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06/10/2016

Pourquoi il faut dire non

 

Compilation des sources disponibles, édition du 8 mai 2015   Voir les sources sur Linky

Qu’est-ce que Linky ?

Autres dénominations : « smart grids », « dispositifs déportés », « compteur intelligent », « réseaux électriques intelligents » « compteurs (électriques) communicants », « compteurs  radiofréquences », « Smart Meters »

Il s’agit d’un nouveau protocole de communication se basant sur les télécommunications radiofréquences. Il est destiné à équiper les 35 millions de foyers français (1,7 milliards dans le monde).

Son but est de permettre au gestionnaire de réseau de connaître à chaque instant et dans chaque logement, le niveau de consommation des appareils électriques branchés sur le secteur, qu’ils soient en fonctionnement ou en veille.

En France, c’est ERDF/ENEDIS, Électricité Réseau Distribution France, qui a le monopole de la distribution d’électricité. Toutefois, l’ensemble du réseau de distribution est la propriété de chaque commune, qui en concède la gestion à ERDF.

Qui a développé Linky ? Avec quels moyens ?

EDF est le chef de file du développement du Linky et la Fédération des industries électriques, électroniques et de Communication (FIEEC) s’emploie à vendre aux ministres de l’Énergie successifs le Linky comme instrument incontournable de la transition énergétique. Dans un document publié en septembre 2012, on pouvait lire : « Plus d’efficacité, c’est “partager l’énergie” grâce à des réseaux intelligents (smart grids) mettant en relation les nouvelles sources de production d’énergies renouvelables, mais aussi le véhicule électrique et les bâtiments afin de mieux gérer l’équilibre production‐consommation et ainsi différer les consommations lors de pics de demande d’électricité. Plus d’efficacité, c’est aussi remettre le consommateur au cœur du dispositif de gestion de l’énergie, en lui donnant les moyens de mesurer et d’afficher ses consommations. Cela nécessite une évolution des mentalités et des usages. En effet, comment expliquer que l’on puisse connaître la consommation d’énergie d’un véhicule mais pas celle d’un logement ou d’une entreprise alors que les bâtiments représentent près de la moitié de la consommation d’énergie finale en France. »

EDF a lancé en septembre 2013 une plate-forme expérimentale, « Concept Grid », destinée à la recherche sur les systèmes électriques de demain, installée sur le site des Renardières (Seine-et-Marne). Cet ensemble unique de moyens d’essais permet de tester des matériels et des systèmes dans des conditions d’exploitation réelles et représentatives des réseaux de distribution existants, et de les soumettre notamment à de multiples perturbations.

Le projet « Sogrid » - contraction de « Sud-Ouest » et de « grid » (réseau) a disposé d’un budget de 27 millions d’euros pour développer cette puce, l’intégrer à des compteurs électriques et la tester auprès de 1.000 ménages toulousains. L’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe) a financé le projet à hauteur de 12 millions d’euros.

Parmi les 10 partenaires de ce consortium, le fabricant de câbles Nexans, la SSII Capgemini, l’équipementier Sagemcom et la société Landis+Gyr, filiale de Toshiba.

Linky a déjà été expérimenté dans plusieurs centaines de milliers de foyers en France. Sa généralisation est prévue pour 2016.

Pourquoi il ne faut pas installer les compteurs Linky en France :

Avec Linky, EDF/ERDF/ENEDIS sera en mesure de facturer à l'abonné la consommation réelle (correction du déphasage), soit 10 à 20 % en sus pour beaucoup de clients, notamment ceux qui utilisent des appareils domestiques avec moteurs électriques : réfrigérateur, sèche-cheveux, rasoir électrique, ventilateur, robots ménagers, aspirateur, perceuse, etc. Les ampoules basse consommation fluocompactes ont un Cosinus Phi de 0,5. Cela signifie que Linky, qui mesure la consommation réelle, va doubler la consommation mesurée, la facture d’éclairage sera donc multipliée par deux !

Les compteurs de type Linky, comme tout appareil à écran et composants électroniques ont une durée de vie qui n’excède par les 12/15 ans, en conséquence leur remplacement par EDF/ERDF/ENEDIS aura OBLIGATOIREMENT un coût payé par… les clients ! Des hausses draconiennes de la facture d’électricité sont à prévoir avec l’arrivée des nouveaux compteurs  radiofréquences.

« La FNCCR rappelle que le compteur est payé par le consommateur. » Au sujet du Linky, la FNCCR (Fédération nationale des collectivités concédantes et régies des services publics locaux de l’électricité et de l’eau) a déclaré que, dans l’électricité comme ailleurs, la baisse ou la gratuité n’existe pas. Pour la FNCCR, il y a de grands risques que les consommateurs voient leurs factures augmenter du fait du déploiement de ce compteur au travers d’une augmentation du tarif de la TURPE (Tarif d’Utilisation des Réseaux Publics d’Électricité).

Quand il était Pdg d’EDF, la maison mère d’ERDF/ENEDIS, Henri Proglio a déclaré que Linky coûterait « entre 200 et 300 euros » sur 20 ans à l’usager.

Ceux qui pensent que Linky aura pour effet de réduire leurs factures d’électricité seront déçus, car bien au contraire, plus le consommateur économisera l’électricité, plus chère sera sa facture. Pourquoi ? Tout simplement parce qu’EDF et ERDF/ENEDIS ont besoin de milliards d’euros pour équilibrer leurs comptes et dans ces conditions, le montant de la facture d’électricité n’est pas basé sur la notion globale du prix de revient de l’énergie, mais sur la notion d’équilibres des comptes des Sociétés Anonymes. Conclusion : plus vous économiserez de l’électricité et plus les taxes et le prix du kWh d’électricité seront élevés.

Linky est censé permettre aux usagers de connaître leur consommation en temps réel. Problème : dans de nombreux logements, le compteur est situé à l’extérieur du logement ! C’est le cas dans tous les logements sociaux, même anciens, dans tous les logements neufs et dans bon nombre de logements individuels (maisons). Et ERDF/ENEDIS ne veut pas entendre parler de « l’afficheur déporté », qui permettrait à ceux qui n’ont pas le compteur directement à leur domicile de suivre leur consommation en temps réel.

Le Ministère Fédéral Allemand de l’Économie a retenu les conclusions du cabinet d’expertise financière très respecté Ernst & Young chargé par le gouvernement d’évaluer les économies pouvant être réalisées par un déploiement de compteurs intelligents. Cela l’a conduit à rejeter l’installation des compteurs intelligents de type Linky. La conclusion de cette étude est que les compteurs intelligents ne vont pas dans l’intérêt des consommateurs allemands.

Pour rendre son compteur Linky communiquant, ERDF/ENEDIS va modifier le courant électrique 50 Hz en y injectant sur sa porteuse un signal radiatif de type CPL en kHz (radiofréquences) qui va irradier tout le réseau Basse Fréquence du territoire, ceci jusque dans les appartements par le maillage des câbles électriques des immeubles.

Linky injecte un signal d’impulsions porteuses radiatives modulées en amplitudes de fréquence CPL-G1 à G3  (148 kHz à 400 kHz) qui se superposent à la fréquence 50 Hz du courant électrique. Ces nouvelles fréquences en kHz, introduites dans les câbles électriques de toutes les pièces des logements, y compris les chambres d’enfants, sont rayonnantes (irradiantes).

Le maillage de l’opération Linky nécessitera plus de 125 000 antennes relais de téléphonie mobile supplémentaires (PMR) sur le territoire français.

Avec le maillage de la totalité du territoire par les câbles Basse Tension (BT, 220 Volts) de distribution de l’électricité dans tous les logements, par les modules HF sans fil (hyperfréquences) et par les nouvelles antennes relais de téléphonie mobile, Linky va engendrer sur tout le territoire national une forte augmentation de l’électropollution : aux champs électromagnétiques artificiels de basses fréquences actuels s’ajouteront les champs électromagnétiques de hautes fréquences (radiofréquences et micro-ondes), tant en champs proches dans les logements qu’en champs lointains via le réseau de distribution BT et les transformateurs locaux.

Des mesures de champs électromagnétiques qui ont été réalisées chez des particuliers ayant subi l’installation du compteur Linky, démontrent que les valeurs de rayonnements radiofréquences sont d’environ 17,5 V/m.

Des mesures de radiofréquences réalisées après la pose de compteurs Linky démontrent que tous les câbles électriques logés dans les murs et tous les appareils électriques, y compris les lampes de chevets et les blocs multiprises, émettent des radiofréquences mesurables jusqu’à 2,50 mètres. Dans un immeuble, un appartement non équipé de compteur Linky est donc irradié par les radiofréquences émises en provenance des appartements voisins.

Les cas d’électrosensibilité vont exploser. Un rapport canadien établi à partir d’un sondage mené sur 210 personnes vivant aux États-Unis (75 %), au Canada et en Australie (dont 9 médecins) établit clairement un lien direct et indiscutable entre l’installation des compteurs électropolluants et l’apparition de nombreux symptômes d’électrosensibilité. Seuls 23 % des répondants se considéraient déjà électrosensibles avant l’installation des compteurs et 67 % de tous les répondants l’étaient devenus après l’installation ou avaient vu leurs symptômes s’aggraver considérablement.

En Californie, PG & E (équivalent à ERDF) qui entrait dans la phase finale pour la généralisation de l’installation des nouveaux compteurs Smart Meters a commencé depuis le 28 octobre 2011 une nouvelle phase qui n’était pas prévue, une marche arrière, celle du démontage des nouveaux compteurs pour les remplacer par les anciens. Ce jour-là, dans le cadre d’une procédure supervisée par le Juge administratif de la Commission des Services publics de Californie, le distributeur PG & E a remplacé un nouveau compteur électrique communiquant par un compteur analogique.

Les promesses de factures et de consommations inférieures n’ont pas été tenues et l’atteinte à la vie privée est avérée, avec la surveillance à distance et en temps réel des usagers. Mais c’est l’impact sanitaire qui a fait basculer la situation.

L’évidence a été constatée et rapportée par de nombreux citoyens dans les médias et devant les tribunaux lors des enquêtes et expertises sanitaires : maux de tête, nausées, bourdonnements d’oreille, problèmes cardiaques et dermatologiques, démangeaisons, etc. ont été officiellement associés aux irradiations artificielles micro-ondes des Hautes Fréquences 2,44 GHz générées par les nouveaux compteurs.

Le passage en force de l’installation des nouveaux compteurs est apparu au fil des mois dans l’opinion publique comme une agression anti-démocratique et anticonstitutionnelle qui de surcroît porte atteinte à la santé des personnes dans leurs propres maisons.

Dans un second temps, notamment en Californie, ce sont plus de 47 villes et Comtés qui ont exigé et obtenu l’arrêt des installations et une dizaine de gouvernements locaux ont adopté des lois interdisant le déploiement de cette technologie controversée. Fin 2011, le revirement spectaculaire californien s’est répandu à travers le pays et dans le monde entier, incitant certains gouvernements à mettre en attente le déploiement souhaité par les industriels. L’Etat du Nevada a demandé des enquêtes sanitaires et d’autres enquêtes sur les problèmes engendrés par ces compteurs.

Il est surprenant que le député écologiste de Paris Denis Baupin ait voté le 14 octobre 2014 les articles 7 et 7 bis de la loi sur la transition énergétique rendant obligatoire le déploiement national du compteur Linky, alors qu’il avait été, en tant qu’élu parisien, à l’origine d’un vœu approuvé le 18 octobre 2011 par la Ville de Paris, rejetant le Linky en raison de « l’absence de confidentialité des données » et de la « non maîtrise de la demande d’énergie (…) remettant en question les potentialités des ‘smart grids’ (réseaux intelligents)  pourtant à l’origine même du changement de matériel ».

Linky est également problématique sur le plan de la sécurité électrique : la mise en panne d’appareils électriques le jour même de l’installation ou dans les semaines qui suivent, des incendies et même des explosions ont été constatées.

La mise en place du Linky entraînera la suppression de milliers d’emplois, puisque la relève se fera à distance, de même que les coupures pour factures impayées et le rétablissement de l’électricité. ERDF/ENEDIS appelle cela le « pilotage » à distance. Linky rend possible l’arrêt à distance et la mise en charge à distance de l’alimentation électrique d’équipements tels que les ballons d’eau chaude ou les radiateurs électriques.

Pendant la phase d’expérimentation en Indre-et-Loire, des surfacturations ont été constatées : pour équilibrer la production et la consommation d’électricité, le distributeur a mis en charge pendant les « heures pleines » le ballon d’eau chaude qui n’était auparavant en charge que pendant les heures « creuses » à tarif réduit.

Le risque existe que le pilotage à distance soit contrôlé par une personne malveillante. Par le piratage informatique, elle pourrait procéder à des coupures  d’électricité ciblées ou massives. Un terrorisme d’un genre nouveau serait possible.

Enfin, Linky a pour effet de diminuer la puissance effectivement disponible, ce qui contraint les clients ne pouvant pas diminuer leur consommation à augmenter la puissance de leur abonnement.

Concrètement prenons l’exemple courant qui concerne des millions de français ayant souscrit une puissance d’abonnement de 18 kWh, soit 18 000 Wh (Watts heure), leurs disjoncteurs étaient réglés (calibrés) à 90 Ampères par EDF, ce qui donne au final une puissance réelle disponible suivant la formule P=UI soit 230 x 90 = 20 700 VA (Volts Ampère) soit 20,7 kVA. Avec le compteur Linky, c’est totalement différent, puisque l’abonnement équivalent à la puissance réellement délivrée sera limité à 18 kVA (18 000 VA) ce qui donnera au final une puissance d’ampérage effective inférieure suivant la formule de I (Intensité) = P/U soit 18 000 / 230 = 78,26 Ampères. Ce chiffre, qui est la réalité exacte de la puissance effective délivrée par le compteur Linky, est donc très différent du compteur et disjoncteur analogique actuel qui dans l’exemple ne coupait la fourniture d’électricité qu’à 90 Ampères. Linky disjoncte à la valeur de 78 Ampères !

En résumé, le compteur Linky est la nouvelle chimère des industriels de l’électricité, qui après nous avoir imposé les ampoules basse consommation qui vont être interdites en 2020 à cause de leur teneur en mercure, veulent réitérer leur exploit avec ce nouvel appareil inutile, dangereux et coûteux.

Sources d’informations sur Linky :

Une transition énergétique efficace, source de croissance et d’emplois : propositions de la FIEEC

Linky : Le Concept Grid d’EDF (voir p. 18 du livret Être actionnaire d’EDF 2014)

Linky : une future puce pour réseaux électriques intelligents

Linky : L’Allemagne rejette les compteurs intelligents

Linky : Enquête de l’association Next-Up

Linky : Lutte contre les smart grid au Québec

Linky : Nouvelle source radiative hautes fréquences

Linky : Un vrai talent de compteur

Linky : Aux USA, la justice ordonne les premières suppressions des nouveaux compteurs intelligents et leur remplacement par d’anciens compteurs analogiques

Linky : Conseil de Paris 18 octobre 2011, vœu rejetant l’installation de compteurs intelligents d’électricité chez les Parisiens

Que Choisir : rapport d’évaluation de l’expérimentation des compteurs communicants, février 2011

Linky : Comprendre le Cosinus Phi, énergie active et énergie réactive

Linky : L’arnaque cachée d’ERDF

Linky : Pourquoi 10 millions de ménages risquent d’être pénalisés

Linky ERDF Sondage Convention d'Aarhus

http://www.next-up.org/France/Linky.php

18/12/2015

un troisième !

trois livres vitaux

Laurent Mauduit, "Les imposteurs de l'économie"

http://www.amazon.fr/Les-imposteurs-l%C3%A9conomie-Lauren...

une œuvre de salubrité publique :

http://www.leretourauxsources.com/index.php/histoire-secr...

 

« La vie privée en péril », le cri d'alarme d'Alex Turk

http://www.lavoixdunord.fr/France_Monde/actualite/Secteur...

 

 

 

10/12/2015

la totalité des oppositions que vous voyez passer à la télévision sont des oppositions dont le pouvoir n'a rien à craindre


c'est ce que j'appelle le principe d'Asselineau

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par exemple un militant "de gauche" qui dit qu'il ne faut surtout pas sortir de l'Euro ni de l'Union Européenne, ça c'est un mystificateur ou un con et le régime n'a rien à en craindre. Comment peut-on être de gauche (réellement ! contre le grand capital et pour la lutte des classes, pour le peuple) et ne pas être opposé à cette machine à interdire toute politique de gauche ?!
surtout après ce qui est arrivé à la Grèce, même les plus cons devraient avoir fini par comprendre.

or :

1314227-Obeir_cest_trahir_Desobeir_cest_servir.jpg

 

 celui-là non plus ne passera pas à la télévision, il risquerait de faire des téléspectateurs des êtres pensants !

*

 Après ça, ils vont nous dire qu’il faut absolument voter dimanche parce que nos "valeurs" sont en danger. Mais lesquelles ? Les valeurs boursières ? La sacro-sainte société de consommation des firmes du grand capital ? Non, pas de danger, celle-là est consacrée maintenant par l’état d’urgence. Les autres, les vraies, on vient de nous les voler avec ce même état d’urgence. (qui sera indéfiniment reconduit, comme un certain "Patriot Act", on parie ?)http://philippealain.blogspot.fr/2015/12/le-front-nationa...

http://philippealain.blogspot.fr/2015/12/la-liberte-dexpr...

 

ET PUIS PENSEZ à LAISSER UNE PLANETE PROPRE à VOS ENFANTS

https://www.youtube.com/watch?v=zZWUdtWQTig

 

24/06/2015

Jean-Pierre PETIT

Jen-Pierre Petit estas emerita sciencisto (kaj en la nuna epoko emeritoj - en ĉiuj terenoj ... - nur emeritoj ĝuas la liberon je parolo ! ĉar ili ne plu havas por timi pri kio iĝos al siaj karieroj, nek pri sankcioj, ktp. Ili do iel parolas por la kompatindajn junuloj, kiuj vivas en timo pri senlaboreco, foje eĉ karcero). Antaŭ jaroj mi esperantigis plurajn el liaj popularsciencaj bildliteraturajn albumojn; jen :

LIGILOJ AL LA ALBUMOJ ESPERANTIGITAJ

http://www.savoir-sans-frontieres.com/JPP/telechargeables...

sur Ipernity on les amis aussi, sauf que dans cette merde qu’est devenu la nouvel Ipernity il n’y a plus moyen d’avoir accès aux documents pdf, le lien direct, sinon PERSONNE absolument personne ne se douterait jamais qu’il y en a et ne risquent pas de tomber dessus !!!! voici donc le lien direct à la liste des pdf de ses abums  http://www.ipernity.com/search/doc?opt=&q=Jean-Pierre...

Et donc ici vous pourrez le voir dans le jardin de sa maison parler sur des tas de sujets, très très interessants !

https://www.youtube.com/watch?v=NTUjG9nGTLs... : Sur la liberté d'expression
https://www.youtube.com/watch?v=PgQI5dnBbyE... : Sur l'armée 1/3
https://www.youtube.com/watch?v=eveeCCbXxIc...: Sur l'Armée 3/3
https://www.youtube.com/watch?v=Onduk77SltY... : Sur la science
https://www.youtube.com/watch?v=aTRYZvZQ98o... : Sur l'ouverture d'esprit
http://www.youtube.com/watch?v=EnXg0qEgFgs : Cosmologie, carrière scientifique 1/3
http://www.youtube.com/watch?v=rIIC-_lgE2k : Cosmologie, carrière scientifique 2/3
http://www.youtube.com/watch?v=ssorxRwvJ8Y

Cosmologie, carrière scientifique 3/3

 

et méditez bien la morale de cette histoire
http://www.jp-petit.org/nouv_f/NOEL_2014/NOEL_2014.htm

27/02/2015

Luc Michel

http://rene.kimbassa.over-blog.com/2015/02/luc-michel-sur...

 

 

08/12/2014

les forces de gauche qui savent réfléchir sont pour la sortie de l'UE

Et pour la sortie de l'OTAN (ça aussi c'est dans le programme de l'UPR, soit dit en passant) En Italie une grande campagne se crée pour demander la sortie de l'OTAN, que la France de De Geulle en prenne de la graine !
http://www.vineyardsaker.fr/2014/12/07/campagne-internati...

(et ça montre aussi qu'il n'y a pas que l'UPR sur terre ! ils n'ont pas le monopole de la résistance et du bon sens, ça se répand partout maintenant !)

 François Asselineau s'adresse aux électeurs de gauche :

MAIS AVANT ça voici un résumé en anglais, de l'origine de cette "Europe" 

A United Europe was clearly a vision of Plantard’s 1940 vision, as expressed in the issues of Vaincre. And in the 1950s, a New York-based group called the American Committee on United Europe, whose leadership included General Bill Donovan, wartime head of the OSS (the fore-runner of the CIA), George Marshall, the US Secretary of State, and Allen Dulles, then Director of the CIA.
This high-powered CIA-funded pressure group financed the so-called European Movement, headed by Joseph Retinger, who promoted select gatherings of European and American politicians, businessmen, aristocrats, top civil servants and military leaders. It is also a group that would later inspire Prince Bernhard to create the Bilderberg group, which is now known to have equally been set up with CIA funding.

In 2000, declassified American government documents showed that the US intelligence community funded and directed the European federalist movement. One memorandum, dated July 26, 1950, gave instructions for a campaign to promote a fully fledged European parliament. It was signed by Gen. William J. Donovan, head of the American wartime Office of Strategic Services, precursor of the CIA. The vice chairman was Allen Dulles. The board included Walter Bedell Smith, the CIA’s first director, and a roster of ex-OSS figures and officials who moved in and out of the CIA.
The documents again showed that ACUE financed the European Movement, the most important federalist organization in the post-war years. In 1958, for example, it provided 53.5 per cent of the movement’s funds. Most interestingly, these documents again confirmed that the European Youth Campaign, an arm of the European Movement, was wholly funded and controlled by Washington.

Societe Perillos

American Committee on United Europe was started by William J Donovan. Donovan also started GLADIO

I like the last sentence:

Quote:

The head of the Ford Foundation, ex-OSS officer Paul Hoffman, doubled as head of ACUE in the late Fifties. The State Department also played a role. A memo from the European section, dated June 11, 1965, advises the vice-president of the European Economic Community, Robert Marjolin, to pursue monetary union by stealth.

It recommends suppressing debate until the point at which "adoption of such proposals would become virtually inescapable".

 

Bon, revenons au français et à François Asselineau :

 

"Après le Nicaragua et le Venezuela, c'est la Bolivie qui vient s'ajouter à la liste des États qui accordent l'asile politique à Edward Snowden. Il me semble assez probable que le président Correa de l'Équateur devrait annoncer à son tour la même décision dans les prochaines heures.

Deux évolutions essentielles sont à noter :

d'une part, ces événements historiques se déroulent dans une atmosphère d'effervescence patriotique et anti-impérialiste qui est en train de balayer toute une partie du continent latino-américain.

d'une part, tous ces chefs d'État sud-américains ne prennent plus de gant pour appeler un chat un chat : ils mettent exactement dans le même sac « les Européens et les Américains du nord ».

On me permettra de souligner à quel point cette évolution des esprits - à l'échelle d'une moitié de continent - confirme de façon éclatante toutes les analyses que j'ai présentées au public depuis la création de l'UPR.

Ce que nous disent en substance les chefs d'État sud-américains les uns après les autres, c'est en effet que la prétendue « construction européenne » n'est bel et bien qu'une gigantesque opération d'asservissement des pays d'Europe conçue et imposée par Washington à des fins de domination mondiale et dans un objectif guerrier de « choc des civilisations », et que cette stratégie fonctionne puisqu'il n'y a désormais plus aucune différence entre « les Européens et les Américains du nord ».

---------------------------------------- CONCLUSION : LE CHOIX EST CLAIR -----------------------------------------J'en appelle ici à tous les citoyens français épris de paix et de justice, et tout spécialement à mes concitoyens de gauche. Ne vous laissez plus manipuler par ces responsables politiques troubles - au premier rang desquels les dirigeants du Front de Gauche ou de EELV -, qui vous font croire que l'on pourrait parfaitement être pour l'Europe et pour l'euro, tout en se proclamant les amis des peuples et des régimes progressistes d'Amérique Latine. Qu'il suffirait en somme de se proclamer « pour une Autre Europe » pour que le problème soit réglé.

Tout ceci est une abjecte tromperie. Les 56 ans écoulés depuis le traité de Rome ont amplement prouvé qu'il n'y a aucune « Autre Europe » possible, et cela pour toutes les raisons précises et irréfutables que j'expose depuis plus de 6 ans à mes auditoires, sans jamais avoir été démenti une seule fois par des événements contraires

Chaque Français et chaque Français est donc confronté désormais à un choix d'une clarté limpide :

 soit garder le silence, avoir peur et baisser les yeux, en laissant lâchement la France, sous couvert de « construction européenne », devenir une colonie américaine pour devenir le supplétif des Américains dans des guerres néo-coloniales de plus en plus meurtrières à la surface du globe ;

 soit se réveiller d'un mauvais songe, relever les yeux et se redresser dignement, rejeter la tentation de la peur et de la lâcheté en étant désormais résolu à faire sortir la France de cette prétendue « construction européenne » qui est en train de nous détruire, non seulement matériellement mais aussi spirituellement.

Ce choix est LE choix décisif de notre époque. Et vous savez que l'UPR est le seul mouvement politique à vous proposer clairement, sans aucune variation ni ambiguïté depuis sa création, d'opter courageusement et fièrement pour la sortie de l'UE, de l'euro et de l'OTAN.

Ce qui est nouveau ce soir du 6 juillet 2013, c'est que ce n'est plus seulement moi qui vous le dis. D'une certaine façon, ce sont les présidents du Nicaragua, du Venezuela et de la Bolivie qui viennent de le crier à la face du monde.

François ASSELINEAU

 

Je rappelle ces propos de SAPIR :

"L’union européenne est aujourd’hui le site d’où s’impulse la radicalisation des politiques néolibérales ; un espace de prise de décision où l’influence de la volonté populaire est systématiquement tenue à distance. En outre, la création de l’euro dans le cadre de l’union économique et monétaire a nourri des déséquilibres insoutenables qui ne peuvent être durablement résorbés, fut-ce au prix d’un brutal ajustement à la baisse des salaires, une hausse des impôts indirects et une détérioration drastique des services publics comme on l’observe dans les pays de la périphérie.
Ce constat commun conduit à une appréciation partagée : l’Union européenne et, plus spécifiquement, l’union économique et monétaire sont des dispositifs de pouvoir hostiles aux intérêts de la majorité de la population européenne et doivent être désignés et combattus en tant que tels par la gauche. Point de salut donc dans le grand bond en avant présenté aujourd’hui par les commentateurs européistes comme la seule issue à la crise. Bien au contraire. Tandis que les classes dominantes sont puissamment organisées et coordonnées à l’échelle européenne (et plus largement internationale), les mouvements sociaux et les organisations de gauche demeurent fragmentés géographiquement, profondément ancrés dans les rythmes de leurs espaces nationaux. Ne disposant pas de leviers institutionnels pour investir le champ stratégique européen, les salariés n’influent d’aucune manière l’agenda intégrationniste qui ne peut de ce fait leur être que défavorable. Il faut donc rechercher une forme de rupture avec l’UE ce qui implique, mécaniquement, en venir à un recentrage – au moins temporaire – sur un espace national de définition des politiques économiques et sociales." (Sapir)

 bref sortir de l'UE (par usage de l'article 50) comme le préconise François Asselineau et l'UPR

Le syndicats des cheminots et marins britannique appelle à la sortie du Royaume-Uni de l'UE, parce que ses dirigeants ont parfaitement compris - comme l'UPR - que la prétendue « construction européenne » est un processus nécessairement autobloquant et dictatorial.

Le peuple français finira-t-il enfin par comprendre ça et se révolter efficacement ? ça urge car, ce qui est terrible, c'est que le point de non-retour est presque atteint... La force des européistes néolibéraux du grand capital et de "Libéral-fascisme" (regardez sur internet pour avoir la définition) est dans le fait qu'ils ont bricolé un système légal puissant (lobbys intellectuels, financiers, industriels, politiques) ils ont réussi ce que les mafias internationales ont entrepris dans les années 50 : être dans les rouages décisionnaires de la société. La réussite de la commission et des médias est d'avoir diabolisée toutes les autres démarches intellectuelles, protégeant ainsi leur propre système. Ils sont téléguidés par des commanditaires de l'ombre qui connaissent parfaitement les faiblesses de chacun. Tant qu'il y aura ce genre de cercles indestructibles et parfaitement coordonnés, les alternatives seront bâillonnées et juste maintenues pour faire croire en la liberté d'expression.

23/05/2014

pour comprendre il faut bien décortiquer ce qui s'est réellement passé

*

l'Euro est une des éléments de l'entreprise de vassalisation de l'Europe par les Etats-Unis

 

"L'UPR est le parti qui reprend la Résistance !" Claude Roddier, astrophysicienne, fille d'un responsable de maquis en 40 :

 "L'UPR : c'est le parti qui reprend la Résistance !". ces mots prononcés par une personnalité de la Résistance varoise

 sonnent comme un nouvel appel du 18 juin.
La situation de la France de 2014 est comparable à celle de 1944.

 Le peuple a été trahi par ses représentants

 qui ont accepté l'asservissement à une puissance étrangère.

La France comme l'ensemble des nations européennes, (regardez la Grèce !)

se retrouve sous la domination d'une oligarchie capitaliste

 animée par une volonté impériale.
La stratégie est la même qu'avec les Indiens d'Amérique,

 puis avec les Etats d'Amérique du Nord :

 la signature de traités qui seront imposés aux peuples colonisés

sans être jamais respectés par leurs instigateurs.
En France, nous avons eu les traités de Rome,

 puis de Maastricht puis de Lisbonne et demain le "TAFTA". ("Grand Marché Transatlantique")
Assez de collaboration, assez de soumission !
La solution c'est de briser l'engrenage en exigeant,
sans ambiguïté, la dénonciation de ces traités infâmes.
L'article 50 du traité de Lisbonne le permet.
Exigeons sa mise en application sans délai.
Tel le but de l'Union Populaire Républicaine... son seul but.
Plus d'infos sur l'UPR : www.upr.fr
Pour en savoir plus sur Mme RODDIER, c'est là :
http://rene.merle.charles.antonin.ove...

12/03/2014

locations de ventres - dangers du "Grand Marché transatlantique" - et autres infos dont les médias ne vous parlent pas !

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10/03/2014

le jargon de nos prédateurs - typique !

Recension parue dans Bastille-République-Nations du 17/09/12
sous la plume de François Asselineau
( une de ses conférences :
http://www.youtube.com/watch?v=jXjnlLRM8LY
)

Lorsque les censures des pouvoirs autocratiques de l’Europe d’Ancien Régime se faisaient trop pressantes, certains essayistes contournaient le problème en publiant des pamphlets codés ou des romans à clé.

 Ils les présentaient comme des lettres faussement naïves écrites par des étrangers (L'espion Turc de Cotolendi ou Les Lettres Persanes de Montesquieu, parues en 1721) ; ou bien ils les situaient dans un monde imaginaire (Les Voyages de Gulliver, de Jonathan Swift) ; ou bien encore, ils les situaient dans un futur imaginaire. Ce dernier procédé rhétorique fut par exemple utilisé, en 1771, par le Français Louis-Sébastien Mercier, dans son livre L'an deux mille quatre cent quarante. Rêve s'il en fût jamais. Dans ce tout premier roman d’anticipation dont le retentissement s’étendit à toute l’Europe, Mercier imaginait qu’il s’endormait pour se réveiller 669 ans après, en l’an 2440. Ce qu’il y découvrait avait de quoi mettre le vieux Louis XV en pétard : la monarchie était devenue constitutionnelle, Versailles était tombé en ruines, et l’impôt, désormais volontaire, ne dépassait pas les 2% des revenus. Détail ravageur puisqu’en 1771, le monarque français venait de sanctionner la Cour des Aides qui avait osé critiquer la levée de nouveaux impôts. Lesquels visaient (déjà !) à lutter contre le déficit budgétaire.

 En cette fin 2012, cette belle tradition pamphlétaire vient de s’orner d’un nouveau petit bijou signé Pierre Lévy. Dans L’Insurrection, l’auteur nous emmène non pas en 2440, mais plus modestement en 2022. C'est un roman d’anticipation politique, un peu à la manière de Mercier. Mais son contenu a de quoi provoquer, chez Jacques Delors, Nicolas Sarkozy ou François Chérèque, un trouble de l’humeur à côté duquel la colère de Louis XV devant le pamphlet de Mercier ferait figure de légère irritation.

 Au gré des pages de ce roman qui se lit d’une traite, s’égrènent impitoyablement toutes les idées reçues européistes, toutes les niaiseries médiatiques, toutes les imitations américanolâtres, et tout le catéchisme ultralibéral de notre époque. Le narrateur nous y décrit, dans un style d’une candeur désarmante, un univers de bisounours décervelés qui portent tous des prénoms américains (Dylan, Samantha, Cindy, Jordan, Steven…), et dont l’horizon conceptuel est strictement borné à la pensée de Bernard-Henri Lévy et de Laurence Parisot. Il y est question d’interventions militaires aux quatre coins du globe pour y protéger la liberté du commerce et la légitime rentabilité des entreprises.

 Dans ce monde où la France a été dépecée et fusionnée dans une « Communauté euro-atlantique des Valeurs » (CEAV), tout ou presque a été privatisé, y compris la justice, certaines municipalités et des États entiers. Mais l’inhumanité atroce et la violence des rapports sociaux qui en découlent sont systématiquement occultées par un discours lénifiant et des antiphrases orwelliennes.

 Sous la réserve qu’un taux de suicide minimum parmi les salariés de chaque entreprise permette de rassurer les actionnaires sur la recherche de la rentabilité optimale, on y chante donc la transparence, la gouvernance, la stabilité, la tolérance, la compétitivité, la biodiversité, la solidarité, la rentabilité et l'on en passe. Tous ces concepts doivent aussi être étiquetés : globaux, solidaires, harmonieux, citoyens, innovants, équitables, renouvelables, soutenables, responsables, durables, etc. Et le discours public consiste à marier toutes les combinaisons possibles entre ces substantifs et ces adjectifs politiquement corrects. On pourra ainsi, au choix, militer pour une « biodiversité équitable », une « tolérance solidaire », une « stabilité globale », une « gouvernance citoyenne », etc. En 2022, la pensée politique a ainsi disparu pour laisser la place à un jeu de « cadavres exquis » digne des surréalistes.

 Page après page, le lecteur est également joyeusement noyé sous les tartufferies de notre époque, tels le « recyclage citoyen », les « expérimentations innovantes », la nécessité « d’assouplir les retraites », de « moderniser le droit de grève » ou de « faire respirer les rapports entre salariés et employeurs ». Tous ces euphémismes ayant toujours le même objectif – celui des « réformes indispensables » – que nous ne connaissons que trop bien : encore et toujours, détruire tous les acquis sociaux.

 Dans la foulée, la plume de Pierre Lévy souligne implacablement les ridicules de la discrimination positive et du communautarisme, nous informe de l’invention du « crime contre la stabilité économique » justiciable d’un nouveau Tribunal de la Haye, nous explique pourquoi il a été décidé de substituer les sondages aux élections, et nous montre comment tous les opposants à cet univers sont disqualifiés par la simple apposition d’épithètes méprisantes (« intégristes de l’État de droit », « intégristes de la laïcité », « intégristes des acquis sociaux », « populistes », « archaïques », etc.). Comme le dit son narrateur dans un élan de « pédagogie », de toute façon, « il n'y a pas le choix ».

 Déjà implacable, la plume de l’auteur devient carrément cruelle pour dépeindre, par quelques formules exquisément assassines, la façon éhontée dont des responsables syndicaux trahissent ceux qui leur font confiance.

 Ces syndicalistes jaunes, qui approuvent en catimini toutes les mesures de régression sociale, ne se battent, pour la galerie, que sur des modalités d’application ridicules. Tel syndicat, par exemple, « exige » que les licenciements minutes soient notifiés au salarié par courriel et pas seulement par SMS… Une association féministe, quant à elle, « exige » que les licenciements touchent équitablement les hommes et les femmes. Et tout ce beau monde tombe d'accord pour que la grève « modernisée » se limite à une inscription sur le site Internet « jesuisengreve.com », étant entendu que le « gréviste » continue à travailler pour ne pas mettre en péril l’équilibre financier de l’entreprise.

 Devant un tel torrent d’idées percutantes et de dénonciations qui font mouche, on regrettera peut-être certains passages un peu trop appuyés, ou des clins d’œil parfois trop explicites. La nostalgie affichée pour l’Allemagne de l’Est ne convaincra sans doute pas tous les lecteurs. Et d’autres feront peut-être la moue devant quelques jeux de mots qui frisent la plaisanterie de potache.

 Mais j’avoue que je n’ai pas pu m’empêcher de rire souvent devant cet intarissable feu d’artifice de calembours, dont Pierre Lévy nous prouve une nouvelle fois qu’il en est un maître incontesté. Pour n’en citer qu’une poignée parmi des dizaines, le conseil d'un père à son rejeton né des amours éphémères d’un couple de traders : « tu seras un gnome, mon fils » ; l’agence de communication « Triple Buzz » ; le projet « d’érection des Maisons de la Tolérance » ; ou les limites de négociations atteintes lorsque la Commission de Bruxelles a « épuisé ses quotas de prêche ». Je laisse le lecteur faire la compilation de tous les autres, notamment de ceux que « la décence m’interdit de préciser davantage », comme disait le regretté Pierre Dac.

 Ce monde de 2022 est aussi peuplé d’organisations dont les acronymes, plus burlesques les uns que les autres, invitent à en rechercher le sens caché, toujours drolatique et souvent plein de sel : l’AISE, la FAUST, l’EPEG, les CCTV, la FEU, l’OCU, le FÉE, le MAM, le HCSIG, etc., avec une mention spéciale pour le Fonds EELV (Ethnic Equity / Loyal View) qui rachète la Corse et le Pays basque.

 Lorsque l’on referme cet ouvrage, qui se conclut de façon très enlevée par deux coups de théâtre successifs, on se dit que l’on n’a pas perdu son temps. Non seulement on a pu rire de bon cœur devant ce spectaculaire « chamboule-tout », mais l'on sent aussi que derrière cette jubilation se cache une immense colère contenue. L’arme de la dérision se révèle spécialement efficace pour démasquer cet affreux mélange de tyrannie et de bonne conscience, qui est d'ores et déjà le monde enchanté de l’Union européenne.

 Armé de cet excellent pamphlet, il nous appartient de tous nous mobiliser pour hâter la nécrose de cet univers qu'il nous laisse entrevoir. Une nécrose qui a déjà largement commencé.

FRANCOIS ASSELINEAU

 

Un autre "OUTIL" très important pour museler la contestation du peuple c'est - devinez ! - Le Front National, le méchant de service, utile pour toutes les manips :

Crève sale linux !

http://www.youtube.com/watch?v=6B_cX5Useq4

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13/02/2014

un jour on fera ça aux humains aussi

http://metatv.org/il-propose-d-utiliser-des-poulets-sans-...

 

si vous n'aviez pas encore compris la nature du capitalisme, il serait temps

si vous n'avez pas encore compris la nature de la modernité, il est urgent de lire le livre de Zygmunt Bauman "modernité et holocauste"

si vous croyez encore que certaines alertes sont "paranos"; vous avez peut-être compris maintenant quels sortes de gens sont les maîtres du monde où vous vivez ? Et que le pire est toujours possible, et après le pire, l'encore pire, c'est la logique, quand on laisse faire