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14/06/2021

"NOUS NOUS SOMMES adapté à une vie qui totalement inacceptable !" nous rappelle Jean-Jacque Crèvecoeur eh oui ! le problème !

"NOUS NOUS SOMMES adapté à une vie qui totalement innacceptable !" nous rappelle Jean-Jacque Crèvecoeur (lien vidéo ci-dessous)

Et j'ajoute ; ET nous avons eu TORT, dès le début !!  (dès le moment, en 1978 quand on nous a supprimé les contrôleurs à la sortie des gares - logique capitalo ! suppression des emplois = profits en plus - et CHOMEURS EN PLUS ... et NAIRU en plus - pour les remplacer par des bornes électronique "contrôlez-vous vous-mêmes" ! (bénef ! je vous ai dit ! )  "mais si jamais vous ne le faîtes pas alors vous serez considérés comme des CRIMINELS et arrêtés par la police ! " .

Les gens comme la grenouille dans la marmite ont trouvé ça bien, et ont diligemment obéi (comme pour les interdictions des juifs, non , pardon ! des fumeurs ! ) comme les bons allemands quand on les a obligés de lever le bras et de faire "Heil Hitler!' pour ne pas être considérés comme des criminels.

Dès le début . C'est ça le problème

innacceptable aussi était de fermer les églises, comme on nous a fait dans les années 90. et ainsi de suite, les caméras, les payements électroniques, les vigiles privés des hypermarchés, etc, etc

Regardez et méditez sa vidéo n° 90, lien ci-dessous :

https://odysee.com/@DouxReveur:3/CDL90---Du-d%C3%A9sespoi...

 

Le problème pour les gens nés dans les années 50 et qui se révoltent devant tout ce qu'on nous fait, toutes les dérives et dégradations de la société actuelle est que la jeune génération, née après 1990, elle n'a jamais connu rien d'autre ! les jeunes  ne peuvent même plus comparer avec la France des années 50 et 60 et s'épouvanter de tout ce qu'on a perdu depuis.
(Cette génération, et bien, elle va mourir - c'est la mienne - et après il ne restera plus rien, il faudra demander aux historiens ou regarder les vieux films , les vieilles chansons, lire les vieux romans, etc.)

Ils sont nés sous les caméras de vidéo-surveillance, le chômage, et les bavures policières, les innombrables obligations, privations , "devoirs" et interdictions qu'on nous impose sous le nom de "citoyenneté", et ils pensent que c'est normal !!

et ils ne sont même pas choqués qu'on fasse tatouer les animaux, comme les nazis tatouaient les déportés d'Auschwitz, et qu'on rende ça obligatoire !!!

et ils sont nés dans une France où toutes les églises sont fermées, ils ne savent pas que des églises normalement c'est ouvert, normalement !

Toutes choses, et bien d'autres encore, qu'en 1960 personne n'aurait jamais, au grand jamais imaginé que ce serait un jour seulement envisageable !!!

etc, etc, c'est valable pour plein de domaines, et de nouvelles technologies et pratiques (et propagandes, et conditionnement des gens) de ce que Sylvain Timsit a nommé le Libéral-Fascisme.


ils n'ont pas connu la société civilisé (ni la lutte syndicale ! ni la sécurité de l'emploi, ni l'échelle mobile des salaires) qu'on avait alors, ni les café-hôtels qu'il y avait partout, des magasins partout, des enfants partout, des lignes d'autocars jusque dans le moindre village, des services publics partout, des caméras de vidéo-surveillance nulle part !

 

c'était aussi une époque de liberté et de convivialité pour les enfants, comme on le voit décrit dans les aventures de Mafalda ou de Boule et Bill, un temps où le monde était à eux  « Je me sens bien dans les rues, les chemins. Peut-être que cela vient de l’enfance, dans ces maisons où il n’y avait pas de séparation entre le dedans et le dehors. On entrait, on sortait comme on voulait. On entrait à nouveau sans prévenir personne, sans protocole d’accord, d’accueil ou de départ. Nous, les enfants, on était tout le temps dehors. On changeait souvent de maison, ce qui fait qu’on n’en habitait aucune. Le monde était à nous. »


Ils n'auront plus les velléités de révolte, car ils ont été éduqués à la soumission, l'ont intériorisée, et ne savent pas qu'on peut vivre autrement.     

et c'est pourquoi on assiste au "spectacle obscène d'une population soumise et indifférente"

"spectacle obscène d'une population soumise et indifférente"

et c'est pourquoi on peut lire,  conséquence, "pour l’imposer aux jeunes générations dépolitisées qui n’ont pas l’air de comprendre ce qu’il va leur arriver à eux mais qui est épargné aux plus anciens qui résistent trop.

Oui les anciens résistent, car ils ont grandi dans une époque où on était encore libres ( et la France équipée jusque dans le moindre village), et respectés, et debouts, et où on ne se laissait pas faire avec autant de "citoyenneté", comprenez : de soumission.

MAIS quand on  discute avec des "jeunes" (même des pas trop jeunes, des qui sont nés après 1980 on dira)      c'est abominablement affolant ! comme j'ai dit ils ne se rendent pas compte de tout ce qu'on a perdu, ils ont grandi dans une société transformé en camp de concentration où on leur a appris à être soumis, bourrés de contrôles à chaque pas , un monde où tout est interdit censuré, et déshumanisé, ET QUI PENSENT QUE C'EST NORMAL !!! qui ne peuvent pas regretter l'état  de CIVILISATION, et de REPUBLIQUE digne de ce nom qu'ils n'ont plus connus, en en plus ils ont subit une telle décérébration culturelle !  on les a désappris à réfléchir. Par exemple les travailleurs, qui autrefois étaient politisés et avaient au moins quelques notion de marxisme et de lutte des classes, sont maintenant devenus primaires qu'on pousse à voter Front National,   parce qu'on les a désappris à réfléchir et à identifier les problèmes ! Depui qu'on a désappris aux jeunes de se révolter, il ne reste plus que les vieux qui savent encore être rebelles !  quelle sinistre société de zombies ! !!!

et maintenant c'est encore pire (quand on laisse faire de telles tendances c'est TOUJOURS de pire en pire. retenez les adages latins : Principiis obsta, et Finem respices !!)

hélas je crains que le noble combat de Florian Philippot est perdu, les français sont tous devenus des RHINOCEROS, comme dans la pièce de Ionesco, des nazis, bien soumis, bien "citoyens", ils font tous bien sagement le salut "Heil Hitler !"" imposé par le ministre de l'Intérieur du Reich par arrêté du 13 juillet  1933.

Même les espérantistes ! à 95% ils se sont transformés en rhinocéros nazis, et , pire ! ne se rendent même pas cmpte du problème, ils snt nazifiés jusqu'à la moëlle, et ne comprendraient meêm pas pourquoi Florian Pḧilipot se scandalise.

Ariane Bilheran a raison, c'est un comportement sectaire. Frédéric Badel a raison, il y a deux France et plus aucun dialogue n'est possible, rien que les balles, comme en 40-44....

imaginez si nos futurs enfants grandissent dans un enfer totalitaire comme celui que nous veulent les covidofascistes qui nous gouvernent ! ils penseront que c'est la normalité !!!!

Et une des choses que le fascisme a toujours nourri dans toute son histoire, et dans toutes "variants" et ses occurences, c'est la méchanceté, la méchanceté viscérale  mensongère et fanatique. Le fascisme perverti l'es hommes et la société, sème la haine, la bétise, l'arrogance fanatique et cynique, la cruauté gratuite, ça a toujours été comme ça, le fascisme pervertit la nature humaine, il n'est pas seulement créé et organisé par des monstres, mais il transformee tout le monde en monstres. Jean-Jacqes Crèvecœur est en train de le découvrir https://odysee.com/@DouxReveur:3/CDL92---SIDA---COVID19-m...

 

le nazisme quand il s'installe dans les têtes et les pays, c'est toujours "pour toujours" (sauf quand intervient une guerre mondiale, gagnée à Koursk et Stalingrad, ne l'oublions pa, mais ici qui nous sauvera ? personne ! et les français n'ont plus l'esprit de résistance qu'ils avaient en 40-44 ils sont devenus des veaux biens "citoyens" comme on leur a entonné dans la tête, comme des allemands qui font bien sagement leur salut nazi ! et dénoncent leurs voisins qui écoutent Radio-Londres !)

"Matin brun 2.0" 

22/02/2021

la première fois


    Je me souviens encore  la première fois quand enfant j'ai pleuré dans mon lit, de trop de douleur et  de chagrin de savoir que je n'étais venu au monde que pour mourir.

« Un silence tombe et à ma grande surprise, Mme Edmonde se met à pleurer. Sans lâcher le bras gauche de Robbie, elle pleure sans un sanglot, silencieusement, les larmes roulant sur ses joues et gâchant son maquillage. » (Robert Merle - Madrapour)

 Bien sûr ce n'était qu'un début, le désespoir et l'épouvante par la suite devinrent bien évidemment beaucoup plus grands encore, ce n'était plus des pleurs.

 

14/02/2021

souvenez-vous de Henri GEORGE poète tournaisien !

Ce poème

origine  : souvenez-vous de Henri GEORGES poète tournaisien

trouvé dans une anthologie de la poésie wallonne  en fait n'est pas en wallon ( le dialecte wallon est beaucoup plus compliqué à comprendre et surtout à prononcer) mais en picard, comme dins ch' Nord ! Tournais est (était...) picard dans son patois. Ce poème est un chef-d'oeuvre de talent  et d'émotion, on devrait le mettre dans les classiques de la littérature, et le faire apprendre aux enfants des écoles on aurait peut-être introduit enfin ce genre de considération pour les cultures régionales!), il le mériterait, il mériterait même d'être choisi dans une anthologie mondiale de la poésie.

Et  ça ne parle que de valeurs aujourd'hui diabolisées, presque interdites ou en voie de disparition ou bien menacées..... (Le Carnaval, les masques, les bals publics, la fête, le bruit, la gaîté, l'occupation des voies "publiques" (autrefois publiques ... mais avec Sarko ça ne va plus durer !) par des foules de gens et non par les bagnoles et les vigiles privés!, et bien sûr l'amour (aujourd'hui on l'appelle comment? ...  "violence"? "harcèlement sexuel"?  "dépendance psychologique"? ) Et, last but not least, le chagrin ! autre chose psychomachinchoseiquement interdite, un jour peut-être on condamnera  à la prison pour "non prise en charge de leur santé" les gens qui souffrent de chagrin puis on les fichera à vie et on les obligera à suivre une cure  d'euphorisation "positive". On parie ?
Si vous pouvez apprenez-le par coeur, il le mérite, ou au moins la dernière strophe.

Tiu  ĉi poemo eble estas la plej bela de la pikardlingva literaturo, kiun oni tro ofte rigardas kiel reduktita al komikaĵoj lokaj;  ĝi indus fakte esti enigita en klasikaĵojn pro la talento kaj emocipovo kun kiu ĝi traktas  malĝojan kaj universalan temon. memoru parkere almenaŭ la lastan strofon kiel citaĵon: ĝi estas tiom bela kaj korprema!

 

Ch’éteot l’Mi-Carême, i-aveot dins chés rues

Ene masse dė musiques, dés tas d’gins masqués.

In face du Grand-Garde, ch’éteot ène cohue

Et l’cortêche aveot du mal dè passer.

Cha, ch’ ‘teot in cortêche! Lés prumiés in tiète,

I-éteotė pus d’chint, tous in calikeot :

Juste autant d’Pièrots qu’i n-aveot d’Pièrètes,

Juste autant d’Pièrètes qu’i n-aveot d’Pièrots.

Après cha, ch’éteot ène éote mascarate,

Pwis v’là deûs Pièreots qu’i s’eont ratardé

Et qui n’ trouv’tè pus l’binde dés camarates :

Pièrète par ichi, Pièreot d’l’éôte coté.

I n’seon po l’in d’l’eôte pus d’à chenk-sî metes,

Més lès-amoureûs, ch’èst come dés bièc-beos.

Pièreot, i s’inquiète dè n’pus vir Pièrete,

Pièrète, èlle èst triste dè n’pus vir Pièrot.

Pauve pétit' Pièrète ! èlle a l’invie d’brêre,

Elle ortoun’reot bin tout d’swite à s’majèon !

Et Piéreo s’désole, i n’sét pus qwa faire,

I va come quéqu’in qui-a pèrdu s’résèon.

Pour l’in comme pour lééôte, ch’èst ène tristė fiète ;

Au lieu d’s’amuser, i-eont leûs cœurs bin greos :

Par ichi Pièreot cache après Pièrete

Et par là Pièrète cache après Pièreot !

Pindant tout-in tans, j’é suivi l’cortêche.

J’areos bin voulu lés vir s’ortrouver,

Més d’lés vir à deûs, i n’aveot po mèche :

J’véyeos l’in, pwis l’éôte, més lés deûs, jamés !

J’é rintré dins l’bal in m’disant qu’pétète,

In dansant t’t-à l’eure on s’rincontrėreot.

Més Piéreot d’ssus l’banc atindeo Pièrète

Et Pièrète bin sache atindeot Pièreot.
Et pindant dès-eures, au son dė l’musique

- vous savez qu’cha dure tout jusqu’au matin -,

i seont rès là come deûs vrés-antiques,

pwis i seont partis, chakin pa s’kémin.

J’lés-é vu partir : piéreot baisseot s’tiète

Et j’é intindu Pièrète qu’èle brèyeot…

Et pindant ç’tans-là, toutes lès-éôtes Pièrètes

Danseot’tė gaimint avèc leûs Pièreots.

Hélas ! dins chelle vie, ch’èst bin souvin l’même :

on rèstė vièle file ou bin vieûs garchèon ;

èt ch’t-acor pus triste qu’à l’Demi-Carême :

l’carnaval, ch’èst court, mé la vie, ch’èst lèong …

On èst treop timite, treop fier ou treop …. Biète,

On vient d’ène famile bin treop come i fèot

Èt Pièreot viélit in r’grètant Pièrete,

Et Pièrète ès’fane in r’grètant Pièreot.
Et cha dure insin pindant dés-innées,

Et quand on s’rinconte, on s’fét dès saluts.

Qwa çé quė vous voulez, ch’èst ène dèstinée !

I-arife même alfeos qu’on s’orconeot pus.

On s’résine, ch’èst vré, més toudi on r’grète,

Et alfeos on s’dit, quand on soufre ėd’ treop :

« Come ėj’ s’reos ureûs si j’aveos Pièrète!

- Come ėj’ s’reos continte si j’aveos Piéreot ! »

Et par in byèo jour in cortêche i passe,

On seone àl’églisse pou in n-intièr’mint,

Et l’vieûs, ou bé l’vièle, i dit’ à vwas basse :

« Acor in qui passe pou m’montrer ch’kémin.

- Qui ç’quė ch’èst cèle-là qu’on mène à Mulète ?

- Qui ç’quė ch’èst c’ti-là qu’on porte à Navyèo ? »

On dit : « Ch’èst ène tèle ». Piéreot : « Ch’est t’ Pièrète ! »

Ou bin : « Ch’èst in tèl ». Pièrète : Ch’èst t’Pièreot ! »

Awi, mé bones gins, ch’est ène triste istware,

Dès-istwares parèles, on in sét tèrtous

Pace qu’i n-a bôkeop – cha, vous pouvez m’cwrâre -,

Et ch’èste pétète même vo-n-isware à vous.

Et p’tète qu’avèc mi, tout bas, in cachète,

Wê, vous l’dites tout bas, mi jė l’dis tout hèot :

« Ah ! chès pauves Pièrèots qui n’eont po d’Pièretes !

Ah chès pauves Pièrètes qui n’eont po d’Pièrèos ! »

 

Henri GEORGE (1879-1952)

 

Eh oui au fait ! et cette année va-t-on avoir le droit de fêter le Carnaval ????? avec l'ambiance fasciste anti-humaniste actuelle ! Va-t-on encore avoir le droit de danser, de s'embrasser sous les yeux de la flicaille ? Que va devenir notre Civilisation ? Que vont devenir les traditions humaines?

Tiens Farida Belghoul va essayer d'organiser un "carnaval" qui sera en même temps une forme de meeeting, nos maître lui laisseront-ils le droit ?

apparemment non ....

Quelqu'un a proposé une idée, celle d'une sorte de "carnaval des démasqués" au prochain mardi gras du 16 février 2021 (avant l'éventuel "Carême" imposé d'un 3ème confinement) où chacun se "déguiserait en lui-même", c'est-à-dire enlèverait librement son masque pour pouvoir enfin récupérer sa respiration naturelle...

31/12/2020

nareux

parmi    les    mots de PATOIS DU NORD, picard   comme disent les linguistes , que  disait souvent maman, il y a  "nareux".

Ce qui veut   dire "difficile" (en anglais : "fastidious" méfiez-vous des faux-amis de l'anglais sales collabos anglomanes soumis et totalement incultes qui n'ont même pas le niveau des  collégiens  à   qui on fait apprendre tous ces faux-amis par listes entières dès la classe de 3ème !!!) "dégoutté", qui se montre difficile quand à la propreté de la nourriture et des couverts, qui éprouve facilement du dégoût,

 

Mon Dieu et dire que j'ai pu vivre des années entières en oubliant ce mot !!!! Il y a de quoi en pleurer !

 

 

14/12/2020

câlins

mon « petit » (devenu le plus grand et le plus lourd des deux) chat noir est un sacré hypocrite, du genre des gosses qui disent « ma petite maman chérie ! donnes-moi un bonbon ! ».
Je regrette, moi j'étais vraiment câlin, et quand je faisais des câlins c'était pour les câlins eux-mêmes. Je sais il y aurait des gens, je sais que ça existe chez les psy-machins-choses, qui trouveraient le moyen de dire que c'est aussi une forme d'égoïsme, etc, ouais les sophismes ! en tous cas c'est toujours mieux que leur cynisme incontestablement et à 100% égoïste et déshumanisé, très à la mode dans la vulgate d'aujourd'hui (c'est peut-être pour ça que la société actuelle justement devient tellement inhumaine et déboussolée).



07/12/2020

Brigitte Bardot - lisez son dernier livre "mes larmes de combat" - "vous, la femme-enfant, vous résistez quand les autres cèdent et vous donnez un exemple de dignité"

Brigitte Bardot : les vraies valeurs :

https://ru-clip.net/video/5w7XvRVEbeY/brigitte-bardot-le-...

le début est à réécouter en boucle !

 

QUAND retrouverons-nous l'amour de ces valeurs !

 

ce qu'elle dit sur les animaux est le bon sens même, elle est comme Elian-J Finbert le bon sens même, elle seule récemment a eu le courage et la dignité de soutenir les gilets jaunes, après avoir dans les années 50 soutenu le droit au plaisir et à la liberté (de nos jours de nouveau diabolisé !), elle a tout du long été une bête traquée, et d'un courage désarmant.

par ailleurs : https://www.persee.fr/doc/comm_0588-8018_1963_num_2_1_967    (Evelyne Sullerot, encore une qui toute sa vie s'est montrée d'un grand courage et d'une vraie humanité contrairement aux féministes de maintenant !)

 

"vous, la femme-enfant, vous résistez quand les autres cèdent et vous donnez un exemple de dignité"

Evelyne Sullerot Brigitte Bardot et l'O.A.S.(c'était l'époque où la France était encore un pays civilisé et  à VISAGE HUMAIN ! ... époque lointaine maintenant).

« Que Brigitte Bardot ait résisté à l'O.A.S., voilà un événement que les historiens compareront à l'appel du 18 juin. Le vénérable Times de Londres ne s'y est pas trompé... D'un côté les généraux rebelles ou complices, les régiments pourris, leurs chars et leurs avions, de l'autre B.B., sa secrétaire, son producteur, son coiffeur et son chien. » C'est en ces termes que Jeune Afrique (n° 62) rendait compte de 1' « analyse spectrale des forces politiques en France au début de 1962 ».

Une analyse spectrale de Brigitte Bardot, du mythe Bardot, à la même époque, à l'inverse, donne un tableau très net des lignes politiques de la grande presse.

Après la fracassante publication par VExpress du fac-similé de la lettre de menaces de l'O.A.S. à B.B. et de la réponse que celle-ci envoyait à l'hebdomadaire de gauche, le mythe Bardot subit en effet un choc si rude que l'image B.B. se multiplia à l'infini sur la longue bande de l'actualité. Mais ces Brigittes se regroupent très vite, dès les 1er et 2 décembre 1961, selon quelques lignes de force.

Car un phénomène, privilégié et rare, vient de se produire : il y a conjonction soudain entre le mythologique (la supervedette aphrodisiaque Bardot), le fait divers tragique (le chantage à la bombe, le racket, les 5 000 000, « payez secrètement », etc.), et le politique (« les inspirateurs de ce genre de lettres seront rapidement mis hors d’état de nuire s'ils se heurtent partout à un refus net et public de la part des gens qu'ils cherchent à terroriser par leurs menaces et leurs attentats », écrit Brigitte. Jusqu'ici on peut imaginer un racket bassement crapuleux. « En tous cas, moi, je ne marche pas, parce que je n'ai pas envie de vivre dans un pays nazi »,

(c’est ce qu’elle a refusé toute sa vie ! suivez ses combats, c'est ça)

écrit ensuite la déesse menacée. Cette fois nul doute n'est permis : c'est de politique qu'il s'agit.)

Une analyse des réactions de la presse, radio, télévision, dans le mois qui a suivi permet de conclure que, de ces trois aspects, le politique a prévalu, et de très loin. Dans presque chaque cas, la répercussion de la nouvelle et sa présentation ont été une utilisation à des fins politiques du geste de Brigitte Bardot. Du moins à court terme.

Une jeune femme charmante, simplement vêtue, cheveux libres et non pas échaffaudés sur le sommet de la tête, sourire enthousiaste et sain, apparaît en photographie au milieu de la page politique de VHumanité. « Je ne veux pas vivre dans un pays nazi » déclare en titre cette fraîche maquisarde. Elle gardera sa place en page politique pendant plusieurs jours. Sur les thèmes « elle n'a pas cédé », « elle est antinazie », V Humanité fait de B.B. un symbole. On va interviewer « les milieux artistiques », et les artistes, les uns après les autres, se solidarisent avec la courageuse (Paul Frankeur), s'élèvent contre « la propagande simpliste de ces gens-là qui s'imaginent intimider les vedettes riches en leur faisant craindre ' le collectivisme qui doit suivre le régime actuel ' — texte de la lettre de l'O.A.S. à Brigitte Bardot — qui les dépouillera » (Daniel Gélin) ; « Elle a raison » dit Roger Pierre ; « Elle a du courage » renchérit Sophie Desmarets, etc. « Le syndicat français des acteurs exprime sa solidarité à Brigitte Bardot ». Douze jours après « l'événement » Brigitte est encore en première page de V Humanité dans un billet d'André Wurmser, car à Alger, dans un cinéma, on a sifflé B.B., « la B.B. qui n'a pas voulu que Salan la soutienne, la garce ! » L'O.A.S. devient « L'Organisation Algérienne des Souteneurs » et la blonde vedette une femme de tête (politique) « qui ne veut pas être Casque d'Or ». Mais l'imitation du langage vert des faits divers crapuleux ne trompe pas : c'est la politique, — grandes causes, grands effets, pas de hasards, — qui sert de cadre à ce sourire fameux.

C'est aussi dans l'éditorial politique que B.B. prend place dans Libération. B.B.B. = Bravo Brigitte Bardot ! On lui parle gentiment et franchement : vous êtes agaçante, vous étalez trop votre vie privée, mais au fond vous, la femme-enfant, vous résistez quand les autres cèdent et vous donnez un exemple « de dignité ». Enfin, à la dimension de l'utilisation politique s'en ajoute une autre qui va être reprise ou contestée ici et là : Vous n'avez pas, vous, besoin de publicité ; vous avez accompli là un « geste pur ».

Qu'elle « s'en aille » en guerre ou à Moscou, dans les journaux d'extrême droite B.B. s'en va. Cette publicité de mauvais aloi en fait une fille dangereuse ou bien idiote : « L'opération B.B. ne doit rien à Brigitte » suggère Aux Écoutes. B.B. n'a pas d'opinion bien définie. Les aventures militaires de ses jeunes amants appelés successivement au service militaire (Trintignant, Charrier, Frey) seules l'ont rendue antimilitariste. Le nom d' « armée » la met du coup en rage. Qu'une « armée » lui demande encore de l'argent, la coupe est pleine ! La lettre, elle, a été rédigée par des « conseillers en relations publiques ». Brigitte, la pauvre oie, a seulement signé. D'ailleurs elle est pingre. « Même à Alger nul n'ignore que B.B. n'est pas de celles qui cotisent », soufïle-t-on aussi à droite où on se réjouit de la mauvaise humeur du Président de la République à tout ce bruit, qui fait un peu de la belle « le médecin de l'honneur » de la République, comme le suggère le Monde. De toutes façons, ajoute-t-on, cette prétendue lettre O.A.S. doit être un faux. Enfin le résultat le plus immédiat est la disparition soudaine du nom de Brigitte Bardot de la rubrique de l’Aurore « Choisissez la vedette que vous voulez voir » (6 décembre) où elle avait toujours figuré en 2e place alphabétique.

Bien sûr on tremble pour elle, et il semble miraculeusement brave qu'elle ose sortir le lendemain « avec son petit chien » et « un foulard violet » de chez elle où s'étale justement une menaçante inscription O.A.S. La concierge, elle, a très peur. Mais ce que l'on souligne, c'est que B.B. s'arrête « pour remercier le gardien de la paix chargé de la surveillance de son domicile », et surtout les titres insistent : « Rackettée par l'O.A.S. » elle n'a pas voulu céder au chantage. On ne cache pas qu'elle ait écrit à « l'hebdomadaire l’Express » ni qu'elle ait donné les raisons politiques de son attitude. B.B. devient un symbole républicain et un exemple de civisme. Paris-Match rappelle avec photos à l'appui qu'à Saint-Tropez elle va voter dès huit heures du matin aux référendums, tentant de « faire son devoir de citoyenne » sans attirer l'attention. Cependant la photographie vedette est celle d'une énorme affiche de film sur un mur, la représentant, et sur laquelle un plaisantin gaulliste avait collé, devant les célèbres lèvres, un papillon OUI. La légende est honnête : « Sur ses affiches on la faisait déjà parler politique » — mais minuscule ; tandis que le titre qui couvre toute la page affirme, au-dessus de ce OUI : « Elle n'avait pas attendu l'O.A.S. pour avoir une opinion. »

« Vive Brigitte ! » vibre partout et vibre longtemps, jusqu'à Noël en tous cas : à ce moment-là les vœux et les prévisions vont leur train. On salue au Canard enchaîné à l'occasion de la nouvelle année « notre B.B. nationale », « la fille la plus déshabillée de l'écran mais aussi la plus culottée », « Bravo Brigitte, on préfère votre plastique au leur ! »

La hargne de la droite ne s'apaisera que très progressivement. L'émission de télévision du 5 janvier 1962 où B.B. apparut sérieuse et désireuse de con- vaincre pour demander qu'on modifie la façon de tuer les bêtes dans les abattoirs, si elle fait pleurer d'attendrissement et de respect la plupart des journaux de l'extrême -gauche au centre, n'est encore annoncée dans le Parisien libéré et dans V Aurore que par des titres semi-humoristiques : « Veaux, vaches, cochons, couvées crient pitié par la voix de Brigitte Bardot » qui « plaidera la cause des animaux nutritifs ». Mais cette mauvaise humeur de la droite ne pourra pas résister très longtemps devant les succès des nouveaux films de la vedette anti-O.A.S. : Vie privée, et le Repos du guerrier qui sortiront dans l'année.

Cependant à la radio, à la télévision que tout à coup, en janvier, elle a envahi coup sur coup après des années d'abstention, ainsi que dans l'immense majorité des journaux (France-Soir, Paris-Presse, Paris-Jour etc., et les journaux de province) le ton pour parler de Brigitte Bardot demeurera différent de ce qu'il était « avant » la réponse à l'O.A.S. C'est un ton empreint d'amitié et de considération qui succède aux débordements erotiques ou puritains, au scandale et à l'ironie comme à l'hyperbole. Une sorte de réflexe, de fraternité civique et nationale a joué. On s'est aperçu que malgré les ennuis, le percepteur agréé de l'État auquel se surajoutait le percepteur gangster de l'O.A.S., malgré la police à sa porte, les menaces de bombes, etc. « notre Brigitte nationale » n'avait pas quitté le sol français, n'était allée ni à Hollywood ni à Moscou et qu'elle continuait comme tout le monde à voter et à se débattre dans ce pays déchiré parce qu'elle l'aimait, parce qu'elle était bien française. Ce n'est pas elle qui irait, comme Gina Lollobrigida, se réfugier au Canada pour éviter sa feuille d'impôts nationale.

Il est réconfortant que sur le sol de France vive la plus belle fille du monde, et qu'elle prouve de surcroît qu'elle a de la tête, et une tête républicaine, contre des menaces de mort, et qu'elle a du cœur puisqu'elle plaide pour « ces amis muets que sont les bêtes ».

(les trisomiques, et Vincent Lambert aussi sont "nos amis muets" - ma note)

Evelyne Sullerot. (militante féministe, qui fut à la fin de sa vie la protectrice de "SOS-papa")

 

02/12/2020

CHATS ET HUMANISME

bon, on vient au sujet  :

oui, il serait souhaitable que les humains prennent modèle sur les chats et s'imprègnent de leur esprit insoumis ce serait le seul espoir pour la civilisation

On dirait que mon chat (2003) deviendra sentimental ; petit à petit, il faut patienter, comme avec toutes les transformation « humaines », libres, personnelles, des choses à respecter. Jusqu'à maintenant il était comme on nous représente généralement les chats : égoïste, indépendant, d'une volupté physique, mais pas du tout « pneumatique » (comme dirait Vladimir Jankelevitch). Il avait l’égoïsme de la jeunesse. Mais c’est comme chez tout le monde : avec le vieillissement se produit une maturation émotionnelle (mais bien sûr à condition qu’il aie conservé son coeur d’enfant, absolument indispensable ! Autrement on n’est alors rien de plus qu’un PANTIN de plus en plus ratatiné !) en prenant de l’âge on devient plus profondément sentimental, et d’autres choses encore. Donc il finira peut-être par devenir « apprivoisé », comme le renard (en hindî « लोमड़ी ») - छोटे राजकुमार को लोमड़ी ने कहा- „le renard dit au petit Prince“; Peut-être un jour «il » (les guillemets pas parce qu’il est un chat, mais parce qu'il a été castré !) sera aussi sentimental qu’était « Poupounette », cette pauvre petite vieille être vivant. Qui était si aimante, tout en restant en même temps indépendante, viscéralement insoumise, comme c’est l’essence des chats.

Oui, il serait à souhaiter que les humains soient comme les chats, ils devraient prendre modèle sur eux ; ce serait bon pour la civilisation, non ? La dictature actuelle, « prussienne », politically-correct, des sociétés orwelliennes, Aldous-Huxley-iennes actuelles s’effondrerait, et il resterait alors un petit peu d’espoir de sauver la Civilisation et la valeurs humaines. Oui, il faudrait que tous les gens dans nos sociétés fassent de la résistance passive, de l’insoumission,

pas une opposition ouverte - ce n’est déjà plus possible hélas ! - mais par la bande, en faisant celui qui ne comprend pas, en faisant le bête, par toutes sortes d’échappatoires, de non-obéissance, (sans le clamer sur les toits, comme actuellement pour le reconfinement que ersonne ne respecte ni ne fait respecter, mais surtout on ne le dit pas on n'en parle pas ! ) de décrédibilisation

de cette arrogante, bien-pensante, dictature inhumaine et glacée. Oui mais voilà ils ne le font pas.

Aussi longtemps que la SPA et autres asso. prises du syndrome du CONATUS (vous savez le conatus ! j'ai fait un billet là-dessus) ne sera pas ministre on aura encore, plus pour longtemps, le droit d’avoir des chats ! Déjà on se met à leur faire ce qu’on fait aussi aux humains, les rfid et l’euthanasie. Ensuite il ne restera plus aucun espoir. http://h16free.com/2015/09/24/41471-et-maintenant-une-loi...

Tant qu’il y aura des chats il y aura de l’espoir ; après, ce sera fini, l’humanité pourra crever.

 

 je ne sais pas ssi c'est comme ça partout (sans doute pas vu les échos qu'on a , les très rares que les journaputes ne censurent pas et laissent passer  !!!!!!! en infos ou vidéos, de ces immondes violences et bavures coutumières à la flicaille) mais dans mon coin il semble que le confinement de novembre-décembre n'ai pas été respecté du tout, et que la police n'a rien fait pour le faire respecter, aucun contrôle en particulier. Je crois qu'il y a intérêt (comme je dis dans le billet ci-dessous) à ne pas le claamer sur les toits et d'ailleurs que c'est ce queu tout le monde fait, ne surtout pas le dire, pour passer inaperçu !!! Comme sans doute autrefois en URSS d'ailleurs !

Parce que maintenant sous le régime où on vit maintenant il faut ne s'opposer que silencieusement, dans son coin sans surtout le faire savoir aux autorités ni à la presse ( regardez ce qui est arrivé ausi par exemple au médecin Epstein au début du film "mal-traités" https://ru-clip.net/video/gSeFfIXsxmQ/mal-trait%C3%A9s-le...) ni aux autorités !! (regardez ce qui est arrivé au Pr Foutillier https://www.objectifgard.com/2020/12/11/gard-des-centaine...      là c'est l'URSS maintenant !!!! on est en URSS !!!!!)

C'est comme les "procèdures absolument immondes ,staliniennes, informatisées répugnantes, cyniques, typiques du TOTALITARISME CAPITALISTE actuel pour la réception du monidre colis amené chez vous par cette immonde répugnante cynique avide firme capitaliste privée, qui avec la complicité de cette URSS capitaliste qu'est l'Union Européenne (dont il faut sortir d'urgence FREXIT ! vite !!) nous a volé l'ancien Service Public de la Poste, qui était autrefois géré par des fonctionnaires, et était 7 fois plus rapide, 2 fois plus sûr, et qui respectait ses usagers !!!! de manière républicaine et normale quoi ! je me suis rendu compte que depuis quelques mois les agents remplissent eux-même sans rien vous demander les formalitéx à la con de merde sans rien vous demander, et déposent le colis sans ruien dire (et pourtant il y a pas longtemps une factrice avait été licenciée pour avoir signé à la palace de ses usagers pour leur épargner d'immondes déplacements pénalisants à la con !!!! histoire rapportée avec les termes répugnants de la direction de la poste et des supérieurs hiérarchique de cette malheureuse !!!)

Peut-être que c'est comme pour les retraits d'argent dans mon bureau de poste les CCP  ne pratiquent aucune des restriction répugnantes, e t   ni des persécutions éhontées rapportées par Jovanovic sur son site. Mais vioilà mon bureau de poste est dans un quartier à immigrés, alors sans doutre qu'ils ont des instructions pour les ménager et d'éviter de les mettre en colère !!! .... (tandis que dans les bureaux de centre-villes bourgeois et "blancs" des informateurs de Jovanovic, ils n'hésitent pas à les traiter comme des chiens !)

C'est désobéir en secret par la bande, ou faire le bête, faire semblant qu'on est complètement con et qu'on n'a rien compris. et sur tout sans le crier sur les tois, ou alors c'est que vous avez une âme de martyr. qui à99%seront broyés sans même que personne ne le sache, et bien censuré par les journaputes, eux mêmes terrorisés ("un journaliste c'est une pute ou un chômeur" !)

 

 

10/11/2020

sadique

IMG_2511.JPG


) 29/10/2020 avant-hier j’ai crié depuis ma fenêtre de cuisine ver mon jardin : « petit Bigarré !» (je nom que j’ai choisi pour le petit minet (multicolore, je crois que c'est ce qu'on appelle "écaille de tortue") de la «Grosse-Manman » noire errante) ; eh bien, je l’ai vu accourir à toute vitesse !
Hier je l’ai encore appelé,il est encore venu, et je lui ai déposé des croquettes sur le ciment, il s’est laissé approcher, mais quend j’ai essayé de le toucher il a sursauté et s’est écarté.
Aujourd’hui 29, dans mon jardin, je l’ai soudain aperçu à un mètre de moi, j’ai dit « mon petit bigarré ! » et il est tout de suite accouru, et jusqu’à mon soulier qu’il a reniflé, avant de s’écarter.
Peut-être que je finirai par l’apprivoiser, comme le renard du Petit Prince ….

) 30/10/2020 aujourd’hui j’ai pu le caresser sans qu’il s’enfuie, il continuait tranquillement à manger.
Je vais l’appeler « Petit Bigarré » alias « Communion des saints »

) 1/11/2020 je comptais finir d’apprivoiser le petit chat aujourd’hui, et le nommer « Petit Bigarré de la Communion des Saints ». Bon, je crois qu’il est mort. Toujours aussi sadique ma vie.

 

le Régime s'attaque à Noël
, à la Toussaint, la fête des la Communion des Saints, il n'a même mas eu besoin de s'attaquer, vu qu'elle est déjà disparue, tuée par Halloween, le machin commercial, amerloque et psychanalytique de la Secte des Adorateurs de  la Mort.

30/10/2020

Résumé sommaire et bâclé en vitesse de l’histoire de mes idées métaphysiques :

Étant enfant j’ai toujours été athée, dur comme fer, bien sûr ma maman était pour quelque chose, farouchement anti-cléricale, entre autres à cause du mauvais exemple du curé Baudchon de Malincourt, et de plein d’autres choses encore, mais pas seulement elle, je crois que j’ai toujours eu un esprit rigoureux et critique, et puis très tôt je me suis intéressé aux sciences, et les sciences, bien sûr nous montrent un monde où tout ça s’avère être des conneries ridicules et totalement invraisemblables. Mais en même temps, qu’est-ce que j’étais malheureux! (et le mot est faible, si quelqu’un s’avise d’y penser honnêtement et avec une vraie conscience des choses, comment ne peut-il pas hurler de peur ? je n’ai jamais, et aujourd’hui pas plus qu’alors, compris comment les gens font ??? ils doivent être vraiment cons ! ou totalement drogués, aux sophismes, au « respect humain » etc, et surtout à la connerie, la plus puissante et la plus efficace (mais pas la moins dangereuse !) des drogues - car bien sûr l’homme ne vit pas sans drogues, quoi qu’en disent les bien-pensants, et les flicards « libéral-fascistes » - ). Aussi je voyais avec horreur la CRUELLE attitude de ceux qui s’échinaient à faire perdre la foi à ceux qui (par bêtise, car comment être un tant soit peu intelligent ou éduqué et pouvoir encore croire à des contes de fée pareils ?! je me souviendrai toujours de la fameuse opérette « Là-haut », avec Maurice Chevalier dans un des rôles je crois) avaient la chance d’avoir la foi. Et c’est pourquoi les régimes communistes me faisaient horreur, et la fermeture généralisée des églises (à l’époque c’était l’URSS athéiste intolérante, qui pratiquait ça, maintenant c’est en France !! …) Aussi à partir d’un certain moment je me suis mis (sans y croire vraiment dans le fond !) à chercher et à exposer tous les arguments qui pourraient justifier le Christianisme et la foi en Dieu. Plus tard, j’ai découvert la philosophie et ça a été pendant plusieurs années une passion pour moi,( j’ai même un moment décidé de faire des études pour devenir professeur de philosophie) et j’ai passé des journées entières, des heures et des heures à réfléchir, et à me faire des conférences à moi-même sur tous les problèmes, et les doctrines qu’elle contenait. Et au cours de ces réflexions je me suis rendu compte qu’en fait « ce n’était pas si simple ». Et puis que la religion que je méprisais si fort, n‘était qu’une caricature populaire de religion, qu’il y avait une métaphysique, et une conception de Dieu autrement plus sérieuses, ! et plus crédibles, et j’ai beaucoup lu les revues catholiques et les livres, et découvert l’hindouisme. J’ai fait le Pari de Pascal, je m’en souviens, et je suis devenu mystique, et je me suis rendu compte que tous les rêves qui faisaient ma vie, rêve d’amour, avidité phénoménale de « saisie » du monde, aspiration romantique (« j’ai toujours été un indécrottable Romantique » - au sens littéraire du terme - disais-je) ne pouvaient trouver leur accomplissement que dans la religion et le mysticisme. Et même à un moment je me suis rendu compte que je commençais à croire VRAIMENT. Mais ça s’est plus ou moins passé, et les argument négatifs sont revenus insensiblement de plus en plus forts. Et aussi par faiblesse tout cela est devenu de plus en plus théorique, « en suspend », et trop plein de doute, « quoi que … on ne sait jamais peut être, mais quoi ? », si on essaye non plus de simplement critiquer la vision réductrice et impuissante de l’athéisme mais de former une alternative CREDIBLE, ça se met à soulever des difficultés finalement encore plus fortes que les difficultés de l’option adverse. Alors ?

Aussi le désespoir absolu, nihiliste au point le plus extrême, le seul tenable rationnellement, finalement est revenu au premier plan.

Mais je garde, comme ça toujours été le cas, un intérêt, théorique, pour la réincarnation, pour les EMI, pour Rupert Sheldrake, pour certaines réflexions contemporaines de certains scientifiques, etc., etc. Quand j’ai le temps de lire…

Je n’ai pas, et en fait je n’ai jamais eu la force ni la motivation pour une vie « monacale », et même quand je la trouvais justifiable rationnellement, l’ascétisme, etc., m’a toujours, en fait , dans le fond, fait horreur. Mais ceux qui veulent réconcilier la métaphysique, la « spiritualité », avec une vie « ici et maintenant » et rien d’autres, ne sont que de ridicules sophistes, c’est de la « couille » pour « bobos » parisiens, ou californiens, une imposture.

Puis quand Jacqueline est morte, à partir de là j’ai été INCAPABLE de prier, pour diverses raisons difficiles à expliquer, c’est viscéral, quand on a vu, quand est … bref.

Maintenant de toutes façons je suis purement et simplement INCAPABLE de penser, incapable de réfléchir, incapable de quoi que ce soit, je suis, et d’abords physiquement tellement fatigué, surmené, comme un agonisant qui arrive à peine à se gratter dans son lit, ce qu’il est forcé à constamment faire, rien, plus rien, ni aucune réflexion, ni aucun sentiment, ni aucune attitude, n’est possible, je suis d’une passivité, d’une inconscience, d’une non-existence, totales.

De toutes façons :

la VIE.jpeg

22/10/2020

Tiel estas la socio

un petit chef-d'oeuvre de Hans-Georg Kaiser nous le dit avec discernement, et talent :

Izolado

Se vi estas impertinenta kaj sen bonaj rilatoj,
jen vi devas iri kiel infano en hejmon por edukado.
Vi ja ne estu impertinenta sen bonaj rilatoj.
Tiuj, kiuj ne devas esti impertinentaj,
ĉar ili havas bonajn rilatojn,
unuiĝis en la batalo kontraŭ la impertinentuloj,
kiuj ne havas bonajn rilatojn.
En ilia komisiono ili decidas: Vi estas impertinenta
kaj devas esti metita en edukadohejmon,
(se vi estas sen bonaj rilatoj).

Se vi estas olda kaj sen iu subteno
jen eĉ la oldulhejmo ne estas certa por vi.
Vi ja ne estu olda sen iu subteno.
Tiuj, kiuj estas oldaj aŭ ne subtenataj,
unuiĝis en la batalo kontraŭ la olduloj,
kiuj estas sen iu subteno.
En ilia komisiono ili decidas:
Vi estas olda kaj devas mem zorgi por vi.
(se vi estas sen iu subteno.)

Se vi estas izolita kaj sen privilegioj,
jen vi baldaŭ freneziĝas.
Sed vi ne freneziĝu sen iuj privilegioj.
Tiuj, kiuj ne freneziĝas, ĉar ili havas privilegiojn,
unuiĝis en la batalo kontraŭ la freneziĝantoj,
kiuj estas sen privilegioj.
En ilia komisiono ili decidas:
Vi freneziĝis kaj devas esti izolita
(se vi ne havas privilegiojn).

 

Hans-Georg Kaiser, alie "Cezaro"

 

système qui a perdu toute sa crédibilité, à force de mensonges https://ru-clip.net/video/IKsEVmTq1jI/%F0%9F%9A%A8%E2%9A%...