10/12/2016
la fameuse "transition" ! le grand capital international se cherche toujours des rastaqouères pour se faire d fric sur le dos des peuples mis en esclavage !
https://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=...
oui, ce Saif-al-Islam ils le trouvent "modéré", et prêt à entamer une "transition" (leurs fameuses "transitions" ! on a compris ! ) vers la "démocratie" (on sait que chaque fois que la presse "La Voix de nos Maîtres" parle de "démocratie" elle ajoute aussitôt en bout de phrase (ou même si elle n'ajoute pas c'est bien à ça et uniquement à ça qu'elle pense) "le libre marché" comprenez le capitalisme et les investissements étrangers !
Et au cas ou on n'aurait pas compris dans la foulée on rappelle qu'il est diplomé de la "London School of Economics"
(je remarque au passage que les fabricants d'ordinateurs, de sites internets, et de moteurs de recherches, ont de plus en plus tendance à empêcher les GENS de voir l'adresse internet où ils sont, de la CACHER sous une vague appellation, qui n'est pas l'adresse et à laquelle l'ordinateur ne risque pas de répondre, gardant ainsi SOUS LEUR POUVOIR SECRET DISCRETIONNAIRE ET TOTALITAIRE la possibilité de s'y rendre, pour l'instant il y a encore des commandes qui permettent de FORCER LA VISUALISATION de l'adresse, mais parions, que comme la suppression de l'argent liquide ils ont planifié la disparition totale et l'impossibilité pour les GENS d'avoir accès aux adresse internet des pages où ils sont et où ils vont. Pour toujours plus de mise en esclavage et de tyrannie incontrôlable !!!!!)
et si Saif al Islam est "plus interessant" (pour les propriétaires des merdias, donc le grand capital) que ses frères et soeurs, c'est qu'il doit être moins intéressant pour le peuple lybien ! on parie ?
03/12/2016
Un de mes poèmes en prose
Je crois que je vais commencer de mettre ici mes poèmes. Pour commencer, un poème en prose, paru en 2005 dans l'anthologie de l'association "Flammes Vives".
mais avant voici un poème de l'incomprable Edgar Lee Masters
Webster Ford
Rappelle-toi, Apollon de Delphes
la rivière à l’heure du crépuscule où Mickey M’Grew
hurla :" IL Y A UN FANTÔME !
et moi "L'APOLLON DE DELPHES !"
Rappelle-toi, ô mémoire de l’air,
je ne suis plus rien qu’un petit tas de poussières
ma forme physique
mais je suis l’auteur de ce livre.
Quel est le poids d’un corps / face à un livre de voix mêlées ?
Un corps ne pèse rien / face à un tel livre de voix.
Seul le fantôme écrit
TU le sais
parce qu’écrire est cela : revenir
rappeler au jour
ce qui, de la nuit, est au plus noir.
Seul le fantôme écrit
SEUL LE FANTÔME ECRIT
Images
Une vieille lessiveuse avec une chatte qui a fait ses petits dedans
Une bulle de savon
Un reflet de lune sur l’eau
Un curé qui, dans les années 70, parle encore de vie éternelle dans un sermon, pendant le carême
Une enfant qu’on envoie devant un psychiatre parce qu’elle dit qu’elle veut entrer au Carmel
20/11/2016
la mort ...
Popov a joué ce sketch en 1972, il est mort en fait 42 ans plus tard cette année en 2016. 40ans pour méditer cette parabole....
et avez-vous vu le regard du couple de spectateurs à la fin ? il a du Giraudoux là-dedans.
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03/11/2016
Jules Laforgue encore
Triste, triste
Je contemple mon feu. J'étouffe un bâillement.
Le vent pleure. La pluie à ma vitre ruisselle.
Un piano voisin joue une ritournelle.
Comme la vie est triste et coule lentement.
Je songe à notre Terre, atome d'un moment,
Dans l'infini criblé d'étoiles éternelles,
Au peu qu'ont déchiffré nos débiles prunelles,
Au Tout qui nous est clos inexorablement.
Et notre sort ! toujours la même comédie,
Des vices, des chagrins, le spleen, la maladie,
Puis nous allons fleurir les beaux pissenlits d'or.
L'Univers nous reprend, rien de nous ne subsiste,
Cependant qu'ici-bas tout continue encor.
Comme nous sommes seuls ! Comme la vie est triste !
Jules Laforgue
01/11/2016
stranga epoko ĉu ne ?
à Stella-Plage : j’irai faire caca à 11 heures, pendant que les autres seront à la messe. On a la religion qu’on peut …. Bof c’est quand-même mieux que ce qui est à la mode actuellement de faire des spectacles où on plonge le crucifix dans de la pisse ! Et même que les ministres se déplacent exprès pour aller le voir, en disant que c’est un devoir pour un républicain d’aller voir ce truc, et que c’est la liberté d’expression qui veut ça. Et même que si jamais quelques catholiques se permettent d’en être choqués et de le suggérer timidement, tout le monde leur crie aussitôt dessus en disant que ce faisant ils se conduisent comme des fascistes, qu’une telle réaction c’est un scandale intolérable, et on les repousse avec mépris. Assez curieusement par contre personne n’a fait de spectacle où on plonge les rouleaux de la Thora dans de la pisse, et d’ailleurs si quelqu’un avait fait ça, là on n’aurait pas parlé de liberté d’expression bizarrement, là les ministres ne se seraient pas déplacé pour aller voir la pièce, non ; là et l’auteur, et les acteurs, et le metteur en scène, et le propriétaire de la salle, et les spectateurs auraient été aussitôt arrêtés par la police et envoyés en prison ! Vere stranga epoko ĉu ne ?
toutes les beautés du monde
Il y avait autrefois en Inde une coutume de marier es gens, surtout les filles, alors qu’elles sont encore enfants. Souvent un homme adulte prenait chez lui sa future femme encore enfant. Moeurs maintenant stigmatisées. Mais un peu d’ouverture intellectuelle et existentialiste fait toujours du bien. Donc admettons et mettons-nous dans ce contexte vécu. Le grand poète bengali Tagore se sert de cette situation pour en faire la parabole de Dieu, futur « Epoux » de l’âme humaine (c’est pareil dans l’Evangile, relisez), aussi il compare les jouets que le mari offre à sa future épouse encore enfant aux beautés du monde par lesquelles Dieu égaie et élève l’âme des hommes :
LXII
Quand je t’apporte des jouets coloriés, mon enfant, je comprends pourquoi ce chatoiement de l’eau, de la nue, et pourquoi toutes les fleurs sont peintes — quand je te donne des jouets coloriés, mon enfant.
Quand, pour que tu danses, je chante, je sais vraiment pourquoi cette musique dans les ramures, pourquoi le chœur des vagues pénètre jusqu’au sein de la terre attentive — quand je chante pour que tu danses.
Quand je tends de doux objets vers tes mains avides, je sais pourquoi du miel dans le calice de la fleur, pourquoi ce suc exquis dont se gonfle en secret le fruit — quand je tends de doux objets vers tes mains avides.
Quand j’embrasse ta face pour te faire sourire, mon enfançon chéri, je comprends avec certitude quel est ce plaisir qui ruisselle du ciel dans le matin lucide, et quel délice c’est que la brise d’été offre à mon corps — quand je t’embrasse pour te faire sourire.
30/10/2016
maintenant
Non ce n'est pas choisi, en rien, je subis, non ! même pas, c'est à peine de la passivité, c'est comme ça c'est tout, c'est tranquille et sans aucune raison ni justification bien entendu, ce n'est en rien un choix, encore moins une «sagesse» désespérée, et encore moins freudienne, celle-ci je la condamne et elle me répugne toujours autant, cette façon de penser je la vomis toujours avec autant de répulsion et de dégoût qu'avant, non, mais étant donné que je ne pense plus ! que je ne sens plus, que je n'éprouve plus aucun sentiment ni état d'âme quel qu'il soit. Et bien entendu dans l'objectivité des choses je n'existe pas, je n'ai jamais existé, pas plus que toute autre personne et que toute autre chose au monde, y compris les «vérités éternelles» qui n'existent que quand quelqu'un pense à elles, donc qui sont vouées à la disparition éternelle et à l'absolue néantisation rétrospective, comme tout le reste, alors quelle importance ?! Aucune. Ni ça ni autre chose. Et comme j'ai renoncé à espérer quoi que ce soit, ni à long, ni à court, ni à moyen terme, ni même à très court terme, quand on vit on s'aperçoit que même ça est constamment totalement impossible dans tous les instants de la vie quotidienne; bref les sales merdeux de maîtres à penser auto-proclamés de la «religion» actuelle appelleraient ça une forme de sagesse je sais, mais ce n'en est en aucune manière une.
29/09/2016
la lutte des classes ça a toujours éxisté
y compris en Egypte en antique
Vers 2250 av J-C il y a eu une révolte populaire pas piquée des vers. Et comme toujours également ce sont les riches qui racontent l'histoire !
Donc comme pour la révolution française ou la révolution russe on a entendu les comtesses se plaindre à quel point ils ont été malheureux à cause des méchants révolutionnaires; pareil les textes égyptiens qui nous sont parvenus racontent ça du point de vue des grands, ceux qui à l'époque avaient le monopole des tombes des rituels et des momies, mais le peuple en a voulu aussi !
donc l'article est très intéressant, ici :
http://www.matierevolution.fr/spip.php?article222
les statues de Khepren furent brisées par la foule en furie et jetées dans un puits, ils devaient en voir gros sur la patate le petit peuple égyptien ! on ne dit pas ça aŭ touristes qui vont visiter Gizeh !
et comme je disais, rien de nouveau sous le soleil, même la propagande hypocrite des colonisateurs ça existait déjà aussi, tu te souviens du temps des colonies que quand on allait massacrer une population on appelait ça une opération de "pacification". De même les USA apportent la démocratie aŭ méchants irakiens; ils viennent humanitairement protéger à coup de bombes à l'uranium appauvri les kossovars ou les bosniaques qu'on filme à travers une cloture de fil de fer barbelé (le journaliste à l'intérieur le bosniaque dehors, mais le mougeon de téléspectateur ne le savait pas !) exprès pour faire chic, contre les vilains serbes autogestionnaires. Bref les égyptiens avaient déjà ce toupet là ! quand ils allaient razzier les nubiens (des noirs, il y avait de l'or en Nubie, et les égyptiens aimaient bien l'or, donc les premiers colonisateurs qui aient volé les ressources naturelles des noirs ce furent les égyptiens, qu'on se le dise !) comment décrivaient-ils leur opération guerrière ? je vous le donne en mille : en ces termes, défense de rire !
« Cette armée alla en paix : elle entra, comme il lui plut, au pays des Hiroushaïtou. Cette armée alla en paix : elle écrasa le pays des Hiroushaïtou. Cette armée alla en paix : elle fit brèche dans toutes leurs enceintes fortifiées. Cette armée alla en paix : elle coupa leurs figuiers et leurs vignes. Cette armée alla en paix : elle incendia toutes leurs maisons. Cette armée alla en paix : elle massacra leurs soldats myriades. Cette armée alla en paix : elle emmena leurs hommes, leurs femmes et leurs enfants en grand nombre, comme prisonniers vivants, ce dont Sa Sainteté se réjouit plus que de toute autre chose. »
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22/09/2016
"voile islamique" 1953
voici, photographié en 1953 ce que de nos jours on appellerait un "voile islamique" ....
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20/08/2016
dernière lettre
*voici la dernière lettre que j'ai reçue de mon oncle, en 2005 :
*remarquez que ça révèle la nature des hommes (= le sexe masculin - pas les femmes !) derrière des apparences souvent "ours", silencieuse, ou maladroites, et conforte le fait que ce sont eux qui sont sentimentaux et véritablement ouverts aux autres êtres.
*