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07/02/2022

le monde de Mafalda

Mafalda, cette merveilleuse série du dessinateur Quino, n'est pas seulement un enchantement  de  psychologie et de fantaisie, c'est un lieu où, ces sketches ont été dessinés en Argentine entre 1964 et 1972, où quand on observe bien de dessin en dessin on retrouve la VIE NORMALE,

du temps où les trottoirs étaient recouverts de carrés de ciment blancs, et non d'une couche de macadam noir.

un monde où on envoyait les enfants faire les courses, (et où on allait acheter le lait en emportant sous le bras une bouteille vide pour la faire remplir),

un monde avec les immeubles d'habitation dont la porte d'entrée est toujours ouverte et sans digicode,

des épiceries (et qui livrent chez les gens !) et non pas des supermarchés loin de tout (même si en rêve Manolito, dont l'esprit mercantile et borné contient le germe du libéral-fascisme actuel)

les femmes maitresses de maison qui s'occupent de chez elles tranquillement.

des enfants qui peuvent passer des heures à se promener et jouer librement dans les rues, https://www.legrandsoir.info/un-regard-sur-le-modele-cuba... les parcs publics, où ils voient se dérouler la vie, les gens, les choses,
et qui peuvent s'asseoir sur le trottoir, les pieds dans le caniveau sans qu'une meute de flics et d'assistantes sociales se jettent sur eux et les menottent en les accusant d'«incivilités» !
et regarder les flaques, les feuilles qui tombent sans qu'une caméra de vidéo-surveillance ne les fiche comme comportement suspect et anormal !
un monde où les enfants peuvent rester assis sur la bordure du trottoir à rêvasser et regarder le monde
où les hommes avaient le droit de fumer
et les enfants de se rendre visite les uns chez les autres librement (et à pied et tout seuls)
une vie quoi ! un monde civilisé et normal ….

 

Heureusement qu'on peut encore lire ces bandes dessinées des décennies passées (Boule et Bill aussi), sinon certains ne sauraient même pas ce que c'est qu'une société libre humaine détendue et conviviale ! Mais si ! ça peut exister, ça a existé ! Parce que maintenant il n'y a plus que les "vieux", ceux qui ont connu les années 50 et 60 qui se souviennent du temps où la France était encore un pays libre. Et d’à quel point en chauffant petit à petit la marmite on peut cuire les grenouilles.  En tous cas je rappelle que c’est François Asselineau et lui seul qui a débusqué le programme INDECT, personne d’autre ne le dénonce ! Et les caméras de vidéo-surveillance, il n’y a que lui qui parle de les interdire. et les rfid. Et l’omniprésence des plans vigipirate depuis des années, histoire d’habituer les gens à une surveillance exacerbée et constante ; fabriquer des zombies bien soumis, qui trouvent ça normal ! et ne se scandalisent même plus.
(et tu vois maintenant que j'avais raison de dénoncer ces comportements !!!! maintenant il y a bien pire, mais c'est l'acceptation passive par les collabos indignes depuis trois décennies qui a rendu tout ça possible !! souvenez-vous de l'adage latin "principiis obsta" et "finem respices" !!! ce sont eux les responsables honte à eux !! comprendront-ils maintenant ???)

même les USA étaient un pays libre et convivial autrefois, du temps évoqué, déjà avec nostalgie, par Ray Bradbury

Enfant-Fille-et-la-corde-a-sauter-par-Lester-Talkington-en-1950.jpg

04/02/2022

la mentalité suisse

La Suisse, la pays du "propre en ordre", a-t-elle été un élève modèle en matière d'eugénisme?

Il semble bien que oui. Selon Thomas Huonker, la Suisse a été en 1928 le premier pays d'Europe à imiter la pratique américaine. Laquelle s'étend ensuite à des pays comme la Suède, la Norvège, puis l'Allemagne.

Si les études manquent encore à ce sujet, on remarque une tendance plus marquée à l'eugénisme dans les pays, ou dans les cantons protestants.

l''article complet :

http://www.swissinfo.ch/fre/quand-la-suisse-d%C3%A9cidait...

C'est pas tout ! Savez-vous que en 1935 on a proposé en réferendum de changer la Constitution de la Suisse et d'en faire un régime nazi ? Nazi ! en 1935, donc ceux qui l'ont proposé et ceux qui ont voté pour savaient très bien ce que ça voulait dire, ils avaient le modèle sous leurs yeux à quelques kilomètre de chez eux

Comment ça se fait que les manuels d'histoire n'en parlent pas ?? très bonne question non ?

Bien sûr, cette initiative a été repoussée, mais il s'est quand-même trouvé 27 % des suisses qui ont voté pour ! Je rappelle que le maximum de soutien que le parti nazi aie reçu en Allemagne-même dans des élections libres fut, au printemps 1932, de 32%. (Certains souhaitaient même l'intégration de la Suisse dans le Grand Reich !)

Ca laisse rêveur sur la mentalité suisse non ?

J'ai été frappé de voir à plusieurs reprises à Dinan (Bretagne en 2014) des automobilistes, alors que j'étais immobile sur le trottoir, donc même pas « engagé sur la chaussée », et même quand c'était en dehors d'un passage clouté ! s'arrêter pour me laisser traverser ! J'avais déjà remarqué qu'en Bretagne les gens me paraissaient plus aimables que dans les autres régions de France (les pires bien sûr étant ceux du midi ! Et encore pire les suisses !! surtout les suisses alémaniques ! En Suisse si jamais je me serais ainsi trouvé prêt à traverser non seulement ils ne se seraient pas arrêtés mais m'aurait lancé d’un air méchant que c'est rigoureusement interdit de traverser en-dehors des clous !)
Je n'ai pas mémoire d'avoir vu ça dans le Nord, ou alors très exceptionnellement.

 

et les sites internet etc partout la mentalité suisse frappe par son côté merdeux, coincé et insociable

ça se confirme ! lisez ces impressions d'une suissesse (d'une suissesse) :

"Je ne sais pas si ça vous fait ça à vous aussi, mais ça fait 2 semaines que je suis rentrée de vacances et franchement, je me sens de moins en moins à l'aise ici  ...

Je me sens constamment stressée, même quand je marche je me rends compte que je le fait vite à tel point de me retrouver essoufflée.. J'ai l'impression que les gens sont méchants et sans cesse stressés... ce n'est pas de leur faute mais ne trouvez-vous pas que c'est pesant de vivre ici ?

Impossible de parler avec des gens qui ne vous connaissent pas souvent ils vous prennent pour une tarée et sourires et gentillesses sont inexistants et je ne parle pas de l'entre-aide.

Les gens sont très individualistes.... la preuve, il y a qql mois, je rentrais chez moi après un week end a la montagne et j'entendais depuis mon appartement un homme crier, je suis immédiatement descendue, ce pauvre homme âgé n'arrivait pas à se lever des toilettes et cela faisait 2 heures (?!) qu'il crait... quand je suis sortie de son appart après que les ambulances soient arrivées, la voisine d'en face (EN FACE) m'a juste dit : ... c’est enfin terminé ce boucan, y en avait marre de l'entendre crier comme un cheval...!" mais mince quoi, depuis 2 heures tu l'écoutes et t'appelle pas la police ?!

Attention, je ne parle pas des suisses, mais de l'ensemble des gens qui y résident.. j'ai l'impression que les gens sont tellement sous pression qu'ils en oublient de vivre...

La vie en Suisse est trop chère, surtout pour la classe moyenne... moi j'ai beaucoup de peine à m'en sortir et je n'ai pas papa ou maman pour m'aider. Ici c'est un pays soit pour les riches soit pour les pauvres car j'ai pu le voir dans ma profession, si on est riche, y a jamais de problème normal, et si on est pauvre, on a les aides de partout, (mais on les espionne, par des détectives privés !!! et l'immense majorité des suisses viennent de voter un référendum en faveur de cette pratique !!!!) mais les gens de la classe moyenne sont tjs à la limite par rapport au barême de l'état et paye tout plus cher que les autres et sont ceux qui ne s'en sortent pas ! on a pu le constater avec mes collègues...

Impôts, assurances et loyers sans cesses en augmentation sauf les salaires qui sont tjs au minimum et encore c'est au bon vouloir de notre fameux patron...cette personne qui a notre "porte monnaie" entre ses mains..

J'ai travaillé une année avec des avocats et me suis apercue qu'ils sont de loin les gens les plus malhonnêtes que j'ai pu connaître. Ca été la pire année de ma vie, ces gens m'ont fait bcp de mal, ils m ont bcp rabaissé car je n'avais qu'un CFC... oui désolé je n'ai pu faire que ça dans ma situation !

Il y a aucune reconnaissance nulle part... pourtant je pense être une bonne citoyenne... je n'aime pas la méchanceté gratuite mais j'ai l'impression qu'ici les gens passent leur temps à se manger et se cracher dessus...

Il y a pas de fêtes, rien pour réunir les gens... En Espagne par exemple malgré la crise... les gens sont fort gentils, serviable et surtout... accueillant... et font la fête pour seul motif de se réunir et rencontrer des gens... je regrette de ne pas être aussi à l'aise dans mon pays que je ne l'étais là bas... c'est bien dommage de se méfier autant les uns des autres... j'y vais assez souvent la bas et c'est toujours la meme chose... le dernier jour est un supplice... on a juste envie de se perdre pour rater l'avion et perdre son chemin...j'ai bcp voyagé et je reviens souvent avec ce sentiment.. peut être est-ce un signe pour un départ définitif ?

car je trouve qu'en suisse on vit pour travailler (oui, c’est la conséquence du protestantisme, lisez Jean Ziegler il explique bien ça) et non le contraire...

pire, savez-vous que le dernier pays qui ait encore brûlé vif les plus longtemps des "sorcières" fut, vous avez deviné ! la Suisse (et plus précisément la Suisse alémanique ....) jusqu'au milieu du XVIIIè sièclle, et c'est également en Suisse que ça a le plus tourné à la psychose de masse, "dans certains villages il ne restait presque plus une femme en vie" nous apprend Carl Jung https://ruclip.com/video/4BWY7gbw-Tk/vid%C3%A9o.html

 

 

24/01/2022

Quel sale pays !

les peuples anglo-saxons, et non les allemands, sont ceux qui ont les tendances  les plus fascistes et les plus inhumaines

https://elsa-de-romeu.com/2020/09/24/australie-nouvelle-zelande-le-futur-totalitaire-que-les-globalistes-veulent-pour-le-monde-entier-est-devoile/

on est en pleine dictature digne de l’ex U.R.S.S :

http://www.egaliteetreconciliation.fr/David-Cameron-menac...

 

ça y est Pierre Jovanovic fait le constat :

"On va tout droit vers le fascisme, et la Grande-Bretagne est bien parti ! " http://rim953.fr/?p=1656

Orwell l'avait prévu :

http://lesakerfrancophone.net/le-chef-de-scotland-yard-ve...

 ENCORE PIRE !
http://www.zigonet.com/sexe/il-ne-peut-plus-avoir-de-rapp...
le virus totalitaire, qu'on nous a fait croire être la caractéristique du communisme spoviétique, a maintenant déménagé dans les pays anlgo-saxons, et en pire, en encore plus sadique, plus névrotique, plus inquisitorial et prud'hommesque, encore plus con, encore plus vicieux, encore plus totalitaire (et sournois)

(Et il faut savoir que la situation en Grande-Bretagne est pire qu'en France, la privatisation, les syndicats brisés, l'education PAYANTE! qui endette les jeunes à vie, les divisions de classe y ont  toujours été plus tranchées qu'en France (Disraeli ne disait-il pas qu'en Angleterre les riches et les pauvres étaient comme deux peuples, même le vocabulaire n'est pas le même), et les cameras de vidéos-surveillante plus omniprésentes qu'elle ne l'ont jamais été sous Staline, et des dérives de plus en plus épouvantables (exemple)

regardez où ils sont dans le classement des pays les plus violateurs des garanties et libertés individuelles :

http://namhenderson.files.wordpress.com/2007/09/surveilla...

déjà il y a qq années le leader du parti Social-Démocrate anglais avait été forcé de démissionner de son poste "avec effet immédiat", mon Dieu pour quelle trahison de son parti? pour quel crime? - simplement parce qu'un reportage avait établi qu'il avait  "un amour démesuré pour les boissons alcoolisées" ! (comme Churchill soit dit en passant )
On parie que dans la prochaine génération il suffira d'avoir un amour démesuré pour les gâteaux et les viandes en sauce pour être contraint à la démission?!
Quel pays! Mon Dieu quel pays !  Pas étonnant que c'est le pays au monde avec la plus forte proportion de caméras de vidéo-surveillance! (et avez-vous vu le film "Ladybird" de Ken Loach? très dur, mais c'est un document éclairant sur la barbarie d'une certaine conception de la société ....)
Tous ces pays issus du puritanisme calviniste (souvenez-vous quel était le rigorisme du contrôle social imposé par les pasteurs en Ecosse au XVII ème siècle) , qui sont les pères du politically correcteness  (et du libéral-fascisme)  ont toujours un germe de totalitarisme bien-pensant qui tourne à la névrose.
(Et n'oublions pas que l'eugénisme et ses mesures de stérilisation forcée  des malades taxés d'héréditaires, y compris les vagabonds et les "bons à rien" (sic) est né aux Etat-Unis: le premier Etat à l'avoir légiféré fut l'Indiana en 1907, 30 autres suivirent, et les stérilisations (60.000 au total) ne s'arrètèrent même pas après la découverte du nazisme, mais seulement peu à peu vers 1960, en même temps qu'en Suède, autre pays protestant et puritain.)


Remarquez, ça plus le cynisme capitaliste, l'Angleterre est en train d'inventer des lois de plus en plus sadiques éhontées et scandaleuses pour prendre de plus en plus d'argent aŭ pauvres :
http://panier-de-crabes.over-blog.com/article-34663135-6....


remarquez les Etat-uniens c'est pas mieux, forcément, les anglais leur dérive actuelle ça leur vient des USA , donc aŭ USA ça se passe comme ça :

http://www.taringa.net/posts/info/2393857/Condenas-delira...
Et, le comble : Dans l'Arkansas, une maison où une gamine de 10 ans, comme des millions de gamines, refuse de prendre sa douche et d'aller au lit, et elle se met à hurler. La mère appelle la police. Un policier débarque, et menace la gamine qui hurle encore plus. Le policier sort le Taser et électrocute l'adolescente ! (parce que à notre époque à 10 ans ils sont adolescents, en 1935 à 14 ans on était encore un enfant) Vous n'y croyez pas, eh bien lisez l'article de Nick Allen du Telegraph "Taser gun used on 10-year-old girl who 'refused to take shower'", Lequel est le plus stupide, la mère, le policier ou le système américain? 

L'image “http://www.noslibertes.org/images/Prison3.jpg” ne peut être affichée car elle contient des erreurs.
dernier article en date de John Pilger, qui n’est pas tendre (à juste titre) avec le gouvernement et l’hypocrisie ambiante outre-manche quant aux émeutes récentes de Londres et d’ailleurs.
Quand nous regardons l’évolution de la société anglaise (plus que britannique en fait), nous ne pouvons nous empêcher de penser que si « 1984″ d’Orwell résonne de plus en plus fort à nos oreilles… V for Vendetta n’est plus véritablement une fiction en ce qui concerne l’Angleterre. Les Etats-Unis sont dedans depuis 2001, ne pensons jamais que cela n’arrive qu’aux autres, avec nos politiques de « droite » comme de « gauche » et nos larbins de l’empire anglo-américain au pouvoir en France, nous y arrivons à grands pas… Le fascisme global transnational est en marche !
 
– Résistance 71 –
 
Par un beau jour de printemps, flânant dans le sud de Londres, j’entendîs des voix autoritaires derrière moi. Un fourgon de police vomît une meute de six ou plus policiers, qui me poussèrent de côté. Ils entourèrent un jeune noir, qui comme moi, marchait sans but apparent. Ils se l’approprièrent. Ils fouillèrent ses poches, regardèrent dans ses chaussures, inspectèrent ses dents. Leur forfaiterie accomplie, ils le laissèrent partir avec les aboiements d’usage qu’il y aurait une prochaine fois.
Pour un jeune au fond de la pyramide de l’aisance, du patronage et de la pauvreté, ceci est la Grande-Bretagne moderne; pour ces noirs, marginalisés  et  sans espoir, il n’y a jamais de surprise. Leur relation avec l’autorité est à l’image de leur obsolescence de jeunes adultes, La moitié de tous les noirs britanniques entre 18 et 24 ans sont sans emploi, ceci est le résultat d’une politique délibérée depuis que Margaret Thatcher supervisa le plus gros transfert de richesses du bas vers le haut de la société dans l’histoire britannique. Oubliez la télé plasma, ceci fut une forme de pillage panoramique.
Ainsi est la vérité de la “société malade” de David Cameron, de manière notable, sa partie la plus malade, la plus criminelle, la poche la plus vile: le deux kilomètres carré et demi de la City de Londres où, avec l’accord politique, les banques et les super-riches ont ruiné l’économie britannique et les vies de millions de gens. Et souvenez-vous de la famine du bengale en 1770, de la guerre de l'opium, des coolies,( et lisez le roman d'Amita Ghosn "un océan de pavots"). Ceci devient três três vite immentionable alors que nous succombons plus avant à la propagande auparavant décrite par le leader d’opposition noir américain Malcom X qui disait: “Si vous ne faites pas attention, les journaux vont vous faire haïr les oppressés et aimer les gens qui les oppressent.”
....
Personne ne fît la connexion pourtant évidente entre la plus grande inégalité sociale depuis que des archives sont tenues, une police qui abuse de manière routinière une frange de la population et tue en toute impunité, et l’état permanent de guerre coloniale avec une course à l’armement à soutenir: l’apogée de la violence.
Cela ne semble pas du tout être une coïncidence que le jour d’avant la rage de Cameron contre “de faux droits de l’Homme”, des avions de l’OTAN, qui incluent des avions britanniques, envoyés par ce mème Cameron, massacrèrent 85 civils libyens dans une ville paisible de Libye comme il fut rapporté. C’étaient des gens dans leurs maisons, des enfants dans leur école. Regardez l’homme de la BBC faisant de son mieux pour réfuter les preuves apportées par ses yeux, de la même manière que la classe politicienne et ses médias ont cherché à discréditer les preuves d’un bain de sang de civils en Irak aussi épique que le génocide du Rwanda. Qui sont les criminels ?
un système hypocrite fondé sur l’égoïsme et la rapacité auquel un grand nombre de spéculateurs parasitiques, d’entrepreneurs louches, de Murdochites, de députés corrompus et de flics ripoux, auquel les journaputes se sont dévoués corps et âme.
Le 4 Août, la journaliste de la BBC Fiona Armstrong, connue sous le vocable de Lady MacGregor de MacGregor, interrogea l’écrivain Darcus Howe, qui osa utiliser le mot interdit: “insurrection”,
Armstrong: “Vous dites Mr Howe que vous n’êtes pas choqué par les émeutes, ceci veut-il dire que vous encouragez ce qu’il s’est passé?”
Howe: “Bien sûr que non… Ce qui me crée le plus de soucis est le jeune homme Mark Duggan dont la police a fait sauter la tête.
Armstrong: “Mr Howe, vous devez attendre que l’enquête dise ce genre de chose. Nous ne savons pas ce qu’il s’est passé, ce qui est arrivé à Mr Duggan, nous devons attendre les résultats de l’enquête et le rapport de police.”
Le 8 Août, la commission des plaintes indépendante de la police a reconnu qu’il n’y avait “aucune preuve” que Duggan a tiré un coup de feu contre la police. Duggan a été abattu par des projectiles au visage le 4 Août par un policier armé d’un pistolet mitrailleur Heckler & Koch MP5, la même arme que la Grande-Bretagne vend aux dictatures qui les utilisent contre leurs propres peuples. J’ai personnellement vu le résultat au Timor oriental où les troupes indonésiennes ont également fait sauter les têtes de gens avec cette arme dernier cri suppléée à cette armée à la fois par les gouvernemens conservateurs et travaillistes britanniques.
Un témoin occulaire du meurtre de Duggan a dit au journal Evening Standard, “trois ou quatre policiers le maintenaient au sol et le menaçaient de leurs armes. Ils avaient vraiment de gros flingues et ensuite j’ai entendu quatre coup de feu très bruyants. La police lui a tiré dessus alors qu’il était au sol.”
Ceci est également comment la police de Londres a abattu Jean Charles Menezes sur le quai d’une station de métro. Il y eut également Robert Stanley et Ian Tomlinson, et bien d’autres. La police a menti à propos du meurtre de Duggan, comme elle a menti à propos des autres. Depuis 1998, plus de 330 personnes sont mortes alors qu’elles étaient détenues par la police et aucun policier n’a été condamné. Où est la colère politique et médiatique à propos de cette “culture de la peur” ?
“Marrant aussi”, a noté la journaliste Mélanie MacFadyean, “que la police ne fît rien alors que de sérieux pillages étaient en cours, certainement pas à cause du fait qu’ils voulaient que tout le monde voit ce qu’il se passe quand on fait des coupes franches dans les forces de police ?”
Mais, les balais sont arrivés. Dans un âge ou la relation publique fait office d’information, la campagne de nettoyage, même si bien pensée par certains, peut aussi servir le gouvernement et les médias pour glisser sous le paillasson les notions d’inégalité sociale et de désespoir, avec de joyeux volontaires armés de leur balai tout neuf et étiquetté “londoniens” comme si les autres étaient des martiens. L’autrement absent Boris Johnson a agité son nouveau balai. Un autre Etonien, l’ancien attaché de relations publiques d’un pilleur de biens et actuellement premier ministre, mouillé jusqu’au cou dans le Hackgate, apprécierait sûrement.
 
Par John Pilger
Url de l’article original: http://www.johnpilger.com/articles/damn-it-or-fear-it-the...
~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~
 
Encore plus horrible et plus démentiel:

UNE AUTORISATION DU GOUVERNEMENT EST REQUISE POUR QUE LES PARENTS EMBRASSENT LES ENFANTS

Un quart de la population adulte fait face à un test obligatoire 'anti-pédophile' dans une vaste expansion des mesures de 'la protection de l'enfance'
Paul Joseph Watson
Prisonplanet
Jeudi 26 juin 2008
Un vaste ensemble de nouvelles politiques qui va être introduit au Royaume-Uni obligera les parents à obtenir une autorisation du gouvernement pour l'embrasser leurs enfants ou les emmener à la piscine publique, mesures qui 'empoisonnent' les relations entre les générations, selon le respecté sociologue et professeur Frank Furedi.

Un quart de l'ensemble de la population adulte du Royaume-Uni sera obligé de passer un contrôle d’Etat, opéré par une agence gouvernementale récemment formée, afin de pouvoir avoir un contact physique avec des enfants de moins de 16 ans en public - y compris leurs propres enfants.

« A partir de l'année prochaine, la nouvelle Independent Safeguarding Authority (Autorité indépendante de sauvegarde) obligera tout adulte qui entre en contact avec des enfants ou des adultes vulnérables par l'intermédiaire de son travail ou dans les groupes de bénévoles d’être approuvé », selon un article du London Telegraph.

Dans le rapport d’un think tank, le professeur Furedi a mis en évidence les cas où des contrôles gouvernementaux sont d'ores et déjà requis par les écoles et d'autres organisations afin que les parents puissent simplement interagir avec leurs propres enfants en public.

Dans un exemple, une femme n’avait pas pu dire au revoir à sa fille en l’embrassant au départ d’une excursion scolaire parce qu'elle n'avait pas été contrôlée.

Dans un autre, une mère fut surprise qu’un autre parent lui dise qu'elle et son mari étaient « surveillés par la CRB » lorsque leurs enfants jouaient ensemble.

Dans un troisième exemple, un groupe de mères a donné à un père des 'regards suspicieux' lorsqu’il a pris son enfant qui nageait seul, le tout en 'une scène digne d’un western, lorsque la pièce devient silencieuse et qu’une Tumbleweed traverse l'avant-plan'.

 

(alors vous voyez bien que les horreurs covidesques actuelle sont en fait la continuation d'un phénomène fasciste qui est en route depuis trente ans. Je l'ai dénoncé mais personne ne voulait s'en rendre compte !!! ils s'en rendent compte maintenant ?

22/01/2022

Ruse de la nature

Dans les années 50 (et avant) et 60 il était coutumier de dire, que en fait l'amour, les sentiments, les douces paroles, la tendresse et tout ça n'étaient qu'une ruse de la nature pour attirer les gens à ce qui était le vrai but : faire crac-crac au lit !

Mais, si on y pense bien, en fait c'est beaucoup plus l'inverse ! Le désir sexuel, l'excitation, le plaisir, ne sont finalement que des ruses de la nature (ou de Dieu ?) pour vaincre les retenues et créer entre les gens (en dépit des indifférences ou caractères zizanieurs de certaines !) l'attirance, la tendresse, l'intimité et l'attachement.

 

20/01/2022

ce qu'est devenu l'art moderne

L’Art au service du globalisme MONDIALISME [ en réalité et en français : de la spéculation capitaliste ! ]

Patrice-Hans Perrier - Samedi 11 Janvier 2020

Quand les ressources de l'état sont confisquées par une mafia culturelle

Nous reprenons le fil de la discussion sur la place des arts et culture dans le processus de domination de l’ORDO globaliste. Suite à l’incendie de Notre-Dame de Paris, plusieurs s’interrogent sur l’avenir de notre patrimoine culturel dans un contexte où les industries du divertissement sont en voie de reprendre totalement la main. Il y a péril en la demeure puisque les édiles parisiens, entièrement cautionnés par le gouvernement Macron, souhaitent profiter du grand chantier de reconstruction de la cathédrale gothique pour implanter un parc touristique au cœur de l’île de la Cité.

En outre, le président français a prévu un délai de cinq années pour rebâtir une partie de l’œuvre colossale qui avait mis plus de deux siècles pour aboutir. Une pléiade d’experts se sont élevés contre ce projet marathon et certains y voient une volonté politique de faire coïncider l’aboutissement du chantier avec la venue des Jeux olympiques dans la capitale française. Qui plus est, plusieurs cabinets d’architectes internationaux se sont bousculés au portillon afin de présenter des esquisses de projets futuristes complètement irrespectueux de l’histoire et du patrimoine historique en présence. C’est un peu comme s’il fallait faire de Notre-Dame de Paris et de l’ensemble de l’île de la Cité une nouvelle destination prestigieuse dans le circuit des « nouvelles cités intelligentes » du futur
(je suis de plus en plus persuadé que cet incendie n’est pas un accident mais que des agents du «Service Action » y ont mis le feu.)
Faire tabula rasa

Si la cathédrale pouvait constituer le cœur de la cité médiévale, elle ne représente plus qu’un centre touristique névralgique capable de drainer 14 millions de visiteurs par année. (avec les profits y afférents pour les « groupes »c. àd.lesmontagesjuridiques etfinanciers desinvestisseurs capitalistes) Il convient donc de « réhabiliter » ce monument historique en accord avec une vision de la mise en marché des « villes intelligentes » qui table sur l’« attractivité » afin de gagner des parts de marché. Puisque la cité est, désormais, livrée aux appétences des marchés financiers à l’international. Privée de sa légendaire flèche qui ressemblait à un gigantesque cadran solaire, le vaisseau de pierre ne sera jamais plus un lieu d’enseignement, de recueillement ou de pèlerinage. Nos décideurs politiques souhaitent plutôt en faire une sorte de sarcophage touristique au service d’une nouvelle mise en marché de l’île de la Cité
L’Art au service de la cité

Et, pourtant, l’écrivain Daniel-Rops nous avait déjà parlé de la naissance et de destinée des grandes cathédrales gothiques en des termes édifiants : « Il est arrivé quelquefois dans l’histoire – peu souvent – qu’une société humaine s’exprimât tout entière en quelques monuments parfaits et privilégiés, qu’elle sût faire tenir en des œuvres léguées aux générations futures tout ce qu’elle portait en soi de vigueur créatrice, de spiritualité profonde, de possibilités techniques et de talents. De telles fleurs ne jaillissent et n’atteignent à leur épanouissement que lorsque la sève est pure et abondante, c’est-à-dire lorsque la société est féconde, harmonieuse, et qu’il existe dans sa masse cet instinct de création, cette ferveur spirituelle qui, portant l’homme mortel au-dessus de lui-même, le poussent à s’éterniser. De telles œuvres ne naissent point par hasard, mais des patiences obscures et des grandes espérances, en un moment favorable du temps ».

La cité au service des promoteurs

Il semblerait que, de nos jours, seuls les centres d’achats et autres furoncles de l’architecture vedette soient conviés à ce remodelage des centres historiques d’une cité qui devient un parc d’attractions pour touristes et technocrates de la nouvelle « économie numérique » (et vigiles privés ! ne pas oublier la logique des vigiles privés, qui est au centre de la société actuelle!) . Les populations autochtones pauvres ayant été repoussées vers les marges périurbaines (comme l’ont été à Amiens les habitants du quartier saint-Leu, etc.) , les monuments et les places qui formaient les fils génériques de ce tissu urbain ont été rasés ou mis sous verre. Et, c’est ce qui pourrait bien attendre Notre-Dame alors que l’essentiel des reliques urbaines ne sert plus qu’à appâter les consommateurs apatrides (c’est quoi ces conneries ? qu’ils soient « patrides ou apatrides on s’en fout! ) qui ont remplacé les anciens citoyens.

Nous l’avions déjà dit : « Que reste-t-il des cultures d’élite ou populaires, à une époque où les « produits culturels » tiennent lieu d’AVATARS qui servent à promouvoir des stratégies de marketing ou, pour dire les choses autrement, des campagnes d’endoctrinement des citoyens devenus consommateurs. De la notion d’industrie culturelle, c’est le premier terme qui retient notre attention en cela que la culture ne représente plus qu’une production étant prise en charge par une industrie au service de la plus-value matérielle ou symbolique captée par les forces dominantes du marché ». Or, dans un contexte où, pour l’essentiel, nos centres-villes ont été évidés de leurs populations, alors que le tissu urbain était détruit par les conquêtes des promoteurs immobiliers, les autorités en place ont pris le parti de conserver sous vide quelques chefs-d’œuvre architecturaux susceptibles de constituer des pôles d’attraction. [pôles d'attraction générant des profits financiers pour l'industriei touristique !]

L’Art contemporain comme monnaie d’échange

C’est avec ces considérations en tête que nous avons entrepris un entretien privé avec Aude de Kerros, prétextant la sortie de son dernier ouvrage portant sur les enjeux actuels de l’Art contemporain international (ACI). « ART CONTEMPORAIN – MANIPULATION ET GÉOPOLITIQUE » ressemble à un véritable guide qui nous aide à saisir les enjeux d’un marché de l’art qui n’a de comptes à rendre qu’à une poignée d’investisseurs très fortunés.

Auteur, graveur et peintre, notre interlocutrice partage avec nous cette appréhension concernant la mainmise des milieux financiers sur un monde culturel qui est mis au pas afin de servir des objectifs de rentabilité à court terme et d’endoctrinement idéologique. Elle met la table pour une étude en profondeur des processus qui participent à la mondialisation des transactions qui émaillent un marché de l’art qui ressemble à s’y méprendre à une institution « capable de battre monnaie », dans un contexte où l’art ne sert plus que de « lettre de change ». Si l’Art contemporain est devenu un vecteur de soft power au service de toutes les CIA de ce monde, Aude de Kerros nous prévient que c’est Marcel Duchamp et les autres épigones de l’Art conceptuel qui ont permis de dématérialiser l’art pour en faire une « valeur faciale » ou valeur nominale.

Il fallait bien dématérialiser l’art afin de pouvoir en faire une monnaie d’échange. C’est chose faite selon l’auteure qui estime que les dadaïstes, Marcel Duchamp et le POP ART américain ont permis aux opérateurs des marchés internationaux – et toutes les agences de renseignement – de pousser le marché de l’art dans les derniers retranchements de la fétichisation de l’objet et de sa prise en charge par la mise en marché de sa « valeur nominale ». Ainsi, toujours selon elle, « le conceptualisme n’est plus de l’art au sens commun du terme, qu’il soit moderne ou non : en art, la forme exprime le sens et les critères de jugement sont d’abord esthétiques. L’adoption du conceptualisme comme avant-garde unique autant que définitive a un avantage déterminant : avec ce nouvel instrument, la CIA n’est plus limitée par le silence des images, mais peut aussi s’approprier et détourner les discours révolutionnaires : critique sociale, art pour tous, table rase, etc., et, ainsi, créer un leurre qui serait fatal aux intellectuels de gauche ».

Détruire la notion d’oeuvre

Bien de l’eau a coulé sous les ponts depuis l’époque où la CIA utilisait l’expression lyrique d’un Jackson Pollock ou le POP ART d’un Robert Rauschenberg comme armes de destruction massive contre le réalisme socialiste à l’honneur au sein des pays de l’ancien empire soviétique. Aude de Kerros passe au peigne fin l’époque charnière qui va de l’après-guerre jusqu’à mai 68 pour nous faire prendre conscience que les épigones de l’art conceptuel et du dadaïsme ont servi les visées impérialistes du marché de l’art new-yorkais et des services secrets américains. Profitant des Trente Glorieuses – les années de prospérité économique qui couvrent les années 1950-60-70 – les financiers anglo-saxons ont créé un nouvel avatar afin de monopoliser le marché de l’art contemporain et toutes ses déclinaisons. Ainsi, le marchand d’art américain Leo Castelli aurait manipulé – toujours si l’on se fie à l’analyse de Mme de Kerros – le critique d’art parisien Pierre Restany pour investir, tel un cheval de Troie, la Ville lumière. Disciple de la pensée de Marcel Duchamp, le théoricien Restany n’avait pas hésité à clamer dans son manifeste de 1960 que « La peinture est morte ! », un mot d’ordre qui convenait parfaitement aux financiers de Wall Street désireux de mettre la main sur le marché émergeant de l’Art contemporain.

Aude de Kerros souligne que « la promotion par la CIA de l’expressionnisme abstrait en Europe n’a pas provoqué le choc attendu ». De fait, après la chute des régimes fascistes et nazis, et dans le sillage de la lente décomposition du bloc soviétique, l’esthétique néoréaliste n’avait plus la cote dans une Europe où tous les courants esthétiques se remettaient à circuler le plus librement du monde. Et, partant de là, la nouvelle peinture POP et l’expression lyrique ne constituaient pas vraiment de quoi jeter par terre les artistes du Vieux Continent. Si les croûtes de Jackson Pollock avaient bien suscité quelques mouvements de curiosité vers la fin des années 1950, l’armada du POP ART ne parviendra pas à faire de grands dommages dans les milieux de l’art parisien et ailleurs en Europe.

Toutefois, c’est la pensé de Marcel Duchamp qui parviendra à s’infiltrer par tous les pores d’un système de l’art désormais prisonnier des marchés anglo-saxons. Ainsi, « à partir de 1960, les stratégies de Castelli [manifestement adoubé par les marchés de Wall Street et les services secrets américains] et le travail de la CIA commencent à produire des résultats. Le choix d’une nouvelle avant-garde ayant pour théorie fondatrice le conceptualisme de Marcel Duchamp est efficace. Sa doxa affirme : « Est de l’art tout ce que l’artiste dit être de l’art ». (et qui dit que xest un artiste ? Les réseaux ? Les copains et les coquins ausein du marché des milliardaires ? Puisque il n’y a plus de critère objectif, qui crée le critére - de fait - ? lecopinage lesréseaux et le fric, je ne vois plus que ça) Créer – poursuit Aude de Kerros – c’est concevoir et déclarer. L’œuvre c’est le concept ! La forme, l’objet matériel, n’est que la partie négligeable de l’œuvre, un artisanat que l’on peut sous-traiter. Duchamp définissait cette pratique conceptuelle comme un « non-art », ses artistes comme des « anarchistes ». Cette fois-ci, la rupture est totale : si l’art conceptuel est déclaré être de « l’art » à la place de « l’art » c’est que le mot « art » a changé de définition. Les critères, jusque-là esthétiques, de concordance entre fond et forme, étaient compréhensibles, partageables, discutables. Ils permettaient une évaluation à laquelle on pouvait adhérer ou non, en sachant pourquoi. Ce n’est plus le cas avec l’art conceptuel ».

Il s’agit d’un curieux paradoxe, le fait qu’un pseudo artiste parisien, Marcel Duchamp, ait fourni le cadre conceptuel idéal aux marchés new-yorkais ! Désormais, dans le sillage de la révolution libérale-libertaire, une nouvelle définition de l’art est née sur les prémisses des extravagances jetées à la face du monde par les dadaïstes, les conceptuels et leurs épigones de la « mort de l’art ».

Une dématérialisation de l’art

Aude de Kerros s’est confiée à nous dans le cadre d’un entretien qui portait justement sur cette dématérialisation de l’art au profit des nouveaux investisseurs dans le monde de la culture dite « contemporaine ». Interrogée au sujet de cette manipulation des produits de l’art contemporain, elle s’emporte : « Aujourd’hui, par exemple, j’ai appris qu’un artiste japonais ayant produit une sorte de petit graffiti – tout à fait simpliste – a réussi à en tirer des millions sur le marché. Alors on se pose la question qui tue : « quel est le rapport entre la chose et le prix ? » La réponse est compliquée. Précisons qu’au départ, il y a peut-être 200 personnes qui jouent ensemble au sein d’un cercle fermé d’investisseurs privilégiés. Ils forment donc un réseau et c’est eux qui décident de la valeur « faciale » des œuvres qu’ils font circuler à travers leur cercle respectif. Après, vous avez le cercle des médias, parce qu’il faut bien rendre les choses visibles et vous retrouvez, à la toute fin de la chaîne, les institutions d’état qui achètent.(et qui sont donc les vaches à lait du truc, qui se résume, comme la « dette » publique, à une opération de pompage de l’argent public au profit d’un petit cercle d’affairistes !)Profitant de sa position d’initié, le collectionneur privilégié, avant même que l’œuvre n’ait été mise sur le marché, a déjà acheté le produit. Il y a tous les cercles concentriques des milieux de diffusion et de vente de l’art – galeries, biennales, ports francs, etc. – et, en dernier lieu, vous retrouvez les institutions publiques. Ce sont des joueurs qui jouent à un jeu financier dont le moteur est constitué de ce réseau de collectionneurs privilégiés qui sont capables d’investir entre 1 million et 100 millions pour une œuvre, comme ça, sans problème ! »

Un système endogamique

On comprendra que, dans un tel contexte, une poignée de membres de l’hyperclasse soit en mesure d’influencer le « haut marché de l’art » et de phagocyter les institutions de l’état afin que les œuvres de leurs poulains y soient exposées et, partant, gagnent de la valeur sur le marché de la spéculation culturelle. C’est sans doute ce qui explique la raison pourquoi les institutions publiques complices ne veulent pas se départir de tout ce système de cotation, de mise en valeur et de promotion d’un art contemporain qui table sur des valeurs ontologiques résolument conceptuelles. Les produits artistiques, ainsi voulus, ne seront plus jugés sur cette base anthropologique qui, toujours selon Mme de Kerros, « fait que tout le monde recherche la beauté et l’harmonie au gré de son expérience avec l’œuvre d’art ».

Ainsi, quoi de plus commode que d’utiliser un système conceptuel fonctionnant sur le mode des vases communicants : de la conception de l’œuvre jusqu’à son évaluation, tout le discours qui sert à positionner l’art est construit à partir de valences qui n’ont rien à voir avec la valeur intrinsèque du « produit ». L’œuvre d’art sera, conséquemment, jugée sur la foi d’un système de valeurs abstraites, conceptuelles, qui peuvent être manipulées à volonté par les médias, le marché de l’art ou les spéculateurs. L’œuvre d’art à l’intérieur de ce système artificiel n’a donc plus aucune valeur en soi. C’est le discours sur l’art qui détermine la valeur

(bon, ça a toujours été ça) et permet de fixer des cotations par la suite et, a fortiori, de justifier la monopolisation des institutions publiques pour diffuser les « produits » de ce marché artificiel qui fonctionne sur le mode de la boucle de rétroaction.

Et, parlant de ce mode de fonctionnement, notre interlocutrice précise que « ces gens-là sont actifs au sein d’un système endogamique et, s’il s’interrompt, tout s’effondre. C’est justement parce que c’est un système fermé que la valeur peut être produite. Mais, contre toute attente, ils devront subir les inconvénients des avantages. Le circuit du milieu intellectuel produisant une critique sur l’art est lié à l’état. Il s’agit donc d’un système qui se protège avec des gardiens, des barrières, et les bénéficiaires (TOUT dans la société contemporaine capitaliste fonctionne sur ce schéma! Dans notre vie quotidienne nous nous y heurtons en permanence, le but de la dictature capitaliste totalitaire et fliquée actuelle est de tout enfermer dans un système comme ça) de ce système en vase clos sont désespérés parce que désormais, grâce à la circulation de l’information sur le net, on peut raconter leurs bêtises ».

L’art a perdu son âme

Nous avions déjà précisé, dans un article s’intitulant La culture POP : art pornographique par excellence, que « des ready-made de Marcel Duchamp jusqu’aux troupeaux de badauds dénudés pour être photographiés par Spencer Tunick, en passant par l’arte povera des années 1970-80, le monde de l’art occidental se contente de mettre en scène des rogatons qui témoignent de l’emprise incontestable et incontestée du marketing. L’art contemporain tient lieu de processus de récupération des produits de la culture du marketing, puisque la culture n’est plus un espace de représentation au service de la quête spirituelle d’une collectivité donnée ».

Justement, à propos de cette spiritualité qui a été chassée du monde de l’art, Aude de Kerros estime que « l’effondrement de la notion du transcendant et de la spiritualité fait qu’il y a un vide considérable et c’est l’argent qui a fini par combler ce vide. L’argent n’a pas d’âme : c’est un bon serviteur et un mauvais maître. C’est l’effondrement de la civilisation qui est lié à l’effondrement de la spiritualité – et de la notion de la transcendance – qui fait que l’occident est si mal en point, parce que c’est une histoire occidentale cette affaire d’art contemporain ».

La réalité du globalisme de l’anglophonisation de la France !!!

Prenant acte d’un globalisme qui n’est pas qu’une idéologie (mais le stade ultime du capitalisme), mais pouvant correspondre à certains aspects de la réalité, Mme de Kerros nous aide à conclure notre article au moyen d’un passage révélateur contenu dans son dernier essai. En effet, faisant contre mauvaise fortune bon cœur, elle nous prévient que « cette contrainte occidentale d’une idéologie de l’art, certes très adaptée aux affaires, peut-elle s’exercer encore longtemps sur un marché aujourd’hui mondialisé (ah ! En fin on parle en français!)? Si les intérêts d’argent sont aisément partageables à l’échelle planétaire, la culture ne s’impose pas si facilement … Artistes et amateurs originaires d’autres continents ne sont peut-être pas prêts à renoncer entièrement à leurs aspirations […] »

S’il est vrai que plusieurs sociétés « émergentes » n’ont toujours pas été entièrement contaminées par ce système et cette vision mercantile de l’art, il n’en demeure pas moins que l’ubiquité d’Internet sert surtout à promouvoir des idéologies qui reposent, d’abord et avant tout, sur la « société du spectacle ». En outre, les derniers rescapés de la classe moyenne mourante (justement ils sont protégés ! ils achètent de belles oeuvres qu’ils découvrent dans les expositions locales de « peintres du dimanche ») n’ont pas toujours les moyens de se payer des œuvres d’art « abordables », dans un contexte où la fiscalité favorise surtout les gros investisseurs. On connaît la chanson au chapitre des paradis fiscaux et des autres voies de contournement qui sont l’apanage de l’hyperclasse.

Aude de Kerros nous confiait, en fin d’entretien, avoir espoir que les sites qui font la promotion des « artistes dissidents » pourront aider à mettre en place des marchés parallèles, pour que l’authentique création soit en mesure de se faire connaître. Encore faudrait-il que les internautes s’intéressent à autre chose qu’à la promotion de leur ego ou à cette fuite en avant qui caractérisent les communications postmodernes.

Optimiste, certes, Aude de Kerros demeure réaliste en affirmant que « le krach financier de 2008 a marqué un tournant dans le domaine de l’appréciation de l’Art contemporain. Le public mondial a assisté au grand spectacle de la dématérialisation des titres. D’évidence, les produits financiers dérivés, dits « sécurisés » n’avaient pas de contrepartie matérielle, ne reposaient pas sur une richesse tangible. Malgré le fait que le marché financier n’a pas entraîné le marché de l’art dans sa chute, l’analogie fut faite avec ce qui était devenu très semblable à un produit financier : l’Art contemporain ».

Un hubris démoniaque

Si ce système de l’Art contemporain a permis de dématérialiser les fondamentaux de l’expression artistique, c’est peut-être parce que nos élites ont été submergées par une hubris emportant tout sur son passage. Aude de Kerros nous aide à comprendre les ficelles d’un système de reproduction culturelle qui sert à « monétiser » des œuvres conceptuelles et, du même coup, à faire la promotion de messages qui font le jeu d’un soft power globaliste. Toutefois, elle n’épilogue pas trop sur cette dégénérescence qui est le propre des civilisations qui se meurent. Mis à part quelques perles, comme celle-ci : « L’art contemporain, dont le but proclamé est transgression, subversion, table rase, a eu depuis le début de son existence la nécessité impérieuse d’être rapidement muséifié pour exister. On peut dire que le musée d’Art contemporain est consubstantiel à cette redéfinition de l’art désormais séculaire ». (c’est à dire que c’est un « art » artificiel que personne ne mettrait chez soi ?!)

In fine, si l’on suit le fil de la discussion, force-nous est de constater que les institutions publiques, prêtant main-forte à ce marché artificiel, ont contribué à sanctuariser un air du temps qui flirte dangereusement avec le nihilisme le plus complet. Rajoutons-en un peu, même si la coupe est pleine. Le terrible incendie qui a dévasté toute la charpente de Notre-Dame de Paris était-il le fruit d’un malencontreux hasard (bien sûr que non ! c’était trop providentiel pour Macron, et si on étudie les détails c’est patent) ou bien l’œuvre d’un mauvais génie de la performance in situ ? (non, des technciens du « service Action ») Toujours est-il que la reconstruction de ce trésor du patrimoine pourrait servir à reconvertir l’auguste cathédrale en musée … d’Art contemporain. On pourrait y reproduire, par hologrammes, des épisodes de cet incendie dantesque et, chemin faisant, célébrer la victoire d’une culture qui a définitivement enterré la spiritualité.

Un livre incontournable à lire :
« ART CONTEMPORAIN – MANIPULATION ET GÉOPOLITIQUE »
Par Aude de Kerros, aux Éditions Eyrolles, Paris, 2019, ISBN : 978-2-212-57302-2

Site de l’auteur :

patricehansperrier.wordpress.com

19/01/2022

Les français vivent à présent dans une insécurité qui à tout instant peut leur tomber dessus - terrifiant !!

de pire en pire ! vous pouvez maintenant, y compris si vous êtes un vieux monsieur tranquille "France profonde" vous retrouver menotté au poste pour une question de stationnement interdit. (Remarquez que maintenant même les vieux automobilistes électeurs de Sarko se trouvent victimes des bavures policières leur servira peut-être de leçon !     leur fera peu-être comprendre ce que ressentent les jeunes, ces jeunes qu'ils se complaisent tant à mépriser et diaboliser, comme autrefois on faisait avec les nègres des colonies dont on approuvait les souffrances ! peut-être que ça les rendra moins cons et moins crier à la répression et ne plus voter si facilement pour les adeptes du Libéral-Fascisme      maintenant il faudrait que ce soient les vieilles "taties-Danielles" électrices à Sarko qui se trouvent traitées comme des chiens et des criminelles, ça leur ferait du bien.

La vraie insécurité la voilà :

29 mai 2008, 18 h, Yves s’attable à un café de Barbès, à Paris. Il a rendez-vous avec un ami plus doué que lui en informatique car son ordinateur portable est en panne. Brusquement, un homme (en civil) fond sur lui. "Tu le vends? C’est un portable volé?" Surprise d’Yves. "Vous êtes qui??"  "Police! Tes papiers!" Suggérant à l’homme qui vient de sortir sa carte de police de le vouvoyer, Yves s’étonne: "Vous n’avez trouvé que moi dans le quartier?" Un deuxième homme se rue lui. Yves se retrouve plaqué au sol et reçoit des coups de pied. Il reste au sol pendant plusieurs minutes, un genou sur la nuque, un policier sur les reins. Arrivée d’une voiture de police en renfort. Dans le fourgon, Yves, qui a auparavant décliné sa profession, demande à ce qu’on desserre les menottes. Refus des policiers. L’un d’eux lui répond : "On n’en a rien à foutre que tu sois prof de philo!" C’est pendant le transport dans le fourgon qu’Yves, halluciné par la violence de ce qui lui arrive, se laisse aller à traiter les policiers de "milice de Sarko!" Accueilli au commissariat par un "Ah, le prof de philo qui n’aime pas la police !" il est retenu en garde à vue pendant 24 heures et écope d’une plainte pour outrage et rébellion.

Jean L. tient à garder l'anonymat. Mardi 1er avril 2008, ce polytechnicien de 56 ans résidant dans le 16e arrondissement de Paris, consultant en management, va chercher sa fille âgée de 9 ans à la sortie de l'école, en voiture. Il s'engage dans une rue bouchée par un camion. Se rendant compte qu'il ne sera pas à l'heure, il empoigne alors son téléphone portable pour prévenir sa mère."J'avais bien vu qu'il y avait une escouade de policiers en train de verbaliser des voitures mal garées, raconte-t-il. Mais j'étais arrêté et une policière m'a sauté dessus en hurlant". Jean L.n'insiste pas, il lâche son téléphone et repart dans une autre direction."Au bout de quelques mètres, dit-il, je me suis aperçu que la policière courait à côté. Derrière moi, des policiers ont jailli de leur véhicule. Ils m'ont braqué une arme sur le front. J'ai eu peur, j'ai bloqué les portières." Mal lui en a pris. La policière fait voler en éclats sa vitre avant-gauche avec sa matraque. Jean L.est saisi, plaqué au sol, menotté et placé en garde à vue 24 heures."On était deux, dans une cellule de 3,50 m sur 3,50 m. Le problème, c'est qu'au fil de la nuit, on était douze..." Son procès a eu lieu début janvier. Il est accusé d'avoir téléphoné au volant, de refus d'obtempérer, de délit de fuite et de rébellion.

Jean-Claude Lenoir, 57 ans, vice-président de Salam, une association venant en aide aux migrants à Calais, est placé en garde à vue le 8 novembre 2008, lors d'une vaste interpellation de clandestins sur le port. Les policiers, qui lui ont "constamment aboyé dessus, faisaient les questions et les réponses, ne voulaient pas noter ce que je disais." Libéré à l'issue des 24 heures, M. Lenoir est convoqué au tribunal, le 25 février, pour "outrage à agents".

Pierre Lauret, 51 ans professeur de philosophie, fait l'expérience de la garde à vue le 16 décembre 2008.Alors qu'il embarque à bord d'un avion pour se rendre à un congrès à Kinshasa (République démocratique du Congo), il demande à des policiers la raison pour laquelle un passager africain est menotté. Les autres passagers de l'avion protestent également. M. Lauret est débarqué et placé en garde à vue : menottage, fouille au corps, audition, mise en cellule. Il doit comparaître le 4 mars devant le tribunal correctionnel pour "opposition à une mesure de reconduite à la frontière et entrave à la circulation d'un aéronef".

Esthéticienne à Beaumont, dans le Puy-de-Dôme, Joëlle Béchar, 58 ans, passe plus de huit heures en garde à vue lundi 1er décembre 2008. Ancienne Meilleure ouvrière de France, cette femme est traumatisée d'avoir été "entièrement déshabillée", puis placée toute une journée "comme une criminelle" dans une pièce empestant "l'urine et le vomi". Pour avoir utilisé une technique dépilatoire interdite, et à la suite de la plainte d'une cliente victime de brûlures, Mme Béchar est l'objet d'une enquête pour "blessures involontaires" et "exercice illégal de la médecine". La garde à vue s'imposait-elle ? Le parquet de Clermont-Ferrand convient avoir "mis fin à la garde à vue dès qu'il en a eu connaissance".

Le 19 janvier, Pascal Besuelle, professeur d'histoire à Cherbourg et militant à la Fédération syndicale unitaire (FSU), est convoqué "pour affaire le concernant" au commissariat.A peine arrivé, un policier lui signifie qu'il est en garde à vue et transféré dans la foulée à Saint-Lô, où il doit être entendu.Le 12 janvier, lors de la venue dans cette ville du président de la République, M.Besuelle avait participé à une manifestation émaillée d'incidents avec les forces de l'ordre. Aucune charge n'a été retenue contre lui, mais M.Besuelle a passé une partie de la journée dans les locaux de la police. En 2008, 577 816 personnes, résidantes en France et âgées de plus de 13 ans, ont ainsi entendu un officier de police judiciaire leur notifier leurs droits : "Vous êtes en garde à vue. Vous pouvez appeler un membre de votre famille et demander à voir un avocat." Le nombre des gardés à vue ne cesse de croître. Il a enregistré une hausse de près de 55 % en huit ans. Au cours des douze derniers mois, c'est 1 % de la population qui a été placée sous ce régime de contrainte, pour lequel les policiers répondent d'objectifs de performance chiffrés. Jeunes habitants des quartiers difficiles, infirmières, syndicalistes, agriculteurs, étrangers en situation irrégulière, enseignants... la garde à vue concerne toutes les catégories de la population. Tout contrevenant ou suspect peut être placé sous ce statut, les (nombreux) conducteurs contrôlés avec un taux d'alcoolémie égal ou supérieur à 0,8 % au même titre que les trafiquants de stupéfiants.

Dans la période récente, les militants associatifs et syndicaux, mais aussi les journalistes, ont été visés.Le 28 novembre 2008, le placement au dépôt du Palais de justice de Paris (sans pour autant être sous le statut de la garde à vue) de l'ancien directeur de Libération, Vittorio de Filippis, dans une affaire de diffamation, a provoqué un vif débat. Le 5 décembre 2007, le journaliste Guillaume Dasquié avait subi 36 heures de garde à vue au siège de la direction centrale du renseignement intérieur, à Levallois-Perret (Hauts-de-Seine), et avait été pressé de révéler ses sources. Un article sur Al-Qaida publié dans Le Monde le 17 avril 2007 lui a valu d'être interpellé à son domicile."(A) 8 h 20, coups de sonnette à la porte, a-t-il raconté (Le Monde du 27 décembre 2007)."Direction de la surveillance du territoire, vous êtes en garde à vue, compromission de la sécurité nationale"." Cette privation de liberté procède de la décision d'un officier de police judiciaire dès lors qu'existent, selon lui, "une ou plusieurs raisons plausibles de soupçonner que (ces personnes aient) commis ou tenté de commettre une infraction".Tels sont les mots de l'article 63 du code de procédure pénale.La garde à vue peut durer 24 heures - c'est le cas de la majorité d'entre elles.Elle peut aller jusqu'à 96 heures dans les affaires considérées d'emblée comme de la criminalité organisée, et même 144 heures en matière de terrorisme.Elle doit être prolongée par le procureur. Assiste-t-on à un excès de zèle généralisé ? Secrétaire générale de FO-Magistrats, vice-procureur au tribunal de Paris, Naïma Rudloff le déplore : "On place plus en garde à vue qu'avant, surtout pour les contentieux à la mode. On a poussé la situation jusqu'à l'absurde." Certains y voient une simple formalité qui permet aux policiers d'instaurer un cadre juridique au moment d'interroger un individu, tout en garantissant des droits à ce dernier."Sûrement pas !", s'indigne l'avocat Matthieu Barbé. Habitué des permanences de nuit au barreau de Paris, celui-ci évoque l'atteinte à la dignité des personnes retenues dans des locaux "crasseux" où les odeurs "de pisse le disputent à celles de vomis".Au commissariat de Versailles, les couvertures qu'on donne aux personnes interpellées "sont couvertes de merde"."Elles n'ont jamais été lavées", affirme cet avocat qui fut élu (UMP) de cette ville. Selon Me Barbé, la garde à vue est "une forme d'enfermement qui vise à exercer des pressions" sur une personne "affaiblie".En témoigne, selon lui, l'exemple de
Jean-Luc Bubert, professeur de physique au collège César-Savart de Saint-Michel (Aisne), retrouvé pendu à son domicile, le 19 septembre 2008.La veille, le père d'un élève de 15 ans avait déposé plainte contre lui pour violence.Convoqué à la gendarmerie, M.Bubert avait été placé en garde à vue pendant toute une journée. Il avait nié les faits avant d'être relâché. Les avocats, appelés dans la première heure, ne disposent d'aucun pouvoir dans ce cadre."L'entretien que nous avons avec le client ne doit pas dépasser trente minutes et ne porte que sur la procédure, explique Me Antoine Aussedat, avocat au barreau de Paris. Nous n'avons pas accès au dossier.

Les personnes que nous rencontrons à cette occasion sont souvent apeurées, perdues. Traumatisées à vie. Elles ne comprennent pas ce qui leur arrive." Philippe Raphaël, énarque, chargé de mission au Conseil d'Etat, témoigne du choc subi. Le 29 juin 2007, il a été placé en garde à vue au commissariat du 5e arrondissement de Paris, à la suite d'une plainte pour harcèlement moral qui lui a valu, depuis, une condamnation. "Je me présente au commissariat, se souvient-il. Le policier m'invective. Après une fouille au corps, on me place en garde à vue dans une cellule, avec du vomi par terre." Comme il se met à saigner du nez, il est envoyé à l'Hôtel-Dieu."J'atterris dans une cellule avec des barreaux, où on me demande de retirer mes vêtements." Peu après son arrivée, il a été mis en examen par une juge d'instruction de permanence."C'était une humiliation, assure son avocat, Me Serge Lewisch. Il était revêtu d'une robe de chambre sale, sans ceinture, en slip."

 

 

NOUVEAU  ce n'est - malheureusement - pas le pire mais c'est une ACTUALITé:
l'animateur de télévision Michael You:  ce matin, Michael s'est exprimé sur Europe 1 et a donné une version des faits bien différente que celle complaisamment diffusé dans la presse et par la police. Il a d'ailleurs décidé de porter plainte auprès de l'Inspection Générale des Services (L'iGS, la police des polices, ndlr) pour coups et blessures car il estime avoir été malmené par les policiers qui l'ont arrêté. Voici ce qui s'est vraiment passé selon lui :
http://www.gala.fr/l_actu/c_est_officiel/ecoutez-_michael...

"Non je ne remontais pas une rue sans casque en sens unique, je déplaçais juste mon scooter devant chez moi. Et non je n'ai absolument pas refusé de présenter mes papiers, il s'avère juste que je ne les avais pas sur moi puisqu'ils étaient chez moi. Et non je n'ai absolument pas violenté un policier mais à mon avis j'ai été confronté à un flic qui était à mon avis plus proche d'un milicien que d'un policier et donc ça a très mal terminé. Je me suis retrouvé la face contre la grille de l'immeuble, les menottes dans le dos, un genou sur la colonne vertébrale avant qu'on me cogne contre le capot de la voiture en me faisant rentrer de dedans. Il a pris ma tête pour la frapper contre la porte de l'ascenseur en me tenant la glotte avec sa main droite alors que j'avais les mains dans le dos menotté. Mais qu'est-ce qui se passe demain si je braque une bijouterie, qu'est-ce qui va m'arriver ? J'ai été traité je vous dis comme si j'étais Mesrine" 

Des centaines de pauvres citoyens de base doivent avoir vécu pareil, ou pire, sans même que la presse en parle, en train en ce moment de crever en silence, traumatisés à vie, licenciés de leur emploi, voire divorcés de leur femme'

 

 Remarquez les étatsuniens vivent carrément sus la menace constante et arbitraire des pires violences de la part des immondes gangsters , non, des "représentants de l'ordre", de la police US : http://www.upwardpost.com/us-news/2015/02/cops-no-knock-r...

 

 

13/01/2022

les inéducables (Michel Terestchenko) katoj kaj humanismo

* les hommes libres et les collabos.png

et des gens qui résistent sur internet dans leurs coins il commence à y en avoir beaucoup,

celui-ci par exemple : "Bonjour!! J’ai 70 ans, et je passe toutes mes journées à rassembler des infos qu’il faut comprendre pour comprendre la guerre mondiale en cours, souvent de 9 heures à 23 heures, avec un repas vite pris !! Par contre j’ai effectivement un bon stimulant des neurones, des cigarillos, car le tabac n’est pas nocif pour tout !! Encore un mensonge à détruire!"

* et ci-dessous un grand homme , d'une grande sagesse et de grande connaissances, l'un des rares à pointer du doigt ce problème, qui est AU CENTRE du projet de Klaus Schwab et des promoteurs de Neom :

et souvenez-vous de la phrase msystéreuse qu'avait découvert Pierre Jovanovic "la marque de la Bête, sans laquelle personne n'aura plus le droit de vendre ni d'acheter" dans l'Apocalypse de Saint Jean

établissements d'enseignement = enfers concentrationnaires - chronique de la France sous régime nazi

Et au milieu des profs et des parents, on assiste à une véritable institutionnalisation de la maltraitance aux enfants qui deviennent de véritables cobayes dans le pif desquels on insère de l’écouvillon à la chaîne sans plus trop de ménagement (sur le mode « y’en a plein qui attendent après toi, arrête de chialer petit con  ! »), ce qui n’est pas sans déclencher quelques saines pulsions de violence…

26/12/2021

viens à la maison


il est mort

25/12/2021

Devoir de mémoire - sansrien

http://sansrien.blogspot.fr/

13/12/2005
Un SDF a été retrouvé mort ce matin dans le XIVe arrondissement de Paris, dans le quartier d'Alésia, selon la police qui ignorent encore les causes du décès. Il avait 55 ans.

29/11/05
Un sans-abri de 54 ans a été retrouvé mort, victime du froid, dans un parking souterrain de Pontoise (Val d'Oise), dans lequel il avait l'habitude de dormir, selon une source policière. L'homme, mort par hypothermie, a été découvert vers 8 heures par une femme qui venait chercher sa voiture.

 27/11/05
Une sans-domicile fixe de 47 ans a été retrouvée morte carbonisée à Perpignan, dans l'incendie de sa tente de fortune. Cette femme avait planté son abri dans un terrain vague de la préfecture des Pyrénées-Orientales. Selon la police, il n'est «pas exclu» qu'elle ait tenté de se chauffer avec un «dispositif de fortune», ce qui aurait entraîné un incendie mortel.

 27/11/05
Un sans-abri, âgé de 45 ans, a été retrouvé mort lundi matin à Paris, rue Cauchy, dans le quinzième arrondissement.

 25/11/05
Le corps d'un homme d'une quarantaine d'années a été retrouvé dans une forêt de Vert-Saint-Denis (Seine-et-Marne) par un promeneur. Son identité reste inconnue. D'après les premiers éléments, il serait étranger, apparemment originaire d'Europe de l'Est.

 25/11/05
Un SDF de 58 ans a été découvert mort d'hypothermie, dans un garage à Calais où il avait l'habitude de s'abriter. Ce local avait été incendié en octobre et n'a pu le protéger du vent.

 24/11/05
Un SDF de 58 ans a été retrouvé mort dans un lieu très isolé, sous un pont où il vivait, à Echirolles, dans la banlieue de Grenoble.

 24/11/05
un SDF de 38 ans a été retrouvé mort frigorifié à la Grande Résie, près de Gray (Haute-Saône) au volant de sa voiture. L'homme avait été expulsé fin octobre, juste avant la trêve hivernale, du logement qu'il occupait. Depuis, il vivait dans sa voiture avec toutes ses affaires.
http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3226,36-715969,...

 20/11/05
Un SDF de 52 ans, a été retrouvé mort, couvert de coups, devant son cabanon de Montigny-lès-Metz (Moselle). L'homme, mort par hypothermie, refusait tout hébergement. Son corps a été découvert par les services communaux qui venaient lui rendre visite, comme ils le faisaient régulièrement à la suite des chutes de neige de la nuit.

28/01/2006
Un SDF est décédé des suites d'un malaise cardiaque samedi matin à Toulouse, apprend-on auprès de la préfecture de la Haute-Garonne. L'homme, âgé de 43 ans et dont l'identité n'a pas été révélée, a été victime d'un malaise sur un trottoir proche du foyer d'hébergementqu'il venait juste de quitter après y avoir passé la nuit.

 28/01/06
Un sans domicile fixe a été découvert mort samedi matin dans une roulotte qu'il occupait illégalement dans la périphérie deCarcassonne (Aude). Il aurait été victime d'une intoxication provoquée par la mise en marche d'un chauffage de fortune.

25/01/06
Un cinquantenaire sans abri est mort de froid dans la nuit de lundi à mardi à Joinville-le-Pont (Val-de-Marne), a-t-on appris auprès de la préfecture de ce département de la banlieue parisienne. Alertés, les secours ont découvert l'homme âgé de 55 ou 56 ans dans une épave de camion, quai de la Marne, alors qu'il était déjà en arrêt cardiaque.

04/01/06
Un SDF de 47 ans a été découvert mort hier à Paris, en pleine rue. L’homme a été pris de malaise près de la place de Clichy (17e). Le décès serait dû à une hémorragie interne et « a priori non lié au froid », précise-t-on de source policière. Une autopsie du corps devait avoir lieu afin de déterminer avec précision les raisons du décès.

 02/01/06
Un septuagénaire sans domicile fixe qui vivait depuis quelques jours dans un box a été découvert mort en fin de matinée dans son abri situé avenue Pierre Brossolette à Montrouge (Hauts-de-Seine), a-t-on appris de source policière. L'homme, de nationalité française et né en 1936 en Angleterre, a été retrouvé dans le box dont il avait les clefs et où il résidait depuis plusieurs jours. Il ne portait qu'un pantalon et un chandail. Les températures étaient légèrement supérieures à zéro lundi dans le département. Les premiers éléments de l'enquête confiée au commissariat de Montrouge suggèrent une mort naturelle

28/12/05
Une RMIste de 52 ans, qui vivait dans le cabanon en bois d'un jardin ouvrier au Mans, est décédée mercredi en raison du froid et de l'alcool, a-t-on appris jeudi de source policière.
"Le froid est à l'origine du décès de cette personne. Elle était très malade, avait des problèmes d'alcoolisme et vivait dans un cabanon de jardin" sans eau ni électricité au Mans, où le thermomètre a affiché -3 degrés dans la nuit de mardi à mercredi, a-t-on précisé de même source. Le corps a été retrouvé sur la balancelle du jardin par le compagnon de la femme, selon la police.

 27/12/05
Un homme sans domicile fixe âgé d'une quarantaine d'années a été retrouvé mort, "vraisemblablement de froid", dans le centre-ville de Lyon, annonce la préfecture.
Une patrouille de police a découvert en milieu d'après-midi l'homme inanimé assis dans sa voiture, stationnée sur un quai de la Saône à proximité de la gare de Perrache.
"L'examen médical pratiqué n'a permis de déceler aucune pathologie cliniquement visible, susceptible d'avoir provoqué le décès. Il apparaît par conséquent que le froid peut être considéré comme la cause probable de la mort", précise la préfecture du Rhône dans un communiqué.
 
20.7.06
19/07/06
La chaleur pourrait être à l'origine de la mort d'un SDF à Saint-Ouen

19/07/06
Les services de l'Institut de veille sanitaire (InVS), ont fait état de la mort mercredi d'un SDF de 39 ans à Bordeaux.

26/12/06
Une femme sans abri de 58 ans, qui vivait sous une tente avec son compagnon, est décédée à l'hôpital de La Rochelle, a-t-on appris auprès de la préfecture.La santé de la victime était fortement dégradée et le froid qui sévit sur La Rochelle a été une circonstance aggravante de son état, a souligné un porte-parole.

26/12/06
Un sans-abri a été trouvé mort dans le centre-ville de Belfort. Né en 1948, l'homme avait sans doute passé la nuit dans la rue. Une enquête médico-légale a été ouverte pour connaître les causes du décès.

 23/12/06
Un homme sans domicile fixe de 66 ans est mort dans le quartier du forum des Halles à Paris, a-t-on appris auprès de la préfecture de police. "Son décès est dû à un arrêt cardiaque et non aux conditions climatiques", a précisé une porte-parole.

14/12/06
Un homme de 51 ans est décédé dans la nuit de mercredi à jeudi dans le camping municipal de Saint-Etienne-de-Baïgorry.

 


 09/12/06
Le corps d'un homme de de 52 ans a été retrouvé à Chevilly-la-Rue, dans le Val-de-Marne par un SDF vivant sous une tente voisine. Selon la police, le froid est la cause probable de la mort.

26/01/2007
Un promeneur a découvert le corps sans vie d'un SDF vers 15h dans un garage désaffecté de la SNCF à Creutzwald (Moselle), apprend-on auprès de la gendarmerie. Le jeune homme de 29 ans a, selon les premières constatations, succombé au froid vif, après avoir été victime d'un malaise. Il lui arrivait de tomber ainsi sans connaissance, mais jusqu'à présent, il avait à chaque fois pu être secouru et hospitalisé. Parfois, il était recueilli par des connaissances puis il retournait à la rue, précisait-on de même source. L'identité du SDF n'est pas communiquée. Une enquête a été ouverte pour établir avec certitude les causes de la mort.

20/01/07
Deux SDF, morts pour des raisons inconnues, ont été retrouvés à Paris et à Gif-sur-Yvette. Le premier, âgé de 35 ans, vivait dans un local de chaufferie dans les sous-sols de l'hôpital de la Pitié-Salpétrière, ce qui exclu un décès lié au froid. Le second, était allongée sur le quai de la gare du RER B dans un abri de voyageurs. Dans les deux cas, une autopsie va être pratiqué pour connaître les raisons exactes du décès.

 20/01/07
Un sans domicile fixe de 60 ans est mort samedi à Valence après avoir été écrasé par un camion de ramassage des ordures ménagères qui n'avait pas remarqué sa présence à proximité du trottoir, sous un tas de cartons.

25/03/07
David 36 ans un SDF originaire du Nord est mort dimanche matin dans une tente du campement des Enfants de Don Quichotte installé sur la plage de Nice, au bout de la promenade des Anglais. Son corps sans vie a été évacué par la police vers midi.

 19/03/07
Un SDF de 28 ans qui dormait sur le campement des Enfants de Don Quichotte à Strasbourg est mort lundi matin, vraisemblablement après ingéré de l'alcool et de la méthadone, a-t-on appris de sources concordantes.
 
26/09/07
Un sans-abri d’une quarantaine d’années a été retrouvé mort mercredi à Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne) dans un cabanon, a-t-on appris de source policière.Le SDF a été découvert en fin de matinée par une personne qui partageait son cabanon. Le corps de l’homme, qui n’avait pas été encore identifié mercredi soir, ne portait pas de trace suspecte. Il a toutefois été transporté à l’institut médico-légal de Paris pour y subir une autopsie, a ajouté la même source.

 17/11/07
UN SDF décédé à Marseille. Il est vraisemblablement mort de froid.

16/11/07
Un homme sans domicile fixe a été retrouvé mort de froid vendredi matin vers 6h30 dans une rue d'Ajaccio

20/12/07
Un SDF a été retrouvé mort place de la Concorde à Paris .La cause du décès de l'homme découvert au centre de la capitale, qui n'avait pas de papiers d'identité sur lui, n'a pas été déterminée dans l'immédiat, a-t-on précisé à la préfecture de police de Paris. Il a été découvert vers 8h40 par des employés des parcs et jardins de la ville de Paris qui ont constaté qu'il n'avait pas de couverture en dépit du froid très vif de ces derniers jours.

 19/12/07
Un SDF de 62 ans a été retrouvé mort dans sa voiture, à l'interieur d'un box automobile dans la ville de Vanves, dans le département des Hauts de Seine.

 18/12/07
Une femme de 45 ans sans domicile fixe a été retrouvée morte tôt ce matin dans un jardin public de Nice.

24/01/2008
Un homme de 43 ans sans domicile fixe a été retrouvé mort ce matin sur un banc à Orléans.
L'homme a été retrouvé allongé sur un banc public situé dans un petit square du quartier La Source.

04/01/08
Un SDF a été retrouvé mort dans la rue à Maisons-Alfort, en région parisienne. L'homme serait visiblement décédé de causes naturelles. Son corps a été découvert entre 2 voitures vers 6h du matin. Agé d'une quarantaine d'années, il était connu par les habitants de la ville comme souffrant de problèmes de santé. Une autopsie devrait être pratiquée pour déterminer les causes exactes du décès.

 27/12/07
Un homme de 64 ans sans domicile fixe a été retrouvé mort, probablement de froid, dans le parking des halles de Sète.

17/02/08
Un homme sans domicile fixe a été retrouvé mort près de la station de métro Louis-Aragon à Villejuif (Val-de-Marne), a-t-on appris de source policière.
Le corps du SDF, âgé de 38 ans, a été retrouvé peu avant midi par des passants aux abords de la station, a ajouté la même source.

2008
estimation pour 2008 : 265 morts

2009
estimation pour 2009 : 358 morts

2010
Estimation depuis le 01/01/10 : 275 morts

27/11/2010

C'est la première victime de l'hiver. Une femme d'une quarantaine d'année a été retrouvée sans vie, dans le centre de Marseille. Elle est morte de froid. La victime a été retrouvée dans un hall d'immeuble du premier arrondissement marseillais par une riveraine.

 29/11/10
Un homme de 78 ans, sans domicile fixe, a été retrouvé mort de froid, lundi 29 novembre après-midi, à l'entrée d'un centre commercial d'Ivry-sur-Seine, dans le Val-de-Marne. "Le décès est probablement dû au froid, mais il faut attendre la confirmation avec une autopsie qui sera pratiquée prochainement", a indiqué la police. Il s'agit de la première mort connue d'un sans-abri en Ile-de-France depuis le début de la vague de froid la semaine dernière.

18/12/10
Un homme sans domicile fixe a été retrouvé  mort dans un immeuble vide du centre de Strasbourg, a-t-on appris auprès de la police et de la municipalité.

 17/12/10
Un SDF, de santé fragile, a été retrouvé sans vie dans un appartement promis à la démolition dans la commune du Cannet (Alpes-Maritimes),

17/12/10
Une femme sans domicile fixe âgée de 40 ans a été retrouvée vendredi matin morte, apparemment de froid, dans un ancien cloître en plein centre de Rennes.Les sapeur-pompiers n'ont été alertés qu'à 9h45 alors que la personne gisait inanimée dans son sac de couchage, dans ce cloître désaffecté situé à l'une des entrées du parc du Thabor.Elle est décédée peu après l'arrivée des secours.

 17/12/10
Un homme sans domicile fixe est mort écrasé dans les Pyrénées-Orientales par les roues d'un camion-benne sous lequel il dormait pour la nuit.

09/12/10
Un sans domicile fixe âgé d'une quarantaine d'années a été retrouvé ce matin mort, apparemment de froid, dans une gare secondaire de La Rochelle, a-t-on appris auprès des pompiers.Les sapeurs-pompiers  ont découvert le corps sans vie dans un abri bus.

 08/12/10
Un homme d'une trentaine d'année, qui avait trouvé refuge dans une tente, tout près de l'ancienne usine , dans la région de Lille, est mort brûlé dans un incendie qui semble avoir été provoqué par un dysfonctionnement de son réchaud de camping.

07/12/10
Un sans domicile fixe de 68 ans a été retrouvé mort, apparemment de froid,  à Coulommiers, en Seine-et-Marne, a-t-on appris de source policière. L'homme, décédé depuis samedi, a été découvert peu avant 11h00 sous l'escalier d'un immeuble, situé près de la gare, a-t-on précisé de même source.

06/12/10
En fin de matinée, à Dunkerque, un  homme d'une cinquantaine d'années a été retrouvé mort, probablement de froid également, dans des toilettes publiques. L'homme a été découvert inanimé par deux autres SDF. Les pompiers ont ensuite tenté de le réanimer, en vain. On ignore depuis quand il se trouvait là et à quand remonte sa mort. Selon plusieurs témoins, son visage était cyanosé au moment où il a été découvert, ce qui pourrait indiquer que sa mort est due à son exposition au froid. Une autopsie doit être pratiquée pour déterminer les causes du décès.

04/12/10
Un sans-abri de 39 ans a été retrouvé mort, probablement de froid, sur un chantier à Savigny-sur-Orge (Essonne), selon la préfecture de l'Essonne. L'homme, selon cette source, a été découvert en début d'après-midi par un des gardiens du chantier, mais sa mort pourrait remonter à plus loin, a précisé la préfecture. Le froid serait à l'origine du décès. L'enquête devra en déterminer les causes exactes. Une autopsie pourrait être envisagée.

03/12/10
Un sans domicile fixe d'une cinquantaine d'années a été retrouvé mort rue de Cambronne, dans le XVème arrondissement de Paris. «Les causes de la mort ne sont pas encore connues», a annoncé la préfecture de police de Paris, interrogée sur un lien entre le décès et les très basses températures enregistrées cette nuit dans la capitale.

31/11/10
Le corps d'un homme de 58 ans a été découvert à Nantes par un promeneur sous un toit de fortune, bricolé par le défunt à proximité d'une quatre-voies. Cet homme, sans domicile fixe, serait décédé depuis plusieurs mois. Les causes du décès et l'identité de l'homme demeurent incertaines.

09/01/11
Deux sans domicile fixe sont morts dans l'incendie d'une maison abandonnée dans le Pas-de-Calais.

02/01/11
Un homme, sans-domicile fixe a été découvert mort dans le forum des Halles à Paris aux alentours de minuit.

25/12/2010
Un homme de 34 ans, sans domicile fixe, est mort, probablement de froid. Découvert dans une rue de Seclin par les policiers du commissariat de Wattignies. Devant la gravité de l'état de la victime, les policiers ont préféré l'amener eux-mêmes au centre hospitalier de Seclin où il est décédé.

 

"tu es vivant aujourd'hui, tu sera mort demain, et encore plus après-demain"