05/04/2023
aimer acceuillir
Il va y avoir une espèce de justice immanente : les peuples occidentaux qui à force de puritanisme bien-pensant, de bourgeoisisme, d’égoïsme, (et https://blogs.mediapart.fr/patrick-cahez/blog/140520/et-e...) etc, ne se reproduiront plus (sauf de manière commercialisée par PMA), et disparaîtront, tandis que resteront seuls les peuples qui ont encore gardé le goût de l’amour et de la famille.
à *****-********* on a transformé (c’est représentatif ! Comme dans une autre rue, sur *****, les locaux d’une entreprise qui a mis la clé sous la porte, qui vont servir à bâtir une "résidence pour personnes âgées" !) les bâtiments de l’école en «annexe de la mairie » (comme si la mairie d'une si petite banlieue avait besoin d’une annexe ) ça montre qu’il n’y a plus d’enfants en France. Comme j’ai dit il y a une justice immanente: seuls survivront les peuples qui ont gardé le sens de l’amour, de l’accueil, de la vie, et de la famille. Les peuples de « bourges » égoïstes, « politiquement corrects », soucieux de leurs carrières, et des normes sociales de la DDASS, disparaîtront.
et maintenant il y a un autre problème, question justice immanente : les sales collabos nazis, qui se font dûment vacciner car ils croient bien décemment en tout ce que dit "Notre Très Sainte Mère l'Eglise", non, pardon not' bon Fuehrer Herr Veran, seront incapables de se reproduire, et même si ils ont des enfants ce seront des être au sang plein d'oxyde de graphène et aux défenses naturelles affaiblies, etc, lisez les scientifiques qui nous alertent là-dessus ! et donc les prochaines générations seront faites de ceux engendrés par les NON-VACCINES ! Bon signe : génocide des crétins et des larves soumises et haineuses, et leur remplacement par des gens humains et qui n'ont pas de télé mais ont un cerveau !
Et les marchands ne s'y trompent pas : lisez-ça ! Dans les banques de sperme le prix du sperme de non-vacciné a monté en flèche, de 21.000% !
Luc Montagnier a dit avant de mourir : "les non-vaccinés seront les gardiens de l'humanité"
23/03/2023
voilà comment devraient être les portes de toutes les églises
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c'est à dire ouvertes !
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19/03/2023
savez-vous qui appelait les cardinaux "les ennemis de la foi" et "les sangsues du peuple chrétien" ? on l'a forcé à "démissionner" et on l'a tué !
le pape Célestin V - lui aussi ! - a été caricaturé et sa vraie figure soigneusement oblitérée ....
" L'histoire humaine n'est rien d'autre que l'histoire de la lutte des classes " avait dit Marx. Et il avait raison. Y compris dans l'Église, regardez la mort de Célestin V, de Adrien VI, de Marcel II
14/03/2023
Florian pour la dignité humaine
on peut déplacer des montagnes si on est ensembles. Alors assez des collabos au covidisme, un peu de jugeotte quand-même ! et de courage !
Florian Philippot est depuis trois ans la seule lumière d'humanisme, et le seul défenseur du peuple qu'il y ai dans le monde politique français.
Et le seul à s'attaquer aux puissance d'argent et à demander des nationalisations.
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01/03/2023
le vrai choc des civilisations
passage que Gilbert Ganne consacrait aux wagons de 3ème classe dans « Pour ou contre les valeurs bourgeoise » (écrit sans doute en 1967) les éditeurs de la collection avaient choisi paradoxalement Georges Hourdin (la Vie Catholique, hebdo de gauche) pour rédiger la partie "pour les valeursbourgeoises" et Gilbert Ganne (l’Aurore journal de droite) la partie "contre les valeurs bourgeoise" !
Ce livre est devenu introuvable, mais il est historiquement important sous plus d’un aspect.
je l'ai recopié cet après-midi, le fichier je l'ai classé dans « la vraie vie ».
In Gilbert Ganne (1919-2010) « Contre les valeurs bourgeoises » Berger-Levrault Nancy 1967, pages 9 et 10
Lorsque j’étais adolescent, il y avait trois classes dans les chemins de fer. Les secondes étaient par excellence, le domaine des bourgeois moyens ; on les reconnaissait facilement à leur mine constipée. Dans ces compartiments aux places louées, il régnait une atmosphère compassée et parfaitement ennuyeuse, bien différente de celle des troisièmes où la conversation s’engageait aussitôt entre compagnons de voyage Cela débutait par des sourires adressés aux enfants, par des réflexions sur le temps ou la longueur du trajet. A midi, on déballait joyeusement les provisions et, si quelqu’un se trouvait démuni, jamais l’on n’entamait le repas sans lui offrir quelque chose. Si bien que je négligeais toujours les vivres dont la mère voulait me charger, persuadé que j‘étais de trouver ce qu’il me faudrait dans le train. Ce n’était point de ma part, réflexe de malin mais souci de simplification ; j’avais déjà compris que les questions pratiques, pour lesquelles j’ai peu de goût, se résolvent d’elles-mêmes, par le plaisir que prennent les autres à les résoudre. Cette façon de partager, mon acceptation sans arrière-pensée, et d’autant plus franche que souvent les produits offerts venaient directement de la ferme ou avaient été amoureusement mijotés, les compliments que j’en faisais, rendaient mes vis-à-vis très heureux et contribuaient à faire régner, durant tout le parcours, un climat d’harmonie fraternelle.
Il est possible qu’aujourd’hui cette simplicité ait disparue en même temps que les troisièmes. Toujours par soucis de simplification, je vais maintenant au wagon-restaurant où les gens se regardent mastiquer sans s’adresser la parole. Engager la conversation, à plus forte raison offrir un verre, vous ferait passer pour un malotru. C’est décidément assez triste et, pour tout dire, c’est bourgeois. Sans doute peut-on constater encore une humeur différente dans les compartiments de congés-payés – mais pour combien de temps ?
……………..
mais plutôt de la générosité, qui n’existe vraiment que chez les pauvres ; cesser d’être pauvre, c’est aussi cesser d’aimer son prochain. L’époque actuelle nous montre que, plus les pays sont prospères, plus le geste gratuit y est rare.
voila ! le vrai choc des civilisations c'est celui-là
(les récents évènements montrent que les français sont tous devenus des bourgeois SOUMIS, délateurs, fascistes, et qui trouvent tout ça normal !! à vomir !!)
26/02/2023
de cette bouche où mon cœur se noya
« La maladie et la mort font des cendres
De tout le feu qui pour nous flamboya,
De ces grands yeux si fervents et si tendres,
De cette bouche où mon cœur se noya... »
BEAUDELAIRE
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19/02/2023
Viroj kaj virinoj - la diferenco, jen la
TIKLEMUL’ KAJ GRUMBLULIN’
far GOTAINER
Plenridet’ kaj okulumad’
Ludhumur’ kaj ĉiam ŝercem’ :
Li la tiklemulo !
Paŭtanta pro ĉia ajn kaŭz’
Kritikemeca la humur’ :
Ŝi la grumblulino !
Tiklemul’ kaj Grumblulin’ !
Li bonule promenadis
Aŭ svingbrake aŭ man’ en poŝ’
Lia harpia karulin’
Sekvadis kun mallaŭda vip’.
Senripoze aŭdiĝis
Ŝia grumbl-argumentaĉad’
Li respondis per mokaĵoj
Li rebatis per ironi’.
Tiklemul’ incitetis
Kaj grumblis la grumblulin’
Grumblulin’ paŭtis, sed
Pri tio Tiklemul’ fajfis,
Tiklemul’ incitetis
Kaj grumblis la grumblulin’
Grumblulin’ paŭtis, sed
Pri tio Tiklemul’ furzis.
Laŭtempe li poetis,
Li babilis pri papili’;
Ts ! al ŝi estis kapdolor’.
Ts ! aŭskultu al l’televid’.
“ Mutu ja! ĉu vi frenezas ?
Infano vi estas ne plu !
Dum vi staras sidiĝu nu !
Piedviŝu, restu pura l’plank’ ! “
Tiklemul’ incitetis
Kaj grumblis la grumblulin’
Grumblulin’ paŭtis, sed
Pri tio Tiklemul’ fajfis,
Tiklemul’ incitetis
Kaj grumblis la grumblulin’
Grumblulin’ paŭtis, sed
Pri tio Tiklemul’ furzis.
Li fajfis „kristal-perloj“, dum
Pilolojn glutadis ŝi
« Vidu l’stelon ! », ekkriis li,
« Metu ŝalon » respondis ŝi.
Ŝi ne ŝvebis pli alte ol
Sia plejalta frizilo.
Dum li kuŝe sur sia dors’
Revis pri mil-unu noktoj.
Ĥĥĥĥ
Ĥgrrrrm !
Ŝi : la grumblulino !
Plenridet’ kaj okulumad’
Ludhumur’ kaj ĉiam ŝercem’ :
Li la tiklemulo !
Tiklemul’ incitetis
Kaj grumblis la grumblulin’
Grumblulin’ paŭtis, sed
Pri tio Tiklemul’ fajfis,
Tiklemul’ incitetis
Kaj grumblis la grumblulin’
Grumblulin’ paŭtis, sed
Pri tio Tiklemul’ furzis.
(refoje)
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17/02/2023
ceux qui se radicalisent en vieillisant
comme Susan George, j'"apprécie beaucoup les gens qui se radicalisent en vieillissant" (à l'inverse de ce que font couramment tant de gens!!! tant d'autres gens, qui sont autant de nauséeux contre-exemples, je ne citerai pas de noms ! rien que ça, ça peut constituer un argument à la faveur de cette opinion).
Si les pays impérialistes comme la France ont pu maintenir pendant quelques décennies un relatif confort de vie à ses esclaves salariés, ainsi qu’une mascarade de «démocratie», cette période est définitivement révolue. Chaque jour, ce système apparaît de plus en plus sous son véritable visage, entièrement dévoué aux intérêts d’une minorité de parasites au détriment des besoins, de la vie et de la santé de tous.
14/02/2023
mort des vieux
Un couple de personnes âgées, un homme de 78 ans et une femme de 74 ans, a été retrouvé mort dimanche 12 janvier 2014 au soir à son domicile, étendu sur le lit de la chambre à coucher de la maison d’habitation sur la commune de Corrèze, dans le département de la Corrèze.
Un fusil de chasse est à leur côté. C'est leur fille qui les a trouvés et qui a donné l'alerte.
Le procureur de la République a saisi le groupement de gendarmerie « affaire criminelle ». Décrire en termes administratif glacés ce destin humain apparaît surréaliste....
«Apparemment, le mari aurait tué sa femme et se serait donné la mort». Il y aurait un homicide suivi d’un suicide.
Des constatations précises de la police scientifique et technique indiquent une blessure à la nuque pour la femme et une blessure à la bouche pour l’homme, toutes deux causées par une arme à feu.
«Une enquête de voisinage et des témoignages révèlent que l’homme avait un caractère dépressif, [c'est à dire lucide ...] mais que rien ne laissait présager un tel acte. ».
L’arme de calibre 16 est un fusil de chasse, qui appartenait à la famille. Elle aurait été rechargée après le premier tir. La femme aurait pu être tuée dans son sommeil.
Le couple vivait seul, dans une maison isolée. Le dernier contact téléphonique, le même jour, avec la famille, n’a rien laissé transparaître. Pourtant plus tard, d’autres appels resteront sans réponse. Voilà pourquoi leur fille se serait déplacée. Une autopsie sera réalisée certainement aujourd’hui, à Limoges. La chronologie n’a pas été établie.
Etc,etc
choses qui ne sont plus » (MONTAIGNE)
06/02/2023
moi
quelques citations, qui parlent de moi ...
« C’étaient les injustices, les humiliations, les inégalités de toutes sortes qui me révoltaient. J’y réagissais violemment, comme si elles me touchaient personnellement. Je ne supporte pas de voir quelqu’un humilié ou injustement traité » (Maxim Gorki)
« Je gage que rien ne serait plus bénéfique…que chaque homme fit, comme il fait des études, assez longtemps l’expérience de la misère, et cela, dans la solitude érigée par le monde autour de lui. » (Hector Bianchotti)
« Nous sommes de ceux qui posent les questions jusqu’au bout ; Jusqu’à ce qu’il ne reste plus la plus petite chance d’espoir vivante. » (Jean Anhouil)
« Donc ce que j’ai voulu, Seigneur, n’existe pas. » (Alfred de Vigny)
« Trois passions simples ont gouverné ma vie : le besoin d’amour, la soif de connaissance et une douloureuse communion avec tous ceux qui souffrent. » (Bertrand Russell)
« Je n’habite pas la société, j’habite le monde. » (Atiq Rahimi)
"Moi, j'aime à lire comme une poule boit, en relevant fréquemment la tête pour faire couler." |
Renard |
“il aimait surtout ce qu’il n’était pas obligé de connaître et ce que les autres ne connaissaient pas, ce qui était à côté, ce qui était en marge » |
Paul Hazard parlant de LESSING |
« Sa nature sensible, généreuse et spontanée l’exposa plus qu’un autre peut-être à ressentir les mesquineries et les cruautés de l’existence. » (préfacier de Shen-Fu) |
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« Et pleurer de regret, d’attente et de détresse, |
Regnier (Henri de) |
« …à qui autre chose que rêver sembla toujours impossible. » |
Simone (Madame) = Pauline Benda |
« Ne me touches pas, ne me demandes rien, ne me dis rien, reste avec moi ! » |
Beckett (Samuel) |
« Et tel un orphelin pauvre sans sœur aînée. » |
Verlaine (Paul) |
« Pour me guérir, c’est simple. Il suffit de rendre la vie à un mort. »
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Giraudoux (Jean) |
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Il avait pris l’habitude de ne plus répondre |
Norge (Géo) |
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" Un peu de douceur me guérirait, mais je sais que c'est demander beaucoup" (Henry de Montherlant)
« La tristesse, le remords, l’inquiétude et les désirs inassouvis sont là, suspendus quelque part au-dessus de lui. Liang n’ose pas bouger. Un geste ou un mouvement de l’esprit auraient déclenché l’agression de ces sentiments cruels qui le bombarderaient. » (Ya Ding)
« Il y a l’infini entre ce que je suis, et ce que j’ai besoin d’être.
Que m’importe ce qui peut finir ? L’heure qui arrivera dans soixante années est l à tout près de moi. J n’aime point ce qui se prépare, s’approche, arrive … et n’est plus. Je veux un bien, un rêve, une espérance enfin qui soit toujours devant moi, au-delà de moi, plus grande que mon attente elle-même. (Senancourt)
« Qu’importe le soleil ? Je n’attends rien des jours. |
Lamartine (Alphonse de) |
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« Se saouler la gueule, se sentir seul, se branler. » |
Upamany Chatterjee |
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« Ce qui sauve c’est de faire un pas, encore un pas, c’est toujours le même pas qu’on fait. » (Guillaumet)
« Je souffrais trop, et ma situation était par trop désespérée. Pour avoir le courage de marcher, je ne devais pas la considérer. » |
Guillaumet |
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« Les autres soirs où il errait merveilleusement seul, proposant voluptueusement ses idées aux murs qui les renvoyaient une fois en écho, puis les faisaient disparaître à jamais. Toute sa vie, il avait écrit des livres sur l’air des vastes bâtiments et il avait tout laissé s’envoler. » |
Bradbury (Ray) |
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"Je ne suis pas inconstant, mais divisé. Je reste fidèle aux choses les plus opposées." |
Thibon (Gustave) |
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« Je ne veux pas mourir, non, je ne le veux pas, ni ne veux le vouloir; je veux vivre toujours, toujours; et vivre moi, ce pauvre moi que je suis et que je me sens être aujourd’hui et ici, et c’est pour cela que me torture le problème de la durée de mon âme, de la mienne propre.” (Miguel de Unamuno)
"Car je crois que seul vit véritablement celui qui vit son destin comme un mystère." (Stefan Zweig)
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