Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

26/06/2021

Sarajevo hasards ou complot ?

« On sait depuis que celui qui mise sur la fin du monde peut confier à des fonctionnaires autrichiens le soin d’exécuter la procédure. Qui, autrement, aurait admis que le véhicule de l’héritier du trône, François-Ferdinand, et de son épouse Sophie, après un premier lancer de bombe, tente une fois encore de traverser la foule dans l direction opposée – jusqu’à ce qu’une erreur supplémentaire du chauffeur, qui entrepris un demi-tour, place le véhicule, près du pont Latin, juste directement en face au pistolet de l’auteur du coup de feu mortel, Gavrilo Princip, un garçon de dix-neuf ans surmotivé auquel on avait refusé peu avant l’admission dans les unités de combat du mouvement e libération serbe ? » (Peter Sloterdijk)

 

Je rappelle que comme a dit Alexandre de Marenches « une "opération spéciale" au sujet de laquelle le public se pose des questions est une "opération spéciale" ratée ». pendant 110 ans les gens (pas même les quelques millions de morts) ne se sont pas posé de question sur le déroulement de l’assassinat, ce fut donc une "opération spéciale" réussie....

 

au fait est-ce que vous vous rendez compte que vous avez dans les années 70 acceptés de confier tout votre avoir aux banques, et si les banques se mettent à faire de la rétention, elles sont devenus vos maîtres et même manger sans elles vous ne pouvez plus !! vous qui acceptez depuis quelques années que les sites internet INJECTENT des "cookies" dans VOTRE ordinateur chez VOUS, vous qui actuellement acceptez même de vous faire (pour la moitié des français, j'espère que ce ne sera pas plus, et qu'on pourra comme en 44 reconnaître les lâches collabos ...) INJECTER un vaccin dangereux et traceur (si ! si ! ça fait dix ans qu'ils ont le brevet, et renseignez-vous sur les personnes devenus magnétiques après avoir été vaccinées

Les Vaxxinx ne fonctionnent pas par contre il crée des variants par mutagènes , dit Vaxxinx sont délétères et souvent letal ...
Renseigner vous sur la chaîne de l'IHU et dans les médias parallèles ....
certaines compagnies aériennes refusent les nouveaux vaxxiner pour cause de magnétisme ( ils font sonner les bornes de détection des métaux ..) et pour gros risques thrombo embolique ,AVC et IDM notamment ...) et sans doute immunodépresseur ou mutagène à terme, dans le corps,

que ferez-vous quand l'eau sera devenue brulante et que vous ne pourrez plus sauter hors de la marmite ? https://odysee.com/@Contreverse:7/210621-CDL93-HR:6

14/06/2021

"NOUS NOUS SOMMES adapté à une vie qui totalement inacceptable !" nous rappelle Jean-Jacque Crèvecoeur eh oui ! le problème !

"NOUS NOUS SOMMES adapté à une vie qui totalement innacceptable !" nous rappelle Jean-Jacque Crèvecoeur (lien vidéo ci-dessous)

Et j'ajoute ; ET nous avons eu TORT, dès le début !!  (dès le moment, en 1978 quand on nous a supprimé les contrôleurs à la sortie des gares - logique capitalo ! suppression des emplois = profits en plus - et CHOMEURS EN PLUS ... et NAIRU en plus - pour les remplacer par des bornes électronique "contrôlez-vous vous-mêmes" ! (bénef ! je vous ai dit ! )  "mais si jamais vous ne le faîtes pas alors vous serez considérés comme des CRIMINELS et arrêtés par la police ! " .

Les gens comme la grenouille dans la marmite ont trouvé ça bien, et ont diligemment obéi (comme pour les interdictions des juifs, non , pardon ! des fumeurs ! ) comme les bons allemands quand on les a obligés de lever le bras et de faire "Heil Hitler!' pour ne pas être considérés comme des criminels.

Dès le début . C'est ça le problème

innacceptable aussi était de fermer les églises, comme on nous a fait dans les années 90. et ainsi de suite, les caméras, les payements électroniques, les vigiles privés des hypermarchés, etc, etc

Regardez et méditez sa vidéo n° 90, lien ci-dessous :

https://odysee.com/@DouxReveur:3/CDL90---Du-d%C3%A9sespoi...

 

Le problème pour les gens nés dans les années 50 et qui se révoltent devant tout ce qu'on nous fait, toutes les dérives et dégradations de la société actuelle est que la jeune génération, née après 1990, elle n'a jamais connu rien d'autre ! les jeunes  ne peuvent même plus comparer avec la France des années 50 et 60 et s'épouvanter de tout ce qu'on a perdu depuis.
(Cette génération, et bien, elle va mourir - c'est la mienne - et après il ne restera plus rien, il faudra demander aux historiens ou regarder les vieux films , les vieilles chansons, lire les vieux romans, etc.)

Ils sont nés sous les caméras de vidéo-surveillance, le chômage, et les bavures policières, les innombrables obligations, privations , "devoirs" et interdictions qu'on nous impose sous le nom de "citoyenneté", et ils pensent que c'est normal !!

et ils ne sont même pas choqués qu'on fasse tatouer les animaux, comme les nazis tatouaient les déportés d'Auschwitz, et qu'on rende ça obligatoire !!!

et ils sont nés dans une France où toutes les églises sont fermées, ils ne savent pas que des églises normalement c'est ouvert, normalement !

Toutes choses, et bien d'autres encore, qu'en 1960 personne n'aurait jamais, au grand jamais imaginé que ce serait un jour seulement envisageable !!!

etc, etc, c'est valable pour plein de domaines, et de nouvelles technologies et pratiques (et propagandes, et conditionnement des gens) de ce que Sylvain Timsit a nommé le Libéral-Fascisme.


ils n'ont pas connu la société civilisé (ni la lutte syndicale ! ni la sécurité de l'emploi, ni l'échelle mobile des salaires) qu'on avait alors, ni les café-hôtels qu'il y avait partout, des magasins partout, des enfants partout, des lignes d'autocars jusque dans le moindre village, des services publics partout, des caméras de vidéo-surveillance nulle part !

 

c'était aussi une époque de liberté et de convivialité pour les enfants, comme on le voit décrit dans les aventures de Mafalda ou de Boule et Bill, un temps où le monde était à eux  « Je me sens bien dans les rues, les chemins. Peut-être que cela vient de l’enfance, dans ces maisons où il n’y avait pas de séparation entre le dedans et le dehors. On entrait, on sortait comme on voulait. On entrait à nouveau sans prévenir personne, sans protocole d’accord, d’accueil ou de départ. Nous, les enfants, on était tout le temps dehors. On changeait souvent de maison, ce qui fait qu’on n’en habitait aucune. Le monde était à nous. »


Ils n'auront plus les velléités de révolte, car ils ont été éduqués à la soumission, l'ont intériorisée, et ne savent pas qu'on peut vivre autrement.     

et c'est pourquoi on assiste au "spectacle obscène d'une population soumise et indifférente"

"spectacle obscène d'une population soumise et indifférente"

et c'est pourquoi on peut lire,  conséquence, "pour l’imposer aux jeunes générations dépolitisées qui n’ont pas l’air de comprendre ce qu’il va leur arriver à eux mais qui est épargné aux plus anciens qui résistent trop.

Oui les anciens résistent, car ils ont grandi dans une époque où on était encore libres ( et la France équipée jusque dans le moindre village), et respectés, et debouts, et où on ne se laissait pas faire avec autant de "citoyenneté", comprenez : de soumission.

MAIS quand on  discute avec des "jeunes" (même des pas trop jeunes, des qui sont nés après 1980 on dira)      c'est abominablement affolant ! comme j'ai dit ils ne se rendent pas compte de tout ce qu'on a perdu, ils ont grandi dans une société transformé en camp de concentration où on leur a appris à être soumis, bourrés de contrôles à chaque pas , un monde où tout est interdit censuré, et déshumanisé, ET QUI PENSENT QUE C'EST NORMAL !!! qui ne peuvent pas regretter l'état  de CIVILISATION, et de REPUBLIQUE digne de ce nom qu'ils n'ont plus connus, en en plus ils ont subit une telle décérébration culturelle !  on les a désappris à réfléchir. Par exemple les travailleurs, qui autrefois étaient politisés et avaient au moins quelques notion de marxisme et de lutte des classes, sont maintenant devenus primaires qu'on pousse à voter Front National,   parce qu'on les a désappris à réfléchir et à identifier les problèmes ! Depui qu'on a désappris aux jeunes de se révolter, il ne reste plus que les vieux qui savent encore être rebelles !  quelle sinistre société de zombies ! !!!

et maintenant c'est encore pire (quand on laisse faire de telles tendances c'est TOUJOURS de pire en pire. retenez les adages latins : Principiis obsta, et Finem respices !!)

hélas je crains que le noble combat de Florian Philippot est perdu, les français sont tous devenus des RHINOCEROS, comme dans la pièce de Ionesco, des nazis, bien soumis, bien "citoyens", ils font tous bien sagement le salut "Heil Hitler !"" imposé par le ministre de l'Intérieur du Reich par arrêté du 13 juillet  1933.

Même les espérantistes ! à 95% ils se sont transformés en rhinocéros nazis, et , pire ! ne se rendent même pas cmpte du problème, ils snt nazifiés jusqu'à la moëlle, et ne comprendraient meêm pas pourquoi Florian Pḧilipot se scandalise.

Ariane Bilheran a raison, c'est un comportement sectaire. Frédéric Badel a raison, il y a deux France et plus aucun dialogue n'est possible, rien que les balles, comme en 40-44....

imaginez si nos futurs enfants grandissent dans un enfer totalitaire comme celui que nous veulent les covidofascistes qui nous gouvernent ! ils penseront que c'est la normalité !!!!

Et une des choses que le fascisme a toujours nourri dans toute son histoire, et dans toutes "variants" et ses occurences, c'est la méchanceté, la méchanceté viscérale  mensongère et fanatique. Le fascisme perverti l'es hommes et la société, sème la haine, la bétise, l'arrogance fanatique et cynique, la cruauté gratuite, ça a toujours été comme ça, le fascisme pervertit la nature humaine, il n'est pas seulement créé et organisé par des monstres, mais il transformee tout le monde en monstres. Jean-Jacqes Crèvecœur est en train de le découvrir https://odysee.com/@DouxReveur:3/CDL92---SIDA---COVID19-m...

 

le nazisme quand il s'installe dans les têtes et les pays, c'est toujours "pour toujours" (sauf quand intervient une guerre mondiale, gagnée à Koursk et Stalingrad, ne l'oublions pa, mais ici qui nous sauvera ? personne ! et les français n'ont plus l'esprit de résistance qu'ils avaient en 40-44 ils sont devenus des veaux biens "citoyens" comme on leur a entonné dans la tête, comme des allemands qui font bien sagement leur salut nazi ! et dénoncent leurs voisins qui écoutent Radio-Londres !)

"Matin brun 2.0" 

31/05/2021

on est comme en 40 - ne baissons pas les bras, c'est le début d'une longue guerre pour la CIVILISATION


pendant ce temps du coté des nazis :

https://ru-clip.com/video/FMlnSAR76w4/%C2%AB%C2%A0indochi...

Il faut boycotter tout ces concerts  (et le reste aussi, il faut constituer et nourrir cette liste des Résistants : animap.fr

25/05/2021

l'Incendie du Reichtag 2.0 ce qui se passe actuellement était prévu depuis 2010

 

Relisez Catherine Baker et l’article 34 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1793 (attention ! Celle de 93 ! en préambule à la constitution de 93, qui n’a malheureusement jamais été mise en place) et souvenez-vous « Obéir c’est marcher sur sa conscience et éteindre sa flamme ».

Et puis savoir que ce qui se passe avait déjà été conçu il y a une dizaine d’années dans un memorendum concocté par la Fondation Rockefeller 

Extrait du playbook Rockefeller - dans les plans de travail du NWO du Grand Capital

1ère phase (effectuée actuellement) :

créer et diffuser un virus extrêmement contagieux mais à faible taux de mortalité.

Faire en sorte que les médias provoquent une hystérie de masse à ce sujet en faisant exploser le nombre de décès en falsifiant les certificats de décès, en utilisant des kits de test pré-contaminés, en comptant / testant deux fois et en classant la plupart des décès non liés comme COVID-19.

Un verrouillage (total d’environ 3 mois lentement prolongé dans le temps à plusieurs intervalles) conditionnera la population à vivre sous des mesures / restrictions draconiennes et répétera à plusieurs reprises qu’un vaccin est nécessaire.

Réprimez activement les manifestations et isolez les instigateurs avec de sévères sanctions financières / judiciaires.

Maintenez la quarantaine aussi longtemps que possible pour détruire l’économie de la région, briser la chaîne d’approvisionnement pour provoquer des pénuries alimentaires, des troubles civils et d’autres manifestations.

Finalement, mettez fin au verrouillage de la phase 1 lorsque le refoulement public augmente. Indiquez clairement sur MSM que mettre fin à ce verrouillage est peut-être trop tôt, mais autorisez-le quand même. 

2e phase: (déjà commencée) le verrouillage, la peur et la distanciation sociale compromettront progressivement le système immunitaire de la population, amplifié par le port de masques, une exposition plus longue au wifi / 5G à l’intérieur, par une exposition réduite au soleil, à l’air frais, des bactéries saines et l’absence d’intimité et de nourriture saine Provisions.

Lorsque les gens réapparaîtront dans la société, plus de gens tomberont malades, ce qui sera imputé au COVID-19 et à nouveau souligné par les HSH.

Évoquez le besoin potentiel d’un deuxième verrouillage, soutenu par un nombre d’infections surestimé vers août 2020.

Tout cela se produira avant que la vaccination ne soit prête, pour le justifier.

Vers octobre-novembre, un verrouillage plus long (6 mois et plus) et plus puissant suivra jusqu’à ce que tout le monde prenne le vaccin.

Cette fois, les peines pour désobéissance civile sont augmentées et les amendes sont remplacées par des peines de prison.

Blâmez les manifestants pour la deuxième vague.

Mettez en place plus de points de contrôle avec l’assistance militaire, introduisez des applications Track & Trace obligatoires et prenez le contrôle des approvisionnements et des services de nourriture / gaz auxquels les civils ont désormais besoin d’une autorisation pour accéder.

Continuez à étendre le verrouillage, à dégrader la chaîne d’approvisionnement et à amplifier les pénuries alimentaires. Calmer toute indignation publique en utilisant une action et une force extrêmes et désigner les chefs de l’opposition comme l’ennemi public numéro un.

Déployer des programmes de vaccination à grande échelle et rendre la certification sanitaire obligatoire et une condition préalable pour entrer dans la nouvelle normalité.

La minorité qui défie l’ordre du jour se verra refuser l’accès au travail ou aux fournitures et ne sera pas autorisée à voyager. 

(eh bien créons le "Syndicats des Sous-Hommes" et reprenons la lutte des classes comme du temps de Spartacus ! ou comme en 651 quand le pape Léon 1er disait qu'un esclave c'est forcément un être vil et bas,"populiste" quoi ! la "canaille qui n'est point faite pour penser" disait Voltaire ! et arborons tous une étoile, ou un pin's "Résistance des sous-hommes" !   )

15/05/2021

l'Allemagne est devenu nazie ! juste à côté !

Depuis 2 jours les juifs, c'est à dire les non-vaccinés, bref les sous-hommes, n'ont plus le droit d'entrer nulle part, ne de faire le moindre achat, ni de travailler(à 20 minutes) :


Francis Lalanne, qui quand il s'est présenté aux législatives voulait représenter la bourgeoisie bobo prétenduement "de gauche" rejoint Philippot, c'est - enfin !! - le début de la constitution du CNR, mais il manque encore les communistes on attend comme j'ai dit, Gastaud !! Et Asselineau, qu'est-ce qu'il fait ? il boude son EGO concurrencé ? Le combat pour la libération de la civilisation française et humaine, de l'humanisme contre le fascisme 2.0  est trop vital pour qu'on se laisse arrêter par des vanités d'ambitions ! ni par des "étiquettes" (dont quelques unes sont fausses en fait !) - comme disait Engels ; "The proof of the pudding is in the eating". En 1944 le CNR 1.0 a su réunir des gens autrement différents !  mais ils ont su voir ce à quoi les obligeait la dignité humaine, il est plus que temps qu'on fasse pareil !

09/05/2021

les chiffres sont trafiqués, les médecins et hopitaux sont payés pour inscrire "covid" comme cause de la mort, quand aux test PCR ... n'en parlons pas !

Et le but est fasciste (le fascisme est une tendance psychopathologique issue de l'"esprit de la modernité, quand il n'y a rien qui le bride" comme l'a découvert Zygmunt Bauman, et (comme l'était le Fascisme 1.0 des années 30 lui aussi) c'est l'appetit de profit du Grand Capital, leur "busines-plan" cynique et criminel. ils ont toujours été comme ça, lisez Marx ! ils ont d'abord réduit les forces travailleuse, le peuple, à l'ESCLAVAGE, plus tard au SERVAGE, plus tard encore (du temps de Marx lui-même) à l'état du PROLETARIAT (époque où ont commencé à se former les phantasmes fascistes dans l'organisation des ateliers, lisez les témoins de l'époque !), mais maintenant avec les nouvelles technique ce sera un nouvel esclavage, grâce au "smart-dusts" aux téléphones portables, aux caméras de vidéo-surveillance, au "passeport sanitaire", et ça n'aura pas de limite dans l'horreur !


(et pourquoi a-t-on mis Fiorile, ce héros, ce martyr, en prison ? - juste après qu'il ai diffusé cette vidéo. Si ce n'est parce qu'ils l'ont jugé dangereux, et pourquoi il est dangereux ? parce qu'il a dit la vérité !)

un autre qui a compris ! ea finance dérrière cette crise, bien sûr ! pareil que le fascisme 1.0 (relisez le prix Goncourt "l'Ordre du  Jour" !) et comme en 1988 le 1er mai est le jour où tout a baculé

https://ruclip.com/video/d-yUiDJ5hc0/1er-mai-le-jour-du-g...

06/05/2021

"TECHNO-NAZISME" voilà le terme juste et qui fait comprendre la nature fondamentale du truc, qu'avait identifié ZYGMUNT BAUMAN dans son livre incontournable "modernité et holocauste"

 Zygmunt Bauman fut donc avertisseur de ce qui nous arrive, Michel Foucault aussi, maintenant un autre texte excellent de Nicolas Bonnal "pouvons-nous encore nous défendre ?"

Nous sommes en face de la plus belle destruction créatrice, pour reprendre l’expression luciférienne du regrettable Schumpeter, de notre histoire humaine. Des élites veulent détruire les peuples et les économies, et veulent les remplacer par un grand projet « créateur » nommé le Grand Reset. Et comme nous sommes en démocratie en occident, terre présumée des grandes libertés, personne ou presque n’ose se défendre ou réaliser ce qui se passe : on masque, on ruine, on séquestre, on tabasse, on militarise, et tout le monde se la ferme, comme au cours des deux premières guerres mondiales, quand les opinions publiques occidentales ont gobé les propagandes imposées (Bernays). Les Français eux comme dit Céline restent « parfaitement enthousiastes », fidèles à leur habitude. Zinoviev (ce dissident soviétique, qui après avoir émigré à l'Ouest, s'est mis à  observer et analyser l'Occident actuel avec la même pénétration critique qu'il en avait fait montre envers l'URSS) a raison et le citoyen occidental est le plus abruti de l’histoire. Seulement voilà nous sommes mêlés à son sort titanesque. Zinoviev :

« Nous sommes dans une époque post idéologique mais en réalité la supra idéologie du monde occidental diffusée au cours des 20 dernières années est bien plus forte que l’idéologie communiste ou nationale-socialiste. Le citoyen occidental est bien plus abruti que ne l’était le soviétique moyen par la propagande communiste. »

Guy Debord disait la même chose dans ses commentaires :

« Le spectaculaire intégré a fait mieux, avec de très nouveaux procédés, et en opérant cette fois mondialement. L’ineptie qui se fait respecter partout, il n’est plus permis d’en rire ; en tout cas il est devenu impossible de faire savoir qu’on en rit. »

Jamais l’expression « d’élites hostiles » (Kevin Macdonald) n’a été si juste qu’aujourd’hui. Les élites occidentales (guerres, contrôles, impôts, répressions) ont rarement été bienveillantes, sauf pendant la guerre froide (Zinoviev) et on juge les gens à leur mouvement, pas à leur couleur, comme dans le jeu d’échecs du prisonnier (épisode « checkmate »). Mais l’expression est très juste, on l’a vu au moment des gilets jaunes. En France les élites sont devenues haineuses et odieuses.

Tous les écrivains spécialistes de ces questions nous mettaient en garde contre ces mêmes élites depuis les années 60 et 70 quand les plans d'action malthusiens, technophiles et écologistes se sont mis en place avec deux ou trois objectifs prioritaires, d’ailleurs assez puérils (puérils ou sataniques ?) : dépeupler, régenter, dépolluer. Tout cela devient possible avec la révolution informatique qui permet aux élites occidentales si bien étudiées par Michel Foucault de parachever leur obsession séculaire de surveillance et de contrôle des populations. Je le cite pour l’exemple, car des ignares en matière de déconstruction l’insultent sans même le lire :

« Espace découpé, immobile, figé. Chacun est arrimé à sa place. Et s’il bouge, il y va de sa vie, contagion ou punition. L’inspection fonctionne sans cesse. Le regard partout est en éveil…Tous les jours, l’intendant visite le quartier dont il a la charge, s’enquiert si les syndics s’acquittent de leurs tâches, si les habitants ont à s’en plaindre; ils « surveillent leurs actions ». Tous les jours aussi, le syndic passe dans la rue dont il est responsable; s’arrête devant chaque maison; fait placer tous les habitants aux fenêtres (ceux qui habiteraient sur la cour se verraient assigner une fenêtre sur la rue où nul autre qu’eux ne pourrait se montrer) ; appelle chacun par son nom; s’informe de l’état de tous, un par un…Chacun enfermé dans sa cage, chacun à sa fenêtre, répondant à son nom et se montrant quand on lui demande, c’est la grande revue des vivants et des morts. »

Tout cela pour décrire le bon vieux temps de Louis XIV et de l’Ancien Régime…Jésuites (avec ce pape décalé on est servis), caserne, hôpital, voilà ce que devient notre ordinaire. J’oubliai le poste de police et la marque théâtrale et baroque du masque. [comme dans la fameuse pièce de de théatre de IONESCO "Rhinocéros" ! ou comme le salut "Heil Hitler !" si facilement accepté par tout un peuple d'allemand bien "citoyens" et "solidaires" ! ma note]

Ici cela va devenir permanent et facilité par les technologies de l’information…Un rappel aussi sur la Chine que des antisystèmes pas trop informés [Danielle Bleitrach par exemple ! ma note] nous présentent comme le modèle à suivre. La Chine présente un vieux modèle de bureaucratie totalitaire dirigée par des eunuques (l’idéologie du genre et l’avortement à neuf mois ça vous dit ?), alors citons Michel Maffesoli :

« Dans son livre La bureaucratie céleste, l’historien de la Chine antique, Etienne Balazs, souligne la prédominance des eunuques dans l’organisation de l’Empire. Ne pouvant procréer ils élaborent une conception du monde dans laquelle un ordre abstrait et totalement désincarné prédomine. L’élément essentiel étant la surveillance généralisée. En utilisant, d’une manière métaphorique cet exemple historique, on peut souligner que la mascarade en cours est promue par la « bureaucratie céleste » contemporaine dont l’ambition est stricto sensu d’engendrer une société aseptisée dans laquelle tout serait, censément, sous contrôle. Et en reprenant la robuste expression de Joseph de Maistre, c’est toute « la canaille mondaine » qui sans coup férir s’emploie non pas à faire des enfants, mais à infantiliser la société : il faut en effet noter que pas un parti politique n’a osé s’élever contre le port du masque généralisé. » [sauf le parti "les patriotes" de Florian Philippot, admirateur d'Hugo Chavez, qui se révèle ainsi le seul libre, le seul humaniste et la seule véritable opposition qui reste, ma note]

Cette gestion par les eunuques et les féministes est aujourd’hui parfaitement appliquée dans le monde occidental. Comme je l’ai montrée ailleurs elle était entrevue par Chesterton dans son livre What I saw in America, qui commence par un intense contrôle aux frontières…

Mais revenons à notre sujet : comment nous défendre. Il va falloir faire vite car le système des élites hostiles de Davos (Claus Schwab), du Potomac, de Bruxelles et de la Silicon Valley veut vraiment détruire. Tout sera mis en place l’an prochain ou dans quelques années. J’ai montré que tous les films de dystopie se passaient autour des années 2020 (Mad Max, Blade runner, Soleil vert, 2019 la chute de New York…) :

Le système procède par destruction, anéantissement. Liliane Held-Khawam :

« Cette aberration, qui consiste à prendre du réel à des individus en leur cédant du néant, est en train de mener la planète à la faillite généralisée. Une fin inéluctable prévue par le concepteur du modèle économique Milton Friedman puisque celui-ci avait prévu l’hélicoptère monétaire qui consiste à remettre à tout un chacun un Revenu universel.

Le Revenu universel devient indispensable quand le marché planétaire n’existe plus, qu’il est tenu par des oligopoles/des cartels/ des monopoles. De fait, à l’heure actuelle, seules les entreprises PME et commerces très sains peuvent encore prétendre à une certaine liberté d’entreprendre hors des griffes des banquiers. » [et c'est qu'ils veulent les détruire...... ma note]

Mais ceci c’était avant! »

Comment leur échapper ? Car ce sera le vaccin pour une bouchée.

Nous sommes tous dépendants du système, de son informatique, de son électricité, de ses banques, de ses villes, de son eau courante et du reste. Comment lui échapper alors quand il voudra nous pucer après nous avoir ruinés et peu à peu (c’est le plus grave) dévitalisés, découragés? Faut-il fuir dans leur campagne ? J’ai plusieurs amis comme cela, qui vivent d’ailleurs plus confortablement que les bobos parigots dans leur cambrousse, en Bourgogne ou en Andalousie, ont un puits, des animaux herbivores, des arbres fruitiers, possèdent un groupe électrogène (excellent pour échapper à EDF, mais il faut de l’essence). On peut avoir ses armes, bien s’entendre avec ses voisins, imaginer une communauté, etc. Ce modèle à la mode un temps en Amérique du temps des milices, on n’en parle plus. On n’en parle plus, ou il a disparu du fait de la traque et de la répression ?

Beaucoup recommandent d’acheter de l’or… Il y a dix ans déjà dans sa merveilleuse entrevue Lucien Cerise déclarait :

« Il faut laisser le moins d’argent possible à la banque, ou alors dans des banques non-occidentales. Le bank run complet est un idéal vers lequel il faut tendre, mais il est difficilement praticable pour la plupart des gens. Il faut essayer quand même de dé-virtualiser nos biens et de re-matérialiser notre capital au maximum, par exemple, dans les métaux précieux ou l’immobilier. Si on n’a pas beaucoup d’argent, acheter des objets utiles pour le bricolage, des denrées alimentaires non périssables, des graines et des semences, ou un petit terrain, voire un garage, une cave, un grenier, un comble, un box. Bref, convertir tout ce qui n’a qu’une valeur d’échange, une valeur fiduciaire, sous format papier ou numérique, en choses à valeur d’usage, valeur réelle et concrète. »

Face à la guerre d’extermination menée par le capital, les bureaucrates et leur techno-nazisme Lucien déclarait encore :

« Dans l’associatif, s’investir dans divers mouvements, les « villes en transition », la relocalisation, le survivalisme (à condition qu’il abandonne ce qui reste en lui d’égoïsme concurrentiel libéral), les monnaies alternatives et complémentaires, où l’on apprend à s’organiser concrètement en dehors du capitalisme. La reconquête locale d’une souveraineté alimentaire, énergétique, puis économique et politique permet d’améliorer la résilience, la capacité de résistance aux chocs infligés par le capitalisme et son mode de fonctionnement par la crise, la délocalisation et le déracinement. Comme disait Sun-Tzu, « Gagner, c’est rester en vie ». Tant que nous sommes en vie, quelles que soient les conditions de cette vie, l’ennemi n’a pas gagné. Donc nous ne perdons pas. Donc nous gagnons. »

Je ne suis ni jeune ni optimiste et je compte des imbéciles innombrables : je vois quand même bien le système triompher. La police est devenue barbare en France et ailleurs ; l’armée est mobilisée ; 90% des gens ne remettent jamais en cause le discours des médias oligarques et gouvernementaux ; la jeunesse est absorbée…

Dans le bon film Bourne Legacy on voit des drones lanceurs de missiles anéantir un B.A.D. de luxe au fin fond de l’Alaska, alors… Le système peut et pourra aussi faire des exemples : on tabasse déjà des couples et des mères de famille, des jeunes filles avec la bénédiction des surréelles néo-féministes, alors on peut à terme pratiquer les assassinats ciblés, les exterminations pour l’exemple, les massacres gratuits. Cela peut servir à liquider des contrevenants-terroristes, les rebelles disait Jünger qui après la guerre précédente sentait la menace venir, et à démotiver les autres dans le sens du vaccin de Bill Gates si bien décrit à Berlin comme le fils de Robert Kennedy.  S’il y a une chose que le monde moderne m’a montré depuis que j’ai appris à le connaître, c’est que le pire est avec lui toujours sûr. Tous les agendas de la dystopie terminale sont en place. A ceux qui sont vivants de les déjouer s’ils en ont encore la motivation et l’énergie. Le reste jouera au troupeau pucé et encadré par les humoristes.

ses Sources :

https://nicolasbonnal.wordpress.com/2019/02/20/%EF%BB%BFl...

https://lilianeheldkhawam.com/2020/08/27/la-faillite-de-l...

https://nicolasbonnal.wordpress.com/2020/08/28/michel-maf...

https://nicolasbonnal.wordpress.com/2020/07/27/michel-fou...

https://nicolasbonnal.wordpress.com/2020/08/17/zinoviev-e...

encore une parenté de plus :

La société technologique qui a contribué à l’Holocauste gère désormais les « passeports vaccinaux ».
Vous avez probablement déjà entendu parler du projet maniaque de « passeport vaccinal » de l’État profond, qui sera finalement utilisé pour soumettre le monde entier à la tyrannie médicale. Eh bien, nous savons maintenant qu’IBM dirige la création et la mise en œuvre des passeports vaccinaux dans une grande partie du monde développé, IBM étant la même société qui a aidé à organiser l’Holocauste, soit dit en passant.
Tout a commencé avec les masques, qui, après être devenus « obligatoires », ont été utilisés comme un outil de division pour séparer les « désirables » qui sont prêts à s’y conformer des « indésirables » qui disent simplement non à la tyrannie médicale.

05/05/2021

Schwab et son livre, le M K (censuré) du fascisme 2.0

https://echelledejacob.blogspot.com/2021/03/schwab-beauco...

Schwab : « Beaucoup d’entre nous se demandent quand les choses reviendront à la normale. La réponse est : jamais ! »

« Celui qui dirige la peur des gens devient le maître de leurs âmes » – Nicolas Machiavel, Le Prince

c’était également là la théorie de GOERING,il l’a avoué à Nüremberg.

« Soyez résolus à ne plus servir et vous voilà libres ! »   Cette maxime de La Boétie doit devenir pour nous tous le meilleur antidote au projet eugéniste de Klaus Schwab dont le livre Covid-19 : la grande réinitialisation se veut le bréviaire et la feuille de route d’une prise d’otage mondiale qui a commencée, afin de soumettre les peuples dans une dictature sanitaire avec le Covid-19 pour mettre en œuvre la grande réinitialisation du capitalisme.

Qui est Klaus Schwab ? Il est né en Allemagne à Ravensburg en 1938 et est le dirigeant fondateur du Forum de Davos (WEF) qui rassemble depuis 1971 le gratin de l’élite économique mondiale, mais aussi, politique, financière et des médias, à l’image d’autres organisations plus informelles que sont le Bilderberg ou la Trilatérale, rassemblant chaque année des décideurs internationaux parmi lesquels Jacques Attali, Christine Lagarde, Bill Gates, Jeff Bezos ou David Rockefeller. « L’existence de ces organisations pose pourtant des questions aussi essentielles que : est-il possible de répondre aux défis de notre temps avec des appareils de coordination contrôlés par des élites aussi restreintes ? Élites uniquement sélectionnées en vertu de leur pouvoir et de leur richesse, qu’elles appartiennent à quelques pays seulement, ne sont élues par personne, ni déléguées par aucune autorité publique et sont inspirées par le dogme du marché autorégulé ».1

Seulement voilà, le dit marché autorégulé donne des signes de faiblesse depuis quelque temps. La crise des subprimes de 2008 montre à quel point une gestion confiée à un groupe restreint et aux favorisés du marché est porteuse de chaos. « Ce système de création monétaire kafkaïen voulant que l’argent soit créé à partir de dettes et d’intérêts qui nous obligent mécaniquement à générer perpétuellement de nouvelles dettes plus grandes que les précédentes est à bout de souffle. Un système d’esclavage financier qui porte en lui les germes de l’autodestruction, puisqu’une dette en constante augmentation exige une croissance en constante augmentation et donc des émissions de CO2 toujours plus grandes »2. Pour éviter la surchauffe qui ne peut mener qu’à un effondrement généralisé de tout le système financier dans son ensemble, Klaus Schwab et ses affidés ont imaginé un scénario de décroissance accélérée appelé grande réinitialisation, ou « grand reset » et qu’ils s’appliquent à mettre en œuvre aujourd’hui avec le Covid.

De même que ce sont les États, donc les peuples, qui ont sauvé les banques de la faillite lors de la crise des subprimes de 2008, ce sont à nouveau les peuples qui sont mis à contribution pour éviter le naufrage financier suite à la dérégulation financière débridée de la mondialisation dont la dette devient aujourd’hui insoutenable. La décroissance voulue par Schwab passe donc par la mise au pas des peuples en leur imposant de gré ou de force une dictature sanitaire en agitant la peur d’un virus pour endiguer toute croissance de la consommation et saper des pans entiers de l’économie jugés non essentiels : culture, tourisme, restauration, PMI-PME, le point commun de ces secteurs économiques étant qu’ils utilisent tous, entre autre, la monnaie papier pour leurs règlements, monnaie que veulent faire disparaître les grands argentiers de la planète pour faire advenir la monnaie cryptée pour mieux tracer et contrôler la population à l’image de ce qui se fait déjà en Chine.

Cette prise d’otage des peuples s’inscrit dans un scénario planifié en deux temps simultanés :

    •  

Tout d’abord l’intrusion de la fraude dans l’élection américaine en mettant tout en œuvre pour exclure la réélection de Donald Trump dont le premier mandat a favorisé une croissance de 2,5%, inédite depuis longtemps aux États-Unis. Le corollaire de cette croissance est que la dette déjà insoutenable de l’économie américaine s’est littéralement envolée. Donald Trump a certes bénéficié d’un héritage très positif, mais il est parvenu à faire en sorte que l’expansion se poursuive. Avec un chômage de 3,5%, au plus bas depuis 50 ans jusqu’à la crise du Covid, la réélection de Donald Trump semblait assurée. C’était sans compter sur la volonté d’en finir des mondialistes avec l’administration Trump : les 6 swing states ont basculé comme par miracle dans le camp du challenger démocrate Joe Biden. Aujourd’hui, il apparaît indéniablement que ces élections ont été entachées de fraudes massives pour faire élire le candidat démocrate, les innombrables preuves compilées par l’avocate Sidney Powell étant accablantes.

    •  

Ensuite, la deuxième mise au pas des peuples, la plus effrayante et la plus cauchemardesque par son ampleur et sa solution finale, passe par la création d’une peur collective planifiée et entretenue par la scénarisation de la contagion d’un virus à l’échelle planétaire : le Covid-19.

Ce virus à la létalité de 0,05% dont ont doit rappeler qu’il n’est ni plus ni moins mortel que celui de la grippe saisonnière.

Malgré tout, ce que l’on appelle dorénavant « la grande pandémie du Covid-19 » n’est rien d’autre qu’un scénario monté de toutes pièces par Klaus Schwab, le tout relaté en détail dans son livre3,

(le Mein Kampf du capitalsme actuel – le premier était déjà la planche de salut du capitalisme allemand, ET DE SES PRETEURS ANGLO-SAXONS!! souvenez-vous de la réunion du 20 février 1933 des grands patrons allemands au siège de la présidence du Bundestag …. )

pour tétaniser les peuples par la peur afin de mettre en scène son grand reset de l’économie mondiale. À tel point que ce scénario a fait l’objet d’une répétition générale en 2019 au Forum de Davos que l’on peut trouver en ligne sur la chaîne YouTube du WEF sous le titre « We ran a massive viral pandemic simulation. Here’s what we learned about managing Coronavirus » (« Nous avons testé une simulation de pandémie virale. Voici ce que le management du Covid nous a appris »). Il suffit de lire tous les commentaires de cette vidéo de 3 minutes pour voir que personne n’est dupe : il ne s’agit ni plus, ni moins qu’une manipulation de grande envergure.4

Tout avait déjà été prédit par le gourou Jacques Attali dès 2009 dans un article messianique publié par L’Express et intitulé « Avancer par peur »5, où il affirmait que « l’humanité ne pouvait évoluer significativement que lorsqu’elle a vraiment peur et que seule une « pandémie » majeure ferait surgir la prise de conscience d’un altruisme (!) pour jeter les bases d’un véritable gouvernement mondial ».

Publié en juillet 2020, le livre de Klaus Schwab Covid-19 : la grande réinitialisation n’est rien d’autre qu’un programme économique et politique totalitaire qui se propose d’avancer « des conjectures et des idées sur ce à quoi le monde post-pandémique devrait ressembler ». Le plus étonnant est que Schwab admet que le Covid-19 est « l’une des pandémies les moins meurtrières que le monde ait connues au cours des 2.000 dernières années », ajoutant que « les conséquences du COVID-19 en termes de santé et de mortalité seront bénignes par rapport aux pandémies précédentes ». Il continue : « Cela ne constitue pas une menace existentielle, ni un choc qui laissera son empreinte sur la population mondiale pendant des décennies ». Et pourtant ! Incroyablement, cette maladie « bénigne » est simultanément présentée comme l’occasion unique d’un changement sociétal sans précédent, sous la bannière de « La Grande Réinitialisation » ! [l’incendie du reichtag c’était pareil! Un des moins graves incendies produits par des communistes, en rien une réelle menace, a été utilisé comme prétexte à une grande psy-op sur le peuple allemand, à se faire accorder les Pleins Pouvoirs (avec le vote du Centre Catholique ….) à la rafle de tous les communistes et la création du premier camp de concentration pour les y enfermer, et bref tout ce qui s’est suivi!]

[Schwab place ainsi le Covid-19 dans une longue tradition d’événements allant de la peste noire du Moyen-Âge au 11 septembre 2001 en passant par la seconde Guerre mondiale qui ont facilité des changements soudains et significatifs dans nos sociétés. Il invoque ainsi « La seconde Guerre mondiale qui a été la guerre de transformation par excellence, déclenchant non seulement des changements fondamentaux dans l’ordre et l’économie mondiale, mais aussi des changements radicaux dans les attitudes et les croyances sociales qui ont finalement ouvert la voie à des changements radicalement nouveaux des politiques et des dispositions du contrat social ».

Il ajoute qu’il « existe évidemment des différences fondamentales entre une pandémie et une guerre, mais l’ampleur de leur pouvoir de transformation est comparable. Les deux ont le potentiel d’être une crise transformatrice aux proportions auparavant inimaginables. C’est notre moment décisif », pavoise-t-il. « Un nouveau monde émergera ». « Le bouleversement sociétal déclenché par le COVID-19 durera des années, voire des générations ».

« Beaucoup d’entre nous se demandent quand les choses reviendront à la normale. La réponse est : jamais ! » Les industries de la restauration, du tourisme et de la culture, mais aussi les petits commerces savent à quoi s’en tenir désormais.

Le ton est donné : « Des changements radicaux d’une telle ampleur sont tels que certains experts ont évoqué une ère “avant le coronavirus” et “après le coronavirus” ».

Tous ces commentaires montrent une seule et même chose : Schwab (le nouveau Adolf H.) se veut le grand architecte de cette pandémie planifiée par lui et ses acolytes pour mettre en place le grand reset. Comment Schwab et ses amis milliardaires peuvent-ils imposer leur société dystopique au reste d’entre nous ? La solution est le lavage de cerveau par la propagande implacable débitée en copié-collé par les grands médias occidentaux, mais aussi les GAFAM, verrouillés par une oligarchie financière aux mains d’une poignée de multi-milliardaires pour instiller la peur du virus durablement.

Schwab est évidemment déterminé à faire tout ce qui est en son pouvoir non négligeable pour réaliser son monde eugéniste [l’eugénisme était aussi le point le plus central du nazisme] et transhumaniste de la surveillance, du pouvoir, et du profit exponentiel. Il proclame : « Le fait qu’il soit maintenant beaucoup plus facile de manipuler avec précision le génome humain dans des embryons viables, signifie que nous sommes susceptibles de voir l’avènement de bébés sur mesure qui possèdent des traits particuliers ou qui sont résistants à une maladie spécifique ». [c’était déjà le grand rêve des Mengele et compagnie!]

Une section entière de ce livre est consacrée au thème « Modifier l’être humain », ravalant les dystopies 1984 et Le meilleur des mondes à celui des bisounours. Ici, Schwab bave sur « la capacité des nouvelles technologies à devenir littéralement partie de nous » et évoque un futur cyborg impliquant « des curieux mélanges de vie numérique et analogique qui redéfiniront nos natures mêmes ». Il écrit : « Ces technologies fonctionneront dans notre propre biologie et changeront notre interface avec le monde. Ils sont capables de traverser les frontières du corps et de l’esprit, d’améliorer nos capacités physiques et même d’avoir un impact durable sur la vie elle- même ». Aucune violation ne semble aller trop loin pour Schwab, qui rêve de « micropuces implantables actives qui cassent la barrière cutanée de notre corps », de « tatouages intelligents », de « calcul biologique » et « d’organismes sur mesure capables de lire dans nos souvenirs » (!)

Il est ravi d’annoncer que « les capteurs, commutateurs de mémoire et circuits peuvent être codés dans des bactéries intestinales humaines communes », que « les dispositifs implantés aideront aussi à communiquer des pensées exprimées verbalement via une puce numérique intégrée, et des pensées ou des humeurs potentiellement non exprimées en lisant les ondes cérébrales ».

La « biologie synthétique » est à l’horizon dans le monde de Schwab, donnant aux chefs du capitalisme technocratique mondial « la possibilité de personnaliser les organismes en écrivant de l’ADN ». C’est sur quoi certains labos s’ingénient à travailler dès à présent avec les « vaccins » ARN. L’idée même des neurotechnologies, dans lesquelles les humains auront des souvenirs entièrement artificiels implantés dans le cerveau suffit à nous donner la nausée, tout comme « la perspective de connecter notre cerveau à la réalité virtuelle via des modems corticaux, des implants ou des nanorobots ». Le Covid-19 sert parfaitement les objectifs de Schwab d’asservissement des peuples, car l’urgence immédiate qu’il présente permet de précipiter l’ensemble du processus sans examen minutieux et sans aucune considération éthique. Ainsi : « Notre peur persistante et durable d’être infectés par un virus COVID-19 ou un autre accélérera la marche implacable de l’automatisation. De nouvelles réglementations resteront en place ». Il ajoute : « L’impératif actuel est de propulser, quoi qu’il arrive, « l’économie sans contact » et la volonté ultérieure des régulateurs de l’accélérer signifie que l’on est sans tabou ». (!)

« Bon nombre des comportements technologiques que nous avons été forcés d’adopter pendant la détention (!) deviendront plus naturels grâce à la familiarité. Au fur et à mesure que les distanciations sociales et physiques persisteront, l’appui sur les plateformes numériques pour communiquer, travailler, demander conseil ou commander quelque chose va petit à petit gagner du terrain sur des habitudes autrefois ancrées ».

(c’est pourquoi la campagne anti-tabac qu’on nous a martelé hystériquement depuis 30 ans était sans doute un TEST, ils voulaient voir si ils allaient pouvoir détruire tout un plan de la culture humaine et de la liberté des individus jusqu’à les convaincre à se soumettre, à avoir honte de soi, à obeir, et à raser les murs, ils ont réussi, ils ont vu, maintenant ils foncent!]

« Le mouvement de l’entreprise ira vers une plus grande surveillance : pour le meilleur ou pour le pire, les entreprises surveilleront et enregistreront parfois ce que font leurs effectifs. La tendance pourrait prendre différentes formes, de la mesure de la température corporelle avec des caméras thermiques à la surveillance via une application de la manière dont les employés respectent la distanciation sociale ».

Des mesures coercitives d’un type ou d’un autre sont également susceptibles d’être utilisées pour forcer les gens à prendre les « vaccins Covid » en cours de préparation, car derrière les « vaccins » se cache le traçage et la surveillance de masse de toute la population. On ne s’étonne donc pas qu’il insiste sur le fait « qu’un retour complet à la normale ne peut être envisagé avant qu’un « vaccin » ne soit disponible ». Il ajoute : « Le prochain obstacle est le défi politique de vacciner suffisamment de personnes dans le monde avec un taux de conformité suffisamment élevé malgré la montée des anti-vaccins ». Ceux-ci rejoignent ainsi la liste des menaces pesant sur le projet de Schwab, aux côtés des manifestants anti-mondialisation et anticapitalistes, des Gilets jaunes et de tous les engagés dans des « conflits de classe », « résistance sociale » et « réaction politique ».

Mais comment Schwab envisage-t-il de faire face au « sombre scénario » des gens qui se soulèvent contre sa grande réinitialisation et sa quatrième révolution industrielle transhumaniste ? Quel degré de force et de mesures coercitives serait-il prêt à accepter pour assurer l’aube de sa nouvelle ère technocratique ?

La question est effrayante, mais nous devons également garder à l’esprit l’exemple historique du régime du XXe siècle dans lequel Schwab est né. La nouvelle normalité nazie d’Hitler était censée durer mille ans, elle s’est effondrée 988 ans avant son objectif.

Ce n’est pas parce qu’Hitler a dit, avec toute la confiance du pouvoir, que son Reich durerait un millénaire, qu’il en a été ainsi.

Ce n’est pas parce que Klaus Schwab et ses amis disent que nous entrons maintenant dans la quatrième révolution industrielle et que notre monde sera changé à jamais, qu’il en est ainsi.

Nous n’avons pas à accepter leurs propos alarmistes et leur conditionnement pour accepter leur dictature sanitaire et leur nouvelle norme. Nous n’avons pas à prendre leurs vaccins qui ne sont rien d’autre qu’une thérapie génique. Nous n’avons pas à les laisser nous implanter des puces numériques ou à modifier notre ADN. Nous n’avons pas à rester confinés ou marcher muselés et soumis, pour bientôt être piqués tels des poulets dans l’attente de l’abattoir de leur enfer transhumaniste. Nous devons dénoncer leurs mensonges ! Exposer leur agenda mortifère ! Refuser leur grand reset qui n’est rien d’autre qu’un populicide ! Rejeter leur idéologie toxique ! Résister à leur fascisme ! Klaus Schwab n’est pas un dieu, juste un homme âgé. Et ceux avec qui il travaille, l’élite capitaliste mondiale, dont Emmanuel Macron est l’apôtre le plus servile et zélé, sont peu nombreux. Leur vision transhumaniste est répugnante pour presque tout le monde en dehors de leur petit cercle et ils n’ont pas notre consentement pour la dictature technocratique qu’ils essaient de nous imposer.

Tout cela pour tenter de sauver le néolibéralisme qu’ils ont fait prospérer au-delà de tout contrôle alors qu’il existait d’autres voies plus raisonnables et plus viables comme le Keynesianisme qu’ils ont systématiquement rejetées et balayées.

C’est pourquoi, après tout, ils ont dû se donner tant de mal pour nous forcer à nous confiner et nous bâillonner [ sous des gueules de rhinocéros, comme dans la pièce d’Eugène Ionesco ! ] sous le faux drapeau de la lutte contre un virus. Ils ont compris que sans la justification d’urgence par la peur, nous n’allions jamais accepter leur plan monstrueux.

Mais la peur est en train de changer de camp : pourquoi le prochain Forum économique mondial aura-t-il lieu à Singapour et non pas à Davos, puis Genève comme prévu précédemment ? Ont-ils peur de notre pouvoir potentiel parce qu’ils savent que si nous nous soulevons, nous les vaincrons ? En réalité, si nous nous en donnons la peine, nous pouvons faire échouer leur projet avant même qu’il n’ait vraiment démarré. Pour preuve, le Dr Drosten, le conseiller virologue d’Angela Merkel est poursuivi par la justice allemande pour avoir faussé le protocole des tests PCR qui a amené les gouvernements à prendre des décisions de confinement ravageuses. En effet, en préconisant des valeurs de réglage CT au dessus de 30, les résultats des tests devenaient positifs avec des traces infimes de virus dans la plupart des cas, dans le but de continuer à alimenter la peur généralisée. Enfin, le Conseil d’État italien vient d’autoriser à nouveau l’hydroxychloroquine comme traitement du Covid-19, entravant ainsi la thérapie génique mortifère planifiée par Schwab.

Aujourd’hui, il appartient à chacune et à chacun d’entre nous de lire le livre de Klaus Schwab qui jette les bases du monde cauchemardesque dans lequel on vient d’entrer si l’on veut savoir ce qui nous attend pour en sortir au plus vite. Quand il sera trop tard, on ne pourra pas dire qu’on ne savait pas. Car comme pour Mein Kampf, tout était déjà écrit.

Comme l’a dit Emmanuel Macron, nous sommes bien en guerre, mais pas contre un virus : contre Klaus Schwab et ses soldats mondialistes qui veulent nous asservir par la dictature sanitaire et la thérapie génique pour éviter l’effondrement du néolibéralisme.

Ce n’est pas aux peuples de payer les erreurs néolibérales d’une poignée de multi-milliardaires corrompus qui ont mis l’économie mondiale à genoux. Il y aura un tribunal de Nüremberg pour toutes celles et ceux qui auront participé à cette tentative de génocide mondial : politiques, économistes, financiers, gourous, médecins, chercheurs et autres apprentis sorciers des laboratoires pharmaceutiques.

Nous devons gagner cette guerre idéologique par tous les moyens : judiciaire, médiatique, cyber et politique. Il y va de notre survie à tous et de l’avenir de nos enfants ! Nous sommes le peuple, nous sommes les 99%, et ensemble, nous pouvons reprendre dès demain notre liberté des mâchoires mortelles de cette machine infernale à broyer les humains et sauver la démocratie.

Ce texte est une adaptation résumée de la traduction du remarquable article des journalistes dissidents du Guardian le 12 octobre 2020 :

    •  

https://off-guardian.org/2020/10/12/klaus-schwab-his-great-fascist-reset

source : https://nouveau-monde.ca/

Jean-Michel Grau

Le groupe Bilderberg, “l’élite” du pouvoir mondial, Domenico Moro, éditions Delga.

Les esclaves de l’anthropocène, Nicolas Teterel, éditions Yves Michel

Klaus Schwab, Covid-19 : la grande réinitialisation, forum publishing

https://www.youtube.com/watch?v=0-FQbhkWYuY&ab_channel=WorldEconomicForum

https://www.lexpress.fr/actualite/societe/sante/avancer-par-peur_758721.html

 Source

 

ET ICI une interview DYNAMITE ! de PIERRE JOVCNOVIc 

https://odysee.com/@francesoir:2/PierreJovanovic:1

ça c'est un journaliste qui fait son travail !

Espérons qu'on ne le retrouvera pas un de ces jours "suicidé" au pied de son immeuble, ou victime d'un accident de moto ....

En tous cas dépèchez-vous de diffuser et faire passer cette vidéo (qu'on peut télécharger, ça aussi je vous le conseille!) au plus grand monde.

"there is no depth to which the psychopath will nor sink."
Mengeles are in dank crevices all around.


Je n'irai nulle part, et ils crèveront la gueule ouvert tous les établissements qui font comme ça, comme les suisses (cette graine de fascistes : en 1935 27% des suisses ont voté "oui" à un référendum qui demandait que la Suisse devienne un régime nazi ! si si ! les livres d'histoire ne vous en parlent pas, curieux ! pourquoi ?), crèveront la gueule ouverte par manque de clients, et ils l'auront bien mérité !

04/05/2021

le pape Célestin V - lui aussi ! - a été caricaturé et sa vraie figure soigneusement oblitérée ....

« L’histoire humaine n’est rien d’autre que l’histoire de la lutte des classes » avait dit Marx. Et il avait raison. Y compris dans l’Église, regardez la mort de Célestin V, de Adrien VI, de Marcel II, de Jean-Paul 1er, la démission forcée de Benoit XVI.
Benoît XVI (qui avait prétendu être trop fatigué pour être pape, il était en pleine forme, bien plus que Jean-Paul II, qui resta pape jusqu’à son dernier souffle, il vit toujours !) Benoit XVI, son premier geste fut d’aller prier devant la tombe de ….. Jean-Paul 1er ! et quand il a démissionné il a déposé son pallium sur la tombe de Célestin V !! Benoît XVI ne masquait pas son admiration pour ce pape tiens tiens ! c’est clair ! ) Lisez mon compendium sur le dossier Célestin V, connaissant le contexte de l’époque, les « hérétiques protestatires du luxe duclergé, diabolisés et brûlés par l’inquisition, Joachim de fiore, etc, le conflit de Philippe le Bel avec les Templiers, préteurs de l’époque ….
Et documentez-vous sur l’elections accidentelle, les projets et les conditions de la mort d’Adrien VI, et de Marcel II (pas sur Wikipédia bien sûr!) vous découvrirez des choses !

Selon l'histoire officielle (mais souvenons-nous que l'histoire est  toujours racontée par les vainqueurs .... or par des évènements et des cas récents nous avons appris grâce à internet à voir comment, à quel point et par quels artifices on peut déformer, caricaturer, censurer cacher  la réalité jusqu'à la rendre méconnaissable.) le pape Célestin V aurait démissionné (comme Benoît XVI mais Benoît XVI  on s'est tout de suite douté que ça cachait quelque chose), il se serait retiré dans un couvent, puis ........ enfui dudit couvent, de ville en ville pour échapper à ses poursuivants ...... et c'est alors qu'il cherchait à filer en Grèce qu'on l'a rattrapé et le pape qui lui a succédé l'a enfermé sous bonne garde dans son château d'Agnani, officiellement pour le protéger contre des gens qui pourraient l'enlever ! Euh, un petit détail : il est mort peu après ....

Bizarre tout ça, d'autant plus quand on apprend des détails sur le personnage :

Célestin V - 1.png

ça donne des pistes de réflexion, non ?

(eh oui ! au XIVè siècle il n'y avait pas internet ! il était plus facile de camoufler la vérité .... et après la routine des historiens fonctionne, voilà voilà)

 

Le dossier en plus détaillé :

D’ailleurs le pape Benoît XVI, qu’on a forcé à la démission en bloquant tous les contacts électronique bancaires du Vatican, qui furent aussitôt débloqués – sans explication ! - dès que fut annoncé sa démission ! Et qui visiblement avait le sens des gestes symboliques (quand il fut élu il alla prier sur la tombe de …. Jean-Paul 1er !  (……  ) et dans son premier discours il dit priez pour moi, que j’ai le courage de ne pas céder devant les loups ( …) visiblement il a cédé. Benoît XVI donc quand il a démissionné a déposé son pallium sur la tombe de CélestinV !! Benoît XVI ne masquait pas son admiration pour ce pape : « Huit cents ans se sont écoulés depuis la naissance de saint Pietro Celestino V, mais il reste présent dans l’histoire en raison des célèbres événements de son époque et de son pontificat et, surtout, de sa sainteté. En effet, la sainteté ne perd jamais sa force d’attraction, elle ne tombe pas dans l’oubli, elle ne passe jamais de mode, au contraire, avec le passage du temps elle resplendit d’une luminosité toujours plus grande, exprimant la tension éternelle de l’homme vers Dieu. Je voudrais alors tirer plusieurs enseignements de la vie de saint Pietro Celestino, valables également à notre époque ».

http://benoit-et-moi.fr/2013-II/benoit/ce-lien-etrange-entre-celestin-v-et-benoit-xvi.php
La figure de ce pape doux est resté écrasée par un enchevêtrement d'intérêts politiques: ceux de Charles II d'Anjou (1254-1309), d'une part et de l'autre ceux du cardinal Benedetto Caetani, ce dernier devenu pape sous le nom de Boniface VIII. C'est ainsi que Célestin V renonça au bout de quelques mois, indisponible à toute forme de corruption, à la charge pontificale. Il est mort le 19 mai 1296 après dix mois de captivité à Castel Fumone près d'Anagni, prisonnier justement de Boniface VIII qui, redoutant que ses adversaires puissent convaincre Célestin V de revenir au trône pontifical, le destituant ainsi, empêcha le saint moine de retourner à son ermitage.
Curieusement, Boniface VIII porta le deuil à la mort de Célestin V, seul cas dans l'histoire des papes, et fit célébrer une messe publique pour le repos de son âme, et c'est lui qui initia le processus de canonisation mené à son terme le pape Clément V en 1313 à l'instigation du roi de France, Philippe le Bel (1268-1314). (rapport de forces ! faux-semblants, takallouf, déjà !)

Plus tard, en 1630, Lelio Marini, Abbé Général de la Congrégation de Célestin, dénonça l'assassinat de Pietro da Morrone par ordre de Boniface VIII.

il fut élu pape, sans avoir jamais posé sa sa candidature, après un peu plus de deux ans de vacance du Siège Apostolique.
http://chiesa.espresso.repubblica.it/articolo/135084575af.html?fr=y "Les cardinaux avaient pour objectif d’élire, en sa personne, un candidat de compromis qui constituerait une solution de transition, un ermite dépourvu d’expérience, très avancé en âge (85 ans), qui promettait de devenir un pape pas trop sévère.

Ce n’est pas à Rome – ville dans laquelle Célestin V ne se rendit jamais – que Charles II organisa la cérémonie de couronnement du nouveau pape, mais à L'Aquila, ville qui faisait partie de ses domaines. Pierre y fit son entrée monté sur un âne, à l’exemple du Christ, ce qui fit naître dans le peuple l'idée que le pape angélique des prophéties était enfin arrivé. Puis il s’installa à Naples, la capitale du roi angevin Charles II, neveu du roi de France Louis IX et roi de Naples, où celui-ci l’entoura d’hommes à lui tout en comblant de privilèges royaux les monastères fondés par Pierre. Ce dernier ne refusa pas ces largesses, mais il continua personnellement à mener une vie austère, dans une cellule aménagée spécialement pour lui au Château Neuf de Naples.

Élu le 5 juillet 1294 avec l’appui du roi Charles II d’Anjou qui souhaitait un Pape apte à lui faire reconquérir la Sicile, Pietro Angelari da Murone était loin de se douter de ce qu’on allait faire de lui. Les cardinaux chargés de l’en informer eurent à escalader un sommet des Abruzzes par une sente à décourager un mulet ! Découvrir l’ermitage où Pietro vivait en solitaire depuis un demi-siècle ne signifiait pas encore forcer sa porte. Les messagers de Rome purent tout juste apercevoir, par un étroit grillage, une tête hirsute et entendre une voix affaiblie les prier de le laisser tranquille. Non, il n’ouvrirait pas ! Non, jamais on avait songé à élire Pape un bonhomme de quatre-vingts ans perdu depuis dix lustres dans des solitudes sauvages !
On lui rappela les services qu’il avait rendus à l’Eglise, la congrégation de solitaires bénédictins qu’il avait fondée ; on lui remit en mémoire une prophétie séculaire qui annonçait pour des temps apocalyptiques, un mystérieux Pape angélique… Or, ne s’appelait-il pas précisément « Angelari », et pouvait-on attendre époque encore plus apocalyptique ? C’était de toute évidence la volonté de Dieu qu’on était venu lui signifier. Pietro Angelari se laissa ébranler : il consentit enfin à ouvrir sa porte et descendit de sa montagne avec ces messagers de Dieu. Mais c’est monté sur un âne qu’il tint à se présenter à Aquila, le 29 août, pour son couronnement. Il prit ce jour-là le nom de Célestin V.
Charles II ne perdit pas de temps et convainquit le nouveau Pape de résider à Naples. Le Souverain Pontife ne devina pas qu’on le plaçait ainsi sous étroite surveillance. Il fut tout heureux de se trouver un autre ermitage et se mit à méditer sur ses nouveaux devoirs. Mais Charles II se chargea de lui dicter les réformes qu’il attendait de lui. Pour commencer, nommer douze cardinaux, tous clients du roi de Naples. Après cela, il fallait aussi de toute urgence nommer un nouvel évêque à Toulouse : Louis, le tout jeune fils de Charles II. Et ainsi de suite…
Célestin V était pieux, il était docile, mais il n’était pas encore complètement idiot. Il se rendit assez vite compte qu’il n’était pas taillé pour cette fonction. Le cardinal Caëtani d’ailleurs s’employa à dissiper ses derniers doutes : oui la « volonté de Dieu » demandait à Célestin de passer la main. Caëtani poussa le dévouement jusqu’à rédiger lui-même un texte que le bon Pape n’eut plus qu’à lire, le 13 décembre 1294, devant les cardinaux assemblés : un acte d’abdication, cinq mois seulement après son élection. Caëtani, sous le nom de Boniface VIII, succéda à celui qu’il avait si charitablement secondé.
Célestin crut pouvoir regagner son ermitage mais Boniface VIII en décida autrement : il mit son prédécesseur sous les verrous. Et c’est en prison que mourut l’infortuné Célestin V le 19 mai 1296.

 

Le 13 décembre 1294, Célestin V renonce au trône de Pierre devant le collège des cardinaux à Castel Nuovo. Le texte de son discours semble avoir été rédigé par Benedetto Caetani, l'un des canonistes qu'il avait consultés . Le 24 décembre, ce même Caetani est élu pape sous le nom de Boniface VIII et fait placer l'ancien pontife sous surveillance au motif qu'il pourrait être enlevé par ceux qui contestent la licité de la renonciation. Pietro s'enfuit à Sant'Onofrio, puis à San Giovanni in Piano, avant de tenter de partir pour la Grèce. Il est arrêté en chemin et transféré à Anagni puis au château de Fumone en Campanie sur l'ordre de Boniface VIII. Là il mourra.
Mort naturelle ou assassinat ?


http://eucharistiemisericor.free.fr/index.php?page=2007101_vian Assurément, Pietro del Morrone ne fut pas la personne naïve et désarmée que beaucoup décrivent. Pour le démentir, il suffit de constater qu'à l'origine, il fut à la tête d'une congrégation d'ermites qui se diffusa et se ramifia, de son vivant, dans de multiples fondations, entre l'Italie centrale et du Sud, franchissant très vite les Alpes. Pour défendre sa création, Pietro eut la force et le courage de se rendre à Lyon vers la fin de 1274, à la Curie pontificale, où il obtint de Grégoire X un privilège solennel qui, incorporant sa congrégation dans la famille bénédictine, en confirmait les propriétés, alors déjà importantes. Il fut à la tête de plusieurs communautés, comme celle de Santa Maria di Faifoli à Montagano, dans le Molise, ou de San Giovanni in Piano, près de Lucera, dans les Pouilles, qu'il réforma et consolida, même économiquement. Frugoni a donc raison lorsqu'il voit en Célestin non pas "ce vieillard caché dans les silences de la montagne et dans la macération des pénitences", mais "l'âme ardente et volontaire qui avait pendant tant d'années guidé son groupe de moines, qui était devenu toujours plus grand grâce à lui. Vibrant d'une religiosité qui se nourrissait d'attentes eschatologiques et qui refusait certainement l'Eglise politique comme un péché. Et il aura considéré comme un péché cette expérience, riche de compromis et de calculs des hommes d'Eglise, si différente de son idéal passionné. D'où le sentiment d'être moins profondément menacé par l'appui des laïcs qui paraissaient lui offrir leur dévotion et leur aide, et en même temps le poussaient, complices des moines, ".
…..
A ce point, les insatisfaits du nouvel ordre bonifacien s'emparent de la figure de Célestin pour voiler et celle de son successeur, accusé d'être le responsable occulte d'une abdication illégitime extorquée par des moyens frauduleux, et même responsable d'une mort violente dans la forteresse de Fumone.
A l'Eglise entièrement politique et terrestre de Boniface est opposée la présumée Eglise spirituelle de Célestin. Et on applique à Célestin - ce que fait déjà le dominicain provençal Robert d'Uzès en 1295-1296 - les prophéties relatives à un Pape angélique. Celles-ci peuvent encore une fois être attribuées à des groupes de spirituels italiens protégés par Célestin, qui diffusèrent en Occident des prophéties grecques attribuées à l'empereur Léon le Sage qui, dans la traduction latine, appliquent à un Pape les caractéristiques d'un souverain des temps derniers, partisan du droit et de la justice. Le filon prophétique du Pape angélique trouve dans la figure de Célestin un point de départ qui se projette vers l'avenir, traverse le XIIIe siècle, influence Cola di Rienzo, qui en est venu à connaissance par les ermites de la Maiella, et en diffuse le contenu dans la Bohême de Charles IV, mais il apparaît encore chez Savonarole, arrive même à Nostradamus et, à la fin du XVI siècle, au pseudo Malachie. Si Dante, également pour des raisons personnelles, condamne la renonciation de Célestin comme un acte de lâcheté, Pétrarque, dans sa défense de la vie solitaire, l'exalte comme un geste de liberté évangélique suprême. Mais Célestin continue à être pendant tout le XIX siècle le symbole d'une Eglise différente, prophétique, non terrestre mais entièrement religieuse: des Lettere agli uomini di Papa Celestino VI (1946), où transparaît tout l'élan prophétique et apocalyptique du dernier Papini, à L'avventura di un povero cristiano (1968), le dernier livre d'Ignazio Silone, originaire des Abruzzes.

Dans sa vie d’ermite il avait acquis une grande renomée et plein de gens voulaint le voir, lui essayait de les fuir, sans succès :
http://books.openedition.org/pup/7041?lang=fr Pierre de Morrone jugeait cette situation peu compatible avec sa vie d’ermite. Il décide de se retirer à Saint-Barthélemy de Legio, dans un lieu plus isolé, avec quelques frères seulement19. Les visiteurs l’y poursuivent et Thomas de Sulmona note qu’ils sont encore plus nombreux20. Après y être resté quelques années, le saint ermite se rend dans une grotte de la vallée de l’Orfente encore plus inaccessible.  Si grande était la foule qui venait à lui de toute part, au moment où il recevait, que la montagne semblait presque pleine de gens et c’est à peine si quelqu’un pouvait avoir la faculté de lui parler.
Il s’agit cette fois d’une multitude et c’est la première fois que Thomas de Sulmona emploie ce terme dans sa biographie. …..
Le retour de Pierre de Morrone dans un ermitage à proximité de la plaine, non loin du monastère du Saint-Esprit est une décision mûrie.  Son installation est l’occasion d’une extraordinaire démonstration de ferveur populaire. Il y a une multitude d’hommes et de femmes qui encombrent tous les chemins, tous les sentiers et toutes les routes. C’est une véritable procession. Tous les habitants de la province sont là et certains sont venus de plus loin encore.

L’élection pontificale donne à la notoriété de l’ermite un caractère universel qu’elle ne perd plus par la suite. Pendant sa fuite il est partout reconnu. Dans les Pouilles, des enfants qui ne l’ont jamais vu l’identifient immédiatement. De son élévation au pontificat à sa mort, où qu’il aille, la rumeur publique le précède. Personnage vénéré, Pierre de Morrone est entouré, dès son vivant, par la dévotion populaire.

Que Pierre de Morrone ait effectivement donné un enseignement spirituel à ceux qui se pressaient auprès de lui est bien assuré par son biographe qui consacre quelques paragraphes à rapporter brièvement ses propos aux différentes catégories de visiteurs. Il exhortait les puissants à ne pas mettre leur espérance dans la gloire du monde et dans les biens périssables. Il les invitait à rendre à leurs vassaux et à leurs subordonnés l’honneur qu’ils méritaient. Aux riches, il rappelait le devoir d’aumône.
… Il fait un signe de croix sur une fillette et elle est guérie. C’est donc un miracle. Après son élection au pontificat, la bénédiction donnée à la fin de la messe a le même résultat.

02/05/2021

l'analyse du psychiatre Frédéric BADEL permet de confirmer mon analyse (et celle de Michael Paraire et celle de Michel Waber) de la crise actuelle

Nous pensions que le monde démocratique dans lequel, quelles que soient nos croyances et nos opinions, nous pouvions débattre, avait un sens car nous avions un référentiel commun. Nous nous trompions sans doute car ce sens a disparu en peu de temps.

Le 17 mars, le confinement a été mis en place. Chacun a espéré qu'il ne durerait pas. L'état d'urgence a permis d'imposer des mesures de restrictions de liberté, plus ou moins bien acceptées, comprises probablement comme étant transitoires et justifiées par la santé de tous.

Le 14 octobre sont apparus les couvre-feux, notions évoquant les guerres et les coups d'État. Premier non-sens. Pourquoi de telles mesures ? Nos efforts d’adhésion aux mesures transitoires n'auraient-ils servi à rien ?

Durant cette période de sept mois, de mars à octobre, nous avons tenté de nous adapter, d'être patients, de nous rassurer, en nous situant encore dans un espace d'illusion qui nous garantissait que le Gouvernement prenait soin de notre sécurité à l'aide de décisions justifiées par l'intérêt général.

Mais progressivement, dans le même temps, une série de non-sens a éclos, rendant les analyses difficiles et confuses. 

Le non-sens,

- Pourquoi annoncer un monde d'après dès le début d'une épidémie virale saisonnière ? La question aurait pu alerter dès avril.

- Pourquoi les masques, inutiles quand nous n'en disposions pas, sont-ils ensuite devenus obligatoires ? Et pourquoi le sont-ils par intermittence ? Aucune mention de protection contre un virus ne figure sur les boîtes... Ils sont imposés en station debout, pas en station assise... dans certaines villes et pas dans d'autres... Leur mode d'utilisation habituelle est fantaisiste ; et quand bien même ils auraient une efficacité prouvée, celle-ci ne pourrait que très rapidement disparaître, les masques étant touchés, enlevés, remis à longueur de journée.

En plus d'être inutiles pour nous protéger ou protéger les autres, ils peuvent se révéler toxiques.

Quel sens donner à tout cela ?

- Pourquoi recourir aux test PCR (polymerase chain reaction) ? Ces tests, très sensibles, détectent le moindre fragment d'ARN viral mais ne disent pas si la personne est malade, si elle est contagieuse, quelle est sa charge virale. La population crédule, anxieuse, ou encore sous le choc du confinement (ou du dé-confinement) se presse vers des laboratoires saturés de demandes pour se rassurer.

L'organisation de la campagne de détection a favorisé cette ruée vers les tests et a créé une épidémie de « cas positifs », néo-entité de personnes considérées comme malades, et de cas contacts, souvent mis en quarantaine. De nombreuses personnes asymptomatiques ont été testées. La population s'est fait piéger en facilitant ainsi, de plein gré mais sans le réaliser, la formation de cette deuxième vague attendue depuis le mois d'avril.

- Pourquoi parler, pour la première fois dans l'histoire de la médecine, d'une épidémie de cas positifs ? Cela défie l'entendement.

- Les nouvelles rassurantes n'ont pas droit de cité. Les Professeurs Raoult, Toussaint, Toubiana pour ne citer qu'eux sont passés de personnalités scientifiques reconnues à des complotistes originaux. Pourquoi ce dénigrement systématique et cette ostracisation ? Pourquoi continuer à nous affoler en nous privant des informations qu'ils peinent à donner ?

- Nous disposons de molécules efficaces mais interdiction a été faite aux médecins de les utiliser. Ceux qui ont défié l'interdiction ont pu soigner leurs patients, comme leur intime le serment qu'ils ont signé, dans la limite des connaissances du moment. D'autres molécules, très chères et moins efficaces, ont fait l'objet de publicité. Quel sens donner ?

- Un virus qui vit la nuit, épargne les foules entassées sur les quais de métro et s'y attaque après 21 heures quand elles sont installées dans un bar, c'est délirant.

Le non-sens est une puissante arme de destruction mentale. Le cerveau a du mal à fonctionner quand les repères logiques disparaissent. Le non-sens permet à la sidération initiale créée par la peur, la culpabilisation et la sanction de s'établir plus durablement dans l'esprit. Privé des informations logiques et cohérentes qui pourraient l'orienter, le cerveau « patine ». Ce qui n'a pas de sens ne peut s'exprimer avec des mots. L'intelligence reste défaillante, comme débranchée, les facultés d'analyse deviennent inopérantes.

L'afflux d'informations contradictoires permet le maintien de l'emprise et du doute, la persistance de l'espoir qu'en se comportant bien, l'ordre ancien pourrait revenir.

Ainsi observons nous des excès de confusion chez les personnes qui portent un masque seules à la campagne, à la plage ou dans leur voiture. Ce pourrait être risible si ce n'était là le signe d'une intense soumission liée à une perte de contact avec la réalité de l'environnement, ( 13min30 :  "on est passé dans une narration qui n'a plus à voir avec le réel"  https://ruclip.com/video/sksYYKYrXxw/louis-fouch%C3%A9-ac... ) soumission issue d'une terreur savamment entretenue. La plupart de ces personnes ne mesurent pas qu'elles adoptent un mode de pensée qui leur était totalement étranger il y a peu de temps encore et qu'elles développent des comportements régis exclusivement par la peur. C'est pourquoi elles deviennent imperméables aux discours rationnels, par exemple aux chiffres qui démontrent que la situation sanitaire actuelle n'est en aucun point comparable à celle des mois de mars et avril. Leur cortex (le cerveau qui réfléchit) est incapable de freiner l'alarme (située dans des structures plus archaïques du cerveau) sans cesse activée par des messages terrifiants. Ceux qui pourraient rassurer sont immédiatement disqualifiés et ils le resteront tant que les sources officielles resteront alarmistes.

Un patient resté lucide me confiait ne pouvoir répondre aux questions de son fils sur le port du masque. « Que lui dire puisque ça n'a pas de sens ? Alors je lui dis que c'est comme ça, que c'est la règle, que tout le monde le fait ». Terrible constat que de ne pouvoir expliquer à son enfant de huit ans qui, lui, a perçu les absurdités, la logique de ces nouvelles normes.

Le non-sens conduit progressivement à l'impuissance apprise, terme issu de l'expérimentation animale. Après avoir essayé de rechercher nombre de solutions toutes aussi vaines les unes que les autres, l'animal renonce à s'échapper et s'immobilise, même s'il continue à être martyrisé (le rat qui reçoit des décharges électriques dans les pattes ne cherche plus à fuir la situation). Il a intégré que toute tentative est vouée à l'échec.
[cf l’attitude « stupide » des coolies des du colonialisme, attitude quand on se retrouve dans un bureau clan de bonnes-femmes]  

Chez l'homme, l'observation clinique permet de mettre en évidence ces phénomènes après des séquestrations, des violences répétées par des personnes ayant autorité, ou après des violences conjugales par exemple. De tels cas sont longs et difficiles à traiter. Ils sont d'autant plus compliqués que l'agresseur a une ascendance, une autorité sur la victime, et que le mauvais traitement se prolonge. Il existe un lien direct entre personne ayant autorité et durée des mauvais traitements d'une part, et sévérité du tableau clinique d'autre part. Le psychisme de la victime peut être littéralement colonisé par des pensées qui ne lui appartiennent pas. Ces pensées sont issues du discours de l'agresseur ; elles ont fini par faire effraction dans l'esprit de la victime. Sa personnalité peut se modifier durablement, voire définitivement.

La violence institutionnelle installée depuis le mois de mars produira des effets délétères indélébiles. Il est difficile de croire qu'un gouvernement inflige ce type de traitement. Pourtant, regardons autour de nous et admettons qu'il en est ainsi aujourd'hui : nous voyons des foules impersonnelles, masquées, attendant un transport dans lequel elles vont s'amasser avant de rentrer chez elles pour ne plus en sortir jusqu'au lendemain. 

Transformer la foule en masse informe, cela rappelle les écrits de Hannah Arendt bien souvent convoqués ces derniers temps. Mais nous le banalisons chaque jour car c'est le seul moyen de nous adapter et de rendre ces nouvelles exigences vivables. Un homme décide seul pour l'ensemble des citoyens, coupé du système de contrôle qui en temps normal permet la régulation du pouvoir et en limite les abus. Tous les régimes totalitaires ont utilisé ces mêmes stratégies efficaces. La peur, la culpabilisation, la sanction, l'usage de l'arbitraire qui prive de sens, constituent la matrice des dictatures. Renoncer à comprendre ou, plus précisément, renoncer à identifier une logique permet d'échapper à la sidération, à l'emprise, au chaos mental. L'agresseur -celui qui maltraite, persécute, séquestre, humilie, peu importe les actes qu'il fait subir- a sa propre logique. Pour échapper à la folie, il faut rester dans nos repères habituels, les valider chaque jour, et identifier le fonctionnement de l'agresseur comme relevant du pathologique sous peine de s'identifier à lui (syndrome dit de Stockholm). Les premières mesures de restrictions des droits fondamentaux n'ayant pas déclenché de réaction hostile dans la population, ce qu'il est facile de traduire par « le peuple a été bien conditionné », il semble que nous soyons prêts à accepter d'autres privations. Un non-sens de plus ou de moins, qui sera encore capable d'en être conscient ? Rien ne fera plus dorénavant obstacle, quels que soient les indicateurs sanitaires par ailleurs et à supposer qu'ils soient encore d'actualité, à imposer à une population soumise et martyrisée un confinement permanent, une vaccination ou des conditions drastiques à son déplacement, par exemple un passeport sanitaire. Qui nous garantit même qu'une élection aura lieu dans un an et demi ? Les dictateurs choisissent seuls les chemins menant au bonheur du peuple. Quand le non-sens est établi en système, la valeur de l'être humain est niée et la personne, privée de sa logique, peine à conserver une organisation psychique cohérente.qués ces derniers temps. Mais nous le banalisons chaque jour car c'est le seul moyen de nous adapter et de rendre ces nouvelles exigences vivables.

Tous les régimes totalitaires ont utilisé ces mêmes stratégies efficaces. La peur, la culpabilisation, la sanction, l'usage de l'arbitraire qui prive de sens, constituent la matrice des dictatures.

L'agresseur -celui qui maltraite, persécute, séquestre, humilie, peu importe les actes qu'il fait subir- a sa propre logique. Pour échapper à la folie, il faut rester dans nos repères habituels, les valider chaque jour, et identifier le fonctionnement de l'agresseur comme relevant du pathologique sous peine de s'identifier à lui (syndrome dit de Stockholm).

Les dictateurs choisissent seuls les chemins menant au bonheur du peuple.

Quand le non-sens est établi en système, la valeur de l'être humain est niée et la personne, privée de sa logique, peine à conserver une organisation psychique cohérente.

Dr. Frédéric BADEL