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27/08/2016

la différence entre les hommes et les femmes c'est ça

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21/08/2016

les nuages et le libéral-fascisme

Les nuages, ça doit mettre les européistes, les capitalistes, les nouveaux "calotins" et tous ce genre de gens en rage ! ils doivent très fort regretter de ne pouvoir les supprimer, ils vont certainement plancher là-dessus. Pensez ! les nuages se déplacent librement, et en plus ils prennent la forme qu’ils veulent ! scandaleux ! anti-hygiénique ! c’est une "violence" ça ! et puis ils  ne sont pas brevetés : inadmissible ! insensé ! ils ne sont pas sous copyright ni l’objet de  "propriété intellectuelle", c’est un scandale ! c’est du "terrorisme" !  c’est dommage de ne pas pouvoir les tazer. Et on n’a pas encore réussi à les privatiser et à en faire un marché : c’est une lacune insupportable et criminelle !

Et, donc ils ne sont pas soumis aux normes européennes ! et même, y échapperaient à chaque instant, inacceptable ! à proscrire, il y a même des gens qui les regardent, et avec plaisir en plus : une conduite « addictive » ! une « dépendance ». Au moins on va pouvoir les mettre en prison eux, « pour des raisons de sécurité » bien sûr. Je sens que faute de mieux ils vont bientôt voter une loi là-dessus , en commençant par les automobilistes …...

(et tout c'est n'est pas de la fiction ! dans la réalité il y a par exemple ça : https://sites.google.com/site/grandprixubu2009/ )

22/07/2016

la possession d'un chat est une éducation à la morale

La « possession » d'un chat est une éducation morale : elle vous habitue à être heureux de voir le bonheur d'autrui, même (et surtout) si on ne jouit pas du tout d'une vie aussi béate

26/05/2016

"ce que j'ai exprimé, des millions de personnes en France le pensent de la même façon"


 ce laurent Lafforgue, "prix nobel" (médaille Fields) de maths

son message est vraiment paradigmatique un pilier à garder et à diffuser.


moi aussi je suis persuadé que de transmettre la connaissance (intime, avec analyses, dissertations appliquées aux problèmes du monde, récitations mémorisées à vie, etc) des classiques, des langues, des sciences (y compris la cosmologie et la botanique, la botanique était déjà disparue de mon temps mais la cosmologie était toujours au programme, l'est-elle encore ?), et l'histoire bien sûr, c'est vital.

Comme lui je suis aussi effaré devant l'évolution du contenu des programmes ! en effet il y a de quoi pleurer, c'est un vrai suicide !
"je pensais que ce qui se passait était tellement absurde, qu'il suffirait de prononcer quelque phrases de bon sens pour que tout le monde se mette d'accord"
"pas plus qu'à l'école privée sous contrat qui a suivi le même chemin (et l'école hors contrat ? je serais curieux de le savoir. parfois on reçois des demande de dons pour les aider, j'aimerais savoir si ça vaut le coup)

Ce n'est pas une question de nostalgie comme le prétend le rapporteur typique de l'attitude des maîtres manipulateurs de la société actuelle  mais une question de bon sens.

Après sa déclaration il y a des questions, connes et vicieuses comme il fallait s'y attendre, le rapporteur y va bien sûr de ses armes de destruction massive : "réactionnaire" (et allez ! le fameux chantage cf la vidéo de Gille Ardinat !) les "valeurs de la République" (lesquelles ? il faudrait préciser aussi là ...) sur la "laïcité" où Lafforgue le reclaque tout de suite en disant qu'on se sert beaucoup du mot "laïcité" sans définir ce qu'on entend par là ! - en effet !!
"on acquiert l'esprit critique en étant confronté à des pensées riches"
absolument !! c'est ce que l'école actuelle oublie (et les politiques ces larbins beu-beus qui prennent les français pour des beu-beus dressés par des réflexes pavloviens !)

" le critère principal doit être la qualité de ce qu'on transmet, pas l'adhésion à telle ou telle valeur dictée" - "et on accepte le risque que la génération suivante en fasse un usage qu'on n'aura pas prévu." "c'est ça le profond respect des personnes" (chose qui manque totalement aux bien-pensants qui sont au pouvoir actuellement !!)
et on voit que sa conception de la laïcité n'a rien, mais alors rien à voir avec les obsessions affligeantes d'intolérance  et de mesquinerie qu'on en fait actuellement !!
et toc ! il refuse que les gens soient obligés de "se mettre au garde-à-vous chaque fois qu'ils entendent le mot "laïcité" !" - Et  schklak !
"un savoir riche, un savoir stimulant" (pas comme dans les "la Cité de" ceci ou cela qui transforment le savoir en gadget touristique ! et l'école en agence de voyage) "mes parents ont appris à aimer le savoir, parce qu'on leur a donné un savoir qui méritait d'être aimé" - tac ! bravo !
"ce que j'ai exprimé, des millions de personnes en France le pensent de la même façon" en effet j'en suis persuadé
et son appel au mensonge est noble, c'est celui de la "résistance civile" de ceux qui "gardent la lumière et le feu", comme disait Robert Desnos.
"cet amour du savoir, cette valeur donnée au savoir, elle n'est plus supportée par l'institution (ce qui est en passant l'air de rien une condamnation cinglante de celle-ci !!! s'en rendent-ils les notables qui l'écoutent ?) mais existe chez les personnes, grâce aux héritages familiaux (c'est le cas de beaucoup d'autres choses actuellement !)
- De nos jours les étrangers sont plus conscients que les français de l'importance et de la richesse de la culture française !
Les ouvriers d'il y a une génération s'ils entendaient comment les hommes politiques actuels parlent, y compris les deux dernier présidents de la république (le représentant en aspirateurs casse-toi pov' con, et le pantin !) seraient profondément choqués.

Ah ! il soutient les écoles hors contrat. Il semble donc qu'il y a un espoir de ce côté là.

"leur prise de conscience confrontée à la réalité" c'est quelque chose qui arrive à de plus en plus de gens sur de plus en plus de sujets actuellement (cf le témoignage de l'ex soixante-huitard qui a découvert l'UPR, etc) et à moi aussi, à nous tous devant tout ce qu'on apprend sur la marche actuelle du monde.

 

 

17/12/2015

La Pafklik' ekskluzivece - Varsovia Vento


« Mi ne ŝatas ruliĝi kun vi ne ne ne
en la herbo ridante ne ne ne»

he ! De toutes façons de nos jours il n'y a plus personne qui se roule dans l'herbe ! Il y a 40 ans il y avait encore des enfants qui faisaient ça, dans les Vosges en pente  (de nos jours on le leur interdirait formellement – et on retirerait les enfants de la garde de leurs parents si ceux-ci leur laissaient un jour faire ça - « pour des raisons de sécurité ») Mais maintenant ça n'existe plus jamais, et des adultes encore moins. Le goût de la vie est bien mort et enterré chez les gens. Jamais au grand jamais il ne viendrait à l'idée de personne de faire ça, et quelqu'un à qui viendrait l'idée ne le ferait jamais, par peur.

02/12/2015

de nuit

Normalement la nuit on entend parfois des chiens qui aboient.
Normalement, c'est à dire de nos jours plus jamais.

12/11/2015

tout le bonheur qu'on puisse avoir

« Lumîr, passionnément :

- C’est vrai que tu ne peux te passer de moi ? Dis–le encore ! C’est vrai que tu ne peux te passer de moi ? Pour de bon, Ah ce n’était pas long à dire ! C’est une chose courte mais elle tient tout le bonheur que l’on puisse avoir. »

(Paul Claudel)

30/10/2015

la souffrance

"Dans la souffrance (morale), la tristesse, la nostalgie, on atteint plus la vérité, en général, que dans le bonheur ; dans le bonheur on est souvent futile, et souvent dans un monde de carton-pâte, le monde de la douleur creuse plus profondément et se nourrit de choses essentielles, et est plus conscient, et plus sensible que le bonheur. C’est la source inépuisable de la vérité, et des valeurs. Et aussi du respect d ‘autrui ; le bonheur piétine autrui. La douleur est plus sérieuse et plus authentique. Les moments de tristesse, les vagues de nostalgie, les éclairs d’horreur, sont souvent les seuls moments de valeur humaine."
(R. P.)

14/10/2015

Ce temps est si sévère

En 1855 Théodore de Banville (un homme beaucoup plus sensible que le prétendent les manuels de littérature) semblait avoir déjà prévu quelle serait  l'ambiance de notre sinistre époque !

Ce temps est si sévère
           Qu’on n’ose pas
      Remplir deux fois son verre
           Dans un repas,

      Ni céder à l’ivresse
           De son désir,
      Ni chanter sa maîtresse
           Et le plaisir !

      On croit que, pour paraître
           Rempli d’orgueil,
      Il est distingué d’être
           Toujours en deuil !

      Les topazes, la soie,
           La pourpre et tout,
      Ne font pas une joie
           D’assez bon goût,   

Et les bourgeois que flatte
           Un speech verbeux,
      Ont peur de l’écarlate
           Comme les bœufs !

      O pauvres gens sans flamme,
           Qui, par devoir,
      Mettent, même à leur âme,
           Un habit noir !

      Qu’ils ne puissent plus boire
           Sans déroger,
      C’est bien fait pour leur gloire !
           Mais, cher Roger,

      Nous de qui le cœur aime
           Un doux regard,
      Admirons ce carême
           Comme objet d’art,

      Et restons à notre aise
           Dans le soleil
      Qu’a fait Paul Véronèse
           Aux Dieux pareil !

      Sa lèvre nous embrase !
           Que ces marchands
      Gardent pour eux l’emphase,
           Et nous les chants ! 

Tant que des gens moroses
           Le ciel épris
      Ne mettra pas aux roses
           Un habit gris,

      Tant qu’au dôme où scintillent
           Les firmaments,
      Parmi les saphirs brillent
           Des diamants,

      Tant qu’au bois, où m’accueille
           Un vert sentier,
      Naîtront le chèvrefeuille
           Et l’églantier,

      Tant que sous les dentelles
           Daignent encor
      Nous sourire les belles
           Aux cheveux d’or,

      Tant que le vin de France
           Et les raisins
      Porteront l’espérance
           A nos voisins,

      Gardons la jeune Grâce
           Pour échanson,
      Que jamais rien ne lasse
           Notre chanson      

Et vous que j’accompagne
           Jusqu’au mourir,
      Versez-nous le champagne !
           Laissons courir,

      Avec l’or et la lie
           De sa liqueur,
      L’inconstante folie
           Dans notre cœur.

      Buvons ce flot suave
           Et sans rival,
      Et nous prendrons l’air grave
           Au carnaval !


 (confirmation de l'évolution de notre sinistre époque : les études ont montré que les gens de nos jours rien dte 10 à 20 fois moins souvent qu'en 1930 https://sharknews.fr/2012/09/19/internet-le-refuge-du-rire/3705/

01/10/2015

7-7-2011

Mon petit chat qui se jette sur mon gros chat blanc et l'enlace avec ses deux pattes. Tu as envie d'un papa, hein ! je comprends.
C'est humain . . .

(2) suite : maintenant il ne joue même plus à se battre avec lui, il l'enlace avec ses deux pattes et le lèche sur le crâne. Comme c'est mignon ! (ça montre bien la nature de ce besoin)