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20/03/2020

vous avez dit "différence" ?

La "tolérance" certains la vantent beaucoup, sauf que, dans les faits, on s'aperçoit que la seule tolérance qu'ils réclament et pratiquent c'est .... la tolérance envers les gens qui pensent comme eux !!! et qui qui vivent comme eux !!!!

dès qu'ils se trouvent confrontés avec des gens réellement différents, "y'a plus personne !" la tolérance tintin ! ils se montrent férocement intolérants (on en a vu un exemple frappant récemment en France au sujet d'un petit bout de tissu que il y a tout juste 70 ans toutes nos grand-mères bien françaises et bien cathos mettaient encore sur leurs têtes !), c'est comme la liberté d'expression, ils l'exigent quand des gens qui ..... pensent comme eux justement, sont persécutés par d'autres gouvernements, mais quand eux-même rencontrent dans leur propre pays des gens qui ne pensent pas comme aux, (ou qui révèlent des faits scandaleux mais qu'ils auraient voulu que ça reste secret !!!) alors plus question de liberté d'expression ! et ils sont en train de transformer l'Europe tout entière en un régime totalitaire et policièrement censuré de toutes parts !!!

C'est comme ce terme "rituel" et sacré : la "différence", on n'arrête pas d'en entendre parler, mais en fait c'est un mot de code, car il ne désigne qu' UNE SEULE DIFFERENCE,et loin d'être la plus importante : la différence de race (et encore !!! c'est pas pour toutes les races !!! les roms par exemple n'en jouissent pas le moins du monde ! du tout ! toujours aussi stigmatisés, eh oui bien sûr EUX ils sont REELLEMENT DIFFERENTS !   ),

car en fait quand ils parlent de « différence » c'est la différence qu'il peut y avoir entre un rocker « branché » blanc en blue-jean's et tee-shirt (en anglais dans le texte) buvant un coca dans son apart' dans un building parisien, et un rocker « branché » noir (ou métis, ou d'origine musulmane, mais "modéré" de rigueur !) en blue-jean's et tee-shirt (en anglais dans le texte) buvant un coca dans son apart' dans un building parisien !!! ...

ouais .... c'est celâââ .... c'est celâââ    

Mais toutes les autres différences entre les personnes, qu'est ce-qu'on en fait ? relisez dans "l'essai de morale prospective" la liste qu'en dresse Jean Fourastier tiens ! ceux qui croient au spiritisme, au catholicisme, ceux qui récitent des poèmes par coeur (comme le faisaient 100% des collégiens de l'école publique autrefois), qui n'aiment rien tant que la botanique, les jeux de cartes, les caresses, les timides, les bavards sans inhibition, les pas obsédés sexuels, les maniaques de l'érudition, les communistes, les ouvriers manuels sans diplôme universitaire, ceux qui aiment leurs parents (très mal vu de nos jours !), ceux qui croient aux soucoupes volantes, ceux qui n’en ont rien à foutre de l’écologie, ceux qui ne savent pas l'anglais, ceux qui ne savent pas conduire, ceux qui ont peur de la mort et n'admettent pas le "travail de deuil" que les maîtres de la "pensée unique" veut leur imposer, etc, etc, et puis aussi les trisomiques, tous ceux-là on ne la respecte pas du tout leur différence. Tiens par exemple les trisomiques, eux ça redevient comme en 1938, vous savez l'Aktion T4, écoutez cet appel depuis une tribune des Nations-Unis à Genève :

(NB : depuis hier Youtube cet infâme engin à répugnant du totalitarisme capitaliste, censure systématiquement TOUTES les vidéos intégrées dans un site de blog !!!!!!!!!! Il faut donc à chaque fois se DEPECHER, avant d'avoir le message de blocage, de cliquer sur l'icone qui fait regarder la vidéo directement sur le site de youtube, sinon vous êtes foutus !vous ne verrez rien !

 

04/03/2020

des faits insupportables et dénués de toute humanité

https://www.alterinfo.net/Plan-Trump-des-effets-deja-deva...

 

(ah! au fait : https://www.bdsfrance.org/participez/donnez/ )

03/03/2020

'l'imposture et la superstition"

ah oui ce fameux « climat » ! (une imposture et une superstition propagées par des fanatiques et des coquins, on est en plein dans la ligne du XVIIIè siècle, ça continue !) la nouvelle religion de la France « catholique toujours »! euh maintenant c’est « écologique toujours ». Bien sûr c’est faux (autre imposture) :

la France n’a jamais été aussi peu écologique ! Alors qu’elle fait mourir ses sols (écoutez les conférences de Claude Bourguignon !), fait disparaître ses insectes et ses oiseaux, et que tout le monde s'en fout, que les bourges merdeux qui la gouvernent interdisent les moineaux et les hirondelles sur leurs maisons propre-en-ordre, et portent plainte dès qu'ils entendent un coq chanter, la France n’a jamais été plus anti-écologique de toute son histoire !

01/03/2020

sans ce droit il n'est plus un homme, réfléchissez

réfléchissez à ce que devient la société actuelle,sa mentalité merdeuse, et son totalitarisme, Il va falloir faire de grandes manifs avec comme slogan :


Nous réclamons pour tout être humain le droit imprescriptible à être triste, sale, malade, et malheureux!”

c’est absolument indispensable à sa dignité. Sans ce droit il n’est plus un homme. Et la Civilisation n’est plus une civilisation.
Réfléchissez. C'est fondamental.
 
 

26/01/2020

la haine et la violence c'est eux ! la dictature, le pouvoir d'un clan autoproclamé qui fait le contraire de ce que veut le peuple c'est eux !


18/01/2020

vous ne saviez pas ça hein ? on ne vous en avait pas parlé ! Artémise

Les autorités de santé de la République démocratique du Congo (RDC) vont peut-être autoriser une phytothérapie comme traitement médical du paludisme. L’Artemisia, une plante originaire de Chine dont plusieurs variétés poussent un peu partout sur le globe, serait une aubaine pour les populations pauvres et isolées de l’Afrique subsaharienne : un remède efficace, pas cher (1), dont on dispose facilement.

(1)Voilà l’explication des innombrables articles

quelques exemples : http://sante.lefigaro.fr/article/paludisme-artemisia-la-p...

https://www.sciencesetavenir.fr/sante/paludisme-l-artemis...

http://www.psychomedia.qc.ca/sante/2019-02-27/paludisme-a...

qui maintenant envahissent le net (financés par quels lobbies?) critiquandt à qui mieux mieux l’usage de l’Artémisia !

Prix Nobel de médecine 2015 : le fabuleux destin de Youyou Tu

Octobre 2015 En attendant la remise du Prix Nobel de médecine, le 3 octobre 2016, (re)découvrez le portrait de la plus emblématique des récompensées de 2015, la chercheuse chinoise de 84 ans Youyou Tu.

Prix Nobel de médecine : le fabuleux destin de Youyou Tu

Youyou Tu reçoit le prix Lasker en 2011.

Même si la scientifique de 84 ans a été - à plusieurs reprises - pressentie pour recevoir le prestigieux prix Nobel, elle ne l'attendait peut-être plus. La Chinoise Youyou Tu vient enfin de recevoir le "Graal" des chercheurs pour sa mise au point d'un traitement particulièrement efficace contre le paludisme, grâce à un extrait d'une plante nommée Artemisia annua et dont les vertus médicinales sont connues depuis des millénaires en Chine. Preuve que médecine ancestrale et médecine moderne ne sont pas à opposer, même si le comité s'est senti obligé de souligner que ce prix ne récompensait pas la médecine traditionnelle chinoise, mais la découverte de cette chercheuse qui s'en est seulement "inspirée".

Première femme Chinoise récompensée par le Nobel de médecine

Youyou Tu devient ainsi la première femme Chinoise (et la douzième femme) depuis la création du prix en 1901 à être récompensée par le Nobel de médecine. Elle le partage avec deux hommes, honorés eux aussi pour leurs travaux dans la lutte contre des maladies parasitaires : William C. Campbell et Satoshi Omura, qui ont mis au point un nouveau médicament, l'Avermectine, contre les infections dues à des vers nématodes. "Les lauréats du prix Nobel cette année ont développé des thérapies qui ont révolutionné le traitement de certaines des maladies parasitaires les plus dévastatrices", a précisé le comité Nobel. Pour Youyou Tu, c'est d'abord la médecine traditionnelle - et non la lutte contre les maladies parasitaires - qui porte son intérêt. Tout commence en 1955, lorsqu'elle achève ses études de pharmacie à l'université de médecine de Pékin, en Chine. Elle suit alors une formation d'un peu plus de deux ans sur les théories de la médecine chinoise traditionnelle à l'intention des médecins occidentaux. De 1965 à 1978, elle devient professeur assistante à l'Académie chinoise de médecine traditionnelle de Pékin (puis professeur titulaire en 1985). C'est l'histoire avec un grand "H" qui la mettra sur le devant de la scène dans la lutte contre le paludisme.

Mao Zedong lui confie un projet militaire secret

En effet, dans les années 1950, l'Organisation mondiale de la santé lance un ambitieux projet afin d'éradiquer le paludisme. Après un succès limité, la maladie reprend de plus belle dans de nombreuses régions du monde, notamment en Chine, où la chloroquine - le traitement anti-paludique utilisé pour contrer l'épidémie - n'est plus aussi efficace. Au fléau chinois s'ajoute ensuite celui de leurs alliés, les Vietnamiens : dans les années 1970, la République démocratique du Viêt-Nam (ou Nord-Viêt-Nam), en guerre avec son voisin du sud, construit un réseau de tunnels qui récupèrent fatalement l'eau de pluie. Les moustiques du genre anophèles, vecteurs du paludisme, se reproduisent dans l'eau stagnante et infectent l'armée nord-vietnamienne. Au point que la maladie tue plus de soldats que les armes.

Les problèmes chinois et vietnamiens préoccupent Mao Zedong qui décide de monter un projet militaire secret appelé "523" (comme la forme anglaise de la date à laquelle il a été lancé, le 23 mai 1967). Celui-ci comporte un objectif : trouver un remède dans la médecine traditionnelle chinoise contre ce fléau. Et pourquoi pas doubler les États-Unis, où des scientifiques s'acharnent aussi à trouver un remède contre lequel le paludisme ne développerait pas de résistance, en vain. Youyou Tu, qui travaille à l'Académie de la médecine traditionnelle chinoise, est choisie pour diriger ces recherches. Elle est envoyée dans la province de Hainan (au sud du pays) pour observer les effets de la maladie. Elle ne reverra pas sa fille de 4 ans pendant six mois et son mari sera banni du pays (envoyé dans un camp de travail) pendant qu'elle mène ses recherches sur le terrain. "Le travail était ma priorité, j'étais prête à sacrifier ma vie personnelle", raconte-t-elle au New Scientist.

Elle épluche plus de 2.000 recettes de remèdes traditionnels

Assistée par trois personnes, elle épluche plus de 2.000 recettes de remèdes traditionnels. Parmi les 380 extraits de plantes qu'elle teste sur des souris, l'un d'eux, utilisé pour faire baisser la fièvre - la plante chinoise Artemisia annua - semble réduire le nombre de parasites dans le sang. Comme l'explique le New Scientist, la scientifique a dû tâtonner avant de trouver la bonne formule. Au début, les effets bénéfiques de la préparation à base de cette plante ne durent pas. S'inspirant d'un document ancien, "Les prescriptions d'urgence à garder sous le coude", Youyou Tu modifie le processus d'extraction de cette substance pour la rendre plus efficace avant d'isoler l'ingrédient actif, l'artémisinine. Elle décide alors de commencer les essais humains sur elle-même avant de les tester sur de vrais patients. En une trentaine d'heures, ce traitement parvient à faire baisser la fièvre et le nombre de parasites dans le sang. Elle recevra par la suite de nombreux prix nationaux récompensant ces recherches sur l'artémisinine (comme celui d'"inventrice du nouveau siècle" par l'Office d'État de la propriété intellectuelle de la République populaire de Chine en 2002), puis en 2011, elle est lauréate du prestigieux Prix Albert-Lasker pour la recherche médicale clinique

Actuellement, l'artémisinine est considérée comme un traitement très efficace contre le paludisme, maladie qui touche près de 200 millions de personnes par an. L'Organisation mondiale de la santé s'inquiète de l'adaptation des parasites à cette substance, mais les résultats recensés dans certains pays d'Afrique qui testent des traitements à base de cette substance sont "spectaculaires", comme l'expliquait Sciences et Avenir dans un précédent article. Selon Médecins sans frontières (MSF), l'artésunate, dérivé de  l'artémisinine, réduit la mortalité de cas de paludisme sévère de 39 % chez les adultes et 24 % chez les enfants.

Ce que personne n’a dit sur le prix Nobel de médecine

 

Ce que personne n’a dit sur le prix Nobel de médecine

17/10/2015 La chinoise Youyou Tu a reçu le prix Nobel de médecine 2015.

Tous les journaux ont expliqué qu’elle avait mis au point un traitement contre le paludisme grâce à une plante utilisée en médecine traditionnelle chinoise, la qinghao.

Cela est vrai, nous allons y revenir, mais bizarrement, les autres propos de Youyou Tu sur la médecine chinoise ont été, à ma connaissance, totalement censurés dans la presse française.

Le Comité du prix Nobel lui-même a pris soin de préciser que ce prix ne récompensait pas la médecine traditionnelle chinoise, mais la découverte de cette chercheuse qui s’en est seulement « inspirée » [1].

Nous allons voir que cette situation est surréaliste.

L’Artemisia annua, ou Wormwood, est une herbe sauvage aux feuilles piquantes et aux fleurs jaunes.

Dans les années 1950, la tisane de qinghao était utilisée pour combattre les épidémies de malaria dans certaines régions de Chine, mais elle ne faisait l’objet d’aucune recherche scientifique.

Tout changea dans les années 60, quand le Président Mao Tse Toung reçut un appel de ses alliés au Vietnam Nord : les soldats chinois étaient décimés par la malaria (l’autre nom du paludisme).

Les médicaments contre la malaria ne marchent plus

La malaria était soignée depuis le XVIIe siècle grâce à une écorce rapportée du Pérou par les Jésuites : la quinquina. Ce traitement avait été fortement amélioré en 1820 quand des chimistes français en extrairent le principe actif : la quinine.

Dans les années 1930, la firme allemande Bayer, appartenant au groupe industriel chimique IG Farben (spécialisé dans les teintures, et grand financeur de Hitler), avait travaillé sur la quinine et essayé de produire des molécules dérivées plus efficaces. C’est ainsi qu’avait été inventée la chloroquine, toujours utilisée aujourd’hui.

Malheureusement, des résistances à la quinine et à la chloroquine sont apparues. Au Vietnam Nord, en particulier, ce traitement ne fonctionnait plus sur les soldats.

C’est dans ce contexte que Mao lança une grande mission de recherche pour trouver un nouveau traitement contre la malaria. Une équipe recourut à la méthode classique de recherche en médicament, qui est d’essayer des dizaines de milliers de molécules au hasard : ils en testèrent 40 000 sans succès. Une autre équipe, à laquelle appartenait Youyou Tu, partit au contraire à la recherche du savoir des guérisseurs traditionnels chinois.

À la rencontre des guérisseurs chinois

Les scientifiques appartenant à cette équipe testèrent plus de 2000 préparations à base de plantes utilisées par les guérisseurs chinois dans les campagnes. Ils identifièrent 640 cibles potentielles.

Plus de 380 extraits issus de 200 plantes chinoises furent testés sur des souris. C’est ainsi qu’ils finirent par découvrir les vertus de l’Artemisia annua, ou Qinghao en chinois, qui freine la croissance des parasites responsables de la malaria.

Ils découvrirent comment extraire le principe actif de cette plante à basse température pour obtenir un produit plus puissant. Ils l’appelèrent « Qinghaosu » (artémisinine en français). C’est cette découverte qui a valu le prix Nobel de médecine à Youyou Tu.

Mais en réalité, il fallut encore des années de recherche complémentaires pour élaborer un traitement efficace chez les humains.

En séparant les parties acides et neutres de cet extrait, l’équipe de chercheurs finit par mettre au point le 4 octobre 1971 un extrait neutre, non toxique et efficace à 100 % chez les souris et les singes infectés par la malaria.

Youyou Tu et ses collègues eurent le courage de tester eux-mêmes l’artémisinine pour vérifier qu’elle n’était pas toxique pour l’homme.

Elle ne l’était pas, mais l’efficacité contre le paludisme fut décevante. Il fallut encore dix ans de recherche pour développer, sur cette base, un traitement vraiment efficace qui fut finalement trouvé sous la forme d’un mélange d’arteméther, un dérivé de l’artémisinine, et de lumefantrine, un autre remède chinois.

Le remède abandonné

Ce remède aurait pu être diffusé dans le monde entier dès le début des années 80 mais il fallut encore attendre 30 ans.

En effet, après la mort de Mao, le programme de recherche fut interrompu. Personne en Occident ne pouvait utiliser ce produit qui était protégé par un brevet chinois, mais personne en Chine ne pouvait le produire non plus en l’absence de feu vert des autorités. L’Organisation Mondiale de la Santé, de son côté, laissa traîner le dossier. Ce n’est qu’en 2000 qu’elle finit par reconnaître officiellement son efficacité, étape indispensable pour qu’une firme puisse commencer à produire et distribuer le produit à grande échelle.

Durant tout ce temps perdu, le médecin anglais de Hong-Kong, le Dr Arnold, qui était allé en Chine pour participer aux recherches sur l’artémisinine, dénonça l’indécision des autorités comme « génocidaire » tandis que près d’un million d’enfants africains mouraient chaque année de la maladie.

Ce retard est d’autant plus tragique que l’armée américaine, de son côté, continua à utiliser un dérivé de quinine, la méfloquine, pour ses soldats envoyés en opération dans les pays tropicaux.

Très efficace contre le paludisme, la méfloquine provoque malheureusement de graves effets secondaires, dont des cauchemars et des accès de paranoïa. En 2002, plusieurs soldats des forces spéciales américaines revenant d’Afghanistan tuèrent leurs épouses, après avoir été rendus fous par le traitement [2].

Finalement, en 2001, la firme pharmaceutique suisse Novartis acquit le brevet chinois sur le mélange arteméther-lumefantrine. Elle commença à le vendre en 2001 sous le nom de Riamet, à prix fort pour les touristes et les militaires mais à prix coûtant pour l’OMS et les ONG, sous le nom de Coartem.

Mais même pour cela, l’OMS et les ONG n’avaient pas l’argent suffisant. Les fonds ne furent disponibles qu’en 2005 grâce au Fonds mondial de 2002 contre le sida, la tuberculose et la malaria, puis « L’initiative présidentielle contre la Malaria » (President’s Malaria Initiative [3]) du gouvernement Bush, en 2005. Ce n’est donc qu’en 2006 que le produit devint vraiment disponible à grande échelle, soit près de 40 ans après sa mise au point !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Aujourd’hui, environ 150 millions de doses sont achetées pour les pays pauvres chaque année.

On peut donc parler de millions ou dizaines de millions de vies sauvées annuellement par ce seul remède.

 

on nous ment beaucoup, par exemple sur les conséquence de la loi de bioéthique, car là aussi il y a des marchés sordides mais "juteux" pour mettre en appetit Big Pharma, et son avidité amorale.

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Voyez comment Onfray a ravalé en moins de 24h sa salive et l'a convertie en crachat après avoir dit très nettement et publiquement beaucoup de bien de l' UPR et comment tous les médias le présentent avec son nouveau livre sans jamais mentionner l' UPR ou lui poser la question.Visiblement  ils ont tous reçus des instructions, (sinon la porte !) ça a été gommé du story telling tout simplement. C'est très bien de mettre ces gens au pied du mur mais personne ne viendra car leur place dans le théâtre politico-médiatique c'est du donnant donnant avec leurs patrons qui leur ont interdit même de prononcer le mot UPR ou Asselineau. Pourtant c'est leur dernière chance de sauver leur honneur devant la France qui pense et qui se répand sur les réseaux sociaux. En tout cas vraiment belle initiative M Asselineau ; bravo !

17/01/2020

la Chine (qui n'est plus communiste mais le modèle du capitalisme) : nous montre le MODELE QUI NOUS ATTEND - qui est déjà là !

La Chine censure 10.000 comptes internet : les géants occidentaux appâtés par son immense marché sont prévenus 30 novembre 2018
 Le régime communiste chinois vient de bannir 10.000 comptes de plusieurs médias sociaux ces trois dernières semaines afin de “combattre la dissidence”
(vous croyez que l’Union Européenne est différente ? Relisez ce qu’ils nous assènent maintenant, c’est pas mieux ! Les gènes sont là!!)
et imposer la ligne du parti unique. Le quotidien de Hong Kong South China Morning Post indique que les cibles de la censure vont des célébrités médiatiques jusqu’aux Chinois moyens. Les plateformes visées sont Weibo, Tencent, NetEase, Baidu, de même que les sites d’agrégation Toutiao et Sohu. L’administration chinoise de l’internet a fait savoir que les comptes interdits « bafouaient les lois et règlements, mettaient en cause l’écologie de l’opinion publique sur internet » et « répandant des informations politiques dangereuses, des déformations malveillantes de l’histoire du parti communiste et salissait la réputation des héros et de la Chine ». Les censeurs dénoncent aussi « la mise en cause de la morale de base de notre société » et celle « de la maturation équilibrée de la jeunesse ». C’est une mise en garde flagrante pour les géants occidentaux appâtés par son immense marché. 
Auparavant, Weibo et WeChat avaient tenté de désamorcer les foudres du régime en fermant de leur propre initiative quelques comptes immensément populaires sous prétexte qu’ils diffusaient « des messages politiques dangereux » et de la pornographie. Apparemment, ces initiatives n’ont pas suffi : les dirigeants de ces réseaux sociaux en Chine ont été « sérieusement sermonnés » par l’administration d’Etat de censure d’internet, accusés « d’irresponsabilité et de gestion laxiste ».

[ c'est pas les propos des maîtres du discours actuels ? ]
 
Un dirigeant de l’administration d’Etat de l’internet, cité par le quotidien de Hong Kong, a fait savoir que la fermeture de 10.000 nouveaux comptes n’était que l’amorce « de nouvelles mesures pour gérer une nouvelle industrie ». Le South China Morning Post cite en regard des réactions stupéfaites et indignées d’utilisateurs chinois. L’un d’eux dénonce une expulsion « sans avertissement » de « nombreux professionnels des médias sociaux qui travaillent dans ce secteur depuis des années et en ont fait leur gagne-pain – sommes-nous vraiment en 2018 ? ».
 
Signe qui ne trompe pas, le New York Times a remarqué le nombre considérable de fonctionnaires de la censure chinoise présents à la Conférence mondiale de l’Internet à Shanghai la semaine dernière alors que les géants occidentaux de la technologie avaient passé leur tour. Les « entreprises privées » chinoises du secteur présentes à la conférence y avaient « étalé leurs façons de soutenir et travailler plus étroitement avec leur gouvernement ». On y notait la présence de dirigeants de médias sociaux et de fournisseurs de logiciels. Le ministre chinois en charge de la propagande était présent à cette conférence, où il célébra « le modèle chinois » du contrôle d’internet. Il y défendit « la cyber-souveraineté » et le droit pour chaque Etat de choisir sa propre « voie de développement du cyberespace ». 
L’agence Bloomberg a estimé pour sa part que cette édition de la Conférence mondiale de l’Internet a illustré la fracture nouvelle entre les sphères d’influence de la Chine et des Etats-Unis, ainsi que l’a prédit le patron de Google. Eric Schmidt déclare ainsi : « Les régulateurs chinois ont fait étalage de leur concept de cyber-souveraineté depuis la conférence inaugurale de 2014. Mais la dichotomie entre les industries technologiques américaines et chinoises n’a jamais autant attiré l’attention qu’aujourd’hui, alors que les deux puissances mondiales les plus riches s’opposent frontalement dans un conflit qui peut engendrer un Nouvel Ordre Mondial ». Le patron de Google oppose les fleurons américains tels que Google ou Facebook, qui sont sous le feu des critiques pour violation de la vie privée et pour leur supposée tolérance envers les « discours de haine », alors que leurs équivalents chinois « vantent leur supériorité, celle de leur engagement au côté des intérêts supérieurs de l’Etat ».
 
Le patron de Tencent Holdings, Ma Huateng, a pour sa part comparé la Chine à « un vaste océan que les tempêtes ne peuvent pas perturber » et qui constitue « une opportunité (anglicisme ! Je profite de cette occasion pour rappeler aux traducteurs collabos que là il serait opportun d’ouvrir un dictionnaire!), non seulement pour l’industrie d’internet mais pour tous les secteurs, non seulement pour la Chine elle-même mais pour le monde entier ». Les géants occidentaux pressés de participer au grand festin chinois avec son milliard et demi de cerveaux sont donc prévenus, ainsi que le confie Gary Rieschel, de Qiming Venture Partners : l’approche chinoise [ et la macroniste !!] crée un « climat de peur », le régime de Pékin pouvant frapper à tout moment, et à un coût considérable, toute entreprise voguant sur « le vaste océan » que constitue son immense marché. (Et comme l’argent n’a pas d’odeur, on sait déjà comment se comporteront les firmes,..]

10/01/2020

un mot d'ordre de grève générale balancé par le plus de gens possible, c'est ça qu'il faut

*

*** (soit dit en passant : elle est belle !)

Capture du 2018-12-10 21-02-31.png

* (et puis elle a " faim et soif de la justice " , ça se sent)

 

 

 

 

 

 


et en plus c'est mondial (de toutes façons l'offenssive capitaliste réactionnaire actuelle elle aussi est mondiale, depuis 35 ans) en Equateur, au Chili, en inde : https://histoireetsociete.wordpress.com/2020/01/10/la-plu...

 

le 8 janvier 2020 la plus grande grève de l'histoire !  lancée par le CITU, la CGT indienne , les communistes :

 


après le Vénézuéla de l'inde après Chavez les communistes indiens, l'histoire se fait,

gilets jaunes ne perdez pas courage et faites comme les chiliens !

15/12/2019

vive le cirque ! vive les cirques - avec des animaux


10/12/2019

une voix de la liberté de l'humanisme

vive la cigarette, la liberté, l'esprit critique ! vive Chavez ! Chouard (intègre et courageux, lui !) ! et Bernard Friot (mais pas l'asso "Réseau Salariat" qui n'est composé que de bourgeois collabobos Elle témoigne jusqu’à la caricature de l’atmosphère de terreur médiatique dans laquelle évoluent les intellectuels français), et la dignité ne pas oublier !


 

et Vive le Nouveau Maquis Cevenol !


 

La france pinochettiste :


il est temps d'appeler les choses par leurs noms, trop de dérives illégales, immorales, et de natures dictatoriales et immondes