08/12/2017
les néerlandais
il y a une chose qui s’était passé lors du voyage à Amsterdam avec Denise, à un moment un néerlandais à vélo lui a en passant rageusement et sans rien dire replié son rétroviseur !! que j’imagine il trouvait gênant (il me semble que selon le code de la route c’est aux véhicules - y compris les vélos ! - d’avoir la maîtrise de leur trajectoire, et donc de savoir viser sa trajectoire suffisamment au large pour passer sans accrocher les autres ! Et devant un obstacle, si obstacle il y a, de faire un écart).
En tous cas jamais une telle chose ne lui était arrivée (ni à moi) en France. Elle en a conclu que les néerlandais ont un sale caractère et sont vraiment des teigneux et des “merdeux”.
Et je pense qu’elle avait raison. Tout ce que j’ai appris par la suite sur les Pays-Bas et les néerlandais n’a fait que me le confirmer.
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07/12/2017
bal
Autrefois, regardez les revue espérantistes d’il y a un siècle par exemple, il n’y avait pas d’événement, privé ou public, un tant soit peu solennel ou festif sans que ça ne finisse par un bal ; aujourd’hui ça ne serait plus possible, on dirait que c’est du « harcèlement sexuel ». De la « violence machiste »; ou alors de l’ « homophobie ».
04/12/2017
citations de "Jean-Christophe" de Romain Rolland
"Que tout était peu de chose auprès de cette réalité, la seule réalité : la mort ! Etait-ce la peine de tant souffrir, désirer, s’agiter, pour en arriver là !… »
« Il le voyait vaincu par la vie
….
Il entendait cette lamentable prière, dont l’accent l’avait déchiré naguère :
« Christophe ! ne me méprise pas ! »
Et il était bouleversé de remords.
…
« Mon cher papa, je ne te méprise pas, je t’aime ! Pardonne-moi ! » »
Louisa, après la mort de son mari :
« l‘objet s’échappait de ses mains ; elle restait, des heures, les bras pendants, affaissée sur sa chaise et perdue dans une torpeur douloureuse. »
« Elle était lasse, somnolente, sa volonté était engourdie. »
« Sa langue se déliait un peu maintenant qu’elle sentait auprès d’elle un cœur aimant. »
plus loin J-Christophe avec sa mère :
« Et il prenait un plaisir mélancolique à ces petits bavardages sans interêt pour tout autre que pour lui, à ces souvenirs insignifiants d’une vie toujours médiocre et sans joie, mais qui semblaient à Louisa d’un prix infini »
« Accept the things to which the fate binds you, and love the people with whom fate brings you together, but do so with all your heart. » (Marc-Aurèle)
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03/12/2017
quel titre on va donner ? bof, "Dialogue"
un enfant se blotti contre la poitrine de son père.
Le père lui explique que c’est parce qu’il est enfant qu’il fait ça et que quand il sera grand il ne le fera plus.
"- J’espère bien que si.
- Est-ce que moi avec ton grand-père on fait pareil ?
- Hmmouais, c'est vrai, C’est pas normal.
- .... Tu as peut-être raison.
- Bien sûr que j’ai raison !
le père l’embrasse et lui dit après un temps de réflexion :
- Je t’aime comme ça.
Tu seras un grand penseur."
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30/11/2017
la vie
La vie n’est qu’un grand cauchemar, une longue agonie (rien d'autre), un film surréaliste.
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29/11/2017
vive le tabac
27/11/2017
1978 France Gall
cette chanson,, était sortie en 1978, je l'ai découverte l'année même, l'aimais et l'aime toujours beaucoup. C'est vraiment une chanson paradigmatique
* Viens je t'emmène
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24/11/2017
un soir vers 1960 - la date importe peu, l'avenir, donc le passé, est néant, et éternel
ça me rappelle (sauf qu’à l’époque il n’y avait pas de rue piétonnes comme ça, c’était un trottoir normal,) ce soir quand j’avais peut-être 11 ans et que j'allais avec maman en bas de la rue du Musée pour regarder la télévision chez les Decool, (et après j’ai vu des loutres de mer danser le rock and roll à la frontière du détroit de Béring) dans le noir et sous la chaussée luisante de pluie, le coeur et l’âme tout meurtris et étranges de cette épouvantable conscience de la mort éternelle et fin de tout. c’était tout à fait ça.
Un fait fondamental que les gens oublient trop souvent (non, je ne crois pas qu'ils l'oublient mais ils n'osent pas en parler, je me suis toujours demandé comme Albert Camus, comment - mais comment ! - les gens font pour vivre "comme si ils ne savaient pas").
en effet le savoir de la vanité totale de toute choses la présence obsédante de la mort qui va, qui a donc déjà, renvoyer tout ça au néant éternel, glace toute ambiance au-delà de toute expression.
23/11/2017
Mes aphorismes - 1
* Je n’aime pas lire des biographies: ça finit toujours mal.
* Le rire, dans son usage social c'est , de même que la connerie, une drogue.
* Dire que le capitalisme actuel est favorable à la libre-entreprise, c’est comme dire que l’autocratie tsariste est favorable aux droits de l’homme (eh oui : il elle était favorable aux droits de l’homme du tsar !)
* 33-45 n’était qu’un 1er essai, grossier et brutal il était voué à l’échec….
* Je regrette ! on ne peut pas enterrer comme ça des gens qu'on a embrassé sur la bouche.
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22/11/2017
la france dignement a offert un triomphe au panache et à laliberté, - un MAGNIFIQUE pied de nez à ses flics - Dieudonné est un révélateur chimique
comme j'ai déjà dit l'avénement d'INTERNET a sonné le glas des malhonnêtes propagandes d'Etat
c'est comme à la fin de l'URSS le peuple ne croit plus à la propagande qu'on décharge sur sa tête.
Dieudonné révélateur chimique !
pour être au courant de l'achat d'un théatre http://aupointdo.com/