En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
la Paix ne pourra revenir qu'après la victoire définitive sur cette ploutocratie mondialiste criminelle et surtout la destruction de ce monstre absolu, cette pensée unique du capital qui est responsable des pires fascismes 1.0 et 2.0
à coup d'hôtels (hyper-chers, les hotels bon marchés accessibles aux gens "moyens" ont tous disparus), de "parcs à thèmes", de bidules destinés aux visites organisées des enfants des écoles, la vie, que ce soit celle des gens d'autrefois, de la nature, qui théoriquement nous entoure (!), les arts les techniques, l'histoire (que les établissement de l'Educ-nat n'enseigne plus aux enfants) tout est transformé en gadgets, attention ! en gadgets permettant (c'EST le but de l'opération) à des entreprises capitalistes et aux filiales de grands "groupes" de se faire un max de fric. Les américains appellent ça le "titytainment", pour faire passer le temps au troupeau tout en le rentabilisant, lui faire cracher un max de fric.
Les pays partout sur Internet, regardez il n'y a que ça, que cette façon de présenter les choses vantent leur "potentiel touristique", l'identité, la nature, la beauté, l'histoire, la vie quotidienne des gens, transformés en "potentiel" entendez potentiel de PROFITS pour les "industries" touristiques qui s'arrangeront pour faire de gras profits là-dessus, en transformant les "touristes" en robots qu'on emmène accomplir leurs RITES quasi religieux pour des "tour-operators" qui en feront du profit capitaliste pour leurs "investisseurs". Le voyage normal, la découverte individuelle et vivante, la vie, rien ne reste de tout ça que la commercialisation sous la main exclusive des gros "groupes" capitalistes spéculatifs et leurs cadres-sup' !!
et en plus
Les touristes, c’est les mouches des temps modernes, c’est les nouvelles mouches (car des anciennes, des vraies, on n'en voit plus guère, ce n'est plus qu'un souvenir du passé), qui volent et pullulent exactement pareil autour de tous les lieux catalogués officiellement comme "attirants". (ça va encore heureusement ils laissent tranquilles les lieux non catalogués les seuls donc qu'il vaille le coup de visiter !)
Leur présence autour des lieux autrefois « normaux », destinés à toutes sortes d’usages divers, est un signe du modernisme d’un pays ! et transforme ceux-ci en ghettos, dont l'accès par ailleurs est rendu dans les villes modernes, impossible pour un usage normal et "vivant".
bientôt il sera interdit de vendre des cerises sans qu'il soit IMPRIMÉ sur chaque cerise « ATTENTION CE FRUIT N'EST PAS UN JOUET Afin d'éviter tout risque d'étouffement(1) ne laissez pas les bébés et les jeunes enfants jouer avec son noyau » …..
logique !
Qu'est-ce qu'on parie ? (je les ai hélas tous gagné jusqu'à présent mes paris, et même pire regardez ce qui se passe actuellement, note de 2021) et bien sûr sur les couteaux de cuisine, sur les fourchettes, sur les lacets de chaussure (ben, on peut s'étrangler avec, non ?) sur les vestons (oui, si ils traînent par terre, quelqu'un qui ne ferait pas attention peut se prendre les pieds dedans et tomber, c'est un risque non nul, et éventuellement mal tomber, donc pour préserver le fabricant d'éventuelles poursuites judiciaires, ils vont faire comme ça !)
de même il sera interdit aux enfants de sauter à la corde, et si jamais la flicaille en voit un ils le plaqueront au sol, les traîneront par les cheveux sur le macadam (comme ils font impunément aux femmes gilets jaunes) et bien sûr les assistantes sociales de la DDASS retireront cet enfant de ses parents, et l'enfermeront dans un orphelinat (comme l'Allemagne nazie faisait aux enfants des témoins de Jéhovah qui refusaient de faire le salut nazi). C'est ça "l'esprit de la modernité", qui a des oreilles entende !
(1) ça existe, je me souviens que j'ai failli être étouffé par un noyau de cerise que j'avais mis dans mon nez, mes parents avaient même du appeler le médecin pour me sauver
Hitler a gagné la guerre Les idées nazies emplissent le capitalisme et l’esprit du capitalisme emplit les maîtres de la société actuelle.
Le gouvernement britannique a pour politique d'ignorer les besoins des personnes âgées, les médecins et les infirmières étant chargés de suspendre les traitements et de laisser les personnes âgées mourir pour économiser les lits d'hôpitaux et réduire les coûts.
l'âge limite pour la réanimation est souvent de 55 ou 50 ans, toute personne de plus de 60 ans étant considérée comme âgée et constituant un fardeau pour la société.
Les patients âgés sont souvent laissés dans la douleur, dans des vêtements de lit souillés, et privés de nourriture et d'eau, signalés dans les hôpitaux et les foyers de soins.
“Le seul -isme dant personne ne se soucie est l'âgisme,” Dr. Vernon Coleman écrit : Par Dr. Vernon Coleman
En Grande-Bretagne, c'est maintenant la politique officielle du gouvernement d'ignorer les besoins des personnes âgées. Cette politique est commune dans le monde entier. Les médecins et les infirmières sont invités à laisser les personnes âgées mourir – et à refuser un traitement qui pourrait leur sauver la vie. On dit au personnel hospitalier de priver les personnes âgées de nourriture et d'eau afin qu'elles meurent plutôt que de prendre des lits d'hôpital. Le personnel des maisons de soins infirmiers a même eu le droit de mettre sous sédation des patients âgés à leur insu. Le seul -isme dont personne ne se soucie est l'âgisme.
Mais à quel âge les patients sont-ils simplement « autorisés » à mourir? Et quel âge est trop vieux pour que les patients soient réanimés? À quel moment la société a-t-elle le droit de dire que You’ve a vécu assez longtemps, maintenant vous devez mourir et faire place à quelqu'un d'autre’? (quel cynisme « écologique »!) Et pourquoi la réanimation devrait-elle être décidée par âge? Il est possible de soutenir qu'il serait tout à fait logique de décider en fonction de la richesse ou de la beauté. Mais l'âgisme est maintenant officiellement accepté. Toute personne de plus de 60 ans est maintenant officiellement âgée, bien que dans un nombre croissant d'hôpitaux, l'âge limite pour la réanimation soit de 55 ou même 50 ans.
Les rapports après rapport montre que les patients âgés sont laissés dans la douleur, dans des vêtements de lit souillés. Les patients âgés à l'hôpital sont ignorés par le personnel et laissés mourir de faim, privés même d'eau s'ils ne peuvent pas sortir du lit et aller les chercher eux-mêmes.
Les personnes âgées sont un fardeau dont les gouvernements ne veulent pas s’embarasser, et les politiciens continueront donc à autoriser toutes les méthodes nécessaires pour assurer que le nombre de personnes âgées « couteuses » soit réduit au minimum. L'existence d'une branche absurde de la médecine appelée gériatrie est utilisée comme une excuse pour pousser les personnes âgées dans les salles de remous et de leur fournir un traitement médical de deuxième ordre. En février 2011, un rapport officiel a condamné le NHS (britannique) pour son traitement inhumain “des patients âgés” et a déclaré que les hôpitaux du NHS “ne répondant même pas aux normes de soins les plus élémentaires” pour les plus de 65 ans. Il n'est pas exagéré de dire que le NHS traite les personnes âgées avec mépris. (On disait que vous pouvez juger une civilisation par la façon dont elle traite ses personnes âgées.)
C'est en février 2005 qu'il a été révélé que le Gouvernement avait indiqué que les patients hospitalisés qui avaient peu d'espoir de guérison devaient être « autorisés » à mourir en raison du coût de leur maintien en vie. Le Gouvernement travailliste a suggéré que les personnes âgées se voient refuser le droit à la nourriture et à l'eau si elles tombaient dans le coma (cf l’acharnement judiciaire que les autorités ont mis pour faire mourir Vincent Lambert !). (qu’en penserait M. Joseph Garcia de Lagamas ? https://www.midilibre.fr/2012/09/30/aux-frontieres-de-la-... )
Voilà pour tout espoir pour les victimes d'accident vasculaire cérébral. Le Gouvernement a estimé que la nécessité de réduire les coûts était antérieure à la nécessité de préserver la vie des patients [or dans une société athée la vie humaine doit nécessairement être tenue comme SACREE inconditionnellement, sinon elle cesse d’être une société civilisée! Et d’être une société] et a décidé qu'il avait le droit d'annuler une décision sur le droit à la vie qui avait été rendue lorsqu'un juge a ordonné que la nutrition artificielle et l'hydratation ne soient pas retirées à moins que la vie d'un patient ne puisse être qualifiée d' “intolérable.” (Le juge avait ajouté qu'en cas de doute, la préservation de la vie devrait prévaloir.) - (cf on comprend mieux l’acharnemet judiciaire que les autorités ont mis à faire mourir Vincent Lambert, ils voulaient en faire un exemple, le débur de leur Aktion T4 nazie!)
Bien sûr, priver les personnes âgées de nourriture et d'eau est parfois plus une conséquence de l'incompétence que de la politique officielle. Quand ma mère était à l'hôpital à Exeter, elle ne pouvait pas se nourrir, mais le personnel ne l'a pas nourrie. Si aucun parent ne pouvait se rendre à l'hôpital pour la nourrir, elle n'a pas mangé !!!! Des boissons ont été mises sur son plateau, puis emportées intactes. “Pas soif, aujourd'hui?” un crétin irresponsable demanderait joyeusement.
Pendant ce temps, le gouvernement verse de l'argent pour subventionner la vie des paresseux et des travailleurs timides. Des enfants en bonne santé de 30 ans s'assoient autour de dos de puces et de ventres de bière en croissance, affaissés devant leurs téléviseurs numériques haute définition en regardant leur choix de télévision par satellite subventionnée par l'État, ouvrant les fenêtres pour baisser la chaleur car il est plus facile que de baisser le chauffage central .
Les personnes âgées sont classées comme la “Unwanted Generation”: un embarras politique. Les personnes âgées confrontées à la cécité due à la maladie maculaire liée à l'âge se voient refuser des médicaments qui auraient pu prévenir leur cécité. Les personnes âgées sont considérées comme coûteuses, inutiles et inutiles. La théorie est qu'ils ne’t contribuent et votent rarement et peuvent donc être ignorés. Mais ceux qui croient cela seront vieux plus tôt qu'ils ne le pensent. Et la définition de “old” rajeunit d'ici l'année.
Les guerres nous ont appris que les gens semblent prêts à accepter comme normal toutes sortes de choses terribles. Mais comme il est incroyablement horrible que les médecins et les infirmières acceptent que les personnes âgées (officiellement les plus de 60 ans) doivent être autorisées à mourir parce que les garder en vie est rentable. L'attitude officielle semble être que les personnes âgées ont des droits simplement parce qu'elles sont âgées. À la mi-août 2007, un Select Committee on Human Rights, composé de députés et de pairs, a signalé que 21% des hôpitaux et des foyers de soins ne respectaient même pas les normes minimales de dignité et de vie privée des personnes âgées. Le Comité a déclaré avoir découvert des preuves de négligence, d'abus, de discrimination et de traitement injuste des personnes âgées fragiles. (Leur découverte n'a pas surpris ceux d'entre nous qui ont découvert de tels abus depuis des décennies.) Comment avons-nous réussi à oublier que dans les années 1930, les nazis ont délibérément affamé et déshydraté les patients âgés et vulnérables parce qu'ils étaient considérés comme un fardeau inutile pour la société? C'est exactement ce que nous faisons aujourd'hui.
Une enquête étonnante (et horrifiante) menée auprès des lecteurs des revues Nursing Standard and Nursing Personnes âgées a montré que moins d'une infirmière sur six a déclaré que rien ne les empêcherait de signaler l'abus de personnes âgées dans leurs soins.
En d'autres termes, cinq infirmières sur six ne signalaient pas, du moins parfois, les mauvais traitements infligés aux personnes âgées pour lesquelles elles étaient payées. Donc, à mon avis, cinq infirmières sur six sont aptes à être infirmières.
C'est tout à fait épouvantable et un acte d'accusation de la profession infirmière moderne.
La même enquête a montré que six infirmières sur dix fermaient les yeux sur les mauvais traitements infligés aux personnes âgées. Ils ne diraient rien s'ils savaient qu'un patient âgé ou un résident d'un foyer de soins était battu, intimidé ou volé.
Une des raisons est la lâcheté.
Incroyablement, il semble que les infirmières ont peur de signaler les abus au cas où elles seraient elles-mêmes maltraitées par la personne qui les maltraite.
Les patients hospitalisés et les résidents des maisons de retraite souffrent souvent de malnutrition et de déshydratation, d'abus et de mauvais traitements, de manque d'intimité, de négligence, de mauvaise hygiène et d'intimidation. Des milliers et des milliers de personnes âgées sont laissées pendant des heures dans des vêtements souillés.
Serait-ce parce que trop d'infirmières modernes sont paresseuses, stupides et incompétentes? Trop de gens sont trop importants pour faire autre chose que de regarder un écran d'ordinateur toute la journée.
À mon avis, les infirmières qui ne disent rien quand elles voient des abus sont aussi coupables que les agresseurs. Une profession autrefois grande est, aujourd'hui, dans un état pire qu'elle ne l'était à l'époque de Dickens. Est-ce si démodé de ma part de croire que chaque infirmière devrait toujours signaler chaque incident de maltraitance? Toujours. Sans exception.
L'âgisme est, semble-t-il, maintenant endémique dans les soins de santé. Un lecteur m'a écrit pour me dire que quand elle a visité son médecin se plaignant de genoux douloureux, son médecin lui a dit, très brusquement, que son problème était qu'elle vivait trop longtemps. Elle était dévastée. “Il a été dit comme une blague,” elle m'a dit. “Il le voulait dire.” Dans les mois qui ont précédé sa mort, mon père s'est plaint à plusieurs reprises: “Les gens me traitent comme un imbécile parce que je suis vieux Un lecteur de 79 ans m'a dit: “Si vous avez plus de 55 ans, ils veulent votre mort parce que vous êtes trop cher vivant.”
Nous vivons maintenant dans un monde où il est considéré comme acceptable pour les hommes et les femmes d'avoir à partager une salle; où les salles de bains de l'hôpital sont si sales que les patients n'osent pas les utiliser; où les dentistes sont si rares et coûteux que les gens doivent recourir à tirer leurs propres mauvaises dents à l'aide d'une longueur de ficelle attachée à une poignée de porte. Mais ce sont les personnes âgées qui, par-dessus tout, sont considérées comme jetables et non pertinentes. Ce sont les personnes âgées qui n'ont aucun droit. Le sexisme et le racisme sont interdits, mais pas l'âgisme. En effet, il semble clair que l'âgisme est maintenant un préjugé parrainé par l'État. Les jeunes violents et sauvages qui sont pris à agresser des citoyens âgés respectueux de la loi sont susceptibles d'être “punished” avec une poignée de bons leur donnant droit à une poignée de CD gratuits (dont les paroles peuvent bien encourager plus de violence) mais honnêteles citoyens âgés qui ne peuvent pas se permettre de payer leur facture fiscale du conseil finiront en prison.
Lorsque les médecins appartiennent au Gouvernement, les priorités de Government’s prennent le relais. Ainsi, les personnes âgées, qui sont considérées comme un fardeau coûteux, sont considérées comme consommables.
Note: L'essai ci-dessus est tiré du livre de Vernon Coleman’s intitulé ''thereadPourquoi et comment les médecins tuent plus de gens que le cancer’. Le livre est disponible via le librairie sur son site.
Mémo Christine Lagarde: Les personnes âgées posent un risque important de fardeau financier pour l'économie mondiale et comment les cibler pour atténuer le risque
Le “Christine Lagarde Mémo: POUR VOS YEUX SEULEMENT, à partir de ‘la Coalition’” est un mémo qui traite des préoccupations au sujet de la longévité “” et de son impact sur l'économie mondiale.
La note, prétendument divulguée par un haut responsable de la Commission européenne, a été adressée aux chefs d'État et aux ministres des Finances, dont Angela Merkel, Theresa May et Emmanuel Macron.
Il suggère que l'augmentation de la durée de vie de la population âgée pose un risque important pour l'économie mondiale et appelle à des mesures urgentes pour résoudre ce problème.
La note propose plusieurs stratégies pour atténuer le fardeau économique de la longévité “,”, y compris le relèvement de l'âge de la retraite et la réduction des droits. Il suggère également d'utiliser une terminologie non sexiste comme “personnes âgées” pour éviter les difficultés de relations publiques associées au ciblage spécifique des femmes âgées.
Il y a quelques jours, nous publié un article cela comprenait un extrait de la Christine Lagarde Mémo. Nous avons encouragé nos lecteurs à lire le reste de la note pour comprendre les raisons possibles de l'agression sur nos personnes âgées. Nous n'avons aucun moyen d'authentifier le mémo ou l'endroit où il a été trouvé. Cependant, le fait qu'un auteur primé de renom soit déclaré l'avoir publié, lui donne de la crédibilité.
Nous soulignons à nouveau cette note en la republiant ci-dessous. Malheureusement, ce n'est pas le mémo entier car il semblerait que le mémo ait été déchiré en plus d'une pièce et que seule la première partie ait été récupérée. Le ‘Christine Lagarde Memo’: POUR VOS YEUX SEULEMENT, de ‘la Coalition’
Par Margaret Morganroth Gullette comme publié par Revue Mensuelle le 9 octobre 2018
en français : “Les personnes âgées vivent trop longtemps et c'est un risque pour l'économie mondiale. Nous devons faire quelque chose, de toute urgence.”—Christine Lagarde, Directrice du Fonds Monétaire International (Traduit de l'Espagnol)
“Cette note secrète a été découverte dans le panier de déchets d'un membre du personnel de haut rang de la Commission européenne. Il nous a été envoyé par le Dr. Margaret Morganroth Gullette, auteur de ‘Mettre fin à l'Âgisme, ou Comment Ne Pas Tirer sur les Vieilles Personnes’ (2017).
“Le mémo de “la Coalition” commence “Chère Angela, Teresa, Emmanuel..” et a une autre liste de prénoms (chefs d'État et secrétaires ou ministres des finances, de la santé et des services humains), la plupart du temps griffonnés avec marqueur. Monthly Review est heureux de publier cet important document divulgué ici pour la première fois.”—Eds [Monthly Review]
Chère Angela, Teresa, Emmanuel …
POUR TES YEUX SEULEMENT
[S'il vous plaît noter: L'Exposé n'a pas modifié le mémo en aucune façon. C'est exactement comme il a été publié par Revue Mensuelle, y compris les erreurs typographiques, anglais américain, etc.]
Ici, à la Coalition, nous avons été impressionnés par la bravoure de Christine’s, disant publiquement que les personnes âgées “vivent trop longtemps” et que les responsables de l'économie mondiale doivent faire quelque chose à ce sujet, de toute urgence. Récemment, une photo d'elle, avec un langage potentiellement incendiaire de ses discours, est devenue virale, sans soulever de résistance.
La Coalition se félicite de ce nouveau moment pour faire avancer notre programme sensé et coordonné vers les personnes surannées, de plus en plus justifiées, car tous nos budgets sont engloutis par les droits, nos rues et nos USI sont encombrées de personnes âgées, les frais médicaux pour le sénile augmentent et les enfants adultes sont accablés par les coûts et la culpabilité.
Tout en exploitant cette ouverture à une action positive, cependant nota bene, ce mémo crypté n'est pas pour la distribution. Sa discussion franche et ouverte sur le problème des nations grisonnantes signifie que ses suggestions sont placées dans un cercle restreint. Veuillez imprimer et supprimer.
Lagarde s'en tire avec la promotion de nos recommandations politiques en faisant les chiffres sur la longévité. Numbers don’t. Notre conseil est de faire connaître l'ampleur du problème en évoquant la situation désastreuse du Japon. Leurs données font peur à d'autres pays de se conformer à l'augmentation de l'âge de la retraite et à la réduction des droits. Utile pour nous aux États-Unis, les associations Alzheimer’s publient déjà les données dont nous avons besoin. Répéter les pourcentages de personnes âgées vivant maintenant dans votre pays, et projeter les chiffres terriblement plus importants à l'avenir (2040 ou 2050), ainsi que les pourcentages de cas de démence de temps en temps, est une tactique infaillible pour créer une anxiété fructueuse et soulignant la nécessité de réponses bipartisanes dramatiques à la crise.
Certains wimps et wets se plaindront de “ageism” mais la bonne nouvelle est que cette charge n'a pas d'importance. Peu de gens dans une société connaissent le terme. En Espagne, ils utilisent le mot de prêt anglais, “ageism.” Aux États-Unis, une étude récente montre que l'âgisme vient en dernier dans une liste des autres personnes “isms” sont préoccupés, après le sexisme—sexisme maintenant, avec le mouvement #MeToo et le cirque autour de la justice Kavanaugh, a atteint le sommet de la liste—and puis le racisme et l'homophobie. L'âgisme n'est tout simplement pas considéré comme une oppression. Aux États-Unis, la Cour suprême n'a pas ajouté l'âge en tant que catégorie protégée, et a même refusé aux travailleurs de la quarantaine certaines des protections générales de l'Age Discrimination in Employment Act de 1967. Lorsqu'on leur a demandé, les personnes âgées disent souvent que l'âgisme fait référence aux jeunes qui leur offrent un siège dans le bus. Ou qu'il se réfère à mots“ridlies” (en Grande-Bretagne) ou “geezer” (aux États-Unis). Les lettres à l'éditeur ou les colonnes qui se disputent la façon de répondre aux questions de nomenclature triviales sont une distraction utile de notre agenda économique.
Des progrès ont été réalisés dans notre programme depuis les années 1980. Il semble maintenant tout à fait possible de réformer davantage les filets de sécurité sans attirer une attention indésirable. Bien que les personnes âgées votent, elles semblent incapables de se défendre. “Augmenter le déficit” est une stratégie non-pareil, permettant à de nombreux gouvernements de cibler les systèmes de santé nationaux qu'ils doivent vraiment réduire. La tactique des États-Unis consistant à répéter que la Sécurité sociale et Medicare seront bientôt insolvables, et que les jeunes ne bénéficieront pas de la vieillesse, s'avère fructueuse.
Pendant des années, nous avons clairement indiqué que la réduction des attentes fonctionnerait. Appeler la colère contre l'inégalité “guerre de classe conflictuelle” est une recommandation que nous soutenons, maintenant que la syndicalisation a été discréditée pour fournir des emplois sur-payés à des groupes subordonnés qui ne méritent clairement pas un examen spécial. Nous suggérons qu'à mesure que l'inégalité augmente, vous détournez l'attention de classe envie de Schadenfreude liée à l'âge, opposant génération contre génération. Dans les sections de commentaires et les éditoriaux, les jeunes Américains, sans être payés pour le dire, ridiculisent volontairement quiconque fait confiance aux États-Unis. Bons du Trésor. Ils se tournent avec colère contre les baby-boomers vieillissants, qui, selon eux, seront la dernière génération à recevoir des prestations. Cette croyance mène à l'inaction. Nous avons l'intention de faire de cette croyance une prophétie auto-réalisatrice.
Nous prévoyons des progrès sur d'autres fronts. Aux États-Unis, les républicains réduisent le ballonnement du ventre en coupant les bureaux ruraux de la Social Security Administration. Certaines âmes prudentes ont brièvement fait valoir que la réduction des services n'économise pas assez d'argent pour contrer la valeur gênante d'avoir des temps d'attente téléphoniques plus longs et des bureaux de moins en plus éloignés, ce qui rend les plaintes des médias judiciaires et irrite les lettres aux éditeurs. Pourtant, c'est un modèle utile d'insérer des coins minces invisibles en essayant de déstabiliser le troisième rail“” de la politique américaine, comme la Sécurité Sociale était appelée. N'étant plus aussi électrifiés, nous sommes heureux de constater. Le candidat Donald Trump, par exemple, a promis encore et encore pendant sa campagne de défendre les programmes hérités de la FDR. Les promesses semblent tout ce qui est nécessaire pour influencer l'électorat.
Medicaid est le prochain. Couper les personnes qui ne travaillent pas, le premier mouvement en Arkansas, a chuté de tous les rôles sauf 2%. Cela permet de réaliser des économies pour un État bien géré à utiliser pour les citoyens plus productifs (un groupe de plus en plus petit, à mesure que la robotisation et l'informatisation prennent le relais). Réduire les protections pour les personnes dans les maisons de soins infirmiers est une autre tactique des États-Unis.
Pendant au moins une décennie, cependant, notre Coalition prévoit que les réformateurs des droits devront prendre en considération les personnes âgées qui deviennent sans abri, car la presse devient étonnamment alerte à cet égard. Le temps exceptionnellement froid de l'hiver dernier a été en faute ici.
Les hommes âgés qui deviennent soudainement sans abri peuvent être décrits comme les victimes de leurs vices. Mais les vieilles femmes démentes au coin des rues qui mendient ou pleurent auront presque certainement besoin d'une campagne publicitaire différente pour que cela semble inévitable. Le trope de la fille Boomer peu accueillante, peut-être? Le problème est que les femmes âgées, bien qu'elles vivent plus longtemps, conservent un certain prestige en tant que mères et grands-mères et présentent donc la principale difficulté de relations publiques dans ce secteur. Nous avons suggéré d'utiliser une terminologie non-sexuée, comme “personnes âgées.” Puisque tout le monde sait que les personnes âgées sont sans sexe, cet usage ne risque pas d'être remarqué, et encore moins attaqué.
La Coalition a décidé de porter une attention particulière à l'avenir sur la longévité, l'ourson de l'État moderne rationnel. Les établissements médicaux et scientifiques se vantent de cela comme de leur succès, et ils ne peuvent pas et ne doivent pas être empêchés de le faire, ou toute la notion de progrès pharmaceutique et chirurgical est jetée par la fenêtre. Imaginez les cris du lobby de Big PhaRMA et les associations médicales étaient n'importe quel ministre de la santé à se plaindre les attentes de la vie augmentent. Pourtant, cette augmentation est le problème auquel nous sommes confrontés tant que les réponses collectives aux problèmes sociaux persistent. Souviens-toi de ce que Margaret nous a appris à dire. “Il n'y a pas de société, seulement des individus.”
Saisissant le moment, les leaders d'opinion du Consortium ont décidé de relever le défi de faire en sorte que la longévité “” elle-même semble un résultat négatif. La presse et les éditeurs n'ont eu besoin d'aucun élan de notre part—excepté l'incitation indirecte que certains de nos bailleurs de fonds possèdent eux—pour laisser les auteurs et les journalistes diaboliser les patients Alzheimer’s, et, malgré les démentis de quelques gérontologues qui sont en quelque sorte devenus des personnalités publiques, pour assimiler Alzheimer’s et la vieillesse. C'est la meilleure publicité pour notre position.
Financée par beaucoup d'entre vous avec des dons généreux, cette campagne de la Coalition continuera de concevoir des moyens humains et discrets pour réduire le grand nombre de personnes surannées dans les économies avancées. Certains retraités partent à la retraite dans des pays à faible revenu, vident nos rues et remettent le parc immobilier aux jeunes, mais dépensent leur revenu disponible en tant que consommateurs ailleurs. Ceux qui restent, vivent plus souvent avec leur propre espèce, hors de vue, et restent à l'intérieur, bien respectueux des besoins des jeunes de parler et de marcher rapidement sur les trottoirs publics sur leur chemin pour effectuer leurs tâches essentielles sans avoir à se soucier de courir dans les codgers confus lents.
Nous continuons d'insister pour que l'expansion du surtraitement “” meme—overtreatment soit une dépense nuisible et inutile. Dans de nombreux pays, la campagne contre le surtraitement dans les hôpitaux et les cabinets médicaux est solidement engagée. Les médecins mettent en garde contre les risques et la qualité de vie inférieure des interventions médicales ultérieures. La presse une fois de plus volontairement aider chaque fois qu'ils lient le terme émotionnel “burden” aux dépenses brutes de soins.
Note aux magnats des médias: n'hésitez pas à risquer plus. Temps publié une plainte de man’s sur le coût de sa mère’s $100 000 opération cardiaque, même si la mère a vécu encore dix ans. Le commentaire qui sert le mieux est de la “I would’t vouloir vivre au-delà de 75,” type—exemplifié par le Dr. Ezekiel Emanuel, qui a appelé son propre père à l'âge de 77 “lent” après son opération cardiaque et a dit il je ne voudrais pas qu'on se souvienne comme lent. Son autorité en tant que bioéthicien dans les National Institutes of Health lui a donné un laissez-passer gratuit. Barack Obama, parlant de sa propre grand-mère à la New York Times, déploré le coût des soins de fin de vie. Les rédacteurs peuvent être encouragés à publier des enfants adultes’s unhappiness with the national costs of careing, surtout si les auteurs ont des parents dits séniles ou proches de la mort. La prochaine crise économique—non pas que nous attendons un— facilitera plus de ces inquiétudes poignantes.
Au cours de cette campagne, nous avertissons les personnalités publiques de faire preuve de prudence et d'afficher des sentiments positifs, toujours en faisant allusion aux horreurs de la vie ultérieure et aux maladies des personnes âgées. Il est plus facile de laisser les jeunes faire le travail négatif. De nos jours, beaucoup d'autres sont désireux de dire ouvertement qu'ils refuseront “d'être relié à des machines.” “I’ll die before I get that way,” ils disent. Nous, de toutes les personnes, en proie à la pro-vie, comme j'aime à le dire, devrions donner un ton respectueux envers “mourir avec dignité.”
Les données ne seront peut-être jamais disponibles sur l'efficacité de l'accentuation du surtraitement chirurgical “” sur la réduction des coûts médicaux, mais je peux attester que cela distrait d'autres coûts que beaucoup de nos alliés dans Big Pharma préférez que la presse et le public n'y entrent pas. De plus, les gens sont de plus en plus convaincus qu'il y a un devoir de mourir— un devoir qu'ils ressentent envers leurs enfants bien sûr, plutôt que l'État.
Tant que le surtraitement (coûteux) reste la cible de choix dans le courant dominant, tant que la presse consentante compare les patients Alzheimer’s aux zombies, tant que les éditeurs publient les préoccupations très naturelles des enfants adultes sur les coûts croissants des choix médicaux parentaux, tant que chaque ralentissement économique ou réduction d'impôt volumineuse produit des soucis de déficit et un chômage de longue durée accru cette tendance à démoraliser génération après génération pour vieillir va croître.
En réduisant le nombre de personnes surannuées, les personnes dans leurs années intermédiaires qui sont devenues au chômage permanent se sont suicidées en nombre croissant, certaines de surdoses d'opioïdes, selon plusieurs rapports des États-Unis. Centers for Disease Control and Prevention. Les soi-disant décès par désespoir chez les hommes âgés sont devenus courants. Les vieilles femmes, bien que craignant de devenir des fardeaux pour leurs enfants, s'accrochent. En réponse, le Consortium suggère que la discrimination fondée sur l'âge, à laquelle les femmes âgées semblent plus facilement sujettes, peut être le moyen le plus simple d'atteindre...
[Ici le texte se termine, le reste du papier ayant apparemment été arraché.]
À propos Margaret M. Gullette
‘Mettre fin à l'Âgisme, ou Comment Ne Pas Tirer sur les Vieilles Personnes’, Gullette’s le livre le plus récent a été présenté dans Le New Yorker en Novembre 2017 et a remporté le 2018 American Psychological Association’s Division 35 Florence L. Danemark Prix pour les contributions aux femmes et au vieillissement qui favorisent la justice sociale. A examen de Mettre fin à l'âgisme in Tikkun appelle anti-âge “le prochain grand mouvement social.” Elle a publié d'autres livres primés sur les contextes culturels de l'âge, et ses essais ont paru dans New Political Science, Nation, Dissent, Mme, American Prospect. Un essai a gagné le Prix du millénaire Daniel Singer. Ses essais sont souvent cités comme notables dans Meilleurs Essais Américains. Elle est une étudiante résidente au Women’s Studies Research Centre à Brandeis University.
Mise à jour: En 2024 Margaret Morganroth Gullette publié un autre livre ‘American Eldercide: How It Happened, How to Prevent It’ concernant le décès de 200 000 résidents de maisons de retraite pendant la pandémie de covid-19. Le livre a été nominé pour un Prix Pulitzer et un National Book Award. Katherine S. Newman, Provost et Vice-Président Exécutif des Affaires Académiques de l'Université de Californie écrit“Avec des détails sans faille Américain Eldercidedénigre l'indifférence du gouvernement et l'échec de la réglementation pendant la pandémie. Les portraits poignants de personnes réelles nous mettent face à face avec des individus qui sont sous notre responsabilité. Ce livre puissant devrait être lu par tous ceux qui se soucient de la santé publique, du vieillissement digne et de la responsabilité du gouvernement
Jean Fourastié dans son ouvrage, dans la célèbre collection que sais-je : "La civilisation de 1960" (qui date de 1950) qui est un hymne à la Croissance, dans l'introduction mentionne cependant l'idée suivante, il dit que des pessimistes se rallient à "des slogans comme "Hitler a gagné la guerre" (en ce sens qu'il aurait imposé au monde sa conception de l'Etat et de la vie économique)
BEN ! VOYEZ ! ces "pessimistes" (Jean Fourastier, qui fut le créateur de la pensée des "technocrates" était sans doute aussi celui des bobos "anti-complotistes") avaient bien raison. Ce qui se passe depuis 2020 (et EN FAIT DEPUIS BIEN AVANT ! POUR QUI SAIT OBSERVER !) l'a bien montré!! il y a d'ailleurs une continuité entre sa pensée et Klaus Schwab
tiens ! c’est un peu ce que j’ai dit une fois dans ce journal, ça s’accorde aussi sans doute avec la pensée de Bernard Charbonneau. et avec les dénonciations de Jean-Marie Le Mené
oui, ce texte je l'avais écrit un an avant la crise politique et idéologique (car ce n'EST PAS UNE CRISE SANITAIRE !) actuelle, et même si j'étais largement plus pessimiste de le commun des naïfs, je ne savais pas à quel point j'avais raison !!!
Quant à la "crise climatique" (écoutez dans la vidéo ci-dessous comme elle est de nouveau instrumentalisée par la mafia de Davos !) c'était de même que le Covidisme (et que l'hystérique campagne anti-tabac qu'on nous martèle depuis trente ans, qui était un test pour voir si on pouvait culpabiliser soumettre et décérébrer toute une population par la Peûeûeûrrrr !) un plan pour soumettre la totalité de l'humanité en un nouvel "esclavage antique" l'esclavage deux point zéro où les téléphones portables et les QRcodes remplacent les colliers de fer
(bon, le gars est un peu "approximatif" Poutine et Trump "sauveurs de l'humanité" ! ils Poutine, objectivement, comme dirait un marxiste, je veux bien comme le fut l'URSS en 44, mais Trump plus typiquement américain tu meurs ! demandez à Maduro et aux vénezueliens pour voir si il est un "sauveur" ! )
par contre ce n'est pas pour rien que NOS MAÎTRES du grand capital, et donc une de leurs bras armés l'UE, veulent INTERDIRE tout ce qui ne leur rapporte pas des PROFITS (et tout ce qui pourrait ressortir de la libre vie des personnes) - élémentaire mon cher Watson ! - tout se tient ! on revient vous le voyez TOUJOURS aux principes d'analyse marxiste ! le marxisme c'est le bon sens même, (pour ceux à qui le seul nom de MARX donne "des cloques sur la poitrine" lisez La Fontaine, ça peut suffire !)
et ici un lien à une vidéo censurée qu'on n'a pas le droit ni de télécharger ! ni d'intégrer dans un blog !!
mort "mystérieusement" (en fait pas du tout ! c'est très clair) le 19 juin 1986 -
Le jeudi 19 juin 1986, sur le trajet à moto le ramenant de Cannes à Opio, Coluche est accompagné de deux amis. Coluche roule à vitesse modérée (selon l’expertise, à environ 60 km/h au lieu des 90 km/h autorisés).
Sans aucun motif apparent, un poids lourd lui coupe brusquement la route en effectuant une manœuvre criminelle, un virage sec à gauche coupant la route.
L’humoriste ne peut rien faire pour éviter la collision, sa tête percute l’avant droit du camion, un choc qui lui est fatal.
C’est ce qui se passe quand un humoriste dérange trop les puissants et, à priori, cela continuera encore en 2015 et les années suivantes ! Demandez l’avis de Dieudonné.
Quid de la mort de Coluche ?
Les médias ont menti depuis le début, car ils n’ont rapporté que la version du chauffeur du camion, mais jamais la version des deux amis de Coluche, Ludovic Paris et Didier Lavergne, qui étaient quelques mètres derrière lui, à moto, et qui ont tout vu : le chauffeur a braqué au dernier moment en plein milieu d’une ligne droite pour écraser Coluche, qui roulait à 60 km/h, alors que la version du chauffeur et de la télé, c’est que Coluche roulait très très vite, comme un fou, et se serait encastré dans un camion dans un virage, car il n’aurait pas eu le temps de le voir.
Didier Lavergne: <<Je suivais Coluche à deux, trois mètres, pas plus. Nous étions presque roue dans roue. Le camion a tourné sans mettre son clignotant, sous le nez de Coluche>>.
France-Soir le 20 juin 1986 (comme quasiment tous les médias): <<Derrière lui, ses deux amis, Ludovic Paris et Didier Lavergne, n’ont rien vu, leur pote était déjà mort quand ils sont arrivés à sa hauteur.>>
Didier : <<Ah mais, c’est complètement faux ! J’ai tout vu. C’est même moi qui ait indiqué aux gendarmes l’endroit précis où la tête a heurté. J’ai vu la tête, boum, elle a heurté l’angle du phare. Lorsque le camion est arrivé à la hauteur de Coluche, tout d’un coup, le chauffeur a braqué la cabine sous son nez. À un mètre ou deux près, il aurait freiné>>.
Tous les journaux ont écrit: <<Quand ils sont sortis du virage, le camion était déjà en travers.>>
Didier : <<Mais c’est ça qui est faux ! Moi je l’ai toujours dit, le camion venait droit vers nous. Et il était loin.>>
Coluche était un motard chevronné, et n’était ni bourré ni drogué ce jour-là d’après les analyses scientifiques officielles.
Ses deux camarades (qui étaient quelques mètres derrière lui) ont immédiatement freiné quand le camion a soudainement braqué, preuve que la version officielle est un énorme mensonge: il y avait largement la distance et le temps pour s’arrêter et ne pas rentrer dans le camion.
Didier (trois mètres derrière Coluche) : <<C’était pas limite du tout. Je me suis arrêté sans faire de traces sur le bitume, et sans tomber…devant la cabine du camion. Michel, lui, n’a pas freiné parce que le camion lui a claqué la porte au nez. Et Michel ne pouvait avoir d’autre réaction que celle qu’il a eue, parce que c’est un réflexe de motard. Un réflexe, c’est quand t’as pas le temps de réfléchir.>>
Ludovic (dix mètres derrière Coluche) : <<C’était un bon freinage quoi, pas en urgence. On n’allait pas vite, encore une fois, ON N’ALLAIT PAS VITE>>.
Didier : <<il roulait vers nous, ça j’en suis sûr. Parce que ça aussi…il aurait été arrêté, et puis il aurait tourné et fait la manoeuvre quand on est arrivés, bon, peut-être que je me serais posé moins de questions. Mais là, c’était comme s’il avait fait exprès, pour nous foutre en l’air, tu vois.>>
Une expertise scientifique ordonnée par le juge Renard avait prouvé que le chauffeur avait menti sur la vitesse de la moto.
Mais le juge est un des fameux juges francs-maçons liés au "Milieu" de Nice, mis à la retraite d’office quelques années plus tard dans le plus grand scandale concernant la justice depuis des décennies : il a choisi (sur ordre ?) de ne garder que la version du chauffeur, et d’éliminer 2 des 3 témoins, qui n’ont pas été entendus lors du procès !
Le chauffeur travaillait ce jour-là non pas pour son employeur, mais à son compte et, comme par hasard, il transportait des gravats provenant du chantier de la gendarmerie de Grasse.
Et la Gendarmerie de Grasse
C’est à un barrage de la gendarmerie de Grasse, à la sortie de Valbonne, que les amis de Coluche qui étaient à moto quelques minutes derrière lui se sont heurtés, seulement dix minutes après que le camion ait heurté Coluche.
Un barrage, alors que les secours n’étaient pas encore arrivés à Opio sur le lieu de drame ! Depuis combien de minutes ce barrage était-il en place ?
Didier et Ludovic ont effectivement trouvé très étrange qu’aucun véhicule ne soit passé sur les lieux du drame entre le moment de l’accident et l’arrivée des secours.
Pendant de très très longues minutes, la route était totalement déserte. Il a fallu attendre plusieurs dizaines de minutes pour que les secours arrivent, alors qu’au bout de 10 minutes la gendarmerie de Grasse avait déjà mis en place un barrage.
Très étrange, non ?
Non seulement les médias nous ont caché tout ça, mais en plus ils nous parlaient d’une livraison anodine dans un camping … totalement inexistant en fait à cet endroit là.
Encore des mensonges.
Après “l’accident”, ce chauffeur ne s’est à aucun moment occupé de Coluche couché par terre contre le camion. Non, il voulait juste signer le constat !
Abracadabrantesque.
Encore plus abracadabrantesque, quand on se souvient que, dans les médias à l’époque, dans les jours qui ont suivi l’accident, il nous était présenté comme un homme bouleversé qui aimait Coluche !
Encore des mensonges.
Didier: <<Attends ! Mais le chauffeur, c’était incroyable ! Ça aussi, ça m’a choqué… Il est pratiquement sorti tout de suite avec les papiers pour faire le constat, c’est insensé !
Le type qui voit un mort au sol et il attend avec sa sacoche et ses papiers pour faire le constat, c’est un truc de fou. Il ne s’est jamais approché de l’homme qui pouvait n’être que blessé par terre, c’est ce qui m’a choqué le plus. Tu vois il marchait en tenant sa pochette derrière comme ça.>>
Didier s’est adressé au chauffeur : <<T’as vu qui t’a mis par terre ? C’est Coluche !” Et il n’a pas fait de commentaire. Il ne s’est pas plus approché pour avoir un geste de compassion humain… C’était très bizarre.>>
Pourquoi Coluche aurait-il été tué ?
Tous ceux qui ont rencontré Coluche à cette époque sont unanimes : il s’apprêtait (selon ses propres termes) à <<hurler sa pourriture au monde>>. Il était en train de préparer un nouveau spectacle au vitriol pour la rentrée, au Zénith de Paris, dans lequel il allait taper très très fort sur Mitterrand et sur la gauche caviar qui ne faisait rien contre le chômage, et, surtout, il allait parler de Mazarine.
Il connaissait tous les secrets du tout-Paris (politique, show-biz,…) grâce à son secrétaire personnel, Jean-Michel Vaguelsy. <<Je vais les secouer, je vais les allumer tous !>> répétait-il souvent. << Jusque-là, on a bien rigolé, mais ils n’ont encore rien vu : cette fois, ils ne vont plus rire du tout.>>
Trois jours avant sa mort, le 16 juin 86, Coluche déclarait à Michel Denisot : <<Les hommes politiques vont recevoir. Lors de mon dernier spectacle j’avais fait peur à certains hommes politiques, mais là, je vais carrément leur faire honte.>>
Dans un magazine télé en 1986 à propos des hommes politiques : <<Un pour tous, tous pourris.>>
Mitterrand et le PS étaient probablement effarés à l’idée que l’homme de gauche le plus populaire en France allait passer les deux années avant la présidentielle de 1988 à les attaquer impitoyablement.
Et Mitterrand (à l’époque) faisait tout pour empêcher qu’on parle de sa fille (des centaines d’écoutes illégales, harcèlement physique quotidien de Jean-Edern Hallier par des agents secrets en civil pour le rendre fou; quand il racontait ça tout le monde le prenait pour un parano…mais cela a été confirmé des années plus tard lors du procès des écoutes).
Quasiment tout ce que Coluche avait écrit et enregistré a disparu selon sa dernière compagne Fred Romano : <<Je n’ai jamais su trop quoi penser de cet accident, ce qui est certain c’est qu’il était en pleine préparation d’un spectacle explosif, les bandes étaient enregistrées et elles ont disparu comme par miracle après l’accident, j’aurais aimé savoir ce que contenaient ces bandes….>>
Didier Lavergne : <<Il y avait une balle encadrée dans son bureau avec écrit : “La prochaine sera pour toi”. C’était clair. C’est-à-dire qu’on lui avait annoncé que s’il faisait trop chier, on allait le descendre.>> Et depuis son retour sur scène en 1985, il recevait à nouveau des menaces de mort régulières, des balles, des lettres,… Il faisait aussi chanter l’Union Européenne et ses stocks faramineux de nourriture, ainsi que des grands groupes de l’agro-alimentaire, une dizaine de chantages de ce genre en tout, pour obtenir plus de nourriture pour les Restos du Coeur.
Il réussissait là où les politiques ne faisaient rien ou si peu, et en plus il allait s’attaquer au chômage, donc faire honte à la classe politique par des actions concrètes et par ses mots dans son spectacle à la rentrée 1986. Il était en passe de discréditer les hommes politiques français.
Coluche pensait qu’ils étaient trop cons pour pouvoir le tuer, comme le dit un de ses proches dans le livre.
Comment les médias ont-ils pu mentir à ce point ?
Les dépêches venaient de l’AFP, agence de presse dépendant de l’état, où travaillent au moins quatre membres des Renseignements Généraux; plusieurs sont reproduites et analysées dans le livre, et c’est là que l’on retrouve la gendarmerie de Grasse : c’est d’elle que proviennent toutes les informations reprises par le journaliste de l’AFP.
Sur les faits, dont plusieurs sont carrément inventés : on invente des témoins qui racontent avoir été doublés par Coluche et ses amis <<à une vitesse impressionnante>>, alors que, je le rappelle, l’expertise scientifique a prouvé que Coluche roulait à 60 km/h.
Et manipulation psychologique : on insiste bien lourdement sur le fait que Coluche était un champion de vitesse à moto. Et une fois les deux témoins amis de Coluche entendus…par la gendarmerie de Grasse, une seule phrase de leurs longs témoignages subsiste dans la dépêche qui en fait mention, le 20 juin au matin, mais rien sur leurs accusations envers le chauffeur du camion.
Fondamentalement, les médias n’ont pas enquêté.
Au procès, 99% des médias étaient absents ! Et les seuls présents, comme l’AFP et France-Soir, se contentaient de répéter la version totalement incohérente du juge, qui a réussi l’exploit de dissimuler que la version des amis de Coluche était l’exact contraire de la version du chauffeur : il a fait comme s’il n’y avait qu’une seule version et aucune contradiction.
Mentir par omission, désinformer par inaction, c’est très facile, et ça arrive tout le temps, il suffit de lire le Canard Enchainé chaque semaine, puis de regarder le JT pour voir comment ça marche.
Quel hasard de constater que Daniel Balavoine, Coluche et Jean-Edern Hallier, les trois artistes qui ont le plus enquiquiné François Mitterrand, sont morts dans des accidents survenus à point nommé.
maintenant rappelons son historique candidature à la présidence de la république :
Représentation unique au Gymnase. Le 30 octobre 1980, Coluche donne une « matinée » exceptionnelle, pour un parterre choisi. Il vient de s'asseoir derrière un guéridon posé sur le devant de la scène. Il porte sa salopette, mais pas le nez rouge. Il a ajouté à sa tenue une chemise à carreaux jaunes et noirs, un foulard et des mocassins jaunes. Coluche est en civil.
Il ne propose pas non plus son spectacle habituel. Ce qu'il a à dire aux journalistes, aux équipes de télévision qui occupent les premiers rangs, tient en peu de mots. Il est officiellement candidat à l'élection présidentielle. Il vient « semer la merde ». Précipiter sa « plaisanterie à caractère social » dans le débat national. (...)
Le 29 octobre, Cavanna a fait paraître dans Charlie un entretien dans lequel le futur candidat expose ses motivations. « Je me présente pour tous ceux, affirme-t-il, qui subissent la politique, qui bossent toute leur vie, sont exploités jusqu'à la moelle, et n'ont que le droit de regarder de loin comment ça se passe (...). » Son programme ? « Faire un bras d'honneur à tous, aux malfrats de la droite, aux rigolos de la gauche. » Pour l'avoir trop attendue, il en veut d'ailleurs plus à la gauche qu'à la droite. Cavanna s'inquiète qu'on puisse détecter dans la croisade coluchienne des relents poujadistes. Coluche ignore toujours le sens de ce mot, et apprend l'existence, à cette occasion, de Pierre Poujade, parti en guerre, en 1956, contre l'impôt et l’État, avec, précise Cavanna, « un paquet de petits commerçants et de vieux fachos ». Leurs deux noms seront souvent réunis, dans les semaines à venir. Celui du gosse de Montrouge et celui du papetier de Saint-Céré.
« J'en ai rien à foutre, répond Coluche, j'étais pas né. J'ai pas besoin de Poujade pour savoir qu'en France, on ne demande qu'à bosser, mais (...) qu'on en a marre de payer des impôts pour nourrir des flics qui nous regardent comme si on était des étrons de chien et qui nous tapent sur la gueule. » Suit un rêve étrange : « Un flic, ça devrait être un pote qui te ramène à la maison quand il te trouve bourré dans la rue. (...) On devrait se dire : chouette, voilà le gars (...) qui va me dépanner, qui va me sourire et sécher mes larmes. Un flic, ça devrait être la Providence. » Cavanna opine, quand même dubitatif.
Coluche réaffirme qu'il s'adresse aux abstentionnistes, aux non-inscrits, aux mal-aimés du système électoral et social. Il devrait réaliser un score supérieur à 2 %. Au second tour, il conseillera à ses électeurs « d'aller tirer un coup ou d'aller à la pêche ». Il ne se désistera pas. Pas même pour le candidat socialiste. Cavanna s'inquiète encore : ne dit-on pas que cette candidature de la dérision serait « un moyen de diversion, un pipe-voix manipulé en sous-main » ? « Leurs magouilles, rien à foutre, tonne le candidat. Mon seul objectif : leur fourrer le doigt dans le cul à tous ! »
C'est encore un peu court. En dernière page de son numéro, Charlie publie l'appel solennel du candidat. Un « avis à la population », sur fond jaune, encadré de tricolore. « J'appelle les fainéants, les crasseux, les drogués, les alcooliques, les pédés, les femmes, les parasites, les jeunes, les vieux, les artistes, les taulards, les gouines, les apprentis, les Noirs, les piétons, les Arabes, les Français, les chevelus, les fous, les travestis, les anciens communistes, les abstentionnistes convaincus, tous ceux qui ne comptent pas pour les hommes politiques à voter pour moi, à s'inscrire dans leur mairie et à colporter la nouvelle. Tous ensemble pour leur foutre au cul avec Coluche ! » Un peu juste, toujours. Plusieurs journaux ont donné l'information, mais cette déclaration tonitruante et très libertaire fait, pour quelques heures encore, figure de blague.
« Je m'adresse à ceux qui ont voté à gauche pendant trente ans pour rien (...) Je m'adresse aussi à ceux qui ont voté à droite pendant trente ans pour rien non plus. Vous en connaissez, des promesses tenues ? » Il se présente pour « rappeler qu'on existe aux marchands d'espoir et de courants d'air ». Il invite à peu près tous les exclus à le rejoindre. Il sera le candidat « des faiseurs de patins à roulettes, des pédés, des nègres, des vieux qui ont une retraite de merde, des chômeurs qui sont un million et demi, des crasseux, des chevelus, des consommateurs de politique, ceux qui la subissent et pour qui on ne fait rien ». Comme prévu, Coluche brasse au plus large, à gauche, et à droite, loin derrière les partis de gauche et ceux de droite. Effectivement néo-libertaire et populiste, démagogue et généreux. Il renvoie, ce jour-là, tous les camps dos à dos. (...)
Comme il est plus représentatif, plus percutant que l'ensemble des « petits candidats » réunis, Coluche sert de pôle à une analyse sans complaisance pour cette Ve République apparemment exsangue. Tous les titres, quelle que soit leur tendance, y vont de leurs éditoriaux. « L'exécutif règne sans partage, écrit Edmond Bergheaud dans Le Figaro. Si bien que le citoyen moyen estime n'avoir d'autre moyen de contester l'omnipotence du pouvoir que de rechercher d'autres intermédiaires, quitte à tomber sur un Coluche. » Dominique Jamet, dans Le Quotidien de Paris : «Malheur aux petits partis en voie de constitution ou d'extinction ! Malheur aux pauvres ! Malheur aux individus ! Est désormais décrété marginal dans la vie politique tout ce qui n'appartient pas aux grandes formations. Tout a été délibérément, froidement, cyniquement organisé pour assurer la perpétuation de la bande des quatre .» (...)
Les experts en communication politique assurent désormais que Coluche, malgré l'intervention du C.I.C. (le Centre d'Intervention Civique hostile à la candidature de Coluche), et les inévitables pressions préfectorales, n'aura aucun mal à recueillir ses cinq cents signatures. D'autant qu'il a été rejoint, dès le début du mois de novembre, par une poignée d'intellectuels et que cela fait aussi quelque bruit dans Landerneau. Maurice Najman a ramené, un soir, rue Gazan, Félix Guattari, l'homme de l'antipsychiatrie, l'auteur, avec Gilles Deleuze, de L'Anti-Œdipe. Le philosophe de l'après-68, sympathisant des « autonomes » italiens jusqu'à l'assassinat d'Aldo Moro, favorable à la dépénalisation du haschisch, trouve immédiatement, à travers Coluche, l'exutoire de ses dernières désillusions politiques. En adhérant spontanément à un phénomène confus, que Coluche croit être encore une plaisanterie, l'intellectuel ne peut s'empêcher de parer cette campagne au nez rouge d'une dimension dialectique. suite ...
pour la rentrée 86 il avait prévu un spectacle "saignant" où il devait attaquer l'Establishment politique, ses magouilles et ses false flags comme jamais. Il n'a pas pu.
Dieudonné, le Béranger du 21èsiècle (celui du XIXè siècle; plus le REGIME d'alors le mettait en prison plus il devenait populaire ! jusqu'à entrer au Panthéon de la culture française, lui aussi. comme a dit qq : vous verrez d’ici quelques années on se souviendra de Dieudo comme d’un des plus grands résistants de son temps et les personnes qui normalement font l’histoire seront totalement oubliés. Quand certains d’entre eux seront jugés pour crimes et traîtrise envers le peuple français, ils diront, "je n’ai fait qu’obéir aux ordres !"*
Les vidéos qu'il a faites et publiées (j'espère au plus haut point que vous les avez toutes téléchargées et enregistrées et conservées précieusement dans votre ordinateur.) durant la crise des Gilets Jaunes, ce sont presque toutes des chef d'œuvre de la langue française, de force mordante, de sagacité d'analyse, elles entreront dans l'histoire. Un jour, quand la France sera redevenu un pays libre elles seront éditées parmi les petits classiques !
Un jour disait Robert Desnos,en 1942
Or, du fond de la nuit, nous témoignons encore De la splendeur du jour et de tous ses présents. Si nous ne dormons pas c’est pour guetter l’aurore Qui prouvera qu’enfin nous vivons au présent.
pouvoir au Peuple souhaite expliquer comment on est passé du compromis social de 1945, faisant pendant 38 ans (1945-1983) de la question sociale la problématique numéro 1 partagée par tout le champ politique,au triomphe actuel des seules questions sociétales bourgeoises, à la con : succès du féminisme haineux et bourgeois du Collectif MeToo. Du Racialisme : les noirs mieux que les blancs. De la pensée woke. Importance des « trans », etc. Et de la mise au rancart de la question sociale (et donc de la gauche) renvoyée dans le cimetière des questions ignorées,refoulées (pas innocemment du tout!) du débat politique.
Pouvoir au Peuple définit la question sociale comme le souci de donner un emploi à chacun, afin de lui assurer une sécurité économique minimale. Comme la volonté de relever les salaires de tous les salariés de façon globale, au même niveau voir plus que celui de l’inflation, grâce auretour de l’échelle mobile.Donner des aides sociales et un revenu minimum aux plus démunis, y compris aux jeunes de moins de 25 ans. Réduire de façon importante les inégalités sociales par un écart maximal de 1 à 6 des revenus.
En 1945, les résistants sont victorieux des allemands, et rédigent le programme du Conseil National de la Résistance. Le patronat français est affaibli pour avoir collaboré avec les allemands. Dans ce contexte est voté en France de nombreuses mesures sociales que l’on appelle : le compromis de 1945.
Le Ministre du Travail communiste Ambroise Croizatest à la manœuvre. Son biographe notre ami hélas décédé Michel Etiévent écrit sa biographie : « Ambroise Croizat ou l’invention sociale », édition GAP, 1999. (etBernard Friot!)
Ambroise Croizat est un fils d’ouvrier né dans la Cité des Maisonnettes de Notre-Dame-de-Briançon en Savoie. Il est militant CGT. Responsable de la Fédération des Travailleurs de la Métallurgie-CGT, initiant et menant les luttes de son secteur. Il parcourt la France, gagnant sa vie en vendant La Vie Ouvrière. En 1936 il devient député communiste de Paris. Pendant la guerre, il est résistant. Et connait les affres du bagne à Alger de 1939 à 1943. Il rédige le volet social du futur Conseil National de la Résistance. En 1945, il devient Ministre du Travail du gouvernement du Général De Gaulle.
Ambroise Croizat impose cinq réforme majeures :
-La réforme établissant un régime général de sécurité sociale en France
-La création des comités d’entreprise avec droit de regard consultatif sur la vie économique de la structure le 22 février 1945.
-La retraite par répartition.
-Le relèvement substantiel des bas salaires.
-La création d’un véritable service public de l’emploi, on parlait alors de « service de la main d’œuvre », dont on sort avec un vrai poste de travail en Contrat à Durée Indéterminée. L’ambiance régnant dans ce service de la main d’oeuvre est sympathique et bon enfant : rien à voir avec Pôle emploi actuel.
Ses réformes, il les impose parce que les patrons sont affaiblis par leur collaboration éhontée avec les nazis. Mais aussi, il faut le savoir, parce que les militants communistes résistants conservent leurs armes non remises à la Libération. Surtout dans le nord de la France. Ces armes sont très importantes : elles créent un rapport de force silencieux: les patrons n’ont nullement envie de céder et d’appliquer les réformes sociales de Croizat. Mais ils savent que s’ils refusent, les communistes les obligeront à le faire avec leur carabine. Comme dit Pierre Bourdieu : il n’y a pas de loi sociale sans mouvement social préalable, qui ouvre un nouvel espace des possibles.
Ambroise Croizat n’est pas le seul à s’intéresser à la question sociale : c’est le cas aussi de l’Abbé Pierre, ex député MRP, célèbre pour son appel de l’hiver 1954. C’est lui qui fait construire les premières maisons Emmaüs pour les sans-abris, où il fait 13 degrés : on se reportera à l’excellent livre rédigé par Denis Lefebvre : « les combats de l’Abbé Pierre », édition Cherche-Midi, 2011). Pierre Mendès-France, président du Conseil en 1955, a aussi un programme politique très social. Jean-Edouard Jeanneney, ministre du travail centriste en 1968. Georges Pompidou,qui ne dort plus la nuit en 1967, parce qu’il y a 400 00 chômeurs. Il demande un rapport à François-Xavier Ortoli et Jacques Delors, membre du Commissariat général au Plan. Ce rapport qui propose des créations d’emplois, sert de matrice à tous les accords de branches professionnelle du moment : sidérurgie, chimie, …Résultat : le chômage diminue à50 000 demandeurs d’emploi en 1968.
Autre initiative l’échelle mobile des slaires, c’est-à-dire l’augmentation des salaires automatique selon l’inflation. Dans son livre intitulé : « Les hauts revenus en France au XXème siècle », édition Pluriel, 2001, Thomas Piketty montre comment les hauts revenus sont imposés à 40% de leurs revenus. Et surtaxés chaque année à titre exceptionnel, entre 1960 et 1980, toujours au titre de l’impôt sur le revenu. Cette majoration peut aller de +7,5% à +25%. C’est grâce à ces majorations que le Gouvernement Pompidou peut financer une politique de hausses salariales pour toute la population au travail. Aujourd’hui, le taux d’imposition est à peine de 21%, selon Alternatives Economiques.
Le célèbre Programme Commun signé en 1972 par Georges Marchais et F. Mitterrand prévoit de nouveaux droits aux travailleurs, la retraite à soixante ans, un relèvement des salaires, même une forme d’autogestion dans les entreprises etc…
On le voit : entre 1945 et 1983, la question sociale est considérée par tous les partis politiques de droite et de gauchecomme la question numéro un. C’est l’époque, où les enfants des classes populaires, pensent à juste titre, qu’ils auront une vie meilleure que celle de leurs parents.
Arrivela contre révolution conservatrice libérale des années 1980. Afin de lutter contre leur taux de profit en chute libre, la Bourgeoisie décide de l’ouverture des frontières et de la mondialisation féroce des échanges. Résultat : le capitalisme mondialisé occidental génère un chômage et une pauvreté de masse d’une ampleur inouïe : 1 million de chômeurs en 1980. 2 millions en 1988. 3 millions en 1997. 6,5 millions aujourd’hui selon la DARES. 15 millions de personnes vivent en dessous du seuil de pauvreté selon mes calculs. L’écart entre les salaires passe de 1 à 20 dans les années 1960 à un écart de 1 à 400 aujourd’hui
Le succès de Reagan et Thatcher aux Etats-Unis et Grande –Bretagne est recopié en France parMitterrand, grand ami de Thatcher.A compter de 1983, les « socialistes » imposent au Peuple français l’austérité à vie, et la suppression de l’échelle mobile: c’est à dire l’indexation des salaires sur les prix.
Les relations particulières Mitterrand/Jean-Marie Le Pen
La vérité est que Le Pen père et Mitterrand entretiennent des relations particulières. Comme écrit Thierry Meyssan : « le président François Mitterrand est issu du Parti socialiste. En réalité cet homme a débuté comme collaborateur des nazis. Il est décoré pour cela par le maréchal Philippe Pétain, mais parvient à le faire oublier. Il n’a pas évolué dans ses opinions, mais les a développées parallèlement à ses nouvelles.Il n’a jamais rompu avec ses amis d’extrême-droite. L’un d’entre eux est son directeur de campagne lors de son élection à la présidence de la République et le suivit discrètement à l’Élysée : François de Grossouvre.Mitterrand mène une vie comparable à celle d’un schizophrène : il a même deux familles, une femme socialiste et une autre d’extrême-droite. C’est une personnalité d’extrême-droite qui est à la tête de la gauche unie.
Arrivé au pouvoir, Mitterrand prend en main une fédération de chapelles néo-fascistes, le Front national (FN). Ce minuscule parti a été créé sur instruction du général De Gaulle. Il s’agissait pour lui de rassembler ce qui restait des collaborateurs nazis et des terroristes de la guerre d’Algérie sous les yeux des services secrets. Après l’assassinat du chef du FN, François Duprat, un agent patenté des services secrets en Afrique, il est remplacé par Jean-Marie Le Pen, député. Jean-Marie Le Pen a la charge de rassembler toutes les chapelles d’extrême-droite et de veiller à ce qu’elles n’intentent rien de préjudiciable à la République (cf article rédigé par Thierry Meyssan : Les français ne se parlent plus, 12 juillet 2022, Réseau Voltaire).
Mitterrand commence à le financer avec les fonds secrets de l’Élysée, via un compte bancaire suisse » (Les français : citoyens ou simples électeurs ?Réseau Voltaire).
De façon machiavélique, Mitterrand autorise en 1984 Jean-Marie Le Pen, Président du Front National, , à passer à la télévision. On rappelle que le Front National a obtenu 0,75% des voix en 1974. Et n’a pu présenter de candidats en 1981, faute d’avoir obtenu les 200 signatures nécessaires, analyse Thierry Blin dans son livre : l’Invention des sans-papiers, édition Presses Universitaires de France, 2010. Ce qui montre combien ce groupuscule politique n’est pas représentatif du corps social français, ni de ses problèmes de fin de mois.
Pourtant, et comme explique avec lucidité le sociologue Pierre Bourdieu dans son livre : Propos sur le champ politique, édition Presses Universitaires de Lyon, 1998, Le Pen père impose sa nouvelle opposition français/étrangers en lieu et place de la vieille opposition riches/pauvres. Voilà ce que Pierre Bourdieu écrit :
« Personne ne peut contester que tout le champ politique français, y compris le PS, le PC… a été transformé par l’existence de Le Pen. Il n’y a pas de politique qui n’ait pas accepté, reconnu en fait l’existence de Le Pen, en réagissant aux propositions de Le Pen : par exemple, en substituant, - chose très grave mais qui est passée inaperçue- à l’opposition riche/pauvre, qui était fondamentale dans la politique, l’opposition national/étranger » (sic) page 118.
On n’a pas oublié le propos de Fabius, le même qui a liquidé les fiefs industriels du nord et de l’est de la France, provoquant une explosion du chômage de masse, lorsqu’il était Premeir Ministre de Mitterrand : « Le Pen pose de bonnes question mais apporte de mauvaises réponses » : soit une façon d’accepter le nouveau clivage étranger/français.
S’il avait été un responsable de gauche sincère, il aurait dit à Jean-Marie Le Pen : « votre question est certes intéressante. Mais moi je me bats pour que les salariés aient de meilleures fins de mois. C’est la question sociale qui doit primer et non la question raciale »(sic). Au lieu de quoi, il accepte du même coup le dynamitage de la question sociale voulue par Le Pen père, pourtant très minoritaire dans l’opinion.
Et comme le dit très bien Pierre Bourdieu, cette mise à mort de la question sociale est passée inaperçue dans les têtes et dans les cœurs.
La fin du « partage » de la valeur ajoutée et de l’idéologie politique du « partage » :
Pendant les « 30 Glorieuses », le Peuple français a eu droit à un certain « partage de la valeur ajoutée » entre le facteur Travail et le facteur Capital. Tandis que l’idéologie du partage était validée par tous les partis politiques. Le Peuple français a eu des bribes de la croissance. Entre 1959 et 1979, les salaires augmentaient en moyenne de +2,25% par an. Mais avec le succès de la contre-révolution mondialiste occidentale, à compter des années 1980, Reagan, Thatcher, les augmentations de salaires se tassent : entre 1980 et 2018, elles sont à peine d’1% par an. Résultat : dans le partage de la valeur ajoutée, le travail perd dix points par rapport au Capital.
Comme dit Alain Accardo : « Le partage de la valeur ajoutée dans les années 1960 était une façon pour le système capitaliste de procéder à de nécessaires redistributions, sans lesquelles le mouvement social deviendrait explosif, et risquerait de coûter plus cher au classes dominantes », (type Mai 68). Aujourd’hui, avec la fin de l’URSS et de tout projet révolutionnaire, « comme on est passé du Deux (capitalisme/communisme) au UN(capitalisme) », comme dit Alain Badiou dans son livre : Notre mal vient de plus loin. Penser les tueries du 13 novembre, édition Fayard, 2016 :eh bien, il n’y a plus de partage de la valeur ajoutée, sauf sous forme de salaire au mérite.
Et Accardo d’ajouter : « les inégalités sociales, liées à l’appartenance de classe, sont si bien acceptées, si peu discutées, qu’on en arriverait presque à croire qu’elles sont naturelles » (sic). « Le petit-bourgeois préfère être petit dans le camp de la Bourgeoisie, que chez le Peuple ». Si Sartre estimait « qu’il ne faut pas désespérer Billancourt », « la Classe ouvrière n’a cessé de perdre son rayonnement et sa capacité à mobiliser de l’énergie sociale autour de son projet émancipateur révolutionnaire, au profit d’une petite-bourgeoisie, qui voit de renforcer ses perspectives d’ascension sociale au sein du système ».
A compter des années 1980, on assiste à une baisse gigantesque des salaires réels :
Mais ce n’est pas tout : comme analyse Madame Annie Lacroix-Riz dans sa vidéo intitulé : « les parades du patronat à la baisse tendancielle du taux de profit » : « on assiste à une baisse des salaires réels massives. La redistribution par le budget de l’Etat permet de donner notre argent des impôts aux seul riches : par exemple le CICE. La pression gigantesque sur la masse salariale freine la baisse du taux de profit. Il en résulteun appauvrissement de strates sociales qui, jusque-là vivaient très bien. Un professeur certifié, qui gagnait 2 SMIC dans les années 1960 ne gagne plus aujourd’hui qu’1,20 SMIC.
Comme dit de façoncynique le patron de Peugeot : il n’y a pas de limite à la baisse du coût de production (coût du travail). De plus, le Peuple français n’a plus d’organisation de défense, comme il a pu en avoir après-guerre ( PCF, CGT)»Et on ajoutera : le Peuple subit le reflux des espérances révolutionnaires post-68 ardes. Reflux orchestré par le septennant Mitterand à partir de 1983. La domination du capital est totale.
Naturellement, Pouvoir au Peuple conteste catégoriquement la légitimité du clivage français/étrangers imposé dans les années 1980, à des fins de désorienter les consciences. Renvoyer dans les limbes de l’impensé la question sociale jusque-là numéro une dans les têtes et les cœurs. De la même façon, Pouvoir au Peuple conteste catégoriquement le primat des seules questions sociétales : féminisme petit-bourgeois du Collectif MeToo. Racialisme. Pensée woke. Importance des « trans », etc. Tandis qu’est mis au rancart la question sociale renvoyée dans le cimetière des questions ignorées, refoulées du débat politique.
En accord avec la pensée du grand Ambroise Croizat, Pouvoir au Peuple veut refaire de la question sociale la question numéro une du champ politique français, qui doit réoccuper le centre du jeu politique pour le bien de tous.
Tel est l’objet des 9 propositions sociales du Programme Pouvoir au Peuple
ce que Jean-Dominique MICHEL décrit à la 37e minute depuis un sicle et demi on sait comment ça s'appelle, ça s'appelle la LUTTE DES CLASSES ! - a-t-il peur d'appeler les choses par leurs noms ? ou bien lui manque-t-il une culture marxiste (il est pourtant archi-cultivé) ? c'est pourtant le bon sens même, et aussitôt qu'on analyse avec les mots justes tout devient limpide, et rationnel.
quand à ce qu'il décrit à la 57e minute, ben, c'est une "société sans classes" comme la définit Karl Marx !
oui il faudrait comme il dit à la 58e minute que lorsque qu'un nouveau Klaus Schwab arrive tout le monde éclate de rire, comme dit Dieudonné "nous somme sous attaque, nous vous demandons de vous diriger vers le refuge du RIRE"
finalement tout est à revisiter, maintenant avec la perspective on découvre la continuité (deux : celle liée à la lutte des classes et celle des dérives idéologiques et psychologiques du modernisme prométhéen)....
Le fascisme, comme l’avait déjà décelé Bertolt Brecht, est inhérent au capitalisme. On en a souffert un premier accès dans les années 30, quand la bourgeoisie a eu peur des bolchéviques, en 45 on s’est crus, libérés (à tort, faute d’en avoir identifié les vraies causes, à tenir en garde, lisez Zygmunt Bauman, lui a compris), après 3 décennies de liberté et d’humanisme revenu, le temps de Prévert et de Marie-Josée Neuville, Brigitte Bardot, et tant d’autres, on y est retombés (mutatis mutandis bien sûr, mais il faut savoir voir l’essence de ce monstre à travers ses avatars du moment, et n'oubliez pas que les fascismes étaient déjà scientistes, technocrates et eugénistes) autour de l'avidité pour les profits de la 5G (pour un contrôle total des gens, on est au coeur du fascisme là) et des vaccins. Finalement les beaux jours des années 50, 60, et même 70, n’auront été qu’une éclaircie passagère, avant l’hiver final.*(1)
l'avenir, hélas ne fera que confirmer ce que je dis là
Souvenez-vous Hitler a commencé comme ça : en faisant peur aux allemands devant un mythique danger communiste autour de l'incendie du Reichtag, la première vague fasciste était centrée sur le nationalisme et sur la peur du communisme, celle-ci sur la peur sanitaire, mais c'est donc les mêmes ressorts psychologiques et du côté de l'Etat oppressif et du côté des citoyens devenus avec bonne volonté des esclaves soumis et confiants. Et toujours la peur du regard d'autrui pour contraindre tout le monde à OBEIR !
«Danger − Vous êtes conditionnés à voir votre liberté comme de l'égoïsme!» étaient visibles dans la foule."
Un manifestant interrogé par Ruptly s’est dit «inquiet pour [ses] enfants». «La peur est un excellent moyen de domination», a-t-il assuré. https://francais.rt.com/international/80498-angleterre-affrontements-entre-police-manifestants-anti-confinements https://francais.rt.com/international/80498-angleterre-af...
et voici un lien pour re-re-regarder tous surtout TAL SCHALLER vous exposer ce projet fasciste (concocté depuis déjà une vngtaine d'années) leur fascisme 2.0 :
(plus généralement : Hitler en a rêvé, le grand capital NWO calviniste l'a fait. "L'esprit de la modernité" disait Zygmunt Bauman analysant le nazisme, vous voyez à quel point il avait raison ? En fait c’est logique et naturel, les gens d’après 1945 avaient refusé de le voir, de le comprendre, ils se sont rassurés et ont « caché la poussière sous le tapis » en présentant Hitler comme un fou, les nazis comme des extra-terrestres venus tout à coup - et sans raison ! - d’une autre planète. Absurde évidemment ! Il suffit d’un peu de bon sens. Le nazisme était la conséquence LOGIQUE du mouvement intellectuel depuis le milieu du XIXè siècle (même 1832, relisez « le médecin de campagne » de Balzac! j’ai fait un billet là-dessus).
Les évènement récents devraient permettre d'identifier une TENDANCE LOURDE du nazisme (au sens large), tel que l'a défini Zygmunt Bauman, dans l'évolution sociale et idéologique, et psychologique du monde moderne, et avec laquelle on n'a pas fini d'avoir à faire, loin de là ! au contraire !
et à l'endroit où ils expliquent que Rockefeller interdit tous les traitements à base de plantes, pour qu'ils laissent la places aux médicaments fabriqués à partir du p pétrole (c'est à dire lui apportant de gras profits ! + plus puissance totalitaire) n'oubliez pas que plusieurs des réformes du régime de Vichy ne furent pas révoquées à la Libération mais que nous les avons toujours ..... Ce sont entre autres : l'instauration de la carte d'identité - et pire elle est devenue biométrique, avant qu'avec les rfid, ou encore pire les smart dust, on la rende encore plus totalitaire ! - la création du GNIS avec interdiction de resemer ses semences si elles ne sont pas au catalogue, et puis la suppression du diplôme d'herboriste - tiens tien ! de quoi on parlait là justement ? -
revenons à l'aspect psychologique du fascisme :
ci-dessous une clinicienne s'interroge sur ces problèmes d'un point de vue psychologique :
*(1) "les restrictions de libertés qu'on nous promet pour toujours, hein, pour toujours !" :
il appert de plus en plus que l'époque actuelle est du même ordre que 1933
En fait cette "tendance longue" de l'histoire est encore plus longue que ça. il faut en revenir à la vue de l'histoire humaine par Marx (et oui ! on s'apperçoit de pus en plus qu'il faut toujours en revenir à lui ! quoi qu'on die...) selon lui 1 ) "L'histoire des hommes n'est que l'histoire de la lutte des classes" et 2° il avait identifié trois stades : celui où les exploiteurs avaient réduit la classe laborieuse à l'ESCLAVAGE, puis ce fut le SERVAGE, puis le PROLETARIAT, mais ce qu'il ne savait pas, forcèment, c'est que après vient une quatrième vague, l'actuelle, dont la vague fasciste des années 30 était le commencement - le FASCISME 1.0 - et qui vise l'Etat (capitaliste, "corporate power") mondial à la Jean Monnet (lisez les citations de ses carnets dans le livre "j'ai tiré sur le fil du mensonge et tout est venu"), le New World Order, et la mise (la remise, puisque qu'il y a déjà eu l'esclavage antique puis le servage) en esclavage 2.0, esclavage total de l'humanité par les téléphones portables, passeport sanitaire, puce RFID, UBER-isation de l'emploi, disparition de l'argent liquide, caméras de vidéo-surveillance à chaque pas, endettement, "Great Reset", et tout ça.
(Et qu'on ne nous parle pas d’incompétence ! ceux qui le font sont ou des naïfs ou des alliés dissimulés de pouvoir : Lorsque l’on comment directement et indirectement délibérément des crimes, en obéissant à des ordres et à une logique et qu’on remplit correctement les ordres venus d’ailleurs au lieu de respecter sont mandat électif et la volonté et l’intérêt de la Nation qui doivent seuls tenir lieu d’ordres et être la seule mission, on est aucunement incompétent, on est un criminel. Mettre les crimes sur le compte de l’incompétence est un moyen rusé d’exciser, d’innocenter et de semer la confusion dans les esprits.
pour la Résistance écoutez aussi l'intelligente, noble, pragmatique mais courageuse Farida Belghoul (elle nous montre aussi comment sont les VRAIS musulmans, pas comme les agents du wahabisme ou de la DGSE ....)
Hélas la France est mal-barrée ! encore pire qu'en 40, comment arrêter de pareils fous pervers et délirants ? Je suis cerné de personnes "bien pensantes" qui sont convaincues que la "4eme vague" et les mesures qui en découlent sont la faute des non-vaccinés ! Comment remettre les gens dans la logique et le bon sens ? La manifestation passe juste à leurs yeux pour un caprice de complotistes...
relisez l'article du psychiatre Frédéric Badel, que j'ai publié il y a quelque temps (la population française est maintenant divisée en deux groupes)
Fake news sur la mort du Professeur Jean-Bernard FOURTILLAN. POURQUOI ? 1/ pour empêcher de lancer au niveau national les précommandes du patch transdermique DetoxPatch, un complément alimentaire physiologique. 2/ entraver les négociations et les contrats avec des investisseurs étrangers. 3/ décrédibiliser l’image du Professeur Jean-Bernard FOURTILLAN aux yeux de MR. Robert Kennedy Junior au cas où il penserait prendre le Pr. Fourtillan comme un de ses conseillers. 4/ mettre fin à l’espoir de plusieurs millions de personnes malades. Autrement dit après avoir gagné la totalité des procès contre l’ANSM devant la Cour Administrative de Bordeaux le 2 mars 2023 ainsi que devant le Conseil d’État le 10 novembre 2023, pour Sodeval, le Fond Josefa, l’Association des malades MALUVAL, la société va enfin donner naissance, développer, commercialiser le patch transdermique développé lors des essais scientifiques avec plus de 155 témoignages sur les bienfaits sur plusieurs maladies dites auto-immunes. Ainsi que lancer plus 50 biothérapies avec pour base un des compléments alimentaires physiologiques. Il annonce aujourd’hui publiquement que Jean-Bernard FOURTILLAN est bien vivant. Il annonce également continuer ses combats et même les intensifier grâce à la justice qui sera rendue ! À très vite pour des nouvelles retentissantes.
"La résistance ira jusqu’à la désobéissance, en particulier face au nouveau ministre de la Santé Yannick Neuder qui a prôné lundi une « stratégie de vaccination des soignants et des Français beaucoup plus agressive » ! Pfizer écrit donc ses discours…
Honte aux députés PS et RN qui ont refusé de voter la motion de censure ! Contrairement à eux, nous combattons cette déclaration de guerre vaccinolâtre : Les Patriotes prendront comme toujours leurs responsabilités et organiseront s’il le faut la désobéissance totale et collective, avec vous ! le grand capital et Big Pharma ne passera pas !
voyez que la "démocratie participative" ce n'est nullement la panacée ! le conseil de quartier Saint Merri du 4e arrondissement de Paris lance une pétition honteuse à l’encontre de Giuseppe Belvedere Ils demandent une prise en charge psychiatrique et médico-sociale de cet homme parfaitement sain d’esprit, (ça se fait beaucoup maintenant, n'est-ce pas !... ) particulièrement cultivé et doté d’une rare empathie.
Nous relançons une fois encore les pétitions afin qu’on fiche la paix à ce vieil homme dont le seul tort est en fait celui de nourrir les pigeons : ce dont se sert la mairie du 4ème pour faire oublier qu’elle n’a jamais envisagé de construire de pigeonnier contraceptif (subventionnés et installés dans 13 arrondissements sur 20).
Avec ou sans Giuseppe Belvedere, les pigeons continueront de proliférer dans le centre de Paris. Et c'est bien et sympa !
Merci de laisser Giuseppe (sur)vivre tranquillement avec ses pigeons ! et redonnez-lui son appartement !
et n'oubliez pas aujourd'hui on GAZE les pigeons. Auschwitz c'est là et maintenant , et avec VOTRE ARGENT, vous êtes complices
comme Béranger, comme les insurgés (armés et violents) de 1830, Christophe Dettinger ne s'est pas battu seulement pour lui-même mais pour tout le monde, pareil le pasteur Trocmé. Pareil Eric Montana
Aux ami(e)s, aidants et soutiens de Giuseppe Belvedere !
Nous espérons que vous êtes content de vos fêtes de fin d’année et que le père Noël a été généreux avec vous et votre famille <img src="https://static.xx.fbcdn.net/images/emoji.php/v9/t2/1/16/1f60d.png" alt="
on peut l'aider il y a une cagnotte et un groupe sur face de bouc
Plus généralement comme a dit le Dr Louis Fouché on est dans une situation qui va susciter des héros. Et hélas il en faudra !!!
et il va falloir s'organiser et se cultiver non seulement l'esprit retrouver les valeurs, morales et intellectuelles, et le courage et lla ruse (souvenez-vous de mon article Chats et humanisme (en Espéranto Katoj kaj Humanismo)
mais s'organiser, en effet ;
si les bolchéviks l’ont emporté c’est parce qu’ils étaient organisé avec un projet sérieux et sur lequel ils se sont unis en sachant exactement à quoi ils allaient être confrontés
il va falloir reprendre des leçons chez les bolchéviques, et pas seulement dans l'organisation, car 90% de ce qui se passe actuellement s'explique par la lutte des classes, pour le reste lisez Ariane Bilheran.