18/12/2014
ce qu'est la vie, le temps, le monde, tout, film vu en 86
- 18/12/1986
film de Von Trotta « Rosa Luxembourg », Super ! Et l’actrice Barbara Sukowa. D’abord elle est très belle, et quelle actrice ! Cette femme merveilleuse, avec un cou qui attire les baisers, apparaissait par moments comme les plus nobles idéaux incarnés, c’est le cas de le dire.
C’est un film passionné et poignant, comme les vies humaines, et il commence significativement par une exécution capitale.
Scènes et détails, les bœufs, la nuit de Noël, « Toute larme qu’on n’a pas essuyée, alors qu’on pouvait le faire… »
« L’histoire, cette vieille taupe qui creuse tant et si bien qu’elle trouve la lumière »,
« La vie …… l’odeur lourde des tilleuls – le monde comme une rose épanouie qui ne demande qu’à ce qu’on la respire »
A la fin on l’assassine et on jette son corps dans la Spree. La dernière image de l’eau noire refermée sur son corps et sa vie. Le noir les ondes comme celles qui font ce cosmos indifférent : voilà l’image définitive du destin de l’homme. Et voilà ! tout est scellé, toute cette vie, encore présente tout à l’heure, toute cette chaleur, ces amours, ces tendresse, ces passions, ces débats, ces enjeux, ces émerveillements devant devant une illusoire épanouissance du monde, évanouis totalement derrière ce noir qui ne recèle rien. Maintenant que son corps est jeté dans la Sprée, c’est terminé, et pourtant il y avait jusqu’alors tant d’émotion et de sentiment.
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17/12/2014
Le grand jeu de la société qui vient
Règle 1
Jusqu'à nouvel ordre, tous vos droits sont suspendus. Naturellement, il est bon que vous conserviez quelques temps l’illusion que vous en avez encore. Aussi, nous ne les violerons qu’un à un, avec prudence et au cas par cas.
Règle 2
Soyez gentils: ne nous parlez plus des lois, de la constitution et de toutes ces élucubrations d’un autre age. Depuis quelques temps, comme vous l’aurez remarqué, nous avons fait passer des lois qui nous mettent au-dessus des lois, comme au reste de cette soi-disant constitution.
Règle 3
Vous êtes faibles, isolés, hébétés, abusés. Nous sommes nombreux, organisés, fort et éclairés. Certains disent que nous sommes une mafia, cela est faux: nous sommes LA mafia, celle qui a vaincu toutes les autres. Nous seuls sommes en mesure de vous protéger du chaos du monde. Et c’est pourquoi il nous plait tant de vous pénétrer du sentiment de votre faiblesse, de votre insécurité. Car c’est à proportion que notre racket est rentable.
Règle 4
Le jeu consistera pour vous à fuir, ou du moins à tenter de fuir. Par fuir, nous entendons: tenter d’échapper à notre dépendance. Pour l’heure, c’est bien vrai, vous dépendez de nous dans tous les aspects de votre vie. Vous manger ce que nous produisons, vous respirez ce que nous polluons, vous êtes à notre merci à la moindre carie et surtout vous ne pouvez rien contre la souveraineté de notre police, à qui nous avons conféré toute latitude, en fait d’action comme d’appréciation.
Règle 5
Vous ne parviendrez pas à fuir seul. Il vous faudra constituer les solidarités nécessaires. Pour corser le jeu, nous avons achevé de liquider toute forme de socialité autonome. Nous n’avons laissé subsister que le travail: la socialité sous contrôle. C’est cela qu’il s’agira de fuir, par le vol, l’amitié, l’auto-organisation. Ah, une précision tous les moyen de fuir, nous en avons fait des crimes.
Règle 6
Nous n’avons de cesse de le répéter: les criminels sont nos ennemis. Mais par-là vous devez d’abord entendre ceci: que nos ennemis sont des criminels. En tant que fuyard potentiel, chacun d’entre vous est aussi un criminel potentiel. C’est pourquoi il est bon que nous conservions la liste des numéros que vous avez appelés de votre téléphone, que vos cellulaires nous permettent de vous localiser à tout moment et qu’avec votre carte bancaire, de si bien connaître vos habitude.
Règle 7
Dans notre petit jeu, ceux qui sortent de leur isolement se nomment criminel. Quant à ceux qui auraient le front de contester ce statut, nous les appellerons terroriste. Ceux-ci pourront être abattus à tout moment.
Règle 8
Nous sommes bien conscients que la vie dans les rangs de notre société contient à peu près autant de joie qu’un trajet du métro de Montréal; que le capitaliste n’a produit jusqu’ici, en fait de richesse, qu’une universelle désolation; que notre ordre vermoulu n’a plus d’autre argument que les flashballs qui le protégent. Mais que voulez-vous: c’est ainsi! Nous vous avons désarmé mentalement, physiquement; et nous détenons maintenant le monopole de ce que nous vous interdisons: la violence, l’espace public et la magouille. Franchement, si vous étiez dans notre position, feriez-vous autre chose que ce que nous faisons?
Règle9
Vous connaîtrez la prison.
Règle 10
Il n’y a pas de règle. Tout les coups sont permis.
Votre gouvernement
Source anonyme
à la suite de cet article du Saker :http://www.vineyardsaker.fr/2014/12/16/bibliosaker-les-et...
et peut-être le dernier est le plus pessimiste :
Réfléchissez un peu à ce que je suis en train de vous dire.
Dans 50 ans, si Poutine est terrassé : vos petits enfants apprendront cette « histoire » (sera enseignée à toutes les futures générations d’Américains. A savoir que la Russie a délibérément déstabilisé l’Ukraine; qu’elle a envahi la Crimée; qu’elle a envahi l’est de l’Ukraine; qu’elle a abattu le vol MH17; etc.) et ceux qui essaieront de rétablir la vérité seront traîtés de fous, de conspirationnistes, d’apologistes de crime contre l’humanité, etc.
Regardez autour de vous… une grande majorité des abrutis conditionnés par la télé sont déjà dans cette « matrix ».
15/12/2014
sciencaj bildstrioj en Esperanto
http://www.ipernity.com/search/doc?w=29025&q=Petit
vi devas enskribiĝi en Ipernity antaŭ ol elŝuti la bildstriojn en pdf-dosieroj
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14/12/2014
kaj kun klera rigardo
Hipokrito
Hipokritan rideton,
kaj malican rigardon,
mi rimarkas kun timo
Mi plutenas kvieton
kaj kun granda trankvilo
mi klopodas forigi
ĉi vanaĵan fiaskon.
Estas tre malfacile
babiladi kun pravo,
sed kun fid' kaj espero
kaj kun klera rigardo
mi trapasos obstaklojn,
ĉar mi fidas al ŝago.
Arquillos 9-11-14
10/12/2014
De Gaulle l'avait prévu
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09/12/2014
Artémise, enlève ta chemise
je ne retrouve plus nulle part les paroles et encore moins la musique de cette chanson, assez ancienne, peut-être d'avant guerre, qui disait
"Artémise, enlève ta chemise !
Artémise, on va faire des bêtises."
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08/12/2014
il y a des gens qui préfèrent faire l'autruche
*
*
les forces de gauche qui savent réfléchir sont pour la sortie de l'UE
Et pour la sortie de l'OTAN (ça aussi c'est dans le programme de l'UPR, soit dit en passant) En Italie une grande campagne se crée pour demander la sortie de l'OTAN, que la France de De Geulle en prenne de la graine !
http://www.vineyardsaker.fr/2014/12/07/campagne-internati...
(et ça montre aussi qu'il n'y a pas que l'UPR sur terre ! ils n'ont pas le monopole de la résistance et du bon sens, ça se répand partout maintenant !)
François Asselineau s'adresse aux électeurs de gauche :
MAIS AVANT ça voici un résumé en anglais, de l'origine de cette "Europe"
A United Europe was clearly a vision of Plantard’s 1940 vision, as expressed in the issues of Vaincre. And in the 1950s, a New York-based group called the American Committee on United Europe, whose leadership included General Bill Donovan, wartime head of the OSS (the fore-runner of the CIA), George Marshall, the US Secretary of State, and Allen Dulles, then Director of the CIA.
This high-powered CIA-funded pressure group financed the so-called European Movement, headed by Joseph Retinger, who promoted select gatherings of European and American politicians, businessmen, aristocrats, top civil servants and military leaders. It is also a group that would later inspire Prince Bernhard to create the Bilderberg group, which is now known to have equally been set up with CIA funding.
In 2000, declassified American government documents showed that the US intelligence community funded and directed the European federalist movement. One memorandum, dated July 26, 1950, gave instructions for a campaign to promote a fully fledged European parliament. It was signed by Gen. William J. Donovan, head of the American wartime Office of Strategic Services, precursor of the CIA. The vice chairman was Allen Dulles. The board included Walter Bedell Smith, the CIA’s first director, and a roster of ex-OSS figures and officials who moved in and out of the CIA.
The documents again showed that ACUE financed the European Movement, the most important federalist organization in the post-war years. In 1958, for example, it provided 53.5 per cent of the movement’s funds. Most interestingly, these documents again confirmed that the European Youth Campaign, an arm of the European Movement, was wholly funded and controlled by Washington.
Societe Perillos
American Committee on United Europe was started by William J Donovan. Donovan also started GLADIO
I like the last sentence:
Quote:
The head of the Ford Foundation, ex-OSS officer Paul Hoffman, doubled as head of ACUE in the late Fifties. The State Department also played a role. A memo from the European section, dated June 11, 1965, advises the vice-president of the European Economic Community, Robert Marjolin, to pursue monetary union by stealth.
It recommends suppressing debate until the point at which "adoption of such proposals would become virtually inescapable".
Bon, revenons au français et à François Asselineau :
"Après le Nicaragua et le Venezuela, c'est la Bolivie qui vient s'ajouter à la liste des États qui accordent l'asile politique à Edward Snowden. Il me semble assez probable que le président Correa de l'Équateur devrait annoncer à son tour la même décision dans les prochaines heures.
Deux évolutions essentielles sont à noter :
d'une part, ces événements historiques se déroulent dans une atmosphère d'effervescence patriotique et anti-impérialiste qui est en train de balayer toute une partie du continent latino-américain.
d'une part, tous ces chefs d'État sud-américains ne prennent plus de gant pour appeler un chat un chat : ils mettent exactement dans le même sac « les Européens et les Américains du nord ».
On me permettra de souligner à quel point cette évolution des esprits - à l'échelle d'une moitié de continent - confirme de façon éclatante toutes les analyses que j'ai présentées au public depuis la création de l'UPR.
Ce que nous disent en substance les chefs d'État sud-américains les uns après les autres, c'est en effet que la prétendue « construction européenne » n'est bel et bien qu'une gigantesque opération d'asservissement des pays d'Europe conçue et imposée par Washington à des fins de domination mondiale et dans un objectif guerrier de « choc des civilisations », et que cette stratégie fonctionne puisqu'il n'y a désormais plus aucune différence entre « les Européens et les Américains du nord ».
---------------------------------------- CONCLUSION : LE CHOIX EST CLAIR -----------------------------------------J'en appelle ici à tous les citoyens français épris de paix et de justice, et tout spécialement à mes concitoyens de gauche. Ne vous laissez plus manipuler par ces responsables politiques troubles - au premier rang desquels les dirigeants du Front de Gauche ou de EELV -, qui vous font croire que l'on pourrait parfaitement être pour l'Europe et pour l'euro, tout en se proclamant les amis des peuples et des régimes progressistes d'Amérique Latine. Qu'il suffirait en somme de se proclamer « pour une Autre Europe » pour que le problème soit réglé.
Tout ceci est une abjecte tromperie. Les 56 ans écoulés depuis le traité de Rome ont amplement prouvé qu'il n'y a aucune « Autre Europe » possible, et cela pour toutes les raisons précises et irréfutables que j'expose depuis plus de 6 ans à mes auditoires, sans jamais avoir été démenti une seule fois par des événements contraires
Chaque Français et chaque Français est donc confronté désormais à un choix d'une clarté limpide :
soit garder le silence, avoir peur et baisser les yeux, en laissant lâchement la France, sous couvert de « construction européenne », devenir une colonie américaine pour devenir le supplétif des Américains dans des guerres néo-coloniales de plus en plus meurtrières à la surface du globe ;
soit se réveiller d'un mauvais songe, relever les yeux et se redresser dignement, rejeter la tentation de la peur et de la lâcheté en étant désormais résolu à faire sortir la France de cette prétendue « construction européenne » qui est en train de nous détruire, non seulement matériellement mais aussi spirituellement.
Ce choix est LE choix décisif de notre époque. Et vous savez que l'UPR est le seul mouvement politique à vous proposer clairement, sans aucune variation ni ambiguïté depuis sa création, d'opter courageusement et fièrement pour la sortie de l'UE, de l'euro et de l'OTAN.
Ce qui est nouveau ce soir du 6 juillet 2013, c'est que ce n'est plus seulement moi qui vous le dis. D'une certaine façon, ce sont les présidents du Nicaragua, du Venezuela et de la Bolivie qui viennent de le crier à la face du monde.
François ASSELINEAU
Je rappelle ces propos de SAPIR :
"L’union européenne est aujourd’hui le site d’où s’impulse la radicalisation des politiques néolibérales ; un espace de prise de décision où l’influence de la volonté populaire est systématiquement tenue à distance. En outre, la création de l’euro dans le cadre de l’union économique et monétaire a nourri des déséquilibres insoutenables qui ne peuvent être durablement résorbés, fut-ce au prix d’un brutal ajustement à la baisse des salaires, une hausse des impôts indirects et une détérioration drastique des services publics comme on l’observe dans les pays de la périphérie.
Ce constat commun conduit à une appréciation partagée : l’Union européenne et, plus spécifiquement, l’union économique et monétaire sont des dispositifs de pouvoir hostiles aux intérêts de la majorité de la population européenne et doivent être désignés et combattus en tant que tels par la gauche. Point de salut donc dans le grand bond en avant présenté aujourd’hui par les commentateurs européistes comme la seule issue à la crise. Bien au contraire. Tandis que les classes dominantes sont puissamment organisées et coordonnées à l’échelle européenne (et plus largement internationale), les mouvements sociaux et les organisations de gauche demeurent fragmentés géographiquement, profondément ancrés dans les rythmes de leurs espaces nationaux. Ne disposant pas de leviers institutionnels pour investir le champ stratégique européen, les salariés n’influent d’aucune manière l’agenda intégrationniste qui ne peut de ce fait leur être que défavorable. Il faut donc rechercher une forme de rupture avec l’UE ce qui implique, mécaniquement, en venir à un recentrage – au moins temporaire – sur un espace national de définition des politiques économiques et sociales." (Sapir)
bref sortir de l'UE (par usage de l'article 50) comme le préconise François Asselineau et l'UPR
Le syndicats des cheminots et marins britannique appelle à la sortie du Royaume-Uni de l'UE, parce que ses dirigeants ont parfaitement compris - comme l'UPR - que la prétendue « construction européenne » est un processus nécessairement autobloquant et dictatorial.
Le peuple français finira-t-il enfin par comprendre ça et se révolter efficacement ? ça urge car, ce qui est terrible, c'est que le point de non-retour est presque atteint... La force des européistes néolibéraux du grand capital et de "Libéral-fascisme" (regardez sur internet pour avoir la définition) est dans le fait qu'ils ont bricolé un système légal puissant (lobbys intellectuels, financiers, industriels, politiques) ils ont réussi ce que les mafias internationales ont entrepris dans les années 50 : être dans les rouages décisionnaires de la société. La réussite de la commission et des médias est d'avoir diabolisée toutes les autres démarches intellectuelles, protégeant ainsi leur propre système. Ils sont téléguidés par des commanditaires de l'ombre qui connaissent parfaitement les faiblesses de chacun. Tant qu'il y aura ce genre de cercles indestructibles et parfaitement coordonnés, les alternatives seront bâillonnées et juste maintenues pour faire croire en la liberté d'expression.
07/12/2014
l'état de l'opinon politique en Russie - statistiques
Aujourd’hui, la répartition des sympathies historico-politiques dans la société russe ressemble à ceci : les partisans du système politique russe actuel rassemblent 19% des citoyens, les partisans du modèle de système occidental en réunit 21%, et les partisans du système soviétique atteignent 39%. (http://www.levada.ru/24-02-2014/luchshaya-politicheskaya-i-ekonomicheskaya-sistema). On compte également 10 à 11 % de partisans de la tradition monarchiste prérévolutionnaire.
Le pouvoir actuel repose donc sur l’union de 19% de "tricolores", 11% de blancs et 39% de rouges, face à une opposition de 21% de bleus. En outre, près de 60% jugent positivement Lénine et la révolution d’Octobre, et plus de 50%, Staline, alors que ceux qui considèrent Nicolas II comme une victime innocente rassemblent 23%.
(http://www.levada.ru/16-05-2013/rossiyane-o-nikolae-ii)
Dans le bloc social de 69% soutenant le pouvoir actuel, plus de la moitié, 39%, sont des « rouges ». Sans eux, le pouvoir ne peut compter que sur le soutien de moins du tiers de la société. Formellement, si l’on ajoute à ce tiers les 21% de bleus, partisans de l’Occident, on obtient une majorité de 51%. Mais d’une part, l’équilibre est réduit au minimum disponible, et d’autre part, c’est irréalisable du point de pratique dans la mesure où, l’union des bleus avec les tricolores entraînera inévitablement la défiance des blancs, pour lesquels les partisans de l’Occident sont plus détestables que ceux des soviets.
Le paradoxe veut que le système soviétique qui s'est installé en dépit de la volonté du peuple (lors des dernières élections démocratiques, pour la Constituante de janvier 1918 les Bolchéviques n'ont pas eu plus de 25% des voix, la majorité était pour les Socialistes Révolutionnaires) a été démantelé par la volonté, en 1991, de 3 ivrognes réunis dans une datcha au fond de la forêt Bielorusse et des "services" US, FMI, et toute la bande, alors que la majorité du peuple voulait la continuation de l'Union Soviétique, et est maintenant 20 ans après ce démantèlement, regretté par une majorité du peuple ! En effet :
Selon l’institut FOMA, 42% de la population considère que la révolution d'Octobre a engendré des conséquences plutôt positives, et 21% des conséquences plutôt négatives (http://fom.ru/Proshloe/10685). Il s’agit des conséquences pour le pays. Ceux qui considèrent qu’Octobre a occasionné des dommages à leur famille réunissent 15%. A la question « Lors de la guerre civile, de quel côté étaient vos ancêtres ? », 39% répondent qu’ils ont combattu du côté des rouges et 3%, du côté des blancs.
(http://fom.ru/Proshloe/10685)
Si les personnes devaient décider aujourd’hui de quel côté elles se seraient trouvées lors de la confrontation, 36% seraient du côté des rouges, et 32% auraient combattu, contre 9% avec les blancs, et 6% les armes à la main. ( Il est malaisé de dire à quoi pensait Medvedev quand il a déclaré que le 7 novembre était jour de tragédie pour la Russie, et à qui il s’identifiait. )
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06/12/2014
citations - amitié
« A man is only complete |
Susan Polis Schutz |
AMITIE |
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« Ami que je ne connais pas |
Carême (Maurice) |
AMITIE |
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« Chacun en écoutant l’autre retrouvait des parties de lui-même, oubliées. » |
Flaubert (Gustave) |
AMITIE |
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« Chaque ami représente tout un monde en nous, un monde qui l’attend pour naître, et c’est seulement en le rencontrant que ce monde nouveau naît. » |
Nin (Anaïs) |
AMITIE |
RENCONTRE |
« De quelle aide peut être quelqu’un qu’on ne peut approcher qu’avec des mots choisis. » |
Bibesco (Princesse Elisabeth) |
AMITIE |
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« elle sait que devant cette douleur, tout encouragement serait indécent, tout conseil insultant. Ce dont son amie a besoin, tout ce qu’elle lui donnera c’est son amour. » |
Kénizé Mourad |
AMITIE |
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« Il n’est qu’un luxe véritable, et c’est celui des relations humaines. » |
Saint-Exupéry (Antoine de) |
AMITIE |
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« Il n’y a pas de plaisir comparable à celui de rencontrer un vieil ami si ce n’est peut-être celui d’en faire un nouveau. » |
Kipling (Rudyard) |
AMITIE |
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« Il y faut des cœurs purs. Savez-vous que, là-bas, les amis se promènent dans la rue deux par deux, en se tenant par la main … En Orient aussi parfois ? …Ah ! je plaisante. Nous avons de la tenue, nous, la crasse nous guinde. » |
Camus (Albert) |
AMITIE |
CARESSES |
« J’ai entendu éternuer. C’est sûrement René Rateau … C’est agréable d’entendre un ami comme ça en pleine nuit. » |
Sempé |
AMITIE |
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« L’amitié est la science des hommes libres. » |
Camus (Albert) |
AMITIE |
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« L’amitié libère de la peur et de la servitude ; c’est la sagesse même. » |
Épicure |
AMITIE |
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« L’amitié : c’est un voilier élégant sur lequel on s’embarque avec quelqu’un d’autre pour une durée indéterminée. » |
Grobhoiser (Danièle) |
AMITIE |
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« L’amour est aveugle, l’amitié ferme les yeux. » |
Bismarck (Otto von) |
AMITIE |
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« La première loi de l’amitié est qu’elle doit être cultivée, la seconde loi est d’être indulgent quand la première a été négligée. » |
Voltaire |
AMITIE |
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« Le père et le fils, d’un dernier effort se retrouvèrent sur le rebord de la fenêtre ; ils avaient la même taille, pesaient le même poids, avaient le visage éclairé par les mêmes étoiles, et restaient l’un contre l’autre, savourant une merveilleuse fatigue, réprimant des rires fous qui leur secouaient les os sur le même rythme, et par crainte de réveiller Dieu, le pays entier, l’épouse, maman, chacun mit une main sur la bouche de l’autre, senti la chaude hilarité jaillissante et ils prolongèrent cet instant, les yeux brillants d’une joie commune, et humides de véritable amour. » |
Bradbury (Ray) |
AMITIE |
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« Les amis ne sont pas nécessairement ceux que nous préférons; ce sont ceux qui étaient là les premiers.“ |
Ustinov (Peter) |
AMITIE |
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« Les pas d’un ami sont plus doux que de douces paroles. » |
Jammes (Francis) |
AMITIE |
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« Lorsque vous quittez votre ami, n’ayez point de chagrin. Car ce que vous aimez le plus en lui apparaîtra plus clairement en son absence. » |
Gibran (Gibran Khalil) |
AMITIE |
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« Mais à jamais le souvenir de cet homme |
Frénaud (André) |
AMITIE |
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« Malhabiles nous sommes à nous atteindre, les hommes |
Frénaud (André) |
AMITIE |
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« Man is forced to be alone by the very nature of society. But if you meet a person who is not envious, who loves and believes in other things than himself, then to this rare person offer a lifetime of friendship.” |
Susan Polis Schutz |
AMITIE |
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« Ne laissez pas une petite dispute meurtrir une grande amitié. » |
? |
AMITIE |
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« Nous avons tous besoin que quelqu’un ait besoin de nous. » |
Gary (Romain) |
AMITIE |
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« On ne se crée point de vieux camarades. Rien jamais en effet ne remplacera le compagnon perdu. Rien ne vaut le trésor de tant de souvenirs communs. |
Saint-Exupéry (Antoine de) |
AMITIE |
|
« Où est l’amitié, là est la patrie. » |
Voltaire |
AMITIE |
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