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la Paix ne pourra revenir qu'après la victoire définitive sur cette ploutocratie mondialiste criminelle et surtout la destruction de ce monstre absolu, cette pensée unique du capital qui est responsable des pires fascismes 1.0 et 2.0
Avant de vous faire lire la discussion théorique et critique du problème, voici quelques exemples, tirés de cette Europe, dont TOUTES les espèces, arrivées après le dégel de la dernière GLACIATION (quand la banquise déscendait jusqu'à Dunkerque, et que chez nous à part des lichens et des rhinocéros laineux il n'y avait pas grand chose !
Les moineaux ainsi sont une “espèce invasive”, si vous êtes allés en Egypte vous aurez pu constater qu’on en entend partout dans les ruines antiques, les moineaux sont des oiseaux des déserts, qui vivent là où il y a des falaises rocheuses, où ils nichent dans les trous de rochers. Alors ! Forcément, lorsque les humains se sont mis à construire des villes, les maisons leur ont fourni des falaises artificielles, et les villes (sans arbres jusqu’à une époque récente) se sont peuplées de moineaux, au point qu’aux yeux des citadins coupés de la nature, “oiseaux” se réduisait à “moineaux”!
Pareil par exemple pour les cochevis huppés, ce sont aussi des oiseaux des déserts (Ouzbékistan par exemple je m’en souviens) et ils avaient trouvé dans nos routes de terre battue ou de pavés des déserts acceuillants ! Et se régalaient des crottins des chevaux. Maintenant les chevaux ont disparus, et d’ailleurs si jamais, à l’occasion d’une fête-investissement touristique, un cheval se permettait de laisser tomber un crottin, il est tout de suite ramassé, si on pouvait on mettrait un sac aux culs des chevaux, pour pas que les bourgeois anarchistes se mettent à pousser des cris et à porter plainte !
À PROPOS DES INTRODUCTIONS D’ESPÈCES - ÉCOLOGIE ET IDÉOLOGIES
on commence à réévaluer les "écolos" déjà Bernard Charbonneau qui avait toujours refusé de se réclamer de l"écologie" car il en voyait trop bien les potentialités totalitaires, et puis le PS a amplement montré comment la corruption peut rendre les partis l'exact INVERSE de ceux qu'ils sont censés être, (et puis le premier pays à prendre des mesures écologistes fut l'Allemagne nazie, il ne faut pas l'oublier, et les fascistes se réclamaient souvent des "lois de la nature" !)
Maintenant, il (Jadot) vient de réclamer que le vaccin potentiel contre la Covid-19 soit rendu OBLIGATOIRE pour tous les Français ! Peu importe ce qu’il y aura dans ce vaccin ! C’est cohérent : il est lui aussi probablement inféodé au puissant lobby des laboratoires pharmaceutiques. Sinon sur quel fondement se déclarerait-il en faveur d’une telle obligation ? Est-il spécialiste des maladies infectieuses ?
2010 Christian Lévêque, Jean-Claude Mounolou, Alain Pavé et Claudine Schmidt-Lainé
L’ÉCOLOGIE, EN TANT QUE SCIENCE, s’était fixé comme objectif de rechercher un ordre dans la nature. Ce qui suppose implicitement que la nature est ordonnée, tout au moins au sens où l’entendent les sciences physiques. Et si nous nous étions trompés de concept fondateur ? Le monde vivant n’est-il pas d’abord le domaine du hasard, du conjoncturel, de l’opportunité, de l’aléatoire ?
2En battant en brèche le déterminisme qui rend plus aisée l’élaboration de prédictions et de programmes, le hasard gêne les institutionnels et les institutions. Il fait même peur alors qu’il ouvre, au contraire, des espaces de liberté et de créativité. Dans ce contexte, la question des espèces « invasives » qui se développent de manière inopinée sans que l’on puisse en cerner les causes bouscule nos représentations d’une nature ordonnée, ouvre le champ de l’incertitude, et dérange sans aucun doute.
3Les scientifiques, à juste titre, dénoncent le créationnisme et le dessein intelligent. Ces idéologies ne sont, somme toute, que la persistance d’une idée bien ancrée dans les esprits aux XVIIe et XVIIIe siècles, selon laquelle la nature, créée par Dieu, est nécessairement harmonieuse et immuable (le fameux « balance of nature » des Anglo-Saxons).
4Lorsqu’on s’interroge sur les fondements historiques de l’écologie scientifique, on découvre que certains concepts, sous des formes nuancées, sont toujours porteurs de cette idéologie. Bien sûr, la science est affaire de société. Les connaissances construites l’ont été en réponse à des questions posées dans des contextes idéologiques évolutifs. Et les questions d’aujourd’hui, comme les démarches de recherche, sont nécessairement marquées du présent philosophique, social et économique. Néanmoins, l’idée d’une nature immuable, certes désacralisée, reste encore vivace. On continue à parler d’équilibre et de stabilité des écosystèmes ainsi que de climax avec, en contrepoint, l’idée que les perturbations d’origine anthropique créent des déséquilibres.
On rappelle en permanence la culpabilité de l’homme vis-à-vis de la nature, ce qui n’est pas sans évoquer le mythe du péché. Or, les recherches en écologie rétrospective nous ont appris, quant à elles, que les écosystèmes n’ont jamais cessé de se transformer et que la biodiversité est avant tout le produit du changement, non du statu quo [Lévêque 2008b].
6Les paradigmes évoluent. Mais les milieux médiatiques, politiques, associatifs et scientifiques ne se les approprient pas au même rythme. Et le terrain des introductions d’espèces est particulièrement propice aux débats et aux confrontations intellectuelles car la revendication de préserver la nature « en l’état » y est exprimée avec une certaine véhémence par certains groupes sociaux. C’est dans ce contexte que nous nous inscrivons, en réaction à cette attitude « conservatrice ».
7Les introductions d’espèces et leur prolifération ont en effet mauvaise réputation dans les milieux écologistes et conservationnistes. Que reproche-t-on à ces espèces « invasives » ?
[D’être] des espèces [... ] qui bouleversent l’équilibre des milieux naturels, entrent en compétition avec les espèces autochtones et, parfois, les dominent jusqu’à les faire disparaître.
8Selon le site web de l’ONF, les introductions d’espèces sont aujourd’hui considérées comme la deuxième cause mondiale de l’érosion de la biodiversité. De même peut-on lire sur le site « Plein Sud » de l’Université Paris-Sud 11 :
Les invasions biologiques sont considérées comme la seconde plus importante menace pesant sur la biodiversité, juste après la perturbation des habitats.
[je pense que Soral, Zemmour et Hitler seraient d’accord là-dessus!]
9Ces discours alarmistes sont repris de manière générale par presque toutes les ONG ou associations de conservation de la nature. Mais, depuis quelques années, plusieurs voix s’élèvent pour remettre en cause ce discours manichéen. Les travaux récents [Theodoropoulos 2003 ; Rémy et Beck 2008] montrent en effet que les représentations des scientifiques et du public dans le domaine de la biologie des invasions ne sont pas exemptes d’idéologie et reposent en partie sur des paradigmes écologiques discutables.
10Néanmoins, la mise en accusation de l’homme, considéré comme perturbateur de l’ordre naturel, reste un moyen privilégié de "communication" (nouveau terme créé pour remplacer "propagande") des ONG de protection de la nature, et le message est largement repris par les médias, à l’exemple du scénario de la sixième extinction. La peur comme moyen de culpabilisation, et donc de manipulation (eh eh ! outil très Goebbelsien, et encore utilisé actuellement n'est-ce pas !] , a longtemps été l’apanage des religions, du déluge aux péchés capitaux [Thomas 1985]. Mais, de nos jours, la peur trouve dans l’environnement un domaine profane à investir. La question des espèces invasives et celle des changements climatiques et de l’érosion de la biodiversité censés mettre en péril la survie de l’homme en sont quelques déclinaisons. Au demeurant, cette image de l’homme destructeur de la nature n’est pas dénuée de vérité – comme en témoignent la surexploitation des stocks de poissons marins [Cury et Miserey 2008] ou la destruction des forêts (et des sols ! voyez les conférences de Claude Bourguignon).
11Un peu de sémantique n’est jamais inutile. Car les définitions d’« invasions biologiques » ou d’« espèces invasives » sont nombreuses et peuvent différer les unes des autres. Celle de F. di Castri [1990] est assez généralement admise :
Une espèce envahissante est une espèce végétale, animale ou microbienne qui colonise un nouvel environnement et y prolifère loin de son aire d’origine après avoir, la plupart du temps, été transportée par l’homme, intentionnellement ou non. [bref, comme font les immigrés à La Goutte d’Or! Après les auvergnats de Paris, ou les flamands du Nord-Pas-de-Calais]
12Mais il y a souvent un léger glissement sémantique qui conduit à des confusions. Nous vivons en effet, en Europe, dans un environnement où les espèces introduites et naturalisées sont nombreuses. La plupart restent discrètes et se font oublier, ou contribuent à agrémenter notre vie. Seules quelques-unes – tels des parasites d’huîtres ou de poissons, des vecteurs de maladies (moustiques), des espèces végétales (comme la renouée du Japon, la jacinthe d’eau), sans oublier le rat introduit partout dans le monde – se révèlent gênantes dans la mesure où elles se mettent à proliférer, suscitant des nuisances économiques, écologiques et sanitaires. Ce sont ces quelques espèces « invasives » qui nous dérangent, à juste titre, parmi l’ensemble des espèces dites exotiques.
13Là où les choses se compliquent, c’est que le discours médiatique a tendance à confondre « prolifération d’espèces » et « espèces invasives » alors que ce phénomène n’est pas une spécificité des espèces exotiques. Il est largement partagé par les espèces autochtones qui peuvent être, elles aussi, des sources importantes de nuisance. On pense par exemple aux pullulations de criquets en Afrique sahélienne, à celles des petits campagnols ravageurs des cultures en Europe, ou encore aux pullulations de méduses qui se produisent régulièrement sur nos côtes et pour lesquelles les médias n’hésitent pas à parler, à tort, d’« invasion ». Une enquête sur les proliférations végétales dans les milieux aquatiques continentaux français a mis en évidence que les plantes les plus fréquemment citées sont aussi bien autochtones qu’allochtones. Ce qui renforce l’idée que « prolifération » ne rime pas nécessairement avec « exotique » [Peltre et al. 2008]. Il n’empêche que l’amalgame ainsi fait ne peut que renforcer les préventions contre les espèces exotiques. (tiens tiens ! pareil pour les "espèces" d'humains)
Dans cette vidéo https://odysee.com/@ConversationDuLundi:4/CDL44:3 Jean-Jacques Crèvecœur parles parmi les conséquences du 11 septembre de "contrôles renforcés dans les aéroports". Mais c'est bien plus que ça, savez-vous comment ça se passait et comment l'esprit des gens, des GENS, était par exemple en 1969, année encore civilisée. Lisez ce qui suit, là vous allez vous rendre compte de la dégradation abyssale de la Civilisation depuis :
Relire les Reader's Digest de 1969 (1) aussi ça peut être vachement instructif!
(1) le n° d'octobre 1969, page 233
l'explication vous aller la lire plus bas, après la ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Esperantligva resumo: pr. 1968-69 ekestis en usonaj aviadiloj ondo de kaperoj, fare de (armitaj, kaj la vojaĝantojn minacantaj) homoj, kiuj volis igi la aviadilon iri al Kubo (ĉar pro la usona bojkoto al Kubo neeblis iri alimaniere, kaj tiuj estis revoluciemuloj, kiuj ege deziris vivi en Kubo). Do en artikolo de Selektado de l'Reader's Digest ( N° de oktobro 1969 p. 233 franclingva eldono), post rakontado de pluraj okazoj tiaj, la aŭtoro finis per meti la demandon? kion fari ?? Tiam lia respondo estis: malfeliĉe nenion, ĉar la ununura efika rimedo estus priserĉi ĉiujn pasaĝerojn antaŭ ke ili enirus en la aviadilo, kja tio estas nepensebla, aldonis li kiel memkomprenebleco, tro malĝentila, ktp, kaj "la vojaĝuntoj certe ne konsentus pri tia afero !" (kio subkomprenas: se ili rifuzas estas nepenseble ke oni trudu ilin). Kiom la etoso kaj kondutoj, kaj sintenoj, tiom bone de la "instancoj" kaj de la publiko, ŝanĝis !! ĉu ne ?! Nenio tiom utilas kiom relego de revuoj post "breĉo de kelkdek jaroj, ĉu ne? Certaj aferojn oni ne sentas dum ili okazas. Nur poste oni konstatas, kaj rememorante eble ia tremmalvarmiĝo ŝoviĝas laŭ via spino. Kiam oni konsciiĝas pri la evoluo, ĉu oni ne komencas maltrankviliĝi ? Ni direktiĝas pli kaj pli al la stato priskribita de unu rolulo de la romano de l'fratoj Strugatski "Malfacilas esti dio": "La principoj simplas, ili estas tri: blinda kredo je ĝusteco de leĝoj, senkontraŭdira obeo al tiuj kaj krome senĉesa kontrolado de ĉiu per ĉiuj !" -----------------------------------------------------------------------------------------------------------------
En effet: Vers 1968-69 s’est développé sur les avions américains une vague de détournements d’avions (c’étaient les premiers je crois) de la part de gens (armés bien sûr, et qui menaçaient les pilotes et les passagers) qui voulaient se rendre à Cuba, Mecque des révolutionnaires, que les USA avaient mis sous embargo et où il n’était plus possible de se rendre par les lignes régulières). Après une longue suite de récits, l’auteur de l’article (sur Reader’s Digest, une revue conservatrice et sans aucune sympathie pour le communisme !) concluait : "Mais Que faire ? Il n’y a malheureusement rien à faire. Car la seule solution vraiment efficace serait de fouiller les passagers et leurs bagages avant l’embarquement, et ça c’est impossible !" concluait-il comme une évidence, ajoutant que ce serait trop malpoli et trop choquant, et que d’ailleurs les passagers "prendraient, sans doute, cela assez mal" (Ce qui veut dire: si les passagers n’acceptent pas on ne va pas les forcer).
En 1969
Comme le monde a changé depuis !!! Je ne vous fais pas un dessin...
bon, je vous laisse réfléchir NOUVEAU Bon, parmi les dérives les plus graves actuellement et les plus menaçantes il ya l'instrumentalisation par la police du "délit d'outrage", il faut y mette fin, sinon notre Etat de Droit et notre civilisation sont foutues !
kaj nun Francio : Barbareca lando sub polica reĝimo ( la France tombée sous la shlague et devenue régime policier et barbare - et avec Macron-Nunez ça ne s'arrange pas ! )
"Et vous pensez que, lorsque la « pandémie » s’arrêtera et que l’économie s’ouvrira,"
la "pandémie" ne s'arrêtera pas, car elle n'a pas commencée, elle est inventée de A jusqu'à Z, dans le cadre d'un projet fasciste de maximisation du profit de grand capital, et d'imposition à ce qui restera de travailleurs d'un nouveau statu d'esclavage totalitaire. Il n'y a pas de raison qu'ils s'arrêtent !
D'autant plus qu'avec tout ce qu'ils ont déjà fait ils savent que si'ls baissent la garde et laissent revenir l'Etat de Droit, ils seron jugés à Nüremberg pour crimes contre l'humanité, et seront pendus, à moins que la foule en colère ne les lynche avant. Alors ils sont acculés et ne peuvent que pratiquer la fuite en avant, vers toujours plus de dictaure toujours plus de totalitarisme, toujours plus de repression et de mensonges.
On est mal barrés !
Car la comparaison avec le fascisme 1.0 des années 30 s'arrête là : ce fascisme-là a fini par tourner à la guerre, et ils ont été battus par l'URSS (Koursk, Stalingrad). Mais ici qui nous sauvera ? je ne vois aucune possibilité...
Les grands responsables sont ceux qui depuis plus de vingt ans ont accepté passivement toute l'évolution, sans protester, voire sans s'en rendre compte. que moi je voyais, et de rares autres. Amère satisfaction dont je me passerais bien.
Suite au déterrage et au massacre d’un blaireau : « With the dried blood stiff on my temples I climbed the hill, cursing the satanic way of men, yet knowing myself vile, for they had not known what they were doing, but I betrayed an innocent : and the tears – weak, whiskey tears – would not wash from my brow the blood of a little brother.”
Williamson (Henry) in « The book of the village » – 1930
Au bord des routes s'étalent des affiches sur un truc "Terres en fêtes" (en réalité ça veut dire que c'est censé être une fête de l'agriculture, qui en réalité est composée essentiellement de ..... spectacles de rock and roll et chanteurs dans ce goût-là, je ne vois pas le rapport avec l'agriculture , bref retenons bien l'agriculture, les élevages), qui représentent des cochons, des des poulets, et des vaches qui jouent gaiement du rock and roll avec des guitares électriques. Bon, réfléchissons : vous imaginez Hitler organiser une "Auschwitz en fête" avec sur les affiches des juifs hilares et des déportés travaillant à IG Farben Monowitz qui jouent du Yodel, vous auriez apprécié ? comme disait Parménide :
« C’est avec le raisonnement qu’il faut trancher les problèmes. Il n’y a qu’une seule voie pour le courage. »
PS : et le Colisée ?… Imaginez, dans 2000 ans, des touristes qui, visitant des camps d’extermination d’Auschwitz, prendraient des photos en s’exclamant : «Oh ! super !…
Dieuddo tout le monde t'aime. Ce sera comme pour les années 40 les putes seront oubliés et jetés dans les poubelles de l'histoire, et c'est toi qui restera la célébrté
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Maintenant (déjà dans les années 90, maintenant c'est encore pire) le désir sexuel est invariablement décrit comme celui d’un chien pour un bifteck, la tendresse comme une violence, la beauté comme attentatoire à la dignité de la femme, faire l’amour comme une perversion, la complicité comme une aliénation, l’attachement comme une maladie mentale !
en France on revient à la "Gnadentod", destinée à réduire les dépenses de la sécu du Reich ! et ce n'est qu'un début ! une fois le tabou brisé vient l'emballement, la Belgique l'a bien montré !
Mais,au fait !
une question qui n'est pas posée c'est les infirmières qui FONT concrètement les ACTES (et absences d'actes) tueurs (car bien sûr le médecin, le "grand patron" d'hôpital, en général arrogant, oh combien ! dans ce milieu, se contente de donner les ordres à son personnel (et encaisser les gras honoraires) qu'en pensent-elles ? Ce sont pourtant elles qui donnent la mort. Mais bien sûr on ne leur demande pas leur avis, elles n'ont qu'à obéir "ac cadaver" sinon c'est la porte ! La ruine de leur vie, la maison achetée à crédit vendue par la banque, la clochardisation, etc ….
Et là, on ne peut s'empêcher de penser à ce cas : (paru sur la Midi Libre http://expressions.ecoutespirite.org/aux-frontieres-de-la-mort-revenus-dun-coma-ils-racontent/) celui de M. Joseph Garcia de Lagamas dans l'Hérault, à l'âge de 21ans il s'est retrouvé suite à un accident plusieurs semaines dans le coma, il dit entre autre : "Je sais aussi que malgré la fait que j'étais dans le coma je me rappelle très bien (en 2012, après 61 ans) du nom et du visage de l'infirmière en chef qui a désobéi au médecin pour continuer le bon traitement pour moi et qui m'a sauvé la vie. Comment j'ai pu connaître son nom ?"
Vincent Lambert n'a pas eu cette chance là ....
il n'y a pas eu d'infirmière qui a désobéi pour lui sauver la vie ...
6 juillet 2019, réponses à dix arguments favorables à l’ « euthanasie » de Vincent Lambert :
1« Sa mère n’a qu’à prendre son fils chez elle et s’en occuper elle-même ! »
Ses parents le souhaiteraient justement !!! et plusieurs autorités médicales ont reconnu que Vincent Lambert pourrait tout à fait être hébergé chez ses parents.! Ils en ont fait la demande plusieurs fois auprès des juridictions françaises et cela leur a été expressément et systématiquement refusé ! C’est le premier problème fondamental et spécifique à cette affaire : Vincent Lambert n’est pas dans l’unité de soins adaptée à sa situation. Il ne devrait pas être dans un service de soins palliatifs mais dans une maison ou clinique adaptée et spécialisée pour son handicap. Certains hôpitaux et cliniques privés spécialisés pour ce genre de handicap ont proposé d’accueillir Vincent Lambert dans leurs structures. Cela fut également systématiquement refusé.
Dans une tribune collective du 18 avril 2018, 70 « médecins et professionnels spécialisés dans la prise en charge de personnes cérébro-lésées en état végétatif ou pauci-relationnel » affirment à propos de Vincent Lambert qu’« il est manifeste qu’il n’est pas en fin de vie. » La durée moyenne de séjour en unité de soins palliatifs en France est de 16 jours. Vincent vit dans une unité de soins palliatifs depuis 10 ans. Cela montre bien qu’il n’est pas en fin de vie.
« Personne ne voudrait vivre comme ça, ce n’est pas une vie ! »
Oui, personne ne voudrait vivre dans une telle situation. Il y a cependant un sophisme à conclure que l’on devrait euthanasier une personne vivant dans une telle situation.
En effet, ce n’est pas parce que l’on souffre d’un mal ou de plusieurs maux que l’on voudrait nécessairement mourir. Personne ne souhaite perdre un bras dans un accident de travail et se retrouver au chômage. Cependant, si une telle chose arrive, une personne ne perd pas nécessairement la volonté de vivre. La réponse d’une société empathique ne doit pas être de maintenir une personne dans sa peine en l’invitant à mettre fin à ses jours pour ne plus souffrir, mais à la soigner, et à l’aider à comprendre que la vie vaut la peine d’être vécue.
De plus, juger de la valeur d’une vie d’une personne est dangereux. Quels critères permettent de dire qu’une vie vaut la peine d’être vécue ? Sont-ils universaux et acceptés par tous ?
Il a dit qu’il ne voulait pas qu’on le maintienne dans un tel état, respectez sa volonté ! »
C’est un point discuté dans cette affaire. Dans les faits, il n’a pas rédigé de directives anticipées, bien qu’il fût infirmier et informé d’une telle possibilité.
De plus, seule son épouse prétend rapporter des propos qu’il aurait tenus, ainsi qu’un frère qui prétend faire état de ses « dernières volontés ». L’ensemble de ses autres frères, sœurs, et même le demi-neveu ont affirmé que Vincent ne leur avait jamais rien exprimé à ce sujet. Ils ont cependant tous déduit cette prétendue volonté de ne pas être maintenu en vie de sa personnalité. Est-ce fiable ?
La réalité, c’est que chacun d’entre nous a déjà dit à ses proches qu’il ne voudrait pas vivre handicapé ou diminué. Cela ne signifie pas que l’on veuille être euthanasié dans ce cas-là. Même en exprimant clairement une telle volonté lorsque l’on est en bonne santé, l’expérience unanime des soignants est qu’une fois l’accident survenu, la volonté évolue car la volonté de vivre est bien souvent la plus forte.
Vincent Lambert a eu son accident de voiture en 2008. Or, ce n’est qu’en 2013, après une longue conversation avec le Dr Kariger, favorable à « un chemin de fin de vie », que Rachel Lambert va dire que telle était la volonté exprimée par son mari. Elle n’avait pas fait part publiquement de ces propos.
Sur cette base, le Dr Kariger tenta cette année-là une première euthanasie de Vincent Lambert. Le docteur continuant de l’hydrater (250-300mL/jour), Vincent Lambert a survécu à la faim pendant 31 jours. Cette résilience, qui s’est maintenue jusqu’à présent, est un indice sérieux d’une volonté personnelle de vivre. C’est ce qu’affirment tous les soignants spécialistes de ces patients et selon leur expérience, les patients comme Vincent Lambert qui ne veulent plus vivre ou « qui lâchent psychologiquement » partent en quelques jours, voire en quelques heures, sans signes avant-coureurs.
Il n’a plus conscience de lui-même, c’est un légume ! »
La question est débattue mais les divers diagnostiques établis au cours de toute la procédure judiciaire indiquent que Vincent Lambert est dans un état chronique de conscience altérée qui regroupe les états allant de « végétatif » à « pauci-relationnel ». Il respire seul, dort et se réveille. Il est alimenté par une gastrostomie. Ses mouvements et expressions faciales sont difficiles à interpréter médicalement, mais il est certain qu’il y a une interaction possible avec des personnes, aussi minimes soient-elles. Par exemple, il tourne les yeux et la tête vers sa mère quand elle l’appelle. Plusieurs vidéos prises par sa mère attestent de réactions à des sollicitations et a minima d’un éveil clair de Vincent Lambert, démontrant qu’il n’est pas un « légume. »
Si l’on considère que Vincent Lambert est dans un état végétatif tel qu’il ne pourrait rien exprimer ni même avoir conscience de son environnement – ce que contestent ses parents, alors on ne peut pas prétendre connaître sa véritable volonté à ce jour et prétendre avec certitude qu’il voudrait mourir. Cela rend l’euthanasie de Vincent Lambert d’autant plus choquante : la sagesse traditionnelle veut que « dans le doute, on s’abstient ». Ici, dans le doute, on le tue. Et si d’ailleurs Vincent Lambert n’était plus qu’un légume qui ne ressent et n’a plus conscience de rien, pourquoi vouloir le sédater pour qu’il ne souffre pas ?
Nous sommes entièrement d’accord. Seulement, dans le cas de Vincent Lambert, il ne s’agit pas d’un traitement médical. Il ne prend pas de médicaments, ne subit pas de pontages réguliers, n’est pas branché à une machine d’assistance respiratoire. Il n’est pas en fin de vie. Le 21 novembre 2018, les experts médicaux mandatés par la justice affirment que les
« besoins fondamentaux primaires ne relèvent pas de l’acharnement thérapeutique ou d’une obstination déraisonnable » et que la situation médicale de Vincent Lambert « n’appelle aucune mesure d’urgence ».
Certes, son alimentation par gastrostomie se fait par une sonde. Le moyen d’administrer l’alimentation est bien infirmier. Mais ce qui est administré n’est pas un médicament, ni un traitement, ni un artifice : c’est de la nourriture, comme tous les êtres humains ont besoin. De plus, dans le cas précis de Vincent Lambert, il faut dire qu’il est capable de déglutir de petites quantités de nourriture. Cependant, ses médecins successifs n’ont jamais cherché à stimuler cette capacité en vue d’un recouvrement de ses facultés.
Ainsi, priver Vincent Lambert de son alimentation n’est pas le « laisser partir » ou le « laisser mourir », c’est le faire mourir. Il est erroné et gravissime de voir dans la simple alimentation assistée d’une personne handicapée « une obstination déraisonnable ». Il y a en France des milliers des personnes qui ne peuvent pas se nourrir seules, certaines sont même malades et âgées. Serait-il légitime de les laisser mourir en ne les nourrissant plus ?
« Je suis contre l’euthanasie, mais là… »
… Mais là, c’est bien d’une euthanasie dont il s’agit : la décision par un tiers, le Dr Sanchez, de priver délibérément d’eau et de nourriture une personne avec pour objectif final de le faire mourir. Refuser de nourrir et d’hydrater un handicapé pour provoquer sa mort car on estime que son handicap est trop grave constitue, pour un médecin, un reniement du serment d’Hippocrate.
Si l’on n’est pas ferme sur un principe moral général, alors on se place directement sur une pente glissante. Certes, la situation médicale de Vincent Lambert est terrible et difficile ; mais s’il peut faire l’objet d’une euthanasie par la volonté de sa tutrice et de son médecin, pourquoi des personnes dans le coma depuis plus de 20 ans ne devraient-elles pas, elles aussi, être accompagnées vers une fin digne ? Et pourquoi attendre 20 ans d’ailleurs ? Et si l’alimentation par sonde est un traitement, pourquoi ne pas arrêter le traitement d’autres personnes qui ne peuvent se nourrir seules ?
La direction de cette pente, c’est la Belgique, qui permet légalement aujourd’hui l’euthanasie à la demande de mineurs dépressifs.
« Sa mère est une catholique traditionaliste qui fait subir à son fils ses croyances, c’est ignoble ! »
Lorsque les gens disent qu’il vaut mieux l’euthanasier car « personne ne voudrait vivre dans une telle situation », ces gens prétendent eux-aussi imposer leurs convictions à Vincent. Dès lors que Vincent Lambert ne peut pas exprimer sa volonté, les actions entreprises sur lui sont nécessairement imposées, que ce soit la vie ou la mort. Pourquoi un païen qui ne croit pas en la vie après la mort serait-il plus légitime à imposer ses croyances à Vincent ? Il est tout à fait absurde que certains se moquent des croyances des parents de Vincent Lambert tout en assénant qu’une fois mort,
Vincent Lambert ne souffrira plus. Qu’en savent-ils ? À titre de rappel historique, seules les autorités catholiques s’opposèrent au programme hitlérien "Aktion T4" mis en place en 1939 dans le but d’éliminer les personnes handicapées. Selon le texte du décret du programme, le but était « d'accorder une mort miséricordieuse aux malades qui, selon les critères humains, auront été déclarés incurables après un examen critique de leur état de santé. »
« Quels coûts pour la sécurité sociale ! »[du Reich?]
Oui. Mais fonder un jugement sur la vie ou la mort d’une personne sur des considérations financières est dangereux… pour tout le monde. Que dire de toutes les personnes plongées dans le coma ? Celles atteintes de cancers graves, foudroyants ou lents ? Doit-on fixer un âge au-delà duquel vivre reviendrait trop cher à la société et justifierait qu’on euthanasie une personne trop âgée ? Cela va à l'encontre du principe fondamental de notre système de sécurité sociale : contribuer à hauteur de ses moyens et être soigné en fonction de ses besoins.
Dans le cas particulier de Vincent Lambert, celui-ci ayant eu son accident de voiture sur le trajet entre son domicile et son lieu de travail, il est financièrement pris en charge par la compagnie d’assurance de son employeur, et non véritablement « par nos impôts ». De plus, les frais journaliers dans un établissement spécialisé qui lui serait adapté sont deux à trois fois moindres que dans un service de soins palliatifs. Le transfert demandé depuis des années par ses parents réduirait d'autant les coûts.
« L’ONU n’a rien à voir dans cette affaire. Les exigences de ses comités n’ont aucune valeur en France »
Les Nations unies sont une organisation internationale que les États ont eux-mêmes créée et acceptée en ratifiant un traité constitutif. Or, selon notre Constitution et la jurisprudence du Conseil constitutionnel, les traités internationaux ratifiés par la France s’intègrent à notre ordre légal et ont une force juridique supérieure à la loi.
En l’espèce, dès lors que la France a signé la Convention relative aux droits des personnes handicapées et son Protocol facultatif, elle s’est engagée, selon notre propre droit national, à reconnaître « que les personnes handicapées ont le droit de jouir du meilleur état de santé possible sans discrimination fondée sur le handicap » et à « Empêche[r] tout refus discriminatoire de fournir des soins ou services médicaux ou des aliments ou des liquides en raison d’un handicap. »
dès lors que les parents de Vincent Lambert ne sont pas parvenus à faire reconnaître le droit à la vie et aux soins de leur fils handicapé en France, il était légitime pour eux de saisir le Comité des droits des personnes handicapées chargé de veiller à la bonne application de ladite convention par la France.
La France a l'obligation de respecter la demande de ce Comité de ne pas faire mourir Vincent Lambert car elle a reconnu à ce Comité le pouvoir de
prescrire les « mesures conservatoires nécessaires pour éviter qu'un dommage irréparable ne soit causé aux victimes de la violation présumée ». En outre, le respect de ces mesures est une condition à l'effectivité du droit de recours individuel auprès des cette instance.
« Toutes ces années de procédures, c’est de l’acharnement judiciaire en plus de l’acharnement médical ! »
Personne ne s’engage dans des années de procédures judiciaires par plaisir et cela n’était ni ce qu’imaginaient, ni ce que voulaient les parents de Vincent Lambert.
Aux sources de cette volonté de protéger la vie de leur fils, il y a évidemment et en premier lieu l’amour parental ; mais il y a aussi la conviction de subir une injustice, d’œuvrer pour la protection de principes et de protéger la vie d’autres personnes qui sont dans des situations similaires à celle de Vincent Lambert.
C’est l’injustice et le scandale qui justifient moralement d’engager tous les recours possibles selon le droit français et international : voir leur fils handicapé être, pour ce motif, assoiffé et affamé jusqu’à la mort par décision d’un médecin et de la justice.
L’acharnement n’est ni thérapeutique, ni judiciaire, il est thanatologique
Maintenant un rappel historique : le 1er septembre on va fêter les 80 ans de lacréation officielle de l'AktionT4 Lisez bien bien des termes procédures et motivations de l'époque rappellent la notre ! (et n'oubliez pas le lien avec les valeurs du capitalisme ! de plus en plus preignant) :
Il y a 80 ans débutait l’opération Aktion T4
C’est à l’été 1939, il y a quatre-vingt ans presque jour pour jour, qu’a été mis en place par le IIIe Reich le dispositif Aktion T4 destiné à éliminer les handicapés physiques et mentaux d’Allemagne.
Si le début officiel de l’opération est le 1er septembre, au commencement de la guerre, la décision avait été prise antérieurement et il est vraisemblable que son exécution a été préparée tout au long de l’été. L’opération, pilotée par la Chancellerie, a reçu le nom de code T 4 parce que l’ administration dédiée a été installée dans une villa confisquée à une famille juive au 4 de la Tiergartenstrasse (rue du Jardin zoologique), une des avenues les plus huppées de Berlin.
C’est là que fut recrutée une équipe restreinte dirigée par Philip Bouhler, destinée à réaliser cette élimination, en liaison étroite avec le Dr Karl Brandt, médecin personnel du führer[1].
Dès avant son accession au pouvoir, Hitler avait ce projet en tête. Il découlait de son idéologie préconisant l’élimination des faibles et des tarés, à la fois pour améliorer la race et pour débarrasser le pays de la charge des improductifs. Il ne fallait pas trembler pour le faire car, selon lui, le monde appartenait aux forts aptes à surmonter les sentiments de pitié. Cela n’a cependant pas empêché Hitler de déclarer que l’opération visait à infliger « une mort miséricordieuse » à des gens dont la vie ne valait pas la peine d’être vécue. Entre les deux-guerres, l’idée d’une élimination des tarés, portée par la philosophie de Nietzsche[2], était déjà dans l’air du temps, non seulement en Allemagne mais aussi dans le monde anglo-saxon.
Dès 1933, les nazis avaient pris des mesures d’« hygiène raciale » : stérilisation obligatoire des porteurs de maladies héréditaires, légalisation de l’avortement dans le cas où un de parents en serait affligé. Mais pour des raisons politiques, Hitler préféra attendre la guerre pour aller plus loin tout en préparant les esprits par une propagande insistant sur le coût social des handicapés. A partir de 1938, la même propagande prétendit que des parents de handicapés de plus en plus nombreux écrivaient pour demander leur élimination.
La difficulté à surmonter était la résistance prévisible des familles et des Eglises. Tout se fit donc dans le secret. Si l’opération débuta avec la guerre de Pologne, c’est que le régime espérait que le bruit médiatique lié à la déclaration de guerre la couvrirait.
On commença par les enfants : dès le 18 août , une circulaire imposa aux médecins et sages-femmes de déclarer (de nos jours on dit "signaler" !) ceux qui naissaient handicapés. Les parents étaient informés de leur transfert dans des unités dispensant des soins spécialisés ; ils devaient signer une autorisation. L’opération fut très vite étendue aux adultes : furent particulièrement visés les psychopathes, les alcooliques, les infirmes, les faibles d’esprit, les incurables. L’inaptitude au travail était le critère déterminant (l'absence de "d'efficience" quoi !).
L’opération se fit hors des hôpitaux psychiatriques, dans six centres spécialisés, dont des châteaux isolés, répartis sur tout le territoire. Les malades y étaient amenés dans des autobus gris aux vitres opaques de la société d’Etat Gekrat. Ignorant leur destination, les familles recevaient plus tard un faire-part de décès pour cause d’épidémie et quelquefois une urne funéraire.
La majorité du corps médical était au courant comme l’a montré le procès des médecins qui s’est tenu à Nuremberg en 1948. Après avoir essayé les piqures de morphine ou scopolamine, l’administration du T4 jugea plus expéditif le recours au monoxyde de carbone, suivi d’une crémation.
On estime que, pendant les deux années (août 1939-août 1941) où elle se déroula, l’opération fit environ 75 000 victimes. Mais l’élimination des malades mentaux ou enfants handicapés se poursuivit hors de l’opération T4, dépassant au total les 100 000 victimes.
Le secret presque absolu dans lequel elle fut menée fit que les réactions furent lentes. D’autant qu’en régime totalitaire, les familles sont isolées les unes des autres et sous surveillance policière. Quand la chose filtra, des pasteurs protestants et de prêtres catholiques écrivirent à la Chancellerie. La protestation la plus spectaculaire fut celle de Mgr Clemens-August von Galen, évêque de Munster qui, à l’été 1941, saisit la justice et interpella avec véhémence le gouvernement du haut de sa chaire. Que l’opération ait cessé peu après est-il l’effet de cette interpellation ou cette phase de l’opération était-elle terminée ? Toujours est-il que l’évêque fit mis au secret et plusieurs de ses prêtres déportés.
Une autre raison de mettre fin à l’ opération, était qu’à l’automne 1941, après l’invasion de la Russie, commençait l’élimination des juifs, d’abord par balle dans les terres occupées de l’ Union soviétique puis, de manière plus « scientifique », dans des camps. L’Aktion T4 aura servi en quelque sorte de terrain d’expérimentation à cette autre opération, prévue elle aussi depuis longtemps. Le personnel qui avait été recruté pour éliminer les malades mentaux fut en partie transféré dans les camps d’extermination.
(source : Roland HUREAUX - agrégé d’histoire)
[1] Condamné à mort à Nüremberg ; Bouhler s’est suicidé en prison. [2] Le philosophe a à plusieurs reprises recommandé l’élimination des tarés.
à 1H 1min : "mais dans quelle société de barbares vivons-nous ? Jusqu'à quand on va accepter ça ? Jusqu'à quand on va accepter de vivre dans une société de barbares dans laquelle la fumée des crématoires ne gêne plus personne ! Tout le monde habite à côté des crématoires, on sent la fumée, et tout le monde dort paisiblement la nuit." "on sera responsables devant nos enfants, nos petits-enfants,
et c'etait pout pouvoir déclencher un projet général, la preuve, regardez maintenant après vincent Lambert ils passent à Tafida Raqeeb:
Et maintenant quand on pense aux ordres qui ont été donnés dans les EHPAD, on se dit que d'habituer l'opinion publique à l'euthanasie c'était vraiment un axe de leur plan d'action (en anglais ça se dit "agenda", mais pas en français !)
oui c'est une mise à mort, et les gens qui ont donné ces ordres devraient être pendus, comme les nazis à Nüremberg
eh oui ! dans un monde normal il y aurait un grand proès de Nüremberg pour ces politiques, et aussi pour les médias (propriétés de 9 milliardaires, on a compris leurs interêts de classe !). Mais Bertholt Brecht le sait : le fascisme est là pour empêcher ce qui se serait passé dans un monde normal ! c'en était le but dans les années 20 et 30, ça l'est encore à notre époque.