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la Paix ne pourra revenir qu'après la victoire définitive sur cette ploutocratie mondialiste criminelle et surtout la destruction de ce monstre absolu, cette pensée unique du capital qui est responsable des pires fascismes 1.0 et 2.0
Dans les centre-villes de maintenant il n’y a plus rien, RIEN !
Plus d’églises (toutes fermées en permanence), plus de bureaux, plus de services publics, plus d’écoles, ni de lycées, plus de magasins, (comment les gens iraient-ils faire leur courses dans le centre-ville où maintenant il est impossible de stationner et même de circuler ?! seulement dans les toute-petites villes de 3.000-5.000 habitants maxi c’est encore comme ça), plus de cafés (à part qq cafés chics très chers pour une clientèle « branchée »), plus de restaurants, plus de bancs publics, plus de badauds, seulement des flics, plus d’habitants, seulement des « résidences » de grand luxe, de mini-appartements très chers - sous digicode ! - où les « habitants » n’ont même pas le droit de planter un clou ni d’afficher quelque chose sur les murs ni de faire entrer un meuble (trop petits), de purs décors pour l’ »industrie du tourisme » et du « patrimoine », des ghettos pour touristes en cars (pas pour touristes individuels puisqu’il n’est plus possible d’y circuler).
Et comme dit l'association "Ligue de défense des conducteurs" : "Les centres-villes où les voitures ont été bannies sont entrain de mourir à petit feu, avec 10 à 15% de vitrines vides en moyenne !"
Les marchands sur le marché de ***** ne vont plus pouvoir avoir aucun client, à part les quelques bourgeois des nouveaux appartements de grand luxe digicodés du centre-ville, les enseignants insociables et friqués qui vont à ATTAC parce qu'ils veulent se faire passer pour des socialistes et des anarchistes.
encore pire !
du 24 au 27 octobre 2017 : Il a fallu 6 ans, six années pleine pour que la presse locale finisse par aborder le sujet des boutiques vides. Et encore, pas forcément sous l'angle auquel vous êtes habitués ici. Voici ce que nous apprend MaCommune.info sur la ville de Besançon:
"Les cellules vides" (notez bien l'usage du mot "cellule" et pas "boutiques", "du centre-ville de Besançon vont bientôt se faire une beauté" (wouaa quelle bonne nouvelle...) "Le 27 octobre 2017, les vitrines vides seront habillées pour mieux se vendre lors de l’inauguration du "pôle" (sic !) dédié aux Industries culturelles et "créatives " ouvert au 52 rue Battant. C'est une idée collective qui est partie de la CCI du Doubs, de l'Union des commerçants, de l'Office du commerce, du Grand Besançon et de la ville afin de "redynamiser le centre-ville", nous précise-t-on. Les propriétaires de cellules commerciales vacantes habilleront ces dernières s'ils le souhaitent pour les rendre plus esthétiques. Une première série de 10 vitrines seront inaugurées le 27 octobre dans la rue Battant et sur la place Saint Pierre avec des visuels originaux déclinés sur deux principes : une valorisation de la vitrine en vue de la recommercialisation du local vacant, un visuel patrimonial ou de promotion commerciale ou touristique, si le local n’a pas vocation à être reloué rapidement pour cause de travaux par exemple".
Ci-dessous, Blois et Noisy merci à nos lecteurs qui ont fait ses clichés avec leur téléphone...
remarquez l'invasion obsédante de la langue anglaise en FRANCE !!!!
Du côté de la ville de Pau, Mr Rohrbacher nous signale un article sur les "cellules" du centre ville dans le quotidien régional La République des Pyrénées avec des chiffres intéressants qui sont en CONTRADICTION TOTALE avec ce que vous avez pu lire dans le Figaro par exemple qui parlait de 10 ou 11%...
La réalité est bien plus cruelle: "où sur 1000 locaux, 300 sont vacants sur toute la ville, soit 30% !", lire ici la RdesP. Une évidence, la situation n'est pas prête de s'améliorer. Revue de Presse par Pierre Jovanovic
les vidéos sur ce sujet se multiplient partout ! regardez sur le côté : https://www.youtube.com/watch?v=wnbpTeKvg90 partout les centre-villes meurent, forcément ! avec les politiques actuelles il n'est plus possible d'y mettre les pieds alors les gens n'y vont plus, n'essaient même plus d'y aller, trop dur, et voilà. Moi non plus je ne mets plus les pieds en ville d'Arras maintenant. Et pour tout je commande et me fais livrer par la poste. Et ce ne sont pas que magasins qui disparaissent, ils déménagent toutes les administrations, tous les établissements scolaires, ils ferment les églises, ils font fermer tous les cafés, qu'est-ce qui pourrai attirer les gens en ville ?! à part les touristes en car ! ou qui ont du temps à perdre, mais les touristes qui ont du temps à perdre aussi vont ailleurs, sauf quand ils sont en voyage organisé !
époque maintenant révolue, par le chauffage de plus en plus efficace, et l'isolation de plus en plus poussée, obligatoirisée et fliquée des maisons .....
Ce document, en deŭ parties, cette image et la suivante,
vient d'un livre, trouvé par hasard dans une foire au livre : "La Vérité (en gros caractères !) sur la législation française actuelle en matière de répression des fraudes du beurre et du lait" par Auguste Eloire, docteur vétérinaire, qui date du début du siècle. Maintenant vous vous souvenez certainement de la campagne hystérique que les gouvernements ont mené il y a qq années (en 2001) parce qu'il y avait une épidémie de fièvre aphteuse, les dizaines de milliers de vaches qui ont été massacrées - on aurait dit Katyn ! - et brulées à cause de cas (des vaches saines dans leur presque totalité) simplement parce qu'on avait trouvé une vache atteinte dans la ferme où elles se trouvaient ! Comme s'il s'agissait d'une maladie mortelle et abominable, la peste noire ou qq choses comme ça. Et les fermes barrées par des chaines interdisant le passage (je me souviens j'ai vu ça lors de notre voyage en mars 2001 aŭ Pays-bas)
En fait, et là je me souviens très bien aussi, de ce que me racontait ma mère qui était fille d'agriculteur et a bien connu la vie de ferme d'avant 40, autrefois, non seulement on ne prenait pas de mesures prophylatiques aussi extrèmes, mais même la vache atteinte on ne la tuait pas, on essayait d la soigner. Et on la trayait. C'est tout juste si on évitait de boire son lait, c'est tout. Et les gens n'en mourraient pas ! Et c'est ici qu'intervient ce document : même on commercialisait le beurre fait avec le lait de ces vaches ! Et c'était considéré moins "problématique" que de frauder en "coupant" le beurre avec de la margarine. Lisez ce texte, l'aueur est tout de suite soulagé et l'agriculteur innocenté quand il s'avère que, "ah ! ce n'était que ça ! bon ! pas de quoi fouetter un chat" son beurre était fait avec du lait aphteŭ.
(en fait l'hystérie prétendument hygiéniste, des années actuelles, était d'origine ECONOMIQUE (.....) on peut soigner les vaches aphteuses, et même les guérir, mais ..... ça coûte cher ! et pendant ce temps là on ne peut pas vendre le lait, ça fait baisser la rentabilité de l'élevage voilà voilà .... )
Ce document, en deux parties, cette image et la précédente (bon je ne met pas la seconde, la première suffira, on n'est pas dans Ipernity ! ) vient d'un livre : La Vérité (en grands caractères !) sur la législation française actuelle en matière de répression des fraudes du beurre et du lait" par Auguste Eloire, docteur vétérinaire, qui date du début du siècle. Maintenant vous vous souvenez certainement de la campagne hystérique que les gouvernements ont mené il y a qq années (en 2001) parce qu'il y avait une épidémie de fièvre aphteuse, les dizaines de milliers de vaches qui ont été massacrées - on aurait dit Katyn ! - et brulées à cause de rares cas (des vaches saines dans leur presque totalité) simplement parce qu'on avait trouvé une vache atteinte dans la ferme où elles se trouvaient ! Comme s'il s'agissait d'une maladie mortelle et abominable, la peste noire ou qq choses comme ça. Et les fermes barrées par des chaines interdisant le passage (je me souviens j'ai vu ça lors de notre voyage Jacqueline et moi en mars 2001 aŭ Pays-bas)
En fait, et là je me souviens très bien aussi, de ce que me racontait ma mère qui était fille d'agriculteur et a bien connu la vie de ferme d'avant 40, autrefois, non seulement on ne prenait pas de mesures prophylatiques aussi extrèmes, mais même la vache atteinte on ne la tuait pas, on essayait de la soigner. Et on la trayait ! C'est tout juste si on évitait de boire son lait, c'est tout. Et les gens n'en mouraient pas ! Et c'est ici qu'intervient ce document : même on commercialisait le beurre fait avec le lait de ces vaches ! Et c'était considéré moins "problématique" que de frauder en "coupant" le beurre avec de la margarine. Lisez ce texte, l'auteur est tout de suite soulagé et l'agriculteur innocenté quand il s'avère que, "ah ! ce n'était que ça ! bon ! pas de quoi fouetter un chat" son beurre était fait avec du lait aphteux.
(en fait l'hystérie prétendument hygiéniste, des années actuelles, était d'origine ECONOMIQUE (.....) on peut soigner les vaches aphteuses, et même les guérir, mais ..... ça coûte cher ! et pendant ce temps là on n'encaisse pas de rentrées d'ARGENT, ça compromet la SACRO-SAINTE rentabilité ! Voilà le problème.
c'était le morceau de bravoure que parfois jouait mon père sur son piano. Je l'ai plusieurs fois entendu résonner en dessous de moi, depuis mon lit.
Il avait appris la clarinette, qu'il a joué au sein de l'harmonie Conservatrice de Mouscron (à l'époque il y avait une harmonie par parti politique en Belgique ! Socialiste, Libérale, Démocrate-chrétienne et Conservatrice, comme la famille de mon père était des flamands bigots, la seule possible c'était la Conservatrice ! aux yeux des bigots les Démocrates-chrétiens sentaient déjà le soufre !!), puis celle de Saint-Amand-les-Eaux en France, puis le piano, puis l'orgue (dans une salle du beffroi de Saint-Amand-les-Eaux), qui qui lui a permis après son mariage de trouver un emploi en qualité de chantre-organiste-sacristain.
Rolando Toro, né en 1924 au Chili, est l’inventeur de la « Biodanza ». (a-t-on encore le droit de la pratiquer dans le régime fasciste instauré par le grand capital Big-Pharma, propriétaire de l'OMS ? on n'arrête pas de se toucher ! c'est d'ailleurs fait pour !)
« L’enthousiasme, l’émerveillement, et l’allégresse. Ce sont les sentiments que m’inspirent la Biodanza depuis que je la pratique. » (Bruno Giuliani, philosophe)
« Rolando assume pleinement ses contradictions, ses élans, ses révoltes, sans peur, sans recherche de perfection ou d’idéal. » (Bruno Ribant, psychologue)
« c’est à partir d’observations que je me suis intéressé à créer un système pour stimuler la joie de vivre, pour améliorer l’intégration entre l’esprit et le corps et pour renforcer le lien entre les personnes.
J’ai fait beaucoup d’observations. » (Rolando Toro)
Extraits du livre d’entretiens avec Rolando Toro « L’homme qui parle avec les roses »:
« je crois qu’en tout ce qui est bon, excellent, comme l’amour, l’amitié, la contemplation de la nature, l’art, il faut être excessif, extraordinairement excessif. »
« … ma mère me donnait généreusement son amour et son autorisation, elle a toujours eu confiance en moi, depuis que j’étais tout petit. »
« Mon père … lui vivait dans le monde du rêve ; rien à voir avec le réalisme de ma mère (la nourriture, l’école, les vêtements). Mon père jouait de la musique, de la mandoline.
(en hommage au père de Rolando Toro, voici :
comme disaient les prêtres de Ptah "puisse-t-il vivre éternellement !"
« La psychologue m’a présenté un tableau de plus de cent activités, et toutes me plaisaient ! La musique, les mathématiques, la gymnastique, la littérature, la poésie, les voyages … J’aimais tout !
… Je crois qu’en réalité, le monde nous offre tant de choses intéressantes et merveilleuses, que c’est une tentation d’entrer en elles. »
« en tant qu père, j’en suis arrivé à la conclusion que la paternité est une des potentialités les plus merveilleuses qu’un homme puisse développer, l’exercice de la paternité. »
« Je crois en la famille, en l’appartenance à un nid écologique, et j’aime beaucoup le mariage. »
« J’ai commencé à étudier les différentes psychothérapies existantes ….mais je voyais déjà qu’aucune ne parvenait à pénétrer l’âme du malade mental ; elles n’effleuraient que son comportement. Je ne crois pas en les thérapies comportementales. »
« A partir de là, je disposais pour ainsi dire d’une prescription : pour les malades mentaux, ce qui convenait, c’était les musiques euphorisantes. Mais il manquait quelque chose ; Parce que je voyais qu’ils étaient en grand besoin d’affection.
… Il y avait un malade qui profitait de l’autorisation créée par cette situation et qui se tenait près d’une autre malade, schizophrène, les deux se tenant par la main. Et ils restaient plongés en extase pendant l’heure et demie que durait la séance, sans sortir de cet état, car ils étaient ailleurs : c’est à dire qu’ils vivaient l’amour infini »
« L’échec de la psychiatrie est pour moi l’incapacité du médecin à aimer le fou. »
« la "critique constructive" n’a jamais permis à personne de s’améliorer ! Ce qu’il faut faire c’est travailler sur la partie saine, et stimuler les potentialités qui sont propres à la personne.
… cette éducation, basée sur la critique, sous-entendant que nous détenons tous les fils de la sagesse, me déplait profondément. »
« Freud est un grand homme, cependant sa méthodologie ne m’intéresse pas, parce que le corps n’y est pas présent. »
« La notion d’inconscient collectif me semble avoir été une grande découverte. Ce que je n’apprécie pas chez Jung est néanmoins la théorie de la recherche du Moi, qui est en fait un chemin d’autonomie qui vise à convertir l’homme en une sorte de roi autocratique, et non en un frère. »
« … Freud lui-même, qui pensait que si les conflits inconscients passaient à la conscience, l’état de la personne allait s’améliorer …
Jamais ! (il s’anime). Personne ne s’améliore jamais en prenant conscience de ses défauts ou de ses problèmes. »
« … Feldenkrais … me dit un jour qu’il se rendait compte que ce dont le corps avait besoin était de caresses et non de conscience. Et c’est alors que j’ai formulé ma phrase préférée : "Il faut agir deux fois avant de penser !"»
« De Reich, j’ai conservé l’importance de la sexualité sans peur, l’importance de la libération sexuelle. Parce que la libération sexuelle n’a pas encore commencé ! »
« La Biodanza … une sorte d’utopie qui pourrait se réaliser, et qui est en train de se réaliser, car elle grandit d’une manière telle qu’elle est en train de nous échapper. … La Biodanza grandi partout, car elle est ce dont l’être humain a besoin. »
« Je crois ainsi que l’amour est essentiellement un sentiment d’appartenance. Il ne s’agit pas d’une conception machiste de l’appartenance, dans laquelle l’homme possèderait une femme en restant lui-même libre. Ni non plus d’une conception féministe, dans laquelle la femme serait libre, nourrissant de la haine pour l’homme.
L’appartenance dont je parle est la possibilité d’entrer dans une fusion infinie avec l’autre, par amour »
« Nous ne nous exprimons pas. Seuls les enfants parviennent encore à tout exprimer. »
« Pour moi la poésie est ma perception au quotidien du quotidien. Pour moi toute chose a une connotation poétique. »
« La vie provient d’une impulsion qui vient d’avant la vie, et qui pousse l’univers à évoluer vers la conscience, vers l’amour, vers l’empathie, et tout ce qui fait la grandeur de l’être humain »
« Les lois ne sont pas organisées sur la base du droit à la vie, du respect de la vie, du respect des relations humaines, mais sur le droit de propriété. »
« Aujourd’hui, la misère est universelle, alors que tout l’argent et tout le pouvoir sont entre les mains d’une élite minuscule. Cette élite défend au prix du sang ce pouvoir et cet argent »
« Il y a une décadence éthique dans cette culture. Et ceci ne peut changer qu’à partir de l’affectivité de l’enfant, de l’enchantement de se sentir vivant, de la joie de vivre, de la poétique de la rencontre, de la danse, du plaisir sexuel… »
« La religion bouddhiste … permet d’entrer dans une sérénité contemplative, de créer un vide intérieur, dans une absence de désir, anesthésiant les sens, et atteignant une parfaite solitude. Cette proposition m’horripile, je la trouve épouvantable ! … et pourtant elle jouit d’un très grand prestige !
Le solipsisme oriental qui t’empêche de sentir du désir pour l’autre, de sentir de l’enthousiasme pour l’autre. Parce que tes sens doivent être anesthésiés et tu dois te remplir d’un grand vide, pour entrer en extase avec l’univers. Mais l’extase avec les personnes, l’extase que tu vis quand tu as un enfant dans les bras, l’extase que tu ressent avec la femme que tu aimes, ça c’est l’extase ! »
« l’amour n’est rien d’autre que la joie d’être en relation avec l’autre et le désir de cultiver cette joie. »
« Ce lien avec la mère perdure par delà la mort de celle-ci, c’est un cordon ombilical qui ne se romp jamais, au grand désespoir des psychologues, qui prétendent qu’il faut couper le cordon. Il n’y a pas à couper le cordon, tout simplement parce qu’il ne peut pas être coupé.
C’est un peu dégeu’, oui. Un peu seulement. Mais en tous cas il vaut mieux avoir un peu de merde canine sur les trottoirs que beaucoup de merde humaine en uniforme….
je me souviens de l'époque où je rentrais chez moi le soir depuis le centre-ville, le trottoir de la rue Abel Bergaigne était tout recouvert de crottes de chiens, je ne savais pas où mettre les pieds, maintenant quand j'y repense à choisir je préfèrerais largement que ça soit encore comme ça plutôt que de voir des horreurs flicardes pareilles que ce qu'est devenue la société de merde où on vit maintenant !
plus ça va plus il se confirme que tout parti, et toute association, prétendument "de gauche" et composée de bourgeois ne peut être que de la merde, des social-traîtres, des bobos, avec des petites préoccupations de bourgeois collabos et déconnectés de la "galère" et des humiliations du peuple. Comme j'ai dit dans mon article en Esperanto sur SENNACIULO, seuls les gilets jaunes, ou les maîtres à penser des gilets jaunes pourront créer un nouveau parti de gauche, à condition de ne pas s'embourgeoiser (ni se faire acheter par la CIA comme les "antifas" !) et de garder leur dignité (devant tous les chantages, honte à ceux qui se sont "déculottés" !) et leur liberté de pensée, et leur enracinement dans les conditions de vie des GENS du peuple.
Et où on voit que la façon dont le pouvoir, et sa bourgeoisie, considère les gilets jaunes n'est pas nouvelle, dans les années 50 du XIXè siècle il y avait "les Marianneux", lisez :
"En demandant à un inconnu des nouvelles de Marianne, les républicains, les "rouges", savaient immédiatement par sa réponse s’il faisait, ou non, partie d’une société affiliée. Les « Marianneux », qui étaient particulièrement nombreux dans l’Ouest, furent poursuivis en 1854, et condamnés à des peines allant jusqu’à quatre ans de prison. - Nous sommes, écrivait l’historien Viel-Castel, en présence de sociétés secrètes les plus sauvages, les plus ennemies de toute civilisation et de tout progrès….... Les incendiaires, les voleurs, les assassins et les pillards sont prêts. Tous ces gens s’appellent « La Marianne ».
on croirait entendre ce que disaient en 2019 contre le peuple des gilets jaunes nos ministres macroniens, ou les journaputes de BFM-WC !
et de nos jours contre les "conspirationnistes" !
et déjà du temps de la Révolution française (menée par des bourgeois affairistes et propriétaires ne l'oublions pas !) - cette Révolution dont la Convention le 19 mars 1793 a voté un décrêt punissant de MORT toute personne qui PROPOSERAIT une loi de REFORME AGRAIRE ... - il y a eu Babeuf, dont la "Conspiration des égaux" fut le premier mouvement socialiste concret, eh bien par exemple "En Bresse, l’instituteur Robin est également appréhendé pour avoir « prêché les monstrueuses théories babouvistes » à Arbigny et à Pont-de-Vaux" les théories babouvistes font tellement peur aux possédants qu'elles sont tout de suite qualifiées de "monstrueuses" ! RIEN DE NOUVEAU SOuS LE SOLEIL ! ce sont des termes semblables qui accueillent de nos jours ceux qui défendent la chloroquine (menace aux énormes profits escomptés par Big Pharma), ou les gilets jaunes ! ou ceux qui prônent le Frexit, critiquent la 5G (énormes profits en vue là aussi et esclavagisation totale de tous les humains !) qui dévoilent l'imposture de l'assimilation de la démocratie avec le système de l'élection, menaçant ainsi les grasses carrières de politiciens actuels et aussi tout le système de corruption et de domination bourgeois !!! (cf les ignoble et sournoises attaques contre Etienne Chouard, le plus profond et puissant penseur de la démocratie que la france aie connu depuis deux siècles). Rien d'étonnant que le colonel Nasser aie fini par être TUE par les services Secrets US! -
de nos jours l'interview de ce "député Baudin du XXIè siècle Fabrice Lalanne le seul gars du show-biz (caractérisé comme dit Dieudonné par la lâcheté et l'indignité) à avoir eu le courage de se lever (comme Brigitte Bardot fut la seule de ce milieu à avoir eu le courage de soutenir les gilets jaunes), une interview qui comme celle de Jean-Jacques Crèvecœur restera dans l'histoire : ss
voilà un de ces être "inéduqués et inéducables" qui "ne pouvaient simplement pas faire autrement" dont parle Michel Terestchenko dans son livre sur la morale personnelle "un si fragile vernis d'humanité" !
(Cette vidéo a été regardée 200.000 fois en 24 heures ! et ça a continué au même rythme le lendemain : 400.000 en 48 heures Et qu'est-il arrivé ? imaginez, par des procédés dignes de Staline, les propriétaires de Youtube ont remis le compteur à zéro ! Il semble que ça a provoqué un tollé et qu'ils se sont repentis, aussi le 28 au matin on retrouve les chiffres non trafiqués, qui sont arrivés à 458 mille vues - en 2 jours et demi)
y a une peur (cf Goering ...) créée par ce monde des journaputes appartenant aux 9 milliardaires, la classe même qui a mis son pion Macron au pouvoir, et qui fait partie du Business-Plan de la vaccination. Quand à la "solidarité nationale" c'est un truc qu'à bien su exploiter aussi Hitler en 33, et son obligation du masque, pardon ! du salut hitlerien dans la vie quotidienne.
Florian Philippot, admirateur de Chavez, est lui contre l'hyper-capitalisme mondialisé, principal ennemi de l'écologie (et des peuples, et de nos libertés !) :
en 2005 vu « Le Locataire » film coréen. Dans « Le Locataire » le seul être qui soit un être humain c’est le petit chien qui se blottissait à côté de son maître mort. Tous les autres sont des détraqués et des criminels, et bien sûr comme toujours et dans tous les pays (d’ailleurs on voit que la Corée est américanisée à 100% [pas 95, 100]) ceux qui ont les instincts les plus pervers et les plus criminels c’est toujours les policiers et les gardiens de prison ; et bien entendu, autre constante les femmes sont viscéralement incapables d’aimer, sauf leur nombril.
Bon, maintenant, le 28/11/2002 j’ai vu « l’homme sans passé » de Aki Kaurismaki (un finlandais), primé à Cannes ;
Quel monde sinistre et morbide comme c’est pas permis ! D’une totale déshumanisation et d’une profonde barbarie. L’inde (même les bidonvilles de l’Inde !) est un monde dix fois plus civilisé et dix fois plus humain que la Finlande !
C’est bien un pays nordique, on sent très fort qu’on est dans ces pays où on a stérilisé les femmes qui se teignent les ongles de pieds en rouge et où on met en prison les clients des prostituées ! C’est l’image du monde orwellien et barbare que nous préparent le capitalisme + Sarkhollande + la politically correctness. La « citée de la Joie » de Calcutta c’est un espace d’humanité (même le parrain mafieux ! en comparaison ! même lui !!) de civilisation, de solidarité et de douceur, et de joie, c’est une vraie soirée dansante, en comparaison avec la Finlande de l’an 2000! La femme (dans le film) du guichet de l’ »ANPE », on aurait envie de l’écraser sous son talon, tellement elle est odieuse (et typique).
Ce film pue la mort. Et vous fait aussi comprendre, encore mieux que tout un site Internet d’antimondialistes ou d’anarchistes, à quel point on est enfermés sans espoir dans un bagne. Et que quand on a accepté dans les années 70 de se laisser « bancariser », on a signé notre arrêt de mort, et celui, très concret, de milliers d’êtres, et celui de la Civilisation. Il aurait fallu alors se révolter et brûler les carnets de chèques.
Ces finlandais nous montrent un peuple profondément brutal, égoïste, et rustre. Les seuls êtres qui respirent l’humanité là-dedans ce sont les chiens.
Ce film évoque à peu près autant la vie que le cadavre refroidi de Jacqueline sur son lit de décor mortuaire.
il n'est pas assez lu, peut-être décourage-t-il par ses longueurs et sa rhétorique, mais si on prend la peine de lire quelques phrases choisies, et de les méditer, on s'apperçoit soudain à quel point elles sont vraies, et profondes.
par exemple
Un jour, les yeux lassés de veilles et de larmes, Comme un lutteur vaincu prêt à jeter ses armes, Je disais à l'aurore : « En vain tu vas briller ; La nature trahit nos yeux par ses merveilles, Et le ciel coloré de ses teintes vermeilles Ne sourit que pour nous railler.
« Rien n'est vrai, rien n'est faux; tout est songe et mensonge, Illusion du cœur qu'un vain espoir prolonge. Nos seules vérités, hommes, sont nos douleurs. Cet éclair dans nos yeux que nous nommons la vie Brille à peine un moment à notre âme éblouie, Qu'il s'éteint et s'allume ailleurs.
« Plus nous ouvrons les yeux, plus la nuit est profonde ; Dieu n'est qu'un mot rêvé pour expliquer le monde, Un plus obscur abîme où l'esprit s'est lancé ; Et tout flotte et tout tombe, ainsi que la poussière Que fait en tourbillons dans l'aride carrière Lever le pied d'un insensé. »
Je disais ; et mes yeux voyaient avec envie Tout ce qui n'a reçu qu'une insensible vie Et dont nul rêve au moins n'agite le sommeil ; Au sillon, au rocher j'attachais ma paupière, Et ce regard disait : « A la brute, à la pierre, Au moins que ne suis-je pareil ? »
n'aurait-on pas envie de les apprendre par coeur et se les réciter chaque matin ?
Autriche : Trois religieuses se rebellent et fuient une maison de retraite pour retrouver leur couvent
Les trois femmes, âgées de plus de 80 ans, ont été aidées, notamment par d’anciens élèves de l’école du couvent, pour revenir là où elles se sentent chez elles
Elles obéissent à Dieu, et à personne d’autre ! Trois religieuses ont quitté une maison de retraite en Autriche pour reprendre leurs quartiers dans leur ancien couvent au début du mois de septembre. Les sœurs Bernadette (88 ans), Regina (86 ans) et Rita (82 ans) expliquent avoir été placées dans cet établissement contre leur volonté en décembre 2023.
« On ne nous a rien demandé. Nous avions le droit de rester ici jusqu’à la fin de nos vies », affirme sœur Bernadette dans des propos rapportés par la BBC. « J’ai été obéissante toute ma vie, mais c’en était trop. »
De l’aide pour les serrures, l’électricité et l’eau
Le trio a pu compter sur plusieurs complices pour revenir dans leur couvent à Elsbethen (Autriche), qui abrite une école. Un serrurier est intervenu pour leur permettre d’accéder à leurs anciens appartements, les serrures ayant été changées entre-temps (! sans commentaire ...).
L’électricité et l’eau ont été partiellement rétablies, et des sympathisants leur apportent de la nourriture et des provisions. Les religieuses ont aussi pu être examinées par des médecins. D’anciens élèves sont venus leur rendre visite pour les soutenir.
Les autorités religieuses locales ont en revanche condamné une décision « totalement incompréhensible », estimant que les sœurs n’étaient plus capables de « vivre de manière autonome au couvent de Goldenstein » en raison de leur « état de santé précaire ». Pas de quoi faire broncher les trois nonnes, qui ont bien l’intention de finir leurs vies « chez elles »
solidarité de tous les saints ! ils se rencontrent parmi les humbles et les travailleurs, (et les chats) et non parmi "ceux qui disent aux autres de l'faire" !
on reconnaît une problématique typique de ces dernières années ...