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la Paix ne pourra revenir qu'après la victoire définitive sur cette ploutocratie mondialiste criminelle et surtout la destruction de ce monstre absolu, cette pensée unique du capital qui est responsable des pires fascismes 1.0 et 2.0
Je pense que l'ignoble assassinat de Daria Douguine est un choc émotionnel qui va radicaliser l'affrontement ontologique entre la Russie et l'Occident et par conséquent la dimension eschatologique de cette guerre russo-atlantiste commencée il y a 8 années sur le Maïdan et dans le Donbass et qui cette année a fini par exploser, tel un volcan sous pression. L'émotion digne des peuples de Russie s'inclinant unanimement devant le martyr de Daria Douguine, et qui n'a d'égal en intensité que la haine irrationnelle des occidentaux envers son père Alexandre terrassé par le chagrin jusqu'à être hospitalisé, montre bien que c'est l'âme de la Russie qui a été touché par cet acte terroriste abject. Daria était la princesse de son père mais aussi l'héritière de sa pensée philosophique qu'elle élevait par l'excellence de son raisonnement et l'élégance de sa personnalité. Assassiner un penseur, une femme et une enfant est un acte qui sort définitivement leurs auteurs et la cause qu'ils prétendent défendre de toute forme d'humanité.
C'est là qu'on voit à quel point la France des années 50 était infiniment plus sociable, détendue, etc, que la France actuelle : on était dans une ville flamande, catho, les flamands c'est pas ce qu'on fait de plus sociable ! Et ma mère farouchement anti-cléricale a sans doute dès le début jeté un froid parmi les dévotes de la paroisse. Mon père n'a pas arrêté de lui reprocher d'avoir refusé de s'intégrer, d'avoir repoussé tout le monde. Et bien malgré tout ça on connaissait et fréquentait plein de monde ! On allait regarder la télévision chez des gens, plein de gens venaient chez nous (et bien entendu sans prendre rendez-vous ni prévenir à l'avance, on n'était pas comme les merdeux actuels !!), et maman, n'hésitait pas à leur montrer la maison de la cave au grenier ! Et on parlait avec plein de gens. Des heures durant. Et on discutait avec les commerçants en long en large et en travers. Et ils ou elles nous racontaient tous leurs problèmes, et les détails de leur opération, et les problèmes de l'allemande mariée à un français, et la peur de celle qui interdisait à sa petit fille de sauter de joie, de peur qu'elle n'attrape une descente de matrice ! Et la vieille qui se rend compte que c'est justement quand on approche de la mort qu'on aime le plus la vie (c'étaient les années 50, l'époque que je définirais comme celle de la science et du désespoir). Etc, etc, et un de ces dévots flamands de la paroisse nous avait transporté dans sa voiture jusque dans le Cambraisis.
Tout ça serait totalement impensable dans la France de maintenant ….
COMME TOUJOURS pour le plus grand profit des firmes du GRAND CAPITAL
l'accumulation du capital ça s'appelle, lisez par exemple comment ça s'est passé en Angleterre au XVIe siècle (si vous avez le coeur bien acroché, le cynisme puant et la cruauté de ces gens est hallucinant ! que ça serve d'avertissement il n'y a aucune raison qu'ils ne soient =pas capables de choses pareilles maintenant, ils le sont déjà!) :https://histoireetsociete.wordpress.com/2018/06/13/karl-m...
et un article d'actualité :
COMME TOUJOURS pour le plus grand profit des firmes du GRAND CAPITAL
NOTES À PROPOS DE L’AFFAIRE DU PROFESSEUR FOURTILLAN ET DE CE QU’ELLE MONTRE DE NOTRE SOCIÉTÉ DÉCADENTE DE PLUS EN PLUS INHUMAINE ET DÉNUÉE DE SENS
11 mai 2021
La pitoyable histoire présente du Professeur Fourtillan embastillé en préventive est symptomatique de notre société qui vit la tête en bas. Préventive pour un procès dont l’aspect répréhensible médicalement parlant ne sera sans doute pas facile à établir. Préventive, ce que souvent on n’applique même pas à la racaille notoirement délinquante tant du bas que du haut dela société.
On en a des exemples en masse. Et ceci tous les jours, qui montrent que le monde de la Justice est lui aussi totalement contaminé par le maboulisme ambiant imbécile et/ou malfaisant. Bien évidemment fort révélateur de la déliquescence des mœurs et des dites élites de la bourgeoisie totalitaire, uniformisante, atomisante, dictatoriale et délétère. *
Que reproche-t-on à ce Docteur en Pharmacie ? D’avoir distribué des patches d’une substance naturelle non toxique à des personnes âgées, non pas en vue de leur ramener la jeunesse mais simplement d’améliorer leur mémoire, ou leur sommeil.
Il ne serait pas le premier ni le dernier (fort heureusement) à le faire. J’ignore si ce produit est efficace mais il ne semble pas être plus dangereux (sic) ou néfaste que les herbes médicinales de nos herboristes qui ont été voués à la disparition, pour les remplacer par l’industrie des tisanes des rayons « plantes et produits naturels » (sic, c’est fait comment une industrie naturelle?) des pharmacies et plus encore des supermarchés à vigiles privés.
Le péché du professeur (qui a fait toute sa carrière dans la recherche pharmaceutique) a été de dire ou laisser dire qu’il soignait ! Or en France comme partout ailleurs, sauf dans certains pays dits « sous-développés », la santé est un secteur réglementé par la loi, l’obtention de diplômes et comme on le voit présentement par une vraie police sanitaire qui impose de plus en plus de protocoles dans le domaine de la recherche et même dans celui du traitement des maladies. Avec les directives des ARS entre autres ou le médecin a de moins en moins son mot à dire et n’a plus qu’à appliquer ce qui est écrit sur des fiches de protocoles sanitaires !
Tenant en laisse principalement les soignants donc, y compris même en parfaite contradiction avec les buts premiers de la médecine (et du serment d’Hippocrate) qui est de soigner, de traiter les malades, de secourir, sans discrimination ni distinction aucunes et au mieux des connaissances scientifiques et des savoir-faire de chaque soignant. Avec l’aide de diverses techniques et technologies médicales. La médecine a la particularité d’être à la fois une science et un art où chaque cas est particulier.
Qui n’a pas encore remarqué que dans cette présente corona-folie (montée de toute pièce) le but n’est plus de soigner mais de « vacciner ». Ce qui veut dire que très officiellement (et sous la conduite des monopoles pharmaceutiques) des États ont pu décréter qu’il ne fallait plus soigner (et surtout pas avec de vieilles molécules efficaces et peu coûteuses) mais attendre d’hypothétiques vrais ou faux « vaccins » (ces derniers, totalement expérimentaux et jusqu’à ce jour réservés à des cas désespérés ou à des maladies génétiques ; et connus depuis au moins une décennie ou deux pour ne pas être efficaces, voire dangereux, voire mortels).
Je ne développe pas sur les raisons d’un tel choix : recherche de profits faramineux (cf analyse marxiste), réduction au passage d’une partie de la population, assujettissement des masses humaines à de nouvelles formes d’esclavage (cf Marx : l’Esclavage antique, puis le servage, puis le prolétariat, bien sûr il n’a pas pu prsager ce qui est venu un siècle après sa mort : le nouvel esclavage ) (techno-sanitaire, avant d’être bientôt techno-financier et techno-sécuritaire à l’image de cette grande démocratie qui se trouve en Chine), etc. Chacun choisira, dans cette courte liste, ce qu’il préfère en penser.
Pour ceux qui ne croiraient pas à une volonté délibérée de réduire le nombre d’humains d’une manière radicale et infecte, repensez à ce qui est arrivé l’an passé dans plus d’un EHPAD où plus d’un cas d’euthanasie a été officiellement prôné par le gouvernement et les ARS. Avec la préconisation de l’usage d’un médicament de fin de vie ! Et ce refus de soigner et d’accueillir les plus vieux dans les hôpitaux démunis par l’incurie gouvernementale et des années de diminution des budgets (ceci à la demande de ladite Union Européenne). (Et après on refusera de voir les rapport antre le fascisme actuel et le nazisme eugéniste dont le premier génocide fut celui des fous et des handicapés Aktion T4 !) Demandez-vous pourquoi on s’est empressé de vacciner les personnes des EHPAD avec des produits qui n’ont pas réuni les conditions sanitaires pourtant assez draconiennes (du moins en théorie) de diffusion dans le public. Des produits expérimentaux dont les premiers cobayes sont aussi les plus fragiles (dont un certain nombre « vaccinés » de force, sous la contrainte y compris physique). Dans le non-respect des Conventions de Nuremberg mis en place juste après guerre pour éviter les dérives « médicales ». Précisément pour éviter celles du genre qui avaient sévi dans les camps de concentration allemands.**(rappelez-vous ce que disait Zygmunt Bauman : que le nazisme était ce que donne l’esprit e la modernité « quand il n’y a rien pour l’arrêter »)
Le professeur Fourtillan n’a tué personne. Il est importuné par la Justice et un procureur femelle particulièrement à crans contre lui, en bonne alliée des instances médicales officielles totalement noyautées par les plus bornés ou filous et percluses de « conflits d’intérêts » (comme on dit pudiquement) avec BigPharma. On voit ce que ça donne au niveau de la « gestion » quotidienne de la corona-folie.
Par contre, tous les jours depuis plus d’un an, combien de personnes sont mortes à cause de cette gestion catastrophique ou de la « vaccination » ? À cause, ou par volonté, de BigPharma et alliés genre Gates. ***
Comment en droit on nomme les responsables de morts pour des raisons crapuleuses ?
En fait, Fourtillan est à ranger en compagnie des herboristes d’autrefois. L’artisan doit disparaître comme le petit commerce, comme on le voit également en ce moment. On tolère encore les tireuses de cartes, tout juste les rebouteux et les conjureurs. Attendons-nous à ce qu’ils soient interdits d’exercer en des temps futurs et proches, vu comme on est parti. Les marabouts, tireuses de cartes, ou derniers prêtres font de la concurrence aux psys officiels et (plus ou moins) diplômés. Mais les Impôts s’en satisfont tant que ces anachroniques déclarent leurs revenus.
Dois-je ajouter que pour aggraver son cas Jean-Bernard Fourtillan a établi des correspondances entre le virus de la covid et le dépôt (sauf erreur, en 2015) d’un brevet vaccinal de l’Institut Pasteur. À ce jour, c’est-à-dire plusieurs mois après ses propos publics, l’Institut Pasteur n’a pas encore démenti quoi que ce soit. Ni porté plainte pour diffamation ou propos mensongers.
Cette histoire me fait penser à ce qui s’est passé dans les années d’après-guerre en France où sous couvert de lutter contre l’alcoolisme, les petits producteurs de vin pour leur usage familial ont été incités financièrement à arracher leurs ceps de vigne. Ce fut le cas dans ma famille. Le grand commerce allait bientôt faire son émergence en force partout.
Je me souviens d’une histoire ancienne, peut-être dans les années soixante-dix / quatre-vingt, dans ma région, quand une personne a eu des ennuis pour avoir bouilli quelques litres d’alcool qu’il avait dû vendre illégalement. Il avait confectionné un alambic à partir d’une cocotte-minute. Je ne sais qui l’avait dénoncé et ce qui lui est arrivé au final.
Il faut savoir qu’il faut posséder une patente ou une licence, je ne sais trop, pour pouvoir être bouilleur de cru. Enfin une autorisation officielle. Exercice en voie de disparition puisque que ça fait quelques dizaines d’années maintenant que ce droit n’est plus transmissible. Pour l’unique profit ici aussi de l’industrie des alcools.
On peut prendre n’importe quel domaine de la société et l’on arrive toujours au même type d’exemples qui montrent que tout devient réglementé mais surtout que tout ou presque tout est passé entre les mains de l’industrie, de la grosse industrie, et derrière tout ça dans les mains de la finance ; ou de l’État quand le privé ne peut pas ou ne veut pas se substituer à lui. Il ne reste plus au simple particulier que le droit de vendre du muguet au premier Mai (simple tolérance ! l’administration, la police, les impôts ferment les yeux); ou aux gamins de ma région, sur les bords des grandes routes, à vendre des jonquilles au début du Printemps, et encore j’ai l’impression que cette activité soit en voie de disparition.
Un autre exemple est également remarquable : celui des plants normés et souvent « OGM-isés » que les coopératives agricoles vendent aux agriculteurs, maraîchers, jardiniers, ce qui met au rancart un tas d’espèces agricoles et horticoles. Autrement dit la diversité, qui est la vie même. Pendant qu’on crée à tour de bras des plantes résistantes à ceci ou cela, ou des fleurs hybrides plus vraiment naturelles. Ou qu’on choisit d’engraisser la terre avec des produits qui tuent les abeilles, autre vecteur essentiel de la vie de la flore sur Terre. Fort heureusement des bourses d’échange existent et des espèces renaissent (il existe de véritables archives des graines et des plantes). Il ne faut pas le dire trop fort car je crois bien qu’il est interdit d’en faire commerce. Jusqu’au jour où un produit ou une espèce sera reprise par l’industrie agricole. Là l’interdiction sera levée, comme par enchantement. Plus encore quand le produit sera déclaré bio, à bon ou à mauvais escient. ****
Notre monde est devenu un monde de dépossession de tout ce qui a un aspect productif et créatif, ou de bien commun naturel ou humain, de patrimoine, pour la masse humaine. L’homme du commun qui autrefois était celui d’une communauté naturelle, d’une langue, d’une église, ou même d’un parti ou syndicat de masse, n’est plus que l’homme dépossédé, simple rouage de la production ou de la consommation (consommation au sens le plus large, de la consommation alimentaire à la consommation sanitaire en passant par la consommation dite culturelle, plus précisément sous-culturelle et audio-visuelle ; ou encore consommation élective politicienne, bien que la concurrence ne semble plus y exister, réduite à de simples étiquettes publicitaires de produits politicards et autres ersatz de grande consommation, interchangeables comme les lessives). Un simple spectateur d’un changement vers l’inhumanité.
Et de nos jours ce qui tient les hommes atomisés (et présentement masqués comme des "Rhinocéros", du moins dans les espaces clos publics) entre eux relève d’une médiatisation inouïe : automatisation, robotisation d’une bonne part de la production industrielle, même les BTP sont sur-équipés en machines diverses ; médiatisation audio-visuelle de l’information (communication à sens unique, propagandiste pour l’essentiel), médiatisation électronique des moyens de paiement, médiatisation des communications interpersonnelles par sa généralisation à distance et dans l’instant même…
J’ai écrit plus haut « élites de la bourgeoisie totalitaire, uniformisante, atomisante, dictatoriale et délétère ». Ce ne sont pas des mots mais bien une réalité concrète. Des maux sociaux. Que l’on prenne le milieu de la finance, de l’industrie, du commerce, ou … de la santé, de l’agriculture, des media et de la « culture ».
Notes :
* Pour donner un exemple : Cela faisait dix ans que le Tunisien (« bien connu des services de police ») qui a égorgé une policière il y a quelques jours vivait en toute illégalité en France. À Nantes, un jeune Guinéen arrivé en France en 2017, et depuis parfaitement intégré, qui fait des études tout en travaillant en alternance, et dont le temps libre consiste à écrire de la poésie (dangereux terroriste!) … est en instance d’expulsion parce que la Préfecture juge sans preuve que ses papiers d’identité guinéens ne seraient pas bons, bien que produits par l’administration consulaire guinéenne ! Heureusement pour ce dernier, il a du soutien, mais en aura-t-il suffisamment et du « bon » si on peut dire ?
** Mais, j’ajouterai que les « méchants nazis » n’ont pas eu le monopole d’une recherche criminelle, pour ne citer que deux pays — sans développer sur les deux bombes atomiques balancées sur les « sous-hommes » jaunes — il est bien connu (ou plutôt pas assez connu) que les « démocratiques » États-Unis (et en particulier le département de la CIA) se sont faits une spécialité bien avant la seconde guerre mondiale, ou après, d’expérimenter sur diverses populations dont les amérindiens mais aussi sur celles de divers pays du monde, des produits « médicaux » ou autres. Pensez-y :Quand on est capable de balancer du napalm et des défoliants sur une population entière et une végétation comme au Vietnam on est prêt à tout, y compris aujourd’hui à expérimenter n’importe quoi sur une partie de l’humanité sous le couvert de la soigner, non pardon, de la « vacciner » avec des produits qui ne sont d’ailleurs pas des vaccins. Mais qui relèvent, répétons-le encore, au moins en partie, d’une thérapie génique criminelle. Le deuxième exemple est celui des milliers de Juifs séfarades qui ont subi, bien évidement à leur insu, des expérimentations criminelles dans les années cinquante en Palestine occupée, de la part de Juifs européens ashkénazes. Qui a dit ashkénazis ? Qu’en pensent les anti-fascistes et anti-nazis ?
*** Rigolo au moins à ce niveau, la femme de Gates semble avoir demandé le divorce depuis que Melina a pris conscience que Bill avait fréquenté Epstein et plus précisément ses soirées … Du moins, c’est ce qui se dit dans la presse nord-américaine (mais pas trop fort, quand-même).
**** Autrefois on se limitait à dire que l’enseignement était obligatoire de 6 ans à 14 ans. Puis on est passé à l’éducation nationale (alors même que les premiers éducateurs sont les parents, normalement), où il fallait moins instruire les jeunes que les bien former et formater, mais à quoi donc ? Vu les résultats depuis l’après-guerre, on dira que le but a été — par des théories absurdes (lecture globale, usage de la théorie des groupes en mathématiques tout en généralisant l’usage des calculettes), restriction drastique de l’apprentissage par cœur, de l’usage des livres, refus de la rigueur et du développement de la notion de travail, et cerise sur le gâteau : histoire devenue simple propagande politique — de transformer des générations en analphabètes et consommateurs/électeurs béats. Mais ce n’était pas encore assez, ces dernières années on a fait rentrer le sociétal et le polémique dans les écoles. Y compris une « liberté d’expression » fausse et biaisée pouvant aller jusqu’à la propagande pornographique au collège, ou la théorie délirante du genre à la maternelle. Et ce n’est toujours pas assez, car en ces temps présents l’apprentissage scolaire à la maison a été notablement restreint (autorisé). Toujours pour de bonn2,00es raisons. Les atteintes à la liberté, aux libertés essentielles sont toujours initiées par les dominants pour restreindre ou interdire de « mauvais usages » de ces mêmes libertés. Présentement ce serait celui (fantasmé) d’un apprentissage islamiste et « séparatiste », « non républicain ». Pour avoir été l’un des anonymes qui participèrent aux débuts difficiles des écoles Diwan en langue bretonne (ou plus exactement bilingues françaises et bretonnes), je sais ce que veux dire « séparatisme » et ce qu’il recouvre dans les hautes sphères jacobines — depuis d’ailleurs la révolution bourgeoise et centraliste de 1789… On en est, aux temps présents, non plus à un enseignement obligatoire de six à quatorze ans, mais à une école obligatoire de trois ans à seize ans, pour un résultat global peut être pire qu’il y a un siècle. Combien de bacheliers d’aujourd’hui ne seraient même pas capables d’obtenir l’ancien, abandonné il y a un demi-siècle par là, certificat d’études primaires ? !! Tout est dans les mots, devenus vides de sens. Analphabète, certes, mais bachelier et chômeur (pardon, « demandeur d’emploi ») déqualifié à venir et … bien souvent à vie. Que demander de plus pour les capitalistes et autres exploiteurs ?! Bien évidemment, certains s’en tirent (tout relativement) mieux que d’autres puisqu’il existe deux écoles en France : celle des riches (ou des pauvres qui pensent mieux s’en sortir de cette manière, mais ils ne savent pas que tout se joue ailleurs, dans des réseaux auxquels ils n’ont pas accès), l’école privée confessionnelle ou non, et celle de la masse des pauvres et moins pauvres, publique (dans un aussi bon état que les hôpitaux publics). Tandis que ceux qui prenaient le problème à bras le corps en se passant de l’instruction publique comme on disait « dans le temps », doivent remettre contraints et forcés (et pourtant archi-minoritaires) leurs enfants à la société, ou plus exactement à l’État (quel qu’il soit). On peut alors se demander s’il existe une différence entre une école dite laïque, républicaine et démocratique et une école d’une société stalinienne ou maoïste, ou mieux encore chinoise de 2021.
je regrette mais pour moi ce sera "ni oubli ni pardon" ! je refuserai désormais de remettre jamais les pieds chez des gens et dans des lieux qui auront à un moment donné appliqué l'ordonnance du 8 juillet 1942 (que celui qui a des oreilles entende !!!) Je n'arrive absolument pas à comprendre comment des gens puissent se retrouver face à des gens pareil sas avoir envie de leur cracher à la gueule et de tourner le dos en "secouant la poussière de ses chaussures"
la France envahie de rhinocéros nazis :
Avec ceux qui ont du rester chez eux en prenant de l'Aspirine avant d'appeler le 15, le chiffre de 20.000 morts est évoqué ça et là.
c'est une honte de vivre cette dictature en France alors que des anciens ce sont battues et sont mort pour devenir un pays libre.
* En 2014-2015, tous les citoyens de la planète auront une identification biométrique et ceux qui refuseront de se soumettre à ces mesures de contrôle devront renoncer à envoyer leurs enfants dans les garderies, écoles, ils devront même vivre en totale autarcie puisque l’accès aux marchés d’alimentation et aux services publics exigeront l’identification biométrique. Tout cela sera considéré comme le "meilleur des mondes" puisqu’il n’y aura plus de vol d’identité, plus de fraudes, il n’y aura plus de kidnapping, les voleurs et les violeurs seront arrêtés, les crimes seront en nette diminution, etc. Les gouvernements clameront avoir réussi à construire une société globale fondée sur la "paix" et la "sécurité" et que cette victoire sur l’ancien monde, dicté par la peur et la guerre, sera le résultat d’un engagement de toutes les nations et de tous les peuples.
Jusqu’à ce que cette dictature technologique devienne un cauchemar où l’homme ne sera qu’un exécutant de l’État privé de sa capacité de penser par lui-même et d’agir selon sa conscience. L’Homme sera contraint de vendre son âme au diable pour un peu de sécurité ou bien, il devra se tenir debout avec espérance puisque sa foi sera sa seule force de vivre….
Un nombre croissant d’écoles remplacent les cartes d’identité traditionnelles par des scanners de l’iris. À l’automne, plusieurs écoles se tourneront vers de nouvelles méthodes de sécurité où tous les étudiants devront passer par une lecture de leur globe oculaire.
L’Université Winthrop en Caroline du Sud expérimente la technologie de l’iris cet été sur ses élèves de première année. Le collège va déployer la technologie de balayage de l’iris de la société Iris ID.
La compagnie Blinkspot du Dakota du Sud fabrique des lecteurs de l’iris spécifiquement pour une utilisation dans les autobus scolaires. Lorsque les élèves des écoles élémentaires entrent dans l’autobus, ils regardent le lecteur (qui ressemble à une paire de jumelles) et le lecteur émet un signal sonore si l’enfant est se trouve dans le mauvais autobus.
Les scanners de Blinkspot incluent une application mobile que les parents peuvent utiliser pour voir où sont leurs enfants. Chaque fois que l’enfant embarque ou débarque de l’autobus, le parent reçoit un e-mail ou un texte avec la photo de l’enfant, son emplacement sur une carte Google, ainsi que la date et l’heure des déplacements.
L’analyse de l’iris fait partie d’une tendance croissante appelée "biométrie", un type de sécurité qui reconnaît les caractéristiques physiques pour identifier une personne. Comme la technologie se développe très rapidement, elle est moins chère à construire. Plusieurs fabricants d’équipements de sécurité sont à la recherche de méthodes biométriques parce qu’elles seront la nouvelle façon d’identifier les citoyens.
Les initiés de l’industrie disent que la technologie sera disponible partout, des banques jusqu’aux aéroports, dès l’année prochaine. Cela signifie que plutôt que d’entrer votre code PIN, vous pourrez accéder à un guichet automatique en un clin d’œil Dans les aéroports, le système va analyser votre iris quand vous passerez la sécurité et l’identification faite, vous serez accueilli par votre nom.
La technologie Eyelock enregistre la vidéo de votre globe oculaire et utilise un algorithme pour trouver la meilleure image de chaque œil Ce système est entré dans les écoles et dans les autobus scolaires à travers le pays.
"Imaginez un monde où vous n’êtes plus tributaires de noms d’utilisateur et de mots de passe", a dit un des responsables de la technologie Eyelock. Il poursuit en expliquant que bientôt, avec ce système, si vous passez par un tourniquet et que vous avez l’autorisation de passer suite à votre identification, le système va ouvrir le tourniquet et il déverrouillera votre téléphone ou votre tablette pour vous identifier automatiquement dans votre compte de messagerie sans devoir entrer un mot de passe.
Et pendant ce temps les USA sont déjà passés en mode dictature (imaginez ce que peut donner le jumelage des deux phénomènes ... vous avez fini par comprendre, même les plus durs à la détente ?)
Le bonheur d’être suisse » (Jean Ziegler, 1993) sous ce titre bizarre et anodin se cache un des livres les plus riches et émouvants qui soient.
C'est comme les Mémoires d'Outre-Tombe de Chateaubriand, et ça les vaut. Comme Mémoires d'Outre-Tombe ce n'est pas seulement l'histoire d'une vie (très attachante et Jean Ziegler est un personnage admirable, qu'on ne peut oublier) et celles des personnages, qui ont croisé sa vie et dont il sauve la figure et le destin de l’oubli, c'est mêlé à un cœur de chair saignant et à une intelligence perçante, une vaste symphonie humaine et historique, une fenêtre ouverte sur toutes les dimensions du temps et de l'espace. Avec ceci de plus par rapport à Chateaubriand que ça parle de notre monde où nous vivons, où d'autres meurent (ou sont morts...) et dont Ziegler a si bien su mettre à jours les noirs dessous, et dénoncer les scandales fondateurs. ("En écrivant je veŭ contribuer à délégitimer la doxa des seigneurs.") Ca déborde non seulement d'intelligence et de révolte, mais d'émotion, d'angoisse, de fraternité, de poésie et de sensualité. C'est le genre de livre qu'on a envie de garder sur sa table de nuit pour en faire un livre de chevet (c’est ce que j’ai fait durant plusieurs années).
En 1997, quand je suis allé en Suisse, j’ai orienté tout mon voyage sur la recherche des lieŭ où il a passé.(si ! si ! voilà le genre de passion que peŭ susciter cet homme, j'ai fais la même chose pour seulement un autre auteur : Chateaubriand justement ! ) En commençant par Thoune sa ville natale, où j’ai cherché le Château-tribunal, sa maison natale de la rue des magnolias, et puis Aeschi (où il a rencontré Ricarda Huch ) et le village de son grand’ père pasteur. J’ai aussi cherché (en vain c’est tellement mal indiqué que pourtant pas loin je n’ai pu arriver à trouver la route qui y mène !) les villages de Kiental et de Zimmerwald (ceŭ qui connaissent l’histoire sauront tout de suite ce qui s’est passé là). Et à Genève j’ai pris ces deŭ photos : (censurées par la firle de menteurs capitalistes qu'est devenu Ipernity
L’Université de Génève où il est professeur de sociologie : (non ! ce n’est pas lui qui a fait mettre le panneau de circulation )
Et la Place des philosophes où il habite :
Son livre « est tout poétique », Et en plus il cite des poètes à chaque pas :
La roue épaisse de la terre
Fait rouler sa jante épaisse d’oubli,
Coupant le temps
En d’inaccessibles moitiés
(Pablo Neruda)
Maintenant, pris presque au hasard (pas tout à fait ! mais presque), et ce ne sont même pas les meilleurs ni les plus interessants (le reste est encore mieŭ ! pensez !) quelques extraits du livre :
Mon père croyait aŭ « mondes de raison » chers à Valéry. L’esprit seul peut annuler le chaos du monde. Ses œuvres procurent consolation et abri à l a dignité blessée, au désir à jamais inassouvi des hommes. Il me récitait souvent en allemand ces vers de Saint-John Perse, sans que j’en comprisse alors le sens :
« Écoute, ô nuit, dans les préaŭ déserts et sous les arches solitaires, parmi les ruines saintes et l’émiettement des vieilles termitières, le grand pas souverain de l’âme sans tanière. »
Au cours de nos longues promenades dans la montagne, j’entendis aussi les vers somptueŭ de l’Exil que mon père disait à voix basse, la tête baissée comme s’il parlait à ses pieds :
« nous mènerons encore plus d’un deuil, chantant l’hier, chantant l’ailleurs, chantant le mal à sa naissance et la splendeur de vivre qui s’exile à perte d’hommes cette année »
Très jeune déjà, j’avais le sentiment que mon père avait de la peine à vivre. (p.43)
Au Collège libre, les jeunes filles étaient souvent très jolies. Dans les couloirs sinistres, elles passaient légères comme des papillons. Mon corps de quatorze ans brûlait de tous les feŭ de l’univers. Le désir me ravageait. Pourtant je n’ai jamais touché ni même frôlé ces boucles dorées, ces seins et ces hanches naissantes. Je louchais donc comme un débile. J’étais terrorisé par les foudres virtuelles que l’Ancien, le Nouveau et tous les autres Testaments promettent aŭ fornicateurs et, d’une façon générale à tout homme manquant – ne fusse que par le regard – à la loi sacrée de la chasteté. (p. 88)
Clarté (fama franca intelekta/politika revuo) m’a donné le goût de repenser toute chose de façon radicale. Je veŭ dire : de déterrer à travers pierrailles et boue, brumes, distances et barricades, la racine de ce qui est.
(p. 107)
Nous marchâmes sur le boulevard, côte à côte. Elle prit ma main. Sentant la brûlure et voyant le pourpre de mes joues, elle me dit : « Je t’aime bien. « J’étais ivre de joie et fou d’absolu, d’être et d’universel. Nous avons fait connaissance dans le petit café du coin.
Née à même le plancher d’un grenier d’une maison du ghetto de Prague cernée par des brutes bottées en uniforme noir, Sarah avait pu quitter sa cachette dans les bras d’une bonne slovaque avant l’arrivée des camions. (p. 123)
L’étonnant Appenzellois me posait un problème que je devais rencontrer plusieurs fois encore au cours de mon existence ; Comment et pourquoi aimais-je des hommes et des femmes professant des opinions politiques et une vision de l’histoire diamétralement opposées aŭ miennes ? Derrière les conflits idéologiques et politiques, et au-delà d’eŭ, il y a le commun destin des hommes, leurs souffrances, leurs doutes, la mort. J’aime ce chant de Joan Baez : « Be not too hard … for life is short … and nothing is given to man. “ Celui qui tente d’alléger les angoisses de son prochain ou qui, dans sa chair, souffre lui-même abolit les distances, les contradictions politiques. J’éprouve pour lui une immédiate et intense sympathie. (p ; 179)
Vittoria ne s’opposa pas à mon départ.
Au pied du DC-3 qui devait me conduire à Kamina, puis à Élisabethville, elle prit mon visage entre ses mains. « Je t’aimes … beaucoup …. Plus que ma vie. » dit-elle dans un souffle. Elle m’embrassa doucement sur le front. Puis elle se détourna et quitta le tarmac en courant.
Je ne devais plus jamais la revoir.
(p. 183)
Opposant intraitable à la tyrannie marocaine, Ben Barka avait choisi l’exil en Europe. Hassan II avait été son élève en mathématiques. Il tentait maintenant de le faire assassiner.
Je vouais au petit homme rond aŭ yeŭ de charbon une admiration sans borne, une grande affection et beaucoup de gratitude. Lors de nos conversations nocturnes, autour d’un plat de couscous dans un restaurant algérien de la porte de Clichy, il m’avait révélé la lutte des peuples du Tiers-Monde et enseigné la stratégie de leurs ennemis.
A mes yeŭ, tout officier marocain – même sous le casque bleu – ne pouvait être que le complice du régime abhorré.
La plupart du temps, Urquhart était parfaitement maître de lui. Malgré la différence de nos statuts, malgré les décennies qui nous séparaient, il me parlait avec simplicité et franchise et parfois avec une émouvante modestie. Comme ce soir de pluie où, les traits du visage marqués par la douleur, la voix curieusement tremblante, presque timidement, il me demanda : « Comment puis-je faire pour communiquer à mon fils, qui refuse toute discussion avec moi, tout engagement pour une cause, un peu de votre esprit socialiste ? »
Je ne me souviens plus des balivernes dogmatiques, certainement assez confuses, que je lui servis en guise de réponse. Mais je ressens aujourd’hui encore l’intensité de la satisfaction et la flambée d’orgueil qui m’envahirent ce soir-là ; Un père humilié me demandait conseil … C’était le monde à l’envers. Pourtant, à l’instant même, je me détestai, mesurant brusquement, face à cet homme au regard douloureŭ et à la voix humble, l’étendue des blessures que j’avais infligées à mon propre père une dizaine d’années auparavant. Dans cet abris puant le tabac froid, le bois mouillé et la sueur, sous ce déluge de pluie, au cœur le plus profond de l’Afrique, à onze mille kilomètres de mon lieu de naissance, je découvris que j’aimais mon père … et que j’avais été incapable de le lui dire et de lui demander pardon. La fureur m’envahit. La honte. Je me haïssais. (p. 191)
J’ai d’ores et déjà remporté une victoire : car les seigneurs de la finance internationale n’aiment pas s’exposer à la lumière du jour. Ils s’avancent cachés ; Le crépuscule est leur monde. Ils craignent comme la peste le regard des peuples. (p. 303)
"L'intelligence d'un seul m'éteint la bêtise universelle." (Anne Archet)
Questar de Keith Jarret www.youtube.com/watch?v=Y-OMprqBbRA « Questar : conserver, croire, chérir envers et contre tout au fond de son cœur les valeurs de la vie, de la raison, de l’idéal, croire à la morale, au romantisme, au cœur, à la bonté, à la vie, même si on ne la vit pas ! croire à tout ce qui fait la dignité humaine, contre tout réalisme avilissant, en dépit de l’impuissance, du doute, même sans espoir, ne fusse que par défi, que pour être soi-même, que pour passer le temps, que pour l’amour de tout ce qui est beau et vrai.» j'ai écrit ça seul chez moi le soir du 3/12/1984
Jean Fourastié dans son ouvrage, dans la célèbre collection que sais-je : "La civilisation de 1960" (qui date de 1950) qui est un hymne à la Croissance, dans l'introduction mentionne cependant l'idée suivante, il dit que des pessimistes se rallient à "des slogans comme "Hitler a gagné la guerre" (en ce sens qu'il aurait imposé au monde sa conception de l'Etat et de la vie économique)
BEN ! VOYEZ ! ces "pessimistes" (Jean Fourastier, qui fut le créateur de la pensée des "technocrates" était sans doute aussi celui des bobos "anti-complotistes") avaient bien raison. Ce qui se passe depuis 2020 (et EN FAIT DEPUIS BIEN AVANT ! POUR QUI SAIT OBSERVER !) l'a bien montré!! il y a d'ailleurs une continuité entre sa pensée et Klaus Schwab
tiens ! c’est un peu ce que j’ai dit une fois dans ce journal, ça s’accorde aussi sans doute avec la pensée de Bernard Charbonneau. et avec les dénonciations de Jean-Marie Le Mené
oui, ce texte je l'avais écrit un an avant la crise politique et idéologique (car ce n'EST PAS UNE CRISE SANITAIRE !) actuelle, et même si j'étais largement plus pessimiste de le commun des naïfs, je ne savais pas à quel point j'avais raison !!!
Quant à la "crise climatique" (écoutez dans la vidéo ci-dessous comme elle est de nouveau instrumentalisée par la mafia de Davos !) c'était de même que le Covidisme (et que l'hystérique campagne anti-tabac qu'on nous martèle depuis trente ans, qui était un test pour voir si on pouvait culpabiliser soumettre et décérébrer toute une population par la Peûeûeûrrrr !) un plan pour soumettre la totalité de l'humanité en un nouvel "esclavage antique" l'esclavage deux point zéro où les téléphones portables et les QRcodes remplacent les colliers de fer
(bon, le gars est un peu "approximatif" Poutine et Trump "sauveurs de l'humanité" ! ils Poutine, objectivement, comme dirait un marxiste, je veux bien comme le fut l'URSS en 44, mais Trump plus typiquement américain tu meurs ! demandez à Maduro et aux vénezueliens pour voir si il est un "sauveur" ! )
par contre ce n'est pas pour rien que NOS MAÎTRES du grand capital, et donc une de leurs bras armés l'UE, veulent INTERDIRE tout ce qui ne leur rapporte pas des PROFITS (et tout ce qui pourrait ressortir de la libre vie des personnes) - élémentaire mon cher Watson ! - tout se tient ! on revient vous le voyez TOUJOURS aux principes d'analyse marxiste ! le marxisme c'est le bon sens même, (pour ceux à qui le seul nom de MARX donne "des cloques sur la poitrine" lisez La Fontaine, ça peut suffire !)
et ici un lien à une vidéo censurée qu'on n'a pas le droit ni de télécharger ! ni d'intégrer dans un blog !!
En 2015, un nationaliste ukrainien déclarait publiquement
concernant le Donbass que "c'est une région surpeuplée de
personnes inutiles" comme par exemple dans la région de
Donetsk ou "sur les 4 millions d'habitants, 1.5 sont superflus"
et de rajouter glacial: "nous n'avons pas besoin de comprendre
le Donbass qui doit-être exploité comme la ressource qu'il est
Je ne prétends pas avoir de solution rapide mais la chose la plus
importante que nous devons faire, aussi cruel que cela puisse
être à entendre, c'est qu' IL Y A UNE CERTAINE CATEGORIE DE
PERSONNES QUI DOIVENT ETRE EXTERMINEES" !!!
Décidément, les comportements des nazis, allemands ou ukrainiens, sont toujours les mêmes. Il ne faudra pas commettre l’erreur de laisser subsister cette engeance.
Si les politiciens sont tous des pourris et des corrompus, c'est à cause du système de l'élection reécoutez les vidéos de Chouard, ou mon article là dessus "l'oeuf de Colomb", d'élire les dirigeants crée automatiquement un phénomène de sélection naturelle, comme dans le darwinisme, ce sont les meilleurs menteurs qui gagnent ! et pourquoi ? parce que dans le système de l'élection ce sont ceux "qu'on peut aider" comme dit Chouard, c'est à dire ceux que les riches, propriétaires des médias, de l'argent, des réseaux, aident, et bien sûr ils aident ceux qui leur profitent, quelle question ! (ils n'aideront jamais un révolutionnaire, sauf si c'est un faux ! un social-traitre, une "opposition contrôlée"), et ça crée une CLASSE politique de cyniques aux dents longues avides et sans honneur. Voilà pourquoi votre fille est muette, ou plus exactement voilà pourquoi on a des politiciens plus pourris les uns que les autres. Conclusion ?c'est le système qu'il faut changer ! écrire nous-même notre constitution, et remplacer l'élection par le tirage au sort.
E,bien entendu, des politiciens qui roulent pour le grand capital seront forcément des pourris, c'est dans les gênes de cette classe, c'est la base de leur idéologie.
Avec ceux qui ont du rester chez eux en prenant de l'Aspirine avant d'appeler le 15, le chiffre de 20.000 morts est évoqué ça et là.