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29/05/2018

comment nos maîtres et leurs larbins nous mentent et nous déforment la réalité !!!

Comment la presse Voix-de-nos-Maîtres des journaputes au service de leurs propriétaires milliardaires pratique la NOVLANGUE et appelle blanc ce qui est noir et noir ce qui est blanc - mais si on ne retient que les faits on s’apperçoit du degré hallucinant du mensonge et de la propagande de classe éhontée à laquelle nous sommes soumis !!!

déclaration d'un polonais interviewé :
« Le PiS, ce sont les seuls qui nous soutiennent, ils sont proches des gens. »
( = ce que les journaputes du grand capital appellent « populisme »            )


La Pologne augmente de 20 % le salaire minumum
27-11-2007
Augmentation de +20% pour le salaire Minimum
Le 1er Janvier 2008, le salaire minimum est passé de 0,936 PLN à 1,126 PLN brut. Cette augmentation est le résultat d’un accord entre l’ancien gouvernement « Droit et Justice » PIS et le syndicat Solidarnosc. Le salaire minimum se situe au alentour de 36% du salaire moyen en Pologne, qui était de 3,092 pln brut en novembre 2007.
Seulement 2 à 3% des travailleurs polonais perçoivent le salaire minimum, mais son augmentation aura un impact sur l’ensemble des rémunération, puisque le salaire minimum est un point de référence pour le calcul des autres formes de rémunération. Ce changement entrainera une augmentation du salaire horaire pour le travail de nuit, des indemnités perçues en cas d’infraction aux règles de non discrimination, d’harcelement et de plan social entre autres. Les frais d’assurance sociale seront revus également à la hausse.
La Pologne recrée les allocations familiales
27-11-2007
un ambitieux programme social : une allocation mensuelle de 500 złotys (115 euros) par enfant, financée par la taxation des banques et des grandes surfaces
La Pologne baisse l’âge de la retraite : c’est la ruée

28/09/2017
Retour à 65 ans pour les hommes, à 60 ans pour les femmes. La mesure du gouvernement populaire du PiS fait un tabac. Pas sûr qu’elle résiste à la réalité budgétaire et au droit (antisocial) européen (c’est à dire de lutte de classe pro-capitaliste et réactionnaire)
Le 1er octobre, la Pologne pourrait compter d’un coup jusqu’à 331 000 retraités supplémentaires. Cette flambée est liée à l’abaissement à 65 ans pour les hommes, et à 60 ans pour les femmes, de l’âge légal de départ à la retraite. Jusqu’ici, depuis une réforme en 2012, c’était 67 ans pour tous. Le gouvernement dominé par les populistes ( donc démocrates et progressistes) du PiS (parti « conservateur » (sic !!    ) Droit et justice) a décidé de faire machine arrière toute, à contre-courant (démocratique) de (de l’évolution réactionnaire et de lutte de classe procapitalistes de l’Union « Européenne ») l’allongement de l’espérance de vie à 78 ans (+8 ans depuis 1990) et du reste de l’Europe.
64 000 demandes en une journée
Les risques pour l’équilibre financier (des profits du grand capital et des banques, et des riches qui ne veulent pas payer d’impôts) du système de retraite, qui pourrait exploser dans les deux ans ? Et aussi pour le marché du travail, qui manque déjà de bras ? (et dont les salaires risque d’augmenter les salariés se retrouvant dans une meilleure position face aux interêts contradictoire des employeurs capitalistes?) Le gouvernement insiste sur la liberté offerte aux personnes agées. Ils sont encouragés à travailler au-delà de l’âge légal pour s’offrir une meilleure pension. Actuellement, la moyenne s’élève à 500 € par mois.
Mais rien à faire ! Les Polonais se sont rués dans les bureaux de la Sécu. Rien que le 1er septembre, date de l’ouverture des dossiers, 64 000 personnes se sont déplacées, au moins pour se renseigner. Dans certaines villes, les queues s’étaient formées dès 3 h du matin ! Les sondages estiment que 80 % de ceux qui ont atteint le nouvel âge légal vont demander à profiter de leur retraite.
La situation s’est depuis un peu calmée. À Varsovie, Joanna est venue consulter l’un des conseillers retraite spécialement recrutés cette année. Elle a atteint l’âge légal, mais hésite à liquider ses droits. « Je ne suis pas encore sûre, mais je pense que je vais le faire. De toute façon, je continuerai à travailler en parallèle. » Une combinaison permise en Pologne, à condition que les revenus du travail ne dépassent pas 70 % de 1 050 € bruts, le salaire moyen.
À près de 67 ans, Augustyn n’a pas besoin de la réforme. Mais il s’en félicite car « le passage à 67 ans pour tous était un crime ».
Excellentes rentrées fiscales du budget polonais : une bonne nouvelle qui met l’opposition « libérale » (pro-capitaliste européiste et antisociale) dans l’embarras
Pologne – « Il suffisait de ne pas voler ! »

Voilà comment le Premier ministre polonais Beata Szydło expliquait en avril dernier les excellentes rentrées fiscales de son gouvernement et aussi les bénéfices générés par les mines de charbon, un secteur qui était au bord de la faillite avant l’arrivée du PiS au pouvoir à l’automne 2015. « Il suffit de ne pas voler et de ne pas gaspiller les deniers publics » est désormais l’explication qui revient régulièrement dans la bouche des leaders du PiS, à mesure que se confirme la très bonne tenue du budget et l’ampleur des fraudes fiscales, en particulier en ce qui concerne la TVA, pendant les huit années de gouvernement PO-PSL sous la houlette du Premier ministre Donald Tusk puis, lorsque celui-ci a émigré à Bruxelles en 2014 en quête d’un meilleur salaire, du Premier ministre Ewa Kopacz.
Ces bons résultats, qui vont au-delà des attentes du gouvernement lui-même, sont directement liés à la lutte contre les fraudes fiscales. Les systèmes de chaînes d’entreprises créées dans l’unique but de générer de fausses factures afin de tricher sur la TVA. Dans le commerce des hydrocarbures, par exemple, on parle d’une véritable « mafia des carburants » qui a été mise à mal par les nouvelles règles mises en place par le gouvernement de Beata Szydło, sous l’impulsion du ministre des finances Mateusz Morawiecki. C’est paraît-il en 2012 que les entreprises du secteur des carburants avaient commencé à sonner l’alarme, alertant sur une concurrence déloyale croissante de la part de fraudeurs qui ne s’acquittaient pas de la TVA à 23 %. Après l’adoption de nouvelles règles par la majorité PiS en août 2016, le commerce déclaré de carburants a très rapidement augmenté de 30 %, ce qui donne une idée de la place qu’avait prise le marché noir.
Le gouvernement PiS a aussi unifié trois administrations qui travaillaient séparément jusqu’ici : le fisc, le contrôle fiscal et les douanes. Ces administrations sont désormais réunies depuis le 1er mars 2017 au sein d’une administration fiscale nationale (KAS). Le ministère des Finances a aussi mis en place de nouvelles solutions informatiques pour faire la chasse aux fraudeurs. Résultat ? Pour la période de janvier à août, les rentrées fiscales ont augmenté de 20,5 milliards de zlotys (environ 4,8 milliard d’euros) par rapport à 2016. En rythme annuel, les rentrées de TVA sont en augmentation de 23,5 % d’une année sur l’autre, sans qu’il y ait eu d’augmentation des taux prélevés. Les recettes au titre de l’accise et de l’impôt sur les jeux connaissent une augmentation de 4,1 %, et celles au titre de l’impôt sur le revenu de 8,3 % tandis que les recettes tirées de l’impôt sur les sociétés sont supérieures de 13,3 %. Du coup, le déficit budgétaire pour cette année devrait être de 10 ou 20 milliards de zlotys inférieur à ce qui était prévu dans la loi budgétaire.
Au début du mois de septembre, à la veille du Forum économique de Krynica, l’agence de notation Moody’s a relevé ses prévisions de croissance pour la Pologne en 2017, de 3,2 % a 4,3 %, et elle a réduit ses prévisions de déficit du secteur des finances publiques de 2,9 % à 2,5 %. Pourtant, lorsque le PiS avait mis en place au printemps 2016 les premières allocations familiales depuis la chute du communisme, (c’est à dire que alors que les communistes – tellement villipendés par les « libéraux ! …..- payaient des allocations familiales, le gouvernement « libre » et « démocrate » pro-capitaliste mis en place à la chute du communisme les AVAIT SUPPRIMéES !!!  et seul le gouvernement du Pis Droit et Justice - villipendé par les « libéraux » du grand capital européiste les a rétablies) réduisant au passage de manière très significative l’extrême pauvreté qui affectait au premier chef les familles nombreuses, l’opposition « libérale-libertaire » (représentant visiblement en fait les interêts de la bourgeoisie fortunée !!) (la Plateforme civique – PO – de l’ancien Premier ministre Donald Tusk et le parti « Moderne » – Nowoczesna – créé pour récupérer les électeurs mécontents de la PO aux élections de 2015), prévenait que cela allait entraîner la banqueroute du budget de l’État. Et ce d’autant plus que le PiS applique encore d’autres politiques qualifiées de « populistes »  (c’est à dire sociales et progressistes) : il a augmenté les salaires minimums (le salaire moyen est aussi en forte hausse du fait d’un taux de chômage, à 7 %, qui n’avait jamais été aussi bas depuis 1991), il a augmenté les pensions de retraite des retraités les plus défavorisés et réduit l’âge de la retraite a contrario de ce qui se fait ailleurs en Europe (soumise aus dictats européistes du grand capital). Il a encore lancé un programme de construction de logements subventionnés pour les familles et augmente les dépenses militaires.
Comment est-ce donc possible ? « Il suffit de ne pas voler », martèle la majorité parlementaire conservatrice en direction de l’opposition libérale présentée dans les médias étrangers comme meilleure gestionnaire mais qui a toujours bénéficié, et ce n’est pas un hasard, du soutien de sponsors généreux des milieux des affaires. D’après les chiffres préparés par le gouvernement actuel pour la Commission européenne, la différence entre la TVA qui aurait théoriquement due être perçue par l’État et les recettes effectives du budget au titre de cette taxe a été multipliée par plus de sept sur la période des gouvernements PO-PSL (2007-2015), passant de 7,1 milliards de zlotys (1,7 milliard d’euros) à 50,4 milliards de zlotys (11,7 milliards d’euros) en 2015. Les pertes cumulées du budget à ce titre sur cette période totaliseraient 262 milliards de zlotys (61 milliards d’euros) ! À titre de comparaison, le déficit budgétaire de la Pologne pour 2017 devrait atteindre un peu moins de 33 milliards de zlotys (7,7 milliards d’euros).

25/05/2018

DDASS and co

Les pays scandinaves pays totalitaires, comme l’Allemagne nazie.>(remarquez en France ça arrive aussi, voyez, par exemple…., Béatrice Berthelage.)Les décisions de l'administration norvégienne pour ce qui concerne la garde des enfants ont déjà par le passé fait l'objet de nombreuses plaintes et de procès notamment pour la période qui s'étend de 1945 à 1980. Ainsi, environ 4 000 anciens enfants pris en charge ont demandé une indemnisation pour la souffrance et la violence qu'ils ont subies alors qu'ils vivaient dans des orphelinats ou dans le cadre de la protection des enfants durant cette période. Parmi ceux-ci, 2 637 ont reçu une indemnisation, pour un montant total 220 millions de dollars (2010)Jan Simonsen souligne pour sa part les catastrophes humaines issues des décisions du Barnevernet, « des familles détruites, et, dans certains cas, les parents qui ont pris leurs propres vies (en français on dit « qui se sont suicidés »!!!) ou ont fini comme toxicomanes dans leur désespoir d'avoir perdu ce qui est le plus précieux pour eux ». Un rapport de l'Institut norvégien de recherche urbaine et régionale montre que les enfants placés en Norvège se suicident huit fois plus souvent que les autres enfants Le service de protection de l'enfance de Norvège fait face à une critique internationale intense pour deux raisons principales : la prise en charge d'enfants sans un processus légal transparent et pour son refus de coopérer avec les organismes de protection des enfants dans d'autres pays. Ces critiques sont relayées par le principal journal suédois dénonçant le fait que les parents suédois qui ont leurs enfants pris en charge par Barnevernet n'ont aucun moyen juridique pour transférer le dossier aux autorités de leur pays. La presse pointe également du doigt des décisions prises en méconnaissance complète des us et coutumes de parents étrangers.

De nombreux avocats et journalistes comparent le Barnevernet norvégien au Lebensborn de l'Allemagne nazie, qui enlevait aussi des enfants pour les placer dans des familles jugées « saines ».

Enlèvements Rutkowski

Dans deux cas très médiatisés, l'enquêteur privé polonais Krzysztof Rutkowski a aidé les enfants (un garçon né en Russie et une fille polonaise) à s'échapper de leur famille d'accueil norvégienne afin qu'ils puissent retrouver leurs parents[9]. Par la suite, la demande des autorités norvégiennes de restitution des enfants a été refusée par le tribunal polonais comme injustifiée.

 Affaire Bodnariu

En novembre 2015, une nouvelle affaire impliquant des enfants de ressortissants étrangers a attiré l'attention du public. Les parents se sont vu retirer la garde de leurs enfants par Barnevernet. Marius et Ruth Bodnariu, un couple roumano-norvégien de foi pentecôtiste, ont été accusés de violence envers leurs enfants[17] ce qui peut, en Norvège, simplement signifier une tape sur la main ou une fessée.     (être arraché à sa famille est une violence mille fois pire qu’une gifle !!!! et qui dure) Selon le journal Christian Today , le couple a été accusé de « radicalisme chrétien et d'endoctrinement ». Selon la loi norvégienne, les autorités sont tenues de respecter à la fois le droit à la vie privée des parents comme celle des enfants. Par conséquent, Barnevernet n'a pas donné de détails publics concernant cette affaire.

Le 16 novembre, Barnevernet a pris les deux enfants les plus âgés de l'école et les a placés en famille d'accueil. Puis, accompagné par des policiers a retiré deux autres enfants de la maison de leurs parents à Naustdal. La police a également arrêté et me Bodnariu mais les a libérés peu de temps après. Le lendemain, Barnevernet a obtenu la garde de l'enfant le plus jeune pour des raisons alléguées de sécurité[21].

Selon le Christian Post, les deux filles aînées ont dit aux enquêteurs qu'elles avaient été physiquement punies comme on leur a enseigné que « Dieu punit le péché ». Néanmoins les documents judiciaires n'ont identifié aucun signe de violence physique[22].

Le 30 novembre, un recours contre Barnevernet lancé par les parents a été rejeté par la Cour. Ils seront autorisés à rendre visite au plus jeune fils deux fois par semaine pendant deux heures et aux deux autres garçons une fois par semaine. Les filles ne recevront pas de visites des parents[22],[23].

Le sénateur roumain Titus Corlățean a publié une déclaration évoquant le cas Bodnariu et condamné l'action de Barnevernet[24]. Le , des centaines de Roumains ont protesté devant l'ambassade norvégienne à Bucarest[25]. Valeriu Zgonea, président de la Chambre des députés de Roumanie, a plaidé pour soutenir la restitution des enfants à la famille Bodnariu[26].

En 2016, après que le bébé du couple a été également enlevé aux parents, l'affaire continue de susciter une vaste campagne de protestation dans le monde entier, sur les réseaux sociaux et dans la rue[27].

La famille a fini par être réunie le 20 janv2017.

L'image de Barnevernet est passablement mauvaise à l'étranger. Ainsi, 4 000 Lituaniens avaient protesté contre l'institution norvégienne dans leur pays[7].

Fuyant les persécutions du très mal nommé Office de protection des droits des enfants (Barnevernet) de sinistre réputation, la Norvégienne Silje Garmo a demandé l'asile en pologne

Pologne asile Barnevernet Norvégienne Silje Garmo

Silje Garmo et sa fille Eira en Pologne, mardi 16 janvier 
Fuyant les persécutions du très mal nommé Office de protection des droits des enfants (Barnevernet) de sinistre réputation, la Norvégienne Silje Garmo a demandé l’asile en Pologne. Réinformation TV est allée à sa rencontre dans la maison des environs de Varsovie où elle a trouvé refuge avec sa fille Eira, qui aura un an le 24 janvier. Le contact avec Mme Garmo a été rendu possible par l’organisation d’avocats et juristes polonais Ordo Iuris qui assiste la Norvégienne dans sa demande. Pour maître Jerzy Kwaśniewski, le président d’Ordo Iuris, les atteintes aux droits fondamentaux de cette mère norvégienne sont très bien documentés, de même que les abus commis par le Barnevernet et les autorités norvégiennes dans de nombreuses autres affaires d’enfants enlevés à leurs parents sur la base de décisions arbitraires (8 affaires de ce type concernant la Norvège sont en ce moment devant la CEDH). C’est ainsi que pour la première fois depuis la fin de la Deuxième guerre mondiale, la Norvège si prompte à donner des leçons de droits de l’homme aux autres pourrait bientôt voir un de ses citoyens obtenir l’asile dans un autre pays européen. 

Pourquoi avoir demandé l’asile en Pologne et pas ailleurs ?

Pourquoi avoir choisi la Pologne ? – « C’est la question que me posent la plupart des journalistes », répond Silje (« Cécile » en français) en souriant. « La première raison, c’est que j’avais de très bons amis polonais, en Norvège, mais aussi ici, en Pologne. » Rien d’étonnant à cela, la diaspora polonaise compte environ cent mille membres en Norvège et c’est pour cela que l’ONG polonaise Ordo Iuris a déjà eu maille à partir avec le Barnevernet. Mais une autre raison, explique encore Silje, c’est son expérience espagnole. En 2015, le Barnevernet avait réussi à obtenir, sur la base d’un ordre administratif, la coopération de la police espagnole pour rapatrier de force sa fille Frøya dont Silje avait pourtant légalement la garde mais à laquelle le Barnevernet s’intéressait déjà.
 
« Ils ont essayé de refaire le coup avec Eira en Pologne, mais la police polonaise a exigé pour coopérer que lui soient présentés des documents valides, prouvant que la garde d’Eira avait bien été retirée à sa mère. Bien entendu, les autorités norvégiennes n’ont pas pu produire de telles preuves, et à ce jour les autorités polonaises n’ont toujours pas reçu de documents démontrant que je n’ai pas la garde de ma fille cadette, Eira, qui a maintenant presque un an. »
 
Dernière raison invoquée par cette mère norvégienne, alors qu’il est à la mode d’accuser à la Pologne – et pas la Norvège – de ne pas respecter la démocratie et l’état de droit, Mme Garmo se dit confiante dans la justice polonaise, car « le respect pour la vie privée est très strict ici en Pologne » et « on ne peut pas rapatrier quelqu’un de Pologne sans une décision de justice ».

Comment la Norvège viole la Convention de la Haye sur la protection des enfants dont elle est pourtant signataire.

 
Du reste, depuis 2016, la Norvège est signataire de la Convention de la Haye sur la protection des enfants. Les avocats d’Ordo Iuris ont informé début septembre les autorités norvégiennes et polonaises que le lieu de résidence habituel de Mme Garmo et de sa fille Eira était en Pologne, et qu’en vertu de cette convention les deux Norvégiennes sont sous juridiction polonaise en ce qui concerne la question de la garde de l’enfant et des droits parentaux. Précisons ici que le Barnevernet n’agit pas pour le compte du père d’Eira qui n’est pas partie prenante dans le conflit entre Mme Garmo et le Barnevernet. Malgré son absence de juridiction, explique Mme Garmo, « [les autorités norvégiennes] ont invalidé mon passeport pour la seule raison qu’elles avaient une information du Barnevernet selon laquelle il faut me retirer ma fille Eira. »

Les accusations du Barnevernet contre la Norvégienne Silje Garmo infirmées par les experts médicaux polonais

 
Pour le Barnevernet, Silje Garmo abuserait de médicaments analgésiques et aurait un style de vie « chaotique », incompatible avec le rôle de mère. Les psychiatres et pédiatres dont les opinions ont été jointes à son dossier de demande d’asile en Pologne n’ont toutefois pas confirmé les reproches des Norvégiens à l’encontre de leur citoyenne. Du reste, à bientôt un an, Eira est une petite fille souriante et calme, qui commence à marcher et dit ses premiers mots, et l’on imagine mal, à voir la mère et sa fille, pour quelle raison il faudrait les séparer ! 

Le Barnevernet, une administration aux pouvoirs kafkaïens !

 
Les problèmes de Silje Garmo ont commencé en 2013, quand elle a relayé aux autorités les accusations de sa fille Frøya à l’égard de son père, les deux parents étant séparés, concernant des comportements relevant du harcèlement sexuel. Le père de Frøya a alors dénoncé Silje au Barnevernet. « Le père de Frøya a des relations bien placées et son avocat est un ancien « juge » de comité de comté, qui délivre les décisions administratives concernant la protection des enfants, et il connaît personnellement la responsable du Barnevernet pour mon quartier d’Oslo.

Notez que cette responsable, qui a menti à la police et a produit tous ces faux rapports me concernant, a aussi sa propre entreprise (sic, ça existe ? !!) de prestations de prise en charge d’enfants. Elle fait donc des affaires grâce aux décisions qu’elle prend en tant que fonctionnaire du Barnevernet ! Avec les révélations de la semaine dernière, ce type de conflits d’intérêts [des fonctionnaires du Barnevernet] fait maintenant la une des médias. »
La Norvège est-elle devenue un pays totalitaire ? « Le Barnevernet est une tragédie nationale cachée  », répond Silje. « Oui, dans certains domaines, la Norvège est un pays totalitaire. Il y a un problème au niveau de la conception du système norvégien de protection des enfants. Ce système confère des pouvoirs énormes à des gens sans éducation, car il ne faut pas avoir des compétences particulières pour travailler pour le Barnevernet. Si vous regardez la loi, tout semble correct, mais le Barnevernet ne respecte pas la loi, et il n’a à faire face à aucune conséquence. » 

Une fois qu’elle aura obtenu l’asile en Pologne, Silje Garmo veut attaquer la Norvège devant la Cour européenne des droits de l’homme
Silje Garmo espère aussi récupérer sa fille Frøya, placée chez son père contre sa volonté, en allant devant la Cour européenne des droits de l’homme grâce au dossier déjà préparé pour sa demande d’asile en Pologne. « Je pense que mon cas peut changer les choses », dit-elle avec espoir, « car je suis la première personne qui s’est échappée de Norvège non seulement avec son enfant mais aussi avec toutes ces preuves qui montrent comment ils agissent pour fabriquer des histoires quand ils veulent enlever un enfant à sa famille. Ils ont essayé de me faire rapatrier de Pologne mais ils n’ont pas réussi. Que peuvent-ils maintenant ? Ils ont probablement très peur, parce qu’ils n’ont aucun pouvoir sur ce que je dis et ils n’ont pas d’enfant en otage. Quand le Barnevernet enlève des enfants à leurs parents, ces derniers gardent le silence parce qu’on les menace de ne plus jamais revoir leurs enfants. C’est aussi ce qu’on m’a dit pour Frøya. Mais dans mon cas, ils ne peuvent plus faire pression sur moi depuis la Norvège. Et c’est pourquoi je me sens le devoir de me battre aussi pour tous les enfants victime de ce système cruel. »

autre témoignage, en Allemagne cette fois :

 Ce 21 avril 2016 après 20 heures, vous êtes à table en train de souper avec votre enfant. Soudain ça hurle à votre porte et sonne de manière agitée. Vous entendez hurler des ordres, « ouvrez la porte ! Polizei ! ». Vous n’avez pas le temps de réagir que votre porte d’entrée est défoncée par la police qui est accompagnée d’agents du Jugendamt. Voilà ce que la population allemande subit 24 h sur 24 dans l’indifférence totale des média et des élites européennes. Nous avons reçu un nouveau témoignage d’une mère allemande dont son fils, Tobias Kucharz, âgé de 12 ans, a été hier enlevé à Kaiserslautern par la police et les agents du Jugendamt dans une violence digne des films sur la Gestapo ou sur la Stasi.

Un peuple sous la répression totale. Cela fait plus de 15 ans maintenant que j’observe les vols des enfants en Allemagne. Rien ne change depuis le début de mes recherches où j’avais rencontré en 2000 un groupe de parents silencieux en train de faire une manifestation à Berlin tenant dans leurs mains des photos de leurs enfants disparus-volés par la police et le Jugendamt-avec le nombre de jours inscrits sous la photo. Ces parents étaint silencieux. Leur silence je ne le comprenais pas. La police cherchait une excuse pour les arrêter… Alors le silence était leur seule arme. Les personnes, qui ne connaissent pas encore ce sujet, ont du mal à y croire. Là, on s’imagine tout de suite que si la police intervient dans une famille, c’est q’il y a une raison très grave qui le justifie. Mais cela est très souvent faux en Allemagne. Les arrestations et les vols des enfants répondent à un mécanisme idéologique et commerciale voulue par la politique de ce pays. Le Jugendamt, machine à sous et à contrôler les familles fondée avec l’arrivée de l’industrialisation (pour voler les enfants des pauvres et des ouvriers polonais ou russes), utilisé sous le 3ème Reich pour voler et germaniser des milliers d’enfants avec le Lebensborn, intensifie aujourd’hui les vols des enfants sous les ordres de la politique allemande et des experts de la petite enfance. Les médecins, les psychologues, les psychiatres, les sages-femmes, les assistantes sociales, les enseignants, les directeurs et directrices d’école, le personnel des maternelles, travaillent avec la police pour effectuer les signalements et dénoncer ! La justice allemande ne reconnaît pas les décisions de justice des autres pays et changent sans décision de justice les actes de naissance des enfants nés dans un autre pays. Les élites françaises sont informés de cette situation mais elles ne font rien. Plus de 400 enfants sont retirés par jour en Allemagne à leurs parents dans la violence par la police et le Jugendamt ! Le Jugendamt avec la police écrase des milliers de vies, détruisent des familles, tuent des enfants et des parents ! C’est Tobias, il a 12 ans et il vit avec sa mère dans une maison à Kaiserslautern. Il est un peu différent des autres enfants dans sa manière de penser mais il est normal. « Tobias est plus sensible que les enfants englués dans la masse », dit sa mère. Tobias a manqué à plusieurs reprises l’école. Tobias se sent mal traité par les autres enfants à l’école et préfère apprendre à la maison. Les psychologues et les enseignants ont déclaré Tobias atteint d’une maladie nommé ADS (maladie imaginaire). Son enseignante a « signalé » le comportement de la famille au Jugendamt. Tobias serait un enfant agité qui n’arriverait pas à se concentrer en cours. (cf le poème de Prévert …) Voilà la raison de l’intervention de la Polizei et du Jugendamt ce 21 avril 2016 vers 20 heures chez lui. Des milliers d’enfants sont catalogués ADS en Allemagne sans raison valable. L’objectif est de trouver une raison pour les voler à leurs parents et les placer dans un centre pour enfants. Derrière cette idée se trouve un modèle économique géant et aussi l’idée de détruire les familles. L’objectif est de rééduquer les enfants et de faire de l’argent avec. Les enseignants collaborent avec la police et le Jugendamt et dénoncent les familles ! Ceux qui critiquent la politique officielle ou les chômeurs sont touchés. Les lecteurs, qui ne connaissent pas le sujet, pensent à un récit digne de la science-fiction. En 2000, au début de mes recherches, je pensais que les parents, qui manifestaient, étaient des fous ! Comment imaginer qu’une telle situation puisse exister aujourd’hui dans un pays en Europe ?

Vidéos prises par la tante de Tobias le 21 avril 2016 vers 20 heures quand la police est rentrée dans la maison

Dans cette première vidéo nous voyons la police rentrer dans la maison. Les policiers ont une allure martiale et une voix de Gestapistes. La police (on voit aussi un jeune policier qui a peine 24 ans) donne des ordres à la famille dans sa maison, “où est notre ami ?”. La tante doit dire “en haut”. La police monte l’escalier. Dans la chambre de l’enfant se trouve la maman. La police la pousse et lui hurle, “quittez le terrain ! sinon nous vous amenons en prison !”. La mère est obligée de partir sous la menance. Le policier hurle “Platzverweis” qui veut dire “ordre de quitter l’endroit sinon c’est l’arrestation immédiate”. On entend Tobias hurler de peur qui hurle, “laissez moi, je ne veux pas partir …”

Dans cette vidéo violente nous voyons la police allemande menotter Tobias aux mains et aux pieds en l’écrasant de leur corps et l’empêchant de hurler. Tobias hurle, appelle à l’aide sa maman. « Maman ! Aide moi »…. mais sa maman lui dit, « je ne peux rien faire mon chéri ! ». Si la mère l’aide la police va aussi mettre les menottes à la mère et elle risque d’être internée d’office en psychiatrie. Je connais de nombreux cas similaires. Cette vidéo enregistrée par la sœur de la maman permet d’apporter un témoignage sur la violence qui a lieu au quotidien en Allemagne.

L’Allemagne, qui vante le bien-être (Kindeswohl) de l’enfant et le respect de sa volonté (Kindeswille), ne respecte en rien le bien être de l’enfant et surtout pas sa volonté. Dans cette vidéo Tobias hurle et dit « je ne veux pas quitter ma maman ». La police et le Jugendamt ne respectent pas son souhait ! Pourtant la justice allemande use des mots Kindeswohl et Kindeswille pour voler les enfants aux parents.Olivier RenaultParmi les catégories persécutées par le régime nazi à côté des handicapés de naissance (les premiers à avoir été exterminés systématiquement) les communistes (les premiers a avoir été diabolisés et enfermés dans des camps) les juifs, les tziganes, les homosexuels (dont tout le monde se foutait il y a pas encore longtemps jusqu'à ce que maintenant ils deviennent à la mode), il y a eu aussi les Témoins de Jéhovah. Mais eux, aussi bien à l'époque (et  pourtant ce furent les premiers à diffuser internationalement dans leur presse la vérité sur ce qu'il se passait en Allemagne, mais déjà à l'époque personne ne lisait leur presse) que maintenant n'ont jamais été de "bonnes" victimes auxquelles les bien-pensants aimassent à s'identifier ..... Or ces Témoins de Jéhovah qui, comme (normalement .....) tout chrétien, ne respectaient que les commandements de Dieu et non ceux des hommes, et de surcroît refusaient de devenir soldats étaient évidemment très mal vus des nazis. Et on enlevait les enfants Témoins de Jéhovah de leurs parents, et bien sûr c'étaient les Services Sociaux qui s'occupaient de ça, la DDASS allemande, ("on Care" on dit en anglais), ou l'instituteur :
"Ces enfants sont en rupture avec la société et sa mission consiste à les y intégrer", or "En se distinguant des autres par leur comportement, ils apparaissent conditionnés par les idées "sectaires" de leurs parents" "Les parents dont l'éducation était jugée défaillante étaient déchus de leurs droits" (pratique très à la mode de nos jours ...) et en fait les bons allemands soucieux de l'ordre social trouvaient ça très bien. etc, etc

Quand on relit tout ça, quand on compare avec les pratiques typiques de notre époque actuelle, quand on se souvient de l'analyse de Zygmunt Bauman selon laquelle le nazisme est une exacerbation typique de la pensée du monde moderne ça redonne à la problématique du nazisme une actualité certaine, et donne à penser.

21/05/2018

en IRAK

https://www.ouest-france.fr/monde/irak/irak-moqtada-sadr-remporte-les-elections-legislatives-5769037

de ce "rapport" confus, brouillon, et manquant énormément de précisions, et de données numériques, il résulte que
une coalition, qui a la côte auprès des habitants les plus déshérités de Bagdad, et qui est allié avec les communistes, antimpérialiste, et qualifié de "populiste" par le monde des journaputes, ce qui est un bon signe en général ! et de "antisystème", a battu la coalition (c'est tout des coalitions de partis, ce qui en dit long sur l'extrême éparpillement des forces politiques en Irak !) de l'actuel premier ministre qui est bien vu de la fameuse "communauté internationale", traduisez des seuls USA !.
Bon ça a l'air d'être bon signe ces résultats. Mais il faut relativiser : seulement 44% des gens on voté !! on dirait le second tour de la présidentielle française 
Ce qui veut dire a priori que 56% des irakiens ne se reconnaissent dans aucun des partis en présence ! normalement, une élection comme ça devrait être annulée et refaite ! c'est logique !

14/05/2018

parité ? vous avez dit parité ?

Maxime Gremetz, Né en 1940, ce fils de bûcheron né dans une famille de 9 enfants, s’engagea au Parti communiste français à 15 ans. Ouvrier métallurgiste, élu au Conseil général de la Somme en 1970, responsable communiste de la Fédération de la Somme, il fut élu au Comité central du Parti Communiste Français en 1973, puis au Bureau politique en 1976 et enfin au Secrétariat du Parti Communiste Français en 1979, date à laquelle il signa la préface de l’ouvrage évoqué ici. Il était l'UNIQUE et  dernier député d'origine ouvrière de l'Assemblée dite "NATIONALE" .....
Maintenant il n'y en a plus du tout !

maxime-gremetz-prefacier-1940.jpg

euh, la parité ouvriers/patrons c’est pas plus important pour la démocratie que celle hommes/femmes ?
Comment se fait-il qu’ils s’amusent à faire des lois pour imposer une parité hommes/femmes mais rien, rien de rien, pour la parité sociale ?
Pourtant une directrice des ressources humaines ou une conseillère fiscale vous croyez vraiment qu’elle a des des
intérêts différents d’un directeur des ressources humain ou un conseiller fiscal de sexe masculin ? par contre elles n’ont pas du tout les mêmes intérêts à représenter qu’une caissière de supermarché !!

Oui, on n’est pas là en train de découvrir des choses sur ces fameuses « féministes » ? ….
Vous savez Parménide disait « c’est par le raisonnement qu’il faut résoudre les problèmes, il n’y a qu’une seule voie pour le courage » et Aimé Michel « il ne faut jamais s’abstenir de penser ».

13/05/2018

"on s'fait une petite réunion" et après "on mange une pizz" ou mai 68

De mai 68 est sorti une nouvelle bourgeoisie qui sous ses airs désinvoltes est plus dure et cynique que l'ancienne, et une société précarisée, normalisée, et rongée par le racisme social !

En 1999, Daniel Cohn-Bendit AVOUE ! Et déclare être "libéral-libertaire" reprenant ainsi à son compte un concept créé en 1972 par le sociologue Michel Clouscard. A partir du plan Marshall, Clouscard nous enseigne que le capitalisme a besoin d'éviter une crise de surproduction. Le capitalisme a également intérêt à contenir la menace communiste. Quant à Charles de Gaulle, il semble acquis que sa résistance au diktat américain ne fut pas du goût de tout le monde. L'émergence d'une nouvelle industrie (légère) voit apparaître un nouveau mode de consommation. La société des gadgets est née. En conséquence de quoi le capitalisme peut user d'une nouvelle arme (la séduction). Cette stratégie vise à liquider la question sociale et tuer dans l'oeuf le socialisme. (d’où la création de l’Union Européenne, ce « puissant levier », pour l’exploitatio et « assurance-vie contre le socialismé ») Mais la consommation ce n'est pas pour toutes les strates de la population, remarque Michel Clouscard. La société libérale est répressive envers les producteurs (le prolétariat)

(par ailleurs moquée et déméprisée de plus en plus « l’axe du mal à elle toute seule » ! souvenez-vous du film dont on a rit naïvement sans se rendre compte du racisme social qu’il instillait « La vie est un long fleuve tranquille » ! par la suite on a créé « populisme » pour que les gens associent de manière indissoluble le peuple avec tout ce qui est « caca » !)

et elle est permissive envers les consommateurs (la bourgeoisie). Regardez les pubs et lisez les annonces matrimoniales qu’on trouve dans le « Nouvel Observateur » le magazine censé être « de gauche » ! il n’y a pas besoin de beaucoup de pensée marxiste pour comprendre tout de suite !!

Clouscard souligne ainsi l'importance de distinguer le mai 68 bourgeois et sociétal du mai 68 social des Accords de Grenelle. Il insiste sur le fait que contrairement aux apparences il y a des collusions d'intérêts entre les tenants du jouir sans entrave et les responsables de l'économie capitaliste. La consommation libidinale et ludique est réservée à une élite fortunée. En somme, la classe ouvrière doit, elle, se contenter de rêver. Cette nouvelle consommation qu'il faut dissocier des biens d'équipement (lave-linges, automobiles...) s'appuie sur une nouvelle morale qui fait que la liberté devient liberté d'entreprendre (liberté du patron). L’éthique, elle, en est réduite à la soumission « citoyenne » à tous les dogmes en vogue et imposés par les appartchiks du pouvoir . La quête du sublime devient une affaire de goût, décré comme « ringard » et « fasciste » ! Les termes “lutte des classes” ou encore “prolétariat” ne font plus partie du vocabulaire (et sont même interdits avec dégoût, « Staline ! » caca !) de ce qu'il convient d'appeler la « gauche » mondaine, une néo-gauche qui petit à petit a fait de la classe ouvrière la classe fantôme, même celle du tiers-monde celle pourtant qui maintenant produit - elle ! - et travaille pour nous, enfin pour les gras profits des "groupes" dont les cadres, si performants ! autoproclamés "créateurs de richesse" ! (sic!) et "dynamiques", se pavanent dans nos tours blindées sous air conditionné vigiles privés et digicodes.

Selon Clouscard, le capitalisme veut à l'évidence un comportement d'individualisation (oui mais à condition de rester bien dans les rails "citoyens" de l'uniformité de mode, et de l'obéissance stricte - sinon diabolisation à outrance - aux préjugés, comportements, abstinences imposées, normes de rigueur, et "opinions" édictées par les maîtres à penser autorisés par l'Etat !)

En substance, Michel Clouscard suggère qu'à la vue de l'émergence du socialisme, le libéralisme-libertaire est une contre-révolution parfaite. Premièrement, la néo-féodalité qui s’incarne de facto dans le grand capital et la rente foncière, a poursuivi son entreprise de pourrissement via ses courroies de transmission que sont les médias. Deuxièmement, la nouvelle bourgeoisie qui s’incarne dans l'élite intellectuelle, les diplomés de l’Universté, de nos jours de manière significative on dit « diplomés » ce qui sous-entend que tous les diplômes qui sont en-dessous ne sont pas des diplômes !!! ... d’ailleurs de nos jours pour la « basse-cour qui fait l’opinion » en-dessous de la maîtrise tu es un sous-homme !) l'élite entrepreneuriale (rebaptisée « la société civile »!) et le star-système, a généré des stratégies de diversion pour garantir ses privilèges.

La sphère des médias, du divertissement de style amerloque et de l'audiovisuel va s'avérer être une formidable structure de rayonnement de la propagande libérale-libertaire. En se présentant “plus à gauche que la gauche”, la pseudo rébellion libérale-libertaire va effacer des consciences l'idée même de lutte des classes. Le prolétariat n'est plus le sujet de l'histoire.

Dès l'après mai 68, Michel Clouscard attire notre attention sur le véritable rôle des nouveaux faiseurs d'opinion. Selon lui, ils sont les idéologues d'une doctrine contre-révolutionnaire qu'il qualifie de libérale-libertaire. Par son style libertaire et ses idées franchement libérales Daniel Cohn-Bendit est assurément la figure emblématique de la contre-révolution bourgeoise. Si l'indélicatesse est son principal attribut, un examen de ses états de service nous indique qu'il est inutile de rechercher chez lui une quelconque traîtrise. Daniel Cohn-Bendit est tout simplement devenu ce qu'il a toujours été : un bourgeois astucieux et élitiste soucieux de conserver ses privilèges. Quelle que soit la couleur de son maquillage, le mépris des classes populaires est une constante dans son parcours politique. Par conséquent, il n'a jamais supporté les structures politiques (syndicats et partis) qui à travers l'histoire des luttes sociales ont participé à l'émancipation de la classe ouvrière. Sa version des droits de l'homme n'est qu'un vulgaire détournement qui a pour objectif la justification des guerres que mène l'Occident pour des intérêts à la fois économiques et géostratégiques. Enfin, il est européiste car l'UE au demeurant atlantiste, est totalement assujettie aux puissances de l'argent. Une position qui lui a sans nul doute permis de contribuer à l'élection d’Emmanuel Macron en 2017, un nouveau Président qui illustre parfaitement le “mix” entre le libéralisme - libertaire et la nostalgie de l'ancien régime.

sources : Agoravox, et moi-même

12/05/2018

la "mondialisation" stade ultime du capitalisme

 

arton181088-be9feC’est une sorte d’hydre à plusieurs têtes ; avant on l’appelait « GAFA » pour « Google, Apple, Facebook, Amazon » mais d’autres têtes lui ont poussé depuis… Twitter, Netflix, Uber… Et puis il y a toujours Monsanto, Total, Goldman Sachs, et quelques autres encore… mais elles ne sont pas tant que ça en définitive.

Sauf que ce monstre insatiable est en train de mener une lutte acharnée pour le pouvoir, et ce sur deux fronts en même temps : contre les citoyens bien sûr (les lanceurs d’alerte vous le confirmeront !), mais aussi contre les Etats qui refusent de se soumettre à leurs exigences -ou ne le font pas assez vite.

On soupçonnait bien qu’un jour les financiers finiraient par s'affronter aux politiques, inévitablement : leurs intérêts divergent à partir du moment où la compromission du pouvoir politique par le pouvoir financier commence à être rendue publique (Luxleaks, Panama papers pour ne citer que les affaires les plus récentes). Internet -et sa force de frappe planétaire- est un danger pour tous les tricheurs qui veulent rester discrets : c’est pour cela qu’ils poussent les politiques à adopter, pour leur propre sécurité mutuelle, des mesures restrictives sur tout ce qui concerne les libertés sur internet ; le terrorisme étant le biais idéal pour faire passer la fin des libertés sur internet comme un sacrifice difficile -mais nécessaire- à accepter.

Sacrifice qui s’ajoute à ceux exigés par les politiques quand les financiers commandent des lois aux politiques qui les servent (et se servent eux-mêmes au passage)… Contraints de faire passer la pilule auprès des peuples qui ne sont pas toujours d’accord (ce qui ajoute une raison de contrôler internet !), nos hommes politiques sont parfois quelque peu réticents à risquer leur place pour quelques accommodements avec leurs convictions. Regardez le TAFTA : des dispositions légales impliquant une égalité de pouvoir entre une entreprise et un Etat pose des problèmes à tous : les politiques rechignent à signer par peur du peuple qui doit continuer de les élire, tandis que les entreprises payent des sommes considérables pour obtenir ces signatures. Même si au bout du compte ces accords seront adoptés bon gré mal gré, le temps et l’argent perdu par les multinationales pour obtenir la légalisation de leurs comportements immoraux les empêche d’avancer comme ils veulent… d’autant que ces traités sont sujets à changements au gré des alternances gouvernementales.

 Quand on pense que certaines entreprises possèdent des ressources financières parfois bien plus importantes que celles d’Etats entiers -dettes comprises !- on est en droit de se demander si des pays entiers ne pourront pas être définitivement achetés par une entreprise -un peu comme dans « les condamnés à mort », un livre que j’ai découvert il y a peu, écrit en 1920 par « Claude Farrère ». Ainsi ils supprimeraient les intermédiaires gênants qui ralentissent le bon déroulement des affaires.

Du coup se pose également la question de la démocratie : ne nuirait-elle donc pas aux affaires ? Alors que la Chine rachète tout ce qu’elle peut de par le monde, la démocratie devrait-elle empêcher « l’Occident » continuer de vivre dans l’opulence ? Cette façade idéologique marque bien toute l’hypocrisie de ce genre de discours, alors que ce sont ces mêmes Apple, Facebook ou Amazon qui exploitent le travail de ces Chinois, dont les plus corrompus gagnent des fortunes. C’est qu’en réalité il n’y a pas de combat entre le nord et le sud, pas plus qu’entre l’est et l’ouest. Le combat est celui des riches contre les pauvres. A l’heure où il est de bon ton de s’alarmer du climat, de la surpopulation, des terroristes, de la pollution, on peut se demander si l’on essaye pas de nous faire peu à peu comprendre qu’il n’y a pas de place pour tout le monde, et que par conséquent on ne gardera que « les meilleurs »…

Ce qui se passe actuellement est une offensive directe de la part de quelques entreprises géantes qui ne veulent plus se laisser emmerder par la démocratie, même fictive. Ils veulent lever le rideau et prendre les commandes en direct. Quittes à imposer la dictature.

Le mouvement de concentration des médias et leur rachat malgré leur faible rentabilité montre également à quel point la bataille de l’opinion doit quand même leur être acquise avant de donner l’assaut final. Prêts à dépenser des milliards pour obtenir nos données, pour nous faire voir le monde à leur manière, ils désirent contrôler ce que nous avons le droit de savoir ou de ne pas savoir, ce que nous devons vouloir ou ne pas vouloir, afin de continuer à nous vendre leurs produits, ainsi que leur idéologie : soyez les meilleurs, sinon vous n’aurez pas votre place parmi les « élus ».

 Cette concentration constitue la dernière étape du système capitaliste, qui pourrait conduire au rachat de pays entiers par des multinationales qui gèreront les peuples à la manière de leurs entreprises, avec les moyens techniques de surveillance et de contrôle dont ils disposent. Les riches ont pris l’ascendant et sont bel et bien en train de gagner la lutte des classes. Leur puissance a atteint de tels sommets qu’il est désormais impossible de leur faire entendre raison : too big too fail, un point c’est tout !

De leur point de vue, c’est d’une logique imparable : de la même manière que Monsanto achète petit à petit toutes les entreprises qui produisent des semences « non-OGM » afin de les empêcher de « nuire aux affaires », et que la Chine (pays devenu capitaliste depuis que le Parti Communiste Chinois de "parti de la classe ouvrière" est devenu "Le parti des entrepreneurs") à son tour achète l'immonde et mortifère Sygenta, chaque multinationale dominante désire racheter ses concurrents pour les rendre inoffensifs. Toutes les barrières réglementaires qui contraignent leur puissance est un ennemi à abattre. Et la démocratie nuit aux affaires. Comme l’écologie et les journalistes, ou les droits sociaux.

 Tant que l’on ne remettra pas en cause l’idéologie qui érige la rentabilité en valeur supérieure à toutes les autres il ne peut y avoir ni démocratie ni écologie ; mais il y aura des guerres, et de la misère aussi. Car dans un monde où la rentabilité est la valeur supérieure, il n’y a pas de limite à l’exploitation de l’homme.

Caleb Irri

 

Et le "Bohemian Club" vous connaissez ?


Le Bohemian Club : la secte planétaire
Source : crashdebug.fr – texte de 2001
La « mondialisation » signifie la liberté pour les possesseurs du capital d’exploiter librement la main-d’oeuvre et les ressources du monde. Tout ce qui peut opposer une résistance à la maximisation des profits – syndicats, règlements pour protéger l’environnement, services publics ou indépendance nationale – doit être cassé et détruit.

Les maîtres de la « mondialisation » cherchent à « discipliner » les peuples les plus pauvres et les travailleurs de la planète tout en nous forçant à accepter la dictature du « marché » et les conditions de travail et de vie misérables qu’ils imposent. L’élite souveraine utilise la Banque mondiale, le Fonds Monétaire International et l’OMC pour mettre en pratique des plans d’austérité dans un grand nombre de pays pauvres. Ceux qui résistent sont assujettis aux conflits armés, aux interventions, à l’occupation et au blocus – d’Irak à Cuba, de la Palestine à la Corée, de la Colombie à l’Angola, de la Chine au Mexique. Dans cette quête visant à la domination du monde, le gouvernement Bush propose une nouvelle version de Guerre des Etoiles et poursuit son programme nucléaire, prétextant que le programme de bouclier anti-missiles (NMD, National Missile Defense) est essentiellement un outil de défense. Mais Bush junior rajoute que, sur la politique étrangère en général, l’objectif est de montrer la « force et l’autorité de l’Amérique » dans le monde.

Que cache cet événement de plein air où, à partir du 14 juillet 2001 et durant trois semaines consécutives, les protagonistes sont censés suivre des conférences et des discussions politiques, assister à des divertissements et des pièces de théâtre, et même participer à des rituels ? Les arbres de la forêt du Bohemian Club cacheraient une orgie sacrificielle que la nature de ses membres ne laissait pas envisager, mais dont le but met en jeu l’avenir de chacun d’entre nous.

Un Club de l’élite
Le Bohemian Club accueille dans la forêtd’ californienne les américains les plus riches, et quelques étrangers européens (entre autres Michel Rocard … et Giscard) ou asiatiques. Ces membres sont au nombre de 2235. La majorité est californienne, alors que les autres proviennent de 35 états et une douzaine de pays étrangers. Environ un cinquième des membres est directeur d’une ou plus des 1000 compagnies classées dans le magazine Fortune, PDG d’entreprise, hauts fonctionnaires gouvernementaux au sommet et/ou membre d’importants conseils politiques ou de fondations majeures. Le reste des membres se décompose essentiellement en une élite de la justice et du business avec un petit mélange d’universitaire, d’officiers militaires, d’artistes, ou de docteurs en médecine. Les PDG, chefs d’État, et écrivains à gros tirages représentent au total le quart de la fortune privée des Etats-Unis.

 

08/05/2018

nous donnons notre consentement à ce qu'ils sont en train de faire ! est-ce que vous comprenez ça ?


05/05/2018

pour visionner intelligent lors des soirées en famille


et :


sur Meta TV la TV qui ne vous prend pas pour des cons ! la soirée "L'antenne est à vous"

extrait :
"L'Antenne est à vous" les auditeurs... par metatvofficiel

autre extrait  :
"L'antenne est à vous" - vers une révolution... par metatvofficiel

 

*le lien permanent : http://metatv.org/

 

Macron est un pion au service d'une oligarchie


01/05/2018

Benoit Coeuré ! si "on" n'avait pas supprimé le crime de Haute-Trahison "il était bon" là ! Vincent Brousseau le bon sens de l'UPR


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