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21/12/2024

la fin de l'amour

http://zamenhof.blogg.org/la-fin-de-l-amour-a115557942

« Le soleil a rendez-vous avec la lune »

…….   
« ici bas souvent chacun pour sa chacune

chacun doit en faire autan » 

Eh oui ! il fut un temps où on trouvait normal que « chacun ait sa chacune », et réciproquement.

c'est loin tout ça
le temps où
on vivait en famille chaque jour par amour ou par nécessité en vue de rendre l'existence vivable tout simplement.

Mais maintenant, d’abord il n’y a plus que l’idée de deux chacuns ensemble ou de deux chacunes ensemble qui soit valorisée !
Et puis c’est l’époque où les femmes considèrent que "une femme sans homme c’est comme un poisson rouge sans patin à roulette".  Il n’y a plus que des hommes, à ne pas penser pareil, mais ils ne le disent pas ! ils sont bien trop complexés par le terrorisme intellectuel du temps, et crèvent en silence tout en disant « amen ».

Alors chacun (ici « chacun » = chacun et chacune) dérive tout seul avec « chacun son corps », réservé seulement pour les infirmières du pouvoir médical et le thanathopracteur du funérarium ; chacun s’agite tout seul entre deux métros et trois boites de conserves, entre son appartement de banlieue  et le crématorium. Maintenant le désir est invariablement décrit comme celui d’un chien pour un bifteck, la tendresse comme une violence, la beauté comme attentatoire à la dignité de LA femme, faire l’amour comme une perversion, la complicité comme une aliénation, l’attachement comme une maladie mentale !

Quand à l’amitié n’en parlons pas ! on a trop peur que ça puisse être accusé d’être sexuel, donc pervers, à une époque où même les enfants ne se tiennent plus par la main, pensez donc, les adultes !

En définitive la fameuse « libération sexuelle » qu’on nous a tant vantée n’a pas du tout libéré les relations entre les sexes, au contraire. Elle n’a servi qu’à renforcer le puritanisme, et à rendre les gens plus paranoïaques et plus constipés. Soit dit en passant, la pudeur du temps passé était finalement beaucoup plus saine que celle de maintenant. On cachait, que ce soit les choses, les mots, les désirs, mais on suggérait : çe qui donnait à la fois plus de confiance et de sécurité, et de liberté, et de convivialité. Maintenant on montre, on dit,  on enseigne, le tout le plus crûment possible, mais on interdit ! et, comme on est quand–même gêné, on se réfugie dans une sexophobie (qui ne s’avoue pas) crispée et paranoïaque, et on criminalise le désir ! Ce qui fait qu’au lieu d’être plus libérés on est plus complexés, et la société s’éteint sous une chape de peur et d’autocensure, et de perte du lien social (tandis que la suggestion permettait de faire cohabiter le désir et la  décence, et les contacts humains au niveau qu’on voulait bien). Ce qui suscite, ou le cynisme, ou l’hystérie criminalisatrice, et le fossé entre les êtres.
http://www.youtube.com/watch?v=k0ccz207jDs


Et en plus : http://www.bastamag.net/article2827.html

   

Bientôt la sexualité sera aussi interdite que le tabac, on commence à nous y préparer, le climat monte.
On parie?

   

on est bien dans cette société dénoncée par Marc-Edouard Nabe :

"Les asexués obsédés de sexe et qui ne baisent plus, ces filles qui portent des mini-jupes mais ont une burqa dans la tête " 

et par Israel Shamir :

" Enfants de la révolution vaincue de 68, nous étions libres d'aimer, de fumer, de penser et d'agir. Nous pouvions voyager et prendre l'avion sans être déshabillés à l'aéroport, et on ne nous confisquait pas nos gaudrioles.
Nous pouvions faire l'amour et fumer dans les cafés. Depuis, c'est la dégringolade; toute fumée est bannie, et la pensée libre a été incarcérée entre les barreaux du Politiquement Correct, et l'action politique réduite à l'inscription à des groupes sur facebook. L'amour est devenu un véritable champ de mines sous des lois victoriennes."

commentaire trouvé sur le net : "on prépare une génération entière de femmes qui crèveront toutes seules à 70 ans dans leur appartement, absolument toutes seules avec leur chat et leur sac Vuitton.
Et pour les hommes, ça sera pas mieux (solitudes, maladies insoignables pour cause de fin de la sécurité sociale programmée, suicides, conséquences de la consommation de drogues et d’alcool). Ma génération s’est tracée un avenir tout simplement sensationnel.
Là, je m’adresse aux hommes qui ont entre 20 et 35 ans, comme moi : si vous voulez vous faire une bonne idée de comment vivront les hommes de notre génération dans les années à venir, allez voir comment ça se passait pour la majorité des hommes en Russie dans les années 90 (longévité merdique, maladies dues à l’alcool, chômage de masse, misère, solitude généralisée...génération sacrifiée). Ça nous pend au nez ! Mais il ne faut pas que vouv vous en plaigniez, vous vous feriez traiter de fasciste !"

Souvenez-vous de Jean XXIII quand il était séminariste et qu’il faisait bien attention pour ne pas lever les yeux sur les filles, on lui avait apprit à « éduquer son regard » et à « maîtriser ses pulsions » comme on appelle ça maintenant !...
bref L’Eglise sortie par la porte est rentrée par la fenêtre. Les Talibans ont gagnés la guerre ! Regardez les images d’autrefois, les films, etc et vous verrez : la France en fait n’a jamais été aussi puritaine depuis 1 siècle et demi ! Maintenant tout ce qui est désir est tabou. A la rigueur on admet encore que des gens copulent (n’utilisons plus l’expression « faire l’amour », ce n’est plus du tout ça !...) mais à condition que ce soit purement mécanique (partenarial !) sans désir (surtout !) sinon c’est pervers ! Ils ne se rendent pas compte que c’est leur puritanisme qui est pervers, et qui est un refus de l’humanité et de la communication, et la peur devant les sentiments.

autre commentaire, fin novembre 2017 :

Maintenant que les femmes nous traitent de porc, il est évident que la poupée sexuelle est notre avenir à tous. Une amie me demandait comment nous les hommes ne devenions pas tous pédés avec la haine masculinophobe qui sévit. Sa question devient légitime.

15/12/2024

l'analyse du philosophe Michel Weber ou le fascisme 2.0 - depuis 2013 il savait que ça allait arriver

Il y a eu une criminalisation de la pensée, ça ne vous a pas échappé !

 

son récent livre : https://www.t-pas-net.com/libr-critique/chronique-michel-...

en 2013 il avait déjà annoncé ce qui se passe en ce moment :

Michel WEBER

Tocqueville (1835) a indiqué que la démocratie de marché pouvait facilement donner naissance à un totalitarisme mou. Depuis Mumford (1932), on sait que la technoscience donnera volontiers un peu de rigueur au tropisme fasciste. Où en sommes-nous ?

La crise qui se propage de proche en proche depuis 2008 est une crise qui est essentiellement politique et, en tant que telle, elle demande une réponse politique.

De fait, les observateurs avertis peuvent discerner la multiplication des signes d’une dérive fasciste, à la fois au niveau de la base et à celui du sommet de la pyramide sociale. D’une part, les idées fascistes sont de plus en plus courantes dans les milieux défavorisés (qui sont eux-mêmes en croissance rapide) ; d’autre part, elles sont de plus en plus explicites chez les technocrates — mais sous une forme tellement aseptisée qu’on pourrait, il est vrai, croire à leur parfaite innocuité.

Il est donc fort piquant de remarquer que le grand public est parfaitement ignorant de ce retour de l’extrême-droite. Il pressent certes l’imminence de l’effondrement sociétal mais il n’a absolument pas conscience de la nature exacte du danger. La réouverture de camps de concentration ou même la généralisation des conflits régionaux semble passer inaperçue. De même, le sens et la portée de l’existence d’apologies hollywoodiennes (au propre comme au figuré) de la torture demeurent entièrement mystérieux. Cette double tension est paralysante et anxiogène, ce qui fait le jeu de l’oligarchie : quoi de plus manipulable en effet que des individus dans un état de coma moral et politique ?

Pire, les acteurs sociaux les plus remuants, les militants et les universitaires pensent l’effondrement de la civilisation globalisée à partir de leur expertise et sont dès lors conduits systématiquement à manipuler des statistiques, parfois très convaincantes, mais qui comprennent la transformation sociétale annoncée sur le mode de la lente désagrégation d’un pan de la société. Le long terme est ainsi mis en perspective à partir d’une facette supposée cruciale.

Or, ce qui s’annonce c’est un effondrement total et abrupt des « démocraties de marché » à la faveur de l’emballement d’une de ces crises qui constitue, en synergie, la crise globale systémique. Peu importe la nature de l’événement déclencheur — une pénurie de dix jours de l’approvisionnement de pétrole, des émeutes de la faim dans des quartiers (ou des pays) « défavorisés », des macro-mouvements de population forçant les portes de la citadelle Europe, un accident industriel majeur, une nouvelle bulle financière, une vraie-fausse pandémie, une guerre inter-régionale ou même mondiale, … — la conséquence politique sera inévitable et immédiate : l’état d’urgence, c’est-à-dire le totalitarisme, ou le chaos absolu, c’est-à-dire la guerre de tous contre tous. Une guerre civile serait comparativement plus structurante.

L’enseignant-chercheur qui n’a pas oublié la leçon de citoyenneté magistrale que nous a laissé Victor Klemperer (LTI, 1947) se doit en conséquence de mettre en évidence deux dynamiques : premièrement, il faut montrer que la réponse à la crise globale systémique est bien d’ores et déjà politique et que, si aucune force ne vient entraver l’inexorable progression du capitalisme du désastre, il ne nous restera bientôt plus qu’à émettre des regrets carcéraux ou post-mortem. Deuxièmement, il faut discerner les pistes théoriques et pratiques qui sont susceptibles d’infléchir cette trajectoire dès aujourd’hui.

Michel Weber

Une première version de ce billet a été publiée ici : http://www.pauljorion.com/blog/?p=53721
Dernier ouvrage paru : De quelle révolution avons-nous besoin ?, Paris, Éditions Sang de la Terre, 2013. (978-2-86985-297-6)

Et n'oublions pas MICHAEL PARAIRE, lisez son article Covid 19 et Fascisme 2.0 dans son blog " un quart d'heure avec le penseur " http://leblogdupenseur.canalblog.com/archives/2020/05/02/...

Dans un Etat fasciste et totalitaire on connait déjà à l'avance quels seront  les résultats  : (!)

https://ruclip.com/video/sV7MRHL_OzI/covid-l%E2%80%99incr...

Enfance et Libertés, l'association : https://enfance-libertes.fr/

La culture , le sport , les loisirs , la créativité, la joie et la confiance ont fait place au repli sur soi , à la méfiance , au rabougrissement, au mépris envers les autres .
La vie que le grand capital et son gouvernement nous laissait n’était pas terrible , mais mon Dieu nous parvenions à peu près à l’embellir .
Aujourd’hui c’est devenu de la merde et ils nous interdisent d’en sortir .
Cela va se finir en révolte armée et ils joueront les étonnés . Si on pouvait les pendre comme au tribunal de Nüremberg !

"Covid 19 le grand Reset" de Claus Schwab est leur Mein Kampf

autre philosophe : https://odysee.com/@Dieudonn%C3%A9officiel:f/episode-161:0



08/12/2024

Des églises ouvertes et des cafés (où on pouvait fumer) partout - des caméras de vidéo-surveillance nulle part !

tiens, un autre problème qui fait que la vie en 1960 était beaucoup plus commode et moins stressée que maintenant :

Depuis lors le Grand Capital a fait mourir tous les magasins.

Ce qui veut dire ?

Ce qui veut dire qu'alors, jusque dans les années 70, il n'y avait nul besoin de faire ses courses à la semaine (voire plus si on commande par catalogue comme Maximo par exemple,  ce que les gens font de plus en plus, c'est plus reposant et on échappe à la soumission et à leurs immondes caméras de vidéo-surveillance! pour le mois entier),
on pouvait acheter les choses au fur et à mesure qu'on en avait besoin !
- Un saut dans les magasins de la ville, voire du coin, quelques minutes de promenade (pas plus que dans un parking d'hypermarché !),  et voilà !

Et on avait droit au sourire de la crémière (pas à la gueule des vigiles privés) ! ce qui change sacrément  les relations sociales et l'ambiance des journées, je vous assure !!!

Et on pouvait y envoyer les enfants, qui s'en faisaient une distraction, voire comme le raconte Elian-J Finbert le chien, dressé à aller acheter les croissants ! (et qui savait les compter !)

 

c'était LA FRANCE, c'était la Civilisation, c'était la vie normale

21/11/2024

à la sainte-Catherine tout bois prend racine

la résistance aussi

Manifestation le 25 Novembre 2017 à 14h aux Invalides

Madame, Monsieur
Nous le savons depuis quelques semaines maintenant, Madame Agnès Buzyn, Ministre des solidarités et de la santé, à placé au cœur du Projet de Loi de Financement de la Sécurité Sociale ( PLFSS) l’article 34 visant à étendre l’obligation vaccinale.
C’est avec regret et indignation que nous vous annonçons que cet article vient d’être voté à l’Assemblée Nationale le Vendredi 27 Octobre par 63 députés sur 75 votants.
Non, vous ne rêvez pas, ce sont bien 75 députés seulement qui ont choisi pour 66 000 000 de Français ! (pour rappel il y a 577 députés)
En plus de bafouer nos droits fondamentaux tels que le droit de disposer de son corps et le libre choix thérapeutique (loi Kouchner de 2002, code de Nuremberg).                                                                                      Le parlement vient de se priver d’un vrai débat démocratique, malgré la demande de plusieurs députés pour que celui-ci ait lieu.
Les amendements de retrait de l’article 34 ont tous été rejetés tout comme la proposition de Monsieur Dupont-Aignan de mettre en place une commission d’enquête ainsi qu’un moratoire d’un an sur cette mesure.
Comment peut-on voter une loi aussi importante qu’est l’extension vaccinale sans que députés et sénateurs n’aient eu le temps d’examiner en profondeur la question ? Sans qu’ils n’aient eu entre leurs mains les études, recommandations, mises en garde, avis des différents médecins et citoyens !

Seules les conclusions de la commission FISCHER ont été examinées, commission qui rappelons-le, a étouffé la parole du jury de citoyens et du jury de professionnels de santé la composant.
Nous rappelons que la Ministre veut obliger tous les nourrissons nés à partir de Janvier 2018 à se vacciner contre 11 maladies et cela sans qu’aucune épidémie ou urgence de santé publique ne le justifie . Les parents qui refuseraient de faire ne serait-ce qu’une seule valence ( la très controversée hépatite B par exemple) se verront refuser l’entrée en collectivités de leur enfant.

C’est un scandale !

Les parents sont totalement dépossédés des droits parentaux en terme de santé, les médecins se font voler leur rôle de prescripteur et pire encore, les enfants seront exclus de toutes collectivités comme s’ils étaient des parias.
De quel droit peut-on prendre une décision aussi grave à la va-vite ?

Attention ! La ministre a annoncé que cette loi ne concernerait que les enfants nés à partir du 1er Janvier 2018, mais ne nous leurrons pas, si le projet de loi de Madame Buzyn passe tel quel, attendons-nous à des amendements élargissant l’obligation aux enfants nés les années précédentes.
Sans parler des allusions à peine déguisées d’Olivier Véran, lors de la Commission des affaires sociales, sur le projet d’extensions d’obligations au vaccin HPV (papillomavirus) , y compris pour les garçons, alors qu’il est déjà hautement contesté pour les filles, retiré de la vente en Autriche et au Japon. Remis en cause auprès de l’EMA au Danemark par rapport à sa sécurité , et que plus de 1000 professionnels de santé en France demandent depuis plusieurs années un moratoire sur ce vaccin.

A l’heure actuelle, personne ne sait encore si ce vaccin a la moindre efficacité pour prévenir un cancer du col de l’utérus… ( alors ne parlons pas d’autres préventions fort improbables ).  Comme toujours, le gouvernement a fait la sourde oreille quant aux propositions et doutes affichés par les nombreux citoyens, professionnels de santé et députés.

La Ministre persiste à marteler que les vaccins sont tous  efficaces, bénéfiques, nécessaires et sûrs, que les adjuvants sont inoffensifs et que toutes les études le démontrent (ce qui est clairement faux).

Avec monsieur le rapporteur général, Olivier Véran, ils remettent même en cause les études menées par le Professeur Gherardi, en affirmant qu’il s’agit d’un débat franco-français et que la pathologie décrite par M. Gherardi n’est pas reconnue par l’Organisation mondiale de la santé, et qu’il n’existe aucun cas ailleurs dans le monde.

Pourtant plus de 12 pays ont détectés des pathologies très similaires à la Myofasciite à Macrophage de part le monde, et des chercheurs de nombreux pays pointent du doigt la sécurité toute aléatoire des adjuvants aluminiques. Si on admet que l’adjuvant aluminique peut induire des troubles cognitifs, donc une atteinte neurologique chez des adultes, qu’en est-il des vaccins pédiatriques sur des nourrissons en pleine évolution neurologique, motrice, et d’apprentissages fondamentaux ?

En réalité la polémique sur l’aluminium remet en cause complètement la sécurité des vaccins sur ces 20 dernières années au moins, et si elle est tant controversée, c’est qu’il n’y a pas que les industriels pharmaceutiques qui se sentent concernés par la toxicité neurologique de l’aluminium , il y a aussi les industriels de la cosmétique et de l’agro alimentaire .

Ce point est d’un enjeu considérable.

Rappelons que sur les 11 vaccins que la loi prévoit de rendre obligatoires, 8 sont adjuvantés sur aluminium. De plus, comme si cela ne suffisait pas, en supprimant l’article L3116-4 du Code de Santé Publique qui prévoyait une peine de 6 mois d’emprisonnement et jusqu’à 3750€ d’amende, Les parents réfractaires seront dorénavant menacés par l’article 227-17 du Code Pénal qui dit que « le fait, par le père ou la mère, de se soustraire, sans motif légitime, à ses obligations légales au point de compromettre la santé, la sécurité, la moralité ou l’éducation de son enfant mineur est puni de deux ans d’emprisonnement et de 30 000 euros d’amende ».

Ce que ne nous dit pas la Ministre, c’est que les enfants ne seront pas les seuls à pouvoir se retourner contre les parents en cas de maladie suite à une non-vaccination !

En effet, toutes administrations, médecins, P.M.I., assistants sociaux etc pourront déposer plainte contre les parents qui ne feront pas vacciner leur enfant contre la totalité des 11 maladies, et cela peu importe que l’enfant soit en collectivité ou non, malade ou non !

Tout cela change la donne, nous sommes bien loin du discours de la Ministre qui se veut non punitif et en omettant sciemment de nous préciser ce “petit détail” elle a bien réussi à rouler dans la farine non seulement les citoyens et la presse mais aussi les députés !

la proposition de Monsieur Dupont-Aignan de mettre en place une commission d’enquête ainsi qu’un moratoire d’un an sur cette mesure. Pour autant, rien n’est perdu ! Le texte de loi doit passer par le sénat, qui espérons-le ne votera pas le texte en première lecture.

De plus, le conseil constitutionnel pourra également décider de censurer l’article 34 puisque nous vous rappelons que celui-ci présente toutes les caractéristiques du “cavalier législatif ” ; comme l’a rappelé madame Blandine Brocard les dispositions qui n’affectent pas significativement l’équilibre financier des régimes obligatoires et dépourvus de lien direct avec l’objet exclusivement financier du PLFSS sont systématiquement censurées.

Malgré le vote de L’Assemblée Nationale, il est totalement proscrit de se désolidariser. Nous devons rester debout, soudés unis et forts pour défendre les intérêts de nos enfants et des générations futures. Nous refusons de rester les bras croisés et continuons le combat !

Plus que jamais il est nécessaire d’élever nos voix en faveur de la liberté, en manifestant auprès du mouvement Ensemble Pour une Vaccination Libre le 25 Novembre prochain.Pour nous aider à financer l’organisation de la manifestation, vous pouvez dès à présent acheter vos t-shirts, badges et autocollants ou faire un don sur la boutique.

Les débats au sénat devrait débuter le 13 novembre, nous avons jusqu’à cette date pour convaincre un maximum de sénateurs du caractère inconstitutionnel de cette loi afin que le conseil d’état soit saisi. ( au moins 60 sénateurs ou députés)
Ainsi, nous vous demandons de continuer à les contacter en masse pour leur faire part de vos inquiétudes et demander la saisine du conseil constitutionnel.
Nous vous proposerons, très prochainement, une lettre à envoyer à vos députés et sénateurs. Par ailleurs nous vous demandons également de poursuivre la sollicitation auprès d’eux pour une demande de rendez-vous.

Nous vous invitons à venir manifester en nombre à Paris, le 25 Novembre 2017 à 14h aux Invalides, à l’angle de la rue de l’université, pour défendre nos libertés.

Il y aura au programme, des interventions de médecins et pharmaciens, des témoignages de victimes de la vaccination ainsi que de l’information. Nous vous attendons nombreux afin de faire entendre notre voix au gouvernement,
parce que
“LA LIBERTÉ EST UN DROIT, VACCINER EST UN CHOIX”.

Contrairement aux affirmations de la Ministre de la santé Agnès Buzyn, l’extension de l’obligation vaccinale s’accompagne de sanctions. Et de sanctions lourdes : 2 ans de prison au lieu de 6 mois et 30 000 € d’amendes au lieu de 3 750 €. La députée européenne, normalienne et agrégée de biologie Michèle Rivasi alerte sur cette dangereuse manipulation des députés et du public.

Le 18 octobre 2017, lors de leur examen du PLFSS 2018 et du vote de l’article 34 instaurant l’obligation des 11 vaccins, les députés en commission des affaires sociales ont aussi voté la suppression d’un article spécifique du Code de la Santé Publique (Article L3116-4). Ce faisant, en retirant cet article spécifique, c’est l’article général de « soustraction des parents à leur obligation légale » qui s’applique (Article 227-17 du Code Pénal), alourdissant les sanctions prévues en cas de non-respect de l’obligation vaccinale.

Le risque pénal est réel. Il a même été relevé par Eric Alauzet (LREM) dans son rapport sur le PLFSS 2018, où il se désolidarise de cette volonté d’obligation.

Michèle Rivasi : « Un mini-sondage préliminaire à la sortie de l’Assemblée Nationale nous a appris qu’aucun des 15 premiers députés interrogés n’ont conscience que les parents récalcitrants s’exposeront à 2 ans de prison et 30 000 euros d’amende. Ils pensent à plus de 60% qu’il n’y aura pas de sanction « comme l’a dit la ministre. »

Je suis très inquiète de cette désinformation qui s’installe. La ministre de la santé par exemple, en insistant sur la possibilité d’un enfant d’attaquer ses parents pour ne pas l’avoir vacciné, ne dit pas que n’importe quelle autorité sanitaire ou administrative pourra aussi faire un signalement et mettre en œuvre le Code Pénal. Pourquoi dissimuler une information d’une telle importance ?

De deux choses l’une. Soit la ministre de la Santé Agnès Buzyn ne veut pas de sanctions, elle est cohérente avec ce qu’elle dit, et dans ce cas le texte de loi intègre explicitement cette exemption en la rendant légale. Soit le texte sera voté en l’état, en maintenant cette épée de Damoclès dans le PLFSS 2018, et cela démontre que ses affirmations ne sont que de la poudre aux yeux, destinée à endormir les braves gens.

Je trouve le double langage du gouvernement d’autant plus choquant et scandaleux, que je vois aussi comment, en parallèle, s’organise peu à peu la déresponsabilisation des acteurs de l’acte vaccinal.

Qui est responsable en cas d’accident vaccinal ? Ce ne sont plus les fabricants. Ce ne sera plus non plus les médecins traitants ou les pédiatres dont le paiement à la performance intègre depuis fin 2016 les vaccins ROR et NEISVAC contre la méningite C. Ni les pharmaciens engagés dans l’expérimentation d’injections du vaccin anti-grippe, également rémunérés à l’acte vaccinal. Tous transfèrent à l’Etat leur responsabilité en se conformant à des campagnes de vaccination nationale et des objectifs de santé publique. L’irresponsabilité devient la nouvelle norme administrative.

C’est pourquoi, en écho aux voix parlementaires qui cherchent à discuter du bien fondé de cette extension vaccinale menée au pas de charge, je demande au contraire à nos élus de prendre leurs responsabilités en votant contre cette obligation vaccinale et ses non-dits. »

Contact Presse : Sébastien Barles 06 75 00 63 31

Source : alterinfo.net

18/11/2024

fascisme le retour ! - la haine du gros est une haine de classe

en Nouvelle-Zélande, comme d'ailleurs dans tous les pays anglo-saxons, et issus du puritanisme calviniste :

http://www.lepoint.fr/monde/trop-gros-pour-rester-en-nouv...

mais aussi en Espagne maintenant : Un tribunal espagnol retire un enfant obèse à ses parents… qui le tiennent caché! Voila qui relance la polémique sur le “fascisme sanitaire“, que dénonce le psychiatre Apfeldorfer. Retour sur une interview prémonitoire

 

Le psychiatre Gérard Apfeldorfer n’y va pas avec le dos de la cuillère pour avertir d’une pression ambiante envers les « déviants de santé », toujours plus marquée à ses yeux. Obèses en tête. Bloob l’interviewait au printemps de cette année sur une tendance qu’il dénonce comme un “fascisme sanitaire“.

« Fascisme sanitaire ! » L’expression est apparue la première fois en septembre 2008, sous la plume de Gérard Apfeldorfer, dans la lettre mensuelle du GROS (Groupe de réflexion sur l’obésité et le surpoids) : « le fascisme à l’ancienne, » écrivait alors le psychiatre, « faisait la chasse aux races inférieures ainsi qu’à leurs ferments qui polluaient le corps viril de la nation. Le fascisme sanitaire veut éradiquer les corps non conformes qui coûtent trop, qui ralentissent la production, qui découragent la consommation, qui font tache dans le paysage. »

Hygiénisme à l’américaine

En ligne de mire de ce premier texte, la vague d’hygiénisme musclé dans les entreprises des Etats-Unis, selon le mode « change ou tu es licencié », « change ou paie ton surcoût » etc… Le magazine Le Point venait de publier une belle enquête (toujours en ligne)  sur le sujet, avec force exemples. L’on pouvait y lire notamment : « Le plus dur à combattre, assurent les entreprises, plus que la nicotine, c’est l’obésité. »

 

Octobre 2008 ! Rebelote. Deuxième texte, titré « Fascisme sanitaire et déficit d’amour » . Entrée en matière explosive : « La République prépare la guerre » (évidemment…à l’obésité !).

Et c’est parti pour le feu d’artifice : « grande cause nationale », « surcoût chiffré à 15 milliards d’euros qui doublerait d’ici 2015 », « taxons les mauvais aliments », « solutions hygiéno-diététiques », 

"Manger de nos jours, dans l’optique des politiquement corrects, c’est comme l’amour chez les catholiques : il faut que ça soit exclusivement utile, sinon c’est péché, uniquement pour accomplir son dévoir – le devoir d’engendrer des enfants autrefois, et ici le devoir de se garder en bonne santé jusqu’au moment où on vous euthanasiera – et surtout pas par plaisir ! Verboten !" (RP)

« embrigadement sportif », « diabolisation des aliments »…
Le tout condensé ainsi par Gérard Apfeldorfer : « bonjour ostracisme et honte, bonjour culpabilité, bonjour compulsions et boulimies, bonjour aggravation du surpoids ! »

Intolérance, rejet et punition

Ce verdict enfin : « les solutions proposées, si maladroites, si simplistes, au lieu de soulager, ne peuvent qu’aggraver la situation de ceux qui sont déjà dans la souffrance. (…/…) quel dommage, que l’État français donne ainsi dans le fascisme sanitaire ! »  

Dix de der, en novembre dernier, avec le texte « Faut-il brûler les obèses »  ; occasion d’un genre de définition :

- « Le fascisme sanitaire en matière d’obésité, c’est l’intolérance exacerbée face à la différence physique, c’est la surveillance des déviations pondérales par le corps médical, c’est la moralisation et la diététisation de l’alimentation, c’est le rejet des personnes aux corps non conformes, ce sont des brimades et des punitions pour les récalcitrants. En attendant pire… »

Chasse aux déviants

(*) NDR… à mars 2009, car en mai paraissait “Fascisme Sanitaire 3″… sur la stigmatisation des obèses comme péril écologique planétaire, cause du réchauffement climatique!
D.B.

>> Quelques petits extraits supplémentaires de l’entretien

- Au risque de nouveaux « sous-hommes » ?

« Tout le monde doit être jeune, beau et lisse. Si on n’est pas en bonne santé, on travaille moins bien, on coûte trop cher, on est fautif… on a fait des choses qui ne sont « pas bien ». On n’est pas « moral », on est une « mauvaise personne ».

Il faut savoir aussi qu’avec un IMC supérieur à 45, on n’est déjà plus considéré comme vraiment humain. On apparaît « inhumain »… Et l’on est traité tel : soit l’on vous évite, soit on vous traite en objet… Les personnes très belles connaissent d’ailleurs le même problème, attirant les pervers, et éloignant les autres.


Bien sûr, pour le moment, c’est un fascisme policé, sans violence encore, que l’enjeu soit l’école, la famille, le travail, le sport etc. Mais faut-il attendre que les gens lancent des pierres dans les devantures de pâtisseries ?
»

- Pourquoi si peu de réactions à cette pression ambiante?

« D’une part, les gros font énormément de choses pour se faire accepter. Ils sont plus que conciliants, ils sont « compliants » (note: au sens “américain“, voir la wikipedia)  : ils se plient aux volontés des autres, s’effacent, s’oublient. C’est particulièrement vrai des ados qui peuvent être prêts à tout pour se faire accepter comme une personne… même de deuxième catégorie.


D’autre part, quand on est stigmatisé, on se dévalorise. La stigmatisation est justement réalisée quand sa victime reprend à son compte le discours la désignant, et dit « c’est ma faute, j’ai honte »…

La plupart des obèses sont dans la honte. C’est pourquoi leurs regroupements sont relativement rares. Alors qu’y participer est déjà une preuve de guérison. »

- Comment en sortir?

« Désormais, il faut surveiller, punir, corriger ou exclure. Ce n’est pas propre à la France, c’est très généralisé, et cela se développe de plus en plus.  C’est l’exemple des fumeurs aux USA : on fait des prises de sang pour vérifier si les salariés fument chez eux, et si c’est le cas, on les licencie… Attention alors à la marginalisation et la stigmatisation accrues, à la distinction entre « bonnes » et « mauvaises personnes, à la criminalisation…

 

EN FAIT

LA HAINE DU GROS EST UNE HAINE DE CLASSE

LA HAINE DU GROS EST UNE HAINE DE CLASSE

depuis que les bourges politically-correct du côté du manche sont plus maigres les uns que les autres (comme dans la Grande-Bretagne de 1984 imaginée par Orwell ce sont les membres des classes universitaires et supérieures qui sont "dressés" soigneusement à suivre la norme avec une obéissance rigoureuse et intériorisée !!) et marquent par leur maigreur le niveau élevé de leurs revenus leurs permettant des cures, sports, aliments à la mode, abonnements aux revues normatives spécialisées, etc, le fait (on ne peut plus BANAL et témoignant de la DIVERSITE essentielle et NATURELLE du genre humain) d'être "gros" ne se rencontre plus que chez les pauvres (et les "sans diplômes de l'enseignement supérieur, or dans la société actuelle en-dessous de la maîtrise t'es considéré comme un sous homme par nos maîtres maintenant !), aussi la haine du "gros" est devenu la nouvelle forme du racisme de classe anti-pauvres, plus virulent, et plus dogmatique que jamais.

 

 

 


 

31/10/2024

Halloween - pourquoi ?

Hallowen, fête anglo-saxonne, même si d'origine celtique, a été tout à coup imposée en France, très précisément par un essai à Nantes en octobre 1992, et l'année suivant 1993 comme ça a marché ça a été étendu à l'ensemble de la France, ce qui montre bien qu'il s'agissait d'une opération commerciale pensée organisée, massive et planifiée ! par qui ? ...... très bonne question non ?
déjà cherchons les motivations, il y en a qui sautent tout de suite aux yeux :


1° une raison impérialiste : américaniser le monde,


2° une raison marketing : créer un vaste marché de gadgets à vendre


3° une raison "psychologiquement correcte", des psycho-machin-chose de ce que j'appelle "la Secte des Adorateurs de la Mort" habituer les enfants à rire de la mort, des cadavres etc, à trouver ça "fun" marrant et pas tragique du tout, faire à l'avance son "travail du deuil" si chéri des psycho-machin-chose au pouvoir.


4° une raison anti-religieuse en général et anti-chrétienne (bref ce qu'ils appellent : "laïque" !) en particulier : faire disparaître de l'imaginaire du public l'association entre le 1er novembre et la fête chrétienne des morts, pour la remplacer par une association "fun" et anglo-saxonne qui fait vendre, et habitue les gens dès le plus jeune âge au satanisme et à l'atrait pour la mort, transformée en un truc "amusant" comme dans le roman d'Aldous Huxley "Le meilleur des mondes.

(et ça se confirme écouter Christian Combaz, à la minute 13, c'est une stratégie du Département d'Etat US

 

08/10/2024

le confineent n'avait pas de buts sanitaires mais politiques - ils l'avouent

achetez et lisez ses livres ! ils sont disponibles sur son site, et on peut payer par chèque, c'est donc un vrai humaniste et un vrai résistant ! https://philippejandrok.org/boutique/

05/10/2024

1948 : les premiers crimes des CRS

Il a fallu attendre 64 ans à leurs victimes pour être indemnisées.
Finalement Macron n'est pas pire que Moch !
Lisez comment on a traité le peuple travailleur à l'époque, à peine 3 ans après la fin de la guerre contre le fascisme !

7 octobre 1948 : Assassinat d’un mineur gréviste par les CRS. 65 ans plus tard, les mineurs réhabilités

3 textes :

-  1) 7 octobre 1948, mort du mineur Jansek (Brigitte Blang, PG)

-  2) 7 octobre 1948 à Merlebach. PREMIER BILAN SANGLANT DU TERRORISME D’ETAT CONTRE LES MINEURS EN GREVE

-  3) Norbert Gilmez réhabilité : "Ne jamais désespérer de la justice, mais savoir se battre" (1er mars 2013)

1) 7 octobre 1948, mort du mineur Jansek (Brigitte Blang, PG)

Cet automne-là, dans le pays, les grèves et les revendications se multiplient chez les mineurs de tous les bassins houillers ou ferrifères.

Depuis des années, les privations, le rationnement se sont installés. Les récoltes calamiteuses font flamber les prix. À cela, il faut ajouter un contexte politique et social décousu. La guerre froide a débuté. Les syndicats, surtout la CGT, contestent les différents gouvernements. Tensions exacerbées par un décret de Robert Lacoste, ministre de l’Industrie de Daladier, qui prévoit une baisse des salaires et annule les droits acquis par les mineurs après la Libération. Ce qu’on nomme « avantages », ils ne sont pas prêts à les abandonner. Des « avantages », une coopérative, une caisse d’aide aux familles, des garanties sociales, réparatrices de leurs si difficiles conditions de travail, et spécialement un salaire minimum ? Non ! Ils les ont durement arrachés, ces droits. Ils ont aussi contribué, par des actes de résistance, de grèves en manifestations, en refus de remonter la houille de la fosse, à précipiter la chute des nazis. « Pas de charbon pour l’ennemi ! » criaient les femmes dans les corons…

La grève est décidée par référendum, par quasiment 90% des voix exprimées. Elle gagne vite tous les bassins. Le référendum a posé comme préalable l’abrogation des décrets Lacoste, totalement illégaux en regard du Statut du Mineur, reconnu par l’Assemblée et la Constitution. Un statut que personne ne pouvait contester. Sauf le ministre de l’Intérieur, « socialiste », un certain Jules Moch.

Sans attendre la fin des négociations des grévistes avec le cabinet de Lacoste, Moch envoie des blindés et des CRS dans le Midi et en Lorraine. Plus de 50 000 hommes juchés sur des automitrailleuses sont déployés autour des fosses. La force des armes contre les mains des travailleurs… Le 7 octobre, à Merlebach, le mineur Jansek est abattu à coups de crosse par les CRS. D’autres tomberont à Alès, à Firminy. Partout sur les murs, on fait rimer CRS avec… SS. 20 ans après, d’autres s’en souviendront.

Très vite, le cinéaste Louis Daquin tourne un documentaire qu’il titre La Grande lutte des mineurs. Tout aussi vite, le film est censuré ! Ce qui n’empêche pas sa diffusion clandestine dans les ciné-clubs de la CGT, ou du PCF.

Après 56 jours de grève et des milliers d’arrestations arbitraires pour faits de « violence », 3 000 grévistes sont licenciés. Et 1 300 condamnés à de la prison ferme. Il va leur falloir attendre 2014 pour être réhabilités. Et indemnisés.

Brigitte Blang, PG

2) Il y a 65 ans, le 7 octobre 1948 à Merlebach. PREMIER BILAN SANGLANT DU TERRORISME D’ETAT CONTRE LES MINEURS EN GREVE

Oui, hélas ! C’était bien en France. Les mineurs étaient en grève depuis le 4 octobre 1948. C’était une grève des plus revendicatives, une grève légale décidée massivement et démocratiquement par un référendum. Qu’on en juge : sur un effectif de 259 204 mineurs, 243 702 exprimés, soit 94, 01 % des inscrits. Pour la grève : 218 616. Contre : 25 086.

Donc pour la grève : 89 ,79 % des exprimés. Avec les revendications sur les salaires, la sécurité, l’application de la loi sur les nationalisations, l’augmentation des retraites, il y avait en premier lieu posée par le référendum l’abrogation de la circulaire Lacoste du 13 septembre 1947, et des décrets du 18 septembre 1948 du même ministre Lacoste. Les circulaires et décrets étaient totalement illégaux, en violation flagrante du Statut du Mineur voté à l’unanimité par l’Assemblée nationale en juin 1946. La grève était un droit légal selon le Statut du Mineur et garantie par la Constitution. Nul ne pouvait s’y opposer.

C’est pourtant ce que fit Jules Moch, ministre de l’Intérieur. Alors que se déroulaient les discussions avec le ministre Lacoste (elles se sont poursuivies jusque dans la soirée du 5 octobre), Jules Moch dans la nuit du 3 au 4 octobre envoyait les C.R.S. occuper les bassins de Gardanne et de Lorraine. Jules Moch avait choisi la force préméditée, organisée et très vite, au 4e jour de la grève le 7 octobre 1948 à Merlebach, on déplorait la mort de Jansek. Tué par une balle perdue ? NON Tué par une balle tirée à distance sans sommation ? NON Tué par une balle tirée après sommation ? NON, NON, NON ! Mais sauvagement massacré à coups de crosses par des C.R.S déchaînés !

Alors pourquoi une telle sauvagerie ? On n’allait pas tarder à le savoir ; à Creutzwald, c’est un sous-lieutenant des C.R.S. de Clermont qui déclare qu’on les avait envoyés en Lorraine en leur disant que la population était hitlérienne. Il n’y a pas de mots pour qualifier à sa juste valeur ce mensonge ignoble, écœurant, meurtrier. Il faut se replacer dans le contexte de l’époque. On était en 1948, un peu plus de trois ans après la fin de cette terrible guerre. Elles étaient encore ouvertes dans les familles, les plaies causées par l’occupant hitlérien. Il était encore vivace le souvenir des atrocités subies, vivace le souvenir des souffrances, des emprisonnés, des torturés, massacrés ou fusillés, guillotinés, vivace le calvaire des déportés et toujours sous nos yeux les survivants des camps de la mort.

Je me demande parfois ce que j’aurais fait à l’époque si j’avais été parmi ces C.R.S. Aurais-je été entraîné par cette hystérie collective vengeresse en pensant à mon oncle Maurice battu à mort, à mon neveu Joseph fusillé à 22 ans ? Aurais-je frappé avec en tête ces strophes du Chant des Partisans : « Demain l’ennemi connaîtra le prix du sang et des larmes. » Je ne sais pas quelle aurait été ma conduite ? Ce que je sais, si j’avais participé à cela, c’est que lorsque j’aurais appris la vérité dévoilée à Creutzwald, j’aurais démissionné comme l’a d’ailleurs fait l’ex-commandant F.T.P.F. Rippert. Démissionner : facile à dire ? NON, je l’avais déjà fait en 1941, démissionnant de l’enseignement pour protester contre une injustice qu’on ne voulait pas réparer.

*** Dans un récent courrier à Madame LAGARDE, ministre de l’Economie, de l’Industrie et de l’Emploi, j’ai rappelé que j’avais pris conscience de la véritable nature des interventions policières, brutales, meurtrières lorsque j’ai appris que le 15 décembre 2005, une personnalité du monde juridique, le Procureur général de la Cour d’Assises de Douai, au procès de Lionel Dumont avait déclaré s’adressant à l’accusé : « Monsieur, vouloir imposer ses idées par la force, cela s’appelle du terrorisme. »

*** C’est par la force que Jules Moch voulait briser la grève, par la peur, semant la terreur avec des brutalités amenant la mort atroce de Jansek. Par la force, par la mort pour imposer ces circulaires et décrets illégaux de Lacoste. Le Conseil des Prud’hommes de Carvin, le 3 juin 1948, avait déclaré illégale la circulaire Lacoste du 13 septembre 1947, supprimant le salaire garanti. Et Lacoste avait été condamné à rembourser les mineurs du puits 10 de Leforest qui s’étaient mis en grève. Et c’est pour faire appliquer par la force cette circulaire illégale condamnée par un tribunal de la République qu’on avait tué Jansek !

Oui, c’était bien du terrorisme, et l’utilisation de l’appareil d’Etat, fait que c’est bien un TERRORISME D’ETAT. Les mineurs ont résisté à ce TERRORISME comme on se doit de RESISTER A TOUS LES TERRORISMES. (le covidisme par exemple ! la censure et la diabolisation des penseurs, des humanistes et des prix Nobel!)  Ils l’ont payé bien cher. Et pourtant la loi d’amnistie avec toutes ses possibilités y compris la réparation sur la base de la reconstitution de carrière ne leur est pas appliquée. Elle l’a été dans toutes les branches nationalisées, y compris au personnel civil du ministère de la Défense.

Les survivants licenciés restent exclus de la loi d’amnistie. L’article 13 de cette loi indique qu’en sont exclus : « les faits constituant des manquements à la probité, aux bonnes mœurs ou à l’honneur » C’était le cas des généraux factieux ayant porté les armes contre la France en Algérie ; un an après (la loi d’amnistie NDLR) le 23 novembre 1982, ces putschistes étaient réhabilités avec réintégration dans les cadres au titre de la deuxième section, une reconstitution de carrière. Et les mineurs licenciés des grèves de 1948 – 52, les rares survivants attendent toujours le décret d’application de la loi d’amnistie. Ils continuent de payer leur combat pour la légalité, leur résistance au terrorisme de l’époque. Il serait temps que cesse cette injustice ?

Norbert GILMEZ

2) Norbert Gilmez réhabilité : "Ne jamais désespérer de la justice, mais savoir se battre" (1er mars 2013)

Il est l’un des rares survivants parmi les milliers de mineurs condamnés en 1948 pour fait de grève. Grâce à la proposition de loi communiste adoptée mercredi au Sénat, il sera amnistié et devrait obtenir réparation. Résultat du combat de toute une vie.

« Les mineurs condamnés à l’occasion des grèves de 1948 et 1952 sont amnistiés. Un décret en Conseil d’État définit les conditions d’application du présent article. » C’est l’article 1er A de la proposition de loi sur l’amnistie sociale, déposée par les sénateurs communistes et votée, mercredi, par la majorité de la Haute Assemblée. Deux petites lignes qui valent leur pesant d’or pour Norbert Gilmez, puisqu’elles couronnent soixante-quatre ans de combat contre l’injustice. Norbert, quatre-vingt-onze ans, est l’un des derniers anciens mineurs encore en vie ayant pris part à l’un des épisodes les plus violents de l’histoire de la répression anti-ouvrière  : les grandes grèves des mineurs de 1948 et 1952. Après avoir payé un lourd tribut à la résistance au nazisme et avoir répondu, après la Libération, à l’appel à «  retrousser ses manches  » pour relever le pays exsangue, les gueules noires affrontent le gouvernement, qui tente de remettre en cause des garanties sociales, compensatrices de leurs dures conditions de travail, en particulier un salaire minimum. La répression, organisée par le ministre de l’Intérieur socialiste Jules Moch, sera terrible  : la troupe est envoyée, avec des blindés, les brutalités policières font six morts  ; deux mille condamnations à des peines de prison sont prononcées. Et trois mille mineurs sont licenciés, sans indemnités, chassés de leur logement, privés du même coup de Sécurité sociale. De surcroît, les Houillères s’emploient à leur barrer la route de l’emploi dans les autres entreprises. Norbert Gilmez, qui sera licencié le 5 décembre 1948 avant d’écoper d’une peine de prison, le dit aujourd’hui et le répète  : « Nous avons été victimes de terrorisme d’État.  » En 1981, la gauche arrivée au pouvoir donne un espoir en promulguant une loi d’amnistie couvrant notamment les grévistes de 1948. Mais elle ne s’accompagne pas, pour eux, de réparation des préjudices subis. D’où «  l’indignation  » de Norbert et de ses camarades quand ils apprennent, en novembre 1982, que «  les généraux factieux ayant pris les armes contre la France en Algérie étaient, eux, réhabilités et rétablis dans tous leurs droits, pension avec reconstitution de carrière  ». Une discrimination d’autant plus révoltante que Norbert n’oublie pas ses camarades qui, «  par dizaines  », sanction supplémentaire à la suite des événements de 1948, ont été dégradés militairement, alors qu’«  ils avaient un grade souvent issu des FTP  ».

Norbert Gilmez ne lâche rien. Début 2011, il témoigne encore devant le tribunal de Versailles. La cour d’appel condamne alors les Charbonnages de France à verser à 17 mineurs ou à leur famille une somme de 30 000 euros en guise de réparation pour avoir été victimes de «  licenciements discriminatoires  ». «  Le licenciement était triplement illicite, souligne Norbert Gilmez, le droit de grève était garanti par la Constitution, garanti par le statut du mineur, et le licenciement ne pouvait être prononcé que par une commission paritaire qui n’a jamais été réunie.  » Mais la haine de classe a la vie dure. Les Charbonnages se pourvoient en cassation. Et ils obtiennent gain de cause, en octobre dernier  : la condamnation est annulée. Depuis, le ministère de l’Économie a fait savoir, bon prince, qu’il a «  donné instruction  » pour ne pas réclamer l’argent versé aux 17 familles. Ces derniers temps, Norbert avait donc repris le flambeau du combat de sa vie. Il vient ainsi, dit-il, d’écrire à Mme Taubira (ministre de la Justice– NDLR) pour «  lui donner tous les éléments de ce qui s’est passé en 1948  ».

Le vote, mercredi, d’une nouvelle loi d’amnistie, et l’annonce d’un décret d’application rouvrent, semble-t-il, la perspective d’une réparation complète. «  Moi, sans ça, j’aurais eu une vie matérielle au moins trois fois supérieure à celle que j’ai eue  », fait valoir Norbert. «  Il faudrait qu’on se dépêche, avertit-il. On était encore 300 lors de la loi d’amnistie de 1981, on est 25, peut-être 30 maintenant. Ça ne coûtera pas cher à l’État…  » D’après ses calculs, «  ça ferait un petit 10 millions d’euros pour l’ensemble de ceux qui restent. À côté des 45 millions accordés à Bernard Tapie pour préjudice moral  »… Aucune somme, pourtant, n’effacera l’indignité subie. «  Il y a eu tellement de brutalités. Ma femme est restée complètement traumatisée, jusqu’à maintenant », confie l’ancienne gueule noire. «  On a été classés “mauvais Français”, déshonorés. On a passé toute notre vie dans le déshonneur.  »

Dans un courrier adressé récemment à l’Humanité, Norbert, «  au PCF depuis 1944  », plaidait  : «  Il est grand temps pour le gouvernement de gauche de réhabiliter les grévistes de 1948, de leur rendre justice par l’application de la loi aux survivants de cette corporation qui a toujours fait passer l’intérêt national avant tout, au prix des plus grands sacrifices, au prix du sang.  » Lui qui a «  toujours été contre l’injustice, viscéralement  », tire cette leçon du combat d’une vie  : «  Ne jamais désespérer de la justice, mais savoir se battre, être persévérant, obstiné.  »

Yves Housson,

 

31/08/2024

c'était une constante, on ne le comprend que maintenant - honte aux collabos qui se sont laissés transformer en meute de nazis !

Les dessous de la politique antitabac

L’immonde nazisme actuel qui réduit (pour le plus grand PROFIT du Grand Capital fabricant de « vaccins », qui en plus n’en sont pas vraiment, vous le savez j’espère ?) les non vaccinés, comme autrefois les non-aryens, au statut de sous-hommes (Untermensch) n’est pas nouveau, il avait été testé depuis trente ans, mais les veaux que sont nos concitoyens avaient refusé de le voir, et étaient entré dans le jeu de la « Kollaboration » et hurlé avec les loups. Vous comprenez maintenant que ce faisant vous avez construit votre propre cage ?

 

« Le fascisme n’est pas imposé par les fascistes, ils ne seraient pas assez nombreux, il est imposé par ceux qui acceptent d’obéir au fascisme » (D. Icke)

 

(un article de 2007)

Peut-être croyez-vous que l’interdiction de fumer sur les lieux de travail ou dans les restaurants a pour but de protéger les non-fumeurs ? Peut-être croyez-vous que la propagande antitabac a pour but de sauver la vie des fumeurs ? Peut-être répétez-vous que les fumeurs coûtent cher à la sécurité sociale ? Peut-être êtes-vous persuadé que le tabagisme passif est responsable de nombreux décès ? Si vous croyez tout cela et que vous le répétez à l’envi, vous êtes à votre insu un collabo de la nouvelle forme de pouvoir totalitaire nazi et sournois qui s’installe : la « démocrature ». Je ne vous demande pas de me croire. Ne croyez jamais personne mais réfléchissez et jugez par vous-même !

Protéger les non-fumeurs ?

S’il ne s’agissait que de protéger les non-fumeurs, aucune loi ne serait nécessaire. Notre système économique s’appuie sur la loi de l’offre et de la demande. Un restaurateur non-fumeur était déjà en droit d’interdire de fumer dans son établissement et d’y attirer un personnel et des clients non-fumeurs. Certains l’ont d’ailleurs fait bien avant la loi et c’était parfaitement leur droit.

Si l’Etat estimait qu’il n’y en avait pas assez, il lui suffisait d’inciter les restaurateurs à déclarer leur établissement non-fumeur par l’octroi d’une prime ou une réduction de la fiscalité. Ainsi chacun, restaurateur , client ou travailleur, fumeur ou non-fumeur, aurait pu effectuer un choix libre et, au lieu de se haïr, nos concitoyens auraient pu gérer leurs différences à l’amiable.

Trop simple, n’est-ce pas ? Trop logique pour des élus qui, en principe, devraient refléter les avis de toute la population !

C’est pourquoi toute personne intelligente comprendra que le but n’est pas de protéger les non-fumeurs mais de s’en servir à leur insu. Le véritable objectif est de restreindre les libertés individuelles et le droit à la propriété privée.

Car un restaurant, tout comme un lieu de travail, n’est pas un espace public. C’est une propriété privée, achetée à gros prix, dans laquelle l’entrepreneur a, de plus, investi beaucoup d’argent pour pouvoir y travailler et assurer son avenir. Il est donc normal qu’il soit seul responsable des décisions qui concernent son bien. S’il omettait de payer les cotisations sociales de ses employés, l’Etat serait d’ailleurs le premier à le sanctionner. Cette omission pourrait pourtant avoir pour cause la perte de clientèle orchestrée par les décisions irresponsables du gouvernement.

Nous verrons plus loin pourquoi nos dirigeants tiennent tant à restreindre la propriété privée et les libertés individuelles, mais poursuivons d’abord notre analyse.

Réduire le coût des soins de santé ?

Nombreux sont les citoyens qui croient dur comme fer qu’ils paient les soins de santé des fumeurs. C’est encore un des nombreux mensonges du gouvernement et un simple petit calcul peut vous permettre de vous en rendre compte.

Je l’ai fait pour la Belgique, puisque j’y vis, mais vous obtiendrez sans doute pour la France des résultats proportionnellement identiques. En 2004, le total des remboursements de frais médicaux pour l’ensemble du pays s’élevait à 3.790.030.000 € . Le ministre de la Santé insistait sur le fait que le tabac était la cause de 10% de ces coûts (ce qui n’est pas beaucoup quand on sait que les fumeurs constituent 30% de la population).

Sur un paquet de cigarettes à 5 €, le détaillant perçoit 0,40 €, le fabricant 0,581 € et l’Etat le reste, décomposé en "taxe de droit à la consommation" et en TVA. Le gouvernement touche donc plus de 4 € par paquet de cigarettes. Puisqu’il y a 3 millions de fumeurs en Belgique, pour une moyenne d’un paquet par jour, les recettes du tabac s’élèvent donc à 12 millions d’euros par jour, soit 4.380.000.000 par an, c’est à dire plus que le coût des soins de santé pour l’ensemble de la population. Et les fumeurs cotisent aussi à la mutuelle.

Si les recettes en provenance du tabac ne sont pas consacrées aux soins de santé, est-ce la faute des fumeurs ou bien celle des militants antitabac qui relaient sans aucun discernement les mensonges les plus grossiers ?

Les taxes sur les cigarettes et le tabac

Pratiquement chaque année, les gouvernements augmentent les accises sur le tabac. La dernière augmentation en Belgique date du premier janvier et elle est de 53 centimes.

"Bien fait pour eux" s’exclament les antitabac, s’imaginant avec une naîveté qui fait peine à voir qu’ils sont ainsi eux-mêmes épargnés.

Ce qui est faux car le tabac et les carburants ne sont pas repris dans l’indice des prix à la consommation et les taxes sur ces produits ne sont donc jamais compensées par des hausses de salaire qui pourraient bénéficier à tous les citoyens.

Pire, les 4 € par jour que chaque fumeur verse en taxes à l’Etat (et on a vu ce que ça faisait par an) échappent au chiffre d’affaires des commerçants qui ne cessent de souffrir de la baisse de pouvoir d’achat de la population. Si le commerce décline, les entreprises ferment et le chômage grossit. Et qui paie les allocations de chômage ? Seulement les fumeurs ?

Mais, me direz-vous, il faut bien que l’Etat prenne ses taxes quelque part. S’il ne les prenait pas aux fumeurs, il les prendrait ailleurs.

Sans doute, mais s’il les prenait sur des produits liés à l’indice des prix à la consommation, cette perte de pouvoir d’achat serait bientôt compensée par des augmentations de salaires, ce qui permettrait aux commerces de retrouver leur chiffre d’affaires et aux entreprises de continuer à produire de la richesse.

Pour le bien des fumeurs ?

Soyons sérieux ! S’il se souciait du bien des fumeurs, le ministre de la Santé n’aurait-il pas d’abord commandé une étude sur les risques inhérents aux comportements et produits de substitution que les fumeurs sont susceptibles d’adopter pour rééquilibrer leur vie en cas de sevrage ?

Nous vivons tous dans des conditions de stress et de frustrations accumulés : exigences de rentabilité, administration pesante, pertes d’emploi, baisse du pouvoir d’achat, multiplication des interdits et des obligations légales...

Chacun essaie de se rééquilibrer comme il peut. Les uns ne peuvent maîtriser des accès de violence qui tournent au vandalisme ou à l’agression, d’autres s’adonnent aux drogues dures, d’autres encore à l’alcoolisme, certains se suicident, d’autres enfin fument et ce ne sont pas les plus dangereux ni pour les autres ni pour eux-mêmes.

S’il se souciait du bien des fumeurs, le ministre de la Santé les désignerait-il à l’opprobre public ? Les contraindrait-il contre leur gré ?

Le tabagisme passif serait la cause de milliers de décès ?

Voilà encore une pseudovérité qui va bientôt apparaître au grand jour suite à une action en justice pour faire cesser les nuisances des campagnes antitabac. Je suis en train de contacter à cette fin un panel d’experts, professeurs d’université en médecine et en psychologie. Je les choisis de préférence parmi ceux qui sont déjà engagés dans la lutte contre le cancer ou pour le sevrage du tabac afin d’assurer la crédibilité de leur expertise.

Sans préjuger de celle-ci, nous sommes déjà cependant d’accord sur les points suivants :

1) Il existe effectivement un certain nombre de patients qui, sans avoir eux-mêmes fumé, présentent les mêmes symptômes que les fumeurs. Leur exposition à la fumée des autres est cependant difficilement quantifiable. Certains ont vécu dans l’entourage de gros fumeurs, d’autres n’y ont été exposés qu’épisodiquement. Par ailleurs, l’intervention d’autres facteurs que le tabac n’est pas à exclure. Ce sont les décès dans cette catégorie de patients que les militants antitabac annoncent comme victimes du tabagisme passif.

2) Tout médecin et tout psychologue connaît l’effet placebo et son correspondant négatif appelé "nocebo"... Je vous invite à taper "placebo" dans Google et à lire l’explication qu’en donne Wikipedia. Tous les experts sont d’accord sur le fait que les prédictions alarmistes en matière de santé ont tendance à produire le développement de la maladie. Tous les médecins et psychologues le savent mais peut-être pas le ministre de la Santé ?

3) Les études entreprises sur les méfaits supposés du tabagisme passif sont postérieures à la naissance de la propagande antitabac. Auparavant, il faut croire qu’on n’en ressentait pas le besoin.

4) Il existe une évolution dans le temps quant à la manière dont le public perçoit la fumée de pipe ou de cigarette. Dans les années 60, elle était rarement perçue comme dérangeante, de nombreux non-fumeurs la trouvaient même plutôt agréable. Aujourd’hui, elle provoque plus souvent la répulsion. Il s’agit là d’une manifestation psychosomatique qui tend à accréditer l’influence de la propagande sur le développement de maladies tant chez les fumeurs passifs que chez les fumeurs actifs.

5) Le nombre de fumeurs se tasse et le nombre de cancers augmente. Il faut donc incriminer un autre agent que la cigarette.

6) La nicotine et les additifs placés dans le tabac pour renforcer l’assuétude ne semblent pas provoquer la moindre dépendance chez le fumeur passif. Ceci démontre à tout le moins que les effets de la cigarette ne sont pas les mêmes pour les fumeurs passifs. Pourquoi alors développeraient-ils les mêmes symptômes ?

En conclusion, il est plus probable que les méfaits du tabagisme passif dénoncés par les propagandistes antitabac soient dus à la propagande elle-même plutôt qu’au tabac des fumeurs.
Relayer cette propagande est donc dangereux pour sa propre santé et pour celle d’autrui.

Pourquoi alors cette charge contre les fumeurs ?
Ils vont faire l’Europe. La Communauté européenne, c’est une population presque deux fois plus importante que celle des Etats-Unis et la plupart des nouveaux adhérents n’ont pas l’héritage culturel de la liberté que nous a apporté la Révolution française.

Pour gérer l’Europe, d’aucuns estiment qu’il faut un gouvernement fort et autoritaire.sans lequel les décisions supranationales ne seront jamais respectées dans les Etats membres.

Pour instaurer ce type de gouvernement, ils ont simplement pris exemple sur la dernière méthode efficace utilisée en Europe. Souvenez-vous qu’au cours des années 30, les nazis ont progressivement désignés les Juifs coupables de tous les maux, qu’ils les ont spolié de leurs biens , qu’ils ont petit à petit créé un climat d’intolérance à leur égard, les ont éloignés des lieux de travail, les ont rendus infréquentables aux yeux de la population qui, relayant le discours officiel, a collaboré à la mise en place d’un pouvoir dictatorial.

Aujourd’hui, les fumeurs sont présentés comme des pestiférés, comparés à des animaux, pris en photos assouvissant leur vice par un temps à ne pas mettre un chien dehors. Si l’interdiction sur les lieux de travail est absolue, même pour le fumeur qui occupe seul un bureau, c’est pour l’obliger à sortir et ternir son image, pour lui faire perdre plus rapidement son emploi aussi.

Chassés des lieux de détente, condamnés à vivre en exclus

(tiens tiens ! Ça me fait penser à quelque chose, de très récent, même totalement actuel ...)

et, sous la pression des taxes, à dégringoler d’une classe sociale, les fumeurs d’aujourd’hui sont dans la même situation que les Juifs des années 30.iVous croyez que leur sort est plus enviable parce qu’ils peuvent retrouver un statut normal en arrêtant de fumer ? Deux tiers ont essayé... sans succès.

Je ne veux pas d’une telle Europe, ni d’une telle Belgique, ni d’une telle France. L’Europe est une chance si elle reste démocratique et sait prendre ses distances avec le modèle anglo-saxon.

Hélas, ce ne semble pas être le cas. Les Chirac, de Villepin, Schroëder, Verhofstadt qui avaient osé s’opposer à Bush lors de la question irakienne (et on sait à présent combien ils avaient raison) ont disparu ou sont en perte de vitesse tandis que se profilent pour leur succéder un Sarkozy qui n’a jamais caché sa sympathie pour Bush et une Ségolène qui avoue son admiration pour Blair.

La seule réaction que nous pouvons avoir est d’offrir aux fumeurs et à tous les non-fumeurs qui souhaitent défendre leur liberté, l’occasion d’exprimer leur poids démocratique.

C’est pourquoi s’est créé en Belgique un parti politique qui prendra ouvertement la défense des fumeurs pour les législatives du 10 juin. Et je peux vous assurer, pour être en contact avec les gens lorsque je distribue mes affiches, que le vent de la contestation est fort. Si les médias nous relaient dans l’ensemble du pays, nous pouvons faire passer aux partis de pouvoir, et pour longtemps, le goût des lois liberticides.

 

Commentaire de : pierrarnard 29 janvier 2007 

Excellent article qui va a l’encontre de la bien pensance actuelle.C’est vrai que les fumeurs sont un bouc émissaire parfait presque autant que l’automobiliste. On les stigmatise mais c’est pour mieux les protéger mon enfants ! c’est pour leur bien...Les automobilistes tuent des qu’ils touchent un volant, les fumeurs tuent des qu’ils approchent un non fumeur, le bon citoyen est terrorisé. Mais heureusement l’état veille pour protéger le bon citoyen de tous ces méchants éléments subversifs. Et pendant ce temps on à dérogé pour utiliser l’amiante jusqu’en 1997 dans l’industrie. Manipulés, nous ????

 

15/08/2024

y'a que nous qui pouvons faire quelqu'chose pour nous

écoutez ce que nous disait Gilbet Bécaud en 1978, année encore civilisée, où la République existait encore et où la France était un pays libre et équipé, où les français jouissaient d'un niveau de vie et de droits qu'ils ont perdus depuis (ce serait trop long de les énumérer). "les gens" le plus beau mot de la langue française je trouve, le plus profond, intime, et existentiel.

Une chanson malicieusement rebelle et citoyenne, sa plus belle chanson peut-être, toujours  à méditer, et...

et en ces jours que nous vivons depuis quatre ans (et avant ! les gilets jaunes, ces victimes), où il va falloir apprendre à se soulever, à désobéir, à résister, à boycotter, à reconstruire, d'abords à l'intérieur de nous et puis autour, à reconstituer toute notre anthropologie, et toute notre culture politique (autour d'Etienne Chouard, Bernard Friot, Jean-Jacques Crèvecoeur) il est important de se souvenir que " y'a que nous qui pouvons faire quelqu'chose pour nous "


et puis retenez le nom de celui qui a CONCRETEMENT pensé et écrit les paroles : Franck Thomas, très doué, et sachant trouver pour chaque interpète les mots qui sortiront tous accordés à son style. (lisez toutes ses chansons, tous ses interpètes, si différents, sur Wikipédia)