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12/02/2022

soumission passive

"que ma fois c’est la règle et qu’on ne peut rien y changer, que tout ça nous dépasse" c'est ce que disaient les juifs en cousant bien gentiment leurs étoiles jaunes sur leurs vêtements... 

ou les fumeurs en sortant dans les gaz d'échappement et le froid fumer dehors, sous le regard méprisants des bons aryens, euh pardon ! des non-fumeurs.

la réaction de soumission passive, dénoncée par certains articles sur reseauinternational d'ailleurs, et par Ariane Bilheran, et par Catherine Baker, (et qui est la même que celle des internautes qui acceptent tout aussi passivement qu'on leur injecte des "cookies" dans leurs ordinateurs, et qu'on leur impose de les "accepter") est hélas bien connue, depuis la Théocratie.

1. Le covidisme comme religion

Dans la religion sanitaire du covidisme, la Science tient lieu d’ultime déité
[cf ce que je dis depuis une vingtaine d’années sur le remplacement des « calotins » etc de l’ancienne théocratie par une nouvelle, selon des lois écologiques] et l’industrie pharmaceutique d’église universelle. À la tête de celle-ci, Fauci assume la fonction pontificale (jouissant d’une infaillibilité dont nul ne saurait douter, sous peine d’anathème), assisté de médecins tenant lieu de nouveau clergé – prêtres covidistes offrant le sacrifice des victimes qu’on ne soigne plus depuis l’instauration de cette nouvelle religion ; ou encore celui des enfants en parfaite santé et n’encourant aucun risque, inoculés sur l’autel de la « sainte » peur d’un virus dont le taux de survie est supérieur à celui de la grippe saisonnière...

Au centre du culte sanitaire sacrificiel de cette nouvelle église, le « vaccin » à ARN messager tient lieu de sacrement, gage de l’ultime salut (ne pas être infecté par le SRAS-CoV-2). Religion de la soumission au contrôle social hygiéniste, le covidisme missionnaire prêche par-dessus tout l’altruisme « vaccinal » du signalement social vertueux, pour faire en sorte que soit réalisé le plus grand de ses commandements : « Tu ne contamineras pas autrui du SRAS-CoV-2 ! » – commandement d’application strictement rigoureuse et exclusive à ce virus particulier, auquel échappent donc les autres virus bien connus, tels que le VIH-1.

Dans le monde de la nouvelle religion covidiste, passer par le sacrement « vaccinal » relève du plus haut devoir catégorique de responsabilité citoyenne envers autrui, dont l’exigence impérieuse réinstitue aujourd’hui cet ordre moral universel que le relativisme avait pourtant pris soin de reléguer au domaine des opinions et des préférences de chacun. Ceux qui s’y refusent sont par conséquent dénoncés et exécrés pour leur résistance irresponsable.

Dans le monde de la nouvelle religion covidiste, le prolongement des mesures étatiques de restriction et l’apparition de nouvelles vagues du virus sont donc naturellement imputés aux hérétiques « anti-vaccinaux », barbares ignorantins de l’antiscience complotiste qui répugnent aux bienfaits d’un produit pourtant « miraculeux » et maintiennent ainsi le reste du monde dans un état d’urgence et de grande vulnérabilité face à une menace virale sans précédent…

L’une des principales forces de la religion covidiste scientiste réside dans l’efficacité médiatique de son accusation antiscientifique d’ « antiscience » dirigée contre quiconque oserait garder un esprit critique ouvert, comme le veut la méthode propre et sous-entendue par la pratique même de la science qui peut encore en porter le nom. La religion covidiste et son clergé politico-médical, jouant du mirage d’une autorité intellectuelle usurpée par l’hégémonisme du pouvoir du discours GAFAMI-que, vivent ainsi dans l’illusion d’un ascendant scientifique (souvenez-vous de l’expérience de Milgram!) hors de doute sur leurs détracteurs « complotistes » insubordonnés et donc de facto ignorantistes. [c’était effectivement le discours de Louis XVIII du temps de de Bonald, les « jacobins » étaient des « égarés »]

Depuis le début de la dictature sanitaire, l’épouvantail du complotisme a été brandi afin de faire porter le chapeau de la désinformation à ceux qui, en réalité, l’exposent et la récusent. Le temps est venu de se souvenir que les plus grandes tragédies civilisationnelles ne sont pas causées par les gens qui s’autorisent à penser librement, mais bien par ceux qui se plient comme des bêtes aveugles et muselées au bon vouloir d’autorités attentatoires et corrompues jusqu’à la moelle, comme le sont celles qui dirigent aujourd’hui la France.

Il n’est pas difficile d’observer que la situation est pire aujourd’hui qu’il y a un an après le lancement de la grande campagne de « vaccination » expérimentale. Et que les autorités chargées d’assurer l’exécution de cette déstructuration sanitaire sans précédent n’en sont pas moins déterminées à trouver un moyen d’en justifier et d’en cautionner l’inqualifiable politique avec la toute récente validation du « paSS vaccinal » [1], désormais en vigueur, et pour quels résultats (voir, par exemple, l’analyse perspicace et tout simplement factuelle de l’éditorialiste de RT France, Alexis Poulin, en guise de réponse aux contresens et aux tours de passe-passe de Gabriel Attal lors de sa conférence de presse du 26 janvier 2022) !

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