ne suis clairement pas le seul, sur le point d'accueillir ce flocon fatidique...
L'avalanche, le déclic de l'Humanité, ça peut être le candidat surprise François Asselineau, qui, porté par ses militants de l'UPR, qui y ont cru depuis longtemps, va enfin voir les portes des grands médias s'ouvrir à lui. Il va enfin pouvoir débattre avec les autres candidats "mainstream", ce qu'il réclame depuis des années. Un grand nombre de Français va enfin le découvrir, et ils seront frappés par son intelligence, sa culture, sa bienveillance, son intégrité sans équivalant dans le paysage politique français, et surtout son désir ardent de rétablir la Démocratie (ou plutôt de l'établir ? Enfin, ce n'est pas le sujet). Ce sera la preuve concrète que notre Salut vient d'Internet, et ça rendra officiellement obsolète une bonne partie de la caste politico-médiatique actuelle.
Il va, au long de ses débats et temps de parole, redonner espoir aux Français, en leur montrant un nouveau visage de la politique, à mille lieues des scandales et des débats superficiels où la rhétorique et la calomnie règnent. Il va convaincre le peuple que la première chose à faire est de sortir de l'UE, en expliquant ce qu'elle est. Ca fait 10 ans qu'il y travaille, à travers ses nombreuses vidéos et conférences, et le moins que l'on puisse dire, c'est que ça porte ses fruits, puisque ses thématiques sont de plus en plus reprises par les autres candidats, et que l'UE semble vouée à disparaitre très prochainement. Alors autant que ce soit la France qui lui assène le coup de grâce avec un Frexit en bonne et due forme, en l'activant donc directement grâce au fameux Article 50 du traité sur l'Union Européenne, le seul moyen légal de sortir de ce bourbier.
Bien entendu, ses adversaires, ses contradicteurs ainsi que les journalistes totalement soumis au Système vont continuer à nous rabâcher que la sortie de l'UE, c'est le fascisme, l'isolationnisme, le retour au Moyen-Age, les heures les plus sombres, etc. Mais franchement, qui croit encore en ces gens ? Ils ont passé ces dernières années à se discréditer en continu, à provoquer l'indignation globale par leur mépris du peuple, et à appuyer les politiques intolérables de nos dirigeants ? Mais que fout encore BHL dans nos médias, sérieux ? Peut-être que si ces gens-là n'avaient pas porté à bras-le-corps cette idéologie atlantiste, ce nouvel ordre mondial de merde, le peuple Français aurait manifesté en masse son refus à ces "guerres humanitaires", et on aurait peut-être pu éviter des centaines de milliers de morts dans ces pays, et les quelque 250 dans le nôtre via le terrorisme. Au lieu de ça, on a continué à se diviser comme des cons sur des questions superficielles. Il y a eu une énorme ingénierie sociale, une machine jouant sur tous les tableaux, pour provoquer notre consentement à toutes ces horreurs. Internet nous permet de comprendre ce genre de manipulations. Alors à force de prendre les Français pour des cons, ils se rebiffent, et on va pouvoir le constater lors de ces prochaines semaines.
04/03/2018
sur des propos souvents entendus
"c'est le privé qui paye pour le public" faux ! ça fait partie de la propagande de nos maîtres, vous en etes encore à croire ce qu'ils disent ??!
méditez ce petit apologue de Bernard Friot : je prend ma tondeuse et je tond mon gazon, ça n'est pas considéré comme du travail ! et on vous dira que je n'ai pas produit de valeur. Oui mais si je fais appel à une entreprise capitaliste, qui va me facturer très cher la prestation, qui sera faite par quelqu'un d'autre que moi (et que le patron de l'entreprise ! et ses actionnaires) le gars qui tond est tout à coup censé travailler, et ce qu'il a fait est devenu par miracle une production de valeur.
Et maintenant si l'etat par une quelconque "asso" ou un service public qui ferait ça, envoye un fonctionnaire payé pour faire le même travail, on dit là aussi que c'est un travail, mais on accuse l'Etat d'être dépensier et on dit que c'est une CHARGE pour les impôts et au lieu de rapporter de l'argent l'agent qui a tondu a "couté" de l'argent à la collectivité !! Allez comprendre ! Mais vous avez interêt à fouiller un peu pour découvrir les rapport de force de classe, les interêts (de classe aussi) et les raisonnements explicites et implicites qui sont derrière cette histoire de fous.ça
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09/02/2018
dans la famille NOVLANGUE je demande "économie comportementale"
Chronique de France-Cucu :
je viens de découvrir sur France-Culture, la radio de nos maîtres, un nouveau terme novlanguien :
Vous savez ceux qui autrefois appelaient les massacres colonialistes "pacification", qui veulent aujourd'hui qu'on appelle les caméras de surveillance « vidéosécurité », les pesticides « phytopharmacie », leurs salariés « collaborateurs », la réclame « communication », etc, ont inventé un nouveau terme « économie comportementale ».
Ce truc c’est tout bonnement ce qu’autrefois on appelait le totalitarisme !
Ou du temps de Mac-Mahon « l’ordre moral ».