16/10/2018
pourquoi cette omission ? dans un sujet dont pourtant on n'arrête pas de nous parler !
sur France Culture toujours les discours « bien-pensants » sur l’acceuil des immigrés. Mais ce que les gens ne remarquent pas en général c’est qu’il y a une tâche noire dans ce discours ! une question qui n’est jamais posée, un point qui n’est curieusement jamais abordé, comme une médecine qui ne s’occuperait que de prôner de l’aspirine mais ne parlerait jamais de chercher la cause de la maladie ! En fait c’est bizarre, oui ces gens « humains comme toi, etc, etc » c’est sûr aimeraient bien ne pas être repoussés et pouvoir être accueillis, mais aussi l’immense majorité d’entre-eux auraient déjà préféré NE PAS AVOIR EU à QUITTER LEURS FOYERS ET LEUR PAYS ! Or, curieusement ce point-là on ne l’aborde pas, cette question : pourquoi ? On ne la pose pas. Peut-être parce que derrière les beaux discours moraux il y a des intérêts financiers ? Peut-être parce que poser la question du pourquoi mènerai à trouver les responsables des causes, et que « on » ne veut surtout pas qu’on parle de ça …. Ni qu’on éclaircisse les tenants et aboutissants.
Or c’est comme en médecine la plus importante question ça ! (et la plus morale en fait) Certes les tracas immédiats et individuels des intéressés c'est important, mais si on veut réfléchir un peu plus profondément, et pas simplement se laisser manipuler, il y a la question des causes qui conduisent à cette situation, non ? (et peut-être les intérêts de ceux qui en profitent et veulent continuer à en profiter - NAIRU ! vous connaissez ?). Et si ceusses qui parlent si abondamment des symptômes s’abstiennent soigneusement de rappeler qu’il y a des causes, et d’en chercher les racines, et les profits, il y a peut-être une raison pour ça, une raison honteuse peut-être.
http://www.voltairenet.org/article201687.html
(sans oublier des raisons honteuses du côté des pourris et des collabos de là-bas d'ailleurs, et là Kémi Seba parle un langage de vérité et sans concession :
https://www.youtube.com/watch?v=5MTA3tc5DZg[youtube]https...
15/09/2018
quand Corbyn veut refaire du Labour un parti Travailliste (donc rien de bien révolutionnaire !) le grand capital et ses séides cherchent à l'abattre par tous les moyens !
10/09/2018
les "contrôles"
Maintenant on ne peut plus rien faire ni avoir, ni vendre, ni utiliser, ni, ni, etc, sans devoir une multitude de « contrôles », « attestations », « diagnostics », etc que le gouvernement (= l’intendant du grand capital comme le disait déjà Marx il y a un siècle et demi, et qui de nos jours ne sont carrément plus que des « kapos » de baraques du grand camp de concentration qu’est l’UE, avant d’être le monde entier), entre « copains » et « coquins », nous impose au nom de l’ « écologie », de la « sécurité », ou autre mot magique. Tous ces contrôles bien entendu ne servent à rien, n’ont jamais évité aucun accident, aucune maladie, etc, c’est du pur chiqué, de la parade que seuls les « mougeons », bien « citoyens », croient docilement. En fait le but - « copains et coquins » oblige ! - est uniquement de fournir sur un plateau à toute une branche, qui autrement n’existait pas, une clientèle captive, dont on peut soutirer du fric ! C’est, comme dans la nature ! - Eh oui ! De même que le capitalisme, et que la prédation, c’est naturel ! - un phénomène de parasitisme (pas de symbiose, dans une symbiose, le symbiote est utile). Bref, dans un sens ça a quand-même une utilité : ça permet de réduire le chômage , ça fournit des emplois (outre les gras profits pour leurs patrons!) à plein de gens qui autrement ne trouveraient pas de carrière, ça crée ex-nihilo de nouveaux débouchés professionnels ; ça les occupe ; comme les pompistes ou les gardiens de parkings les gens qui font ça ont comme ça outre un salaire le sentiment d’avoir une place dans la société et de servir à quelque chose, un statut.
On se console comme on peut !
24/08/2018
« Terroristes ! »
When have we heard these excuses lately ?
Par exemple il y a ça :
« By the most brutal methods of terrorism, a regime sought to maintain an existence that was condemned by the overwhelming majority of it people … I have tried to persuade the responsible authorities that it is ipossible for a great nation, because it is unworthy of it, to stand by and watch millions belongings to a great,an ancient civilized people be denied rights by their government … I haveendavoured to find some way to alleviate a tragic fate. One agreement was signed only to be broken. I then tried a second time to bring about an understanding. A few weeks later, we were forced to the conclusion that the government [of Austria] had no intention of carrying out this agreement in the spirit that had inspired it, but in order to create an excuse. I have determined, therefore, to place the help of our country at the service of these millions. Since this morning,our soldiers are on the march acrossall ofAustria’s frontiers. »
(Adolf Hitler, March12,1938, proclamation to the german Geople justifying the german invasion of Austria.)
« We have no interest in oppressing other people. We are not moved by hatred against any other nation. We bear no grudge. I know how grave a thing war is. I wanted to spare ourpeople suchan evil. It is nt so muchthe country [of Czechoslovakia ; it is rather its leader [Edward Benes]. He has led a reign of terror. He has hurled countless people into the profoundest misery. Through his continuous terrorism, he has succeded in reducing millions of his people to silence. The Czech maintenance of a tremendous military arsenal can only be regarded as a focus of danger. We have displayed a truly unexampled patience, but I am no longerwilling to remain inactive while this mad madman ill-treats millions of human beings . »
(AdolfHitler,April 14,1939, justifying the german invasion of Czechoslovakia. Speech at the Sportpalast in Berlin.)
« The wave of appalling terrorism against the [minorities] inhabitants of Poland, and the atrocities that have been taking place in that country are terrible for the victims,but intolerable for a Great Power which expected to remain a passive onlooker. We will not continue to tolerate the persecution of the minority, the killing of many, and their forcible removal under the most cruel conditions.. I see no way which I can induce the government of Poland to adopt a peaceful solution. But I should despair of any honourable tfuture for my people if we were not, in one way or anoter, to solve the question. »
(Adof Hitler, August 23, 1939, justifying the German invasion of Poland, in letter sent to the UK and French governments in response to their communications condemning the invasion of Poland.)
Hein ? C’est fou ce que ça rappelle très fort, jusque dans le détail des arguments et des formulations, des discours qu’on a entendus il y a pas longtemps, ou qu’on entend en ce moment même sur ces dernières « guerres abjectes » - comme dit François Asselineau – qui ont rempli nos médias !
Et puis remarquez déjà à cette époque on utilisait à profusion le terme « terroriste » pour diaboliser l’ennemi ! Le gag ! Vous voyez ce que ça vaut cette terminologie, hein ? j’espère qu’à l’avenir vous ne vous laisserez plus impressionner ni par cette terminologie (et « régime » ) ni par ces belles phrases apparemment si raisonnables dans la manière dont elles sont arrangées. Comparez-les avec la réalité matérielle des faits qu’elles ont servi à « justifier »...
Ne vous laissez plus berner (par les méthodes à Edward Bernays !)
Vous voyez ! Quand vous entendez un discours de « guerre humanitaire », de « devoir d’ingérence » d’ « aide fraternelle » dressez l’oreille ! Soyez tout de suite méfiants !
Une autre constatation, la propagande hitlérienne était très habile, beaucoup plus habile que ne le fut la propagande soviétique, qui était assez grossière et maladroite, presque aussi habile que la propagande OTANesque et libéral-fasciste actuelle.
Publié dans histoire, journalistes = propagande d'Etat, Goebbels, Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer
23/08/2018
selon le gouvernement chinois une éducation sur l'égalité liée aux origines raciales est nécessaire
et sur l'égalité liée aux origines sociales ils vont faire aussi ?
j'en doute ! (déjà ils ne s'inquiètent que du sort des hommes d'affaires africains ! on a compris !) https://ru-clip.com/video/if1BAy2K9Ec/les-d%C3%A9fis-%C3%...
21/08/2018
extension du totalitarisme et de la théocratie - sous sa version moderne - la pensée de Bonald quoi !
octobre 2017
L’extension du domaine de la censure croît sans cesse. La BBC demande excuse à ses auditeurs d’avoir laissé parler à l’antenne Lord Lawson, ancien ministre climato-sceptique, sans le contredire. Après la race et le genre, la tyrannie morale s’étend maintenant au climat.
On sait que la liberté de parole est surveillée à la radio. Les journalistes ont la consigne, qu’encadrent en France les lois Pleven et Gayssot, de ne pas laisser passer une parole prononcée par un invité lors d’une interview qui pourrait passer pour antisémite, raciste, ou discriminatoire à l’égard d’une religion, d’une orientation sexuelle, d’une nationalité, sans la relever avec réprobation et la contredire. Ainsi le veut le code moral imposé par les lobbyistes aux législateurs, aux médias par la loi, au public par les médias.
Obligation de contredire tout climato-sceptique qui veut parler
L’affaire de Lord Lawson vient de démontrer l’extension de cette surveillance morale au domaine de l’environnement. L’homme n’est pas n’importe qui. Il fut deux ans ministre de l’énergie, puis six ans ministre des finances de Margaret Thatcher, comme tel chargé d’appliquer la privatisation et la réforme fiscale radicale qu’elle a menée. Toujours député conservateur, il était interrogé sur le programme Today de Radio 4, qui fait partie de la BBC. Il y a tenu des propos inacceptables au regard des normes actuelles, sans personne pour le contredire. Il a en effet affirmé que le corpus de données publiées par l’ONU « confirmait qu’il n’y a pas eu d’augmentation des événements climatiques extrêmes ». En ajoutant que « si l’on relève une tendance ces dix dernières années, c’est que la température moyenne du globe a légèrement régressé ».
La BBC s’excuse : extension du domaine de la tyrannie
Aussitôt de nombreux auditeurs se sont plaints à la BBC de cette déclaration climato-sceptique. Today a d’abord paru ne pas leur donner satisfaction, puis s’est rétracté en reconnaissant que l’interview de Lord Lawson constitue une « brèche dans la ligne éditoriale », et le directeur du bureau des plaintes de la BBC a présenté « ses excuses ».
Le lecteur attentif aura noté que Philippe Verdier, le monsieur météo de France 2, avait été licencié à l’automne 2015 pour avoir publié un livre timidement climato-sceptique, et qu’il a perdu son procès contre la chaîne aux prud’hommes en avril 2017. L’extension de la tyrannie morale au domaine du climat n’est donc pas neuve. Mais cette fois cela touche la BBC, qui a la réputation (qui fut longtemps justifiée mais qui ne l’est plus) de laisser la parole libre. Et cela concerne non pas un journaliste quasiment fonctionnaire, mais un invité : il ne faut plus, en aucun cas, qu’une personne de quelque poids puisse énoncer des faits contraires au dogme de la religion dominante sans subir l’assaut des picadors de l’antenne.
Une dernière remarque : le dogme de cette religion dominante s’accroit chaque jour de nouveaux canons, la tyrannie s’étend aussi bien au domaine de l’intime qu’au climat, elle pourra s’étendre demain à n’importe quel us, conviction ou science : le totalitarisme sans frontière, sans limite, c’est-à-dire le totalitarisme au sens strict, est en marche." "
Pauline Mille
rappelez-vous ce que j'ai écrit sur les ""vêtements liturgiques (http://miiraslimake.unblog.fr/2017/05/19/vetements-liturg.../) , sur les "calotins" de notre époque, la permanence de l'inquisition, des détails du régime nazi, etc.
02/08/2018
religions ! on vous avait dit religion ! de la nature politique des religions et leurs avvatars - permanence
octobre 2017 La BBC s’excuse d’avoir laissé parler un climato-sceptique sans le contredire : extension du domaine de la tyrannie L’extension du domaine de la censure croît sans cesse. La BBC demande excuse à ses auditeurs d’avoir laissé parler à l’antenne Lord Lawson, ancien ministre climato-sceptique, sans le contredire. Après la race et le genre, la tyrannie morale (la "ligne droite de la pensée de Mao") s’étend maintenant au climat.
On sait que la liberté de parole est surveillée à la radio. Les journalistes ont la consigne, qu’encadrent en France les lois Pleven et Gayssot, de ne pas laisser passer une parole prononcée par un invité lors d’une interview qui pourrait passer pour antisémite, raciste, ou discriminatoire à l’égard d’une religion, d’une orientation sexuelle, d’une nationalité, (par contre discriminatiore envers une mentalité, une manière de vivre, une émotion, jusqu'au plus intime des gens ça on a le droit !) sans la relever avec réprobation et la contredire. Ainsi le veut le code moral imposé par les lobbyistes aux législateurs, aux médias par la loi, au public par les médias.
Obligation de contredire tout climato-sceptique qui veut parler
L’affaire de Lord Lawson vient de démontrer l’extension de cette surveillance morale au domaine de l’environnement. L’homme n’est pas n’importe qui. Il fut deux ans ministre de l’énergie, puis six ans ministre des finances de Margaret Thatcher, comme tel chargé d’appliquer la privatisation et la réforme fiscale radicale qu’elle a menée. Toujours député conservateur, il était interrogé sur le programme Today de Radio 4, qui fait partie de la BBC. Il y a tenu des propos inacceptables au regard des normes actuelles, sans personne pour le contredire. Il a en effet affirmé que le corpus de données publiées par l’ONU « confirmait qu’il n’y a pas eu d’augmentation des événements climatiques extrêmes ». En ajoutant que « si l’on relève une tendance ces dix dernières années, c’est que la température moyenne du globe a légèrement régressé ».
La BBC s’excuse : extension du domaine de la tyrannie
Aussitôt des auditeurs se sont plaints à la BBC de cette déclaration climato-sceptique. Today a d’abord paru ne pas leur donner satisfaction, puis s’est rétracté en reconnaissant que l’interview de Lord Lawson constitue une « brèche dans la ligne éditoriale », et le directeur du bureau des plaintes de la BBC a présenté « ses excuses ».
Le lecteur attentif aura noté que Philippe Verdier, le monsieur météo de France 2, avait été licencié à l’automne 2015 pour avoir publié un livre timidement climato-sceptique, et qu’il a perdu son procès contre la chaîne aux prud’hommes en avril 2017. L’extension de la tyrannie morale au domaine du climat n’est donc pas neuve. Mais cette fois cela touche la BBC, qui a la réputation (qui fut longtemps justifiée mais qui ne l’est plus) de laisser la parole libre. Et cela concerne non pas un journaliste quasiment fonctionnaire, mais un invité : il ne faut plus, en aucun cas, qu’une personne de quelque poids puisse énoncer des faits contraires au dogme de la religion dominante sans subir l’assaut des picadors de l’antenne.
Une dernière remarque : le dogme de cette religion dominante s’accroit chaque jour de nouveaux canons, la tyrannie s’étend aussi bien au domaine de l’intime qu’au climat, elle pourra s’étendre demain à n’importe quel us, conviction ou science : le totalitarisme sans frontière, sans limite, c’est-à-dire le totalitarisme au sens strict, est en marche.
Pauline Mille
26/06/2018
"sécurité"
"Sicherheit" en allemand. Les inquisiteurs espagnols, quand ils voulaient brûler vifs des hérétiques ils appelaient ça un "auto-da-fe" un ACTE DE FOI, question "image" (comme disent nos pubards) ça jette hein ! c'est nettement mieux que d'appeler les choses par leur nom, ça a tout de suite un prestige idéologique (et puis ça cache...) , voilà ! c'est la règle, de nos jours ils auraient appelé ça des "ACTES DE SECURITE"
voilà voilà ...
08/06/2018
c'est bien joli mais les CAUSES ?
déc 2017 : sur France Culture toujours les discours « bien-pensants » sur l’acceuil des immigrés. Mais ce que les gens ne remarquent c’est qu’il y a une tâche noire dans ce discours,
une question qui n’est jamais posée, un point qui n’est curieusement jamais abordé,
comme une médecine qui ne s’occuperait que de prôner de l’aspirine mais ne parlerait jamais de chercher la cause de la maladie, en fait c’est bizarre, oui ces gens « humains comme toi, etc, etc » c’est sûr aimeraient bien ne pas être repoussés et pouvoir être accueillis, mais aussi l’immense majorité d’entre-eux auraient déjà préféré NE PAS AVOIR EU à QUITTER LEURS FOYERS ET LEUR PAYS !
Or, curieusement ce point-là on ne l’aborde pas, cette question : pourquoi ? On ne la pose pas !
Peut-être parce que derrière les beaux discours moraux il y a des intérêts financiers ? Peut-être parce que poser la question du pourquoi mènerait à trouver les responsables des causes, et que « on » ne veut surtout pas qu’on parle de ça …. Ni qu’on éclaircisse les tenants et aboutissants.
Or c’est comme en médecine la plus importante question ça ! (et la plus morale en fait) Certes les tracas immédiats et individuels des intéressés est important, mais si on veut réfléchir un peu plus profondément, et pas simplement se laisser manipuler, il y a la question des causes qui conduisent à cette situation, non ? (et peut-être les intérêts de ceux qui en profitent et veulent continuer à en profiter). Et si ceusses qui parlent si abondamment des symptômes s’abstiennent soigneusement de rappeler qu’il y a des causes, et d’en chercher les racines, et les profits, il y a peut-être une raison pour ça, une raison honteuse peut-être.
06/06/2018
tiens ça varie selon les intérêts de nos maîtres !!
11/7/2016 après la coupe d’Europe Sur france-culture les journalistes font l’éloge du patriotisme. Tiens ! Ça n’est plus raciste ? Xénophobe, fasciste, antisémite ! demeuré, « populiste » quoi ! (du latin populus = peuple) Nos maîtres se sont dit que ça aide à faire tenir tranquille le troupeau, les prisonniers de leur baraque du camp, comme ça pendant ce temps ils sont contents, ça leur sert d’opium du peuple et ils obéissent bien au grand capital, à la propagande médiatique, aux flics, aux patrons, aux vigiles privés, aux interdictions de fumer, à l’ « Europe », les bobos refont l’éloge de ce qu’ils ont tant diabolisé parce que pendant ce temps-là le « peuple » ne pense pas à réfléchir, et à mettre le pouvoir de leurs maîtres donneurs d’ordre en question.