04/07/2020
1944 du temps des gerbes de blé
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Maman (la brune) avec sans doute son amie Ghislaine. Des gens du signe du cancer, son signe, il est dit :
"Vous appréciez les belles choses de la vie et vous faites presque tout pour vous les procurer, souvent d'heureuse façon. Vous possédez beaucoup d'entregent : vous faire des amis est chose facile"
C'est ressemblant.
elle est née un 14 luillet
trouvés sur le site : http://lusile17.centerblog.net/rub-signe-astrologique-du-...
Les enfants auront une grande importance dans sa vie, car il a besoin de chouchouter et d’aimer.
Il est très doué pour la création, la recherche, la décoration.
Tout ce qui a trait à l'image, à l'imagination, à l'imaginaire le concerne. C'est pourquoi il est doué pour la photographie , la poésie et l'écriture romanesque et la peinture.
Symbolisme astrologique du signe du Cancer
Le signe du Cancer symbolise la sensibilité, l'émotivité, le rêve, le changement, les caprices, la ténacité, la fécondité.
Le Cancer attache une grande importance à sa famille, il aime son foyer, ses enfants, dont il sera le protecteur durant toute sa vie.
De nature assez possessive, quelque peu lunatique, son caractère peut être souvent explosif. Le Cancer est quelquefois un sujet cyclothymique.
Assez renfermé, souvent replié sur lui-même, parfois inquiet il aime vivre dans ses souvenirs. Le Cancer doit apprendre à se détacher des autres et de son passé pour mieux vivre son présent.
Le Cancer est doté d'une forte intuition, d'une grande imagination, mais il est très souvent inquiet pour un rien.
Sentimentalement, le Cancer sera attiré par des partenaires qui assureront leur rôle de parent. De nature très affectueuse, il peut se révéler être un grand sentimental, mais souvent fort jaloux. En amour, tout comme pour sa sexualité, rien n'est simple pour lui.
autre description :
Le Cancer a la réputation d’être nostalgique, le regard porté sur son passé, plus précisément sur son enfance. Très lié à sa famille, il passe le plus clair de son temps à chérir cette dernière et met tout en œuvre pour la sécuriser. Il en ira de même avec ses parents qui, à ses yeux, sont très importants. Son partenaire devra donc prendre en considération cet élément, s’il souhaite une entente dans son couple.
Le Cancer est un grand enfant, qui aime autant se faire choyer, chouchouter que bouder. Il sera au comble du bonheur dès lors que la tendresse embaumera ses jours. Son partenaire se devra d’être aussi mystérieux que romantique, un peu comme lui d’ailleurs.
La nostalgie étant un de ses traits de caractère des plus marquants, il aime s’étendre sur ses souvenirs ce qui implique aussi qu’il n’oublie rien par conséquent la rancune ou les regrets peuvent l’assaillir facilement.
Grand rêveur, son imagination l’emmène loin jusqu’à parfois le confondre dans des histoires ou des mensonges. A force de trop rêver, sa nonchalance peut le placer dans la paresse. Ceci dit, il ne lui en faudra que peu pour se secouer. Car, qui dit paresse, ne dit pas fainéantise. Sous ses airs de « je ne fais rien », il est capable d’en faire beaucoup.
Sa sexualité est emprunte de tendresse et de jeux. Tel un enfant, il aimera se faire réconforter auprès de son/sa partenaire. Signe d’eau et très féminin, le Cancer materne autant qu’il aime. La sensualité baigne dans les démonstrations de tout genre, ce qui lui vaut aussi une réputation d’endurant dans ses relations intimes. En ce qui concerne sa fidélité, elle sera à son apogée dès lors qu’il sera chéri dans son foyer. Mais si d’aventure, la routine et le désintérêt s’installaient, il pourrait fantasmer sur d’autres horizons voire passer à l’acte de l’extraconjugal pour apaiser sa soif de tendresse.
Son imagination développée, il aime s’entourer de personnes intuitives. Il possède d’ailleurs des dons artistiques voire médiumniques. Son partenaire saura le satisfaire s’il sait nourrir cette part de son être.
Elle aimait aller sous la pluie battante, cueillir et manger du cassis avec une tartine beurrée à même le jardin, la neige blanche, peindre, les calins, les baisers, les chats, les ours en peluche, les dragons. Et bien sûr jouer aux carte, faire du crochet.
le site "Nonsco"
Martha Argerich jouant Bach en 2008, cette vidéo me touche beaucoup, car maman aussi était resté très juvénile et avait les mêmes cheveux : https://ru-clip.net/video/7mFDXNODNyc/martha-argerich-bac...
08/06/2020
LE GOUV
Que veut dire démondialiser ?
par le Parti de la démondialisation - le 2 juin 2020 La Série Démondialisons ! est lancée. Vous pouvez dès maintenant accéder à l’épisode n°1. Puis, chaque semaine vous recevrez un épisode de la saison 1 qui en compte 10.
Pourquoi cette série ? Il s’agit de mettre un contenu à ce que devrait être un processus de démondialisation en rupture avec la mondialisation. L’acte I est donc de comprendre l’ensemble des mécanismes de la mondialisation, ses conséquences sur les peuples en termes économique, social, environnemental. De prendre la mesure de la remise en cause des droits sociaux, des services publics, de la pression sur l’emploi et sur les salaires.
Rompre avec la mondialisation néolibérale, celle qui a pris le pouvoir partout, qui a supprimé la souveraineté des peuples et a inféodé l’État, a réduit la démocratie à peau de chagrin, c’est s’engager sur un chemin de révolution au sens propre du terme.
Il ne s’agit pas de jouer avec des mots ou d’étaler des concepts. Les faits sont là. Sous notre nez, entravé par un masque. Ils démontrent, cruellement, l’urgence d’une rupture franche et sans bavure avec un système qui n’a aucune considération des êtres vivants. La pandémie de Covid-9 a, en effet, révélé massivement la férocité d’un système entièrement dévolu à la finance, au capital, au libre-échange, à son insatiable appétit de profits, tout autant que la servitude des classes dirigeantes et de l’Union européenne.
Épisode 1 : Que veut dire démondialiser ?
La pandémie de Covid-19 a mis en lumière les conséquences du choix idéologique et économique de la mondialisation néolibérale. Quel citoyen ne s’est pas interrogé sur les raisons de la pénurie de masques, de respirateurs, de médicaments, de tests, indispensables pour protéger et traiter les populations ? Qui ne s’est pas offusqué de l’insuffisance des moyens de l’hôpital public ? Des conditions de travail des effectifs et du manque de matériel ?
La menace brutale qui a fondu sur les peuples, les carences de l’État, incapable de pallier la dépendance à la production étrangère, a ouvert les yeux de millions de personnes et conforté celles qui prônaient déjà la démondialisation. Inutile d’être devin pour comprendre que les classes dirigeantes sont aux abois quitte à ce que les pires défenseurs du néolibéralisme, du « marché mondial », du libre-échange, avec, en tête, le président de la République et son gouvernement, ont tenu des discours inattendus : ils ont promis, la main sur le cœur, qu’il fallait rectifier le tir. Évidemment leurs paroles s’envoleront dans le vent aussi vite que la vitesse de la lumière. Veulent-ils démondialiser ? Non, à coup sûr, ils cherchent seulement les moyens de nous faire croire que le « monde d’après » sera moins cruel pour tenter d’atténuer la colère qui gronde dans le pays… Mais ils ne sont pas crédibles. Car démondialiser ne peut se limiter à promettre de réorganiser quelques chaînes de production et de relocaliser la production de masques, de tests, de respirateurs, voire de quelques médicaments, etc.
Alors qu’est-ce vraiment démondialiser ?
C’est remettre en cause quarante années de révolution néolibérale.
C’est organiser le retour de l’État dans l’économie, sous le contrôle de la population et des élus. L’État doit être l’instrument de l’intérêt général, de protection chacun contre le chômage, la pauvreté, la précarité, l’insécurité (toutes les formes d'insécurité).
Démondialiser c’est changer l’ordre mondial, en solidarité avec les autres pays. C’est ne pas aller « conquérir » des marchés extérieurs qui provoquent dégâts environnementaux et sociaux. C’est développer, sur son territoire, une activité économique harmonieuse dans le cadre du plein-emploi.
Démondialiser, c’est supprimer les quatre libertés du capitalisme : liberté de circulation des marchandises, des capitaux, des personnes et des services, c’est sortir des instances supranationales et des traités qui les régissent.
Mais attention. Démondialiser ce n’est pas remettre en cause les échanges commerciaux et culturels, la circulation des idées et des personnes. Au contraire, c’est permettre l’existence de la diversité des cultures et des langues contre l’uniformisation culturelle et idéologique imposée par la logique du capitalisme néolibéral.
Pour lire l'épisode 1 cliquez ci-dessous :
https://pardem.org/analyses/demondialisation/323-que-veut...
A lire prochainement le 2e épisode : Les quatre piliers de la mondialisation néolibérale.
Nikonoff, présidant du PARDEM, fait partie de cette initiative pleine d'avenir :
où se retrouvent outre Nikonoff, Priscylla Ludowski 1ère initiatrice des gilets jaunes, Etienne Chouard, le colonel Chamagne (ex- de l'UPR). Leur site :
https://legouv.fr/idees-actions/
18/12/2019
le salaire brut
"Je ne me lasse pas de cette puissance de penser.
Bernard nous aide à nous émanciper, vraiment, en profondeur et pour longtemps.
Il faut écouter ses conférences le crayon à la main" (Etienne Chouard)
J’aime bien l’attitude de Bernard Friot à la télévision (ce soir ou jamais le 7/6/2013 https://www.youtube.com/watch?v=sIaDmbJ0fTU) devant les capitalos qui lui lançaient « il est dans son délire », et tout ça ! Il ne se vexe pas, il ne se démonte pas, il ne se met même pas en colère, il rigole, narquois et serein. Il est intelligent, et cultivé : il connaît tous les trucs et les discours des réactionnaires de tous les temps, qu’il reconnaît bien; non seulement il n’est pas blessé (la luno ne aŭskultas, kiam la hundoj ĝin insultas) mais pas le moins du monde impressionné ni en colère, ça le fait rigoler ! Ça ne le « défrise » pas le moins du monde, et le terme de « parasite » qu’il a employé pour parler des patrons et actionnaires et qui a été dénoncé avec véhémence par les capitalos présents, vexés, il le réemploie imperturbablement à plusieurs reprises par la suite !
Qu’est-ce que ça fait du bien d’entendre enfin appeler les choses par leur noms ! Une bouffée d’air frais, et de chaleur de la raison .
Et comme homme Bernard Friot, en dépit de son visage ridé et de son air austère de lorrain (né à Naufchâteau) - en fait il n’est pas si austère ni si froid que ça : il est sérieux c’est tout, à l’occasion il sourit ou rit, et n’hésite pas à utiliser des mots familiers, et il est naturel et sans prétention -
un autre homme que j'aime de plus en plus c'est Edmond Janssen (voir sa vidéo du 25 mars à La villette)
et pendant ce temps l'anti-Friot c'est Macron :
La mort du salaire brut
Macron prépare la plus terrible attaque contre nos salaires de toute l’histoire de notre pays. Du jamais vu.
Il va supprimer le salaire brut.
Les grands médias des 9 milliardaires font mine de nier ou déforment la réalité : comme si seul comptait le salaire net en bas de la feuille de paie.
Mais non, c’est le salaire brut qui compte !
Réexpliquons le à nos concitoyens car le pouvoir cherche à supprimer les feuilles de paie papier et à les « simplifier » pour pas qu’on voit la manœuvre.
Le salaire net c’est pour payer la force de travail.
Le salaire brut c’est pour payer la reproduction de la force de travail.
Le salaire net on vit avec au mois le mois
Le salaire brut on vit avec tout au long de la vie.
Le salaire net vous permet de consommer et de vivre quotidiennement.
Le salaire brut vous permet de faire face à tous les aléas de la vie, quand vous avez besoin de logement, quand vous êtes en charge de famille, quand vous êtes malades, quand vous avez un accident du travail ou une maladie professionnelle, quand vous êtes au chômage, et quand vous êtes en retraite.
Les cotisations ne sont pas des impôts, elles sont obligatoirement pré affectées à ce pourquoi elles sont collectées, elles ne vont pas aux caisses publiques, car les différentes caisses de Sécurité sociale sont de droit privé (et devraient être gérées par les cotisants, les représentants des salariés normalement élus comme cela l’était à l’origine de la « Sécu ». Allez revoir le film « La sociale » de Gilles Perret).
Le salaire brut ce n’est pas une « charge » comme ils le disent, c’est un bonheur.
C’est une partie du salaire mutualisée et redistribuée à chacun selon ses besoins, c’est ce qu’il y a de plus beau dans notre pays.
Le salaire brut vous est redonné en « temps différé » quand vous êtes malades, en « temps indirect » pour le logement, mais aussi en « temps réel » quand vous êtes en retraite (car dans ce cas il va en direct, de ceux qui travaillent à ceux qui sont en retraite, la retraite par répartition n’est pas une épargne !).
C’est le capital, l’actionnaire, l’employeur qui paient votre protection sociale, le salaire brut, chaque mois, en même temps que votre salaire.
Macron a déjà supprimé les cotisations familiales, il a baissé les cotisations parfois jusqu’à 1,6 ou 1,9 fois le smic. Là, il supprime et remplace tout par l’impôt.
C’est vous, par vos impôts, qui paierez dorénavant à la place de votre patron. Un hold up de 470 milliards contre vous ! Un cadeau géant de 470 milliards pour le Medef.
Pour tenter de masquer ça, ils vont augmenter de quelques euros votre salaire net, mais baisser de centaines d’euros votre salaire brut.
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10/12/2019
une voix de la liberté de l'humanisme
vive la cigarette, la liberté, l'esprit critique ! vive Chavez ! Chouard (intègre et courageux, lui !) ! et Bernard Friot (mais pas l'asso "Réseau Salariat" qui n'est composé que de bourgeois collabobos Elle témoigne jusqu’à la caricature de l’atmosphère de terreur médiatique dans laquelle évoluent les intellectuels français), et la dignité ne pas oublier !
et Vive le Nouveau Maquis Cevenol !
La france pinochettiste :
il est temps d'appeler les choses par leurs noms, trop de dérives illégales, immorales, et de natures dictatoriales et immondes
02/09/2019
chacune de ces émissions est une perle à enregistrer et à réécouter soigneusement
https://admin.over-blog.com/555762/write/106509680
enregistrez,et stockez les toutes pour les re-regarder tranquillement, il faut que les français se refassent une culture de la théorie politique, économique, médiatique.
si vous préférez les livres : https://www.amazon.fr/Notre-Cause-Commune-Instituer-nous-...
(c'est pour l'info et lire les commentaires, mais ne les achetez pas chez amazon ! cette affreuse firme capitaliste exploiteuse !!!! commandez-les chez la librairie quilombo par exemple)
PS accessoire, tout à fait accessoire : les chambres à gaz ont bien existé (celles qu'on montre aux touristes sont des reconstitutions ! les nazis les avaient démontées en fuyant vous pensez bien !) Les Soviétiques ont retrouvé et emporté toutes les archives d'Auschwitz. Mais, fidèles à leurs habitudes, les avaient planquées au secret. Ce n'est que suite à la chute de l'URSS (donc bien après la rédaction des oeuvres de Faurisson, qui se croyait malin) que les historiens ont pu mettre le nez dedans.
Et là il y a tout ! les devis, les factures, les plans des "équipement", et même les correspondances sur les pannes les réparations, les réclamations, la concurrence entre la firmes qui s'enrichissaient avec ça.... Tout le détail administratif. Donc pas de doute sur le sujet, ni sur le génocide, concomitant et par les mêmes méthodes, des tziganes, ni celui, antérieur, ce fut le premier, des fous et des handicapés, ni celui des communistes, et des slaves, sans parler des résistants, des homosexuels, des Témoins de Jéhovah, et autres catégories de personnes qui ne plaisaient pas aux nazis.
Mais cette question d'histoire n'a strictement rien à voir avec les idées de Chouard qui sont : La théorie de la démocratie ! le vol de celle-ci par les milliardaires et leur mafia de Séides, les "journaputes" et les "clébards" à leur service, bref la lutte des classes, tout ça. Là ! on a le sujet de discussion de Chouard, celui qu'il (de même que Bernard Friot sur le plan économique) traite avec humanité, bon sens, et une rigueur intellectuelle imparable. (c'est peut-être pour ça que l'Establishment se sent menacé et vaut le faire taire à n'importe quel prix (il ne fait pas de moto Chouard ? ç'est pas conseillé dans son cas ! ni de faire du vélo dans les rues désertes, on ne sait jamais une crise cardiaque est vite arrivée).
"En tout cas tous les français un peu honnêtes sont extrêmement en colère, en constatant que par des détours abjects, les puissants peuvent s'efforcer de le faire taire ainsi parce qu'il dérange leurs pouvoirs et représente une opposition des plus sérieuses, il est un danger pour eux, qu’il faut écraser dans l’oeuf…
Il fait partie de ceux que l’on affuble de qualificatifs les plus aux antipodes de ce qu'il est vraiment, et malheureusement les chiens de garde bourgeois relaient ces diffamations pour le discréditer. Mais qui peut les croire ? Comme vous dites si bien, ils ne peuvent pas contrer le message, qui est vraiment imparable, et fait réfléchir les français, alors ils s'en prennent au message, ruse malhonnête bien connue !
Mais les français ont appris à le connaître. Et on sait qu’il n’y a pas plus humaniste et altruiste que Monsieur CHOUARD"
CHOUARD A OUVERT LES YEUX ET LES COEURS DE TELLEMENT DE PERSONNES
En dépit des manoeuvres malhonnêtes de la caste bourgeoise pour faire taire ses théoriciens l'idée de tirage au sort progresse petit à petit, en témoigne la vidéo ci-dessous
Petit rappel sur notre condition dans le système capitaliste actuel (et donc sur les intérêts en jeu) :
04/08/2019
Vous avez besoin d'arrêter de pêcher ? de mieux obéir aux Commandements de la Sainte-Eglise ? (c'est une traduction du slogan MGEN !)
une traduction qui permet de comprendre la vraie nature de cette campagne de pub en partenariat avec une autre entreprises privée :
https://www.interaction-healthcare.com/creations/vivoptim/
un exemple (avec plein de mots anglais bien sur, pas innocent du tout !) des pubs qu'on reçoit de nos jours, par exemple de la MGEN pardon ! du "GROUPE" MGEN, car la MGEN - comme toutes les "mutuelles" de toutes façons, n'est jamais, et elle s'en vante, qu'une entreprise capitaliste, qui cherche à faire du chiffre d'affaire (vivement que Bernard Friot soit au pouvoir et qu'on rétablisse la Sécu d'Ambroise Croizat !)........https://www.mgen.fr/le-groupe-mgen/qui-sommes-nous/le-gr... ) :
et ça ça montre une fois de plus combien j'ai raison de dire que les calotins et tous les traits de la théocratie catholique d'autrefois n'ont pas du tout disparus ! ni l'Inquisition, ni l'alliance du sabre et du goupillon, ni les missionnaires, ni les ascètes, ni les chasseurs de blasphèmes, ni les confesseurs, etc, on a changé de "religion" c'est tout !
il suffit de changer le slogan de tête par " De petits efforts pour vous, de grands effets pour votre SALUT"
Ils se la jouent saint-François de Sales
(au fait vous savez que question investissements en actions le secteur de la "santé" est de loin le plus rentable ? ... ça non plus ça n'a rien d'innocent, et n'est pas sans rapport non plus avec la théocratie catholique, au XIXè sicle, c'était aussi comme ça !)
01/07/2019
si vous n'avez pas encore compris MAI 68 c'est ça ! - les ex 68ards c'était et c'est ça
comme je viens de le dire à plusieurs reprise le voici encore une N-ème fois de plus et encore une de plus et encore une de plus, et encore une de plus !!!!!!! un lien libre :
https://ytube.tv/watch?v=EI132HpLCL4
https://ru-clip.net/video/RPUIHYOqZp4/jacques-brel-les-bo...
un autre https://ru-clip.net/video/4WVJ9It6bvQ/les-bourgeois-en-di...
Dépéchez-vous vite de télécharger cette vidéo paradigmatique avant que le totalitarisme capitaliste ne sévisse !
comme je viens de dire plusieurs fois mai 68 ce fut ça en fait et les ignobles macronistes ce sont eux, après avoir été les , je ne citerais pas de noms ils ne le méritent même pas ces putassiers collabos jouisseurs bourgeois, ces "anarchistes" réactionnaires et méprisant le peuple et ses conditions de vie, et de travail (qui leurs produisent leurs grasses richesses !)
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17/05/2019
c'est indéfendable dès qu'on prend 2 minutes pour analyser ça
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Et maintenant, le résumé de la situation :
https://blogs.mediapart.fr/jean-pierre-chalier/blog/201215/vers-un-totalitarisme-capitaliste
Vers un totalitarisme capitaliste 20 déc. 2015 Par Jean-Pierre Chalier
Ceux qui croient encore que nous sommes dans un état de droit démocratique commettant certes quelques erreurs en prolongeant un état d’urgence « pour notre sécurité », en arrêtant des militants écologistes au lieu de terroristes,se réveilleront lorsqu’il sera trop tard. Ce ne sont pas des erreurs mais la phase presque finale de l’emprise des grands capitalistes sur les nations et les peuples.
Qui sont ces grands capitalistes ? Ce ne sont pas ceux qui possèdent leur outil de travail, les petits paysans ou les petits entrepreneurs mais ceux qui possèdent de très grandes superficies ou de très grandes entreprises. Le système économique capitaliste leur permet de s’approprier environ le tiers de la valeur produite par les travailleurs, ce qui dans le cas de très grosses entreprises représente des sommes considérables qui leur permettent de corrompre les politiques. (Non, le mot n’est pas trop fort : comment appeler autrement le fait qu’en échange des services rendus quand ils étaient au pouvoir, ces politiques retrouvent un emploi bien rémunéré dans ces entreprises, quand ils n’en viennent pas. Et qui a payé leur campagne ?). Cet argent leur permet d’acheter aussi les medias : pratiquement tous les médias français appartiennent à 5 ou 6 grands industriels et diffusent exclusivement leur idéologie en dénigrant ou censurant les alternatives. (Pourquoi parle-t-on toujours du coût du travail, ce qui est le point de vue du patronat minoritaire, au lieu de parler du coût du capital, point de vue des travailleurs majoritaires ?).Ces quelques très riches, représentant à peine 1% de la population constituent une classe sociale qui dirige le pays dans son intérêt propre et non dans celui de la population, au-dessus des lois qu’ils imposent aux autres. N’oublions pas dans cette classe les grands banquiers, ceux que l’on a autorisé à jouer le rôle de banque centrale, ne créant la monnaie qu’au prix d’un endettement de l’état.
Le fait qu’une petite minorité de grands capitalistes dirige de fait et dans l’ombre le pays, les institutions d’apparence démocratique n’étant qu’un décor pour que la population ne se révolte pas, ne devient évident chez nous que depuis relativement peu de temps : il y a eu des époques où le pouvoir politique arrivait à mieux contenir le capitalisme. Par contre, c’est ce que les USA connaissent depuis leur fondation : les banquiers alliés aux grands propriétaires ont toujours fait et défait les présidents et conduit le pays au moyen d’un capitalisme sauvage très dur envers ceux du bas de l’échelle sociale, n’hésitant pas à sacrifier la population dans des conditions de travail dangereuses et dans des guerres de conquêtes pour le profit. Les USA ne sont pas une démocratie (les médias canalisent les votes sur 2 grands partis qui s’opposent sur des détails mais ne remettent pas en cause le système économique qui laisse le pouvoir aux grands capitalistes) et ne sont pas les amis des démocraties : ils sont capables de renverser (en se cachant, par CIA interposée) des régimes démocratiques qui vont contre leurs intérêts financiers : tout le monde a en mémoire Salvador Allende au Chili mais il y en a eu beaucoup d’autres.
Leur appétit de pouvoir est immense et mortifère : combien de milliers de civils morts en Irak dans une guerre uniquement pour le profit ? Les attentats du 11 septembre (dont de sérieux doutes pèsent sur les auteurs de l’organisation) leur ont permis d’avancer vers plus de totalitarisme en faisant voter des lois liberticides qui, sous prétexte de s’attaquer au terrorisme, permettent d’emprisonner sans jugement tout opposant au système.
Vous reconnaissez ce qui nous arrive ? Ce n’est pas un hasard : les USA ont été très présents dans la construction européenne et ils l’ont fait se construire sur le même modèle qu’eux : obligation pour les états de s’endetter auprès de banques privées, parlement sans grand pouvoir réel, les décisions étant prises par une « commission » non élue, verrouillage des grands partis politiques sur le même programme économique favorisant uniquement les grandes entreprises, utilisation de l’état pour détricoter les lois sociales et augmenter la partie répressive.
Il n’y a pas succession d’erreurs, tout cela converge vers un but : l’établissement d’une dictature mondiale des grands capitalistes sur toutes les nations et les peuples de la planète.
Il est encore possible de résister et la France, si elle sortait de l’UE, en aurait encore les moyens, mais plus pour longtemps. Pour cela, il ne faut surtout pas voter pour 1 des 3 partis promus par les médias : le FN sert actuellement de repoussoir pour faire voter PS ou LR mais cela est un mauvais calcul pour eux car il incite tous les déçus du PS à cause de la misère sociale à voter FN. Et le FN, s’il était élu, ne gênerait pas les grands capitalistes car il a multiplié les signaux auprès des banques pour dire que, contrairement à ce qu’il prétend, il ne sortirait pas du système néo-libéral (de même que François Hollande, après son discours du Bourget où il disait qu’il allait s’attaquer à la finance était parti immédiatement rassurer les banquiers Anglais en leur disant le contraire). Les promesses n’engagent que ceux qui y croient et c’est pourquoi les médias (propriétés de 9 millliardaires) canalisent l’opinion uniquement sur ces 3 partis. Pourtant d’autres solutions que cette dictature du capitalisme existent, il est encore possible pour un état qui le déciderait de reprendre le contrôle de la monnaie et d’endiguer les désirs d’hégémonie capitaliste mais les partis qui le prônent sincèrement sont exclus des grands médias et il leur sera encore plus difficile de se faire entendre car, profitant de la trêve de Noël, le gouvernement fait passer une loi rendant plus difficile à ces autres partis de se présenter et diminuant leur temps de parole pendant la campagne présidentielle.
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Agoravox, site orwellien, je suis totalitarismophobe, et je t'emmerde
16/03/2019
La révolution Bolivarienne du Vénézuela n'est pas allé assez loin
Ah oui ! comme j'ai dit dans mon article sur Sennaciulo, (revue papier de SAT) les demi-mesures, la recherche de modération, de compromis, (les combats défensifs, comme dir Bernard Friot sont voués à l'échec), les Forum Social Mondial Susan Gorge "Puerta del Sol", etc, c'est fini ! si on se contente de ça on sera bouffé par la réaction de ceux "qui crachent sur les tombes des personnes qu'ils tuent" comme disait MC Solaar, il faut comme a dit Susan George (là elle avait raison ! ) "se radicaliser en vieillissant".
Regardez Cuba est allé au bout a rencontré une profonde hostilité de l'impérialisme US et de l'Internationale du grand capital, et de leurs "merdias" la Voix de nos Maîtres, mais il a tenu ! et est reconnu par l'ONU comme la seule économie "écologiquement durable" de toute la planète.
Le Vénézuéla a voulu ménager la chèvre et le chou (prend garde Mélenchon ! tu as vu ce qui est arrivé à Tsipras d'ailleurs !), et voilà tout ce qu'il a récolté : comme la Syrie, comme l'autogestionnaire Yougoslavie, comme Kadhafi,quand il a baissé la garde dans l'espoir de se faire accepter par la "communauté internationale" (sic!), les manoeuvres visant la guerre civile et la destruction !!
En tout cas souhaitons bonne chance au Venezuela qui se bat pour la liberté de toute la planète (il faut le savoir ! bien s'en rendre compte).
http://b-tornare.overblog.com/2017/07/election-constituan...
"Il va de soi que de telles réalisations au profit du peuple n’ont pu se faire qu’au détriment des parasites. (oui, il faut se remettre à appeler un chat un chat, comme Bernard Friot à la télévision !) On comprend dès lors que ceux-ci veuillent se débarrasser de Maduro, cet empêcheur de magouiller en rond…https://www.google.com/search?q=macron+pinochet&rls=org.mozilla:fr:unofficial&source=lnms&tbm=isch&sa=X&ved=0ahUKEwj9wPbArbngAhWjxYUKHZ9XAl0Q_AUIDigB&biw=1045&bih=636#imgrc=MPS8UCYldBLfkM:
La « révolution bolivarienne » n’est pas allée assez loin. Elle n’a pas su, comme la révolution cubaine, couper radicalement les ponts. Si l’on veut changer le cours des choses, il faut agir sur les structures. La nationalisation des secteurs clé, la protection contre la mondialisation libérale, la restauration de l’indépendance nationale, la consolidation d’une alliance internationale des États souverains, la mobilisation populaire pour une meilleure répartition des richesses, l’alphabétisation, l’éducation et la santé pour tous sont les différentes facettes d’un même projet progressiste ? Mais de telles perspectives ne pouvaient que déchaîner la haine revancharde des nantis !! et susciter l’hostilité mortifère des USA !! Comme Allende au Chili, Sukarno en Indonésie, Lumumba en Afrique, Mossadegh en Iran en 1953, etc. Sans oublier Chavez en 2002 qui ne dut son salut et la vie qu’à la fidélité de sa garde présidentielle et au soutien de la rue.(et s'est fait assassiner par cancérisation - les "services secrets" savent faire ça, depuis les années 60 déjà ! - interposée dix ans plus tard)
La tenue de ces élections est une grande victoire de la démocratie et un sacré doigt d’honneur à tous ses ennemis !
Arriba Venezuela !"
lisez la totalité de l'article par le lien ci-dessus !!
pour un autre site (en espagnol) : https://hastaelnocau.wordpress.com/2017/07/31/subestimaro...
un autre (en français) : http://www.bellaciao.org/fr/spip.php?article155174
Et pour un bilan du vote à la Constituante http://www.comite-valmy.org/spip.php?article8846
Oh, que vous avez bon cœur ! J’ai versé une larme en pensant à la générosité américaine. « Tous ces produits exquis : des sacs de riz, du thon en boîte et des biscuits enrichis en protéines, et de la farine de maïs, et des lentilles, et des pâtes, arrivés à la frontière du Venezuela si perturbé, assez pour un petit repas léger par personne pour 5 000 bouches affamées » nous dit le JT, comme un écho sublime des 5 000 fidèles venus écouter le Galiléen, le Christ qui parvint à les nourrir tous avec de petits pains et de petits poissons [Mat. 14, 14-21, Marc 6, 34-44]. Mais le Christ ne s’était pas emparé des comptes bancaires, pour rafler l’or de ceux qu’il nourrit ce jour-là.
En fait, le Venezuela du XXIe siècle est une bonne affaire bien plus rentable que la Galilée au premier siècle. Aujourd’hui, il faut organiser un blocus si l’on veut que les gens vous soient reconnaissants pour votre aide humanitaire.
Ce n’est pas un problème. Le duo US-GB l’avait fait en Irak, comme l’écrivait la merveilleuse Arundhati Roy en avril 2003 (dans le Guardian de jadis, avant qu’il ne devienne un simple outil impérial – comme Le Monde !) : après que l’Irak a été mis à genoux, le peuple était affamé, un demi million d’enfants avaient été tués, ses infrastructures gravement endommagées... puis le blocus et la guerre firent place... vous avez deviné : aux sauveteurs humanitaires. Au début, ils avaient bloqué les arrivages de nourriture qui valaient des milliards de dollars, puis ils ont livré 450 tonnes d’aide humanitaire, et célébré leur propre générosité pendant quelques jours de reportages en direct à la télé. L’Irak aurait eu assez d’argent pour acheter toute la nourriture requise, mais cet argent avait été bloqué, et les habitants ont reçu des cacahuètes.
Et c’était plutôt humain, selon les normes américaines. Au XVIIIe siècle, les colonisateurs britanniques en Amérique du nord avaient mis en œuvre des méthodes plus drastiques, dans leur assistance aux natifs désobéissants. Les Peaux Rouges avaient été expulsés de leurs terres ancestrales, et c’est après qu’il leur fut administré une aide humanitaire : du whisky et des couvertures. Les couvertures avaient auparavant été utilisées par des patients tuberculeux. La population autochtone de l’Amérique du nord fut décimée par les épidémies générées par ces mesures et d’autres du même acabit. Vous n’avez peut-être pas entendu parler de ce chapitre de votre histoire, vous les Américains ; votre pays est couvert de musées de l’Holocauste mais il n’y a pas un seul mémorial du génocide commis à votre porte. C’est bien plus fun de débattre des péchés des Allemands et des Turcs que de ceux de vos aïeux.
D’abord, vous affamez les gens, puis vous leur apportez de l’aide humanitaire. C’est un schéma proposé par John McNaughton au Pentagone : bombardez les écluses et les barrages, noyez les plantations de riz, causez une vaste disette (plus d’un million de morts ?) « et alors nous allons livrer une aide humanitaire aux Vietnamiens affamés ». Ou plutôt : « Nous pourrions offrir d’agir en ce sens à la table de conférence ». Planifier un million de morts de faim, par écrit, oui ; si une telle note avait été découverte dans les ruines du Troisième Reich, ce serait la cerise sur le gâteau des génocides, tous les jours on nous le rappellerait. Mais l’histoire du génocide des Vietnamiens est rarement mentionnée de nos jours.
Ils l’ont fait en Syrie, aussi. Au début, ils ont apporté des armes pour les mettre entre les mains de chaque extrémiste musulman, puis ils ont bloqué Damas, et enfin ils ont envoyé de l’aide humanitaire, mais seulement dans les zones sous contrôle rebelle.
Cette méthode cruelle mais efficace pour briser l’esprit des nations a été longuement mise en œuvre par les dompteurs de lions, pendant des siècles, peut-être. Il faut affamer le fauve jusqu’à ce qu’il vienne manger dans votre main et vous lécher les doigts. Ils appellent ça la domestication par la faim.
Les Israéliens pratiquent la chose à Gaza. Ils bloquent toute importation ou exportation de la Bande de Gaza, interdisent de pêcher en Méditerranée, et mettent sous perfusion les prisonniers palestiniens à coup d’aide « humanitaire ». Les sionistes ont encore affiné le procédé ; ils se débrouillent pour que ce soit l’UE qui paye pour l’aide humanitaire destinée à Gaza et qu’elle achète les provisions à ... Israël ! Ce qui fait de Gaza une source importante de profits pour l’État juif.
Au Venezuela, donc, ils suivent un vieux schéma. Les US et leurs caniches de Londres ont saisi quelque 20 milliards de dollars appartenant au Venezuela, et des firmes nationales vénézuéliennes. Ils leur ont pris un milliard en lingots d’or que le Venezuela avait déposé en confiance dans les caves de la Bank of England. Ils avaient dit, bien sûr, qu’ils donneraient cet argent à un illustre inconnu vénézuélien, plus exactement : au gars qui avait déjà promis de remettre la richesse du Venezuela aux firmes US. Et après ce pillage au grand jour, ils apportent quelques containers d’aide humanitaire à la frontière, et attendant que les Vénézuéliens aux abois se ruent dessus pour manger.Mais les Vénézuéliens ne meurent pas de faim, même s’ils traversent des difficultés. Ceux qui en font tout un battage, ce sont les riches, comme toujours. Si Pompeo veut aider les Vénézuéliens, qu’il lève donc les sanctions, qu’il rende les fonds, qu’il mette fin au blocus. Les biscuits qu’il veut fournir ne règleront rien.
Le président Maduro a bien raison de refuser que cette hypocrisie serve à acheter les estomacs et le cœur de son peuple. Ce n’est pas seulement qu’il se souvient de Virgile et qu’il sait qu’il faut « se méfier des Grecs et de leurs cadeaux », Timeo danaos et dona ferentes, Il y a trop de soldats américains et colombiens tout autour des lieux de débarquement, eux-mêmes tout proches d’aéroports avec des pistes d’atterrissage grand format adaptées pour mettre en place des ponts aériens.
Les US sont réputés pour leur propension à envahir les voisins. Le Panama a été envahi en 1989 pour que le canal reste aux mains des US et pour faire annuler l’accord signé par le président Jimmy Carter qui avait bon cœur. George Bush senior avait envoyé ses troupes aéroportées après avoir qualifié le président du Panama de « dictateur et trafiquant de cocaïne ». C’est exactement ce que dit le président Trump du président vénézuélien. Ils vont vouloir utiliser cette aide pour envahir et acheter le Venezuela. Lucide, Maduro a mis en route de grands exercices militaires afin que l’armée se tienne prête en cas d’invasion. Mais la situation du Venezuela est largement assez sinistre même sans invasion. Leur argent leur a été séquestré, leur compagnie pétrolière principale est quasiment confisquée ; et il y a une solide cinquième colonne qui attend les yankees à Caracas.
Cette cinquième colonne est principalement constituée de compradores, des jeunes de bonne famille avec une touche d’éducation occidentale, qui ne voient leur avenir que dans le cadre de l’empire américain. Ils sont prêts à trahir les masses mal lavées et à céder le passage aux troupes US. Ils ont le soutien des super riches, des représentants des compagnies étrangères, des services secrets occidentaux. Ce genre de personnages existe partout ; ils ont essayé d’organiser la Révolution du cèdre au Liban, la révolution verte en Iran, le Maïdan en Ukraine. En Russie ils ont eu leur chance lors de l’hiver 2011-2012, lorsque leur révolution en manteaux de vison s’est jouée sur la colline moscovite de Bolotnaïa. À Moscou, ils ont perdu la main à partir du moment où leurs opposants, la foule des Russia-First, a pris le dessus en réussissant une manifestation encore plus grande sur la colline de Poklonnaya. Les agences occidentales ont tenté de masquer la défaite en envoyant des images de la manif des soutiens à Poutine (la « Montagne ») tout en disant que c’était « Le marais » pro-occidental. D’autres agences occidentales ont publié des images des rassemblements de 1991 en disant qu’elles avaient été prises en 2012 sur « Le marais ». À Moscou, personne ne s’est laissé piéger. La foule en vison savait que c’était de la pommade.
En Ukraine ils ont gagné parce que le président Yanoukovitch, un personnage changeant, hésitant et pusillanime, n’avait pas réussi à rassembler un soutien massif. C’est une grave question, de savoir si Maduro va être capable de mobiliser les masses qui veulent d’abord le bien de leur pays. Si c’est le cas, c’est lui qui gagnera la confrontation avec les US, dans la foulée.
Maduro est plutôt réticent : il n’a pas d’oligarques qu’il ait réussi à discipliner ; il ne contrôle pas les médias ; il tente de jouer la carte sociale-démocrate dans un pays qui n’est pas la Suède, loin de là. Ses subsides ont permis aux gens ordinaires d’échapper à la pire pauvreté, mais maintenant, ce sont les trafiquants au marché noir qui siphonnent la richesse de la nation. Loin d’être une zone sinistrée, le Venezuela est un pays de cocagne, un eldorado : on peut y remplir un cargo de pétrole pour rien, le détourner sur la Colombie voisine et le vendre au prix du marché. Bien des fans de « l’illustre inconnu » se sont fait des petites fortunes de cette façon-là, et escomptent bien faire un grand massacre dès que les Américains débarqueront.
Un problème plus grave, c’est que le Venezuela est devenu une économie basée sur la monoculture. Il exporte son pétrole et importe tout le reste. Il ne produit même pas de quoi nourrir ses 35 millions d’habitants. Le Venezuela est victime de la doctrine néolibérale qui prétend que vous n’avez qu’à acheter ce que vous n’arrivez pas à produire. Maintenant, ils ne peuvent plus acheter, et ils ne produisent pas non plus. Imaginez une Arabie saoudite démocratique et frappée par un embargo...
Pour sauver l’économie, Maduro devrait assécher le marécage, en finir avec le marché noir et ses profits, encourager l’agriculture, la taxation des riches, développer un peu d’industrie pour la consommation locale. C’est faisable. Le Venezuela n’est pas un État socialiste ordonné comme Cuba, ni un État social démocrate comme la Suède et l’Angleterre dans les années 1970, mais même son très modeste modèle pour permettre aux masses de surmonter la misère, la pauvreté et l’ignorance semble inadmissible pour l’Occident.
Quand un jeune politicien plutôt inconnu, dirigeant d’un petit secteur néolibéral rageusement pro-américain, un vrai tartempion de service, s’est proclamé président, il s’est vu immédiatement reconnu par Trump, et les médias occidentaux ont publié des reportages montrant le peuple du Venezuela manifestant pour souhaiter la bienvenue au nouveau président et demander le renversement de Maduro. Ils ont déployé des vidéos d’énormes manifs à Caracas en soutien à l’opposition. Et bien peu de gens à l’étranger se sont aperçus que la vidéo était vieille, filmée lors de manifs en 2016, mais les Vénézuéliens s’en sont aperçus tout de suite ! Ils savaient qu’il n’y avait aucune chance qu’une grosse manif se tienne ce jour-là, parce qu’il y avait un match de baseball particulièrement important entre les clubs professionnels Leones de Caracas et Cardenales de Lara, de Barquisimeto.
Mais les WMD ont continué à mentir effrontément. Voici un rapport de Moon of Alabama : les images de grands rassemblements anti-gouvernement sont des fake-news ou des prophéties en attente de leur auto-réalisation.
VIDEO:Thousands of opposition protesters pour onto the streets of Caracas to back Venezuela's opposition leader Juan #Guaido who is calling for early elections, as international pressure increases on President Nicolas #Maduro to step down pic.twitter.com/JdWS12j9KJ
— AFP news agency (@AFP) 2 février 2019
Ca se passait à 11:50 le matin, heure locale. La vidéo jointe ne montrait pas des « milliers » mais seulement 200 personnes qui s’affairaient dans le coin.
Ils mentent quand ils disent qu’il y a des déserteurs de l’armée qui veulent un affrontement avec l’armée. Les jeunes que CNN présentait n’étaient pas des déserteurs, et ne résidaient pas au Venezuela. Même leurs insignes militaires étaient du type qui a été remisé il y a des années, comme l’a fait remarquer notre ami le Saker.
Cependant, ces mensonges ne profiteront pas à l’envoyeur (mes correspondants à Caracas disent qu’il y a des manifs pro et contre le gouvernement, un peu plus grosses pour Maduro) car les sentiments sont plutôt mous. La crise a été fabriquée à Washington, et les Vénézuéliens n’ont pas envie de se faire embringuer.
C’est la raison pour laquelle nous pouvons nous attendre à une tentative américaine pour faire usage de la force, précédée par quelque provocation. Ce ne sera probablement pas une guerre ouvertement déclarée : les US n’ont jamais combattu un ennemi avant de l’avoir d’abord épuisé. Si l’administration Maduro survit à cette explosion, la crise se tassera, en attendant que les sanctions produisent leur effet et minent plus tard l’économie.
Dans cette bagarre, le président Trump est son pire ennemi. Il recherche l’approbation du parti de la guerre, et sa propre base va être déçue par ses actions. Ses sanctions vont envoyer encore plus de réfugiés aux US, avec ou sans mur. Il est en train de saboter le statut unique du dollar US en le maniant comme une arme. En 2020, il va récolter ce qu’il aura semé.
Israël Adam Shamir
27/12/2018
"mon livre tire un signal d'alarme" - la stratégie du maillon faible vous connaissez ?
http://www.humanisme-ecologie-republique.fr/jean-marie-le...
Bernard FRAU Délégué général Humanisme-Ecologie-République :
« Depuis vingt ans je l’ai dit, je l’ai écrit et je l’ai combattu. Aujourd’hui, la quasi-totalité d’une population triée sur le critère de son génome imparfait a disparu. L’extinction de cette partie de l’humanité est le fait d’un eugénisme efficace vendu par des marchands, acheté par l’Etat et mis en œuvre par la médecine. Dans l’histoire, c’est un événement sans précédent. De guerre lasse, j’étais prêt à entendre ceux qui me conseillaient de déposer les armes ».
Des faits inattendus ont pourtant incité Jean-Marie Le Méné à reprendre la plume. La période s’y prête. Ne pas dénoncer aujourd’hui cette marchandisation du vivant aurait été une capitulation.
« Nous avons besoin d’une Politique, ou mieux encore d’un Régime politique qui – par principe – ne tient pas la vie humaine pour un hasardeux foisonnement du vivant, ne l’utilise pas comme banc d’essai pour la technoscience et ne l’asservit pas à des finalités lucratives ». Un livre décapant plus que jamais d’actualité Un signal d’alarme qui ne peut laisser personne indifférent. ! http://www.pgderoux.fr/fr/Livres-Parus/Les-Premieres-vict...
L’éditorial de Jean-Marie Le Méné, Président de la Fondation Jérôme Lejeune, paru dans la lettre de la Fondation de Janvier 2016 :
« Vous me demanderez peut-être : pourquoi encore un nouveau livre sur un sujet impossible – le transhumanisme ? Mais parce qu’a la Fondation Jérôme Lejeune nous avons parfois le sentiment d’être les conquérants de l’impossible, serais-je tenté de vous dire ! Nous ne sommes pas qu’une œuvre de bienfaisance qui s’occupe des handicapés pour soulager les familles ou se donner bonne conscience. Nous avons aussi à répondre à l’une des questions majeures de notre temps : quelle attitude avoir face à une technoscience, boostée par le culte du progrès et ses juteuses perspectives ? Lui ouvrir nos portes sans réfléchir, c’est nous condamner sans appel, avec ceux que nous prenons en charge et une bonne partie de l’humanité.
Car le transhumanisme consiste en la volonté de faire advenir un homme « augmenté » ce qui ne laisse pas grand espoir à cet homme « diminué » que nous sommes tous plus ou moins.
Or l’un des premiers outils pour augmenter l’homme, c’est l’eugénisme qui est censé nous débarrasser des êtres « imparfaits » avant la naissance. Et l’étalon-or de l’eugénisme c’est le dépistage anténatal, particulièrement celui de la trisomie 21, suivi de l’avortement dans la plupart des cas, qui crée une sorte de bio colonialisme présenté à la fois comme nécessaire et rentable. Il faut bien voir que la trisomie est devenue un marché, l’avortement une marchandise et le ventre des femmes un magasin sous surveillance. La privatisation du ventre des femmes sur toute la planète, c’est l’eldorado du XXIème siècle.
Pour résumer simplement les choses, nous ne pouvons pas demander aux donateurs de soutenir financièrement la Fondation Jérôme Lejeune et nous taire, alors qu’on chiffre à 1 milliard € l’achat que pourrait faire prochainement la France du nouveau dépistage des trisomiques, lesquels sont déjà éradiqués a 96 % !
J’ai donc décide d’écrire un livre sur les premières victimes du transhumanisme que sont les enfants trisomiques. Ce livre percera-t-il la chape de plomb qui a criminalisé toute pensée – et a fortiori toute expression – sur l’avortement quasi systématique des « anormaux » ? Je démontre avec des exemples a l’appui, en France, qu’il n’y a plus de « pourquoi ? » sur ce sujet. Le nouveau test de dépistage de la trisomie est réputé ne poser aucun problème moral. C’est là sa principale force. (hmm la technique du « maillon faible », comme j’ai déjà dit sur plusieurs sujets) Ainsi en ont décidé le comité d’éthique, les experts scientifiques, le corps médical, les associations de personnes handicapées, les autorités morales, les médias et pour finir les politiques, qui n’ont fait que suivre les autres. Ce nouveau racisme du gène a réussi à désarmer les plus réticents en se faisant passer pour une procédure économe de vies humaines, mais de vies humaines en bonne santé, c’est-à-dire en vendant le principe même de l’eugénisme a ceux qui auraient dû nous en prémunir. Ce qui aurait du être le plus difficile à admettre a été, en fait, le plus facile à installer.
Nous sommes non seulement devant un scandale moral et financier, mais surtout un système autonome, clos, verrouillé.
Voilà ce qui me fait dire que la Fondation Jérôme Lejeune et ses donateurs sont des conquérants de l’impossible.
Il s’agit pour nous d’accueillir des survivants du transhumanisme, de les soigner et de leur trouver des traitements dans un capitalisme mondialise qui a inventé une rente indexée sur un génocide continu. Mon livre tire un signal d’alarme et j’espère qu’il suscitera une prise de conscience chez mes lecteurs. Pour 2016 je vous invite, avec nous, à conquérir l’impossible. »
Jean-Marie Le Méné,
Président de la Fondation Jérôme Lejeune
3 février 2016
une recension du livre dit : "[...] En une centaine de pages d'enquête passionnante, le président de la Fondation Lejeune remonte une piste sordide, qui nous mène en Californie, où, dès 2008, l'entreprise Sequenom met au point une technique de dépistage révolutionnaire pour détecter la trisomie 21 dans le ventre des mères. La « ruée vers l'or des Mongols » peut commencer. Des millions sont en jeu. Sequenom fera une entrée en bourse. Le dépistage systématique de la trisomie 21 s'est répandu partout en Europe, et en particulier en France, qui, se reposant sur ses lauriers de patrie des droits de l'homme, ne perçoit pas le cheval de Troie de l'eugénisme qui campe sous ses fenêtres. [...]
Vous vous contrefichez du sort des plus petits d'entre vous, soit. Mais un jour, la mécanique à l'œuvre pourrait bien vous atteindre aussi. Il se pourrait bien que l'eugénisme couvert des atours moraux de la compassion, s'étende. « Les enfants trisomiques https://fr.sputniknews.com/societe/201603231023625133-enf... sont les souris de laboratoire, les sacrifiés de l'expérimentation, les cobayes du transhumanisme », écrit Le Méné. On peut hausser les épaules. Reste que quand ils ne seront plus là, quand le monde sera épuré de leur faiblesse, il faudra bien que l'idéologie transhumaniste en cherche d'autres. « Ceux qui décideront de rester humains et refuseront de s'améliorer auront un sérieux handicap. Ils constitueront une sous-espèce et formeront les chimpanzés du futur », prévenait déjà en 2002 le professeur de cybernétique Kevin Warwick, qui préconise à l'homme de fusionner avec la machine.
Dans ce court essai, écrit d'une plume fiévreuse et parfois coléreuse face à la puissance du scandale, Jean-Marie Le Méné joue les Cassandre et nous délivre un avertissement : devant l'homme augmenté promis par le transhumanisme, nous sommes tous des trisomiques. "
Lire l'intégralité de l'article.
http://deconstruire.babylone.over-blog.org/article-209332...
«Dans l’esprit des nazis, le génocide des Juifs et des Tziganes était indissociable de la stérilisation et de l’«euthanasie» des «dégénérés» (ils avaient commencé par l'Aktion T4, là aussi le maillon faible) ; il s’inscrivait dans un ensemble de mesures sanitaires destinées à préserver la race»
Autre maillons faible, l'euthanasie, c'est comme le livre de Binder et Hoche paru en Allemagne en 1922 (vous connaissez ? renseignez-vous ! son titre surtout est révélateur et laisse rêveur, surtout à la lumière du vocabulaire actuel) , on commence par les malades incurables, on étend aux enfants, puis aux "malades" mentaux, puis aux handicapés, et on retrouve l'Aktion T4, sauf que là on n'aura pas de 2ème guerre mondiale ni de soldats américains pour y mettre fin
Belgique : étude sur la pratique de l’euthanasie en Flandre
- « Fin de vie » (terme hypocrite pour faire passer l'euthanasie ! en allemand Gnadentod ...)
Ce 15 mars 2015, le New England Journal of Medicine a rendu publics les résultats d’une étude menée par deux universités belges sur les pratiques médicales en fin de vie, basée sur un questionnaire transmis à quelques 6188 médecins exerçant dans la partie néerlandophone de la Belgique et auquel plus de 3700 ont répondu.
Il en ressort une très nette augmentation des euthanasies pratiquées en Flandre entre 2007 et 2013, puisque le pourcentage des morts par euthanasie sur le total des décès en Flandre est passé de 2% à 4,6 %.
Les résultats montrent également une différence flagrante entre le nombre d’euthanasies rapportées à la commission de contrôle (1454 cas rapportés en Flandre en 2013) et le nombre d’euthanasies réellement pratiquées, qui tourne autour de 2800. Ce qui signifie que, dans la pratique, près d’une euthanasie sur deux échappe à tout contrôle.
Quant au pourcentage des décès ayant été volontairement hâtés sans consultation du patient, il reste stable à 1,7% en 2013.
Les responsables de l’étude identifient deux raisons à la hausse de la pratique de l’euthanasie. D’une part, de plus en plus de personnes demandent à être euthanasiées. D’autre part, il y a de plus en plus de médecins qui acceptent d’accéder à ces demandes, puisqu’en 2007, ils y accédaient dans 56% des cas, et qu’en 2013, c’est près de 77% des demandes d’euthanasies qui sont acceptées par les médecins, qui se sentiraient plus « aptes » à la pratiquer, révèle une étude parallèle.
Dans près de 74% des cas, les soignants d’un service de soins palliatifs ont été partie prenante, ce qui, selon les responsables de l’étude, prouve qu’« après 11 ans, l’euthanasie est de plus en plus considérée comme une réelle option de choix de mort ». L’euthanasie fait donc désormais partie des soins palliatifs, selon ce que certains appellent le modèle belge des soins palliatifs intégraux.
Si l’on compare l’évolution des chiffres avec ceux des Pays-Bas, certaines différences sont frappantes. Le professeur Deliens affirme que la Flandre est sans doute plus permissive, et que le fait d’intégrer l’euthanasie dans les services de soins palliatifs comme cela se passe en Belgique, a certainement un impact non négligeable sur l’évolution du nombre d’euthanasies,
“Les néerlandophones sont beaucoup plus enclins à exclure les personnes âgées de plus de 85 ans des soins plus onéreux.”
Source : The New England Journal of Medicine
Belgique : euthanasie toujours plus loin
A peine un an après la promulgation de la loi dépénalisant l’euthanasie des mineurs, s’exprime maintenant la volonté d’aller plus loin. Conférences, symposiums et articles de presse traduisent la volonté de certains médecins d’étendre le champ d’application de l’euthanasie aux personnes démentes (CF Allemagne nazie AKION T4), (lien vers VUB-Gent) mais aussi aux nouveau-nés prématurés et/ou porteurs d’un handicap (CF Allemagne nazie AKION T4), et pour lesquels l’équipe médicale jugerait que la « qualité de vie » (CF Allemagne nazie AKION T4) pose question (cf le livre de Binder et Hoche en Allemagne 1922). (Symposium International d'éthique clinique chez le nouveau-né et l'enfant)
Parallèlement à cela, le docteur Wim Distelmans souhaite voir encadrer la pratique de la sédation terminale, qui est selon lui, utilisée à des fins euthanasiques. « Le nombre de morts provoquées (intentionnellement) par sédation, est sept fois plus élevé que le nombre d’euthanasies », estime le docteur Distelmans. Il suggère dès lors, "par souci de transparence", que les sédations terminales bénéficient d’un cadre légal équivalent à celui de l’euthanasie : demande expresse du patient, déclaration écrite, commission d’évaluation…
Le docteur Distelmans ne mentionne pas la différence fondamentale entre une sédation qui donne intentionnellement la mort, et la sédation contrôlée, qui vise à placer pour un temps déterminé le patient dont les symptômes sont réfractaires à tout analgésique dans un état de conscience minimale. L’intention de la sédation qualifie la portée de l’acte. Une notion subtile et essentielle à comprendre pour apprécier la portée de la sédation en phase terminale mais non pas terminale, cette dernière pouvant à juste titre être considérée comme une euthanasie masquée.
et aux Pays-Bas : http://www.alterinfo.net/Ils-ont-le-vice-de-la-mort_a7247...
et n"oubliez pas :
"Un système qui a réussi à privatiser le ventre des femmes sur toute la planète et à le transformer en magasin sous surveillance a conquis l'eldorado du troisième millénaire."
eh oui ces dérives-là aussi sont éclairées par une analyse marxiste !