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09/04/2025

Dieudonné, le courage tranquille (et avec le sourire, tout le monde ne peut pas en dire autant !) surtout pas le "Eric" !

Et pourtant quelle époque !  Même Béranger, qui était la bête noire de Charles X et de l'Eglise catholique d'alors (https://fr.wikisource.org/wiki/Proc%C3%A8s_faits_aux_chansons_de_P.-J._de_B%C3%A9ranger/Premier_proc%C3%A8s et https://fr.wikisource.org/wiki/Proc%C3%A8s_faits_aux_chan... ) , ne subissait pas une censure aussi systématique, obsessionnelle et  haineuse

https://www.findclip.net/video/5CnUF58ziRU/dieudonn.html

ci-dessus le lien, vidéo à télécharger et conserver précieusement, et à diffuser - faites tourner ! - un max.

résistance du peuple ! devant la haine des chiens de garde du grand capital et ses hôtels de luxe.

et qui qu'en dise Dieudo, et aussi les journaputes de la caste au pouvoir VIVE Etienne Chouard ! le plus grand penseur politique français et l'esprit le plus intègre (trop même !) et les plus pénétrant de notre époque.

 

vidéo (par lien libre)  https://ru-clip.net/video/cjyGiqrTK7A/dieudonn%C3%A9-le-p...

"le retour à la normale ne peut plus être envisagé" ah bon ?  ils ont l'intention de faire rester la France un Etat  totalitaire ? Pourtant la Chine est en train de revenir à la normale. Il est vrai que la Chine  est d'ores et déjà totalitaire, (le totalitarisme capitaliste, car la Chine Continentale n'est plus rien du tout de communiste ! ni de socialiste, et est devenue archi-capitaliste). Vous allez en profiter pour instaurer le projet Européiste "Indect" qu'avait dénoncé François Asselineau ?

14.000 lits ? Mais c'est ce que la France aurait du déjà avoir, en permanence,  si elle ne faisait pas partie de l'Union européenne, et n'avait pas tout démantelé de manière irresponsable et criminelle pour obéir aux directives de la Comission et de la BCE !! (c'est la proportion qui existe en Allemagne, qui, quoi que membre elle aussi de l'UE, a , elle, échappé en partie aux exigences de réductions budgétaires !)

En tous cas pendant ce temps Dieudonné (ce gars qui devrait plaire à Zemmour, puisqu'il porte un prénom d'origine française et non étrangère, pas Nicolas, qui est grec, pas Jean ou Marie, qui sont hébreux, pas Albert, qui est germanique, pas Marc qui est romain, et surtout pas Eric, qui est viking ! et évoque la violence ! puisque les premiers Eric qui se sont abattus sur la France sont venus avec leurs drakkars pour piller les monastères et égorger les moines

Tiens, au fait, un petit rappel historique : En 889, les Vikings remontent la Vire et assiègent Saint-Lô. Le chroniqueur Réginon raconte que les habitants de Saint-Lô ainsi l'évêque de Coutances Liste (Lista) se sont réfugiés dans le château de la ville15,Note 2. Protégée par des remparts solides construits un siècle auparavant par Charlemagne, la ville ne se rend pas. Les assaillants coupent alors l'approvisionnement en eau, ayant pour conséquence la reddition des habitants. Les Vikings massacrent les habitants, dont l'évêque de Coutances, puis rasent la ville."
Bon on t'attend Eric ! tu vas faire une déclaration pour te désolidariser de ces horreurs commises par tes homonymes ? Ben c'est pas ce que exiges de ceux qui s'appellent Mohammed ?

ah ! autre fait historique, Les Vikings ne firent pas de quartier lorsqu’ils prirent d’assaut la ville de Nantes en juin 843, pas même lorsqu’ils trouvèrent des moines barricadés dans la cathédrale de la ville. « Les païens ont décimé toute la multitude de prêtres, de clercs et de laïcs », selon le récit d’un témoin. Parmi les victimes, qui auraient été tuées alors qu’elles célébraient la messe, se trouvait notamment un évêque qui fut canonisé par la suite.

) devient de plus en plus humaniste :

https://iamdieudo4.ru-clip.net/sLc14cs8EVQ/dieudonn%C3%A9-clap-de-fin.html

"Le peuple a perdu la confiance du gouvernement; Le gouvernement a décidé de dissoudre le peuple et d'en nommer un autre" (Bertold Brecht)

Bigard serait-il le Dieudonné bis ?

 

02/04/2025

Karl Marx avait raison ! pour comprendre les 2 siècles d'histoire qui nous ont précédés et la situation actuelle que les gens ont encore tant de mal à comprendre

http://www.m-pep.org/spip.php?article3913

 UNE FAILLITE DE LA GAUCHE DONT LES SOURCES REMONTENT LOIN DANS L’HISTOIRE

Par le Mouvement politique d’émancipation populaire (M’PEP)

14 février 2015.

Pour admettre cette réalité, nous ne pouvons pas faire l’économie d’un retour en arrière pour comprendre ce qu’est la gauche, non pas comme nous la rêvons ou comme nous la voudrions, mais telle qu’elle fut et telle qu’elle est vraiment aujourd’hui, et le mécanisme idéologique et politique qui a produit ce grand retournement. La principale raison qui nous empêche d’y voir clair là-dessus, c’est que les mentalités collectives (donc la nôtre !), ont gardé une image de la gauche identifiée au visage qu’elle présenta publiquement lors de rares moments historiques très spécifiques. La gauche a été assimilée au rassemblement des forces politiques – d’abord PCF et PS - qui luttaient contre les injustices et les désordres causés par le capitalisme, et qui a amélioré le sort des classes dominées quand elle gouvernait. Pendant ces rares périodes unitaires, qu’on le regrette ou que l’on s’en félicite, c’était le PCF qui donnait le « la » à cette gauche, et au-delà c’était surtout le mouvement populaire. Soit la gauche soutenait le PCF de manière plus ou moins critique, soit elle le concurrençait, mais sur des bases partageant un fonds commun. Si tel n’avait pas été le cas, la gauche prenait le risque de se priver du soutien des classes populaires qui, elles, se retrouvaient majoritairement sur les fondamentaux défendus par le PCF, quand bien même elles n’étaient pas encartées. Quels étaient ces fondamentaux, ce fonds commun partagé alors par la quasi-totalité des partis de gauche ? Si on veut n’en retenir que l’essentiel, c’était la lutte contre le capitalisme, en adoptant pour ce faire une voie nationale, celle de la conquête politique des leviers étatiques pour les mettre au service des classes populaires et de l’intérêt général au nom de la lutte pour l’égalité sociale.

Croire que la gauche correspond intrinsèquement à cette identification avec l’objectif de mettre l’Etat au service des intérêts structurels des classes dominées ne permet pas de comprendre ce que sont les deux composantes de la gauche que l’on nomme la social-démocratie et celle que l’on nomme le communisme. La social-démocratie sert à produire l’idéologie « progressiste » la plus en phase avec les évolutions nécessaires au capitalisme. Quant au PCF, ses dirigeants l’ont transformé depuis le milieu des années 90 en satellite du PS, à l’instar de plusieurs partis communistes des anciens pays de l’Est.

Il est trop tard pour tenter de donner un contenu de classe susceptible de créer le rebond salutaire à une notion de « gauche » désormais obsolète. Pour faire naître une nouvelle dynamique politique, il est nécessaire d’acter la déliquescence de la notion de « gauche » et de la pertinence du clivage gauche-droite chez la majorité des citoyens. Le repère à mettre en avant, le véritable clivage doit être désormais celui de la défense des intérêts des classes dominées, la défense du peuple. Seul le clivage autour de cette question est pertinent.

Pour comprendre la déliquescence contemporaine de beaucoup de forces politiques qui se rangent à gauche, une plongée dans l’histoire est nécessaire. On y apprendra que l’expression « la gauche » n’a eu vraiment de sens qu’à quatre périodes très courtes de l’histoire de France. Le reste du temps, la division a régné, une partie de la gauche – la social-démocratie – s’alliant à la droite, tandis que l’autre, la gauche communiste, s’alliait sans nuances au régime dictatorial de l’URSS. Cette faillite des appareils politiques de la gauche semble bien définitive, elle en est à son stade terminal car elle persiste à refuser de remettre en cause ses tabous.

 La « gauche » rêvée n’aura existé que quelques années, à quatre moments de l’histoire de France

La gauche rêvée n’aura existé que moins de treize ans sur près de deux siècles, à quatre reprises dans l’histoire. Il est donc impossible de parler de « la gauche » en général, car les moments dans l’histoire où les partis et forces qui s’en réclament étaient rassemblés et ont gouverné ne sont que l’exception. Ces quatre moments sont les suivants :

  • La lutte contre les ligues fascistes et pour le Front populaire, de la manifestation unitaire du 14 juillet 1935 au 13 février 1937 lorsque Léon Blum déclare la « pause ». Le PCF soutient le gouvernement mais n’en fait pas partie. Ce sont les grèves et manifestations de 1936, après l’élection, qui permettent d’obtenir d’importants acquis sociaux.
  • La lutte victorieuse contre l’occupant nazi de la première réunion du Conseil national de la Résistance le 27 mai 1943 jusqu’au 5 mai 1947, date de la révocation des ministres communistes par Paul Ramadier, président du Conseil socialiste. Le gouvernement va de la droite aux communistes, en passant par les gaullistes et les socialistes. Il s’appuie sur une immense mobilisation populaire.
  • L’union de la gauche autour du « Programme commun de gouvernement de la gauche » entre sa signature le 27 juin 1972 et la rupture du 15 septembre 1977. Cette période est différente des trois autres, car la gauche n’est pas au gouvernement.
  • La participation du PCF à la majorité présidentielle et au gouvernement avec le PS entre le 10 mai 1981 jusqu’au départ des ministres communistes du gouvernement Fabius le 19 juillet 1984. Les mobilisations populaires sont faibles, freinées par les directions du PCF et de la CGT.

On n’osera pas, ici, ajouter deux autres périodes qui, pourtant, pourraient correspondre à une forme d’alliance du PCF et du PS. La première est celle de la « gauche plurielle », de 1997 à 2002, lorsque des ministres communistes ont participé à un gouvernement socialiste qui a mené une politique parfaitement compatible avec les intérêts des classes dominantes. La seconde période est celle ouverte par l’élection de François Hollande à la présidence de la République, en 2012, avec la participation du PCF à la majorité présidentielle (mais pas gouvernementale).

Au XIXe siècle, la gauche institutionnelle (celle des parlementaires) défend la République, mais pas les ouvriers. Des parlementaires « bourgeois », ayant conservé l’habitude de se rassembler à la gauche de l’Assemblée, vont logiquement défendre la Révolution de 1789 et la République, tout en s’opposant au mouvement ouvrier en plein essor et à ceux qui veulent instaurer une véritable démocratie. Ils profitent d’être désormais les nouveaux maîtres de l’Etat afin de développer le capitalisme. La République bourgeoise, c’est la souveraineté parlementaire en lieu et place de la souveraineté populaire. Le parlement est entièrement sous leur contrôle, le peuple leur caution théorique et leur ennemi pratique. On le voit tragiquement en 1848 lorsque les ouvriers réclament le « droit au travail » et la République sociale. C’est l’armée républicaine qu’ils trouvent en face d’eux. Même chose pendant la Commune de Paris en 1871, lorsque le mouvement ouvrier s’opposa à la gauche républicaine et fut massacré par elle. La gauche, ainsi, va s’opposer très violemment au mouvement ouvrier. C’est la répression de Cavaignac en 1848, avant celle de Thiers en 1871, deux hommes de gauche au sens de cette partie du XIXe siècle... C’est pourquoi le mouvement ouvrier naissant était hostile à cette gauche de républicains-bourgeois. D’ailleurs, dans les textes de Karl Marx et Friedrich Engels, le terme de « gauche » n’apparait pas. Le Mouvement ouvrier n’a commencé à exister qu’en s’affirmant en dehors du système gauche-droite interne aux classes dominantes. Dans des conditions différentes, nous en sommes revenus au même point aujourd’hui.

Nous retrouvons d’ailleurs, au début du XXIe siècle, les fondements de la gauche du XIXe siècle lorsqu’elle rassemblait les idéologies politiques les plus en phase avec le capitalisme redevenu triomphant, ses besoins de développement et les nouvelles bases de sa reproduction matérielle. Au XIXe siècle, le capitalisme avait besoin de briser non seulement l’Etat absolutiste et théologico-nobiliaire, sa structure sociale et ses rigidités, mais aussi l’autonomie des petits producteurs, des corporations, des traditions locales et populaires, des solidarités collectives traditionnelles et familiales afin de marchandiser le travail et d’industrialiser la production, de développer la colonisation. La gauche d’alors (l’équivalent du PS aujourd’hui) lui proposait d’enchanter cette marche en avant avec les concepts de « progrès », de « science », de « raison », et de « République », avec ainsi la caution de la légitimité populaire. Le capitalisme avait alors bien plus besoin de ces « valeurs » que du conservatisme moral et politique de la droite. Tous les capitalistes bourgeois les plus conséquents se retrouvaient dans l’idéologie de la gauche parlementaire, de la gauche donc tout court, car le mouvement ouvrier ne se situait pas à gauche. Tandis que tous ceux qui étaient pour lutter structurellement contre le capitalisme, pour établir une véritable démocratie, et donc pour établir dans les faits le pouvoir du peuple souverain, notamment les socialistes et les syndicalistes, étaient alors les ennemis de la gauche.

Les appellations de « gauche » et de « droite » s’imposeront au début du XXe siècle avec l’Affaire Dreyfus, le « Bloc des gauches » et le « Cartel des gauches ». En 1924, avec le « Cartel des gauches », le rôle de repère politique de ces deux expressions « gauche » et « droite » est définitivement adopté. Le Cartel des gauches se constitue à la fin de l’année 1923 contre le Bloc national. La scission intervenue en 1920 à l’issue du Congrès de Tours de la Section française de l’Internationale ouvrière (SFIO), qui voit la création de la SFIC (Section française de l’Internationale communiste qui deviendra plus tard le Parti communiste français), permet à la SFIO, devenue minoritaire, de se tourner vers une nouvelle alliance avec les radicaux. Les premiers députés communistes qui sont élus en 1924 siègent dans l’opposition, ils ne font pas partie du Cartel des gauches. Le PCF renvoie dos à dos la gauche et la droite. Il les assimile à « deux fractions de la bourgeoisie », il dénoncera le « bloc des bourgeois arrivistes » qui, sous l’étiquette de « gauche », dispute les places au « bloc des bourgeois repus ». Il affirmera : « capitalistes de droite et capitalistes de gauche se valent » ; « la gauche n’est qu’un autre visage de la droite, sous deux faces différentes, la tête reste la même ». Il obtient 9,82% des voix et 26 sièges. Les socialistes de la SFIO ne participent pas au gouvernement de peur de se faire taxer de trahison sociale par les communistes qui voyaient dans cette alliance une collaboration avec un régime « bourgeois ».

Il existe bien une gauche pendant toute cette période, mais sa géographie est très différente de celle d’aujourd’hui. A l’époque, les radicaux en sont la force propulsive, alors que les communistes n’en font pas partie. Après la Seconde Guerre mondiale, les radicaux intègreront progressivement la droite, alors que les communistes intégreront la gauche pour en devenir la force propulsive avant d’être satellisés par le PS.

 En 1982, début de la mise en œuvre du néolibéralisme par le PS

Après l’élection de François Mitterrand à la présidence de la République, le 10 mai 1981, une politique favorable au monde du travail, bien que modeste, est mise en œuvre : nationalisations, hausse du pouvoir d’achat, 5e semaine de congés payés… Mais dès 1982-1983, à l’occasion de la deuxième puis de la troisième dévaluation, le « virage libéral de la gauche » est engagé par la direction du Parti socialiste. Depuis cette époque, la vie politique française reste enfermée dans ce schéma intellectuel. Après la révolution néolibérale en cours aux Etats-Unis et en Grande-Bretagne, le PS adapte la société française à ce nouveau stade du capitalisme : celui de la mondialisation néolibérale. Le PS va donc rétablir le taux de profit des grandes entreprises, les réhabiliter ainsi que les « capitaines d’industrie », valoriser la France « qui gagne » (de l’argent), neutraliser les syndicats, marginaliser le PCF… Deux types de politiques néolibérales sont alors proposés : celui de la droite classique, obtus, conservateur, frileux sur les questions de société, réactionnaire ; et celui de la gauche « moderne » – le Parti socialiste – ouvert, moderniste, progressiste, sociétal… Et surtout plus efficace pour concevoir et mettre en place sans résistances ce néolibéralisme changeant radicalement le mode d’accumulation capitaliste. La gauche moderne incarnée par le PS va mettre toutes les institutions au service exclusif des classes dominantes en supprimant sans bruit, un par un, tous les processus démocratiques institutionnels. C’est même le caractère politique des pays européens qui sera anéanti par le biais de la mal nommée « construction européenne ».

De 1997 à 2002, la « Majorité plurielle » (ou « Gauche plurielle ») rassemble au gouvernement le Parti socialiste (PS), le Parti radical de gauche (PRG), le Mouvement des citoyens (MDC), les Verts et le Parti communiste français (PCF). Le Premier ministre est Lionel Jospin, le président de la République est Jacques Chirac. Jean-Luc Mélenchon est ministre de l’Enseignement professionnel de 2000 à 2002. Cette cohabitation s’est mise en place en quelques semaines après la dissolution de l’Assemblée nationale décidée par Jacques Chirac. Cette situation est la suite des puissantes grèves et manifestations de décembre 1995 pour la défense des retraites sous le gouvernement Juppé. On peut lire dans la déclaration faite par la gauche plurielle pour sceller son accord : « la droite les brade [les services publics]. Elle privatise et dérèglemente […] Ainsi par exemple, pour France Télécom, Thomson, Air France, nous proposons l’arrêt des processus de privatisation. » Le gouvernement fera le contraire. Le PCF approuvera et accélèrera son déclin.

Au tout début de la législature, et contrairement aux engagements solennels de Jospin lors de la campagne électorale, le gouvernement signe le traité d’Amsterdam sans le renégocier (suite du traité de Maastricht et préparation au traité constitutionnel européen), avec l’accord de la direction du PCF impliquant 100 milliards de francs de coupes dans les budgets publics, l’accélération des privatisations, de la déréglementation et de la flexibilité. A partir de cette date la majorité des députés du PCF va critiquer le budget mais le votera. L’augmentation de la CSG va susciter de nombreuses critiques, tout comme le maintien du plan Juppé de casse de la Sécurité sociale par le vote du 4 novembre 1997 grâce à l’abstention des députés PCF. En 2002, le passage à l’Euro est avalisé par la direction du PCF en contradiction avec son vote négatif lors du référendum sur le traité de Maastricht.

Au total, les réalisations du gouvernement Jospin ont été un mélange de petites mesures sociales, économiques et démocratiques ambiguës, d’accompagnement du néolibéralisme mis en place par le PS dans les années 80, et de contre-réformes confortant et approfondissant ce virage, directement empruntées au « consensus de Washington ». Le cas le plus accablant est celui des privatisations, opérées avec l’aval de la direction du PCF. Lionel Jospin, en effet, a mis en œuvre un programme de privatisation - ou d’ « ouverture du capital » et de « respiration du secteur public », pour reprendre le vocabulaire voilé des ministres - nettement plus important en valeur que celui des gouvernements de Balladur et de Juppé réunis. Il a ainsi achevé de démanteler ce qui restait du secteur public élargi sous Mitterrand et Mauroy en 1982.

Ce gouvernement de gauche, à la suite de ses équivalents des années 1980, aura été la meilleure formule pour permettre la plus grande adaptation du capitalisme depuis un siècle. La participation communiste au gouvernement a freiné la résistance et les luttes populaires. Le PCF a payé le prix fort de ces trahisons lors des élections qui ont suivi. Aux municipales de 2001 le PCF a perdu la direction de 30% des villes de plus de 15.000 habitants qu’il dirigeait. A la présidentielle de 2002, le candidat communiste Robert Hue ne réalisait que 3,37% des voix. Jean-Marie Le Pen, candidat du Front national, avec 16,86% passait devant Lionel Jospin qui n’obtenait que 16,18% des voix et se trouvait éliminé du second tour. A la présidentielle de 2007, la candidate communiste Marie-George Buffet ne réalisait que 1,93% des voix…

Le flou et les ambiguïtés du contenu de la notion de « gauche » et de son périmètre expliquent sans aucun doute la faillite politique des partis qui s’en réclament aujourd’hui. Le PS n’a plus de « socialiste » que le nom, pour mieux tromper les électeurs. C’est pourquoi, d’ailleurs, il ne veut pas changer de nom. C’est un appareil qui n’a rien à envier à celui de la droite, il méprise le peuple et la nation ; c’est un appareil de notables et d’arrivistes, de professionnels de la politique, uniquement intéressés par leur carrière. Le PS s’est coulé dans la constitution présidentialiste de la Ve République, aggravant même ses logiques les plus négatives en inversant le calendrier électoral qui fixe la date de la présidentielle avant celle des législatives (Jospin en 2002). Seule la « gauche » à la mode du PS pouvait mettre en œuvre les « réformes » demandées par le néolibéralisme. De son côté, le PCF n’a plus lui aussi de « communiste » que le nom. Il a abandonné la défense des intérêts des classes dominées, ce qui faisait sa force. Plus que jamais un statut de l’élu est nécessaire pour « déprofessionnaliser » la politique : permettre à tous les citoyens d’exercer un mandat sans être pénalisés lors de leur retour à l’emploi et limiter ainsi le nombre de mandats.

La crise de l’euro et l’élection de François Hollande à la présidence de la République en 2012, correspondent à la fin d’un certain modèle de la social-démocratie. Partout en Europe la social-démocratie est à la manœuvre, à côté des forces les plus réactionnaires, pour imposer les sacrifices les plus inhumains aux peuples. C’est particulièrement le cas en Grèce, en Espagne, au Portugal, et aussi en France. Les socialistes considèrent le capitalisme mondialisé indépassable. Dès lors, pour eux, toute volonté de rupture avec ce capitalisme ne pourra que conduire au goulag. Pourtant, si les enjeux sont internationaux, les outils sont nationaux. Le PS n’est même plus le parti réformiste des Trente glorieuses qui voulait aménager le capitalisme. Il est devenu le meilleur instrument des classes dominantes. La social-démocratie, encore bien plus que la droite, est frappée d’un européisme fanatique. Elle joue un rôle moteur dans la désintégration du modèle social issu de la Résistance. C’est la conversion intégrale du PS à l’économie de marché.

La difficulté est de faire comprendre que le PS n’a pas « trahi » les espérances du peuple et qu’il serait ainsi une « fausse gauche ». Cette analyse est erronée. Le PS n’a pas trahi le peuple, car il n’a jamais eu l’objectif de répondre à ses besoins. Le PS a au contraire choisi d’adapter la société au capitalisme contemporain, libre-échangiste, financiarisé, européiste, sous domination états-unienne. Il se situe dans la tradition de la gauche républicaine-bourgeoise du XIXe siècle. Là se trouve toute l’erreur du Front « de gauche » qui veut apparaître comme la « vraie gauche ». Les dirigeants du PS et ceux qui les soutiennent ne sont plus simplement des « faux-frères » qui reviendront un jour dans le droit chemin. Ce sont des adversaires, plus encore, ce sont des ennemis de classe. Il faut rompre avec ce « socialisme » en peau de lapin, c’est ce que se refuse à faire le Front de gauche. Les forces qui se réclament de la social-démocratie sont désormais totalement intégrées au système des classes dominantes : dans les médias, les grandes entreprises, les Think-tanks, l’appareil d’Etat, certains syndicats affiliés à la Confédération européenne des syndicats (CES)…

Les catégories avec lesquelles nous avons appris à penser la politique doivent donc être revues de fond en comble, le clivage gauche-droite ne recoupe plus depuis des décennies une division de classes, il la masque. C’est à cet immense effort qu’invite le M’PEP. Les termes gauche-droite sont désormais des catégories inutilisables, démonétisées, hélas pour de très solides raisons. Il faut trouver un nouveau langage commun qui soit compris par tous, de l’ouvrier au petit patron.

 Le Parti socialiste, parti du néolibéralisme, instrument le plus efficace au service des classes dominantes

Dix-sept années d’exercice du pouvoir par le PS depuis 1981, permettent désormais de dresser le bilan du principal parti de gouvernement à gauche. Ce bilan est parfaitement accablant. Il va encore en s’aggravant. Voter pour le PS ou s’allier avec lui, c’est voter ou s’allier avec le parti principal des classes dominantes. C’est maintenir la clé de voute du blocage démocratique que nous subissons depuis le virage néolibéral entamé par le PS dès 1982.

L’évolution du PS comme un parti ouvertement néolibéral, n’essayant même plus de se donner des airs ne serait-ce que vaguement socialistes, ni de faire semblant de vouloir défendre les classes populaires, devra pourtant attendre François Hollande. Il profitera de la défection de son charismatique concurrent Dominique Strauss-Kahn, qui avait la faveur des classes dominantes et de leurs médias (presque tous). De 2012 à 2015, le gouvernement socialiste, majoritaire dans les deux chambres, ne tente même pas de donner le change.

Trente longues années de politique néolibérale instaurée par les « socialistes » depuis le début des années 1980 nous permettent donc de faire le bilan du PS. Ceux qui se cantonnent dans l’idéologie, se perdent dans la question cornélienne de savoir si le PS est à gauche ou pas, butant sur l’impossible définition de la gauche, ou de la « vraie gauche ». C’est une question dont on a tout intérêt à se dispenser. Non pas que le clivage opposant les classes dominantes aux classes dominées ait le moins du monde disparu, puisqu’au contraire il s’avive d’année en année. Mais il est très mal représenté par le très flou clivage gauche-droite d’aujourd’hui. Non seulement rien d’essentiel ne sépare l’UMP du PS, mais même une bonne partie de la gauche non socialiste, y compris ceux qui se disent anticapitalistes, se refusent de revenir sur les principales mesures socialistes. Ce sont celles de la mondialisation commerciale, sociale, monétaire, bancaire, financière et surtout institutionnelle, celle qui verrouille politiquement toutes les autres et donc la plus stratégique. Les principaux piliers du capitalisme néolibéral ne sont même pas les cibles de ceux qui sont supposés être à l’extrême gauche. Ils refusent le protectionnisme national, y compris sous sa forme coopérative et internationaliste, seule alternative démocratique au libre-échange généralisé. Ils refusent aussi l’annulation de la dette publique et la suppression des marchés financiers. Plus encore, ils rejettent la sortie des institutions cardinales du néolibéralisme en Europe : la sortie de l’euro et de l’Union européenne. Dès lors, que peut bien signifier le concept de « gauche » aujourd’hui pour les classes populaires ? Rien.

Non seulement le PS et ses satellites inféodés, tout comme l’UMP, est au service exclusif des classes dominantes, mais il en est même, contrairement aux autres, la pièce maîtresse, le parti organique, le plus important, le plus stratégique. C’était le seul à pouvoir imposer sans beaucoup de résistances collectives, politiques et syndicales, le gigantesque train de mesures nécessaires pour passer de l’économie mixte fordiste adossée à la souveraineté nationale et populaire et ses processus démocratiques imparfaits mais toujours mobilisables, à l’ordre antidémocratique supranational du capitalisme néolibéral actuel.

Le parti principal des classes dominantes, c’est donc le PS. Ce fait massif et désormais indéniable est beaucoup plus important que de se demander s’il est encore à gauche ou s’il est à droite. Le bipartisme que nous connaissons désormais depuis trop longtemps a bien réparti les rôles, qui sont complémentaires. L’ensemble est là pour masquer le phénomène principal : plus aucune force politique organisée possédant une visibilité publique n’est là pour défendre les intérêts structurels des classes dominées. Personne ne suscite une dynamique de reconquête des processus démocratiques en restaurant la souveraineté nationale et populaire. Personne ne vise à détruire les piliers du capitalisme néolibéral érigés par le parti organique des classes dominantes, le PS, flanqué de ses alliés.

Finalement, la doctrine implicite du Parti socialiste revient à dire que toute volonté de rompre avec le capitalisme ne peut conduire qu’au « goulag ». Car il faut, en effet, pour rompre avec le capitalisme, mobiliser le peuple, se servir de l’Etat et agir à l’échelle nationale. Autant de dérives « populistes », « étatistes », « souverainistes » et « nationalistes »… L’arrivée de François Hollande à la tête de l’Etat va bien plus loin que le « tournant de la rigueur » de 1982-1983, où il ne s’agissait « que » d’une reddition idéologique. En 2012, avec les socialistes au pouvoir, il s’agit d’une collaboration totale et délibérée avec le grand capital. Il ne s’agit plus d’un compromis, mais d’une alliance structurelle. Qu’est-ce que le « socialisme de l’offre », si ce n’est le service du capital, car l’ « offre », en économie, signifie le côté du capital.

 Plus aucune voix issue des classes dominées ou de quiconque attaché aux principes démocratiques ne doit aller à ce parti ou à ses alliés

Les classes dominantes doivent être combattues frontalement et non plus légitimées et renforcées électoralement. Leur parti le plus efficace est le PS. Il doit disparaître du paysage politique, qu’il a déshonoré plus qu’aucun autre. Ceux qui craignent en sanctionnant le PS et EELV de faciliter ainsi la montée du FN ne comprennent pas la logique expliquant la montée du parti d’extrême droite. C’est le blocage politique organisé par le bipartisme, et l’absence de tout autre parti visible proposant une rupture avec ce qu’a construit le PS, qui crée structurellement un effet de niche pour le FN. Le PS a construit un monde où l’autonomie du politique a disparu, condition indispensable pour que les classes dominées puissent peser sur les normes collectives (la loi…). Un parti réellement du côté des classes dominées et qui prendrait de l’ampleur ferait disparaître ce blocage actuel et diminuerait d’autant les votes FN. Le principe des vases communiquant s’appliquerait, à condition que ce parti annonce sans aucune ambiguïté qu’il se propose de démondialiser, de restaurer la souveraineté nationale pleine et entière en sortant de l’euro et de l’UE, de l’OTAN, de l’OMC, de la Banque mondiale et du FMI, qu’il annonce l’annulation de la dette publique et la restauration d’un circuit public du crédit et de la création monétaire, un protectionnisme coopératif, la réindustrialisation et le refinancement massif de la fonction publique et de la Sécurité sociale. Le « vote utile » est ainsi certainement, après les autres manœuvres du PS, ce qui a le plus contribué au maintien à un haut niveau du FN. Croire éviter la montée du FN en votant PS (ou EELV), ou UMP au second tour, est donc le plus sûr moyen de faire prospérer son effet de niche éternellement et de laisser pourrir la situation.

Seules des forces politiques comme le M’PEP, s’il se développe, pourront débloquer réellement une situation particulièrement malsaine et qu’il faut au plus vite redresser radicalement. En attendant, personne ne doit, au premier comme au second tour, donner sa voix au principal responsable, le PS (et EELV), ni à la droite. EELV regroupe de toute façon des politiciens opportunistes, écologistes d’opérette, et les idéologues les plus forcenés justifiant comme personne les institutions antidémocratiques européennes. Ceux qui ne voient rien à redire au fait que les choix de production et d’échanges soient confiés exclusivement au marché, ce qui est le cœur du néolibéralisme et des traités européens, ne sauraient avoir la moindre ambition écologique. Ils ne sont capables que de proposer des mesures parfaitement anecdotiques et cosmétiques, qui ne remettent jamais en cause les intérêts du capital.

Parmi les questions politiques les plus urgentes se trouve donc l’adhésion au M’PEP. Pour ceux qui partagent ses idées, c’est le moment ! Le M’PEP est le parti du peuple !

NB : le M'PEP s'apelle maintenant le PARDEM

13/02/2025

le sexe hier et aujourd'hui

Une petite suite à changements dans le vocabulaire :

le changement du sens des mots témoigne du changement dans la société et ses mœurs. Autrefois on utilisait abondamment de mot “sexe” très librement et sans problème, car ce terme n’avait rien de pornographique, contrairement à ce qu’il est devenu maintenant.
Dans une société où le fait d’être homme où femme entraînait des vêtements différents, des rôles sociaux différents, des comportements différents, un aspect physique différent, un caractère différent, etc, le mot sexe - je rappelle que ça vient tout bonnement
du latin sexus, pour sectus, section, séparation. - n’avait dans 99 % des cas nullement la signification qu’il a de nos jours : organe de la copulation ! Et était utilisé couramment et très librement, aussi bien par les femmes, qui parlaient sans gêne des grâces de leur sexe car ça n'avait rien de porno.

Mais notre époque, à force de féminisme exacerbé, a exigé de supprimer, interdire et diaboliser toute différence quelle qu’elle soit entre hommes et femmes, mis à part la différence dans les organes de la reproduction ! On a réduit les deux sexes à leurs organes copulatifs. Résultat le mot « sexe » de nos jours n’a plus le même sens qu’autrefois, maintenant il désigne en anglais  le coït  (to have sex), et en français « organes de la copulation ». Effectivement ça change pas mal !

11/02/2025

Coluche, le Dieudonné des années 80

mort "mystérieusement" (en fait pas du tout ! c'est très clair) le 19 juin 1986 -

Le jeudi 19 juin 1986, sur le trajet à moto le ramenant de Cannes à Opio, Coluche est accompagné de deux amis. Coluche roule à vitesse modérée (selon l’expertise, à environ 60 km/h au lieu des 90 km/h autorisés).

Sans aucun motif apparent, un poids lourd lui coupe brusquement la route en effectuant une manœuvre criminelle, un virage sec à gauche coupant la route.

L’humoriste ne peut rien faire pour éviter la collision, sa tête percute l’avant droit du camion, un choc qui lui est fatal.

C’est ce qui se passe quand un humoriste dérange trop les puissants et, à priori, cela continuera encore en 2015 et les années suivantes ! Demandez l’avis de Dieudonné.

Quid de la mort de Coluche ?

Les médias ont menti depuis le début, car ils n’ont rapporté que la version du chauffeur du camion, mais jamais la version des deux amis de Coluche, Ludovic Paris et Didier Lavergne, qui étaient quelques mètres derrière lui, à moto, et qui ont tout vu : le chauffeur a braqué au dernier moment en plein milieu d’une ligne droite pour écraser Coluche, qui roulait à 60 km/h, alors que la version du chauffeur et de la télé, c’est que Coluche roulait très très vite, comme un fou, et se serait encastré dans un camion dans un virage, car il n’aurait pas eu le temps de le voir.

Didier Lavergne: <<Je suivais Coluche à deux, trois mètres, pas plus. Nous étions presque roue dans roue. Le camion a tourné sans mettre son clignotant, sous le nez de Coluche>>.

France-Soir le 20 juin 1986 (comme quasiment tous les médias): <<Derrière lui, ses deux amis, Ludovic Paris et Didier Lavergne, n’ont rien vu, leur pote était déjà mort quand ils sont arrivés à sa hauteur.>>

Didier : <<Ah mais, c’est complètement faux ! J’ai tout vu. C’est même moi qui ait indiqué aux gendarmes l’endroit précis où la tête a heurté. J’ai vu la tête, boum, elle a heurté l’angle du phare. Lorsque le camion est arrivé à la hauteur de Coluche, tout d’un coup, le chauffeur a braqué la cabine sous son nez. À un mètre ou deux près, il aurait freiné>>.

Tous les journaux ont écrit: <<Quand ils sont sortis du virage, le camion était déjà en travers.>>

Didier : <<Mais c’est ça qui est faux ! Moi je l’ai toujours dit, le camion venait droit vers nous. Et il était loin.>>

Coluche était un motard chevronné, et n’était ni bourré ni drogué ce jour-là d’après les analyses scientifiques officielles.

Ses deux camarades (qui étaient quelques mètres derrière lui) ont immédiatement freiné quand le camion a soudainement braqué, preuve que la version officielle est un énorme mensonge: il y avait largement la distance et le temps pour s’arrêter et ne pas rentrer dans le camion.

Didier (trois mètres derrière Coluche) : <<C’était pas limite du tout. Je me suis arrêté sans faire de traces sur le bitume, et sans tomber…devant la cabine du camion. Michel, lui, n’a pas freiné parce que le camion lui a claqué la porte au nez. Et Michel ne pouvait avoir d’autre réaction que celle qu’il a eue, parce que c’est un réflexe de motard. Un réflexe, c’est quand t’as pas le temps de réfléchir.>>

Ludovic (dix mètres derrière Coluche) : <<C’était un bon freinage quoi, pas en urgence. On n’allait pas vite, encore une fois, ON N’ALLAIT PAS VITE>>.

Didier : <<il roulait vers nous, ça j’en suis sûr. Parce que ça aussi…il aurait été arrêté, et puis il aurait tourné et fait la manoeuvre quand on est arrivés, bon, peut-être que je me serais posé moins de questions. Mais là, c’était comme s’il avait fait exprès, pour nous foutre en l’air, tu vois.>>

Une expertise scientifique ordonnée par le juge Renard avait prouvé que le chauffeur avait menti sur la vitesse de la moto.

Mais le juge est un des fameux juges francs-maçons liés au "Milieu" de Nice, mis à la retraite d’office quelques années plus tard dans le plus grand scandale concernant la justice depuis des décennies :  il a choisi  (sur ordre ?)  de ne garder que la version du chauffeur, et d’éliminer 2 des 3 témoins, qui n’ont pas été entendus lors du procès !

Le chauffeur travaillait ce jour-là non pas pour son employeur, mais à son compte et, comme par hasard,  il transportait des gravats provenant du chantier de la gendarmerie de Grasse.

Et la Gendarmerie de Grasse

C’est à un barrage de la gendarmerie de Grasse, à la sortie de Valbonne, que les amis de Coluche qui étaient à moto quelques minutes derrière lui se sont heurtés, seulement dix minutes après que le camion ait heurté Coluche.

Un barrage, alors que les secours n’étaient pas encore arrivés à Opio sur le lieu de drame ! Depuis combien de minutes ce barrage était-il en place ?

Didier et Ludovic ont effectivement trouvé très étrange qu’aucun véhicule ne soit passé sur les lieux du drame entre le moment de l’accident et l’arrivée des secours.

Pendant de très très longues minutes, la route était totalement déserte. Il a fallu attendre plusieurs dizaines de minutes pour que les secours arrivent, alors qu’au bout de 10 minutes la gendarmerie de Grasse avait déjà mis en place un barrage.

Très étrange, non ?

Non seulement les médias nous ont caché tout ça, mais en plus ils nous parlaient d’une livraison anodine dans un camping … totalement inexistant en fait à cet endroit là.

Encore des mensonges.

Après “l’accident”, ce chauffeur ne s’est à aucun moment occupé de Coluche couché par terre contre le camion. Non, il voulait juste signer le constat !

Abracadabrantesque.

Encore plus abracadabrantesque, quand on se souvient que, dans les médias à l’époque, dans les jours qui ont suivi l’accident, il nous était présenté comme un homme bouleversé qui aimait Coluche !

Encore des mensonges.

Didier: <<Attends ! Mais le chauffeur, c’était incroyable ! Ça aussi, ça m’a choqué… Il est pratiquement sorti tout de suite avec les papiers pour faire le constat, c’est insensé !

Le type qui voit un mort au sol et il attend avec sa sacoche et ses papiers pour faire le constat, c’est un truc de fou. Il ne s’est jamais approché de l’homme qui pouvait n’être que blessé par terre, c’est ce qui m’a choqué le plus. Tu vois il marchait en tenant sa pochette derrière comme ça.>>

Didier s’est adressé au chauffeur : <<T’as vu qui t’a mis par terre ? C’est Coluche !” Et il n’a pas fait de commentaire. Il ne s’est pas plus approché pour avoir un geste de compassion humain… C’était très bizarre.>>

Pourquoi Coluche aurait-il été tué ?

Tous ceux qui ont rencontré Coluche à cette époque sont unanimes : il s’apprêtait (selon ses propres termes) à <<hurler sa pourriture au monde>>. Il était en train de préparer un nouveau spectacle au vitriol pour la rentrée, au Zénith de Paris, dans lequel il allait taper très très fort sur Mitterrand et sur la gauche caviar qui ne faisait rien contre le chômage, et, surtout, il allait parler de Mazarine.

Il connaissait tous les secrets du tout-Paris (politique, show-biz,…) grâce à son secrétaire personnel, Jean-Michel Vaguelsy. <<Je vais les secouer, je vais les allumer tous !>> répétait-il souvent. << Jusque-là, on a bien rigolé, mais ils n’ont encore rien vu : cette fois, ils ne vont plus rire du tout.>>

Trois jours avant sa mort, le 16 juin 86, Coluche déclarait à Michel Denisot : <<Les hommes politiques vont recevoir. Lors de mon dernier spectacle j’avais fait peur à certains hommes politiques, mais là, je vais carrément leur faire honte.>>

Dans un magazine télé en 1986 à propos des hommes politiques : <<Un pour tous, tous pourris.>>

Mitterrand et le PS étaient probablement effarés à l’idée que l’homme de gauche le plus populaire en France allait passer les deux années avant la présidentielle de 1988 à les attaquer impitoyablement.

Et Mitterrand (à l’époque) faisait tout pour empêcher qu’on parle de sa fille (des centaines d’écoutes illégales, harcèlement physique quotidien de Jean-Edern Hallier par des agents secrets en civil pour le rendre fou; quand il racontait ça tout le monde le prenait pour un parano…mais cela a été confirmé des années plus tard lors du procès des écoutes).

Quasiment tout ce que Coluche avait écrit et enregistré a disparu selon sa dernière compagne Fred Romano : <<Je n’ai jamais su trop quoi penser de cet accident, ce qui est certain c’est qu’il était en pleine préparation d’un spectacle explosif, les bandes étaient enregistrées et elles ont disparu comme par miracle après l’accident, j’aurais aimé savoir ce que contenaient ces bandes….>>

Didier Lavergne : <<Il y avait une balle encadrée dans son bureau avec écrit : “La prochaine sera pour toi”. C’était clair. C’est-à-dire qu’on lui avait annoncé que s’il faisait trop chier, on allait le descendre.>> Et depuis son retour sur scène en 1985, il recevait à nouveau des menaces de mort régulières, des balles, des lettres,… Il faisait aussi chanter l’Union Européenne et ses stocks faramineux de nourriture, ainsi que des grands groupes de l’agro-alimentaire, une dizaine de chantages de ce genre en tout, pour obtenir plus de nourriture pour les Restos du Coeur.

Il réussissait là où les politiques ne faisaient rien ou si peu, et en plus il allait s’attaquer au chômage, donc faire honte à la classe politique par des actions concrètes et par ses mots dans son spectacle à la rentrée 1986. Il était en passe de discréditer les hommes politiques français.

Coluche pensait qu’ils étaient trop cons pour pouvoir le tuer, comme le dit un de ses proches dans le livre.

Comment les médias ont-ils pu mentir à ce point ?

Les dépêches venaient de l’AFP, agence de presse dépendant de l’état, où travaillent au moins quatre membres des Renseignements Généraux; plusieurs sont reproduites et analysées dans le livre, et c’est là que l’on retrouve la gendarmerie de Grasse : c’est d’elle que proviennent toutes les informations reprises par le journaliste de l’AFP.

Sur les faits, dont plusieurs sont carrément inventés : on invente des témoins qui racontent avoir été doublés par Coluche et ses amis <<à une vitesse impressionnante>>, alors que, je le rappelle, l’expertise scientifique a prouvé que Coluche roulait à 60 km/h.

Et manipulation psychologique : on insiste bien lourdement sur le fait que Coluche était un champion de vitesse à moto. Et une fois les deux témoins amis de Coluche entendus…par la gendarmerie de Grasse, une seule phrase de leurs longs témoignages subsiste dans la dépêche qui en fait mention, le 20 juin au matin, mais rien sur leurs accusations envers le chauffeur du camion.

Fondamentalement, les médias n’ont pas enquêté.

Au procès, 99% des médias étaient absents ! Et les seuls présents, comme l’AFP et France-Soir, se contentaient de répéter la version totalement incohérente du juge, qui a réussi l’exploit de dissimuler que la version des amis de Coluche était l’exact contraire de la version du chauffeur : il a fait comme s’il n’y avait qu’une seule version et aucune contradiction.

Mentir par omission, désinformer par inaction, c’est très facile, et ça arrive tout le temps, il suffit de lire le Canard Enchainé chaque semaine, puis de regarder le JT pour voir comment ça marche.

Quel hasard de constater que Daniel Balavoine, Coluche et Jean-Edern Hallier, les trois artistes qui ont le plus enquiquiné François Mitterrand, sont morts dans des accidents survenus à point nommé.

Source : http://www.scoop.it/t/koter-info-lln-wsl/p/4035867541/201...

http://stopmensonges.com/le-meurtre-de-coluche/

maintenant rappelons son historique candidature à la présidence de la république :

Représentation unique au Gymnase. Le 30 octobre 1980, Coluche donne une « matinée » exceptionnelle, pour un parterre choisi. Il vient de s'asseoir derrière un guéridon posé sur le devant de la scène. Il porte sa salopette, mais pas le nez rouge. Il a ajouté à sa tenue une chemise à carreaux jaunes et noirs, un foulard et des mocassins jaunes. Coluche est en civil.

Il ne propose pas non plus son spectacle habituel. Ce qu'il a à dire aux journalistes, aux équipes de télévision qui occupent les premiers rangs, tient en peu de mots. Il est officiellement candidat à l'élection présidentielle. Il vient « semer la merde ». Précipiter sa « plaisanterie à caractère social » dans le débat national. (...)

Le 29 octobre, Cavanna a fait paraître dans Charlie un entretien dans lequel le futur candidat expose ses motivations. « Je me présente pour tous ceux, affirme-t-il, qui subissent la politique, qui bossent toute leur vie, sont exploités jusqu'à la moelle, et n'ont que le droit de regarder de loin comment ça se passe (...). » Son programme ? « Faire un bras d'honneur à tous, aux malfrats de la droite, aux rigolos de la gauche. » Pour l'avoir trop attendue, il en veut d'ailleurs plus à la gauche qu'à la droite. Cavanna s'inquiète qu'on puisse détecter dans la croisade coluchienne des relents poujadistes. Coluche ignore toujours le sens de ce mot, et apprend l'existence, à cette occasion, de Pierre Poujade, parti en guerre, en 1956, contre l'impôt et l’État, avec, précise Cavanna, « un paquet de petits commerçants et de vieux fachos ». Leurs deux noms seront souvent réunis, dans les semaines à venir. Celui du gosse de Montrouge et celui du papetier de Saint-Céré.

« J'en ai rien à foutre, répond Coluche, j'étais pas né. J'ai pas besoin de Poujade pour savoir qu'en France, on ne demande qu'à bosser, mais (...) qu'on en a marre de payer des impôts pour nourrir des flics qui nous regardent comme si on était des étrons de chien et qui nous tapent sur la gueule. » Suit un rêve étrange : « Un flic, ça devrait être un pote qui te ramène à la maison quand il te trouve bourré dans la rue. (...) On devrait se dire : chouette, voilà le gars (...) qui va me dépanner, qui va me sourire et sécher mes larmes. Un flic, ça devrait être la Providence. » Cavanna opine, quand même dubitatif.

Coluche réaffirme qu'il s'adresse aux abstentionnistes, aux non-inscrits, aux mal-aimés du système électoral et social. Il devrait réaliser un score supérieur à 2 %. Au second tour, il conseillera à ses électeurs « d'aller tirer un coup ou d'aller à la pêche ». Il ne se désistera pas. Pas même pour le candidat socialiste. Cavanna s'inquiète encore : ne dit-on pas que cette candidature de la dérision serait « un moyen de diversion, un pipe-voix manipulé en sous-main » ? « Leurs magouilles, rien à foutre, tonne le candidat. Mon seul objectif : leur fourrer le doigt dans le cul à tous ! »

C'est encore un peu court. En dernière page de son numéro, Charlie publie l'appel solennel du candidat. Un « avis à la population », sur fond jaune, encadré de tricolore. « J'appelle les fainéants, les crasseux, les drogués, les alcooliques, les pédés, les femmes, les parasites, les jeunes, les vieux, les artistes, les taulards, les gouines, les apprentis, les Noirs, les piétons, les Arabes, les Français, les chevelus, les fous, les travestis, les anciens communistes, les abstentionnistes convaincus, tous ceux qui ne comptent pas pour les hommes politiques à voter pour moi, à s'inscrire dans leur mairie et à colporter la nouvelle. Tous ensemble pour leur foutre au cul avec Coluche ! » Un peu juste, toujours. Plusieurs journaux ont donné l'information, mais cette déclaration tonitruante et très libertaire fait, pour quelques heures encore, figure de blague.

« Je m'adresse à ceux qui ont voté à gauche pendant trente ans pour rien (...) Je m'adresse aussi à ceux qui ont voté à droite pendant trente ans pour rien non plus. Vous en connaissez, des promesses tenues ? » Il se présente pour « rappeler qu'on existe aux marchands d'espoir et de courants d'air ». Il invite à peu près tous les exclus à le rejoindre. Il sera le candidat « des faiseurs de patins à roulettes, des pédés, des nègres, des vieux qui ont une retraite de merde, des chômeurs qui sont un million et demi, des crasseux, des chevelus, des consommateurs de politique, ceux qui la subissent et pour qui on ne fait rien ». Comme prévu, Coluche brasse au plus large, à gauche, et à droite, loin derrière les partis de gauche et ceux de droite. Effectivement néo-libertaire et populiste, démagogue et généreux. Il renvoie, ce jour-là, tous les camps dos à dos. (...)

Comme il est plus représentatif, plus percutant que l'ensemble des « petits candidats » réunis, Coluche sert de pôle à une analyse sans complaisance pour cette Ve République apparemment exsangue. Tous les titres, quelle que soit leur tendance, y vont de leurs éditoriaux. « L'exécutif règne sans partage, écrit Edmond Bergheaud dans Le Figaro. Si bien que le citoyen moyen estime n'avoir d'autre moyen de contester l'omnipotence du pouvoir que de rechercher d'autres intermédiaires, quitte à tomber sur un Coluche. » Dominique Jamet, dans Le Quotidien de Paris : «Malheur aux petits partis en voie de constitution ou d'extinction ! Malheur aux pauvres ! Malheur aux individus ! Est désormais décrété marginal dans la vie politique tout ce qui n'appartient pas aux grandes formations. Tout a été délibérément, froidement, cyniquement organisé pour assurer la perpétuation de la bande des quatre .» (...)

Les experts en communication politique assurent désormais que Coluche, malgré l'intervention du C.I.C. (le Centre d'Intervention Civique hostile à la candidature de Coluche), et les inévitables pressions préfectorales, n'aura aucun mal à recueillir ses cinq cents signatures. D'autant qu'il a été rejoint, dès le début du mois de novembre, par une poignée d'intellectuels et que cela fait aussi quelque bruit dans Landerneau. Maurice Najman a ramené, un soir, rue Gazan, Félix Guattari, l'homme de l'antipsychiatrie, l'auteur, avec Gilles Deleuze, de L'Anti-Œdipe. Le philosophe de l'après-68, sympathisant des « autonomes » italiens jusqu'à l'assassinat d'Aldo Moro, favorable à la dépénalisation du haschisch, trouve immédiatement, à travers Coluche, l'exutoire de ses dernières désillusions politiques. En adhérant spontanément à un phénomène confus, que Coluche croit être encore une plaisanterie, l'intellectuel ne peut s'empêcher de parer cette campagne au nez rouge d'une dimension dialectique.
suite ...

http://www.youtube.com/watch?v=LzjVqiRuUqg

pour la rentrée 86 il avait prévu un spectacle "saignant" où il devait attaquer l'Establishment politique, ses magouilles et ses false flags comme jamais. Il n'a pas pu.

Dieudonné, le Béranger du 21èsiècle (celui du XIXè siècle; plus le REGIME d'alors le mettait en prison plus il devenait populaire ! jusqu'à entrer au Panthéon de la culture française, lui aussi. comme a dit qq : vous verrez d’ici quelques années on se souviendra de Dieudo comme d’un des plus grands résistants de son temps et les personnes qui normalement font l’histoire seront totalement oubliés. Quand certains d’entre eux seront jugés pour crimes et traîtrise envers le peuple français, ils diront, "je n’ai fait qu’obéir aux ordres !"*

Les vidéos qu'il a faites et publiées (j'espère au plus haut point que vous les avez toutes téléchargées et enregistrées et conservées précieusement dans votre ordinateur.) durant la crise des Gilets Jaunes, ce sont presque toutes des chef d'œuvre de la langue française, de force mordante, de sagacité d'analyse, elles entreront dans l'histoire. Un jour, quand la France sera redevenu un pays libre elles seront éditées parmi les petits classiques !

Un jour disait Robert Desnos,en 1942

Or, du fond de la nuit, nous témoignons encore
De la splendeur du jour et de tous ses présents.
Si nous ne dormons pas c’est pour guetter l’aurore
Qui prouvera qu’enfin nous vivons au présent.

 

 

29/01/2025

Bilan de l'histoire - fascisme sanitaire ou national, c'est un retour, c'est un nouvel avatar des mêmes choses

finalement tout est à revisiter, maintenant avec la perspective on découvre la continuité (deux : celle liée à la lutte des classes et celle des dérives idéologiques et psychologiques du modernisme prométhéen)....

Le fascisme, comme l’avait déjà décelé Bertolt Brecht, est inhérent au capitalisme. On en a souffert un premier accès dans les années 30, quand la bourgeoisie a eu peur des bolchéviques, en 45 on s’est crus, libérés (à tort, faute d’en avoir identifié les vraies causes, à tenir en garde, lisez Zygmunt Bauman, lui a compris), après 3 décennies de liberté et d’humanisme revenu, le temps de Prévert et de Marie-Josée Neuville, Brigitte Bardot, et tant d’autres, on y est retombés (mutatis mutandis bien sûr, mais il faut savoir voir l’essence de ce monstre à travers ses avatars du moment, et n'oubliez pas que les fascismes étaient déjà scientistes, technocrates et eugénistes) autour de l'avidité pour les profits de la 5G (pour un contrôle total des gens, on est au coeur du fascisme là) et des vaccins. Finalement les beaux jours des années 50, 60, et même 70, n’auront été qu’une éclaircie passagère, avant l’hiver final.*(1)

 

l'avenir, hélas ne fera que confirmer ce que je dis là

 

Souvenez-vous Hitler a commencé comme ça : en faisant peur aux allemands devant un mythique danger communiste autour de l'incendie du Reichtag, la première vague fasciste était centrée sur le nationalisme et sur la peur du communisme, celle-ci sur la peur sanitaire, mais c'est donc les mêmes ressorts psychologiques et du côté de l'Etat oppressif et du côté des citoyens devenus avec bonne volonté des esclaves soumis et confiants. Et toujours la peur du regard d'autrui pour contraindre tout le monde à OBEIR !

«Danger − Vous êtes conditionnés à voir votre liberté comme de l'égoïsme!» étaient visibles dans la foule."

Un manifestant interrogé par Ruptly s’est dit «inquiet pour [ses] enfants». «La peur est un excellent moyen de domination», a-t-il assuré. https://francais.rt.com/international/80498-angleterre-affrontements-entre-police-manifestants-anti-confinements https://francais.rt.com/international/80498-angleterre-af...

https://covidinfos.net/covid19/la-crise-de-la-covid-19-nest-pas-sanitaire-mais-politique-selon-le-philosophe-michel-weber-qui-denonce-un-projet-totalitaire/2251/

et voici un lien pour re-re-regarder tous surtout TAL SCHALLER vous exposer ce projet fasciste (concocté depuis déjà une vngtaine d'années) leur fascisme 2.0 :

https://odysee.com/@PhilippeLeBel:4/Entretien-avec-le-Doc...

Et n'oubliez pas de lire et méditer le texte (paru dès le 2 mai 2020) de MICHAELPARAIRE - fascisme 2.0 - dans son blog  Un quart d'heure avec le penseur. http://leblogdupenseur.canalblog.com/archives/2020/05/02/...

(plus généralement : Hitler en a rêvé, le grand capital NWO calviniste l'a fait. "L'esprit de la modernité" disait Zygmunt Bauman analysant le nazisme, vous voyez à quel point il avait raison ?
En fait c’est logique et naturel, les gens d’après 1945 avaient refusé de le voir, de le comprendre, ils se sont rassurés et ont « caché la poussière sous le tapis » en présentant Hitler comme un fou, les nazis comme des extra-terrestres venus tout à coup - et sans raison ! -  d’une autre planète. Absurde évidemment ! Il suffit d’un peu de bon sens. Le nazisme était la conséquence LOGIQUE du mouvement intellectuel depuis le milieu du XIXè siècle (même 1832, relisez « le médecin de campagne » de Balzac! j’ai fait un billet là-dessus).

Les évènement récents devraient permettre d'identifier une TENDANCE LOURDE du nazisme (au sens large), tel que l'a défini Zygmunt Bauman, dans l'évolution sociale et idéologique, et psychologique du monde moderne, et avec laquelle on n'a pas fini d'avoir à faire, loin de là ! au contraire !

n'oubliez pas : LE FASCISME EST IMPOSÉ PAR LA POPULATION QUI CONSENT AU FASCISME ! https://m.vk.com/wall-147299425_2017

(ça a aussi été le cas en Allemagne,souvenez-vous du votre du parti catholique Centrum pour les pleins pouvoirs !)

 

Maintenant regardez (et méditez) bien ce film : https://odysee.com/@Poil%C3%A0gratter:3/Sous-titres-fran%...

et à l'endroit où ils expliquent que Rockefeller interdit tous les traitements à base de plantes, pour qu'ils laissent la places aux médicaments fabriqués à partir du p pétrole (c'est à dire lui apportant de gras profits ! + plus puissance totalitaire) n'oubliez pas que plusieurs des réformes du régime de Vichy ne furent pas révoquées à la Libération mais que nous les avons toujours ..... Ce sont entre autres : l'instauration de la carte d'identité - et pire elle est devenue biométrique, avant qu'avec les rfid, ou encore pire les smart dust, on la rende encore plus totalitaire ! -  la création du GNIS avec interdiction de resemer ses semences si elles  ne sont pas au catalogue, et puis la suppression du diplôme d'herboriste - tiens tien ! de quoi on parlait là justement ? -

revenons à l'aspect psychologique  du fascisme :

ci-dessous une clinicienne s'interroge sur ces problèmes d'un point de vue psychologique :

 

*(1) "les restrictions de libertés qu'on nous promet pour toujours, hein, pour toujours !" :

il appert de plus en plus que l'époque actuelle est du même ordre que 1933

En fait cette "tendance longue" de l'histoire est encore plus longue que ça. il faut en revenir à la vue de l'histoire humaine par Marx (et oui ! on s'apperçoit de pus en plus qu'il faut toujours en revenir à lui ! quoi qu'on die...) selon lui 1 ) "L'histoire des hommes n'est que l'histoire de la lutte des classes" et 2° il avait identifié trois stades : celui où les exploiteurs avaient réduit la classe laborieuse à l'ESCLAVAGE, puis ce fut le SERVAGE, puis le PROLETARIAT, mais ce qu'il ne savait pas, forcèment, c'est que après vient une quatrième vague, l'actuelle, dont la vague fasciste des années 30 était le commencement - le FASCISME 1.0 - et qui vise l'Etat (capitaliste, "corporate power") mondial à la Jean Monnet (lisez les citations de ses carnets dans le livre "j'ai tiré sur le fil du mensonge et tout est venu"), le New World Order, et la mise (la remise, puisque qu'il y a déjà eu l'esclavage antique puis le servage) en esclavage 2.0, esclavage total de l'humanité par les téléphones portables, passeport sanitaire, puce RFID, UBER-isation de l'emploi, disparition de l'argent liquide, caméras de vidéo-surveillance à chaque pas, endettement, "Great Reset", et tout ça.

Jean-Jacque crèvecœur appelle ça "la guerre contre les peuples"  par "une poignée de psychopathes milliardaires", c'est la même chose : https://odysee.com/@Contreverse:7/210621-CDL93-HR:6

(Et qu'on ne nous parle pas d’incompétence ! ceux   qui le font sont ou des naïfs ou des alliés dissimulés de pouvoir :
Lorsque l’on comment directement et indirectement délibérément des crimes, en obéissant à des ordres et à une logique et qu’on remplit correctement les ordres venus d’ailleurs au lieu de respecter sont mandat électif et la volonté et l’intérêt de la Nation qui doivent seuls tenir lieu d’ordres et être la seule mission, on est aucunement incompétent, on est un criminel. Mettre les crimes sur le compte de l’incompétence est un moyen rusé d’exciser, d’innocenter et de semer la confusion dans les esprits.

pour la Résistance écoutez aussi l'intelligente, noble, pragmatique mais courageuse Farida Belghoul (elle nous montre aussi comment  sont les VRAIS musulmans, pas comme les agents du wahabisme ou de la DGSE ....)

Hélas la France est mal-barrée ! encore pire qu'en 40, comment arrêter de pareils fous pervers et délirants ? Je suis cerné de personnes "bien pensantes" qui sont convaincues que la "4eme vague" et les mesures qui en découlent sont la faute des non-vaccinés ! Comment remettre les gens dans la logique et le bon sens ? La manifestation passe juste à leurs yeux pour un caprice de complotistes...

relisez l'article du psychiatre Frédéric Badel, que j'ai publié il y a quelque temps (la population française est maintenant divisée en deux groupes)

l'âme de la France ESSENTIELLE est en jeu

05/01/2025

écrit à Rosario en 1906, UN TEXTE A MEDITER ! concrètement une coopérative agricole ça fonctionne comment ?

Du temps où on parlait réellement de socialisme on vantait beaucoup l'Autogestion, mais l'évoltion politique de ceux qui seréclamaient de l'autogestion, rien que ça suggère que ça devait être de la foutaise ! en tous cas tous es gens sont devenus  quelques années plus tard de fiéffés réactionnaires ! les  pires  ennemis du peuple et les meilleurs amis du grand capital (Rocard, la CFDT et tout ça !).

Reste les coopératives. Les coopératives  de  production   restent aux yeux de beaucoup le nec plus ultra du   socialisme (malheureusement vaincues et en déconfiture complète).

Mais quand on regarde les coopératives agricoles (j'ai travaillé 10 ans à l'ONIC, et j'ai appris comment ça se passe concrètement là-dedans) on s'apperçoit que ce ne sont jamais que de grosses entreprises, dont les agriculteurs "sociétaires" ne sont que les sous-traitants, totalement esclaves, soumis à leurs diktats. Et dont le personnel victime des cabinets Bossard et autres "audits internes", est chronométré, harcelé, licencié sans pitié, pareil que dans n'importe quelle multinationale capitaliste bien cynique.

En fait la différence entre les coopératives et les négociants étaient que les négociants étaient de petits entrepreneurs, et les coopératives de gros "groupes" d'entreprises ! Bref les négociants étainr plus humains que les coopératives, aussi bien envers le personnel qu'envers les agriculteurs ! (bon maintenant les petits négociants disparaissent tous, remplacés par de gros "groupes" immenses qui ont tout racheté !)

La libération des travailleurs finalement n'est pas du tout dans cete direction, c'est un miroir aux alouettes !

En fait on aurait pu s'en douter déjà a priori,  c'est comme pour l'autogestion.

Quelques socialistes en avaient pris conscience dès le début dès 1906.

(C'est comme l'élection, il a fallu attendre Eetienne Chouard pour s'appercevoir de ce que tout le monde avait sous les yeux, mais n'en tirait pas la conclusion !!! comme l'oeuf de colomb " c'est simple, mais il fallait y penser !" voilà un syndrome important, et qui revient souvent, sur dans plusieurs domaines)

Voici les conclusions de militants socialistes argentins en1906 ,document CAPITAL, trouvable uniquement par hasard dans la mise à disposition en pdf, d'un obscur journal socialiste de Lausanne paru le 5 janvier 1907 :   http://archivesautonomies.org/spip.php?article3323

(en argentine, congrès de ROSARIO aux premiers jours de décembre 1906)

A propos des coopératives, la motion suivante a été adoptée :

« Considérant : Que les coopératives, par leur accumulation même, sont contraires à l'action des ouvriers ; « Que leur meilleur succès, n'est en définitive qu'une amélioration économique des seuls sociétaires, et contraire au principe de l'émancipation intégrale des travailleurs, [puisque leur action dans les coopératives est de veiller pour la conservation des capitaux engagés, et puisque cette défense est d'un égoïsme purement bourgeois et ne peut nullement amener l'élimination du capital, mais plutôt sa conservation ; Que cela équivaut à une transformation de l'état économique au bénéfice exclusif d'un nombre déterminé d'individus, bientôt séparés du prolétariat ; Le congrès déclare : « Puisque le succès des coopératives est la déroute du prolétariat ; puisque lorsqu'elles triomphent elles ne sont que des institutions bourgeoises qui acceptent la loi et y recourent pour poursuivre les débiteurs, escomptent les virements d'argent, placent les capitaux et spéculent dans leurs entreprises, et sont en somme un véritable ennemi des ouvriers, les organisations de ces derniers doivent s'opposer par tous les moyens à l'implantation des coopératives. »

voilà un texte à méditer !

 

dans la série "la découverte de l'histoire est une grande libératrice" écoutez aussi cette vidéo, des mythes tombent !

https://www.findclip.net/video/plR-iB_ZiDM/bernard.html

02/01/2025

la sinistre évolution actuelle

Dans son livre démystifiant le Libéralisme (et que je vous recommande très fort !), Domenico Losurdo évoque (page 89 de la version en espéranto, edité par MAS) « la krimigo de antaŭe plene permesataj kondutoj ».

La criminalisation de conduites auparavant tout à fait possibles et autorisées.
C'est un phénomène que produit le système actuel ! Et en masse !

Sont devenues ainsi criminalisés, le fait de prendre sa voiture avec un verre dans le nez, de téléphoner au volant, de faire du feu dans sa cheminée, de brûler ses feuilles mortes, de porter un fichu sur les cheveux, de chanter une chanson (« droits de propriété intellectuelle »), aux filles d'aller à l'école en robe, de copier un disque ou une cassette pour le passer à des amis, d'enregistrer et de reproduire un article sur Internet, d'adresser la parole à un policier, s'il est mal luné, aux enfants d'aller faire les courses dans un magasin, de cultiver les variétés qu'on veut dans son jardin, et aux paysans de resemer les graines de leur récolte, aux chats et aux chiens de se promener dans les rues, de ceux qui n'auraient pas une puce RFID implantés dans le corps de vivre purement et simplement, d'avoir une maison sans 1° une alarme qui empêche d'avoir de la fumée dans la maison (2° la suite viendra), de fumer à son travail, dans les cafés, et bientôt partout, bientôt aussi les boisson alcoolisées, déjà interdites dans les faits du fait de l'interdiction plus haut, d'entrer dans une église (ça, ça n'est pas criminalisé mais rendu physiquement impossible, ça revient exactement au même), aux enfants de dormir sur la banquette arrière de la voiture pendant que leurs parents conduisent, de s'embraser dans une voiture, de fumer dans une voiture, de bavarder dans une voiture, de baisser sa fenêtre de compartiment dans un train,  et au vu des caméras à analyse de comportement qu'on est en train de mettre dans les villes seront bientôt interdit : de baguenauder, d'errer, d'aimer la solitude, de regarder les maisons ou les arbres, pour les enfants de courir, de « voler un baiser » à une femme, de se tenir par la main.
à suivre hélas ! Tout n'y est pas, vous pouvez m'aider et ajouter ce que j'ai oublié à la liste

 

le cauchemar qui s'étend, la singapourisation de la planète :

http://lemetropolitanblog.com/2011/08/06/new-york-vous-li...

aux Pays-Bas c'est déjà comme ça.
ça fait partie non seulement de la folie actuelle, mais c'est un plan concocté savamment et dans un but bien précis, ce n'est pas seulement pour le plaisir de déshumaniser les gens :

« Si vous désirez une image de l’avenir, nous dit l’aimable tortionnaire de "1984", imaginez une botte piétinant un visage humain... éternellement."

http://www.monde-diplomatique.fr/2000/10/BRUNE/2470

https://blogs.mediapart.fr/le-blog-de-boris/blog/240720/pourquoi-la-periode-actuelle-est-fascisante
Mutatis mutandis, l'histoire se répète, la vague des fascismes des années 20 et 30 avait été causée par l'évolution démocratisante modernisante, et socialisante du demi-siècle qui l'avait précédé (comme disait Bertolt Brecht "le fascisme est la forme que prend la démocratie bourgeoise en temps de crise" !) la bourgeoisie et la banque l'avait favorisé pour contrer le communisme à tout prix. De nos jours alors que des esprits perçants tels Bernard Friot ou Etienne Chouard, remettent les questions de base sur le tapis, le pouvoir du Libéral-Fascisme (allez en voir la définition sur le site de Syti) reprend sa course avide et moderniste ("l'esprit de la modernité" comme dit Zygmunt Bauman, dans son livre Modernité et holocauste) vers la toute puissance totalitaire (qui est dans les gênes du capitalisme, et pas dans ceux du socialisme, contrairement à ce que leur propagande avait voulu nous faire croire), et leurs but pervers se traduisent par l'horreur que nous vivons en ce moment , et dont la suite sera encore pire, ils savent qu'ils peuvent "y aller" il n'y a plus de forces qui s'opposent à eux , ils foncent et révèlent leur vrai visage, qu'ils ont si longtemps caché....

et ils se servent de l'épidémie pour aller encore plus loin dans l'innommable :

Les Maîtres du Monde Un jour ils vont cogner à nos portes. Coronavirus. À Paris, les clients des bars pourraient être tracés
lund. 17 août 2020 : Faudra-t-il fournir ses coordonnées avant de déjeuner dans un restaurant ou de prendre un verre dans un bar ? Face à l'augmentation du nombre de cas de Covid-19, la mairie de Paris envisage de demander aux restaurateurs et cafetiers de tenir un registre des clients ayant fréquenté leur établissement.

Une telle précaution permettrait aux autorités sanitaires de recenser plus facilement les personnes ayant été en contact avec une personne atteinte de la maladie. StopCovid ne fonctionne pas, personne ne s'est mis sur cette application, il y a deux millions de personnes (qui l'ont téléchargée). C'est totalement insuffisant [pour nos maîtres capitalistes totalitaires], il faut trouver d'autres solutions qui responsabilisent les gens , constate Anne Souyris, adjointe à la mairie de Paris en charge de la Santé publique.
Ce fonctionnement, déjà en vigueur en Allemagne et en Belgique,

[Les Allemands et les Belges sont des peuples plus SOUMIS que les Français, la preuve les banques avides ont réussi à y faire supprimer les chèques - qui leurs coûtent 50 fois plus cher à traiter que les paiements électroniques, plus facilement totalitaires en plus, et ainsi ça leur a permis de licencier encore plus de personnel et de maximiser leurs agréables profits !] pourrait être appliqué à Paris sur la base du volontariat. Les données ainsi collectées seraient détruites par les gérants au bout de trois semaines.
Certains restaurateurs sont sceptiques. C'est très compliqué à mettre en place, estime, perplexe, Simon Molina, responsable au bar-restaurant L'Abreuvoir, dans le XVe arrondissement. Nous avons plusieurs centaines de clients par jour et nous manquons de temps pour s'assurer que tout le monde remplit bien sa fiche. Même le stockage des documents nous poserait problème.
Les syndicats de la profession doutent que les entreprises puissent s'assurer que tous les consommateurs se plient à la règle. Pour Laurent Lutse, président de la branche cafés, brasseries et établissements de nuit de l'Umih (Union des métiers et des industries de l'hôtellerie), si le client refuse de remplir les fiches, ce n'est pas au gérant [ce qui veut dire que ce n’est pas le propriétaire, une grosse féodalité financière ? - qui tien le café ou le restaurent, monde aberrant sans aucune liberté ! Monde d’investisseurs encravatés, cadres sup de féodalités financières qui se font un max de fric sur le travail des GENS!!!!!] de faire la police ».
Pour les petites consommations, les gens ne se plieront pas à la règle. Cela pourrait même en freiner certains de venir chez nous [j’espère bien ! qu’ils crêvent tous la gueule ouverte!], abonde Simon Molina. Nos clients respectent les gestes barrières et le port du masque [en bons « Rhinocéros » pétainistes bien soumis, zombis déshumanisés, comme dans Ionesco], je pense que c'est suffisant.
Chez les professionnels, un ras-le-bol commence à poindre, particulièrement depuis l'interdiction récente de chauffer les terrasses [mesure prise pour interdire encore plus de fumer, et donc la vie et la convivialité et l’humanité des PERSONNES].
Le secteur de l'hôtellerie et de la restauration a été frappé de plein fouet par la crise sanitaire et économique. Il faut faire confiance à nos clients , affirme Simon Molina. Les bars-restaurants en ont déjà beaucoup fait, pas besoin de nous ajouter des mesures supplémentaires.
Commentaire : En général la population commence a en avoir ras-le-bol de toutes ces mesures de fichage, de controle, de surveillance, d'interdictions, de coupures, de menaces, etc. Les gens veulent que l'économie re-démarre, retourner au travail, reprendre le mouvement d'avant, vivre et laisser vivre. Biensur notre réalité a fait un bond de 180 degrés et il va être très dur de revenir au monde d'avant. En fait oublions une fois pour toutes le monde d'avant car le monde de maintenant il est fait de fichages, controles, surveillance, interdictions, coupures et menaces.... C'est ce que nos maîtres ont décidé.

https://fr.sott.net/article/36014-Regardez-et-pleurez-Ils...

dom38 Commentaires des Lecteurs (1)

Apparemment, une voyante aurait écrit dans un livre qu'elle voyait une révolution vers 2022 ou 2023. Ca me paraissait de plus en plus plausible… si ce n'est souhaitable. [c’est tout à fait souhaitable!]

Hélas les français sont devenus des "VEAUX" ! ....  ou des kollabos. La crise économique va s'accentuer, et tous ces élus imposteurs vont accepter de laisser l'oligarchie nous infliger ces projets de vaccinations (dangereuses) obligatoires, de passeports de santé pour avoir le droit de circuler, etc. Pour ce que l'entend par imposteurs, référez vous à Roland Gori (sur YouTube).

l'horreur à venir :

ne vous y trompez pas, suivez David Icke

26/12/2024

Fauci (et les autres) ont peur d'avoir le même sort que les criminels NAZIS à Nüremberg, alors ils se font protéger par des décrets présidentiels vables jusqu'à 2029 - pratique !

07/12/2024

la Syrie Baathiste était le seul Etat humaniste et LAIQUE, la SEULE DEMOCRATIE du Proche-Orient vous comprenez le pourquoi de ce que vous entendez à la télé et tous ces mensonges


LE MASQUE TOMBE, LE VOILE SE LèVE :

http://lesakerfrancophone.net/russie-usa-le-masque-tombe-le-voile-se-leve/

 

Réponses du président Assad aux questions biaisées de l’innommable David Pujadas

Extraits de quelques réponses d’Assad au communicant de France 2, Pujadas, sur le soutien des pays occidentaux, notamment de la France, aux terroristes djihadistes, qui méritent la plus grande attention.

Sur le début du conflit (0’30 »)

Assad : … Dès les premières semaines du conflit, les terroristes se sont infiltrés en Syrie avec l’appui d’Etats occidentaux et régionaux. Ils ont commencé à attaquer des civils et à détruire des propriétés publiques et privées…

A propos de l’Etat islamique (à 2’50 »)

Assad : Le groupe Etat islamique a été créé en Irak en 2006 sous la supervision des Américains. Je ne suis pas en Irak, je n’y ai jamais été. Je ne contrôlais pas l’Irak, c’était les Américains qui contrôlaient l’Irak. Le groupe Etat islamique est venu d’Irak en Syrie car le chaos est contagieux. Quand le chaos est à votre porte vous devez vous attendre à ce qu’il entre chez vous…

Au sujet des services de renseignement français (9’12 »)

Assad : …d’après vos hommes politiques et le gouvernement français, il faudrait les aider (les services de renseignement français) alors qu’ils soutiennent les terroristes et tuent nos citoyens. Cela ne marche pas comme ça…

Au sujet de la demande de la France que les services secrets français rencontrent les services syriens (à 09’28 »)

Assad : Oui nous les avons rencontrés (à la demande de la France).

Sur l’initiative des parlementaires français pour renouer le dialogue avec la Syrie (à 10’05):

Assad : Ils (Les hommes politiques et le gouvernement français) doivent d’abord me convaincre qu’ils ne soutiennent pas les terroristes et qu’ils ne sont pas impliqués dans l’effusion de sang en Syrie. Ce sont eux qui se sont trompés à l’égard de la Syrie. Nous n’avons tué aucun Français ni aucun Européen, nous n’avons pas aidé les terroristes dans votre pays, nous n’avons pas aidé ceux qui ont attaqué Charlie Hebdo. C’est vous (les Français) qui avez aidé les terroristes. Par conséquent votre pays, les Occidentaux, doivent nous convaincre qu’ils ne soutiennent pas les terroristes…

Sur le dialogue avec la France (à 10’45 ») :

Assad : … nous sommes toujours intéressés au dialogue avec quiconque mais comment peut-on établir un dialogue avec un régime qui soutient le terrorisme dans notre pays et pour quelle raison ? C’est la question. Lorsqu’ils changeront de politique nous serons prêts pour le dialogue. Sans cela le dialogue n’aura aucun but. Il n’y a pas de dialogue pour le dialogue. L’objectif est d’aboutir à un certain résultat. Pour moi le résultat serait que le gouvernement français cesse son appui aux terroristes dans mon pays...

 

 

*

Voici des propos d’Assad encore plus précis sur la responsabilité du « régime français » qui n’ont pas été diffusés sur France 2 mais que France TV a diffusé sur son site :

Assad : … et votre gouvernement si vous préférez qu’on le désigne par le terme de régime comme ils le font pour nous. Le régime français est responsable car il a soutenu ces djihadistes en les considérant comme une opposition modérée.

Assad : …Ceux qui à l’heure actuelle reçoivent le soutien et possèdent des armes occidentales appartiennent au groupe Etat islamique armés et équipés par votre Etat et d’autres pays occidentaux. Votre ministre de la Défense l’a déclaré publiquement au début de l’année en affirmant avoir envoyé des armes. Par conséquent ceux que vous qualifiez de modérés ont diffusé en 2012 – avant que le groupe Etat islamique n’apparaisse et que l’Occident ne reconnaisse l’existence même du front Al-Nosra, une branche d’Al-Quaïda – ils ont diffusé des vidéos dans lesquelles ils dévoraient le coeur d’un soldat syrien, mutilaient les corps d’autres victimes, en décapitaient d’autres. Ce sont eux qui ont diffusé ces images pas nous. Comment pouvez-vous ignorer cette réalité puisque ce sont eux qui la diffusent et disent que c’est la réalité ?

Au sujet des bombardements de la coalition en Syrie et de la France en Irak

Assad : …J’ai dit qu’ils ne sont pas sérieux de toute manière. On ne peut pas former une coalition contre les terroristes et soutenir en même temps les terroristes. Cela nous est donc égal qu’ils frappent en Syrie ou en Irak ou les deux à la fois tant qu’ils continuent à soutenir ces mêmes terroristes. Ils envoient des armes à ces mêmes terroristes sous prétexte de soutenir l’opposition modérée au moment même où Obama a qualifié cette opposition d’illusoire. A qui donc vont donc ces armes réellement ? Aux terroristes ! C’est contradictoire, c’est voué à l’échec…

Assad : …Les fers de lance contre la Syrie ont été 1. la France, 2. le Royaume-Uni, ce n’était pas les Etats-Unis cette fois qui soutenaient les terroristes en Syrie…

18’30 »

Assad : …La France et d’autres pays n’ont pas le droit de soutenir qui que ce soit dans notre pays. C’est une violation du droit international, de notre souveraineté et des valeurs dont ils se vantent et dont certains prétendent être fiers depuis des décennies voir peut-être depuis des siècles parmi lesquels la démocratie. Est-ce de la démocratie que d’envoyer des armes aux terroristes et de les appuyer. Ai-je le droit de soutenir les terroristes qui ont attaqué Charlie Hebdo par exemple ? Non !

19′
Au sujet des déclarations de Manuel Valls qualifiant Assad de « Boucher »

Assad : …Tout d’abord laissez moi être franc avec vous. Personne ne prend plus au sérieux les déclarations des responsables français. Pour une simple raison, c’est que la France est devenue un satellite de la politique américaine dans la région. Elle n’est pas indépendante, elle n’a aucun poids, elle n’a plus aucune crédibilité…

20 Avril 2015

Source: sam-la-touch.over-blog.

28/11/2024

Vous avez dit "spiritualité" ?

La « spiritualité » est le truc derrière lequel les bourgeois parisiens rive-gauche cachent leur athéisme, sous de petits nœud-nœuds qui font jolis, mais sont vides (ils seraient d’ailleurs incapables de le remplir de quelque chose)

la « spiritualité » des bourges parisiens de France-Culture, ceux qui ne se déplacent qu’en taxi et qui blablatent sur LCI, non sur france-cu-cul-euh ...lture en faisant mine de chercher leurs ... euh ... mots !, La « spiritualité », mot si prisé au sein de la Secte des Adorateurs de la Mort, ce n’est qu’un mot  (surtout chez des bourgeois, même son aspect terre-à-terre-ment moral c’est trop pour eux ! Il n’y a qu’à voir comment ils réagissent aux gilets jaunes ! … Non "spiritualité" c’est un mot, un zoli ruban rose dont ils décorent leur athéisme et leur euthanasie ! (et leurs taxis !     )
Ils sont beaucoup trop athées (d’ailleurs ça fait partie de la politically-correctness, donc pas question d’y déroger, et puis ils n’ont aucun sentiment d’autre chose, ça serait «peuple» donc vil, "populiste" comme ils disent), et totalement incapables de comprendre aucune des phrases du Sermon sur la Montagne (il y a qu'à voir comment ceux du quartier Beaubourg ont réagi à Giuseppe Belvedere !).