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30/01/2025

le Nazisme c'est l'esprit de la modernité quand il n'y a rien qui l'arrête (Zygmunt Bauman) et qu'estce qui peut l'arrêter ? l'humanisme ou le Sermon sur la Montagne, ou la révolte des êtres

Aujourd hui on ne soigne plus  on préfère  tuer  - lisez le témoignage effrayant du Dr Coleman

refuser le traitement aux patients uniquement en raison de leur âge ou de leur forme physique est une forme d'eugénisme. Il semble que le nettoyage social soit bien vivant en Grande-Bretagne aujourd'hui.

Par Dr. Vernon Coleman

Il y a plusieurs décennies, les médecins ont convenu qu'il était erroné de réanimer les patients qui souffraient de douleurs sévères et qui étaient en phase terminale. Avant l'introduction du protocole ‘Do Not Resuscitate’ (“DNR”), il était courant que les patients gravement malades soient ramenés à la vie à maintes reprises. Chaque fois qu'un tel patient cessait de respirer (et mourrait effectivement), une équipe “crash” serait mobilisée. Les médecins courraient à la salle avec des masses d'équipement et le patient serait injecté, intubé et (littéralement) choqué à la vie. En tant que jeune médecin de l'hôpital, j'avais l'habitude de voir des patients à plusieurs reprises ramenés à la vie au bord de la mort. Personne n'a vraiment pensé à laisser quelqu'un mourir. Si et quand un patient est mort, nous avons considéré que nous avions échoué – si vieux et malade qu'ils étaient.

C'était alors.

Aujourd'hui, le protocole DNR a été étendu et ma boîte aux lettres a, pendant des années, été remplie d'histoires de patients révélant avoir été invités à signer Do Not Resuscitate Forms ou d'avoir signé des formulaires Do Not Resuscitate en leur nom. (Ceux-ci sont connus sous le nom de formes DNR ou DNAR – pour Do Not Tentative Resuscitation.)

Les avis DNR ne sont qu'à quelques centimètres de l'euthanasie et pourraient peut-être être mieux décrits comme une euthanasie “passive.” Le médecin ne fait rien pour tuer le patient. Mais il ne fait pas ce qu'il pourrait faire pour les empêcher de mourir.

Au cours des dernières années, les médecins généralistes du monde entier ont contacté leurs patients âgés et ceux souffrant de troubles de santé chroniques et leur ont posé deux questions. Même les patients en parfaite santé ont été approchés s'ils ont atteint un certain âge. (L'âge auquel les médecins considèrent qu'un patient ne vaut pas la peine d'être sauvé varie, mais est généralement d'environ 70 ans)

 

Êtes-vous heureux pour nous de mettre sur votre dossier une note que vous ne serez pas admis à l'hôpital si vous devenez malade?”

Notez la formulation intelligente, conçue pour susciter une réponse positive. It’s the sorte of trickery used by crooked pollsters and insurance salesmen – knowing what reponse they want and shading the question in such a well as to ensure that they get it.

Un cabinet médical a envoyé une lettre à une maison de restauration pour les adultes autistes en disant que les soignants devraient avoir des plans pour empêcher leurs patients d'être réanimés s'ils sont devenus gravement malades.

D'autres médecins généralistes ont envoyé des lettres similaires aux établissements qui s'occupent des personnes âgées et des personnes handicapées. Des décisions de couverture ont été prises pour les foyers de soins et les foyers de soins aux patients ayant des difficultés d'apprentissage.

Un homme de 51 ans atteint du syndrome de Down’s a reçu un DNR en raison de son handicap, et des instructions ont été laissées qu'il ne devait pas y avoir de tentative de le réanimer s'il avait un arrêt cardiaque ou un arrêt respiratoire. Aucun formulaire de consentement n'a été signé et il n'y a eu aucun accord avec le patient ou ses proches. Le directeur médical de la partie pertinente du National Health Service de Britain’s a déclaré que sa politique était pleinement conforme aux directives nationales des organismes professionnes.(ça fait penser au Dr Sanchez directeur de l’IHU de Reims chez qui était enfermé (avec un policier à la porte de sa chambre) Vincent Lambert … il a dit ça aussi)

Le patron d'un grand organisme de bienfaisance a déclaré qu'il croyait que les ordres DNR étaient souvent placés sur des patients ayant des troubles d'apprentissage – sans la connaissance et l'accord de leurs familles.

C'était bien sûr illégal.

En 2015, la Haute Cour du Royaume-Uni a statué que les soignants de patients atteints de maladies mentales devaient être consultés avant l'application des avis DNR.

Mais le non-sens du coronavirus a entraîné une inondation de tels cas.

Un homme de 50 ans, avec une perte de vue, a reçu un avis DNR donnant “blindness et de graves troubles d'apprentissage” comme raison.

Un homme épileptique a reçu un avis DNR, et une chirurgie GP’s au Pays de Galles a exhorté les patients à haut risque à remplir un formulaire DNR s'ils contractaient le coronavirus. La lettre dit, “Vous êtes peu susceptible de recevoir l'admission à l'hôpital.”

Une femme à Bristol a reçu un appel téléphonique de son médecin généraliste lui demandant si elle était OK pour que ses dossiers médicaux soient mis à jour pour dire que si elle contractait le coronavirus, il n'irait pas chez elle, ni ne l’hospitaliserai, et qu’elle ne recevrai aucun traitement médical.

Maintenant, vous pourriez, je suppose, faire valoir que si un patient est clairement en train de mourir alors il serait cruel et inutile de tenter continuellement la réanimation. C'est pourquoi les avis DNR ont été conçus. Ils étaient à l'origine pour les patients qui n'avaient que quelques minutes ou peut-être des heures à vivre, et il était considéré comme injuste pour ces patients de continuer à pour rester officiellement en vie.”

Mais cela n'est pas ce qui se passe maintenant.

Aujourd'hui, au Royaume-Uni, dans le National Health Service, un patient est officiellement considéré comme inadapté pour être sauvé ou traité s'il a besoin d'aide pour les travaux ménagers lourds ou s'il a de la difficulté à préparer des repas ou à aller aux magasins.

Le canular post-coronavirus NHS ne veut pas sauver quiconque est handicapé, et tous les patients dans les foyers de soins sont, par définition, condamnés au meurtre par omission.

À l'origine, NICE (National Institute for Health and Care Excellence) a déclaré aux médecins qu'ils devraient évaluer les patients autistes comme ayant un score élevé pour la fragilité. Je suis, je l'avoue, encore assez confus quant à savoir quand ou si ce conseil a été supprimé.

J'ai vérifié autour et j'ai constaté que le Conseil médical général (“GMC”), qui fournit aux médecins leurs licences, a, avait obtenu sur l'acte en définissant “approchant la fin de vie” comme patients qui sont susceptibles de mourir dans les douze prochains mois.

Ceci, bien sûr, c'est le genre de déchets dangereux que l'on pourrait s'attendre à voir avec la forme bureaucratique surpayée des mélangeurs au Conseil Médical Général parce qu'il est toujours impossible de dire qu'un patient va mourir à l'intérieur douze mois. On peut dire qu'un patient peut mourir dans les douze heures mais pas douze mois. Seuls des médecins très arrogants et des bureaucrates ignorants prétendent savoir qu'un patient pourrait mourir dans les douze mois. Quand j'étais en pratique générale, je connaissais beaucoup de patients qui avaient des mois à vivre mais qui vivaient de très nombreuses années. Deux, je me souviens bien, avaient de jeunes enfants à s'occuper et bien qu'on leur ait donné seulement des mois à vivre, ils ont tous deux vécu pendant des années – refusant simplement d'abandonner et de survivre sur la volonté pure autant que toute autre chose. Si la règle GMC avait été appliquée, ils auraient été « autorisés à mourir » c’est à dire ; ils auraient été tranquillement euthanasiés au cas où ils seraient tombés malades et eu besoin de soins.

Refuser le traitement aux patients uniquement en raison de leur âge ou de leur forme physique est une forme d'eugénisme. Il semble que le nettoyage social soit bien vivant en Grande-Bretagne aujourd'hui. Si vous êtes en train de sauver des personnes (quand vous pouvez le faire), vous les tuez. Il ne me semble pas y avoir de différence entre la pensée derrière la politique du service de santé Britain’s et la politique d'Adolf Hitler.

Si vous établissez un formulaire DNR pour un patient, avec ou sans sa permission, vous le condamnez à mort.

Pendant les absurdités covid, les âmes obéissantes à travers le monde, de New York à Londres, et, applaudissaient sans réfléchir les infirmières et les médecins, mais tout le temps, ces mêmes infirmières et médecins délivraient délibérément des avis de décès, des formulaires DNR, aux personnes fragiles et âgées.

Lequel d'entre nous a donné aux médecins la permission de se comporter comme des nazis et de refuser un traitement à des personnes considérées comme sans importance, coûteuses ou inutiles?

À mon avis, chaque médecin, infirmière ou administrateur qui a mis un avis de DNR sur un patient en vertu de ces règlements devrait être congédié, arrêté et emprisonné.

Comment ces gens dorment-ils la nuit? ressentent-ils quelque chose pour les gens dont ils sont censés s'occuper? Les gens qui dispersaient ces avis DNR ont été payés pour s'occuper des gens. Et ils ont trahi ces gens. Les avis Do Not Resuscitate ont été conçus pour s'assurer que les vrais malades en phase terminale étaient autorisés à mourir avec dignité – sans être traînés maintes et maintes fois de l'endroit où ils se dirigeaient. Les avis DNR étaient à l'origine une partie nécessaire de la médecine – pour éviter les situations de type général Franco.

Mais maintenant, nous avons un millier de clones de Mengele travaillant dans le service de santé. Cela semble comme une exagération, mais la chose triste est que ce n’en est pas. Les Dr. Mengele aurait prospéré dans le NHS d'aujourd'hui. Ils araient aimé le applaudissements et l'adulation aussi.

Le NICE devrait être dissous immédiatement. Nous serions tous mieux sans.

L'essai ci-dessus est réimprimé avec la permission du livre Jack King’s book 'SwithIls veulent nous tuer: Here’s comment et pourquoi’.  Ce livre décrit comment l'euthanasie –, également connue sous le nom de suicide assisté par un médecin –, est promue comme une solution rentable pour les systèmes de santé. Il met en évidence comment ce mouvement vers “mort par médecinest motivé par des considérations financières, comme il est souvent moins coûteux de mettre fin à la vie d'une personne malade ou âgée que de fournir des soins de longue durée coûteux.

Bref, c’est la logique du capitalisme, ça !

pour revenir aux sources occidentales - histoire longue - Zygmunt Bauman "Esprit de la modernité, quand il n'y a rien qui l'arrête" du fascisme depuis le début du XIXè siècle, oici un historien qui a bien vu la filiation :

22/01/2025

Florian Philippot le seul qui ait la stature d'un homme d'Etat et l'humanisme

"La résistance ira jusqu’à la désobéissance, en particulier face au nouveau ministre de la Santé Yannick Neuder qui a prôné lundi une « stratégie de vaccination des soignants et des Français beaucoup plus agressive » ! Pfizer écrit donc ses discours…

Honte aux députés PS et RN qui ont refusé de voter la motion de censure ! Contrairement à eux, nous combattons cette déclaration de guerre vaccinolâtre : Les Patriotes prendront comme toujours leurs responsabilités et organiseront s’il le faut la désobéissance totale et collective, avec vous ! le grand capital et Big Pharma ne passera pas !

21/01/2025

si on vous somme de vacciner vos enfants dites au médecin je refuse qu'il y ait du MRC5 à cause de mes convictions religieuses - il se résorbera !

Jean-Bernard Fourtillan réapparait, et il raconte l’origine du « Covid19″ (Mme Buzyn savait que à cause de la structure "malaria" du Sarcov2, l'hydroxichloroquine allait le neutraliser, alors elle l'a interdit !), on vous donne aussi des conseils sur comment résister, et on a des infos confidentielles d'un colonel de la DGSE.

https://odysee.com/@Michael_Mcs:2/Emission-sp%C3%A9ciale-...

08/01/2025

à bas l'Intelligence artificielle ! à bas l'UE ! à bas le totalitarisme poubelliques des "instances" (comme on disait en URSS ...)

Fuck l'I.A.

 

02/01/2025

la sinistre évolution actuelle

Dans son livre démystifiant le Libéralisme (et que je vous recommande très fort !), Domenico Losurdo évoque (page 89 de la version en espéranto, edité par MAS) « la krimigo de antaŭe plene permesataj kondutoj ».

La criminalisation de conduites auparavant tout à fait possibles et autorisées.
C'est un phénomène que produit le système actuel ! Et en masse !

Sont devenues ainsi criminalisés, le fait de prendre sa voiture avec un verre dans le nez, de téléphoner au volant, de faire du feu dans sa cheminée, de brûler ses feuilles mortes, de porter un fichu sur les cheveux, de chanter une chanson (« droits de propriété intellectuelle »), aux filles d'aller à l'école en robe, de copier un disque ou une cassette pour le passer à des amis, d'enregistrer et de reproduire un article sur Internet, d'adresser la parole à un policier, s'il est mal luné, aux enfants d'aller faire les courses dans un magasin, de cultiver les variétés qu'on veut dans son jardin, et aux paysans de resemer les graines de leur récolte, aux chats et aux chiens de se promener dans les rues, de ceux qui n'auraient pas une puce RFID implantés dans le corps de vivre purement et simplement, d'avoir une maison sans 1° une alarme qui empêche d'avoir de la fumée dans la maison (2° la suite viendra), de fumer à son travail, dans les cafés, et bientôt partout, bientôt aussi les boisson alcoolisées, déjà interdites dans les faits du fait de l'interdiction plus haut, d'entrer dans une église (ça, ça n'est pas criminalisé mais rendu physiquement impossible, ça revient exactement au même), aux enfants de dormir sur la banquette arrière de la voiture pendant que leurs parents conduisent, de s'embraser dans une voiture, de fumer dans une voiture, de bavarder dans une voiture, de baisser sa fenêtre de compartiment dans un train,  et au vu des caméras à analyse de comportement qu'on est en train de mettre dans les villes seront bientôt interdit : de baguenauder, d'errer, d'aimer la solitude, de regarder les maisons ou les arbres, pour les enfants de courir, de « voler un baiser » à une femme, de se tenir par la main.
à suivre hélas ! Tout n'y est pas, vous pouvez m'aider et ajouter ce que j'ai oublié à la liste

 

le cauchemar qui s'étend, la singapourisation de la planète :

http://lemetropolitanblog.com/2011/08/06/new-york-vous-li...

aux Pays-Bas c'est déjà comme ça.
ça fait partie non seulement de la folie actuelle, mais c'est un plan concocté savamment et dans un but bien précis, ce n'est pas seulement pour le plaisir de déshumaniser les gens :

« Si vous désirez une image de l’avenir, nous dit l’aimable tortionnaire de "1984", imaginez une botte piétinant un visage humain... éternellement."

http://www.monde-diplomatique.fr/2000/10/BRUNE/2470

https://blogs.mediapart.fr/le-blog-de-boris/blog/240720/pourquoi-la-periode-actuelle-est-fascisante
Mutatis mutandis, l'histoire se répète, la vague des fascismes des années 20 et 30 avait été causée par l'évolution démocratisante modernisante, et socialisante du demi-siècle qui l'avait précédé (comme disait Bertolt Brecht "le fascisme est la forme que prend la démocratie bourgeoise en temps de crise" !) la bourgeoisie et la banque l'avait favorisé pour contrer le communisme à tout prix. De nos jours alors que des esprits perçants tels Bernard Friot ou Etienne Chouard, remettent les questions de base sur le tapis, le pouvoir du Libéral-Fascisme (allez en voir la définition sur le site de Syti) reprend sa course avide et moderniste ("l'esprit de la modernité" comme dit Zygmunt Bauman, dans son livre Modernité et holocauste) vers la toute puissance totalitaire (qui est dans les gênes du capitalisme, et pas dans ceux du socialisme, contrairement à ce que leur propagande avait voulu nous faire croire), et leurs but pervers se traduisent par l'horreur que nous vivons en ce moment , et dont la suite sera encore pire, ils savent qu'ils peuvent "y aller" il n'y a plus de forces qui s'opposent à eux , ils foncent et révèlent leur vrai visage, qu'ils ont si longtemps caché....

et ils se servent de l'épidémie pour aller encore plus loin dans l'innommable :

Les Maîtres du Monde Un jour ils vont cogner à nos portes. Coronavirus. À Paris, les clients des bars pourraient être tracés
lund. 17 août 2020 : Faudra-t-il fournir ses coordonnées avant de déjeuner dans un restaurant ou de prendre un verre dans un bar ? Face à l'augmentation du nombre de cas de Covid-19, la mairie de Paris envisage de demander aux restaurateurs et cafetiers de tenir un registre des clients ayant fréquenté leur établissement.

Une telle précaution permettrait aux autorités sanitaires de recenser plus facilement les personnes ayant été en contact avec une personne atteinte de la maladie. StopCovid ne fonctionne pas, personne ne s'est mis sur cette application, il y a deux millions de personnes (qui l'ont téléchargée). C'est totalement insuffisant [pour nos maîtres capitalistes totalitaires], il faut trouver d'autres solutions qui responsabilisent les gens , constate Anne Souyris, adjointe à la mairie de Paris en charge de la Santé publique.
Ce fonctionnement, déjà en vigueur en Allemagne et en Belgique,

[Les Allemands et les Belges sont des peuples plus SOUMIS que les Français, la preuve les banques avides ont réussi à y faire supprimer les chèques - qui leurs coûtent 50 fois plus cher à traiter que les paiements électroniques, plus facilement totalitaires en plus, et ainsi ça leur a permis de licencier encore plus de personnel et de maximiser leurs agréables profits !] pourrait être appliqué à Paris sur la base du volontariat. Les données ainsi collectées seraient détruites par les gérants au bout de trois semaines.
Certains restaurateurs sont sceptiques. C'est très compliqué à mettre en place, estime, perplexe, Simon Molina, responsable au bar-restaurant L'Abreuvoir, dans le XVe arrondissement. Nous avons plusieurs centaines de clients par jour et nous manquons de temps pour s'assurer que tout le monde remplit bien sa fiche. Même le stockage des documents nous poserait problème.
Les syndicats de la profession doutent que les entreprises puissent s'assurer que tous les consommateurs se plient à la règle. Pour Laurent Lutse, président de la branche cafés, brasseries et établissements de nuit de l'Umih (Union des métiers et des industries de l'hôtellerie), si le client refuse de remplir les fiches, ce n'est pas au gérant [ce qui veut dire que ce n’est pas le propriétaire, une grosse féodalité financière ? - qui tien le café ou le restaurent, monde aberrant sans aucune liberté ! Monde d’investisseurs encravatés, cadres sup de féodalités financières qui se font un max de fric sur le travail des GENS!!!!!] de faire la police ».
Pour les petites consommations, les gens ne se plieront pas à la règle. Cela pourrait même en freiner certains de venir chez nous [j’espère bien ! qu’ils crêvent tous la gueule ouverte!], abonde Simon Molina. Nos clients respectent les gestes barrières et le port du masque [en bons « Rhinocéros » pétainistes bien soumis, zombis déshumanisés, comme dans Ionesco], je pense que c'est suffisant.
Chez les professionnels, un ras-le-bol commence à poindre, particulièrement depuis l'interdiction récente de chauffer les terrasses [mesure prise pour interdire encore plus de fumer, et donc la vie et la convivialité et l’humanité des PERSONNES].
Le secteur de l'hôtellerie et de la restauration a été frappé de plein fouet par la crise sanitaire et économique. Il faut faire confiance à nos clients , affirme Simon Molina. Les bars-restaurants en ont déjà beaucoup fait, pas besoin de nous ajouter des mesures supplémentaires.
Commentaire : En général la population commence a en avoir ras-le-bol de toutes ces mesures de fichage, de controle, de surveillance, d'interdictions, de coupures, de menaces, etc. Les gens veulent que l'économie re-démarre, retourner au travail, reprendre le mouvement d'avant, vivre et laisser vivre. Biensur notre réalité a fait un bond de 180 degrés et il va être très dur de revenir au monde d'avant. En fait oublions une fois pour toutes le monde d'avant car le monde de maintenant il est fait de fichages, controles, surveillance, interdictions, coupures et menaces.... C'est ce que nos maîtres ont décidé.

https://fr.sott.net/article/36014-Regardez-et-pleurez-Ils...

dom38 Commentaires des Lecteurs (1)

Apparemment, une voyante aurait écrit dans un livre qu'elle voyait une révolution vers 2022 ou 2023. Ca me paraissait de plus en plus plausible… si ce n'est souhaitable. [c’est tout à fait souhaitable!]

Hélas les français sont devenus des "VEAUX" ! ....  ou des kollabos. La crise économique va s'accentuer, et tous ces élus imposteurs vont accepter de laisser l'oligarchie nous infliger ces projets de vaccinations (dangereuses) obligatoires, de passeports de santé pour avoir le droit de circuler, etc. Pour ce que l'entend par imposteurs, référez vous à Roland Gori (sur YouTube).

l'horreur à venir :

ne vous y trompez pas, suivez David Icke

26/12/2024

Fauci (et les autres) ont peur d'avoir le même sort que les criminels NAZIS à Nüremberg, alors ils se font protéger par des décrets présidentiels vables jusqu'à 2029 - pratique !

22/12/2024

rondeurs féminines - autrefois c'était un pléonasme

Un échange d'affection se réalise presque uniquement avec le corps. Les odeurs en constituent le déclencheur par leur effet paralysant, tandis que le corps provoque des émotions stimulantes dans l'affection. Le corps se subdivise en cinq caractéristiques; le poids, la forme, le volume, la consistance et la température.

C'est dans l'ensemble du corps que naissent nos émotions et qu'on capte celles des personnes qui nous entourent. Comme pour les odeurs, le corps de nos personnes chères nous procure des sensations qui modifient notre comportement et notre physiologie de manière prédéterminée génétiquement.

Un échange d'affection entraîne donc une série de réactions identiques d'une fois à l'autre. L'affection constitue alors un automatisme nous rendant démuni, et qui nous pousse à s'accrocher à l'autre pour se sécuriser. L'affectivité chevauche deux états émotifs, celui associé au sentiment d'être démuni et celui d'être sécurisé. L'abandon physique cause un sentiment d'insécurité au départ (d'où la pudeur) et nous procure par la suite des sensations qui produisent un sentiment de grande sécurité.

Tout constituant de notre corps a une réaction émotionnelle qui lui est propre et qui fait réagir notre "partenaire" (comme disent les sinistres modernes formés au cynisme commercial) différemment.  Comme pour la loi de la physique décrétant qu'avec la matière, "rien ne se perd, rien ne se crée", toutes les émotions vécues sont présentes en nous depuis de notre naissance. Une émotion réapparaît instantanément lorsque les sensations qui y sont associées surviennent. Par exemple, une série d'émotions surgissent, toujours les mêmes, à chaque fois que l'on touche la peau de notre "partenaire". La sensation de la douceur et de la chaleur de sa peau nous sécurise, abaisse notre pression artérielle et la contraction involontaire de nos muscles, induisant ainsi une détente physique. Au point de vue psychique, ces sensations nous amènent à nous comporter de manière douce et attentionnée parce qu'elles nous font sécréter une hormone dont l'effet est calmant.

Les trois constituants principaux du corps sont les os, les muscles et les tissus adipeux. Au toucher, comme ils ont une consistance différente, ils nous procurent aussi des sensations variées. Comme on touche inévitablement les trois parties du corps de son aimée à la fois, cela nous fait vivre plusieurs émotions simultanément. Chez la femme, les tissus adipeux sont la partie de son corps qui joue un rôle primordial dans l'échange d'affection. Ils sont d'ailleurs responsables de son identité féminine.

C'est grâce à ses tissus adipeux que la femme a une libido. En effet, une femme mince ressent moins le besoin d'avoir une relation sexuelle car la sensibilité féminine prend sa source dans ceux-ci. Les rondeurs féminines, à la base du comportement affectueux, sont aussi à l'origine du plaisir en émettant et recevant les émotions. Les rondeurs féminines, en dirigeant inconsciemment notre comportement affectueux envers la personne aimée, rendent possible une communication émotive. Elles nous attirent sexuellement, elles nous rendent amoureux et elles stabilisent la relation de couple sexuel en permettant à notre "partenaire" de s'assurer de notre fidélité.

Les rondeurs féminines stabilisent notre métabolisme et font diminuer notre niveau de stress. Parce qu'elles sont source de plaisir, de bien-être et de bonheur, on ressent de l'attachement envers son épouse. Les tissus adipeux des femmes jouent un rôle primordial chez l'être humain. De la même manière, ils exercent une fonction sociale. La relation mère enfant s'établit par l'affection qui se transmet à partir de ses rondeurs. Elles forment un nid psychologique lui procurant un confort émotif. Par le fait que les rondeurs sont émotionnellement sécurisantes, elles favorisent la cohésion dans la société. Ainsi, elles incitent les gens au dialogue et au compromis afin d'éviter les conflits. En étant source de bien-être, les rondeurs influencent les personnes à s'entraider et à entretenir des relations amicales.

Comme les tissus adipeux de la femme sont au centre de la vie humaine, la survie de la race en dépend. Essentielles à toute les étapes de la vie, les rondeurs féminines attirent l'homme sexuellement pour la copulation, assurent la survie du foetus et du bébé durant la période de l'allaitement et finalement, par le bien-être de l'affection qu'elles procurent, elles tissent les lien sociaux.

Dans une relation amoureuse, les rondeurs de la femme constituent une protection pour son intégrité physique et psychologique en portant un message de douceur qui influence notre comportement envers elle. Ainsi, à la vue et au toucher, elles nous rendent doux, tendre, affectueux et attentionné et elles humanisent les rapports homme femme; sans elles, on s'accouplerait sans sentiments. Elles sont donc à l'origine de l'amour.

Dans l'affection, l'abandon émotionnel implique une absence de matrise sur soi, sur la situation et sur la personne aimée. Les comportements, les gestes et les pensées qu'ont les deux "partenaires" (d'affaires ? quel drôle de terminologie !) dans un échange d'affection leurs procurent du bien-être parce qu'ils correspondent exactement à ce qui est voulu par la "mère nature". Le mot "échange", quand on parle d'un échange d'affection, signifie que notre corps va puiser dans le corps de l'autre les éléments qui l'amèneront à vivre un moment de bien-être ultime et pareillement pour celui de notre "partenaire". L'abandon physique n'est pas un comportement de soumission parce qu'il est voulu consciemment et inconsciemment par les deux personnes. Le corps a le pouvoir de décider. Ainsi, on se sent indisposé lorsqu'il n'accorde pas son consentement à un contact physique. Notre corps sait comment réagir aux effets émotionnels des tissus adipeux pour obtenir du bien-être.

L'affection est un lien fusionnel où les émotions de chaque corps s'imbriquent parfaitement les unes aux autres pour vivre un moment de grande euphorie. Comme les rondeurs sont un conduit émotionnel, elles sont la principale source de plaisir que la femme retire de son corps et que l'homme retire du corps de son épouse. Ainsi, on capte les émotions enivrantes par ses rondeurs et on transmet notre réponse émotive à travers celles-ci.

Les rondeurs sont comme un océan d'émotions, notre corps comme un voilier, le plaisir comme le vent qui nous fait voguer vers un état de bien-être. Comme les tissus adipeux sont à la base de la vie, ils sont à l'origine du plaisir. Le plaisir de l'affection constitue un carburant fournissant de l'énergie psychologique pour progresser dans la vie. L'affection permet à l'enfant de grandir en santé psychologique et physique, de développer son intelligence et de tisser des liens sociaux solides avec son entourage. À l'âge adulte, l'affection nous permet d'obtenir une excellente qualité de vie. Comme la vie est une drogue, nous sommes tous dépendant de la sécrétion d'hormones responsables du plaisir qu'on retire de l'affection.

La consistance molle des tissus adipeux est significative émotivement. Étant associées à une partie tendre du corps de notre amoureuse, les rondeurs sont à l'origine de la tendresse: elles nous amènent spontanément à être tendre envers notre "partenaire" (quel terme sinistre ! typique de notre époque cynique et déshumanisée !!!). La chaleur qui s'en dégage nous pousse inconsciemment à être très chaleureux envers elle. Être tendre et chaleureux sont deux états d'esprit induits par les émotions produites par la sensation tactile des tissus adipeux.

La tendresse se vit autant dans les gestes que dans les pensées. Une pensée tendre, c'est voir sa "partenaire" belle, douce, fine et merveilleuse. À travers celle-ci, notre épouse nous apparaît encore beaucoup plus belle que d'habitude: elle resplendit de beauté. On la perçoit comme la plus belle femme au monde. Cette pensée constitue un état d'extase et d'admiration associé à toute l'importance qu'a notre aimée pour nous. Au moment d'un échange d'affection, elle est tout particulièrement la plus belle, la plus intelligente. la plus fine, la plus douce, la plus gentille pour soi. En d'autres mots, les pensées qui nous habitent sont très valorisantes pour elle.

Au cours d'un échange d'affection, des images positives concernant notre "partenaire" surgissent spontanément dans notre esprit. Cette imagerie continue à solliciter la programmation pour nous faire poser des gestes automatisés de douceur et de tendresse. La valorisation se fait ainsi spontanément quand on s'abandonne émotionnellement à son amoureuse.

Un geste tendre ne se définit pas par la manière dont on déplace ou on appose ses mains sur le corps de sa "partenaire" (sic), mais plutôt par ce qu'il dégage comme émotions. Par la tendresse, on transmet des émotions de bien-être en touchant son corps. Notre corps peut alors se comparer à un contenant rempli de nos émotions et nos mains, à des becs verseur d'où s'écoulent celles-ci. Nos mains, en plus de transmettre les émotions, captent celles de nos êtres aimés. Elles agissent comme des antennes émettrices et réceptrices. Comme avec les cordes vocales pour la communication verbale, on s'exprime émotivement avec les mains; et parce qu'elles ont une sensibilité plus grande que le reste du corps, elles peuvent détecter une plus grande variété de sensations sur un plus grand écart d'intensité.

Comme un geste tendre constitue un déversement de nos émotions vers le corps de notre "partenaire", il lui procure une dose de bien-être. De ce bien-être, elle réagit aussi par des gestes tendres et émotifs à notre égard, ce qui nous rend euphorique. Un geste tendre dégage une chaleur humaine. Celle-ci est une expression se référant à deux aspects, soit à la chaleur que dégage le corps et à une qualité que la communication émotionnelle peut avoir: un geste rude est plutôt froid alors qu'un geste tendre est chaud. Un geste froid transmet un message émotif d'insécurité et de malaise, ce qui implique un blocage nous empêchant de se livrer émotivement à l'autre alors qu'un geste chaud provoque un état de confort et de sécurité pour la personne qui le reçoit. C'est par notre chaleur humaine que notre femme ressent que nous nous abandonnons émotivement et par la suite, se sentant ainsi sécurisée, elle peut s'abandonner à son tour. On peut donc dire que la chaleur humaine est responsable de l'enclenchement d'un comportement affectueux.

Les femmes nous procurent une sensation de bien-être qu'elles seules peuvent nous faire vivre.

Maintenant il  va falloir publier un texte à l'honneur du pelotage, si diabolisé par notre sinistre, névrosée, et insociable époque

il fut un temps où la communication entre les êtres on trouvait ça normal ; maintenant on trouve ça criminel !

21/12/2024

la fin de l'amour

http://zamenhof.blogg.org/la-fin-de-l-amour-a115557942

« Le soleil a rendez-vous avec la lune »

…….   
« ici bas souvent chacun pour sa chacune

chacun doit en faire autan » 

Eh oui ! il fut un temps où on trouvait normal que « chacun ait sa chacune », et réciproquement.

c'est loin tout ça
le temps où
on vivait en famille chaque jour par amour ou par nécessité en vue de rendre l'existence vivable tout simplement.

Mais maintenant, d’abord il n’y a plus que l’idée de deux chacuns ensemble ou de deux chacunes ensemble qui soit valorisée !
Et puis c’est l’époque où les femmes considèrent que "une femme sans homme c’est comme un poisson rouge sans patin à roulette".  Il n’y a plus que des hommes, à ne pas penser pareil, mais ils ne le disent pas ! ils sont bien trop complexés par le terrorisme intellectuel du temps, et crèvent en silence tout en disant « amen ».

Alors chacun (ici « chacun » = chacun et chacune) dérive tout seul avec « chacun son corps », réservé seulement pour les infirmières du pouvoir médical et le thanathopracteur du funérarium ; chacun s’agite tout seul entre deux métros et trois boites de conserves, entre son appartement de banlieue  et le crématorium. Maintenant le désir est invariablement décrit comme celui d’un chien pour un bifteck, la tendresse comme une violence, la beauté comme attentatoire à la dignité de LA femme, faire l’amour comme une perversion, la complicité comme une aliénation, l’attachement comme une maladie mentale !

Quand à l’amitié n’en parlons pas ! on a trop peur que ça puisse être accusé d’être sexuel, donc pervers, à une époque où même les enfants ne se tiennent plus par la main, pensez donc, les adultes !

En définitive la fameuse « libération sexuelle » qu’on nous a tant vantée n’a pas du tout libéré les relations entre les sexes, au contraire. Elle n’a servi qu’à renforcer le puritanisme, et à rendre les gens plus paranoïaques et plus constipés. Soit dit en passant, la pudeur du temps passé était finalement beaucoup plus saine que celle de maintenant. On cachait, que ce soit les choses, les mots, les désirs, mais on suggérait : çe qui donnait à la fois plus de confiance et de sécurité, et de liberté, et de convivialité. Maintenant on montre, on dit,  on enseigne, le tout le plus crûment possible, mais on interdit ! et, comme on est quand–même gêné, on se réfugie dans une sexophobie (qui ne s’avoue pas) crispée et paranoïaque, et on criminalise le désir ! Ce qui fait qu’au lieu d’être plus libérés on est plus complexés, et la société s’éteint sous une chape de peur et d’autocensure, et de perte du lien social (tandis que la suggestion permettait de faire cohabiter le désir et la  décence, et les contacts humains au niveau qu’on voulait bien). Ce qui suscite, ou le cynisme, ou l’hystérie criminalisatrice, et le fossé entre les êtres.
http://www.youtube.com/watch?v=k0ccz207jDs


Et en plus : http://www.bastamag.net/article2827.html

   

Bientôt la sexualité sera aussi interdite que le tabac, on commence à nous y préparer, le climat monte.
On parie?

   

on est bien dans cette société dénoncée par Marc-Edouard Nabe :

"Les asexués obsédés de sexe et qui ne baisent plus, ces filles qui portent des mini-jupes mais ont une burqa dans la tête " 

et par Israel Shamir :

" Enfants de la révolution vaincue de 68, nous étions libres d'aimer, de fumer, de penser et d'agir. Nous pouvions voyager et prendre l'avion sans être déshabillés à l'aéroport, et on ne nous confisquait pas nos gaudrioles.
Nous pouvions faire l'amour et fumer dans les cafés. Depuis, c'est la dégringolade; toute fumée est bannie, et la pensée libre a été incarcérée entre les barreaux du Politiquement Correct, et l'action politique réduite à l'inscription à des groupes sur facebook. L'amour est devenu un véritable champ de mines sous des lois victoriennes."

commentaire trouvé sur le net : "on prépare une génération entière de femmes qui crèveront toutes seules à 70 ans dans leur appartement, absolument toutes seules avec leur chat et leur sac Vuitton.
Et pour les hommes, ça sera pas mieux (solitudes, maladies insoignables pour cause de fin de la sécurité sociale programmée, suicides, conséquences de la consommation de drogues et d’alcool). Ma génération s’est tracée un avenir tout simplement sensationnel.
Là, je m’adresse aux hommes qui ont entre 20 et 35 ans, comme moi : si vous voulez vous faire une bonne idée de comment vivront les hommes de notre génération dans les années à venir, allez voir comment ça se passait pour la majorité des hommes en Russie dans les années 90 (longévité merdique, maladies dues à l’alcool, chômage de masse, misère, solitude généralisée...génération sacrifiée). Ça nous pend au nez ! Mais il ne faut pas que vouv vous en plaigniez, vous vous feriez traiter de fasciste !"

Souvenez-vous de Jean XXIII quand il était séminariste et qu’il faisait bien attention pour ne pas lever les yeux sur les filles, on lui avait apprit à « éduquer son regard » et à « maîtriser ses pulsions » comme on appelle ça maintenant !...
bref L’Eglise sortie par la porte est rentrée par la fenêtre. Les Talibans ont gagnés la guerre ! Regardez les images d’autrefois, les films, etc et vous verrez : la France en fait n’a jamais été aussi puritaine depuis 1 siècle et demi ! Maintenant tout ce qui est désir est tabou. A la rigueur on admet encore que des gens copulent (n’utilisons plus l’expression « faire l’amour », ce n’est plus du tout ça !...) mais à condition que ce soit purement mécanique (partenarial !) sans désir (surtout !) sinon c’est pervers ! Ils ne se rendent pas compte que c’est leur puritanisme qui est pervers, et qui est un refus de l’humanité et de la communication, et la peur devant les sentiments.

autre commentaire, fin novembre 2017 :

Maintenant que les femmes nous traitent de porc, il est évident que la poupée sexuelle est notre avenir à tous. Une amie me demandait comment nous les hommes ne devenions pas tous pédés avec la haine masculinophobe qui sévit. Sa question devient légitime.

15/12/2024

l'analyse du philosophe Michel Weber ou le fascisme 2.0 - depuis 2013 il savait que ça allait arriver

Il y a eu une criminalisation de la pensée, ça ne vous a pas échappé !

 

son récent livre : https://www.t-pas-net.com/libr-critique/chronique-michel-...

en 2013 il avait déjà annoncé ce qui se passe en ce moment :

Michel WEBER

Tocqueville (1835) a indiqué que la démocratie de marché pouvait facilement donner naissance à un totalitarisme mou. Depuis Mumford (1932), on sait que la technoscience donnera volontiers un peu de rigueur au tropisme fasciste. Où en sommes-nous ?

La crise qui se propage de proche en proche depuis 2008 est une crise qui est essentiellement politique et, en tant que telle, elle demande une réponse politique.

De fait, les observateurs avertis peuvent discerner la multiplication des signes d’une dérive fasciste, à la fois au niveau de la base et à celui du sommet de la pyramide sociale. D’une part, les idées fascistes sont de plus en plus courantes dans les milieux défavorisés (qui sont eux-mêmes en croissance rapide) ; d’autre part, elles sont de plus en plus explicites chez les technocrates — mais sous une forme tellement aseptisée qu’on pourrait, il est vrai, croire à leur parfaite innocuité.

Il est donc fort piquant de remarquer que le grand public est parfaitement ignorant de ce retour de l’extrême-droite. Il pressent certes l’imminence de l’effondrement sociétal mais il n’a absolument pas conscience de la nature exacte du danger. La réouverture de camps de concentration ou même la généralisation des conflits régionaux semble passer inaperçue. De même, le sens et la portée de l’existence d’apologies hollywoodiennes (au propre comme au figuré) de la torture demeurent entièrement mystérieux. Cette double tension est paralysante et anxiogène, ce qui fait le jeu de l’oligarchie : quoi de plus manipulable en effet que des individus dans un état de coma moral et politique ?

Pire, les acteurs sociaux les plus remuants, les militants et les universitaires pensent l’effondrement de la civilisation globalisée à partir de leur expertise et sont dès lors conduits systématiquement à manipuler des statistiques, parfois très convaincantes, mais qui comprennent la transformation sociétale annoncée sur le mode de la lente désagrégation d’un pan de la société. Le long terme est ainsi mis en perspective à partir d’une facette supposée cruciale.

Or, ce qui s’annonce c’est un effondrement total et abrupt des « démocraties de marché » à la faveur de l’emballement d’une de ces crises qui constitue, en synergie, la crise globale systémique. Peu importe la nature de l’événement déclencheur — une pénurie de dix jours de l’approvisionnement de pétrole, des émeutes de la faim dans des quartiers (ou des pays) « défavorisés », des macro-mouvements de population forçant les portes de la citadelle Europe, un accident industriel majeur, une nouvelle bulle financière, une vraie-fausse pandémie, une guerre inter-régionale ou même mondiale, … — la conséquence politique sera inévitable et immédiate : l’état d’urgence, c’est-à-dire le totalitarisme, ou le chaos absolu, c’est-à-dire la guerre de tous contre tous. Une guerre civile serait comparativement plus structurante.

L’enseignant-chercheur qui n’a pas oublié la leçon de citoyenneté magistrale que nous a laissé Victor Klemperer (LTI, 1947) se doit en conséquence de mettre en évidence deux dynamiques : premièrement, il faut montrer que la réponse à la crise globale systémique est bien d’ores et déjà politique et que, si aucune force ne vient entraver l’inexorable progression du capitalisme du désastre, il ne nous restera bientôt plus qu’à émettre des regrets carcéraux ou post-mortem. Deuxièmement, il faut discerner les pistes théoriques et pratiques qui sont susceptibles d’infléchir cette trajectoire dès aujourd’hui.

Michel Weber

Une première version de ce billet a été publiée ici : http://www.pauljorion.com/blog/?p=53721
Dernier ouvrage paru : De quelle révolution avons-nous besoin ?, Paris, Éditions Sang de la Terre, 2013. (978-2-86985-297-6)

Et n'oublions pas MICHAEL PARAIRE, lisez son article Covid 19 et Fascisme 2.0 dans son blog " un quart d'heure avec le penseur " http://leblogdupenseur.canalblog.com/archives/2020/05/02/...

Dans un Etat fasciste et totalitaire on connait déjà à l'avance quels seront  les résultats  : (!)

https://ruclip.com/video/sV7MRHL_OzI/covid-l%E2%80%99incr...

Enfance et Libertés, l'association : https://enfance-libertes.fr/

La culture , le sport , les loisirs , la créativité, la joie et la confiance ont fait place au repli sur soi , à la méfiance , au rabougrissement, au mépris envers les autres .
La vie que le grand capital et son gouvernement nous laissait n’était pas terrible , mais mon Dieu nous parvenions à peu près à l’embellir .
Aujourd’hui c’est devenu de la merde et ils nous interdisent d’en sortir .
Cela va se finir en révolte armée et ils joueront les étonnés . Si on pouvait les pendre comme au tribunal de Nüremberg !

"Covid 19 le grand Reset" de Claus Schwab est leur Mein Kampf

autre philosophe : https://odysee.com/@Dieudonn%C3%A9officiel:f/episode-161:0



13/12/2024

message de la race inférieure

Bonnes-femmes, il va vous falloir apprendre à vous passer de la race inférieure, de ces Untermensch que sont les hommes, si vils et si porteurs par essence de tous les vices du monde ! Oui elles ont raison les bonnes-femmes, c’est exact : les hommes sont paresseux, irresponsables et de grands enfants, et j’en suis fier, et je ne respecte que les êtres irresponsables et qui restent de grands enfants, comme Karl Marx, Albert Einstein et Jules Laforgue. Je vous laisse avec votre noble peuple sacré de « gens raisonnables » ! Allez vous faire foutre comme on dit (et comme ça vous pourrez encore stigmatiser le « machisme » avec tous vos slogans-tout-faits de maîtres racistes que vous êtes - et le racisme de classe pour commencer, d’ailleurs tout racisme se révèle être quand on gratte un peu un racisme de classe), et je resterai comme Elian Finbert avec mon chat et mon chien, qui eux méritent d’être respectés et aimés.

 

 

http://reseauinternational.net/pourquoi-il-convient-de-se...

"faut bien lire la loi ! à 1,50 mètre on ne peut pas t’accuser de quoi que ce soit ! donc équipe-toi d’un mètre-étalon, fais signer un état des lieux à 3 témoins avant toute formule de politesse !"

(le mieux est de ne même pas leur adresser la parole, il faut faire semblant de ne pas les avoir aperçues, comme pour les flics. Et elles vivront et crèveront seules, comme nous, c'est le seul avenir qui reste maintenant dans notre société "libéral-fasciste")