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01/07/2019

si vous n'avez pas encore compris MAI 68 c'est ça ! - les ex 68ards c'était et c'est ça

 

comme je viens de le dire à plusieurs reprise le voici encore une N-ème fois de plus et encore une de plus et encore une de plus, et encore une de plus !!!!!!!  un lien libre :

https://ytube.tv/watch?v=EI132HpLCL4

https://ru-clip.net/video/RPUIHYOqZp4/jacques-brel-les-bo...

un autre https://ru-clip.net/video/4WVJ9It6bvQ/les-bourgeois-en-di...

Dépéchez-vous vite de télécharger cette vidéo paradigmatique avant que le totalitarisme capitaliste ne sévisse !

 

 

comme je viens de dire plusieurs fois mai  68 ce fut ça en fait et les ignobles macronistes ce sont eux, après avoir été les , je ne citerais pas de noms ils ne le méritent même pas ces putassiers collabos jouisseurs bourgeois, ces "anarchistes"  réactionnaires et méprisant le peuple et  ses conditions de vie, et de travail (qui leurs produisent leurs grasses richesses !)

25/05/2019

aimer acceuillir - 2

« You can't get a better feeling than meeting a new little person. Love it. It's probably why we have done it so many times. »

(Sue Radford - anglaise qui a eu 18 enfants)

24/05/2019

André Cherpillod

Cherpillod vere traktis plej diversajn temojn ! Ĉi libro, kiel ĉiam ĉe Cherpillod ege detala informita kaj metode prezentita, estas des pli interesa kaj konvinkiga, ke Cherpillod tute ne estas dikredanto, kaj nur per raciaj konsideroj de centoj da detaloj (plej gravas la detaloj en tiu afero, kiel videblas en la libro), li konkludas por la malfalsecon.

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21/05/2019

histoire des comportements humains

une expérience qui permet de comprendre le fonctionnement des sociétés humaines, la formation et la pérennité des civilisations, des morales, des normes sociales, des religions, des théories scientifiques, et bien d'autres choses encore !

Le Théorème du singe

Mettez vingt chimpanzés dans une chambre.
Accrochez une banane au plafond et mettez une échelle permettant d’accéder a la banane.
Assurez vous qu’il n’y a pas d’autre moyen d’attraper la banane que d’utiliser l’échelle.
Mettez en place un système qui fait tomber de l’eau très glacée dans toute la chambre des qu’on commence a escalader l’échelle.
Les chimpanzés apprennent vite qu’il ne faut pas escalader l’échelle.

Arrêtez le système d’eau glacée, de sorte que l’escalade n’a plus son effet gel.
Maintenant remplacez l’un des vingt chimpanzés par un nouveau. Ce dernier va chercher a escalader et sans comprendre pourquoi, se fera tabasser par les autres.
Remplacez encore un des vieux chimpanzés par un nouveau. Ce dernier se fera encore tabasser, et celui qui a été introduit juste avant lui ne sera pas le dernier à le frapper.

Continuez le processus jusqu’a ce qu’il n’y ait plus que des nouveaux.
Alors aucun ne cherchera a escalader l’échelle et si jamais il y en a un qui pour une raison quelconque ose y penser, il se fait massacrer illico presto par les autres.
Le pire, c’est qu’ aucun des chimpanzés n’a la moindre idée sur le pourquoi de la chose.

30/04/2019

La télé Sénégalaise débats de haute tenue (bien meilleurs que sur TF1)

et on commence par un sujet très grave et actuel du phénomène de VOL de la planète Terre, de ses ressources,ses gens, ses Etats, tout ! par le grand capital spéculatif, et si la France grâce à la révolution française a échappé au sort de la Grande-Bretagne où les terres ne sont plus la propriété de personnes physiques, et surtout pas des agriculteurs qui la cultivent, une nouvelle vague de ce que les marxistes appellent "accumulation primitive", traduisez VOL mafieux, se déroule sur le dos des pauvres paysans du Tiers-Monde. Oui ! les gros consortiums financiers sont en train de mettre le grappin sur les terres dont ont besoin les peuples pauvres pour vivre, et d'y créer de nouveaux domaines féodaux, des "haciendas" !!

Kémi Séba sur la télé sénégalaise :

 

Connaître la monde et changeant de côté est très enrichissant

Ce Kemi seba, en France était pourchassé par la police et présenté par les médias comme un affreux !

Au Sénégal il préside une émission sur la télé nationale; il est devenu chroniqueur politique TV dans le talk-show le plus populaire d’Afrique francophone; je vous laisse juger (et regardez les autres vidéos de ses émissions, elles sont encore plus interessantes, seulement plus longues, je conseille par exemple :

        

    

ou :

 

KEMI SEBA lutteur indomptable ci-dessous 29 mars 2019 conférence de presse :

https://hdclips.top/hd-videos/-uhKQp_Ew8U/kemi-seba-conf%...

25/04/2019

La Course au Mouton Sauvage

Il y a un livre que j’aime beaucoup. C’est « La course au mouton sauvage » de Haruki Murakami. Haruki Murakami, japonais féru de tragédie grecque et de jazz est vraiment un auteur très important, à mettre parmi les grands classiques mondiaux, et qui résonne beaucoup en moi.


Voici la fin du dernier chapitre, et LE début de l’Epilogue (et où accessoirement, on constate, à deux détails - vous savez à quel point je remarque les détails que les autres laissent passer, mais qui sont lourds de signification -  que je Japon de 1978 était, l’est-il encore je ne sais, un pays libre et convivial, ce que la France n’est plus) :


« Je ne vis qu’un vieillard qui déblayait à la pelle la neige du rond-point . Un chien efflanqué était assis à côté de lui, la queue toute frétillante.
« Un grand merci, dis-je au chauffeur.
- il n’y a pas de quoi, dit-il. À propos, vous avez essayé le numéro de téléphone de Dieu ?
- Non, faute de temps.
- Depuis que le Maître est décédé, je ne parviens plus à obtenir la ligne. Je me demandes bien ce qu’il se passe.
- Il doit être débordé en ce moment, dis-je.
- C’est possible, dit le Chauffeur. Bon, soignez-vous bien !
- Au revoir », dis-je.
Un train partait à midi juste. Les quais étaient déserts., et je ne comptai guère que quatre voyageurs, moi y compris, dans le train. Je me sentais cependant soulagé de voir des silhouettes humaines. J’étais bien revenu dans le monde des vivants. Dans mon monde à moi, fût-il d’une banalité et d’un ennui suprêmes.
La sonnerie annonçant le départ retentit alors que je croquais ma tablette de chocolat. Le train cahota et, à cet instant, j’entendis le bruit d’une explosion au loin. Je soulevais la fenêtre d’un geste énergique et passai la tête en dehors. Une seconde explosion se fit entendre dix secondes après la première. Le train s’élançait déjà. Environ trois minutes plus tard, je vis s’élever une colonne de fumée noire du côté de la montagne conique.
Et pendant trois bonnes minutes, jusqu’à ce que le train virât à droite, je ne quittai pas cette fumée noire des yeux.

EPILOGUE
« Tout est fini, dit le Docteur ès moutons. Tout est bien fini.
- Oui, c’est fini, dis-je .
- Je crois bien que je dois te remercier.
- J’y ai laissé pas mal de choses.
- Pas tant que ça, fit-il, en hochant la tête. Tu viens à peine de commencer à vivre ?
- Vous avez raison », dis-je.
Quand je sortis de sa chambre, le Docteur ès moutons était couché sur son bureau et sanglotait, étouffant ses pleurs. Je venais de le dépouiller de ses années perdues. Avais-je eu raison ? Je me le demande encore.
« Elle est partie, me dit tristement le propriétaire de l’Hôtel du Dauphin. Elle n’a pas dit où elle allait. Vous n’avez pas l’air d’aller très bien.
- Si, si » dis-je.
Je récupérai mes bagages et m’installai dans la même chambre. La fenêtre donnait toujours sur les locaux de cette énigmatique compagnie. Je n’y vis pas la silhouette de la fille aux gros seins, mais deux employés qui travaillaient à leur bureau en fumant. L’un lisait des chiffres que l’autre reportait sur un immense graphique en traçant une ligne brisée à la règle. Ce n’était plus du tout la même compagnie, eût-on dit, sans doute à cause de l’absence de la fille aux gros seins. Rien n’était identique, sinon que je ne savais toujours pas à quoi l’on s’y occupait. À six heures, les employés partirent et l’immeuble fût plongé dans l’obscurité. »

 

quelques autres citations du livre :

« L’histoire de Jûnitaki était encore longue, mais celle du jeune Aïnou s’arrêtait ici. J’allai aux toilettes, où j’urinai le contenu de deux boites de bières. »

 

«Mais il y avait rangés à l'intérieur de ces cinq doigts et de cette paume comme dans une mallette d'échantillon, tout ce que je voulais et tout ce que je devais savoir de la vie. C'est elle qui m'apprit, en me prenant la main, qu'il existait bel et bien un lieu de plénitude au cœur même de la réalité."

 

Et il y en a encore plein d'autres, qui vous laissent figé dans des abîmes d'émotion, et je ne vous ai pas cité les dernières phrases du livre ...

20/04/2019

le seul commentaire non insignifiant

sous cette très belle vidéo :

https://ru-clip.net/video/a4SKrGYMp7A/j-s-bach-motet-bwv-227-39-jesu-meine-freude-39-vocalconsort-berlin-hd.html

a été posté par "Anonyme Anonyme", qui a dit :

This song makes me feel extremely depressed. I'll never be touched by the Grace of God.

pari de Pascal - Un texte incontournable qu’il faut connaître, et sur lequel il faut se positionner et méditer, SERIEUSEMENT, pas seulement comme un texte littéraire

"Penser à Dieu est une action"
(Joubert)

Pascal – le pari

- Examinons donc ce point, et disons : « Dieu est, ou il n'est pas. » Mais de quel côté pencherons-nous ? La raison n'y peut rien déterminer : il y a un chaos infini qui nous sépare. Il se joue un jeu, à l'extrémité de cette distance infinie, où il arrivera croix ou pile. Que gagerez-vous ? Par raison, vous ne pouvez  faire ni l'un ni l'autre ; par raison, vous ne pouvez défendre nul des deux.

Ne blâmez donc pas de fausseté ceux qui ont pris un choix ; car vous n'en savez rien.

- « Non ; mais je les blâmerai d'avoir fait, non ce choix, mais un choix ; car, encore que celui qui prend croix et l'autre soient en pareille faute, ils sont tous deux en faute : le juste est de ne point parier »

- Oui ; mais il faut parier. Cela n'est pas volontaire, vous êtes embarqué. Lequel prendrez-vous donc ? Voyons. Puisqu'il faut choisir, voyons ce qui vous intéresse le moins. Vous avez deux choses à perdre : le vrai et le bien, et deux choses à engager :

votre raison et votre volonté, votre connaissance et votre béatitude ; et votre nature a deux choses à fuir : l'erreur et la misère.

Votre raison n'est pas plus blessée, en choisissant l'un que l'autre, puisqu'il faut nécessairement choisir. Voilà un point vidé. Mais votre béatitude ? Pesons le gain et la perte, en prenant croix que Dieu est. Estimons ces deux cas : si vous gagnez, vous  gagnez tout ; si vous perdez, vous ne perdez rien. Gagez donc qu'il est, sans hésiter.

- « Cela est admirable. Oui, il faut gager ; mais je gage peut-être trop. »

- Voyons. puisqu'il y a pareil hasard de gain et de perte, si vous n'aviez qu'à gagner deux vies pour une, vous pourriez encore gagner ; mais s'il y en avait trois à gagner, il faudrait encore jouer  (puisque vous êtes dans la nécessité de jouer), et vous seriez imprudent, lorsque vous êtes forcé de jouer, de ne pas hasarder votre vie pour en gagner trois, à un jeu où il y a pareil hasard de perte et de gain. Mais il y a une éternité de vie et de bonheur. Et cela étant, quand il aurait une infinité de hasards, dont un seul serait pour vous, vous auriez encore raison de gager un pour avoir deux ; et vous agiriez de mauvais sens, en étant obligé à jouer, de refuser de jouer une vie contre trois à un jeu où d'une infinité de hasards il y en a un pour vous, s'il y avait une infinité de vie infiniment heureuse à gagner. Mais il y a ici une infinité de vie infiniment heureuse à gagner, un hasard de gain contre un nombre fini de hasards de perte, et ce que vous jouez est fini. Cela ôte tout parti : partout où est l'infini, et où il n'y a pas infinité de hasards de perte contre celui du gain, il n'y a point à balancer, il faut tout donner. Et ainsi, quand on est forcé à jouer, il faut  renoncer à la raison pour garder la vie, plutôt que de la hasarder  pour le gain infini aussi prêt à arriver que la perte du néant.

Car il ne sert de rien de dire qu'il est incertain si on gagnera,

et qu'il est certain qu'on hasarde, et que l'infinie distance qui est entre la certitude de ce qu'on s'expose, et l'incertitude de ce qu'on gagnera, égale le bien fini, qu'on expose certainement à l'infini, qui est incertain. Cela n'est pas ; aussi tout joueur

hasarde avec certitude pour gagner avec incertitude ; et néanmoins il hasarde certainement le fini pour gagner incertainement le fini, sans pécher contre la raison. Il n'y a pas infinité de distance entre cette certitude de ce qu'on s'expose et l'incertitude du gain ; cela est faux. Il y a, à la vérité, infinité entre la certitude

de gagner et la certitude de perdre. Mais l'incertitude de gagner est proportionnée à la certitude de ce qu'on hasarde, selon la proportion des hasards de gain et de perte. Et de là vient que, s'il y a autant de hasards d'un côté que de l'autre, le parti est à

jouer égal contre égal ; et alors la certitude de ce qu'on s'expose est égale à l'incertitude du gain : tant s'en faut qu'elle en soit infiniment distante. Et ainsi, notre proposition est dans un force infinie, quand il y a le fini à hasarder à un jeu où il y a pareils hasards de gain que de perte, et l'infini à gagner. Cela est

démonstratif ; et si les hommes sont capables de quelque vérité, celle-là l'est.

« Je le confesse, je l'avoue. Mais encore n'y a-t-il point moyen de voir le dessous du jeu ? » 

- Oui : l'Ecriture, et le reste, etc.  (de nos jours j'ajouterait Rupert sheldrake, les récits de NDE ouhttp://monblog.ch/letrehumain/?story=l-adn-fantome-et-rea...

- « Oui ; mais j'ai les mains liées et la bouche fermée ; on me force à parier, et je ne suis pas en liberté ; on ne me relâche pas. Et je suis fait d'une telle sorte que je ne puis croire. Que voulez-vous donc que je fasse ? « - Il est vrai. Mais apprenez au moins que votre impuissance à croire, puisque la raison vous y porte, et que néanmoins vous ne le pouvez, vient de vos passions. Travaillez donc, non pas à vous convaincre par l'argumentation des preuves de Dieu, mais par la diminution de vos passions. Vous voulez aller à la foi, et vous n'en savez pas le chemin ; vous voulez vous guérir de l'infidélité, et vous en demandez les remèdes : apprenez de ceux qui ont été liés comme vous, et qui parient maintenant tout leur bien ; ce sont gens qui savent ce chemin que vous voudriez suivre, et guéris d'un mal dont vous voulez guérir. Suivez la manière par où ils ont commencé : c'est en faisant tout comme s'ils croyaient, en prenant l'eau bénite, en faisant dire des messes, etc. Naturellement même cela vous fera croire et vous abêtira.

« Mais c'est ce que je crains. »

- Et pourquoi ? qu'avez-vous à perdre ?...

Mais, pour vous montrer que cela y mène, c'est que cela diminue les passions, qui sont vos grands obstacles

Fin de ce discours. - Or, quel mal vous arrivera-t-il en prenant ce parti ? Vous serez fidèle, honnête, humble, reconnaissant, bienfaisant, ami sincère, véritable. A la vérité, vous ne serez point dans les plaisirs empestés, dans la gloire, dans les délices ; mais n'en aurez-vous point d'autres ? Je vous dis que vous y gagnerez en cette vie, et que, à chaque pas que vous ferez dans ce chemin, vous verrez tant de certitude du gain, et tant du néant de ce que vous hasardez, que vous connaîtrez à la fin que vous avez parié pour une chose certaine, infinie, pour laquelle vos n'avez rien donné.

plus en détail http://www.penseesdepascal.fr/II/II1-moderne.php

 

Quelques réflexions en passant :

- Vu comment il est présenté, la foi parait y être par intérêt , mais ça peut étre considéré comme un début de cheminement.

- moi-même on peut dire que j’ai fait le pari de Pascal vers 1970, après avoir découvert la philo. Bon par la suite ça n’a rien changé, mais ces années-là si, et un parcours n’est pas l’autre.

 

" . . . Terura ligo; vagas en nebulo
Unikaj homoj en mistero sama »
      (Marjorie Boulton)

 Un conte Socratique : Dans le ventre de la mère, deux bébés discutent. L’un est croyant, l’autre non.

- Bébé-Athée (BA): Eh toi, tu crois à la vie après l’accouchement ?
- Bébé-Croyant (BC): Bien sûr. C’est évident que la vie après l’accouchement existe. Et nous sommes juste ici pour devenir forts et prêts pour ce qui nous attend après.
- BA : Tout ça c’est insensé. Il n’y a rien après l’accouchement. Est-ce que tu peux t’imaginer toi, à quoi une telle vie pourrait ressembler ?

 - BC : Eh bien, je ne connais pas tous les détails. Mais là-bas il y aura beaucoup de lumière, beaucoup de joie. Et par exemple là-bas on va manger avec notre bouche.

- BA : Mais c’est du n’importe quoi ! Nous avons notre cordon ombilical et c’est ça qui nous nourrit. Et de cette autre vie, il n’y a encore eu aucun revenant. La vie se termine tout simplement par l’accouchement.
- BC : Non ! Je ne sais pas exactement à quoi cette vie après l’accouchement va ressembler mais dans tous les cas nous verrons notre maman et elle prendra soin de nous.

 - BA : Maman ? Tu crois en maman !? Et où se trouve-t-elle ?

- BC : Mais elle est partout ! Elle est autour de nous ! Grâce à elle nous vivons, et sans elle nous ne sommes rien. Elle veille sur nous à chaque instant.
- BA : C’est absurde ! Tu l’as déjà vue toi ? Moi non ! C’est donc évident qu’elle n’existe pas. Et puis, si elle existait vraiment, pourquoi ne se manifeste-t-elle pas ?

 - BC : Eh bien, je ne suis pas d’accord. Car, parfois lorsque tout devient calme, on peut entendre quand elle chante… sentir quand elle caresse notre monde… Je suis certain que notre Vraie vie ne commence qu’après l’accouchement.

 

 Appliquer la philosophie à la vie quotidienne, c’est sortir de l’amnésie. (et c'est valable pour toutes les philosophies, le marxisme par exemple ça serait vachement utile ! )

une page face de bouc notez le lien suivez-là régulièrement, et elle n'est pas sans rapport avec la Pâque, et avec le sujet dont on parle :

https://www.facebook.com/groups/actiondeTOUSpourGiuseppe/

 

 (Mais comment faire le pari de Pascal, ou même seulement y réfléchir sérieusement, sans se retrouver intellectuellement (et peut-être socialement) au banc de la société ! tellement Il est certes permis de nos jours d'adhérer à la religion ou à la philosophie de son choix, mais à la condition, tacite, de ne pas y croire vraiment !  )

 

 

 

13/04/2019

Breaking the waves - un sublime conte philosophique

J'en ai acheté la vidéo, c'est un film non seulement très émouvant mais à revoir et à méditer. (Et en ce temps de Carême approchant de la Passion c'est tout indiqué)

cette communauté (les gens de l'île d'Ecosse où ça se passe) permet je trouve de comprendre le lien entre le protestantisme calviniste et le libéral-fascisme actuel britannique, Bushiste et autre.

http://lesakerfrancophone.fr/le-calvinisme-les-fondations...

De ce point de vue beaucoup de traits de propos et d'incidents méritent d'être analysés pour y reconnaître la généalogie de la perversion sociale de ce type. (Et qui est pour une large part sous une version religieuse la matrice de ses avatars laïcs actuels et de la société moderne où nous vivons, y compris en dehors de cette culture, qui est en train de répandre son influence sur le monde entier )
A l'opposé Bess est la personnification de l'appel de Rolando Toro qu'il "faut être excessif en tout ce qui est excellent, l'amour, l'amitié ..."


Ce film (qui à l'époque avait excité la critique, émoustillée à cause de ses quelques scènes "sexuelles"!) est surtout et d'abord une condamnation implacable (et méritée) de l'immonde mentalité de la société anglo-saxonne et étatsunienne, les gens qui ont fait cette société, y compris telle qu'elle est actuellement ce sont des gens comme ça. Et ensuite c'est un sublime conte philosophique sur le pur amour, l'histoire d'une sainte et martyre, la seule de tous ces villageois qui ne sera pas damnée

09/04/2019

règle

Devant toute idée, il faut se demander quelles sont ou étaient les conditions de vie de celui qui l'a conçue.

(RP)

03/04/2019

l'émancipation des travailleurs ne pourra être l'oeuvre que des travailleurs eux-mêmes



Par Joël Perichaud, Secrétaire national aux relations internationales du Parti de la démondialisation.


Le 18 mars 2019


Chers « amis » de « gôche », vous qui avez voté Macron il y a un peu moins de deux ans « pour éviter le pire » et qui aujourd’hui crachez sans retenue sur les GJ que vous condamnez au nom de la « violence », de « l’antisémitisme » ou de toute autre calomnie à la mode...Nous ne vous oublions pas !


« Chers » car vous nous faites payer cher votre raisonnement stupide.


« Gôche » car c’est au nom de votre aveuglement, de votre vacuité intellectuelle, que vous perpétrez des politiques néolibérales que vous qualifiez de « gôche ». Macron était votre idole aux élections et vous avez largement contribué à l’élire...avec moins de 20% du corps électoral…C’est dire si votre voix compte ! 


Vous n’aviez pas prévu la destruction du code du travail ?


Vous n’aviez pas prévu Benalla ?


Vous n’aviez pas prévu les politiques en direction exclusive des riches ?


Vous n’aviez pas prévu la répression des chômeurs ?


Vous n’aviez pas prévu la casse des services publics ?


Vous n’aviez pas prévu la répression sanglante des manifestations ?


Vous n’aviez pas prévu la « loi anti-casseur » c’est à dire l’atteinte au droit de manifester ?


Vous n’aviez pas prévu le pacte de Marrakech ?


Vous n’aviez pas prévu le traité d’Aix la Chapelle ?


Vous n’aviez pas prévu l’augmentation des tarifs de l’EDF ?


Vous n’aviez pas prévu l’augmentation du gasoil ?


Etc.


Bref, non seulement vous n’aviez rien prévu, alors que, avec un minimum d’analyse, tout était prévisible...mais vous avez entrainé le peuple dans votre hallucinante galère.


Vous ne vous sentez pas méprisables ?...C’est normal, vous êtes de « gôche »...donc les « amis » du peuple...heureusement que vous l’éclairez, car sans vous, il ne comprendrait rien.


Malheureusement pour vous et vos élus félons, le peuple a compris...Très bien même. Pendant que vous participez au « grand débat », grand enfumage de Jupiter, le peuple est dans la rue, sans faiblir, depuis le 17 novembre.


Alors vous revenez au secours de votre idole : vous justifiez les violences policières par la « violence » des gilets jaunes, justifiant au passage la violence capitaliste.


Vous qualifiez les Gilets jaunes racistes, de xénophobes, de suppôts de l’extrême droite, de fascisants, de racistes et maintenant d’antisémites. Il est vrai que cela vous permet de défiler avec la cour de Macron-le-petit et d’être sur la photo. C’est logique, après tant d’erreurs, de contradictions de renoncements et de bassesses, la lumière médiatique vous manque.


Mais vous ne reconnaîtrez jamais vos erreurs. Pour tenter de survivre, et au passage empêcher les autres d’exister, vous persistez. Votre haine du peuple n’a de commun que la hargne de vos semblables il y a 150 ans contre les communards qualifiés de « racaille ». Vous détestez « Ceux d’en bas »...Nous, nous l’appelons le peuple !


Vous commentez et jugez pourtant le monde que vous ignorez avec une morgue et une suffisance à toute épreuve. Vous n’aimez, dans la démocratie, que ce qui vous permet de débattre entre vous (le petit doigt en l’air), de décider pour tous, de défendre vos privilèges qui accablent le « petit ». Vous adorez l’Union européenne car, c’est votre instrument, votre baguette magique...elle réalise tous vos souhaits. Mais pas assez vite. C’est pourquoi vous êtes êtes au bord de l’extase quand votre maître dit qu’il en faut plus.


Vous êtes l’antithèse de l’aspiration portée par les GJ. Vous aspirez à un pouvoir autoritaire, capable d’écraser toute contestation, capable de faire taire toute réelle opposition. La « gôche » est à sa vraie place avec Macron.


Mais prenez garde, c’est une lame de fond sans précédent qui est en train de se former. Elle emportera tout ce qui se met en travers de sa route pour remplir les poubelles de l’histoire… 


Bon voyage...


 


Poubelle de l'histoire pour y mettre la



https://www.revolutionpermanente.fr/800-personnes-et-une-ambiance-electrique-a-la-soiree-Fin-du-grand-debat-debut-du-grand-debarras