quand tu avais une bouche (04/12/2014)
écrit en septembre 1993
- Entendu dans un très beau texte de Beckett ce soir à la radio :
« Attendre, seul, sourd, aveugle, on ne sait pas où on ne sait pas quoi, qu'une main amie vienne vous prendre la main, pour vous mener ailleurs, où c'est peut- être encore pire. »
(in « l'innommable »)
plus tard « te parler, comme je ne l'ai pas fait quand tu avais une bouche »