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04/06/2024

depuis le coup du Covid et toutes les propagandes le fascisme le great Reset la censure, on a a postériori COMPRIS !

que le battage hallucinant  organisé et obsessionnel qu'on nous a fait sur le tabac était EN FAIT une "psy-op", un ESSAI, pour voir jusqu'à quel degré de suppression, de mise en esclavage consenti, culpabilisation SOUMISSION on pourrai arriver en jouant sur la PEUR, le conformisme, le pouvoir du MARTELAGE PROPAGANDISTE, Le mensonge pseudo-scientifique, la diabolisation fasciste (comme l'ordonnance du 8 juillet 1942 !).

Ils ont vu ! alors ils foncent !

à nous il nous reste maintenant à retrouver notre esprit critique, notre autonomie, notre liberté, notre dignité, notre anti-fascisme, et nous libérer des conditionnements haineux et esclavagisants

31/05/2024

Mohamed Tahiri et Michel Terestchenko - Richard Boutry et Giuseppe Belvedere en sont des exemples

Le comportement des convaincus qui se font piquouzer me laisse perplexe.

par Mohamed Tahiri

Au début j'ai pensé que seule une certaine catégorie de la population était atteinte par la covédie et que cette catégorie de personnes se précipite à la première piqouzerie comme on va chez le curé pour montrer qu'on est un "bon chrétien bien décent". Dès que le jus expérimental est injecté, ces citoyens se sentent anoblis, adoubés par quelques manipulateurs à la tête du pays. Ils se comportent comme des nantis, des modèles d'exemplarité (comme les premiers allemands qui ont obéis à l’arrêté du 13 juillet 1933 de Wilhelm Frick ministre de l’Intérieur du Reich) qui ont gagné... un pass. Pardon. Qui ont gagné "le droit de vivre librement"! Mais je me suis trompé. Ce comportement n'est pas réservé à quelques hurluberlus d'une couche sociale. Toutes les couches sont atteintes. Cette covédie touche autre chose. Ce n'est pas le degré de culture d'une personne qui est atteint. Ce n'est pas le niveau social qui est visé, ce n'est pas le quotient intellectuel. Non. C'est tout autre chose. Et cet autre chose n'a pas d'étiquette, car personne n'a mesuré le niveau de conscience de la population d'un pays. Le niveau de conscience semble être le facteur déterminant.  Il se moque de qui vous êtes, d'où vous venez, de ce que vous êtes, ... il se moque de tous les repères sociétaux. Il en est d'autant plus insaisissable. Difficile de lui coller une étiquette. Les médias n'ont pas trouvé mieux que : "pro ou contra vaccin". Ils n'ont pas trouvé le point commun entre tous les covidés pro-vaccin et le point commun entre tous les contra-vaccin. Ils ont bien vu que tous les profils sociétaux,  culturels,  professionnels, etc., sont soit dans l'un, soit dans l'autre groupe. Les médias n'ont pas parlé de niveau de conscience. Et pour cause. Cela va bien au-delà d'une étiquette de parti politique,  de couleur de peau, de religion,  de niveau économique,  de niveau d'études... C'est au-delà de tout. Ils ont bien essayé d'assimiler les anti-vaccins à des mouvements politiques. Mais chacun d'entre nous peut vérifier que ce n'est pas là la réalité.
Ils ne parlerons jamais de niveau de conscience. À vrai dire,  les médias et ceux qui font ces médias,  n'ont pas le niveau de conscience utile pour établir ce constat. Le pion, du pion, du pion du pion, on ne lui demande pas de réfléchir, mais d'exécuter. Alors c'est quoi le niveau de conscience ?
Difficile d'y répondre. Mais jamais nous n'avons à ce point compris qu'il existe et qu'il se fiche totalement de qui vous êtes et d'où vous venez. Il est transversal.
Le niveau de conscience peut être bas ou élevé. Voilà ce que nous constatons actuellement.
Autre constat : plus le niveau de conscience est élevé,  plus l'ouverture d'esprit est grande. En d'autres termes,  plus vous êtes à l'écoute, curieux, méfiants, plus vous êtes ouverts. Cette ouverture fait appel à un niveau de conscience. Un humain qui doute, réfléchi,  recherche, discute, est un être qui cultive son niveau de conscience.
Aujourd'hui cette aptitude porte le nom de complotiste ! C'est le terme convenu à présent pour désigner une personne qui réfléchi et qui doute. Curieux, mais pas tant que ça, puisque ce sont des humains avec peu ou pas de conscience qui ont créé cette étiquette.

Maintenant,  avez-vous remarqué dans votre entourage où va se nicher le niveau de conscience le plus élevé ? Il est là où on ne s'y attendait pas.

En effet ! Mon artisan a quitté l’école jeune sans aucun diplôme, mais il est conscient et critique, par contre plein de profs, persuadés d’avoir par leur diplôme et leur métier un adoubement de droit divin qui les met du côté « du Vrai du Beau et du Bien » et qui se croient par conséquent « de gôôche » par définition, sont outre d’infects social-traîtres réactionnaires, sont des collabos de première soumis à « not’ bon roi », et tellement fanatiques, qu’aucune discussion n’est possible avec ces gens. Etc.
Que de surprises ! On pensait qu'untel serait plus ouvert alors que c'est l'autre duquel on n'espérait rien qui fait preuve d'ouverture d'esprit. Bref. Cette fenêtre sur la conscience est surprenante. Mais c'est elle  qui nous pousse à nous révolter, à dire non,

[ah ! Ah ! Là on est en plein dans Michel Terestchenko et son incontournable livre «un si fragile vernis d’humanité »]
à remettre en question face aux gens de peu de conscience. Alors le niveau de conscience pourrait se mesurer à l'aune de l'intelligence de la Vie et du respect de celle-ci. [comme Giuseppe Belvedere] Car j'ai bel et bien constaté que ce qui me différencie réellement des humains qui ne doutent de rien en ce moment,  c'est mon empathie pour mon prochain et encore plus les valeurs que je porte. Car pour moi, la liberté ne s'achète pas à coup de piquouzes. Elle ne se mesure pas en points sur un carnet de vaccination. Elle ne s'exprime pas en QR code. [tout ça au contraire ne peut susciter que le dégoût le plus profond!] La liberté ne m'est pas donnée. La liberté est une loi universelle. Elle se fiche de ce que quelques-uns voudraient me faire croire. J'ai ma propre conscience et elle me dicte que je dois veiller à ce que mon intégrité soit respectée.

Ceci est bien entendu totalement saugrenu à l'époque que nous vivons.
Cette société s'est construite sur le manque de conscience. Qui n'a pas conscience de sa valeur et de la valeur de la Vie, ne peut voir et comprendre qu'il est en ce moment le pantin de quelques criminels bien rodés dans la manipulation psychologique. Avoir peur d'une coviderie n'est pas un signe de maturité. C'est un signe de faiblesse dû à un manque de conscience. Et la raison à déserté ces esprits. Le défi ? Prendre conscience de sa propre valeur pour ne plus tomber dans les pièges de la manipulation. Savoir qui on est, est une force. Savoir ce qui est acceptable pour soi et ce qui ne l'est pas, forge cette force.
N'est manipulable que celui qui n'a pas de conscience. 

 

les mecs qui réfléchissent, s'informent, et surtout qui ont une "Conscience" au sens de Mohamed Tahiri et de Michel Terestchenko (et de Giuseppe Belvedere) il étaient contre le fascisme 2.0 (deux point zéro, comme pour les programmes informatiques), maintenant en plus il sont pour Poutine et contre les nazis (du type 1.0 cette fois, quoi que la présence de centres de recherche secrets américains de guerre biologique en Ukraine offre peut-être un lien .....)

Et je me souviens de tous ces petits kapos

 

28/05/2024

les leçons de l'histoire

24/5/2024 Tous les journalistes qui péroraient si fièrement et si sûrs de leur pouvoir absolu à la radio de Vichy ou dans la presse, sont maintenant totalement oubliés, versés dans la poubelle de l’histoire (quand ils n’ont pas été carrément fusillés) et ce sont les “Terroristes”, les bannis les diabolisé, les obscurs clandestins d’alors qui sont devenus célèbres et immortels.

Ça sera pareil pour l’époque actuelle, tous les journaputes du pouvoir de haine, du grand capital OTAN-esque, du NAZI-Covidisme, tous les soumis au lobby qu’on n’a pas le droit de nommer, les réchauffistes, etc, tous les rédacteurs qui se sont emparé de la wikipédia, tous les lâches pas chômeurs, les censeurs à la soviétique, toute cette merde de larbins aussi arrogants que rampants ou terrorisés, personne ne s’en souviendra, sinon comme parangons du fascisme vomitif, Laissant la place aux vraies “têtes” aux vrais grands humanistes de notre époque : Dieudonné, Brusa, Jovanovic, JJ Crévecoeur, Fourtillan, Lalanne, Perronne, Philippot, Asselineau, Etienne Chouard, Bernard Friot, Jean-Dominique Michel, Istvan Marko, Claire Séverac, le héros Christophe Dettinger, etc etc.

24/05/2024

voilà ce que devraient faire TOUS les pays de l'ONU

https://reseauinternational.net/le-president-colombien-or...

02/05/2024

Le terrorisme d'Etat est devenu la norme

24/04/2024

toutes les institution en lesquelles on croyait pour avoir accès à la connaissance, accès à la vérité, accès à l'autre, sont devenues perverses et non fiable, même ennemies, mêmes fascistes

21/04/2024

Cette crise fera se révéler des héros - des penseurs aussi, le docteur Louis Fouché sera un des plus grands, et que retiendra la plus la postérité.

le grand enseignement c'est ça, comme pour Jean Moulin, et tout autre

Mais combien de français sauront être des héros, des Résistants, de ceux!qui savent rester attachés à la rationalité, les! complotistes, car c'est ça le complotisme ! relisez les analyses que j'ai déjà indiquées à ce sujet,  des "derniers hommes", comme Béranger à la fin de "Rhinocéros" de Ionesco, des gardiens de "la lumière et le feu" comme dans le beau poème de Robert Desnos, écrit en 1942, combien ? Tant de gens qu'on voit qui ne suscitent que le dégoît et l'envie de vomir ! tant d'êtres "décents" "solidaires" "respectueux de la force publique", comme les bons allemands qui faisaient bien "Heil Hitler!", comme les bons français qui dénonçaient ceux qui écoutent Radio-Londres ! Il va y avoir des règlements de compte en septembre 44 ! .....

relisez l'incontournable livre de Michel Terestchenko "Un si fragile vernis d'humanité". Re gardez les vidéos sur Giuseppe Belvedere, un aussi qui "ne pouvait faire autrementt" et qui a d'un coeur léger sacrifié tout son confort gagné en 40 ans de travail pour aller sous les crachats des vieilles bourgeoises parisiennes du 4ème arrondissement  nourrir, trois fois par jour les pigeons du quartier Beaubourg.

interview :

Comment expliquez-vous que les scientifiques et médecins alarmistes ont été écoutés, tandis que les « rassuristes » ont été marginalisés, dénigrés, voire censurés ? N’est-ce pas la fonction première du médecin de rassurer ?

Dr Louis Fouché : Une des fonctions premières du médecin est d’accompagner le patient. D’être présent sur le terrain, de prendre soin, de poser un cadre de sécurité, d’écouter les peurs, les souffrances et, en les écoutant, d’être thérapeutique – c’est le principe de l’écoute empathique. Avant de dire quelque chose, prenons donc le temps d’é

Comment expliquez-vous que les scientifiques et médecins alarmistes ont été écoutés, tandis que les « rassuristes » ont été marginalisés, dénigrés, voire censurés ? N’est-ce pas la fonction première du médecin de rassurer ?

Dr Louis Fouché : Une des fonctions premières du médecin est d’accompagner le patient. D’être présent sur le terrain, de prendre soin, de poser un cadre de sécurité, d’écouter les peurs, les souffrances et, en les écoutant, d’être thérapeutique – c’est le principe de l’écoute empathique. Avant de dire quelque chose, prenons donc le temps d’écouter. Ensuite, de manière ciblée, il est important d’écouter les peurs de chacun : certains auront peur du virus, d’autres pour leurs parents, d’autres encore de Bill Gates, etc. Avec la crise actuelle, avant même de rassurer, il s’agit de mettre de la clarté, de l’intelligibilité sur ce qui se passe. Personnellement, je ne considère pas que j’ai rassuré ; je suis même plutôt alarmiste concernant le déferlement totalitaire et les conflits d’intérêt dans cette histoire. En revanche, j’essaie de mettre de la clarté. De rappeler aussi que la vie n’est pas confortable, mais que ça n’empêche pas de sourire ou d’être joyeux, au contraire ! Je veille aussi à porter un regard lucide sur la situation. Parce que si les médecins ne savent pas, qui saura ?! Beaucoup de médecins ont dit à propos de ce qui se passe : « Je ne me prononce pas, je ne sais pas. » Par exemple, sur l’hydroxychloroquine. Je leur disais : « Mais si toi, tu ne sais pas, qui saura ? C’est à toi de faire le travail, d’aller lire les études, de regarder ce qu’ont fait les généralistes ! » On a là typiquement un symptôme de la prolétarisation des médecins et des soignants : petit à petit, ils sont là pour faire respecter le protocole, mais ils n’ont plus aucune indépendance, plus aucune responsabilité.

Je reviens au début de la question : médiatiquement, on a beaucoup plus entendu ceux qui étaient là pour faire peur… Pourquoi, selon vous ?

Je crois qu’il y a des conflits d’intérêt très importants autour de cette épidémie. Il y a donc des « profiteurs de guerre ». Finalement, quand vous faites peur et que vous culpabilisez les gens, vous parvenez à prendre le pouvoir sur eux. [c’est le principe de Goering, exposé à Nüremberg, ma note] C’est d’ailleurs une des techniques des pervers narcissiques et des paranoïaques. Ce principe est aussi au cœur du terrorisme, où il s’agit de faire peur pour monopoliser l’attention sur un morceau de problématique extrêmement focal. Dans le cas de cette crise, les gens qui ont produit un message de peur sont soit ceux qui avaient peur eux-mêmes et ressentaient le besoin d’en parler (une grande partie, je crois), soit des pervers qui nous manipulent. Or, en général, on vous manipule pour deux raisons à travers l’histoire de l’humanité : le pouvoir ou l’argent. Comme disent les Américains, quand on ne comprend pas une situation : « Follow the money ! » [Karl Marx pourrait dire la même chose ! ma note]

En ce sens, vous dénoncez le rôle pervers des médias mainstream ?

Oui, parce que les médias servent d’intermédiation à la réalité. On leur a donné un pouvoir démesuré pour dire le réel à notre place, or ils ne disent pas le réel. Ces médias sont aux ordres de puissances d’argent. Chaque année, Le Monde Diplomatique publie à qui appartiennent les médias mainstream. En France, une quinzaine ou une vingtaine de familles, qui sont à la tête de multinationales, se partagent le gâteau des médias et s’en servent comme outil de « fabrication du consentement », dixit le linguiste Noam Chomsky (2). Nous sommes au cœur d’une fabrique du consentement extrêmement élaborée ; dans cette ingénierie sociale (3), elle-même au service du pouvoir politique, lui-même au service des pouvoirs économiques. [il a tout dit ! ma note] Ce n’est ni nouveau ni original ! Reportez-vous à La République de Platon : les esclaves sont enchaînés au fond de la grotte, tandis que les sophistes maintiennent des simulacres, des marionnettes devant le feu et font regarder des ombres sur le mur de la caverne aux esclaves. Chaque fois qu’un esclave veut tourner la tête vers la lumière et tenter de sortir, les sophistes mettent en place un nouveau petit théâtre d’ombre pour maintenir l’illusion. Pire, celui qui voudrait s’échapper et montrer la sortie serait aussitôt lapidé par ses congénères ! Parce que la vérité serait trop dangereuse ; elle viendrait sortir de ce confort-là. Dans cette crise sanitaire, on a donné la parole à ceux qui maintenaient dans l’illusion, dans la peur, le mensonge. Et, en effet, on a essayé de « lapider » ceux qui amenaient vers la vérité, parce que la vérité n’est pas confortable ! Elle vous fait voir toutes les noirceurs du système… qui sont aussi tous les petits arrangements avec le courage que chacun s’autorise. La paranoïa des grands de ce monde est la petite perversion et la paranoïa présentes à l’intérieur de nous. Toutes ces couardises, ces petites rétractations devant la responsabilité que nous avons laissé prospérer d’année en année, jusqu’à ce que le monstre soit tellement gros qu’il cherche à nous manger.

Comment développer une sagesse juste dans cette impasse-là ?

Le vrai sage, c’est celui qui a la mémoire ; il se souvient de ce qui s’est déjà passé dans l’histoire de l’humanité. L’Histoire ne se répète jamais mais elle bégaie toujours. La phase que nous traversons n’est qu’une phase. Et c’est ce qui peut rassurer vos lecteurs : ce déferlement totalitaire arrivera à son aporie, c’est-à-dire au bout de la discussion, quand celle-ci tourne en rond et n’arrive plus à produire quoi que ce soit. Donc, il s’auto-effondrera sur lui-même, car cet avenir techno-sanitariste mondialisé transhumaniste n’est pas désirable et n’est pas pérenne. Il correspond à une illusion.

Par rapport à la grippe classique, il semble que le covid s’accompagne plus souvent de micro-thromboses vasculaires et d’hypoxie heureuse. Pouvez-vous nous en dire plus ?

Il y a effectivement des spécificités dans cette infection, qui présente un tableau clinique particulier. Les gens qui pensent qu’il n’y aurait pas de virus se trompent. Il y a bien un virus et une maladie particulière liée à celui-ci : la covid-19. Elle se manifeste par une atteinte vasculaire, une sorte d’inflammation des capillaires, notamment au niveau pulmonaire. Ce qui aboutit à l’hypoxémie : une diminution de la quantité d’oxygène dans le sang ou des difficultés à faire passer l’oxygène depuis les poumons jusqu’au sang. Le gros de notre prise en charge est donc de donner de l’oxygène, beaucoup d’oxygène. Or, on pourrait l’administrer à la maison (en s’organisant avec la médecine de ville, les soins infirmiers à domicile), comme l’a d’ailleurs fait remarquer la Société de Pneumologie de Langue Française. Ce qui aurait freiné le remplissage des réanimations. On en vient à l’hypoxie heureuse ; c’est-à-dire que certains vont faire un premier épisode symptomatique, avec de la fièvre, éventuellement des courbatures et une anosmie (perte de l’odorat, du goût), puis pas grand-chose… Ils seront fatigués, et si on dosait l’oxygène dans leur sang, on trouverait qu’ils en ont très peu, mais on ne peut pas le voir cliniquement. Il faut utiliser une petite machine : un oxymètre de pouls ou un saturomètre qui permet, par une analyse infrarouge de la couleur du sang, de savoir s’il y a désaturation, baisse du taux d’oxygène dans le sang. Cet examen n’est pas compliqué, il ne coûte pas très cher et c’est ce qu’il faudrait proposer à ceux qui ont été symptomatiques, qui ont eu un test positif et présentent des facteurs de risque de développer des formes graves. En dessous d’un certain seuil (le chiffre va de 0 à 100 ; en-dessous de 95, ce n’est pas normal), il y aurait lieu d’aller à l’hôpital. Cela permettrait aux patients d’arriver au bon moment, avant d’atteindre une forme de gravité. Vous devez prendre soin des gens qui ont un diagnostic positif et des risques de faire des formes graves. Leur dire : « Rentrez chez vous, prenez du Doliprane, on se revoit quand vous serez mourant » est irresponsable ! Le traitement antiviral (hydroxychloroquine, Zithromax, Zinc) permet de diminuer la survenue de ces épisodes-là. Et dans la phase inflammatoire, une corticothérapie semble être une piste intéressante pour couper l’herbe sous le pied à l’orage cytokinique. Vous pouvez aussi mettre à disposition de l’oxygénothérapie à haut débit dans les EHPAD. Ce ne sont pas des techniques difficiles à mettre en place et elles sauvent des vies. Il a été démontré par l’IHU (l’Institut hospitalo-universitaire en maladies infectieuses de Marseille, dirigé par le Pr Raoult, ndlr) qu’en mettant en place de l’oxygénothérapie à haut débit dans des EHPAD, on diminuait de 30% la mortalité. Qui plus est sans avoir à passer par la réanimation. Bref, nous avons énormément de pistes efficaces, allopathiques ou qui travaillent sur l’immunité positive, les ressources intérieures ( NDLR : voir dossier sur ce thème dans le Néosanté de février prochain), qui permettent de faire que cette maladie soit relativement bénigne. Et qu’elle ressemble, effectivement, à une grippe, en terme de mortalité. Même si le tableau clinique, lui-même, ne ressemble pas à une grippe.

Vous avez cité ce terme que l’on a beaucoup entendu dernièrement : orage cytokinique. Qu’est-ce qu’il signifie ?

Le virus, c’est de l’information qui nous traverse. Et la réaction du corps à ce virus est ce fameux « orage cytokinique ». En d’autres termes, le dégoupillage de la grenade de l’inflammation qui était déjà là (notamment dans la graisse abdominale, pour ceux qui en ont). Il y a donc des gens qui sont dans un état pré-inflammatoire chronique : les hypertendus, obèses, diabétiques… Ou des gens qui prennent des médicaments qui inhibent leur réponse inflammatoire normale, favorisant ce « dégoupillage ». On sait aussi qu’il peut exister des phénomènes d’interactions virales. Qu’est-ce que ça veut dire ? On s’est posé la question de savoir pourquoi à Bergame, en Italie, lors de la première vague épidémique, il y avait eu tant de morts et davantage d’hyper-inflammation qu’ailleurs. Une hypothèse de plus en plus étudiée, même si elle n’est pas complètement avérée, est qu’ils auraient reçu une vaccination contre la méningite, puis une vaccination contre la grippe, puis là-dessus le SARS-CoV-2 est arrivé… Il semble que toutes ces informations contradictoires pour le système immunitaire aient déclenché cet orage cytokinique. C’est même une des lignes d’explication des quelques rares sujets jeunes qui ont fait des formes graves de covid, alors même qu’ils n’avaient aucun antécédent. Peut-être ont-ils eu des vaccinations ou des infections virales dans les semaines qui ont précédé leur infection à SARS-CoV-2 ? Ceci est un plaidoyer pour bien réfléchir à l’idée de vaccination antigrippale et anti Sars-CoV-2. Car elles pourraient provoquer un effet inverse à celui escompté…

On a entendu, à propos des personnes âgées, qu’on favorisait leur départ anticipé pour relâcher la pression hospitalière et faire de la place. Est-ce vrai ?

Il y a eu des directives dans ce sens faites dans les EHPAD, recommandant l’utilisation du Rivotril, une benzodiazépine anxiolytique qui, en même temps, est un dépresseur respiratoire – il induit de moins respirer, avec un deuxième effet qui est de faire arrêter de respirer. Donc, effectivement, c’est une molécule qu’on utilise en soins palliatifs pour une sédation terminale ou pour diminuer les souffrances d’un patient en détresse respiratoire. Ce qui est choquant, ce n’est pas tant l’utilisation de cette molécule (déjà utilisée), mais plutôt l’indication qui a été posée. C’est-à-dire que pour un patient âgé qui respire mal, on ne se soucie même pas de savoir ce qu’il a ; d’emblée, on lui administre du Rivotril. Qu’est-ce que c’est que cette histoire ?!? Au contraire, ces gens doivent être soignés ; on peut donner de l’oxygène, de l’hydroxychloroquine, du Zithromax, du zinc, de la vitamine C, de la vitamine D, éventuellement du bleu de méthylène… Toutes les molécules proposées dans cette indication ne coûtent rien et ne sont pas compliquées. On peut aussi donner un antibiotique à large spectre qui couvre la plupart des difficultés respiratoires et des pneumonies qui surviennent chez les personnes âgées – c’est la norme en matière de traitement. Si c’est quelque chose qui est traitable, ça va marcher. En l’occurrence, ici, on a recommandé de ne rien faire… et pire que de ne rien faire, on a recommandé d’utiliser le Rivotril sans le consentement éclairé des patients, des familles. C’est extrêmement choquant ! Et ça correspond ni plus ni moins à des homicides qui seront passibles de procédures pénales quand le temps sera venu… Ceci a été réitéré lors de la deuxième épidémie, de manière encore plus choquante. À terme, il faudra regarder comment ont été instrumentalisés les soignants dans cette histoire. Ces derniers ont été en quelque sorte la main du bourreau, mais la décision du bourreau n’était pas la leur. Il faudra bien démêler l’écheveau des responsabilités, car certains soignants ont pensé bien faire. De même qu’on les met aujourd’hui dans cette clé de bras systémique, consistant à imposer la vaccination à des personnes âgées. Vaccination qui n’est ni avérée en matière d’efficacité ni renseignée en matière d’effets secondaires ! Vaccins dont les études de phase 3 ne sont même pas terminées. Avec un empressement coupable, on propose cette vaccination aux personnes âgées, avec un discours extrêmement cynique du pouvoir qui dit que, puisqu’elles sont âgées, cela servira de « ballon d’essai ». De cobayes. Ma recommandation à tous les gens qui peuvent lire cet entretien est d’aller voir directement les directeurs d’EHPAD où résident leurs (grands)parents, et de mettre un frein immédiat à ça. Vous devez refuser cette vaccination qui n’a aucun sens scientifique, aucun fondement épidémiologique et qui, pour le moment, est un dogme, ni plus ni moins, vendu par une propagande cynique et nauséabonde. Qui ne profitera qu’aux laboratoires pharmaceutiques.

En parlant de vaccin, plus largement sur la population planétaire, il semble que le virus mute ; par conséquent, la vaccination ne serait pas pérenne

En effet, et lorsque je soulève ce point, l’argument qui m’a été opposé, c’est que de toute façon on revaccinera tous les six mois. Est-ce que vous voulez vraiment vivre dans un monde où vous recevrez un vaccin tous les six mois ? Pour simplement avoir le droit de vivre, puisque c’est la clé de cette histoire de vaccination : au-delà de l’absence de preuves de bénéfices, au-delà de l’absence complète de preuves de l’innocuité (de toute évidence, ce ne sera pas sans effets secondaires ou indésirables), c’est la concaténation, la corrélation qui est faite entre le fait d’être vacciné et le fait d’avoir droit à l’accès aux droits sociaux. Il s’agit ni plus ni moins d’un hold-up, sous motif sanitaire, du contrat social. En l’occurrence, on vous enlèvera par exemple le droit d’aller skier, de prendre l’avion, d’aller à l’école… et on ne vous le redonnera que si vous êtes vacciné. Cela ne doit pas avoir lieu pour aucune vaccination que ce soit, et encore moins pour celle qui est proposée aujourd’hui ! Les libertés fondamentales ne sont pas respectées.

Comment résister dans ce climat délétère ?

La résistance, pour moi, c’est l’idée de se relier, de s’accrocher les uns aux autres, de se serrer les coudes pour tenir. Il ne s’agit même pas de renverser le pouvoir, mais simplement de s’accrocher à des éléments de bon sens, de bonnes grosses prises : la paix, la joie, la liberté, l’amour… L’image qui me porte, c’est celle d’une symphonie ou d’un opéra. Lors du final, il y a cette apothéose où les chœurs reprennent toutes les parties du morceau, alors que les cymbales battent à toute volée, quasi jusqu’à la cacophonie. Vous avez cette petite flûte traversière qui tient les sept notes fondamentales du morceau, alors même que vous ne l’entendez plus. Soudain, le chef d’orchestre lève les bras… l’apothéose retombe… laisse place au silence… et la flûte traversière reprend les sept notes une dernière fois. Pour moi, c’est ça la résistance ! Il s’agit de traverser l’effondrement, le déferlement totalitaire, d’être « poncé » au passage par ces vents forts, ces grêlons, qui viennent révéler notre quintessence, le meilleur de nous-même. Pour que le joyau puisse enfin apparaître dans sa plus belle brillance, la plus simple, la plus nue.

Quelle est alors votre vision de l’après-covid, et plus globalement de l’avenir ?

J’ai vraiment l’impression que le grand arbre est en train de s’effondrer une fois pour toutes. Nous sommes au bout de cette crise itérative. Cette fois, elle est tellement manifeste que si l’on ne veut pas la voir, c’est que l’on veut s’aveugler. Or, quand l’arbre s’effondre, il ouvre un chablis dans la forêt. Il y a alors de la lumière pour toutes les petites pousses qui étaient déjà là. En l’occurrence, la permaculture, l’éco-construction, l’habitat partagé, la monnaie libre, une autre vision de l’éducation centrée sur l’enfant (non pour en faire un rouage de la société), du travail et de l’artisanat, une relocalisation de l’économie, etc. Tout est déjà là, il faut juste attendre que le grand arbre s’effondre. Et il est en train de s’effondrer, donc tout va bien. Mais il y a encore du travail ! Il va (nous) falloir du courage. Et le courage, étymologiquement et concrètement, vient du cœur. Ces temps obscurs sont aussi une invitation à l’héroïsme. Ici, il est donné à tout le monde d’être un héros. Il n’y aura ni sauveur, ni messie. Il n’y a que le choix d’une vie héroïque qui s’attache à se mettre en lien avec les autres, reliés ensemble à des valeurs fondamentales, qui puisse être une voie de sortie, de survie, dans ce déferlement totalitaire.

Propos recueillis par Carine Anselme

 

 Fouché Président !

20/04/2024

ces petites lâchetés-là, ce sont elles qui sont complices du monde épouvantable dans lequel on vout vous enfermer vous avez envie que vos enfants vivent dedants ? Alors vous n'avez pas le choix il faut lutter et refuser pied à pied quoi qu'i en coûte

19/04/2024

clapiers de standing

les  appartements à digicodes  ambiance fasciste 

à A*****, partout, on ne construit plus que des clapiers de standing ! des Fleury-Mérogis de luxe.

("ils" appellent ça des "résidences")
Mais les gens ordinaires, il vont habiter où ?

Et des maisons normales, à visage humain, ça ne va plus exister ?

les maisons normales qui existaient, elles sont toutes rachetées par des investisseurs qui les découpent, et UNE maison ancienne ils la transforment en PLUSIEURS mini-appartements, minuscules cagibis, tous digicodés et sous vidéo-surveillance, loué chacun à un prix aussi cher que celui auquel était louée avant la maison entière !

(et ce sera quoi le prochain stade ? des alvéoles individuelles de 2 m3   comme au Japon ?)

 

 

 

11/04/2024

l'horreur totalitaire que les capitalistes sont en train de construire dans le monde entier

si les textes écrits vous ennuient regardez ce film  :
et :

La puissance de la Propagande ... se fait botter le cul par ce Film. 

"empêcher que le 1% soit remis en cause" dit Icke, c'est la définition même de la lutte de classe que livre le Grand Capital :

Que le profit soit convenable, et le capital devient courageux : 10% d’assurés, et on peut l’employer partout ; 20%, il s’échauffe ; 50%, il est d’une témérité folle, à 100%, il foule aux pieds toutes les lois humaines ; à 300%, et il n’est pas de crime qu’il n’ose commettre

 

manipulation sournoise du langage, buts ignobles et fascistes. utilisation des avancées de la science et des techniques, pour leurs appetits de profits et leurs psychoses de pouvoir.

Fin des libertés – Nous alimentons l’hydre numérique, avec le risque de nous faire traiter de terroristes
Liliane Held-Khawa

Pourquoi Agnès BUZY N et Olivier VERAN ont

dès le 13 janvier 2020, interdit la prescription de l'Hydroxychloroquine aux patients infectés par le Covid-19 ? Agnès BUZYN et Yves LEVY savaient que des séquences d'ADN du germe de la Malaria sont insérées dans le génome du Covid-19
Dans ces conditions l'administration d'hydroxychloroquine
détruit le génome du Covid-19 et stoppe l'infection.

"money money" dit à un moment  le Pr Fourtillan, il serait plus exact de préciser "lutte des classes" ! elle est plus que jamais d'actualité, et de rappeler la citation de TJ Dunning (in Trade-Unions and Strikes, Londres 1860 :

"Que le profit soit convenable, et le capital devient courageux : 10% d’assurés, et on peut l’employer partout ; 20%, il s’échauffe ; 50%, il est d’une témérité folle, à 100%, il foule aux pieds toutes les lois humaines ; à 300%, et il n’est pas de crime qu’il n’ose commettre")

Dans un monde planétarisé les processus d’activités de production de biens et de services sont intégrés à un niveau que les populations n’imaginent même pas. Derrière des labels différents, nous retrouvons les mêmes mains créatrices de monnaie contre dettes. De ce fait, leurs richesses sont incalculables. Ceci ne nous empêche pas d’essayer, de temps à autre, de nous pencher sur l’hydre financière qui renvoie les mafias historiques au rang de petits enfants de chœur.
Dans un contexte où règne l’adage « manger ou être mangé », les médias officiels nous parlent quotidiennement des parties de Monopoly qui mettent en scène les grands « groupes » de montages financiers et industriels ou de services, publics ou privés. Le secteur de ce qu’on appelle « les réseaux sociaux » par exemple n’échappe pas à la règle. C’est ainsi que Linkedin et Skype sont tombés dans l’escarcelle de Microsoft, ou que Whatsapp et Instagram appartiennent au groupe Face de bouc.
Ces entreprises qui drainent des millions, voire des milliards d’utilisateurs, ont le génie tout d’abord de vous faire parler abondamment grâce à la gratuité des services, mais aussi en s’appuyant sur le narcissisme qui sommeille à l’intérieur des individus. Ainsi, il pleut des selfies, des photos de la jolie famille prises par des photographes professionnels, puis la mise en valeur des enfants – qui eux n’ont rien demandé à personne – par des photos ou des vidéos, mais aussi des publications de textes petits et grands qui permettent d’extérioriser ses émotions, sans oublier les émoticônes essaimées un peu partout. Il suffit de compiler ces informations pour dessiner très exactement votre profil psychosocial.
Quand c’est gratuit, c’est toi le produit
En 2019, les services de M. Zuckerberg répondait à un responsable allemand ceci :
« L’utilisation d’informations par l’intermédiaire de nos services nous aide également à protéger la sécurité des personnes, notamment en identifiant les comportements abusifs et les comptes invalidants liés au terrorisme, à l’exploitation des enfants et aux interférences électorales sur Facebook et Instagram ».
https://www.developpez.com/actu/245212/Allemagne-Facebook-ne-doit-plus-combiner-les-donnees-des-utilisateurs-collectees-sur-Instagram-et-WhatsApp-sans-leur-accord-explicite/ 
Or, dans les conditions d’utilisation, l’intention mercantile est explicitement admise :
« Nous (Facebook, ndlr) pouvons utiliser les informations que nous recevons d’eux (WhatsApp ndlr), et ils peuvent utiliser les informations que nous partageons avec eux, pour aider à exploiter, fournir, améliorer, comprendre, personnaliser, soutenir et commercialiser nos services et leurs offres ».
Autant de données qui font saliver n’importe quel service de renseignement qui serait certainement prêt à payer le prix qu’il faut pour y accéder. Nous ne saurons pas à l’avance ce qu’il adviendra de ces trésors de données personnelles qui viennent s’ajouter à d’autres, issues des dossiers médicaux, de l’enseignement, du tracking permanent assuré par les « autorités » de moins en moins publiques. Toutefois, ce qui est sûr, c’est que tout ceci ne sent pas très bon.
Des États pourraient racheter ces données pour s’en servir dans leur chasse aux terroristes potentiels, en réalité à tout ce qui les gène ! Et là, tout le monde peut faire partie des heureux élus qui peuvent se voir gratifier de soins thérapeutiques, voire plus. En Suisse, le gouvernement cherche à imposer une loi fédérale sur les mesures policières de lutte « contre le terrorisme », que des citoyens essaient de combattre par référendum.
On y trouve des aberrations totalement contraires à l’idée même d’une démocratie, et soulèvent des problèmes d’éthique et de droits de l’homme inacceptables.
https://www.admin.ch/opc/fr/federal-gazette/2020/7499.pdf. Délai référendaire au 14 janvier 2021 – voir https://eag-ge.ch/non-aux-detentions-arbitraires-signez-le-referendum 
Un enfant de 12 ans peut être considéré comme terroriste potentiel. Vous ne rêvez pas. Dans les faits tout un chacun est un potentiel terroriste selon ce texte (Voir en bas de page un petit extrait de la loi).
Art.24f Âge
Les mesures prévues aux art.23k à 23n, 23q et 24c ne peuvent être ordonnées qu’à l’encontre de personnes âgées d’au moins 12ans. (qu’en des termes Novlangue ces choses-là sont dites!)
Assignation à résidence et autres traitements sont prévus dans le texte. Et ce sympathique programme peut débuter dès l’âge de 15 ans !
Assignation à résidence : principes (Art23o)
1. Fedpol peut assigner un terroriste potentiel à résidence dans un immeuble ou une institution désignés par l’autorité requérante :
a. s’il existe des indices concrets et actuels selon lesquels il constitue une menace considérable pour la vie ou l’intégrité corporelle de tiers qui ne peut être écartée d’une autre manière, et
b. si une ou plusieurs des mesures ordonnées en vertu des art.23k à 23n ont été violées.
2. L’assignation à résidence doit avoir lieu dans un immeuble que le terroriste potentiel utilise comme domicile ou dans lequel il séjourne pour y recevoir des soins ou un traitement. Le terroriste potentiel peut exceptionnellement être assigné à résidence dans un autre immeuble ou une autre institution publics ou privés si :
a. la menace ne peut pas être écartée efficacement d’une autre manière, et que
b. l’immeuble ou l’institution lui offrent un cadre domestique où il peut organiser sa vie et assumer ses responsabilités.
3. Après avoir consulté les autorités impliquées, fedpol peut accorder des dérogations à l’assignation à résidence pour de justes motifs, notamment pour des raisons de santé, de profession, de formation, de liberté de croyance ou de famille.
4. Les contacts avec le monde extérieur et la vie sociale ne peuvent être limités que dans la proportion indispensable à l’exécution de la mesure.
5. La durée de la mesure est limitée à trois mois. Elle peut être prolongée à deux reprises, chaque fois de trois mois au moins.

Assignation à résidence dès 15 ans
2. La mesure prévue à l’art.23o ne peut être ordonnée qu’à l’encontre de personnes âgées d’au moins 15ans.
2018-3811454119.032 Message concernant la loi fédérale sur les mesures policières de lutte contre le terrorisme 
https://www.admin.ch/opc/fr/federal-gazette/2019/4541.pdf 
Ce genre de lois qui se multiplient à travers la planète sous l’égide des créanciers des États, serviront (si ce n’est déjà pas le cas) à par exemple museler toute personne qui rechigne à accepter le principe de consentement à tout va, voire à établir les fiches de crédit social des populations. Le concept « terroriste » pourrait bientôt être chassé par celui de « conspirationniste ».
À relever aussi qu’au-delà des chiffres se dessine à l’horizon une volonté de permettre à l’Intelligence Artificielle à réellement simuler l’intelligence. Ceci va au-delà de l’autoritarisme étatique, et constitue très probablement la valeur ajoutée la plus significative de la collecte des données personnelles par les réseaux sociaux.
Le carburant cognitif que nous fournissons quotidiennement aux réseaux ça tient à ce que Zygmundivers et variés, permet d’espérer que l’Intelligence Artificielle simule avec succès l’intelligence la plus riche et la plus étendue possible.
Bref, une gouvernance technocratique planétaire ne pourrait jamais fonctionner sans les données que nous lui fournissons au quotidien.
LHK

Art.23f Principes
1. Fedpol prononce, sous forme de décision, à l’encontre d’un terroriste potentiel les mesures visées aux art.23k à 23q si les conditions suivantes sont remplies :
a. les risques qu’il représente ne semblent pas pouvoir être écartés efficace-ment par des mesures sociales, intégratives ou thérapeutiques ni par des me-sures de protection de l’enfant et de l’adulte ;
b. les mesures cantonales de prévention générale des menaces ne sont pas suffisantes ;
c. aucune mesure de substitution ou de contrainte entraînant une privation de liberté fondée sur le code de procédure pénale qui ait le même effet que les mesures visées aux art.23k à 23q n’a été ordonnée ; la procédure doit être convenue entre fedpol et le ministère public compétent.
2. Les mesures visées aux art.23k à 23o sont si possible accompagnées de mesures sociales, intégratives ou thérapeutiques.
3. Une mesure doit être levée si les conditions de son prononcé ne sont plus remplies. La personne concernée doit être immédiatement informée de la levée.
4. La personne concernée peut en tout temps adresser à fedpol une demande de levée de la mesure.

Art.23g Durée d’une mesure
1. La durée de la mesure est limitée à six mois. Elle peut être prolongée une fois de six mois au plus. La durée de l’assignation à résidence est réglée à l’art.23o, al.5. 2. La même mesure peut à nouveau être ordonnée lorsqu’il existe des indices nouveaux et concrets d’activité terroriste.

Art.23h Traitement des données
1. En vue de motiver une mesure visée aux art.23k à 23q, d’examiner si les conditions nécessaires pour l’ordonner sont remplies et de l’exécuter, fedpol et les autorités cantonales compétentes peuvent traiter des données sensibles de terroristes potentiels, notamment des données sur les opinions ou les activités religieuses et philosophiques, sur la santé, sur les mesures d’aide sociale et sur les poursuites ou sanctions pénales et administratives. Les données sensibles de tiers ne peuvent être traitées que dans la mesure où le terroriste potentiel est ou a été en contact avec ces personnes et que ces données sont indispensables à l’évaluation de la menace que le terroriste potentiel représente.
2. Les autorités fédérales et cantonales de police et de poursuite pénale, les autorités cantonales d’exécution, les autorités de protection de l’enfant et de l’adulte, les écoles et autorités en charge de la formation, les bureaux de l’intégration, les services du contrôle des habitants, les offices des migrations, les offices des mineurs et les services sociaux peuvent échanger les données personnelles nécessaires à l’accomplissement des tâches définies à la présente section, y compris des données sensibles.
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Eh oui ! en Suisse tout ça, mais je rappelle que cet Etat, dominé par la haute finance, a une mentalité assez spéciale, sur laquelle ceux qui n'y sont jamais allé se font des illusions, je rappelle que, en 1934,  27% des Suisses ont voté POUR qu'on change la Constitution et qu'on établisse un régime nazi ! Mais maintenant c'est dans le monde entier, ça tient à l'hubris psychotique du capitalisme moderne, c'est dans ses gènes, et dans ceux de toute classe dominante !

Richard Boutry ce héros, son dernier message :

https://videos.files.wordpress.com/4OwynCGo/123380931_321...