28/05/2014
le role du FN : faire croire à la population que vouloir être pour la sortie de l'UE de l'Euro et de l'OTAN c'est être d'extrème-droite ! alors que c'est au contraire une démarche de lutte des classes
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Quelques cybermilitants du FN croient bon de venir sur cette page pour brocarder le score de l'UPR aux élections européennes (0,41% des suffrages pour notre toute première élection nationale) et le comparer au score obtenu par le FN.
Mais soit ce sont des ignorants, soit ils ont la mémoire courte.
Car aux élections législatives de 1981, c'est-à-dire 9 ans après sa création, le FN comptait... 270 adhérents et avait réalisé... 0,18%.
Deux petites vidéos mises en ligne sur notre site permettent de rafraîchir la mémoire de ceux qui ont oublié d'où viennent les scores du FN. Ce n'est qu'après plusieurs longues émissions de télévision de très grande audience, exigées par Mitterrand et entièrement consacrées à Jean-Marie Le Pen, que le FN a bondi à 10% des suffrages.
Cette promotion médiatique du FN est toujours d'actualité. On vient de le voir au cours de cette campagne pour les élections européennes, où le FN a été constamment promu médiatiquement, tandis que l'UPR était "blacklistée" de façon impitoyable. Pourquoi donc ?
Le FN a été promu médiatiquement depuis 30 ans pour servir des intérêts et une stratégie que l'écrasante majorité des Français ne comprennent pas. Ces deux vidéos tentent de montrer que François Mitterrand a poussé à l'hyper-médiatisation du FN, prétendument pour nuire à la droite.
À mon avis, cette explication est sans doute en partie vraie mais elle n'explique pas tout. Car le FN, beaucoup plus qu'à la droite, a surtout nui à la souveraineté nationale. Puisque depuis 30 ans, tout débat sur cette question et sur la "construction européenne" est immédiatement pourri en France, par l'invocation du FN.
FA
http://www.upr.fr/actualite/france/comment-francois-mitte...
Le fil est grossier et connu : proposer la sortie de la France de l'Union européenne et de l'euro est immédiatement rapproché de l'extrême droite, qui ne sert qu'à salir tout ce qu'elle touche. C'est pour cela que le FN fait l'objet d'une ultra-ultra-médiatisation. Déjà, le FN n'a JAMAIS proposé la sortie de l'Union européenne et de l'euro de façon unilatérale - la seule façon possible d'ailleurs - par application de l'article 50 du Traité sur l'Union européenne. Ensuite, le peuple suédois qui a refusé l'euro en 2003 par référendum n'est pas d'extrême droite, ni l'Islande qui a rompu toute négociation d'adhésion à l'Union européenne, ni les 5 Prix Nobel d'économie qui ont recommandé à l'Espagne de quitter l'euro au plus vite en 2013. Et l'on pourrait continuer facilement cette litanie.
(de toutes façons étant donné que la construction européenne est, depuis le début, un projet ULTRA-CAPITALISTE dont le but, avoué d'ailleurs, est d'empêcher à tout jamais qu'un des pays d'Europe puisse instaurer le socialisme, et même d'interdire toute politique simplement "sociale, et vise à démanteler tout le droit du travail, baisser les salaires et les retraites, privatiser les services publics, ainstaurer un état de surveillance orwellien au service de l'ordre normalisé et capitaliste, etc, il est ON NE PEUT PLUS LOGIQUE que les gens de gauche soient pour l'abolition de cette entreprise perverse ! (et absolument incroyable et absurde qu'il y ait des gens de gauche encore assez naifs, manipulés, que sais-je pour être européiste, c'est d'ailleurs un phénomène étrange et qui demande un essai d'explication.
L'européisme est de droite, c'est logique ! et la gauche doit, tout aussi logiquement, être anti-européenne. Toute autre attitude est aberrante, et ne peut être le résultats d'un degré incroyable d'inconscience et de manipulation !)
ici, voir à partir de la 30è minute :
Quand à l' "Europe sociale" c'est une illusion :
on ne rend pas un crocodile végétarien.
13/05/2014
le terme "populisme" arme de manipulation de classe !
*En une image tout est expliqué ! Je pense que là vous avez compris !
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05/05/2014
c'est une révolution (en fait)
Bien entendu tout ce petit monde n'a rien d'antisémite ! tout ça c'est de la propagande, comme l'accusation de "sorcellerie" au XVIè siècle, la force démocratique d'Internet rend nos maîtres complètement hystériques !
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comme il n'y a plus moyen d'intégrer une vidéo Dailymotion voici un lien :
Tepa - MetaTV versus AFP - Le Clash au Congrés... par metatvofficiel
10/03/2014
le jargon de nos prédateurs - typique !
Recension parue dans Bastille-République-Nations du 17/09/12
sous la plume de François Asselineau
( une de ses conférences : http://www.youtube.com/watch?v=jXjnlLRM8LY )
Lorsque les censures des pouvoirs autocratiques de l’Europe d’Ancien Régime se faisaient trop pressantes, certains essayistes contournaient le problème en publiant des pamphlets codés ou des romans à clé.
Ils les présentaient comme des lettres faussement naïves écrites par des étrangers (L'espion Turc de Cotolendi ou Les Lettres Persanes de Montesquieu, parues en 1721) ; ou bien ils les situaient dans un monde imaginaire (Les Voyages de Gulliver, de Jonathan Swift) ; ou bien encore, ils les situaient dans un futur imaginaire. Ce dernier procédé rhétorique fut par exemple utilisé, en 1771, par le Français Louis-Sébastien Mercier, dans son livre L'an deux mille quatre cent quarante. Rêve s'il en fût jamais. Dans ce tout premier roman d’anticipation dont le retentissement s’étendit à toute l’Europe, Mercier imaginait qu’il s’endormait pour se réveiller 669 ans après, en l’an 2440. Ce qu’il y découvrait avait de quoi mettre le vieux Louis XV en pétard : la monarchie était devenue constitutionnelle, Versailles était tombé en ruines, et l’impôt, désormais volontaire, ne dépassait pas les 2% des revenus. Détail ravageur puisqu’en 1771, le monarque français venait de sanctionner la Cour des Aides qui avait osé critiquer la levée de nouveaux impôts. Lesquels visaient (déjà !) à lutter contre le déficit budgétaire.
En cette fin 2012, cette belle tradition pamphlétaire vient de s’orner d’un nouveau petit bijou signé Pierre Lévy. Dans L’Insurrection, l’auteur nous emmène non pas en 2440, mais plus modestement en 2022. C'est un roman d’anticipation politique, un peu à la manière de Mercier. Mais son contenu a de quoi provoquer, chez Jacques Delors, Nicolas Sarkozy ou François Chérèque, un trouble de l’humeur à côté duquel la colère de Louis XV devant le pamphlet de Mercier ferait figure de légère irritation.
Au gré des pages de ce roman qui se lit d’une traite, s’égrènent impitoyablement toutes les idées reçues européistes, toutes les niaiseries médiatiques, toutes les imitations américanolâtres, et tout le catéchisme ultralibéral de notre époque. Le narrateur nous y décrit, dans un style d’une candeur désarmante, un univers de bisounours décervelés qui portent tous des prénoms américains (Dylan, Samantha, Cindy, Jordan, Steven…), et dont l’horizon conceptuel est strictement borné à la pensée de Bernard-Henri Lévy et de Laurence Parisot. Il y est question d’interventions militaires aux quatre coins du globe pour y protéger la liberté du commerce et la légitime rentabilité des entreprises.
Dans ce monde où la France a été dépecée et fusionnée dans une « Communauté euro-atlantique des Valeurs » (CEAV), tout ou presque a été privatisé, y compris la justice, certaines municipalités et des États entiers. Mais l’inhumanité atroce et la violence des rapports sociaux qui en découlent sont systématiquement occultées par un discours lénifiant et des antiphrases orwelliennes.
Sous la réserve qu’un taux de suicide minimum parmi les salariés de chaque entreprise permette de rassurer les actionnaires sur la recherche de la rentabilité optimale, on y chante donc la transparence, la gouvernance, la stabilité, la tolérance, la compétitivité, la biodiversité, la solidarité, la rentabilité et l'on en passe. Tous ces concepts doivent aussi être étiquetés : globaux, solidaires, harmonieux, citoyens, innovants, équitables, renouvelables, soutenables, responsables, durables, etc. Et le discours public consiste à marier toutes les combinaisons possibles entre ces substantifs et ces adjectifs politiquement corrects. On pourra ainsi, au choix, militer pour une « biodiversité équitable », une « tolérance solidaire », une « stabilité globale », une « gouvernance citoyenne », etc. En 2022, la pensée politique a ainsi disparu pour laisser la place à un jeu de « cadavres exquis » digne des surréalistes.
Page après page, le lecteur est également joyeusement noyé sous les tartufferies de notre époque, tels le « recyclage citoyen », les « expérimentations innovantes », la nécessité « d’assouplir les retraites », de « moderniser le droit de grève » ou de « faire respirer les rapports entre salariés et employeurs ». Tous ces euphémismes ayant toujours le même objectif – celui des « réformes indispensables » – que nous ne connaissons que trop bien : encore et toujours, détruire tous les acquis sociaux.
Dans la foulée, la plume de Pierre Lévy souligne implacablement les ridicules de la discrimination positive et du communautarisme, nous informe de l’invention du « crime contre la stabilité économique » justiciable d’un nouveau Tribunal de la Haye, nous explique pourquoi il a été décidé de substituer les sondages aux élections, et nous montre comment tous les opposants à cet univers sont disqualifiés par la simple apposition d’épithètes méprisantes (« intégristes de l’État de droit », « intégristes de la laïcité », « intégristes des acquis sociaux », « populistes », « archaïques », etc.). Comme le dit son narrateur dans un élan de « pédagogie », de toute façon, « il n'y a pas le choix ».
Déjà implacable, la plume de l’auteur devient carrément cruelle pour dépeindre, par quelques formules exquisément assassines, la façon éhontée dont des responsables syndicaux trahissent ceux qui leur font confiance.
Ces syndicalistes jaunes, qui approuvent en catimini toutes les mesures de régression sociale, ne se battent, pour la galerie, que sur des modalités d’application ridicules. Tel syndicat, par exemple, « exige » que les licenciements minutes soient notifiés au salarié par courriel et pas seulement par SMS… Une association féministe, quant à elle, « exige » que les licenciements touchent équitablement les hommes et les femmes. Et tout ce beau monde tombe d'accord pour que la grève « modernisée » se limite à une inscription sur le site Internet « jesuisengreve.com », étant entendu que le « gréviste » continue à travailler pour ne pas mettre en péril l’équilibre financier de l’entreprise.
Devant un tel torrent d’idées percutantes et de dénonciations qui font mouche, on regrettera peut-être certains passages un peu trop appuyés, ou des clins d’œil parfois trop explicites. La nostalgie affichée pour l’Allemagne de l’Est ne convaincra sans doute pas tous les lecteurs. Et d’autres feront peut-être la moue devant quelques jeux de mots qui frisent la plaisanterie de potache.
Mais j’avoue que je n’ai pas pu m’empêcher de rire souvent devant cet intarissable feu d’artifice de calembours, dont Pierre Lévy nous prouve une nouvelle fois qu’il en est un maître incontesté. Pour n’en citer qu’une poignée parmi des dizaines, le conseil d'un père à son rejeton né des amours éphémères d’un couple de traders : « tu seras un gnome, mon fils » ; l’agence de communication « Triple Buzz » ; le projet « d’érection des Maisons de la Tolérance » ; ou les limites de négociations atteintes lorsque la Commission de Bruxelles a « épuisé ses quotas de prêche ». Je laisse le lecteur faire la compilation de tous les autres, notamment de ceux que « la décence m’interdit de préciser davantage », comme disait le regretté Pierre Dac.
Ce monde de 2022 est aussi peuplé d’organisations dont les acronymes, plus burlesques les uns que les autres, invitent à en rechercher le sens caché, toujours drolatique et souvent plein de sel : l’AISE, la FAUST, l’EPEG, les CCTV, la FEU, l’OCU, le FÉE, le MAM, le HCSIG, etc., avec une mention spéciale pour le Fonds EELV (Ethnic Equity / Loyal View) qui rachète la Corse et le Pays basque.
Lorsque l’on referme cet ouvrage, qui se conclut de façon très enlevée par deux coups de théâtre successifs, on se dit que l’on n’a pas perdu son temps. Non seulement on a pu rire de bon cœur devant ce spectaculaire « chamboule-tout », mais l'on sent aussi que derrière cette jubilation se cache une immense colère contenue. L’arme de la dérision se révèle spécialement efficace pour démasquer cet affreux mélange de tyrannie et de bonne conscience, qui est d'ores et déjà le monde enchanté de l’Union européenne.
Armé de cet excellent pamphlet, il nous appartient de tous nous mobiliser pour hâter la nécrose de cet univers qu'il nous laisse entrevoir. Une nécrose qui a déjà largement commencé.
FRANCOIS ASSELINEAU
Un autre "OUTIL" très important pour museler la contestation du peuple c'est - devinez ! - Le Front National, le méchant de service, utile pour toutes les manips :
Crève sale linux !
http://www.youtube.com/watch?v=6B_cX5Useq4
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07/03/2014
(résumé de la société contemporaine)
« - Et vos enfants ?
- Eh bien pour le garçon (car nous avons 1 garçon et 1 fille, bien entendu !) ça avait bien commencé : je lui avais décroché un bon emploi de cadre-sup. dans une grande entreprise, par piston, car j’avais des relations ; par la voie normale ç’aurait été totalement impossible bien sûr. Mais malheureusement il s’est marié. Et pire encore il a eu un enfant, qu’il aimait beaucoup, c’était le bonheur. Là-dessus, quelques années plus tard il a été viré lors d’un plan d’assainissement financier du groupe et de réduction des coûts salariaux. Et là il n’a pu rien trouver ; il est devenu dépressif, aigri ; sa femme s’est rebutée de lui, puis est tombée amoureuse de quelqu’un d’autre et a demandé le divorce. Un soir il a trouvé qu’elle avait fait changer les serrures et n’a plus pu rentrer, et elle a changé le n° de téléphone et s’est fait mettre sur liste rouge. Comme elle ne travaillait pas elle a demandé et obtenu la jouissance de la maison ; elle a eu la garde de l’enfant et une forte pension alimentaire, que de toutes façons il ne pouvait pas payer. Il a dû s’installer ailleurs tout seul. Un jour où il n’avait pu arriver à l’intérieur de la fourchette horaire édictée par le tribunal pour son droit de visite, elle n’a pas voulu qu’il emmène son enfant, disant que l’heure était passée, alors il s’est mis en colère, l’a emmené quand même et ne l’a ramené qu’un jour après l’obligation légale. Entre-temps la mère avait porté plainte et appelé la police, qui l’a arrêtée pour séquestration d’enfant. Le tribunal lui a supprimé le droit de visite. Alors à sa sortie de prison il a sombré dans le désespoir et la dépression. Un médecin lui a prescrit des tranquillisants pour ne pas penser, et lui de son côté a noyé son chagrin dans l’alcool. Il n’a alors bien sûr plus rien trouvé comme stage ou petit boulot et a fini par être viré de sa chambre meublée.
Il est devenu clochard, il est disparu, je ne sais plus où il est.
il doit être mort de froid cet hiver.
- Et la fille ?
- Oh, elle a eu de la chance ! elle est à bac +8 maintenant vous savez. Elle a un doctorat en communication d’entreprise, et un DEA en psychologie appliquée au monde du travail ; et bien entendu elle avait fait, avant, deux licences et une Grande Ecole, on n’en parle pas ça, c’était des préalables. Alors comme ça maintenant elle a fini par trouver un stage auprès d’une association intercommunale, elle s’occupe de faire un plan de promotion touristique d’une petite vallée rurale . Elle est bien, avec ça elle est casée pour 3 mois; après on verra.
16/02/2014
notre société est en train de devenir PIRE que celle décrite par Orwell !!!! et personne ne réagit !!!!!
http://www.nouvelordremondial.cc/2014/01/30/lue-a-un-plan...
plus le fameux projet INDECT de cette mafieuse Union "Européenne", plus, plus, plus
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13/02/2014
un jour on fera ça aux humains aussi
http://metatv.org/il-propose-d-utiliser-des-poulets-sans-...
si vous n'aviez pas encore compris la nature du capitalisme, il serait temps
si vous n'avez pas encore compris la nature de la modernité, il est urgent de lire le livre de Zygmunt Bauman "modernité et holocauste"
si vous croyez encore que certaines alertes sont "paranos"; vous avez peut-être compris maintenant quels sortes de gens sont les maîtres du monde où vous vivez ? Et que le pire est toujours possible, et après le pire, l'encore pire, c'est la logique, quand on laisse faire
11/02/2014
résistance passive la voie à suivre
bon, il en faudra aussi de l'active, c'est sûr !
- Le premier grand acte, historique ! un date, de dissidence de la population française fut le refus de la vaccination massive contre la grippe H1N1. C'était sous l'ère Sarko et le peuple a gagné parce que le peuple s'est uni.
- Le deuxième acte de dissidence de la population française et le refus d'acheter un éthylotest qui ne sert strictement à rien, si ce n'est à enrichir quelques filous de mèche avec quelques élus non moins filous !
depuis il y en a eu d'autres
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09/02/2014
ON CROIRAIT QUE ça A été ECRIT AUJOURD'HUI MEME !!!
Petit extrait du Meilleur des mondes, d’Aldous Huxley.(1932) vachement perspicace Aldous Huxley !!!
« Pour étouffer par avance toute révolte, il suffit de créer un conditionnement collectif si puissant que l’idée même de révolte ne viendra même plus à l’esprit des hommes. L’idéal serait de formater les individus dès la naissance en limitant leurs aptitudes biologiques innées.
Ensuite, on poursuivrait le conditionnement en réduisant de manière drastique l’éducation, pour la ramener à une forme d’insertion professionnelle. Un individu inculte n’a qu’un horizon de pensée limité et plus sa pensée est bornée à des préoccupations médiocres, moins il peut se révolter. Il faut faire en sorte que l’accès au savoir devienne de plus en plus difficile et élitiste. Que le fossé se creuse entre le peuple et la science, que l’information destinée au grand public soit anesthésiée de tout contenu à caractère subversif. Surtout pas de philosophie. Là encore, il faut user de persuasion et non de violence directe : on diffusera massivement, via la télévision, des divertissements flattant toujours l’émotionnel ou l’instinctif. On occupera les esprits avec ce qui est futile et ludique. Il est bon, dans un bavardage et une musique incessante, d’empêcher l’esprit de penser.
On mettra la sexualité au premier rang des intérêts humains. Comme tranquillisant social, il n’y a rien de mieux. En général, on fera en sorte de bannir le sérieux de l’existence, de tourner en dérision tout ce qui a une valeur élevée, d’entretenir une constante apologie de la légèreté ; de sorte que l’euphorie de la publicité devienne le standard du bonheur humain et le modèle de la liberté.
Le conditionnement produira ainsi de lui-même une telle intégration, que la seule peur – qu’il faudra entretenir – sera celle d’être exclus du système et donc de ne plus pouvoir accéder aux conditions nécessaires au bonheur. L’homme de masse, ainsi produit, doit être traité comme ce qu’il est : un veau, et il doit être surveillé comme doit l’être un troupeau. Tout ce qui permet d’endormir sa lucidité est bon socialement, ce qui menacerait de l’éveiller doit être ridiculisé, étouffé, combattu.
Toute doctrine mettant en cause le système doit d’abord être désignée comme subversive et terroriste et ceux qui la soutienne devront ensuite être traités comme tels. On observe cependant, qu’il est très facile de corrompre un individu subversif : il suffit de lui proposer de l’argent et du pouvoir ».
on y est en plein dedans !!!
16/01/2014
vous voulez savoir qui sont les oligarches de l'Union "Européenne" ? visitons ça de près
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