09/12/2014
Artémise, enlève ta chemise
je ne retrouve plus nulle part les paroles et encore moins la musique de cette chanson, assez ancienne, peut-être d'avant guerre, qui disait
"Artémise, enlève ta chemise !
Artémise, on va faire des bêtises."
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08/12/2014
il y a des gens qui préfèrent faire l'autruche
*
*
les forces de gauche qui savent réfléchir sont pour la sortie de l'UE
Et pour la sortie de l'OTAN (ça aussi c'est dans le programme de l'UPR, soit dit en passant) En Italie une grande campagne se crée pour demander la sortie de l'OTAN, que la France de De Geulle en prenne de la graine !
http://www.vineyardsaker.fr/2014/12/07/campagne-internati...
(et ça montre aussi qu'il n'y a pas que l'UPR sur terre ! ils n'ont pas le monopole de la résistance et du bon sens, ça se répand partout maintenant !)
François Asselineau s'adresse aux électeurs de gauche :
MAIS AVANT ça voici un résumé en anglais, de l'origine de cette "Europe"
A United Europe was clearly a vision of Plantard’s 1940 vision, as expressed in the issues of Vaincre. And in the 1950s, a New York-based group called the American Committee on United Europe, whose leadership included General Bill Donovan, wartime head of the OSS (the fore-runner of the CIA), George Marshall, the US Secretary of State, and Allen Dulles, then Director of the CIA.
This high-powered CIA-funded pressure group financed the so-called European Movement, headed by Joseph Retinger, who promoted select gatherings of European and American politicians, businessmen, aristocrats, top civil servants and military leaders. It is also a group that would later inspire Prince Bernhard to create the Bilderberg group, which is now known to have equally been set up with CIA funding.
In 2000, declassified American government documents showed that the US intelligence community funded and directed the European federalist movement. One memorandum, dated July 26, 1950, gave instructions for a campaign to promote a fully fledged European parliament. It was signed by Gen. William J. Donovan, head of the American wartime Office of Strategic Services, precursor of the CIA. The vice chairman was Allen Dulles. The board included Walter Bedell Smith, the CIA’s first director, and a roster of ex-OSS figures and officials who moved in and out of the CIA.
The documents again showed that ACUE financed the European Movement, the most important federalist organization in the post-war years. In 1958, for example, it provided 53.5 per cent of the movement’s funds. Most interestingly, these documents again confirmed that the European Youth Campaign, an arm of the European Movement, was wholly funded and controlled by Washington.
Societe Perillos
American Committee on United Europe was started by William J Donovan. Donovan also started GLADIO
I like the last sentence:
Quote:
The head of the Ford Foundation, ex-OSS officer Paul Hoffman, doubled as head of ACUE in the late Fifties. The State Department also played a role. A memo from the European section, dated June 11, 1965, advises the vice-president of the European Economic Community, Robert Marjolin, to pursue monetary union by stealth.
It recommends suppressing debate until the point at which "adoption of such proposals would become virtually inescapable".
Bon, revenons au français et à François Asselineau :
"Après le Nicaragua et le Venezuela, c'est la Bolivie qui vient s'ajouter à la liste des États qui accordent l'asile politique à Edward Snowden. Il me semble assez probable que le président Correa de l'Équateur devrait annoncer à son tour la même décision dans les prochaines heures.
Deux évolutions essentielles sont à noter :
d'une part, ces événements historiques se déroulent dans une atmosphère d'effervescence patriotique et anti-impérialiste qui est en train de balayer toute une partie du continent latino-américain.
d'une part, tous ces chefs d'État sud-américains ne prennent plus de gant pour appeler un chat un chat : ils mettent exactement dans le même sac « les Européens et les Américains du nord ».
On me permettra de souligner à quel point cette évolution des esprits - à l'échelle d'une moitié de continent - confirme de façon éclatante toutes les analyses que j'ai présentées au public depuis la création de l'UPR.
Ce que nous disent en substance les chefs d'État sud-américains les uns après les autres, c'est en effet que la prétendue « construction européenne » n'est bel et bien qu'une gigantesque opération d'asservissement des pays d'Europe conçue et imposée par Washington à des fins de domination mondiale et dans un objectif guerrier de « choc des civilisations », et que cette stratégie fonctionne puisqu'il n'y a désormais plus aucune différence entre « les Européens et les Américains du nord ».
---------------------------------------- CONCLUSION : LE CHOIX EST CLAIR -----------------------------------------J'en appelle ici à tous les citoyens français épris de paix et de justice, et tout spécialement à mes concitoyens de gauche. Ne vous laissez plus manipuler par ces responsables politiques troubles - au premier rang desquels les dirigeants du Front de Gauche ou de EELV -, qui vous font croire que l'on pourrait parfaitement être pour l'Europe et pour l'euro, tout en se proclamant les amis des peuples et des régimes progressistes d'Amérique Latine. Qu'il suffirait en somme de se proclamer « pour une Autre Europe » pour que le problème soit réglé.
Tout ceci est une abjecte tromperie. Les 56 ans écoulés depuis le traité de Rome ont amplement prouvé qu'il n'y a aucune « Autre Europe » possible, et cela pour toutes les raisons précises et irréfutables que j'expose depuis plus de 6 ans à mes auditoires, sans jamais avoir été démenti une seule fois par des événements contraires
Chaque Français et chaque Français est donc confronté désormais à un choix d'une clarté limpide :
soit garder le silence, avoir peur et baisser les yeux, en laissant lâchement la France, sous couvert de « construction européenne », devenir une colonie américaine pour devenir le supplétif des Américains dans des guerres néo-coloniales de plus en plus meurtrières à la surface du globe ;
soit se réveiller d'un mauvais songe, relever les yeux et se redresser dignement, rejeter la tentation de la peur et de la lâcheté en étant désormais résolu à faire sortir la France de cette prétendue « construction européenne » qui est en train de nous détruire, non seulement matériellement mais aussi spirituellement.
Ce choix est LE choix décisif de notre époque. Et vous savez que l'UPR est le seul mouvement politique à vous proposer clairement, sans aucune variation ni ambiguïté depuis sa création, d'opter courageusement et fièrement pour la sortie de l'UE, de l'euro et de l'OTAN.
Ce qui est nouveau ce soir du 6 juillet 2013, c'est que ce n'est plus seulement moi qui vous le dis. D'une certaine façon, ce sont les présidents du Nicaragua, du Venezuela et de la Bolivie qui viennent de le crier à la face du monde.
François ASSELINEAU
Je rappelle ces propos de SAPIR :
"L’union européenne est aujourd’hui le site d’où s’impulse la radicalisation des politiques néolibérales ; un espace de prise de décision où l’influence de la volonté populaire est systématiquement tenue à distance. En outre, la création de l’euro dans le cadre de l’union économique et monétaire a nourri des déséquilibres insoutenables qui ne peuvent être durablement résorbés, fut-ce au prix d’un brutal ajustement à la baisse des salaires, une hausse des impôts indirects et une détérioration drastique des services publics comme on l’observe dans les pays de la périphérie.
Ce constat commun conduit à une appréciation partagée : l’Union européenne et, plus spécifiquement, l’union économique et monétaire sont des dispositifs de pouvoir hostiles aux intérêts de la majorité de la population européenne et doivent être désignés et combattus en tant que tels par la gauche. Point de salut donc dans le grand bond en avant présenté aujourd’hui par les commentateurs européistes comme la seule issue à la crise. Bien au contraire. Tandis que les classes dominantes sont puissamment organisées et coordonnées à l’échelle européenne (et plus largement internationale), les mouvements sociaux et les organisations de gauche demeurent fragmentés géographiquement, profondément ancrés dans les rythmes de leurs espaces nationaux. Ne disposant pas de leviers institutionnels pour investir le champ stratégique européen, les salariés n’influent d’aucune manière l’agenda intégrationniste qui ne peut de ce fait leur être que défavorable. Il faut donc rechercher une forme de rupture avec l’UE ce qui implique, mécaniquement, en venir à un recentrage – au moins temporaire – sur un espace national de définition des politiques économiques et sociales." (Sapir)
bref sortir de l'UE (par usage de l'article 50) comme le préconise François Asselineau et l'UPR
Le syndicats des cheminots et marins britannique appelle à la sortie du Royaume-Uni de l'UE, parce que ses dirigeants ont parfaitement compris - comme l'UPR - que la prétendue « construction européenne » est un processus nécessairement autobloquant et dictatorial.
Le peuple français finira-t-il enfin par comprendre ça et se révolter efficacement ? ça urge car, ce qui est terrible, c'est que le point de non-retour est presque atteint... La force des européistes néolibéraux du grand capital et de "Libéral-fascisme" (regardez sur internet pour avoir la définition) est dans le fait qu'ils ont bricolé un système légal puissant (lobbys intellectuels, financiers, industriels, politiques) ils ont réussi ce que les mafias internationales ont entrepris dans les années 50 : être dans les rouages décisionnaires de la société. La réussite de la commission et des médias est d'avoir diabolisée toutes les autres démarches intellectuelles, protégeant ainsi leur propre système. Ils sont téléguidés par des commanditaires de l'ombre qui connaissent parfaitement les faiblesses de chacun. Tant qu'il y aura ce genre de cercles indestructibles et parfaitement coordonnés, les alternatives seront bâillonnées et juste maintenues pour faire croire en la liberté d'expression.
07/12/2014
l'état de l'opinon politique en Russie - statistiques
Aujourd’hui, la répartition des sympathies historico-politiques dans la société russe ressemble à ceci : les partisans du système politique russe actuel rassemblent 19% des citoyens, les partisans du modèle de système occidental en réunit 21%, et les partisans du système soviétique atteignent 39%. (http://www.levada.ru/24-02-2014/luchshaya-politicheskaya-i-ekonomicheskaya-sistema). On compte également 10 à 11 % de partisans de la tradition monarchiste prérévolutionnaire.
Le pouvoir actuel repose donc sur l’union de 19% de "tricolores", 11% de blancs et 39% de rouges, face à une opposition de 21% de bleus. En outre, près de 60% jugent positivement Lénine et la révolution d’Octobre, et plus de 50%, Staline, alors que ceux qui considèrent Nicolas II comme une victime innocente rassemblent 23%.
(http://www.levada.ru/16-05-2013/rossiyane-o-nikolae-ii)
Dans le bloc social de 69% soutenant le pouvoir actuel, plus de la moitié, 39%, sont des « rouges ». Sans eux, le pouvoir ne peut compter que sur le soutien de moins du tiers de la société. Formellement, si l’on ajoute à ce tiers les 21% de bleus, partisans de l’Occident, on obtient une majorité de 51%. Mais d’une part, l’équilibre est réduit au minimum disponible, et d’autre part, c’est irréalisable du point de pratique dans la mesure où, l’union des bleus avec les tricolores entraînera inévitablement la défiance des blancs, pour lesquels les partisans de l’Occident sont plus détestables que ceux des soviets.
Le paradoxe veut que le système soviétique qui s'est installé en dépit de la volonté du peuple (lors des dernières élections démocratiques, pour la Constituante de janvier 1918 les Bolchéviques n'ont pas eu plus de 25% des voix, la majorité était pour les Socialistes Révolutionnaires) a été démantelé par la volonté, en 1991, de 3 ivrognes réunis dans une datcha au fond de la forêt Bielorusse et des "services" US, FMI, et toute la bande, alors que la majorité du peuple voulait la continuation de l'Union Soviétique, et est maintenant 20 ans après ce démantèlement, regretté par une majorité du peuple ! En effet :
Selon l’institut FOMA, 42% de la population considère que la révolution d'Octobre a engendré des conséquences plutôt positives, et 21% des conséquences plutôt négatives (http://fom.ru/Proshloe/10685). Il s’agit des conséquences pour le pays. Ceux qui considèrent qu’Octobre a occasionné des dommages à leur famille réunissent 15%. A la question « Lors de la guerre civile, de quel côté étaient vos ancêtres ? », 39% répondent qu’ils ont combattu du côté des rouges et 3%, du côté des blancs.
(http://fom.ru/Proshloe/10685)
Si les personnes devaient décider aujourd’hui de quel côté elles se seraient trouvées lors de la confrontation, 36% seraient du côté des rouges, et 32% auraient combattu, contre 9% avec les blancs, et 6% les armes à la main. ( Il est malaisé de dire à quoi pensait Medvedev quand il a déclaré que le 7 novembre était jour de tragédie pour la Russie, et à qui il s’identifiait. )
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06/12/2014
citations - amitié
« A man is only complete |
Susan Polis Schutz |
AMITIE |
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« Ami que je ne connais pas |
Carême (Maurice) |
AMITIE |
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« Chacun en écoutant l’autre retrouvait des parties de lui-même, oubliées. » |
Flaubert (Gustave) |
AMITIE |
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« Chaque ami représente tout un monde en nous, un monde qui l’attend pour naître, et c’est seulement en le rencontrant que ce monde nouveau naît. » |
Nin (Anaïs) |
AMITIE |
RENCONTRE |
« De quelle aide peut être quelqu’un qu’on ne peut approcher qu’avec des mots choisis. » |
Bibesco (Princesse Elisabeth) |
AMITIE |
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« elle sait que devant cette douleur, tout encouragement serait indécent, tout conseil insultant. Ce dont son amie a besoin, tout ce qu’elle lui donnera c’est son amour. » |
Kénizé Mourad |
AMITIE |
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« Il n’est qu’un luxe véritable, et c’est celui des relations humaines. » |
Saint-Exupéry (Antoine de) |
AMITIE |
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« Il n’y a pas de plaisir comparable à celui de rencontrer un vieil ami si ce n’est peut-être celui d’en faire un nouveau. » |
Kipling (Rudyard) |
AMITIE |
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« Il y faut des cœurs purs. Savez-vous que, là-bas, les amis se promènent dans la rue deux par deux, en se tenant par la main … En Orient aussi parfois ? …Ah ! je plaisante. Nous avons de la tenue, nous, la crasse nous guinde. » |
Camus (Albert) |
AMITIE |
CARESSES |
« J’ai entendu éternuer. C’est sûrement René Rateau … C’est agréable d’entendre un ami comme ça en pleine nuit. » |
Sempé |
AMITIE |
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« L’amitié est la science des hommes libres. » |
Camus (Albert) |
AMITIE |
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« L’amitié libère de la peur et de la servitude ; c’est la sagesse même. » |
Épicure |
AMITIE |
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« L’amitié : c’est un voilier élégant sur lequel on s’embarque avec quelqu’un d’autre pour une durée indéterminée. » |
Grobhoiser (Danièle) |
AMITIE |
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« L’amour est aveugle, l’amitié ferme les yeux. » |
Bismarck (Otto von) |
AMITIE |
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« La première loi de l’amitié est qu’elle doit être cultivée, la seconde loi est d’être indulgent quand la première a été négligée. » |
Voltaire |
AMITIE |
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« Le père et le fils, d’un dernier effort se retrouvèrent sur le rebord de la fenêtre ; ils avaient la même taille, pesaient le même poids, avaient le visage éclairé par les mêmes étoiles, et restaient l’un contre l’autre, savourant une merveilleuse fatigue, réprimant des rires fous qui leur secouaient les os sur le même rythme, et par crainte de réveiller Dieu, le pays entier, l’épouse, maman, chacun mit une main sur la bouche de l’autre, senti la chaude hilarité jaillissante et ils prolongèrent cet instant, les yeux brillants d’une joie commune, et humides de véritable amour. » |
Bradbury (Ray) |
AMITIE |
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« Les amis ne sont pas nécessairement ceux que nous préférons; ce sont ceux qui étaient là les premiers.“ |
Ustinov (Peter) |
AMITIE |
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« Les pas d’un ami sont plus doux que de douces paroles. » |
Jammes (Francis) |
AMITIE |
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« Lorsque vous quittez votre ami, n’ayez point de chagrin. Car ce que vous aimez le plus en lui apparaîtra plus clairement en son absence. » |
Gibran (Gibran Khalil) |
AMITIE |
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« Mais à jamais le souvenir de cet homme |
Frénaud (André) |
AMITIE |
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« Malhabiles nous sommes à nous atteindre, les hommes |
Frénaud (André) |
AMITIE |
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« Man is forced to be alone by the very nature of society. But if you meet a person who is not envious, who loves and believes in other things than himself, then to this rare person offer a lifetime of friendship.” |
Susan Polis Schutz |
AMITIE |
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« Ne laissez pas une petite dispute meurtrir une grande amitié. » |
? |
AMITIE |
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« Nous avons tous besoin que quelqu’un ait besoin de nous. » |
Gary (Romain) |
AMITIE |
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« On ne se crée point de vieux camarades. Rien jamais en effet ne remplacera le compagnon perdu. Rien ne vaut le trésor de tant de souvenirs communs. |
Saint-Exupéry (Antoine de) |
AMITIE |
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« Où est l’amitié, là est la patrie. » |
Voltaire |
AMITIE |
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05/12/2014
malgré qu´en nous un enfant mort parfois si peu sourit encore comme un vieux rêve qui agonise
la vie de tout le monde
ma vie ...
Faut vivre
Mouloudji - 1973
{Récité:}
Il y a peut-être 150 millions de galaxies
contenant chacune 120, 150 milliards d´étoiles...
A des centaines de milliers d´années lumières...
Il y a des centaines d´autres galaxies
contenant encore des milliards d´étoiles...
Poussière dans un Sahara d´étoiles...
Malgré les grands yeux du néant
c´est pour mieux nous manger enfant
et les silences et les boucans...
faut vivre
et bien qu´aveugles sur fond de nuit
entre les gouffres infinis
des milliards d´étoiles qui rient...
faut vivre...
malgré qu´on soit pas toujours beau
et que l´on ait plus ses seize ans
et sur l´espoir un chèque en blanc
faut vivre...
malgré le cœur qui perd le nord
au vent d´amour qui souffle encore
et qui parfois encore nous grise
faut vivre...
malgré qu´on ait pas de génie
n´est pas Rimbaud qui peu, pardi !
et qu´on se cherche un alibi
malgré tous nos morts en goguette
qui errent dans les rues de nos têtes
faut vivre...
malgré qu´on soit brave et salaud
qu´on est des complexes à gogo
et qu´on les aime c´est ça le pire
faut vivre...
malgré l´idéal du jeune temps
qui s’est usé au nerf du temps
et par d´autre repris en chantant
faut vivre...
malgré qu´en s´tournant vers l´passé
on est effrayé de s´avouer
qu´on a tout de même un peu changé
faut vivre...
malgré qu´on soit du même voyage
qu´on vive en fou, qu´on vive en sage
tout finira dans un naufrage
faut vivre...
malgré qu´au ciel de nos poitrines
en nous sentinelle endormie
dans un bruit d´usine gémit
le cœur aveugle qui funambule
sur le fil du présent qui fuit
faut vivre...
malgré qu´en nous un enfant mort
parfois si peu sourit encore
comme un vieux rêve qui agonise
faut vivre...
malgré qu´on soit dans l´engrenage
des notaires et des héritages
ou le cœur s´écœure et s´enlise
faut vivre...
malgré qu´on fasse de l´humour noir
sur l´amour qui nous en fera voir
jusqu´à ce qu´il nous dise au revoir
faut vivre...
malgré qu´à tous les horizons
comme un point d´interrogation
la mort nous regarde d´un œil ivre
faut vivre...
malgré tous nos serments d´amour
tous nos mensonges jour après jour
et bien que l´on ait qu´une vie
une seule pour l´éternité
malgré qu´on la sache ratée....
Faut vivre...
04/12/2014
quand tu avais une bouche
écrit en septembre 1993
- Entendu dans un très beau texte de Beckett ce soir à la radio :
« Attendre, seul, sourd, aveugle, on ne sait pas où on ne sait pas quoi, qu'une main amie vienne vous prendre la main, pour vous mener ailleurs, où c'est peut- être encore pire. »
(in « l'innommable »)
plus tard « te parler, comme je ne l'ai pas fait quand tu avais une bouche »
02/12/2014
la société contemporaine devient d'un totalitarisme délirant
Finlande : un enfant retiré à une famille russe
© href="http://www.youtube.com/user/Pronssisoturi/" target="_blank" rel="nofollow"
Par La Voix de la Russie | Les autorités finlandaises ont retiré la fillette Diana de 10 ans à la citoyenne russe Alexandra Fomina. Cela a été annoncé par le défenseur des droits de l’Homme finlandais Johan Backman.
Le 7 novembre, cette jeune citoyenne de la Fédération de Russie n'est pas revenue de l'école.
Le week-end dernier, la jeune fille a été placée en "tutelle".
Backman a noté que les autorités finlandaises n’étaient pas obligées de déclarer les raisons de retrait de l’enfant. (!!) Selon une version, Diana aurait dit une voisine finlandaise que sa mère l’a donnée une fessée.
Selon la seconde version, la jeune fille a été retirée parce qu’elle se plaignait que sa mère a refusé de prendre un chien chez soi.
L’originaire de Saint-Pétersbourg Fomina vit à Vantaa depuis 3 ans.
Elle est en train de divorcer avec son mari finlandais.
Fomina demande de l'aide aux autorités de la Fédération de Russie.
Lire la suite: http://french.ruvr.ru/news/2014_11_11/Finlande-un-enfant-...
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