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05/09/2025

Dans tous les cas, nous devrons démanteler les structures comme Blackrock, Vanguard, Amundi… pour supprimer leur influence et arrêter leurs dirigeants

eh oui ! ça s'appelle la luttes des classes

La santé comme nouveau champ de bataille

par Phil Broq. Lu le 23/5/2025

Croire que les fabricants de médicaments œuvrent pour la santé, c’est comme croire que les marchands d’armes œuvrent pour la paix. Lorsque ces deux forces se croisent, elles ne construisent pas un monde plus sûr. Elles engendrent l’OMS, une organisation qui, loin d’être un bastion de protection sanitaire, est devenue l’instrument de domination des mondialistes, de manipulation et de spoliation des souverainetés comme des libertés humaines.

Ce 20 mai 2025 marquera une nouvelle page sombre dans l’histoire de la gouvernance mondiale où la 78ème Assemblée mondiale de la santé a officiellement ratifié un «traité pandémique» qui, sous prétexte de protéger la planète, offre les pleins pouvoirs à une institution corrompue jusqu’à l’os nommée l’OMS.

Sous son vernis humanitaire, cette organisation, grassement financée par des intérêts privés comme la Fondation Bill Gates, et dirigée par un homme à la réputation sulfureuse (un ancien ministre éthiopien dont les casseroles incluent de lourdes accusations liées aux massacres au Rwanda) se mue en véritable police sanitaire mondiale. Sans mandat démocratique, sans contrôle parlementaire, sans consultation des peuples, l’OMS s’octroie désormais le droit de dicter des mesures liberticides à des nations entières. Vaccination obligatoire imposée à marche forcée, confinements planétaires décrétés d’un simple claquement de doigts, passeports numériques traquant chaque citoyen.

Mais cette mascarade n’a pas dupé tout le monde. Certains pays, encore debout, ont refusé de se faire enrôler dans cette farce tyrannique : États-Unis, Russie, Chine, Brésil, Inde, Afrique du Sud, Israël, Égypte, Turquie… Ces nations ont reconnu la manœuvre. Elles ont compris que ce traité n’est rien d’autre qu’un cheval de Troie et une nouvelle tentative de prise de pouvoir globale, un mécanisme soigneusement huilé pour dépouiller les peuples de leur souveraineté et suspendre les constitutions sous prétexte de «crise». Ce n’est plus une théorie conspirationniste, c’est une opération bien réelle qui se déploie sous nos yeux. C’est une stratégie planifiée, une opération systémique pour dépouiller les peuples, suspendre les constitutions et centraliser le pouvoir sous couvert de santé publique. Les «grands» de ce monde n’ont pas construit des hôpitaux. Ils ont bâti des usines à virus pour stériliser et dépeupler la planète entière. Un programme froidement orchestré par une élite technocratique qui ne construit plus que des laboratoires d’expérimentation à ciel ouvert aux quatre coins de la Terre. Tels que les laboratoires officiels de type P4, et tous ceux, clandestins, non répertoriés. Le Covid n’était visiblement que l’échauffement.

Depuis des décennies, des générations entières ont été éduquées, manipulées, et conditionnées à placer une confiance aveugle dans les institutions internationales comme l’OMS, l’ONU, le CDC, le NIH, et GAVI. Ces organisations, massivement soutenues par les gouvernements, les médias et les grandes puissances financières, se sont peu à peu imposées comme des garants de la santé et du bien-être mondial. Elles sont perçues, à tort, comme des bastions d’impartialité, de dévotion humanitaire, et de bienveillance universelle. Mais derrière cette façade lisse et réconfortante se cache la plus perfide des mascarades. Loin d’être des sauveurs de l’humanité, ces institutions sont les rouages d’une machine de contrôle global mise en place pour broyer l’humanité et accomplir un plan machiavélique. Et cette machine n’est pas dirigée par des médecins ou des scientifiques œuvrant pour le bien de l’humanité, mais par des financiers, des technocrates sans scrupules, des industriels allant de l’armement à l’agro alimentation jusqu’aux cartels pharmaceutiques, tous plus intéressés par le profit que par la santé publique et le bien-être de l’humanité.

Très loin de protéger la population mondiale, pour lequel elles avaient un mandat, ces organisations ont surtout tissé un réseau d’influence tentaculaire, un cartel transnational aux intérêts totalitaires et financiers ignobles. Leurs véritables objectifs ne sont surement pas la protection de la santé, mais bien la privatisation des droits fondamentaux, la concentration du pouvoir économique et politique, et l’exploitation sans limites des citoyens comme des ressources naturelles. Le contrôle, cette fois sous couvert de science et de bien-être, est devenu leur vocation suprême. Un contrôle qui ne se limite pas seulement à la santé publique, mais qui englobe la vie privée, les libertés individuelles, et, plus insidieusement, l’autonomie des nations.

Ces cartels transnationaux ont réussi à infiltrer les plus hautes sphères du pouvoir, armés de milliards d’euros, de dollars et de puissants relais médiatiques. Au fur et à mesure que ces organisations ont consolidé leur pouvoir, elles ont mis en place un système complexe et opaque de surveillance mondiale où chaque aspect de la vie humaine est minutieusement observé, mesuré et contrôlé. Ce qui est recherchée, c’est la conformité totale et de tous à leur plan. Les citoyens ne sont plus des individus libres, mais des objets d’expérimentation ou des unités économiques à réguler, exploiter et contrôler.

Tout a été mis en œuvre pour créer un monde où la santé et la sécurité deviennent les justifications idéales pour des mesures d’une violence silencieuse et pernicieuse appuyée par des restrictions des libertés individuelles, de l’obéissance forcée, et la transformation de la population mondiale en un mouvement de troupeau numérique où chaque geste, chaque parole, chaque pensée est traquée, enregistrée, et modulée pour mieux servir les intérêts de ce Nouvel Ordre Mondial mafieux.

L’influence de ces organisations n’est pas seulement économique, elle est aussi profondément politique. Les gouvernements, aveuglés par des financements visant à les corrompre, du chantage sous toutes ses formes et des accords secrets, ont largement laissé les technocrates de l’OMS et les financiers de GAVI dicter les grandes lignes des politiques publiques mondiales. Des décisions cruciales, qui devraient relever des autorités élues démocratiquement, sont désormais prises dans l’ombre, loin de tout contrôle populaire. Par exemple, l’OMS, avec sa charte de neutralité et son prétendu rôle d’organisme international indépendant, a acquis un pouvoir démesuré dans la gestion des crises sanitaires mondiales. Mais cet «indépendance» n’est qu’une illusion. Derrière cette façade de neutralité, on retrouve les mains de Bill Gates, George Soros, et d’autres magnats de l’industrie pharmaceutique, qui dictent les priorités sanitaires non pas en fonction des besoins réels des populations, mais des profits à générer.

GAVI, par exemple, loin d’être une simple organisation humanitaire, est en réalité un moteur de privatisation de la santé mondiale, transformant la santé publique en marché mondial lucratif. Ce qui semblait être une noble initiative pour fournir des vaccins aux populations les plus pauvres s’est rapidement transformé en un mécanisme de domination, où les décisions de vaccination sont désormais gouvernées par des intérêts privés. Le système, loin de sauver des vies, impose une dépendance économique aux pays les plus vulnérables, leur fournissant des solutions imposées, mais d’une efficacité douteuse, et à un coût astronomique.

Dans ce système, tout est orchestré pour diviser et régner, pour maintenir un statu quo économique où l’élite mondiale détient toutes les cartes. Et ce contrôle se poursuit même après la crise avec la surveillance numérique imposée par des outils comme les passeports sanitaires numériques. Et on constate que les crypto monnaies d’état ne sont pas qu’une réponse à une crise sanitaire ou financière. C’est une reconfiguration totale des sociétés humaines, où la liberté individuelle devient une exception et où chaque mouvement est scruté et analysé. La traçabilité des comportements et des échanges commerciaux devient la norme. La vie privée n’est plus qu’une relique du passé. L’individu est transformé en une unité de contrôle dans un système de crédit social où le comportement est évalué, noté et, à terme, manipulé pour servir les grands intérêts économiques.

L’objectif final est d’imposer une dictature technocratique, où les libertés humaines ne sont plus qu’un souvenir lointain. La santé, au lieu d’être un droit universel, devient un moyen d’asservissement ; un outil de domination, où la peur est cultivée et exploitée pour justifier des mesures de contrôle toujours plus invasives et autoritaires. Ainsi, le véritable cartel pharmaceutique, en réalité, n’est pas constitué uniquement de laboratoires et de financiers, mais d’un réseau tentaculaire d’acteurs politiques, financiers et industriels qui s’entrelacent dans une convergence d’intérêts privés, créant ainsi une architecture de domination invisible. Ce gouvernement mondial, non élu et largement opaque, a une seule finalité de maintenir les peuples sous contrôle, réduire à néant toute forme de souveraineté nationale et imposer un système de surveillance totale.

Les véritables maîtres de ce système ne sont ni la science ni l’éthique, mais la rentabilité, l’oppression et la volonté de rétablir un esclavage 2,0 pour succéder à l’esclavage antique (et au servage et au prolétariat du XIXè siècle). Et à la tête de ce cartel, se trouvent des figures comme Fauci, Obama, Clinton, Biden, Soros, Gates, Klaus Schwab, des hommes et des femmes de pouvoir qui, sous couvert de lutter contre les crises qu’ils créent de toutes pièces, mènent une guerre ouverte contre la liberté, et l’indépendance des peuples.

La pandémie de Covid-19 leur a servi de cheval de Troie et d’entrainement (après la « psy-op » du tabac!). Car sous le prétexte de protéger les populations d’un hypothétique danger, diffusé à haute dose par leurs médias de propagande, le monde entier a été verrouillé. Les économies ont été brisées, les libertés piétinées, et l’obéissance fut imposée par des pseudos «experts» juges et parties. Mais cette crise sanitaire n’était que l’introduction d’un plan machiavélique bien plus vaste. C’est ainsi que l’Ukraine, ce pays dévasté par la guerre et rongé par la corruption, s’est transformé en un laboratoire biologique secret, où des expériences dangereuses sur des pathogènes mortels se menaient à l’abri des regards internationaux. C’était le terrain de jeu idéal pour une manipulation à grande échelle.

Sous la présidence de Barack Obama, un projet de coopération sanitaire a été lancé en 2005 avec l’Ukraine. Ce que l’on a vendu comme un programme d’aide humanitaire dissimulait en réalité des objectifs bien plus sinistres où des millions de dollars ont été injectés dans des biolaboratoires qui n’étaient pas destinés à sauver des vies, mais à développer des armes biologiques. Un projet qui a pris une ampleur considérable sous la présidence de Joe Biden. À partir de là, Metabiota, une entreprise liée à la recherche biologique, a servi de tête de pont pour infiltrer des fonds et des projets secrets. Il est impossible de dissocier Hunter Biden, le fils de l’ancien président, de cette affaire. Bien que les médias subventionnés aient tenté de disqualifier ces révélations en les qualifiant de «conspirationnistes», des documents et des témoignages prouvent clairement des liens directs entre Biden et ces laboratoires ukrainiens.

Mais la question centrale demeure : pourquoi l’Ukraine, avec son manque de surveillance, ses infrastructures fragiles et ses nombreuses zones d’ombre, est-elle devenue un terrain d’expérimentation biologique privilégié ? La réponse est à chercher dans la combinaison de facteurs géopolitiques et scientifiques. L’Ukraine n’était pas seulement un champ de bataille stratégique, mais aussi un laboratoire potentiel pour des programmes de guerre biologique, en partie parce que les preuves pouvaient y être effacées plus facilement dans le chaos du conflit – notamment sous les bombes russes.

Dans ce contexte, certains observateurs avancent que si Vladimir Poutine a ordonné à ses troupes d’avancer à pied, et non de bombarder massivement certaines installations sensibles, ce n’était pas par faiblesse militaire ou stratégie conventionnelle, mais par souci d’éviter une catastrophe biologique potentielle. En effet, un bombardement aérien de laboratoires impliqués dans des recherches pathogènes aurait pu libérer dans l’atmosphère des agents biologiques dangereux, virus expérimentaux ou agents chimiques, provoquant ainsi une crise sanitaire incontrôlable non seulement pour les populations locales, mais aussi pour les régions frontalières, y compris en Russie.

Dans cette optique, l’avancée terrestre pouvait apparaître comme un choix tactique visant à «neutraliser» ces sites de manière plus maîtrisée, en réduisant le risque de dissémination accidentelle. Cette hypothèse, bien que controversée, offre une grille de lecture alternative aux stratégies militaires adoptées au début du conflit.

Sous la tutelle d’Hillary Clinton, la doctrine de la «recherche à double usage» a pris une place centrale dans les politiques de bio-défense des États-Unis. Derrière cette terminologie aux accents orwelliens se cachait une stratégie habile pour dissimuler des programmes de recherche militaire sur des pathogènes hautement dangereux sous couvert d’objectifs civils ou médicaux. En réalité, cette approche a ouvert la voie à la création d’agents pathogènes génétiquement modifiés, officiellement étudiés pour «mieux s’en prémunir», mais dont l’utilité militaire restait une priorité tacite.

Clinton, à travers son influence diplomatique et juridique, a contribué à institutionnaliser cette militarisation de la médecine, en fournissant un cadre légal et politique permettant de protéger ces projets contre toute forme de transparence ou de régulation internationale. Ce sont les grandes agences fédérales telles que la CIA, la DARPA, et même le FBI, qui ont été mobilisées pour superviser, financer et couvrir ces programmes sensibles, souvent situés hors du territoire américain, dans des pays plus vulnérables à l’opacité, comme l’Ukraine ou la Géorgie.

Anthony Fauci, figure emblématique de la technocratie sanitaire moderne, s’est imposé comme l’un des maîtres d’œuvre de la biopolitique contemporaine, non pas par altruisme scientifique, mais en orchestrant une stratégie à la croisée de la science, de l’industrie pharmaceutique et de la guerre biologique. Sous couvert de recherche pour la prévention des pandémies, Fauci a soutenu, voire dirigé, le financement de projets à haut risque, via des structures comme «EcoHealth Alliance», en transférant des millions de dollars à des laboratoires étrangers, notamment à Wuhan en Chine, pour y mener des expériences de «gain de fonction». Une technique visant à rendre des virus plus infectieux ou plus mortels, supposément pour en anticiper les mutations. Ces activités, financées en grande partie par le NIH et la DARPA, ont bénéficié d’un large soutien de l’appareil d’État, mais aussi de la complicité tacite des grands laboratoires privés, soucieux de breveter à l’avance les traitements des crises qu’ils contribuaient à rendre possibles.

Au-delà du débat scientifique, les méthodes employées dans ces recherches posent une véritable question éthique. Certaines expérimentations sur des animaux, voire sur des groupes humains vulnérables dans des pays pauvres, ont évoqué, pour certains observateurs, une forme de folie médicale digne d’un Joseph Mengele moderne, où le progrès scientifique justifie la transgression des limites morales. Sous la direction de Fauci, un système parallèle s’est consolidé en un réseau opaque mêlant intérêts privés, institutions de recherche, agences de renseignement, et multinationales pharmaceutiques, avec pour objectif non déclaré le contrôle biologique des populations et la monétisation des solutions vaccinales préfabriquées.

Le plus troublant reste que Fauci a su se maintenir au cœur de ce dispositif durant des décennies, tenant les rênes du financement public et transformant la peur sanitaire en levier d’enrichissement personnel et de pouvoir bureaucratique absolu. Sa longévité institutionnelle et son influence sur les politiques sanitaires mondiales témoignent moins d’un succès scientifique que de la solidité d’un système de loyautés croisées, où l’expérimentation humaine est devenue une variable d’ajustement géopolitique et la corruption son moteur.

Lorsque les choses ont commencé à déraper, c’est George Soros, l’homme derrière le rideau, qui est entré en scène avec une puissance financière colossale. Par le biais de ses fondations et d’un vaste réseau d’ONG, il a injecté des millions de dollars pour soutenir certains laboratoires, contrôler les médias, et réduire au silence toute voix dissidente. Aucune décision majeure, aucun mouvement significatif dans cette sphère de pouvoir n’échappait à son influence.

Fondé sur la surveillance généralisée, la restriction progressive des libertés individuelles, et la centralisation du pouvoir.

La CIA (Central Intelligence Agency) est depuis des décennies un acteur central dans la projection du pouvoir américain à l’étranger. Ses opérations vont de l’espionnage classique à la manipulation politique, en passant par le financement d’organisations tierces et l’orchestration de coups d’État ou de révolutions dites «colorées». Dans de nombreux cas, ces actions sont menées en étroite collaboration avec des alliés stratégiques, parmi lesquels Israël occupe une place spéciale.

Le Mossad, service de renseignement extérieur israélien, partage avec la CIA des intérêts géostratégiques communs, notamment dans la lutte contre les États perçus comme hostiles à l’ordre libéral (= au capitalisme) occidental. Cette coopération s’est renforcée au fil des décennies, en particulier autour de la surveillance technologique, de la cyberguerre (avec des programmes comme Stuxnet contre l’Iran), et de la manipulation de flux d’information (notamment via les réseaux sociaux et ONG). Ainsi, parler de connivence CIA/Mossad, c’est évoquer un axe de renseignement transnational structuré autour d’objectifs partagés que sont l’affaiblissement des États-nations indépendants, la promotion d’un ordre mondial centré sur les intérêts occidentaux (et israéliens), et le soutien à des organisations et figures alignées idéologiquement avec ces objectifs.

Lorsque des figures influentes comme George Soros ou Anthony Fauci sont liées à des réseaux de pouvoir globalistes, leur proximité idéologique et opérationnelle avec des acteurs comme la CIA les place, de facto, dans une dynamique convergente avec le Mossad. En effet, les intérêts s’alignent sous la bannière du progrès ou de l’humanitarisme, avec la déstabilisation des régimes souverainistes, l’implantation de structures de contrôle transnationales et le soutien à des réformes sociétales disruptives amenée par des ONG et des groupuscules fomentant des révolutions dites «de couleur». Il est clair que la connivence CIA/Mossad est moins une conspiration explicite qu’un alignement stratégique bien documenté, nourri par des décennies de coopération, d’intérêts communs et d’opérations coordonnées sur les plans technologique, politique, et idéologique.

Et puis il y a Bill Gates, l’homme derrière la Bill & Melinda Gates Foundation, qui représente l’un des principaux architectes de ce système d’ingénierie sociale sanitaire. Bien plus qu’un simple investisseur, Gates est devenu l’architecte d’un monde où la santé publique mondiale est utilisée comme instrument de contrôle. La fondation de Gates a permis non seulement de redistribuer des milliards de dollars à des entreprises pharmaceutiques, mais aussi de définir les priorités sanitaires mondiales.

Le rôle central de Gates dans la pandémie de COVID-19 est indéniable. En tant qu’investisseur majeur dans des entreprises comme Moderna, AstraZeneca, et Pfizer, il a non seulement financé la recherche sur les vaccins, mais a aussi manipulé les politiques publiques pour imposer des stratégies de vaccination mondiale, et ce, sans transparence, sans preuve évidente de l’efficacité et de la sécurité des produits. Mais l’objectif de Gates dépasse largement celui de la simple philanthropie puisqu’il manipule l’économie mondiale de la santé, et ses partenariats avec l’OMS lui ont permis de piloter des politiques de santé publique globales, imposant des choix sanitaires controversés à travers le monde. Et son influence dépasse la simple recherche médicale, puisqu’il est à l’origine de technologies de surveillance numérique, telles que les Pass’ sanitaires et les vaccins numériques, permettant un contrôle social mondial et la traçabilité totale des citoyens. À travers des systèmes de géolocalisation sous cutanée et de crypto monnaie (Le brevet WO 2020/060606 A1 n’a officiellement aucun lien avec les vaccins ou le nouveau coronavirus, pourtant il concerne un système de production de cryptomonnaie qui utilise des données d’activité corporelle, et c’est une solution injectable sous cutanée !) et de crédit social, Gates œuvre à la création d’un monde où chaque action est traçable, chaque individu réduit à une simple donnée, et chaque mouvement est soumis à un contrôle numérique totalitaire.

Il est non seulement parfaitement légitime, mais nécessaire, d’examiner avec rigueur et audace les dérives d’un système qui, sous prétexte de santé publique, manipule les crises sanitaires à des fins politiques et économiques. Cette analyse doit se porter sur les dérives autoritaires déguisées en mesures d’urgence, la mise en place de régimes exceptionnels qui suppriment les droits fondamentaux au nom de la sécurité. Il est crucial de questionner les conflits d’intérêts qui jalonnent la gestion mondiale des pandémies, où l’indépendance des institutions de santé publique est souvent mise en péril par des acteurs privés, puissants et influents. Enfin, l’érosion insidieuse des libertés individuelles, sous couvert de prévention sanitaire, ne peut être ignorée car elle représente une menace directe à la démocratie, à la souveraineté des peuples et dorénavant à la vie elle-même. Critiquer ces abus, c’est refuser de céder à la manipulation et revendiquer la préservation de notre autonomie collective.

Ce cartel médico-politique ne s’effondrera pas sous le poids de ses propres mensonges, mais il prospère uniquement grâce à notre passivité. Il ne tombera pas tant que nous le regardons faire, les bras croisés, hypnotisés par ses discours sirupeux et ses fausses promesses de salut. Il doit être dénoncé, nommé, démantelé, sans détour, sans filtre. Il ne s’agit plus de simples erreurs. Ce sont des actes délibérés, calculés, méthodiques. Nous n’avons pas été «protégés», nous avons été soumis, dressés comme du bétail numérique. Chaque mesure imposée, chaque liberté arrachée, chaque vérité étouffée n’est pas une bavure, c’est une stratégie. Le masque est tombé, montrant que ce n’est pas la santé qu’ils veulent sauver, c’est le contrôle qu’ils veulent imposer. Et si nous continuons à attendre, à espérer un retour à la normale dicté par ceux-là mêmes qui ont fabriqué la crise, alors nous mériterons notre servitude. Car ce n’est plus une crise sanitaire, c’est un coup d’État global, rampant, technologique, cynique.

La seule réponse à cette imposture est la révolte. Non pas une révolte aveugle, mais une insurrection de conscience, massive, déterminée, inflexible. La désobéissance n’est plus une option, elle est un devoir. Reprendre le pouvoir, c’est refuser leur amerloquisation de la langue française, désobéir à leurs injonctions, dénoncer leurs réseaux. Ils ont transformé le monde en laboratoire. À nous de le reconquérir, mètre par mètre, idée par idée, vérité par vérité. Leur empire ne tombera pas par fatigue, il tombera quand nous cesserons d’avoir peur !

Et ce jour-là, ce ne sera pas seulement leur système qui s’effondrera, mais l’humanité qui se libérera…

source : Blog de l’éveillé

commentaire :

Nounours :Oui, l’analyse est claire. Nous devons nous séparer de nos dirigeants qui ont sévi depuis les années 60 et d’autres avant.
Nous devons les mettre en prison d’une manière ou d’une autre.
Dans tous les cas, nous devrons démanteler les structures comme Blackrock, Vanguard, Amundi… pour supprimer leur influence et arrêter leurs dirigeants.
Nous devrons aussi mettre fin à la double nationalité. Lorsqu’elle a été mise en place , je savais qu’elle serait détournée de l’idée de base.
De nombreuses lois taillées pour le mondialisme devront être éradiquer.
Nous devrons aussi garder l’argent fiduciaire.

02/09/2025

On ne voit plus jamais d’enfants courir dans les rues. C’est un très mauvais signe.

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Avant partout il y avait des enfants qui couraient ; maintenant on n’en voit plus un seul !

ça fait vraiment sinistre et surréaliste.

 

(Quand aux adultes ils ne savent plus courir, ils se traînent, lourdement ! c’est fou, on les voit partout - eux ! -  mimer rituellement des gestes de course en guise de récitation du rosaire (oui, c'est idéologiquement et socialement ce qui tient lieu de nos jours du rosaire des temps catholiques), mais c’est lamentable.)

Maintenant les enfants sont déjà éteints, il n’y en a plus un seul qui courre (c’est un signe ! un enfant ça court plus naturellement que ça ne marche, pour qu’on soit arrivé à les « dresser » à ce point c’est qu’ils sont vachement matés et détruits )

C’est frappant, avant les enfants étaient frais, animés et espiègles, maintenant les rares, très très rares, "presque pas du tout" comme disait Marcel Amont, enfants qu’on voit encore parfois ont l’air tout soumis et ratatinés

( c'est pas comme à Cuba https://www.legrandsoir.info/un-regard-sur-le-modele-cuba... )

 

 

autre problème : on ne voit presque plus jamais (sauf dans le Tiers-Monde) de mère portant son enfant à bras ! C’est lamentable et un symptôme inquiétant.

On ne voit plus non plus d’enfants se tenant par la main, alors qu’avant c’était presque la règle, là aussi c’est un mauvais symptôme.

 

et comme j'ai déjà et déjà dit et redit, retrouver "un peu d'bon sens" dans ce marécage :

https://ru-clip.net/video/ghEkDQcu5Yo/dieudonn-eacute-gil...

3/9/2021 Déjà depuis plusieurs décennies on avait supprimé les églises, les gares, les hôtels, les commerces, fait mourir les cafés. Maintenant tout est disparu et interdit, il ne reste plus rien, les villes ne sont plus que de vastes camps de concentration et des cimetières sous les éclairages urbains et les caméras de vidéosurveillance.

voilà comment étaient les villes autrefois, vous voyez combien la civilisation humaine a perdu ....

Enfant-Fille-et-la-corde-a-sauter-par-Lester-Talkington-en-1950.jpg

30/08/2025

vive Abdel Zahiri !

26/08/2025

dictature totalitaire du grand capital

En France, la formation médicale continue est obligatoire avec une menace de sanction par le conseil de l’ordre des médecins. Cette formation médicale continue obligatoire est dispensée par des agences privées poreuses à la pression de l’industrie pharmaceutique, ne serait-ce que par le capital. L’obligation de formation médicale continue comporte des « objectifs prioritaires » définis par l’État. Par ces objectifs prioritaires obligatoires, l’État s’immisce dans le savoir médical. Il pervertit la science médicale par la corruption politique, la réduisant à l’état de scientisme. En ce qui concerne la psychiatrie, on a vu ce que la politisation de la psychiatrie a donné en URSS : la psychiatrisation de la dissidence. En France aujourd’hui ça devient pareil toute dissidence est maltraitée de toutes les façon : ostracisme, criminalisation, censure. Le pas à franchir pour envoyer les dissidents à l’asile ne sera pas long.

14/08/2025

prison pour les dissidents - comme en URSS

Lorsque j’écrivais mon livre «Les 100 plus grands Anglais et les plus grandes Anglaises», j’ai d’abord été étonné par le nombre de personnes exceptionnelles qui ont passé au moins une partie de leur vie en prison.

08/08/2025

quenelle

Dieudo fait penser

dans cette vidéo https://iamdieudo4.ru-clip.net/oWX3tTRj3xI/apr%C3%A8s-la-...

notre Béranger du XXIè siècle nous permet de comprendre au passage des choses. par exemple que la quenelle est en fait bien selon la formule de ses détracteurs "un salut nazi inversé"  eh oui ce geste est porteurs de l'exact inverse de ce que portait le salut nazi : et d'abord le salut nazi est un salut de respect de l'autorité ! tandis que la quenelle se moque de l'autorité et lui dit "vas-te-faire-enculer !" (et bien sûr le salut nazi est militariste, la quenelle est pacifiste, le salut nazi ne se prend pas pour de la merde, comme on dit, la quenelle ne se prend pas au sérieux, le salut nazi est conformiste et grégaire, la quenelle prône l'individualisme et l'esprit d'examen, le salut nazi est raciste, la quenelle est antiraciste, etc, etc), tandis que, il a raison Dieudo, les valeurs nazies sont très proches de celles des régimes actuels, tel celui de Macron, mais aussi celui de la Chine Continentale (plus , du tout communiste, mais capitaliste dur), et tous ces régimes de banquiers, de CRS, de mépris du peuple, de capitalisme totalitaire (et d'eugénisme ! on le voit de plus en plus repoindre son nez, et l' "euthanasie" des pas-conformes).

grande insurrection des pauvres, de tous les pauvres, voilà le vent nouveau

https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2020/05/25/ne-bougez-plus-et-bouclez-la-le-mot-dordre-mondialiste-cest-le-minimalisme/

"le temps est indifférent aux plus grandes souffrance" c'est effectivement ce dont tout le monde se rend compte......

comme a dit Jean Rostand, on tue un homme on est un assassin, on en tue des millions on est un conquérant (!...), en les tue TOUS, on est DIEU ..... (profonde et nihiliste observation, relisez Jean Rostand ...) Et en littérature de puis sans doute l'antiquité, et Chateaubriand à la fin d'Atala (lisez-là), et Miguel de Unamuno (relisez la citation que j'ai mise ici il y a qq jours), et Pierre Loti dans"fantômes d'Orient" relisez ce qu'il dit sur la deuxième mort ...

C'est la plus grande et déshumanisante des trahisons, ça m'a inpiré mes commentaires sur la citation de Joachim Ringelnatz

Ewig rien bleibt nur die Träne/ Und das Wasser der Fontäne (en esperanto : Ĉiam puraj 'stas nur larmoj/Kaj la akvo de l'fontanoj) ce qui veut dire qu'à partir du moment où on n'a plus de larmes on est devenu impur.

La "pensée positive", le fameux "travail du deuil" des psychomachinchoses, c'est de la merde ! c'est non seulement absurde, mais immonde.

En tous cas discuter avec soi-même il ne faut jamais oublier de le faire, il y a trop de gens qui oublient l'enfant qu'ils ont été, ça aussi c'est une déshumanisation; moi je n'ai jamais perdu le contact avec celui que j'ai été

 

22/07/2025

quelques détails très interessants sur le régime nazi

dans ses mémoires Victor Klemperer rapporte que des inspecteurs municipaux sont venu examiner son jardin, et lui ont mit une amende pour ce délit :
que le jardin n'était pas assez bien entretenu selon les normes.
Puis d'autres sont revenus et ont dit : il reste là et là des mauvaises herbes, si vous ne les faites pas enlever la municipalité vous enverra des jardiniers professionnels, et il vous en coûtera plusieurs centaines de marks.

parmi les catégories persécutées par le régime nazi à côté des handicapés de naissance (les premiers à avoir été exterminés systématiquement) les communistes (les premiers a avoir été diabolisés et enfermés dans des camps) les juifs, les tziganes, les homosexuels (dont tout le monde se foutait il y a pas encore longtemps jusqu'à ce que maintenant ils deviennent à la mode), il y a eu aussi les Témoins de Jéhovah. Mais eux, aussi bien à l'époque (et  pourtant ils furent les premiers à diffuser internationalement dans leur presse la vérité sur ce qu'il https://www.youtube.com/watch?v=fr05N2XpowUe se passait en Allemagne, mais déjà à l'époque personne ne lisait leur presse) que maintenant n'ont jamais été de "bonnes" victimes auxquelles les bien-pensants aimassent à s'identifier .....

Or ces Témoins de Jéhovah qui, comme (normalement .....) tout chrétien, ne respectaient que les commandements de Dieu et non ceux des hommes, et de surcroît refusaient de devenir soldats, étaient évidemment très mal vus des nazis. Et on enlevait les enfants Témoins de Jéhovah de leurs parents, et bien sûr c'étaient les Services Sociaux (n'oubliez pas ...) qui s'occupaient de ça ("on Care" on dit en anglais), ou l'instituteur. Citations :
"Ces enfants sont en rupture avec la société et sa mission consiste à les y intégrer", or

"En se distinguant des autres par leur comportement, ils apparaissent conditionnés par les idées "sectaires" de leurs parents"

"Les parents dont l'éducation était jugée défaillante étaient déchus de leurs droits" (pratique très à la mode de nos jours ... https://odysee.com/@OhditC%C3%A9!:a/2012.04.14---Louis-Fo...  dans NOTRE idéologie actuelle qui a les mêmes principes que l'idéologie nazie)

 

et en fait les bons allemands soucieux de l'ordre social trouvaient ça très bien. etc, etc

 

Quand on relit tout ça, quand on compare avec les pratiques typiques de notre époque actuelle, quand on se souvient de l'analyse de Zygmunt Bauman selon laquelle le nazisme est une exacerbation typique de la pensée du monde moderne ça redonne à la problématique du nazisme une actualité certaine, et donne à penser.

et puis regardez cette vidéo https://www.youtube.com/watch?v=fr05N2XpowUet réfléchissez bien....

tiens comparons avec cet article sur le comportement des pro-vaccins  là actuellement de nos jours chez nous 
" Leurs (les pro-obligation vaccinale, pourfendeurs des vaccinoseptiques) arguments reposent
sur la nécessité de la brutalité collective pour "empêcher des maladies  de  revenir", pour  assouvir  l'ego  des  "bons  parents"  respectueux  du  système  et  qui  sont  ravis  que  l'on  sanctionne  ceux  qui  ne  se  sont  pas   comme  eux."

tiens tiens ! ça rappelle les mentalités de l'époque des "bons allemands" vous trouvez pas  ?

(ach !  Allemagne nazie et France de Macron - et même avant - même combat !)


résistance : résistance ! pour les INDIVIDUS, les PERSONNES, LES VALEURS HUMAINES, les LIBERTES PUBLIQUES, les LIBERTES, la LUTTE DES CLASSES, contre le fascisme étatique, envoyez des CHEQUES (pas de payement électronique ! POUR L'ENVOI DE CHEQUE écrire à contact@mouvement-jre.com) pour financer les actions de Farida en faveur de nos ENFANTS, et petits-enfants, et ceux de nos proches, SOLIDARITE ! IL FAUT LUTTER PIED à PIED contre le FASCISME !


j’ai trouvé des articles sur les pénates et les lares dans le monde romain. Une fois de plus on voit que le christianisme n’a fait que reprendre les pratiques religieuses des gens en leur donnant un vêtement chrétien. Par exemple il y avait dans la campagne (puis aussi dans les villes) de petits autels des lares,qui avaient la forme de petite guérites avec une statue dedans, et fermées par un grillage : vous avez compris !! ce sont exactement les chapelles de saints protecteur du village ou de diverses versions de la Vierge qu’on a construit à leur suite partout dans les champs ! Pareil pour les autels domestiques dans les maisons continués par les bénitiers avec du buis sous les crucifix, etc (ou les saintes icones en pays orthodoxes).

Quelque part dans l’article on lit : « Un décret du Sénat (senatus-consulte) rend obligatoire l’hommage à la divinité impériale et aux lares publics » donc les chrétiens, qui refusaient de pratiquer ces cultes étaient ipso facto des criminels qu’on punissait donc de mort.
C’est comme dans l’Allemagne nazie, là on ne les envoyait pas aux bêtes du cirque, quoique …. pas grande différence, par exemple on avait obligé tous les allemands au lieu de dire bonjour à se saluer en disant Heil Hitler ! Donc les enfants des Témoins de Jéhovah, qui refusaient de faire le salut nazi étaient « signalés » (comme on dit actuellement en France ! ……) aux services sociaux, lesquels, avec la même mentalité que les nôtres de nos jours, en concluaient que leurs parents n’étaient pas capables de les "intégrer à la société", donc ils leur retiraient leurs enfants (en Angleterre on appelle ça les mettre « on care », les services Sociaux sont toujours très portés sur les euphémismes doucereux et vipérins ! Comme l’était la Très Sainte Inquisition) et les mettaient dans des orphelinats, quand aux parents ils étaient envoyés en camps de concentration.

18/07/2025

Vive Andrew Bridgen !

Un député britannique appelle à ce que la « cabale du COVID »  soit passible de la peine de mort pour crimes contre l’humanité

Un  MP britannique a récemment fait la une des journaux en appelant à ce que la « cabale du COVID » obtienne la peine de mort pour les « crimes contre l’humanité » qu’elle a commis pendant la pandémie de COVID-19.

Le député en question est Andrew Bridgen, qui est député du nord-ouest du Leicestershire depuis plus d'une décennie. Il a fait référence à la « cabale du COVID » en général et a également pointé du doigt Bill Gates. En réponse aux commentaires de la députée Penny Mordaunt, qui est également membre du Forum économique mondial, il a déclaré : « Les chefs de gouvernement du monde entier et d’autres en dessous d’eux se sont livrés à ce qui équivaut à une trahison contre le public. »

Il a ajouté qu'il ferait une exception à son opposition à la peine capitale pour que ces individus soient tenus pour responsables . « Je me suis toujours opposé à la peine capitale sur le principe que c'est mal de prendre une vie et qu'il ne peut donc pas être juste que l'État prenne une vie pour se venger. Les événements m’ont amené à reconsidérer ma position.

« Pouvons-nous donc avoir un débat sur les crimes contre l’humanité et sur la punition appropriée pour ceux qui perpétuent, sont de connivence et dissimulent ces atrocités, ces atrocités et ces crimes si graves que la punition ultime peut être requise ?

Bridgen aurait contacté le commissaire de la police métropolitaine, Mark Rowley, au sujet de l'organisation d'une réunion au cours de laquelle des lanceurs d'alerte et des experts pourraient présenter des preuves selon lesquelles de hauts membres du gouvernement britannique ont mené des activités criminelles pendant la pandémie.

Il a ajouté qu’un haut ministre lui avait partagé des détails sur un programme qui utiliserait un « turbo cancer » pour dépeupler la planète. Il affirme que le ministre, qu'il a refusé de nommer, a laissé entendre que les actions de Bridgen n'avaient pas d'importance car il mourrait bientôt d'un cancer à la suite du vaccin contre le COVID-19.

La connaissance humaine est attaquée ! Les gouvernements et les grandes entreprises recourent à la censure pour anéantir la base de connaissances de l’humanité sur la nutrition, les herbes, l’autonomie, l’immunité naturelle, la production alimentaire, la préparation et bien plus encore. Nous préservons les connaissances humaines grâce à la technologie de l’IA tout en construisant l’infrastructure de la liberté humaine. Découvrez notre projet AI / LLM gratuit et non commercial ici . Soutenez nos efforts pour construire l’infrastructure de la liberté humaine en achetant sur HealthRangerStore.com , proposant des aliments et des solutions nutritionnelles testés en laboratoire et certifiés biologiques, sans OGM.

Selon Bridgen, le ministre lui a dit : « Vous pouvez parler autant que vous voulez. Cela n'a pas d'importance. Vous êtes vacciné. Vous serez bientôt mort d’un cancer.

Bridgen est devenu un critique ouvert de l’autoritarisme mondialiste. Dans le passé, il a appelé la Chambre des communes britannique à insister pour que le gouvernement « arrête immédiatement le programme de rappel du vaccin à ARNm et lance une enquête publique complète non seulement sur les méfaits du vaccin, mais aussi sur la manière dont chaque agence et institution mise en place pour protéger l’intérêt public a a échoué de manière si lamentable dans ses fonctions.

Il a été suspendu du Parti conservateur avant d’être finalement expulsé après avoir qualifié les vaccins de « plus grand crime contre l’humanité depuis l’Holocauste ».

Les dangers des vaccins contre la COVID-19 deviennent chaque jour plus évidents, et la société pharmaceutique AstraZeneca fait actuellement face à une série de poursuites judiciaires au Royaume-Uni concernant des blessures débilitantes et des décès attribués à son vaccin controversé contre la COVID-19. Des dizaines de demandeurs ont soulevé des cas liés à une maladie rare et potentiellement mortelle connue sous le nom de thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin (VITT), dans laquelle des caillots sanguins bloquent le flux sanguin vers les organes vitaux.

Si certaines poursuites sont liées à des décès, d’autres impliquent des survivants qui vivent désormais avec un handicap après avoir reçu le vaccin. L'une des avocates impliquées, Sarah Moore, a déclaré : "Le fait que le vaccin soit lié de manière causale à des caillots sanguins potentiellement mortels est désormais bien établi dans la littérature scientifique et est désormais formellement admis par AstraZeneca au cours de cette procédure."

Bien que Bridgen ait été moqué par d’autres législateurs pour avoir critiqué les vaccins contre le COVID-19 , les preuves s’accumulent selon lesquelles certaines des personnes impliquées dans le développement et le déploiement de ces vaccins très rentables ont agi de manière trompeuse, contraire à l’éthique et illégale et devraient être tenues pour responsables.

maintenant les journaputes fascistes du régime britannique le persécutent il faut l'aimer et le soutenir

13/07/2025

serĉi en la vagonaro konvenan kupeon

 Iam ie en Esperanta vortaro mi legis tiun ekzemplofrazon:

"serĉi en la vagonaro konvenan kupeon"

Jes ja estis bela kaj bona la vivo. Sed tio estas afero, kion oni ne plu povas fari, neniam, nun.
Jes estis tuta vivarto, kaj tuta libereco,
malaperintaj....

Une phrase-type quelque part en un dictionnaire d'Espéranto, "chercher dans le train un compartiment qui convienne" - chose qu'il n'est plus possible de faire, - que de fois ! que pendant d'heures accumulées a-t-on fait ça ! je me souviens. C'était vivre ! comme des êtres humains, eh oui, c'était tout un art de vivre, et toute une liberté,
disparus
 
trains.jpg

05/07/2025

le rappel du BON SENS face aux délires paranoïaques ! (ou projets pervers de conditionnement au totalitarisme et à la culpabilisation ...)

un commentateur anonyme sur un forum sur une éventuelle .... interdiction de fumer sur les plages, a bien résumé le problème, face à l'hallucinante propagande à laquelle nous sommes soumis, et qui a pénétré et conditionné maintenant l'esprit de la majorité du troupeau :

"Je crois que vous n’avez aucun sens de la réalité, y compris les fumeurs qui viennent de témoigner, continuez à dire « amen » à toutes les « énormités » pour ne pas être vulgaire, mais il faut peut-être arrêter de tout mettre sur le dos de la cigarette, c’est hallucinant ! moi je suis non fumeuse mais franchement chacun est libre encore pour l’instant de fumer s’il le souhaite, faudrait peut-être commencer par interdire aux agriculteurs d’utiliser des herbicides, des pesticides qui sont croyez moi bien plus dangereux qu’une fumée de cigarette en plein air. Ce sont les retombées radioactives de tous les essais nucléaires sans compter les accidents comme Fukushima et autres qui sont la cause principale des cancers du poumons, on peut aussi rajouter les particules du gasoil lorsque vous faites votre footing sur le bord des routes ( c’est à mourir de rire , vous courrez pour oxygéner vos poumons ha! ha!) sans compter les enfants dans leur poussette en ville, à la hauteur des pots d’échappements. Quand à la pollution des plages, faudrait peut-être commencer par empêcher les bateaux de dégazer en mer, aux yachts de vider leur ordures par dessus bord et toute cette pollution sans compter le  lisier des élevages industriels et la pollution pharmaceutique qu’on retrouve dans l’eau des rivières et qui finit dans l’océan, alors il y a bien plus grave que d’empêcher un fumeur de fumer sur la plage.

La propagande télévisuelle vous a tous formaté c’est incroyable !!!

(ben, c'est fait pour ! et qui sont les propriétaires des médias de masse ? hein ? leurs noms est interessant, mais leur classe sociale et leurs interêts financiers encore plus !)

sachez qu’au début du 20ème siècle lors de l’épidémie de grippe espagnole qui a fait des milliers de morts en Espagne et ailleurs, tous les ouvriers qui travaillaient dans les fabriques de tabac n’ont pas été malades, le tabac a protégé ces personnes de l’épidémie.

Mais au lieu de croire tous ce qui se dit , faites vos propres recherches
et vous verrez que le tabac n’est pas la source du problème, c’est la plus grosse arnaque gouvernementale."

 

maintenant lise l'article en lien ci-dessous : un article qui fera date, car ça ouvre enfin une reflexion sur la question, et par extension sur tous les mensonges dont on nous a conditionnés en haut lieu ... or dans ces milieux on ne fait rien sans que ça aie des bénéfices financiers .... (re-souvenez-vous de ré-étudier le marxisme, une compréhension du monde où vous vivez est impossible sans en faire une analyse marxiste !)

https://reseauinternational.net/la-revanche-du-tabac/


J’ajoute que la compagnie des autres fumeurs a toujours été bénéfique car leur humeur et leur plaisir à vivre rendant les rapports sociaux détendus et amènes.
Les luttes moralisatrices et acariâtres contre le tabac m’ont toujours paru indigentes ; au lieu d’arguments rationnels on a mis en place des discoureurs semi curés qui menacent et écrasent de taxes et de malédictions . Des tristes sires qui n’aiment rien d’agréable dans la vie.
(eh oui ! il y a une permanence dans les psychologie, autrefois les calotins de l'Eglise, maintenant, d'autres calotins, mais avec la même mentalité. à quand une révolte des anticléricaux contre ces "corbeaux" ?)
une petite info: vous pouvez parfaitement faire pousser votre tabac pour votre propre usage.
De même que vous pouvez acheter du tabac pur sous forme de feuilles et le couper vous même. Je l’ai fait 3 fois depuis l’automne dernier, dont une fois d’Allemagne.C’est même possible en bio. Le prix en kilos est très attractif, et laisse la possibilité de le hacher pour pipe, feuille à rouler ou tube.
Donc oueps, c’est possible du fumer comme le faisaient les anciens, je le fais sur 70% de ma conso, parce que ça prend un peu de temps de manutention, et que ça me fait un mélange que j’aime bien. Après le kilo, c’est du genre 25/30 euros… et y a 10% de nervures à jeter. Et 5/6 tabacs de dispo pour faire ses mélanges à 100% avec.

comme j'ai dis plusieurs fois en commentaire  sur alterinfo.net toutes les plantes ont des effets médicinaux, donc il n'y aurait rien d'étonnant que le tabac en aie de bonnes relativement au Covid. De plus avec tous les mensonges qu'on découvre maintenant, on devrait se dire que parmi toutes les propagandes gouvernementales,surtout celles qui nous ont été matraquées obsessionnellement (pourquoi un tel acharnement ? à qui profite le crime ?) il doit y avoir beaucoup de mensonges et de "psy-ops" !


(soit dit en passant rappelez-vous un peu tous les mensonges, propagandes, conditionnements pas innocents du tout, qui se sont abattus sur vous récemment, dans d'autres domaines - replongez-vous dans l'actualité ! - face à nos maîtres il serait temps que le public apprenne l'esprit critique ! dans ce domaine-ci aussi)
voir aussi :
http://www.decitre.fr/livres/une-cigarette-defense-lucide-d-une-passion-9782742766857.html

https://covidinfos.net/covid19/lordre-des-medecins-doit-e%CC%82tre-juge-pour-manquements-graves-a-lethique-medicale-selon-le-dr-crabbe/1893/