Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

24/01/2016

les fascismes des années 20 et 30 n'étaient qu'un premier essai, donc encore grossier et peu adroit .....

http://miiraslimake.over-blog.com/article-6720394.html

23/01/2016

leçon n°1 : différence entre la "démocratie" et le "populisme"

enfin, si l'on en croit la vulgate de nos maitres ...

330780_10151314598777822_1664922233_o-300x191.jpg

18/12/2015

un troisième !

trois livres vitaux

Laurent Mauduit, "Les imposteurs de l'économie"

http://www.amazon.fr/Les-imposteurs-l%C3%A9conomie-Lauren...

une œuvre de salubrité publique :

http://www.leretourauxsources.com/index.php/histoire-secr...

 

« La vie privée en péril », le cri d'alarme d'Alex Turk

http://www.lavoixdunord.fr/France_Monde/actualite/Secteur...

 

 

 

la situation mondiale actuelle : l'aliénation - La leciono de la Pafklik'

v
 KATAKANA (LA Pafklik ‘)

Ataku mi vian lingvon tiom,
Kiom vi kreu novan skriban manieron
Kaj eniru mi al via kulturo
Kaj enmetu dolĉe mian diktaturon
Mi zorgu bone pri via sekuro,
Do zorgu klopode pri mia ekonomio
Staros nur apud vi unu futuro,
Via destino ligita al mia ŝnuro
Ne batalu, jam de longe vi iĝis venkita
Via tuta hejmo jam iĝis fremdigita
Ŝanĝu viajn kutimojn, forlasu tradiciojn
Mi enas vian lingvon, mi enas vian vivon.
Katakana, truda kaj kontrolanta
Komprenigas ke popolo via iĝas varilo mia
Ja vi komprenu, daŭrigu obeemon
Studu kaj apogu mian sistemon

Ne plu da auntaŭjuĝo rikana
Car ja mia parolo rekta kaj ĉikana
Ŝiras agite kiel vek’ vulkana
Rompas socion kun atako uragana

Ĉu vi komprenas ne pri ĉi ĉio temas ?
Kaj maljunaj memoroj ja ŝimas
Kion ni lernu dum infana edukado ?
Ĉu gepatran scion, ĉu virtualan instruadon ?
Junecon pli facilas manipuli
Nure mono nun povas ilin stimuli
Oni ĉesu idioti kaj oni vidu
Ke nuntempaj kulturoj ekzistas ne plu
Ekzistas nur en la kapoj de la popoloj
Malaperis agoj, nur restas paroloj
Kaj amaso da varoj iĝas la konsoloj
La laŭdira socio trudas al ni rolojn
Nenion signifas la honoro
Inter homoj, kiuj robotas pro laboro
Nenian respekton havu kapitalismo
Certe ne kredu feliĉon el materialismo
Aŭ tuj anstataŭigos de katakanaj
Viaj revoj kaj spertoj akiraj
Al popolamasa pensa maniero,
Kiu daŭre staras sur iluzia fiero
Forgesu juĝon de la amaso groteska
Kaj lasu vian kritik-kapablon kreska
Antaŭvidi futuron, imagu naturon
Vi ne rajtas erari, kiel eblas ripari ?

Ne plu da antaŭjuĝo rikana
Ĉar ja mia parolo rekta kaj ĉikana
Antaŭvidu futuron, Imagu naturon
Vi ne rajtas erari, vi ne povas fuĝi.

(por aŭskulti ĝin kun la muziko, aĉetu la diskon, ne estas alia rimedo, ĝi ne estas sur la reto.)

pour les non espérantistes, voici un essai de traduction en français :

Allez ! je vais attaquer votre langue, tellement que vous allez devoir créer une nouvelle façon d’écrire, et je vais entrer dans votre culture pour introduire doucement ma dictature. Il faut que je veille bien à votre sécurité, alors décarcassez-vous bien pour mon économie. Il n’y aura devant vous plus qu’un seul avenir : votre destin lié à ma laisse. Ne luttez pas, ça fait longtemps que vous êtes déjà vaincus. Votre foyer tout entier est devenu étranger, changez vos coutumes, abandonnez vos traditions, je pénètre dans votre langue, je pénètre dans votre vie. Katakana s’impose et contrôle, fait comprendre que votre peuple est devenu ma marchandise. Oui il faut que vous compreniez, continuez à être bien soumis, étudiez et soutenez mon système.
Plus de préjugé, fini de ricaner. Car mon discours direct et mon harcèlement déchire et agite le peuple comme un volcan, détruit la société comme l’attaque d’un ouragan.
Comprenez-vous de quoi tout cela s’agit ? Et les vieux souvenirs sont tout moisis.
Que devons-nous apprendre durant notre enfance ? Le savoir de nos parents ou un enseignement virtuel ?
La jeunesse est plus facile de manipuler. Il n’y a que l’argent qui puisse les stimuler. Arrêtez d’être idiots et voyez que les cultures de maintenant n’existent plus, elles existent seulement dans les têtes des peuples, les actes ont disparus, il ne reste que des paroles, et une masse de marchandises deviennent la consolation. Cette prétendue société nous impose des rôles. L’honneur ne signifie plus rien entre les hommes, qui deviennent des robots à cause du travail. Le capitalisme ne mérite aucun respect. Ne croyez certainement pas obtenir le bonheur par le matérialisme, et vos rêves et l’expérience que vous avez acquise seront remplacés par la pensée de la masse, qui toujours se base sur une fierté illusoire. Oubliez le jugement de la masse grotesque, et laisser grandir votre esprit critique, prévoyez l’avenir, imaginez la nature, vous n’avez pas le droit à l’erreur, comment peut-on réparer ?
Plus de préjugés, fini d'ricaner.
Car mon discours direct et mon harcèlement doit prévoir l’avenir, doit imaginer la nature ; vous n’avez pas droit à l’erreur, vous ne pouvez pas vous enfuir.

13/12/2015

guerre de classe contre le peuple - en France

Publié le

Des membres du FUIQP 59-62 se sont rendus à Tourcoing, dans le quartier du Pont-Rompu où une nouvelle grave violence policière avait eu lieu lundi dernier (28 septembre), pour recueillir la parole de la victime et des témoins, et leur signifier notre soutien dans toutes leurs futures mobilisations.

Lundi en milieu d’après-midi en bas de chez lui, Nabil Zane, 28 ans, est témoin d’un des nombreux contrôles d’identité effectués par les CRS dans le quartier. Tout se déroule « normalement », avant que, quelques minutes plus tard, un deuxième car de CRS n’arrive et commence un nouveau contrôle sur les mêmes jeunes. « Les jeunes leur ont dit qu’ils avaient déjà été contrôlés, et dans le même temps le premier car est revenu, confirmant la version des jeunes. Les CRS se sont arrêtés. Un jeune les a remercié d’avoir été « gentils »… Ça a énervé les CRS qui l’ont mal pris, et on répondu « toi, tu vas venir avec moi » », nous raconte le jeune père de famille.

Le ton monte, Nabil Zane s’approche de la scène pour filmer… il n’a pas le temps de sortir complètement son téléphone qu’un policier le bombarde de gaz lacrymogène à bout portant, d’un jet continu de plusieurs secondes. « Je suis rentré me nettoyer le visage avec de l’eau. Le lendemain matin, je me suis réveillé tout gonflé, impossible d’ouvrir les yeux. Aux urgences, on m’a dit que j’étais brûlé au deuxième degré on m’a fait un pansement comme celui que vous voyez là. »

Malheureusement, lorsqu’on habite un quartier populaire, la violence d’État ne s’arrête jamais. Le lendemain, mardi 29 septembre, Nabil est au volant de sa voiture avec son épouse et son bébé de 14 mois, et croise une nouvelle fois les CRS, qui le montrent du doigt en riant. Ils lui demandent de s’arrêter pour un contrôle.
– « Pourquoi vous m’arrêtez ?
– Comment ça pourquoi ? T’as vu ta tête ? C’est quoi ce pansement ?
– Justement j’allais porter plainte contre vous pour ça.
– Porter plainte ?! Ah ben merci, tu nous donne une bonne raison de t’embarquer maintenant. »

Un des CRS le plaque violemment contre sa voiture, le menotte, et l’amène au commissariat pour lui signifier sa garde à vue « pour outrage. » Nabil Zane demande à voir son avocat et un médecin. « Le médecin est arrivé, je lui ai dit que j’avais besoin d’aller à l’hôpital, toutes mes cloques s’étaient ouvertes sous mon pansement, mon visage ruisselait de sang et de pus. Il a juste écouté mon cœur, et m’a dit « c’est bon, t’as rien, tu peux passer la nuit en garde à vue. » »

Les policiers de Tourcoing n’ayant daigné appeler l’avocat de la victime que tard dans la soirée, il était bien sûr injoignable (les habitants nous confirment que cette méthode est très souvent utilisée ici). Le lendemain matin, mercredi, l’avocat en colère fait part de ce qu’il s’est passé au Procureur de la République, qui demande expressément la fin de la garde à vue… ce que refuse le commissariat de Tourcoing ! Nabil Zane pourra enfin sortir, retrouver sa famille et se faire soigner au bout de 24 heures.

Depuis, les violences des policiers se multiplient à Tourcoing, notamment dans les quartiers du Pont-Rompu et de la Bourgogne (d’où était originaire le jeune Pierre-Eliott Zighem décédé dans des circonstances « non-élucidées » au mois de juin). Provocations physiques, verbales (« On est chez nous », « On est Français nous », ou encore des CRS répondant à un homme du quartier les invitant à discuter de la situation autour d’un sandwich « Un sandwich ? Sûrement pas, c’est halal ! »).

Le FUIQP relaiera toutes les demandes et mobilisations proposées par la victime, sa famille et les habitants du quartier du Pont-Rompu.

12/12/2015

les réfugiés manipulés pour venir en Europe, c'est une opération de déstabilisation ils sont instrumentalisés "ils sont manipulés"

*

*

10/12/2015

résistance

ATT00001.jpg

03/12/2015

quels projecteurs vont tomber à vos pieds ?

*

*

C'est une régression phénoménale !

26/11/2015

l'appel de Cochin vous vous souvenez ? vous l'avez lu ?

En 1978, Pierre Juillet  rédigea le fameux « Appel de Cochin », que lui et Marie-France Garaud - firent signer par Jacques Chirac.
C'est le dernier texte d'importance émanant de la mouvance gaulliste à s’inscrire encore dans la ligne de la pensée géopolitique gaullienne.
Il y parlait en effet « d'asservissement de la France » par les Américains et de « France vassale », notamment dans ce passage : « C’est pourquoi nous disons NON. NON à la politique de la supranationalité. NON à l’asservissement économique. NON à l’effacement international de la France. [...] Nous disons non à une France vassale dans un empire de marchands, non à une France qui démissionne aujourd’hui pour s’effacer demain. »
Trois ans après la publication de ce texte - qui scandalisa la presse euro-atlantiste -, Jacques Chirac (ici en photo avec Marie-France Garaud) se séparait de ces deux conseillers et se pliait au dogme de l'européisme. Il se résignait ainsi à trahir le véritable gaullisme et à contribuer au bradage de notre indépendance nationale, dans le but misérable de devenir président d'une République asservie.

 

Jacques Chirac (né en 1932), photographié ici vers 1975, entre ses deux conseillers de l'époque, Pierre Juillet à gauche et Marie-France Garaud à droite.

Ce surnom d’« Appel de Cochin » avait été donné par la presse à un communiqué signé par Jacques Chirac depuis sa chambre de l’Hôpital Cochin à Paris, où il était hospitalisé depuis un accident de la route survenu en Corrèze le 26 novembre précédent.

Cet « Appel », officiellement signé par Jacques Chirac, fut en réalité rédigé par ses deux plus proches conseillers de l’époque, Pierre Juillet et Marie-France Garaud. S’inscrivant dans la perspective de la campagne du RPR pour les premières élections au suffrage universel du Parlement européen, qui eut lieu, en France, le 10 juin 1979, ce texte historique dénonçait notamment le « parti de l’étranger », c'est-à-dire l’UDF créé le 1er février 1978 à l’initiative de Valéry Giscard d’Estaing, alors président de la République.

Avec le recul des 35 ans écoulés depuis lors, ce texte apparaît prémonitoire à de nombreux égards.

Après avoir commencé par souligner qu’« il est des heures graves dans l’histoire d’un peuple où sa sauvegarde tient toute dans sa capacité de discerner les menaces qu’on lui cache », ce document soulignait que « tout nous conduit à penser que, derrière le masque des mots et le jargon des technocrates, on prépare l’inféodation de la France, on consent à l’idée de son abaissement. »

Puis il développait cette analyse :

« le président de la République [Nota : Valéry Giscard d’Estaing] reconnaissait, à juste raison, dans une conférence de presse récente, qu’uune Europe fédérale ne manquerait pas d’être dominée par les intérêts américains. C’est dire que les votes de majorité, au sein des institutions européennes, en paralysant la volonté de la France, ne serviront ni les intérêts français, bien entendu, ni les intérêts européens. En d’autres termes, les votes des 81 représentants français pèseront bien peu à l’encontre des 329 représentants de pays eux-mêmes excessivement sensibles aux influences d’outre-Atlantique.

[...]

Il est de fait que cette Communauté – en dehors d’une politique agricole commune, d’ailleurs menacée – tend à n’être, aujourd’hui, guère plus qu’une zone de libre-échange favorable peut-être aux intérêts étrangers les plus puissants, mais qui voue au démantèlement des pans entiers de notre industrie laissée sans protection contre des concurrences inégales, sauvages ou qui se gardent de nous accorder la réciprocité. On ne saurait demander aux Français de souscrire ainsi à leur asservissement économique, au marasme et au chômage.

[...]

La politique européenne du gouvernement ne peut, en aucun cas, dispenser la France d’une politique étrangère qui lui soit propre. L’Europe ne peut servir à camoufler l’effacement d’une France qui n’aurait plus, sur le plan mondial, ni autorité, ni idée, ni message, ni visage. Nous récusons une politique étrangère qui cesse de répondre à la vocation d’une grande puissance, membre permanent du Conseil de sécurité des Nations unies et investie de ce fait de responsabilités particulières dans l’ordre international.

[...]

Puisqu’il s’agit de la France, de son indépendance et de l’avenir, puis qu’il s’agit de l’Europe, de sa cohésion et de sa volonté, nous ne transigerons pas. Nous lutterons de toutes nos forces pour qu’après tant de sacrifices, tant d’épreuves et tant d’exemples, notre génération ne signe pas, dans l’ignorance, le déclin de la patrie.

[...]

Comme toujours quand il s’agit de l’abaissement de la France, le parti de l’étranger est à l’œuvre avec sa voix paisible et rassurante. Français, ne l’écoutez pas. C’est l’engourdissement qui précède la paix de la mort.

Mais comme toujours quand il s’agit de l’honneur de la France, partout des hommes vont se lever pour combattre les partisans du renoncement et les auxiliaires de la décadence. »

 

https://www.facebook.com/notes/françois-asselineau-union-...

De nos jours : l’UPR se veut « ni de droite ni de gauche » encore moins d’extrême-droite.
« Dès que vous voulez sortir de l’Union européenne on dit que vous êtes
d’extrême-droite.
» C'est un "truc" artificieux et malhonnête pour faire taire

la contestation au régime de nos maîtres.

L’extrême droite en fait, au contraire, a plus exactement le visage… du
gouvernement actuel, « principal vecteur de la finance, qui refuse de
célébrer la victoire sur le nazisme, met sous surveillance le peuple
français, ne respecte plus les droits de l’Homme. Si ça ce n’est pas
d’extrême-droite !
»

 

"L’UE ou le chaos !" - Je n’ai pas le souvenir que la France avant Maastricht était le chaos ?! 

26/10/2015

un sacré avertissement - vous n'y croyez pas ? les gens de 1972 non plus n'y croyaient pas

en 1972 c'était un gag, un poisson d'avril, mais 30 ans plus tard c'était devenu une réalité

https://www.ina.fr/video/CAF97034496/gag-1er-avril-video....

donc c'est une sacrée leçon d'histoire et un sacré avertissment  : quelles interdictions qui paraissent encore aujourd'hui invraisemblables et qui se réaliseront d'ici 30 ans ?