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01/02/2014

à la fin de 2001 plusieurs chercheurs ont disparus, dans des conditions étrange, tous s'occupaient des maladies infectieuses

oui dans les mois qui ont suivi le 11 septembre :

http://www.wikistrike.com/article-hecatombes-de-microbiol...

plusieurs chercheurs réputés, souvent considérés comme des génies et spécialistes des maladies infectieuses ou encore le séquencement d’ADN, ont été trouvés morts ou disparus. En novembre, le Dr. Benito Que, biologiste cellulaire travaillant sur des maladies infectieuses comme le HIV a été retrouvé dans le coma à l’extérieur de son laboratoire à la Faculté de médecine de Miami. Une semaine après, le Dr Don C Wiley, chercheur lui aussi en maladie infectieuses a disparu. Sa voiture de location a été trouvée avec un plein réservoir et le contact enclenché. Sa disparition est faite, dirait-on, pour ressembler à un suicide. Selon ses collègues et sa famille, le Scientifique de Harvard associé à l’Howard Hughes Institut Médical, ne se suiciderait jamais. Ses associés qui avait fait avec lui un diner quelques heures avant sa disparition, ont tous dit qu’il était de bonne humeur et pas déprimé.

Mort et Disparitions de plusieurs chercheurs et scientifiques

Le 23 novembre, docteur Vladimir Pasechnik, le scientifique principal de Biopreparat qui était responsable de la peste aerosol et était le développeur couronné de succès d’armes connues sous le nom de "groupe Novichok" a été trouvé mort. Le Docteur Pasechnik a déserté de l’Union soviétique en 1989 en visitant le Royaume-Uni où il a vécu jusqu’à sa mort en novembre. Il n’y avait aucun rapport des médias sur sa mort pendant une pleine semaine. Il n’y a eu aucune autopsie connue, ni aucun détail sur sa mort en tout cas. Le 10 décembre, le docteur Robert M. Schwartz a été trouvé assassiné dans sa ferme isolée dans Leesberg, le
Docteur Schwartz était un chercheur de séquencement d’ADN bien connu. Il a fondé Virginia Biotechnology Association où il a travaillé sur le séquencement d’ADN dans son laboratoire pendant 15 ans. Il serait rentré dans un sas rempli d’azote.

Les théories vont bon train, mais de toute évidence ces savants ont été éliminés, pourquoi ?  On aimerait savoir quel enjeu secret d'Etat se cache derrière ces éliminations, et Quel Etat ?  

http://www.conspiration.ch

 

07/10/2013

l'agriculture biologique pourrait nourrir toute l'humanité sans problème

http://miiraslimake.over-blog.com/article-3727584.html

 

« On peut nourrir 10 milliards d’humains en bio sans défricher un hectare » 

Résoudre la question alimentaire à l’échelle planétaire, en se passant de l’agriculture conventionnelle ? Ça ressemble à une utopie, mais c’est la réalité de demain, selon certains. Parmi eux, l’agronome Jacques Caplat. Entretien : http://actuwiki.fr/3/alimentation/5519/

14/09/2013

LA VOIE ROYALE EST LA PREVENTION

par conséquent :

http://www.prevention-cancer.net/article-j-attends-toujou...

pour une formation à ce protocole de prévention active :

http://artdevivresain.over-blog.com/article-formation-au-...

Le Docteur Jacques Lacaze, diplômé de cancérologie et ardent défenseur des travaux du Dr Gernez sur le sujet, estime que la seule vraie solution est la prévention. « En effet, un cancer a une vie cachée de 8 ans en moyenne. Durant cette longue période, l’embryon de cancer est très vulnérable, un rien peut le faire capoter. TOUS les spécialistes admettent cette réalité, mais très peu d’entre eux préconisent une politique de prévention. Pourtant, elle est facile à mettre en œuvre. Nous savons que la courbe d’incidence du cancer démarre vers 40 ans, donc qu’un futur cancer s’installe vers 32 ans. L’étude SUVIMAX a montré qu’une simple complémentation en vitamines et sels minéraux suffisait à faire baisser cette incidence de cancers d’environ 30 %. Cette étude a duré 8 ans. Aucune conséquence en politique de santé publique n’en a été tirée. Bien entendu, l’industrie pharmaceutique ne veut pas en entendre parler : on ne scie pas la branche sur laquelle on est assis. Le corps médical est sous la coupe des “grands patrons” qui font la pluie et le beau temps et qui sont grassement rémunérés par cette industrie (cherchez sur internet, vous verrez que la plupart de ces grands patrons émargent d’une façon ou d’une autre à un laboratoire). Et la majorité des médecins de base suivent sans broncher ! Et malheur à ceux qui pensent le contraire et qui contestent chimiothérapie ou vaccins ou antibiothérapie. […] Je dois ajouter, car cela correspond à ma pratique et à des études réelles faites par quelques services spécialisés, de nombreux produits qualifiés de complémentaires ou alternatifs sont efficaces, mais interdits et pourchassés par les autorités aux ordres de l’industrie pharmaceutique. »

Pour en savoir plus, sur la prévention des cancers, vous pouvez consulter le site gernez.asso.fr

et à contrario, voici sur quelles bases se conduit le système médico-parmaceutique actuel …

http://www.jacques-lacaze.com/article-defendons-vraiment-...

15/02/2013

s'il te plait, ours, sois gentil ! laisse-nous te tuer !

James George Frazer (1854-1941) est un des plus fascinant des anthropologues


James George Frazer (1854-1941) est un des plus fascinants des anthropologues, l’œuvre de sa vie « Le Rameau d’Or » est une « Bible » (2000 pages, en deux tomes, dans la collection «Bouquins») des rites populaires, des mythes et des religions comparées, elle se lit, très facilement, comme un roman (je l’ai eu des mois sur ma table de chevet ou carrément sur mon lit !). Il a vécu en cette époque qui ne reviendra plus, l’époque où Alphonse Daudet en 1871 dans un de ses Contes du Lundi : « La dernière Fée » pleurait la disparition des légendes et des croyances populaires devant le froid et rationaliste modernisme. A cette époque-jonction entre celle où personne ne s’intéressait à ce que pratiquait ou pensait le peuple, et où la science anthropologique n’existait pas, et celle où tout cela, que Frazer croyait « éternel », est mort. A la dernière époque où certains de ces rites populaires étaient encore vivants, et où les autres venaient à peine de s’éteindre et que les témoignages de première main pouvaient être rassemblés par d’innombrables voyageurs, mémorialistes, ethnographes, dont les références bibliographiques, par centaines emplissent les pages de notes de son livre. Après ce sera la fin. Van Gennep (lui aussi a écrit un « pavé » là-dessus, passionnant à lire aussi, même si il est moins ambitieŭ) qui est d’une génération plus tard avait déjà du mal pour trouver des traditions françaises vivantes, c’étaient les dernières, maintenant tout est mort, et d’ailleurs on étonnerait bien, même les paysans européens d’aujourd’hui si on leur rappelait toutes les croyances et les rites de leurs ancêtres ( « le coq du blé », vous connaissez ?)

Ici je vous ai recopié un (très court !) passage sur le thème « propitiation d’animaŭ sauvages par les chasseurs ». C’est très intéressant: Tous les sophismes, les artifices, les « tortillages du cul » aŭquels avaient recours les peuples se nourrissant de la viande des ours montrent une chose : que ces chasseurs étaient partagés entre le désir de manger la bonne viande et le sentiment de quelque chose, que la civilisation technicienne à la Zygmunt Baumann (quand le lien entre les atrocités et leur produit final est masqué, quand la chaîne et désolidarisée, « administratisé », et industrialisée, aseptisée, et enfin quand les victimes sont deshumanisées – dans son livre « Modernité et Holocauste ») nous a habitué à oublier, mais dont ils restent clairement ou sourdement conscients : qu’un ours aussi c’est une personne vivante et de tuer une personne vivante c’est toujours un meurtre, alors que faire ? heureusement le jésuitisme et les rites ça aide !

« On peut ainsi retrouver dans toute la partie nord du vieŭ monde, depuis le Détroit de Behring jusqu’à la Laponie, cette vénération qu’a le chasseur pour l’ours qu’il tue et mange régulièrement ; On la retrouve sous des formes analogues dans l’Amérique du Nord. Chez les indiens d’Amérique, une chasse à l’ours était un événement important auquel ils se préparaient par de longs jeunes et des purifications. Avant de partir, ils offraient des sacrifices expiatoires aŭ âmes des ours tués dans les chasses précédentes et les suppliaient d’accorder leur faveur aŭ chasseurs. Quand un chasseur avait tué un ours, il allumait sa pipe, en glissait le bout entre les babines de l‘ours et, soufflant dans le culot, remplissait de fumée la gueule de l’animal. Puis il demandait à l’ours de ne pas se mettre en colère parce qu’il l’avait tué et de ne pas lui nuire dans la suite de la chasse. On faisait rôtir le corps tout entier et on le mangeait sans en laisser un seul morceau. On suspendait à un poteau la tête, après l’avoir peinte en rouge et en bleu, et des orateurs s’adressaient à elle, comblaient l’animal d’éloge. Quand des hommes du clan de l’ours, dans la tribu des Ottawas, tuaient un ours, ils lui offraient un repas de sa propre chair et lui parlaient ainsi : "Ne sois pas fâché contre nous de t’avoir tué. Tu es raisonnable ; tu vois que nos enfants ont faim. Ils t’aiment et veulent te garder dans leur corps. N’est-ce pas une gloire que d’être mangé par les enfants d’un chef ? »

les Assiniboins font des prières à l’ours, lui offrent en sacrifice du tabac, des ceintures et autres objets de valeurs. Ils célèbrent aussi des fêtes en son honneur pour obtenir ses faveurs et vivre en sécurité. Ils gardent souvent pendant plusieurs jours, placée dans un endroit convenable, la tête de l’ours, ornée de morceaŭ d’étoffe rouge, de colliers, de plumes de couleur. Ils lui offrent leur pipe et lui demande la permission de tuer tous les ours qu’ils rencontrent, sans qu’il y ait danger pour eŭ, afin de pouvoir s’oindre le corps avec leur graisse si fine, et se régaler de leur chair délicate.

Un marchand du XVIIIè siècle raconte comment des chasseurs Ojibways couvrirent de caresses affectueuses une ourse qu’il venait de tuer. Ils lui prenait la tête entre les mains, la caressaient, la baisaient, lui demandaient mille fois pardon de cette mort si violente ; ils l’appelaient leur parente, leur grand-mère, et la suppliaient de ne pas les accuser, car c’était un anglais qui l’avait tuée. Après avoir séparé la tête du corps, ils l’ornèrent de tous les colifichets qu’ils purent trouver et la placèrent sur une estrade dans la cabane. Le lendemain, ils allumèrent leurs pipes et en soufflèrent la fumée dans les narines de la bête ; le marchand fut invité à témoigner une semblable marque de respect à l’animal pour racheter le meurtre qu’il avait commis. Avant de faire ripaille avec la chair de l’ours, un orateur prononça un discours dans lequel il déplora la triste nécessité où ils se trouvaient de faire périr les ours leurs amis ; car, sans cela, comment arriveraient-ils à vivre ? Certains indiens des Iles de la Reine Charlotte, près de la côte nord-ouest d’Amérique, avaient l’habitude de marquer d’une rangée de quatre croix rouges la peau des ours, des loutres et autres animaŭ pour apaiser l’esprit de la bête qu’ils venaient de tuer. Quand les indiens Thompsons de la Colombie britannique partaient à la chasse à l’ours, ils s’adressaient parfois à l’animal, le priant de venir se faire tuer. Ils suppliaient l’ours gris de ne pas être en colère contre le chasseur, de ne pas lutter contre lui, mais plutôt d’avoir pitié de lui et de venir s’en remettre à sa merci.

James George Frazer Le Rameau d’Or p. 329-330

 

 

On peut maintenant lire cet ouvrage passionnant et fondamental en ligne !
ici :
www.sacred-texts.com/pag/frazer
et ici un site où on peut le télécharger :
www.gutenberg.org/ebooks/3623

11/02/2013

vous avez dit "Tripoli" ?

LE MONITEUR UNIVERSEL (qui jouait le role de Journal Officiel de 1789 à 1869) rapporte dans sa livraison du 30 septembre 1793 que :

 


 

"Le gouvernement de Tripoli vient de passer en d'autres mains. Le pacha et son fils se faisaient une guerre opiniâtre; ce dernier était à la veille du succès, quand paru une escadre turque avec deux mille hommes de débarquement, commandée par l'ancien wekilargi d'Alger, qui s'est emparé du pays. cet homme s'est rendu odieux à Alger par une cruauté dont les chrétiens surtout ont senti les effets. Il va sans doute exercer dans Tripoli son despotisme habituel, au moyen d'un diplôme du Grand-Seigneur qui l'investit de la souveraineté de cette régence.

 

Le dey de Tunis, justement inquiet de cette expédition, paraît craindre qe le Grand-Seigneur n'ait formé le projet de faire revivre d'anciennes prétentions sur les régences barbaresques de Tunis, d'Alger et de Tripoli. Le dey fonde néanmoins quelque espoir sur le courage de Yusuf, fils du pacha de Tripoli, dant la petite armée a déjà disputé le terrain avec succès au wekilargi."



Bon, remplacez le Grand-Seigneur par Sarko/BHL/OTAN, les inquiétudes du Dey de Tunis par celles de l'Algérie, etc, ça paraît tout à coup bien familier l'histoire de 1793. "c'est toujours aussi pareil".
http://www.dailymotion.com/video/xl3ruz_thierry-meyssan-o...



NB : si vous voulez lire en ligne cette passionnante mine d'infos historique qu'est la réimpression in-extenso du Moniteur National paru durant la Révolution Française, c'est possible ici : OpenOffice ce n'est qu'une merde http://books.google.com/books?id=IJMMAQAAMAAJ

07/02/2013

comment on voyait les chinois en 1930 ?

Article de journal (journal belge, vers 1930 ou avant) signé AJAX, titre de l'article :

"La Chine et les chinois tels qu'ils sont Un livre qui fait du bruit …"
Cet article présente un livre de Aimé-François Legendre http://fr.wikipedia.org/wiki/Aimé-François_Legendre
sans doute s'agit-il du livre : La Civilisation Chinoise moderne, Paris, Payot, 1926 ce qui daterait l'article de la même année ou la suivante.

(Pour ne pas avoir une vision caricaturale du Dr Legendre que cet article idéologique pourrait donner, voici la véritable pensée du véritable Legendre (sensiblement moins caricaturale que celle du perroquet nazi (un futur « rexiste » ?) qui a écrit l'article) : http://classiques.uqac.ca/classiques/legendre_aime_francois/far_west_chinois_setchouen/far_west_chinois_setchouen_preface.html )

extrait : ---------

"La Chine a connu, dans un passé lointain et bien oublié, une brillante civilisation. Mais il n'en existe plus aujourd'hui que des vestiges. Depuis l'époque où le chinois négroïde, le véritable type de la race jaune qui domine en nombre, quoique fortement métissé dans l'empire de Han, a assimilé et étouffé les dernières colonies de races aryennes qui se ruèrent, au temps des grandes invasions, à la conquête d'Asie, l'ancienne civilisation aryenne n'a fait que régresser; le chinois est redevenu lui-même, c'est à dire un être biologiquement inférieur, conservant à peine le souvenir des puissantes organisations de la race blanche à laquelle il s'était frotté sans pouvoir s'en assimiler ni le psychisme ni l'intelligence. D'après M. Legendre les plus beaux types, les plus entreprenants et les plus intelligents qui élèvent encore aujourd'hui la Chine au-dessus des pays primitifs, sont des descendants de ces conquérants d'il y a vingt siècles, fixés par petits groupes en Asie. Et voilà un premier fait ethnographique, que négligent généralement les observateurs superficiels, qui aide à mieux comprendre la civilisation ou plutôt l'absence d'une civilisation chinoise originale.

..............

Peuple primitif et peu évolué, campé aux confins de la barbarie – au sens propre du terme – il y a des milliers d'années d'années que l'intelligence chinoise a atteint son développement maximum.
"

---------

sic

Bon, on aimerait qu'il y ait une fée qui, d'un coup de baguette magique transporterait ce monsieur avec son assurance intellectuelle d'inculte directement dans la Chine actuelle, ça serait rigolo, je crois que là il attraperait une jaunisse !

un article que mon père avait découpé dans le journal et soigneusement conservé entre les pages d'un livre, sans doute impressionné et convaincu par cet article !

31/01/2013

les farfadets

Vous connaissez les farfadets ? vous savez qui est à l’origine des traditions sur ces petits lutins?
Ce monsieur !
http://1.bp.blogspot.com/_J4Lap5luSDQ/RzxoA7ZbygI/AAAAAAA...
alias les hominoïdes relique (plus connus dans la presse à sensation sous le nom de Yeti, mais des noms ils en nom des dizaines selon les pays, almasty, nasnas, zemlemer, etc)

Eh non ! les légendes sur les frafadets ne sont pas de simples fantaisies tombées "comme ça" du ciel. Elles ont sans doute une origine, comme pratiquement tous les "mythes" dans des expériences réelles transformées et enjolivées par la tradition orale. En effet :


Tresser la crinière des chevaŭ est typiquement l'activité favorite de tous les lutins et petits esprits, quelque soit leur nom, dans toutes les mythologies européennes (et peut-être au delà).

Regardez ce qui est dit des farfadets, êtres présents dans le folklore de la Vendée et du Poitou : « les farfadets s'occupent volontiers des chevaŭ, dont ils frisent et emmêlent les crinières »
Autre habitude : « le lait des vaches qu'ils aspirent à même leur pis, »

Quand aŭ afars de l’Ardèche : « Quand, sur leur chemin, ils rencontrent une vache qui passe la nuit dehors, ils vont la traire pour boire son lait puis ils lui tressent les poils de la queue »

En Lorraine les sotrets, « Sous prétexte de s'occuper de leurs cheveŭ et de les friser, ce lutin lorrain passe sont temps à courir après les jeunes bergères. » (Voilà qui rappelle très fort le comportement des satyres et silènes de la légende – et des hominoïdes de la réalité selon de nombreuses traditions).
Dans les Alpes françaises (selon Alice Joisten et Christian Abry, "Etres fantastiques des Alpes", Entente, 1995. - Il s'agit de témoignages "légendaires" de personnes âgées, transcrits tels quels), Haute-Savoie, Savoie, Hautes Alpes - il est explicitement question de crinières de juments tressées par des créatures appelées diversement, couramment décrites comme nocturnes, velues, avec des seins très longs pour celles de sexe féminin (trait en effet typique des hominoïdes reliques de sexe féminin).
"Aller la nuit traire ou téter les vaches, en tout cas boire leur lait, est aussi un trait commun de comportement entre les almastys d'une part, les servans, follatons, carcaris du Dauphiné et de Savoie d'autre part..".

En Angleterre on attribuait la même choses à un certain Mab :
« … that very Mab /

That plaites the manes of horses in the night » (Shakespeare, Romeo and Julietta, I, 4)

Des détails et des coutumes si particuliers, et en même temps semblables d’un bout de la France à l’autre bout, ne s’inventent pas, il faut au contraire présumer que le souvenir de faits réels s’est transmis dans la tradition orale paysanne pour se retrouver systématiquement dans les légendes de ces petits êtres (car eŭ par contre, si – en plus ! – ils vivent également la nuit, sont petits, on est loin de la taille des hominoïdes).

Or ! or, que sait-on des hominoïdes ?

Ceci :Pr. Porchnev : « Quel stimulus biologique peut, dans l’évolution des hominoïdes, avoir suscité cette attirance pour des chevaŭ …. Des histoires qui disent qu’ils peuvent téter le lait des juments, et juste pour cela s’approcher des troupeaŭ de chevaŭ … Dans les steppes du sud de Kazakhstan les bergers se plaignent de ce que des créatures bipèdes tètent le lait des juments pendant la nuit. On prétend que la créature bipède tresse la crinière, utilisant la boucle ainsi obtenue comme étrier. Son ventre reposant sur le dos de la jument, tournée vers l’arrière, et se tenant d’une main à la base de la queue, la créature se pend et parvient à sucer le pis. …les chercheurs dudit département remarquèrent que seule une telle acrobatie pouvait donner accès à la mamelle pour une créature étrangère. »

Le chercheur Grégory Patchenko, suite à un signalement d’un almasty (http://www.google.com/search?ie=UTF-8&oe=utf-8&q=almasty) qui venait chaque nuit tresser une crinière se mit en aguets pour voir la créature, malheureusement il n’osa pas faire usage d’un flash et ne put prendre de photos, mais il vit un jeune sans doute pénétrer acrobatiquement par un trou du toit de la grange et se tenir debout à côté de la jument, (Dimitri Bayanov « sur les traces de l’homme des neiges russe » - Exergue 2001- pages 60 à 62)

ici en vidéo les lieŭ même où Patchenko a vu l'almasty tresser la crinière d'un cheval http://www.youtube.com/watch?v=wU3rive0bog

des liens:
NOUVEAU : http://www.stgr-primates.de/research (résultats des recherche systématiques dans le Nord-Caucase par des spécialistes russes)

http://www.stgr-primates.de/reports.html

http://www.paranormalnews.fr/index.php/dossiers/mythes-et...

http://ratatoulha.chez-alice.fr/komi/izhma/jag_mort/mihai...

http://www.2hcreations.net/enquetes-impossible/zana.php

Conclusion :

« L'existence de mythes récurrents sur les satyres, domovoy:, http://fr.wikipedia.org/wiki/Domovoy et j'en passe, les nombreuses sculptures médiévales les représentant, tout cela laisse à penser que des "hommes sauvages" ont existé, dans le passé, dans pratiquement toutes les régions d'Europe continentale, et en ont disparu progressivement au cours des 3000 dernières années, un peu avant les ours et les loups. Les mythes les plus forts ont souvent des bases dans la réalité, même si leurs contenus ont ensuite subi de nombreuses évolutions et transformations.

 et ici une tête de Silène découverte à Nymphaion, ancienne citée grecque en CRIMEE, près de Kertch, autrefois Panticapée, ou on honorait le dieu Pan, dont la description fait très fort penser aux hominoïdes reliques http://cryptozoo.pagesperso-orange.fr/fabuleux/satyres.html

 

(comme quoi l'Abbé Th. Moreŭ avait raison de nous conseiller :
" La nature nous offre tant de mystères, tant de phénomènes inexpliqués, que le rejet en bloc des faits inexplicables pour notre science actuelle, paraît maintenant la marque d'un très petit esprit. Nous avons mieŭ à faire: il nous faut sans cesse accumuler les données, contrôler les faits, et l'explication viendra peut-être dans la suite.")