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16/09/2015

les esclaves du grand capital - mais quand est-ce qu'ils vont le comprendre ? c'est pourtant clair comme le nez au milieu de la figure

et en tirer les conséquences

le problème avec ce film, c'est que c'est encore de la "gauche" états-unienne (voir le livre de Théodore Kaczynski, le milieu étrange qu'il critique,existe c'est ce qu'est devenu la "gauche" aux USA : un club de BOURGEOIS, intellectuels, qui se battent pour les femmes et les noirs et les homosexuels ! et qui s'imaginent que c'est ça être "de gauche" !!           ) qui s'efforce de noyer les vrais problèmes, les vrais structures, les vrais rapports de force, sous de l'écologie, des petites obsessions féministes (se faire licencier par une "directrice des ressources humaines" femme, ça fait moins de mal que par un homme peut-être ?      , se faire tuer à coup de tasers par un flic homo ça fait moins mal que par un flic hétéro ?        un spéculateur boursier "beur" vous croyez que c'est moins cynique qu'un spéculateur boursier "de souche" ?     ), et après ils iront nous servir du "éveil de conscience spirituel" et le tour est joué, faites gaffe ! restez dans les faits concrets et de bon sens, retrouvez les lignes et les rapports logiques du fric, du bénef et du pouvoir, ce sont les mêmes qu'en 1849, sauf que leur pouvoir est encore plus fort, encore plus oppressif et encore plus rusé, qu'il a inventé le "libéral-fascisme" et marche vers le NWO.
Contrairement à ce que nous sert ce film à l'idéologie toujours aussi "amerloque" comme somnifère pour "bobos" regardant une belle revue en papier glacé dans sa cabine d'avion 1ère classe, c'est la lutte de classe qu'il nous faut maitriser, sans elle on est foutus. Il n'y a que le début de ce film qui est vraiment lucide. Après on repart encore une fois dans le même gloubi-boulga qui conforte justement le système qu'ils font semblant de dénoncer, puis qu'ils MASQUENT sous des émotions pour touristes, mais pas D'ANALYSE PRECISE ET CONCRETE !!!

 

15/09/2015

sans

Sans des mains sur son visage il n’est pas possible de vivre.

14/09/2015

les impôts

Depuis 1789 les classes dominantes, même si ce n'est plus les aristocrates mais les financiers, mais ils ont la même mentalité (et ont fini par fusionner) n'ont jamais "avalé" de devoir payer des impôts !

Qu'une partie de leur bel argent qu'ils ont pompé au peuple parte et travaille pour eux (car c'est à ça que ça revient, à être dépensé au service, direct ou indirect, de cette "vile plèbe" !). Alors ils n'ont eu de cesse et de les dénier, et d'utiliser les petits porteurs d'actions et les petits rentiers en ça comme masse de manœuvre !
Et surtout ils ont maintenant trouvé le truc de faire que ces impôts retournent dans leur entier dans leurs poches à eux ! (génial !) entièrement (et même plus, maintenant) utilisés à "rembourser" la "dette" de l'État auprès des banques (grâce à des dictats dignes des "padrones" du Mexique tels que la fameuse loi Pompidou de 1973).

13/09/2015

ma réponse c'est ça

Mi ŝatus trovi vorton

vorton simplan

vorton ĉionenhavan

vorton kiun vi

— kaj ĉiuj aliaj —

tuj komprenus

kaj ekĝojus pro ĝi

Mi ŝatus trovi vorton

kiu alportus ģ̂ojon en vian koron

kanton al via orelo

ridon sur vian vizaģ̂on

Mi ŝatus trovi vorton

vorton simplan kaj ĉionenhavan

 

 

« rericevi » !

12/09/2015

un banquier suisse parle

un banquier pas comme les autres
l'initiative "Monnaie Pleine" vous connaissez ? ( INITIATIVE MONNAIE PLEINE SUISSE: Accueil - )
elle peut changer le monde

10/09/2015

tranquillement, sereinement, avec les détails, Thierry Meyssan explique le 11 septembre et la part qu'y a prise le Mossad

*

 

* il y a aussi ça : l'histoire c'est instructif

les auteurs de séries télévisées , sous le couvert de la "fiction" ont le droit de dire des vérités que les journalistes ne peuvent se permettre, aussi dès 1996 :

et début 2001 6 mois avant : http://www.dailymotion.com/video/xjn6ng_quand-une-serie-t...

mystères !

Jérôme Kerviel et le jackpot français du 11-Septembre

Tabou. En 2009, l'ex-trader aujourd'hui incarcéré avait dévoilé une étrange information qui demeure ignorée par la presse traditionnelle. Décryptage.


« Les meilleures affaires de l’histoire de la Société Générale ont été réalisées le 11 septembre 2001.

C’est ce que m’a dit l’un de mes managers.

Il semble que, ce jour-là, les profits réalisés aient été colossaux ».

Ce propos énigmatique a été formulé en 2009 par Jérôme Kerviel. En off, l’ancien trader de la Société générale avait ainsi fait savoir  à Elisabeth Fleury, journaliste au Parisien, que son ancienne banque aurait effectué un gain record sur le marché boursier grâce aux retombées d'un acte terroriste.

Le contexte: sept jours après les évènements survenus à New York et au Pentagone, les observateurs de la vie financière avaient constaté que des mystérieux spéculateurs avaient réalisé, à travers le monde, d’importants profits en ayant misé, fin août-début septembre, sur les actions des compagnies qui seraient impactées par les attentats. Il s’agissait là du premier indice de l’accomplissement d’un vaste délit d’initiés réalisé à l’échelle mondiale et notamment sur plusieurs places boursières spécifiques: Chicago, Londres, Francfort, Milan, Tokyo, Singapoure et Paris.

En France, Laurent Fabius, alors ministre des Finances du gouvernement Jospin, avait suggéré un lien entre ces mouvements financiers et les terroristes : « Il n'est pas du tout impossible que les commanditaires des attentats du 11-Septembre soient les auteurs de cette spéculation ».

« Nos systèmes informatiques ont repéré une certaine liste d'anomalies sur laquelle nous travaillons d'arrache-pied, compte tenu de la coïncidence avec les attentats », avait déclaré sur RMC le directeur général de la Commission des opérations boursières (COB), Gérard Rameix.

Un proche du dossier, interrogé par la journaliste Martine Orange du Monde, reconnaissait, à l’instar de nombreux experts des transactions boursières, sa stupéfaction: « On ne peut s'empêcher d'être frappé par l'importance des volumes échangés et les secteurs choisis ».

Quelques jours plus tard, changement de discours: la plupart des autorités occidentales indiquèrent laconiquement que les enquêtes menées n’avaient pas abouti à établir un lien entre ces spéculateurs avisés et Al-Qaïda, le groupe auquel fut rapidement imputé la responsabilité du 11-Septembre. En un mot: ce fut l’enterrement manu militari d’une affaire pouvant conduire à identifier les hommes et les femmes -vivant parmi nous et non dans les grottes de Tora Bora- qui disposaient antérieurement d'informations détaillées sur les attentats et qui ont choisi d’en tirer profit.

En 2010, débutant une enquête en ligne sur ce sujet visiblement complexe et sensible, j’avais voulu en savoir plus auprès de Jérôme Kerviel. Qui était ce manager? Quelle était sa source d’information pour réaliser de tels profits? Et pour quel montant? 

J’avais contacté Olivier Metzner, alors en charge de la défense judiciaire de Jérôme Kerviel. Après plusieurs échanges par téléphone, l’avocat -aujourd’hui décédé après s’être donné la mort- m’avait finalement indiqué que son client ne souhaitait faire aucun commentaire sur son propos tant que son procès houleux avec la Société générale ne serait pas complètement terminé.

Aujourd’hui, Jérôme Kerviel a été incarcéré à la maison d’arrêt de Nice et doit encore purger une peine de trois ans de prison. S’il reconnaît sa culpabilité, l’homme se plaint que l’enquête judiciaire à son endroit ait subi de nombreuses pressions occultes exercées par la Société générale. 

En dira-t-il plus, maintenant qu’il est en prison, sur sa déclaration relative aux profits récoltés le 11 septembre 2001 par une prestigieuse institution financière qui l’embaucha en août 2000? En temps normal, un tel propos aurait suscité l’intérêt journalistique: quelques semaines après les attentats, de nombreux médias, en France comme à l’étranger, s’étaient intéressés au profil des spéculateurs avant de déclarer forfait face à l’opacité des autorités boursières. Or, dans le cas présent, l’information de Kerviel -selon laquelle sa banque avait largement bénéficié des transactions opérées en son sein et en amont du 11-Septembre- n’a provoqué aucune enquête chez Mediapart et consorts. 

Autocensures et deux poids deux mesures

En 2010, l’Autorité des marchés financiers avait dédouané Robert Addison Day, soupçonné alors de délit d’initié.

Ce milliardaire américain, proche des services secrets et du clan Bush, était devenu -en avril 2001- membre du conseil d’administration de la Société générale après avoir cédé à la banque française la propriété de sa société financière, basée à Los Angeles et dénommée TCW (Trust Company of the West). Celle-ci s’était spécialisée dans les CDO, produits financiers à risques composés de subprimes. A travers sa filiale américaine, la Société générale avait alors investi 40 milliards de dollars dans ces placements périlleux.

En janvier 2008, juste avant que n’éclate le scandale de l’affaire Kerviel, Robert Day avait vendu pour plus de 125 millions d’euros de titres de la banque.  Les pertes attribuées alors à Jérôme Kerviel -4,9 milliards de dollars- n’auraient pas été portées à la connaissance de l’homme d’affaires californien. Celui-ci ne pouvait pourtant pas ignorer le pronostic pessimiste de la Société générale à propos du marché américain des subprimes: dès novembre 2007, la banque française avait estimé leur coût à 203 millions d’euros avant de devoir réajuster, le 24 janvier 2008 -le jour au cours duquel éclata le scandale du « trader fou »- ce chiffre à 2,6 milliards d’euros.

Soupçonné un temps, avec le responsable du pôle investissement Jean-Pierre Mustier, d’avoir frauduleusement tiré un bénéfice d’une information confidentielle, Robert Day sera finalement mis "hors de cause". A l’instar de son prédécesseur (la COB), l’Autorité des Marchés Financiers est souvent accommodante dès lors qu’il s’agit de traquer les délits d’initié éventuellement commis par de hauts dirigeants. 

Depuis son départ -en 2010- de la Société générale, Robert Day se consacre désormais à ses investissements aux Etats-Unis. Quant à sa compagnie -très impliquée dans le marché israélien, elle a été rachetée à la Société générale par une puissante organisation financière liée à la CIA et proche du complexe militaro-industriel: Carlyle. Son co-PDG, David Rubenstein, a d’ailleurs récemment accordé une interview au cours de laquelle ce mécène de la communauté juive se félicite (à 13'54) de la transaction, finalisée en février 2013, entre son groupe et la banque française.

 

 

Identifier les institutions et les individus qui se sont enrichis grâce au 11-Septembre via les places boursières a son importance: certains d’entre eux ont opéré depuis Paris et à travers des banques telle la Société générale. Michael Ruppert, journaliste d’investigation qui dévoila quantité d’informations à ce sujet et avec lequel j’avais correspondu, était convaincu que les principaux bénéficiaires étaient les proches de certains responsables de services secrets américains, européens et israéliens qui partageaient la même pré-connaissance sophistiquée des attentats.

Remonter le fil des délits d’initiés du 11-Septembre revient, in fine, à identifier le réseau des « commanditaires » comme l’avait justement fait remarquer Laurent Fabius. Le 6 octobre 2001, à Washington, ce proche de la mouvance américano-sioniste, alors ministre des Finances, avait été désigné par ses homologues du G7 « lead speaker » pour mener les échanges relatifs à « la lutte contre le financement du terrorisme »

Dans la ligne de mire: Al-Qaïda et ses relais dans la sphère islamique. Passé sous silence: les opérateurs boursiers -agissant depuis l'Europe, l'Amérique du nord et l'Asie du Sud-Est- qui ont gagné des millions de dollars grâce à une opération israélo-américaine sous faux drapeau dont ils avaient eu, de par leurs connexions dans le monde du renseignement, préalablement connaissance.

HICHAM HAMZA  

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08/09/2015

les partis institutionnels actuels sont non seulement déconnectés du peuple qu'ils sont censés représenter, mais des ennemis de classe caractérisés

les partis politiques actuels ne représentent en rien leurs électeurs (ni le peuple donc), c'est là qu'on voit le fossé immense et tout à fait fondamental qu'il y a entre la classe politique et le peuple. la "démocratie"" montre son vrai visage .....
Jérémy Corbyn est de loin le candidat favori pour les électeurs du Labour (et même les autres, le peuple britannique dans son ensemble), or dans son parti Il y a peut-être cinq, maximum dix députés (sur 232) qui le soutiennent. Tous les autres détestent ses idées politiques. si on n'avait pas instauré un système démocratique d'élection du leader du parti par sa base il n'aurait jamais parvenu à sa tête. Ce qui veut dire ! ....

"La réforme du système de vote a pu apparaître comme une idée merveilleuse. En réalité, c'est un piège qui met le parti en porte-à-faux", estime Charlie Beckett, expert politique à la London School of Economics.
Car autant Jeremy Corbyn fait fureur chez les sympathisants, autant il apparaît isolé au sein de son parti. (des structutres, et des cadres de son parti) "C'est même du jamais-vu. Il y a peut-être cinq, maximum dix députés (sur 232) qui le soutiennent. Tous les autres détestent ses idées politiques. Il n'a pas de courant, pas de réseaux. Jamais on n'aura eu un leader aussi peu représentatif de son parti parlementaire", ajoute-t-il.
En fait, Jeremy Corbyn n'aurait même pas dû être candidat. S'il a réuni les 35 parrainages requis, c'est seulement (pour la forme), parce que certains députés travaillistes estimaient qu'il fallait un représentant de l'aile gauche.

Royaume-Uni: le Labour se prépare à l'avènement de Jeremy Corbyn, bien malgré lui

 

Commentaire du 8 mai 2015 sur la politique internationale : "il dresse un tableau sans complaisance de l'opposition grandissante entre les populations et les dirigeants européens. Il ne s'agit pas que d'un phénomène allemand. La France peut être considérée comme la toute première puissance européenne à être au bord de l'insurrection. Le peuple français n'a plus confiance dans ses dirigeants du PS ou de l'UMP, c'est ce qui explique la montée forte du FN. L'Ukraine est un fardeau pour l'UE. En laissant l'Allemagne prendre le leader-ship de l'UE, en réponse aux pressions américaines, l'UE s'est fourvoyée et a pris le risque d'une guerre à ses portes. Grave décision qui méritera peut-être un jour un nouveau Nuremberg pour rappeler que les peuples ne doivent pas être opprimés par une caste dirigeante sans légitimité comme le sont les dirigeants de l'UE."

l' "enfer soviétique" c'était ça, et au sovkhoze "Lénine" c'est encore ça

https://histoireetsociete.wordpress.com/2015/08/09/le-sov...

06/09/2015

la lecture

deux citations que je rappelle souvent :

Jules Renard : "Je lis comme les poules boivent, en renversant de temps en temps la tête en arrière, pour faire passer"

 

et Gabriel Matznev :" un livre qu'on n'a pas lu la plume à la main est un livre qu'on n'a pas lu."

Qu'on se le dise !

et voici

"Le cercle vertueux de l'annotation."